c'est le blues, l' coup d' cafard le check out assuré... ^

Jen'ny a écrit:moi c'est une autre phrase qui me fait peur"avec le peu de force que me restait " . . En principe on dit ça quand on meurt non ça doit être moi qui me fait des films . . . C'est vraiment une très bonne fic

Oui tu dois te faire des films ma cherie ^^

Bon aller, je poste la suite!(oui pasque en fait j'ai déjà terminé la fic' depuis longtemps ^^)


Ce chapitre est l'avant dernier, je pensais poursuivre, mais plus vraiment d'idées... :bounce:



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ah non non non Shanouw! tu t'arrêtes pas comme ça! nanmeo! j'hallucine! en plus c'est malin maintenant je déprime! pauvre Teresa! nan mais quel c** celui là quand il s'y met! l'art de foutre sa vie en l'air et celle des autres au passage en une leçon par mossieur le mentalist Patrick Jane!

nan mais c'est vrai quoi! s'il le faut, j'me devoue! j'vais de ce pas lui remettre les idées en place! si ça lui plait de bousiller sa vie, qu'il pense au moins aux autres! et ne me dites pas que c'est ce qu'il a fait, parce que à mon avis on est devant un superbe exemple de fuite masculine! avec de bonnes raisons de son point de vue!

désolée pour cette explosion de rage mais la pauvre Tessa!

en tous cas excellente suite! j'adore! ta fic est toujours aussi bien construite et prenante!

alors je vais me répéter mais VLS

Il est génial ce chapitre

Mais Jane qu'est qu'il peut être tétu parfois Il fuit au lieu de tendre la main à un avenir beaucoup plus joyeux que ce qu'il pouvait espérer.

Et voilà Lisbon va se remettre à déprimer si ça continue. Réveille toi joli coeur et ouvre toi un peu.

VLS

Excellent chapitre, toujours dans l'émotion
Mais la dernière phrase
Pauvre Lisbon, ça va l'achever

VLS

QUOI?! Jane démissionne! Nan c'est pas possible!!
VLS
J'aime beaucoup ce chapitre

QUOIIIIIIIIIIII!?! NON NON NON NON NON NON !!!

Jane démissionne !!! Noooooon !!! C'est impossible !!!

Mais qu'est-ce qu'il est c**!! Là, je suis en mode déprime Pauvre Teresa Mais qu'est-ce qu'elle va devenir sans lui, il n'a même pas pensé à ça je suis sûre ce c**

PATRICK JANE!! REVIENS PLEASE PLEASE!!! TERESA T'AIME ET TOI AUSSI DONC RAMENE TES FESSES !!!

J'adoooooooooooore toujours autant ta fic tellement c'est trop émouvant et romantique !!!
Faites que ça s'arrange par pitié

Un grand BRAVO à toi pour ce chapitre!!

VLS VLS VLS VLS

Jaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaane tu veux que je m'énerve ? Non parce que tu vas arrêter tes conneries vite fait ! !

Vos commentaires font toujours plaisir ^^

Et voilà la suite et fin! :) (enfin nan, y'aura un épilogue à la fin )





*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*


J'étais faible comme jamais mais pour lui je ne pouvais pas me reposer. Je devais à tout prix le retrouver car je savais que si je le laissait partir maintenant je le regretterais toute ma vie. Et j'avais cette force sortit de je ne sais où qui me prit. Pour lui. J'ai regardé Hightower avec tout l'affolement que j'avais dans mon esprit.
Sans que personne n'y comprenne grand chose je me dirigeais vers ma voiture, évidement Van Pelt m'avait suivie et tentait de me rattraper.

-Teresa attend, tu es encore trop faible pour conduire!

Je me précipitais dans la voiture et démarra brutalement en direction de chez Jane.
Mon corps me fit comprendre que j'aurais dû demander de l'aide à quelqu'un, j'avais horriblement mal mais je n'avais pas le tête à penser à moi. Il hantait mon âme. Je suis arrivé chez lui et me dirigeais vers la porte. J'ai fermé les yeux espérant de toutes mes forces qu'il y serait. Je sonne.. personne. Je décidais alors de rentrer, croyant pertinemment qu'il était ici, la porte étant ouverte. Mon cœur s'arrêta pendant un instant. Sa maison était entièrement... redécorée, il y avait fait installer de nouveaux meubles, il y avait redonné une seconde vie. Rien à voir avec ce que j'avais pu voir avant.
Je me suis dirigé en direction du salon et me suis effondrée sur le canapé, épuisée.. à bout de force repensant à tous ces instants passés avec lui...
Mon téléphone sonna, c'était Grâce, sûrement pour savoir ou j'étais. Je décidai de ne pas répondre. Ils devaient être là bas à m'attendre, leur regard plein compassion. Je ne voulais pas de leur pitiez ! Je ne voulais pas les voir, je voulais être seule. Seule au monde comme je le serai toujours.
Et pour mettre une action à mes pensées j'ai enfouie ma tête dans mes genoux. Recroquevillée sur moi même. Je pleurais encore et toujours, je n'avais plus que ça à faire. J'aurai voulu mourir. Il ne voulait plus de moi, il se fichait de me faire souffrir.
Je décidais alors de partir, mais je ne voulais pas retourner au CBI non, je voulais marcher, réfléchir, tout simplement. Je voulais rester seule.
Il pleuvait. A croire que le temps définissait mon humeur. Et je me suis retrouvé là, debout dans la rue avec la pluie se mêlant aux larmes. Mes cheveux à nouveau vinrent se plaquer sur mon visage. Mes vêtements étaient trempés et je m'en fichais totalement. Mon état physique reflétait mon était mentale : déplorable. Et je marchais dans la rue tantôt les yeux levés au ciel, tantôt les yeux rivés devant moi.
Cela faisait des semaines que je souffrais. Et aujourd'hui le point final avait été très dur à mettre. C'était lui qui l'avait décidé, la fin ne serai pas joyeuse non. Il avait fui... Pourquoi ? Par amour ... ? Visiblement pas...
Parce qu'il ne m'aimait pas tout simplement ! C'était la raison la plus rationnel que je pouvais trouver à sa "fuite". Alors je devais accepter sa décision et me dire que jamais il n'existerai un "Teresa & Patrick" mais plus un "Lui & une autre".
J'avais froid, là sous cette pluie, je grelottais mais je m'en contrefichais. J'avais mal partout. J'avais mal à mon épaule et à mon bas ventre. J'avais mal à la tête parce que j'avais fait trop d'effort alors que je sortais à peine de l'hôpital. Je me suis assise sur un banc et je pensais encore à lui. Je pensais toujours à lui.
Pourquoi l'amour était si injuste ? Pour une fois que j'étais persuadé d'avoir trouvé l'homme de ma vie.
Un taxi s'arrêta à quelques mètres de moi. J'ai hésité puis finalement j'ai décidé de le prendre. Le taxi qui m'emmènerais au CBI... Parce qu'ici, tout était fini...
Un homme sortit du taxi que je m'apprêtais à prendre. Mon cœur cessa de battre un instant. Mes yeux le fixait. Et il se tenait là devant moi sans que je comprenne comme c'était possible. Là, avec ce sourire en coin que j'aimais tant. Ce sourire qui voulait tout dire normalement mais que je n'arrivais pas à comprendre. Jane...
Il s'approcha de moi, doucement, et me prit les mains. Son contact me faisait frissonner. Je n'y croyais pas, je n'y croyais plus. Il y a moins d'une minute je pensais que c'était finit, qu'il m'avait abandonné. Je ne pouvais m'empêcher de pleurer même s'il était là et mes larmes se mêlait toujours à la pluie qui nous avait à présent tout les deux trempés. Je n'arrivais pas à décrocher mon regard de ses yeux. Nous sommes restés ainsi plusieurs secondes et enfin il brisa le silence.

-Lisbon, laisse moi parler s'il te plait, laisse moi te dire tout ce que je veux.

J'ai acquiescé avec mes yeux et il le comprit. Il posa son front sur le mien et posa ses mains sur mes joues et de son pouce me poussa les mèches de cheveux qui s'était plaquées à mon visage. Je ne pouvais m'empêcher de pleurer tellement la joie me prenait. Il prit une grande inspiration puis fini par dire :

-Tessa.. Si tu savais comme je m'en veux... J'ai été le derniers des imbéciles ces dernières semaines, l'homme le plus aveugle. Je dois dire que pour un mentaliste j'ai été plutôt pitoyable. Je crois que je t'aimais avant de rencontrer Kristina mais je ne m'en rendais pas compte. Je pensais que trop de choses nous séparaient pour qu'un jour il existe un "Nous" et je nous revoyait, je revoyais nos chamailleries, nos disputes, comme de simple frère et sœur... Je pensais sincèrement que tu ne m'aimerais jamais, moi, le consultant borné, rabat-joie, sadique, insupportable...

Il s'arrêta et sourie,

-Je pensais sincèrement que toute ma vie je resterai un homme seul et rejeté par une femme que j'aimais en secret. Que j'aimais sans le savoir. J'ai rencontrer Kristina contre toute attendre, j'ai d'abord cru à un coup de foudre mais je tentais en fait de t'oublier et de combler ton absence d'amour. J'ai joué l'aveugle et j'ai essayé de t'effacer. Je ne te regardais plus et je ne pensais qu'à moi. J'ai été tellement égoïste... Tessa si seulement j'avais compris! Et ton état de santé s'est dégradé , tu t'es fait tiré dessus et tu es tombé dans le coma... J'ai cru que j'allais mourir s'il t'étais arrivé quelque chose. Et c'est là que j'ai compris que jamais je ne pouvais t'effacer, que tu faisais partit de moi ! J'ai passé mes nuits à te regarder. Je surveillais chacune de tes respirations parce que j'avais trop peur que la vie t'arrache à moi. Je n'osais pas te parler parce que je ne savais même pas si tu voulais de ma présence à tes côtés. J'ai raconté n'importe quoi et je t'ai vue sombrer. Je m'en voulais tellement que je n'ai pas osé venir te voir. Quand Grâce m'a mis sur la piste de possible sentiments de ton côté, j'ai hésité. Quand tu t'es réveillé je me suis senti revivre, comme si la deuxième partie de mon cœur pouvait battre de nouveau. Pour me faire pardonner je suis resté près de toi et lorsque tu m'as parlé, j'ai compris que je t'avais fait énormément souffrir et je me suis éloigné pour ne plus que tu souffres à cause de moi.
J'ai demandé ma démission. Hightower m'a posé beaucoup de questions. Elle a tenté de me faire changer d'avis mais pour moi, ce que je t'avais fait était inadmissible. Je suis rentré et j'ai compris des millions de chose. Je suis retourné au CBI et il m'ont dit que tu étais partis me chercher ici. Tu sais Teresa, je ne pensais qu'à toi. A nous deux pour être plus précis. De toute ma vie c'était la première fois que je m'imaginais vivre un avenir avec quelqu'un...depuis la mort de ma femme. Je ne peux plus imaginer ma vie sans toi parce que tu fais partie de moi, de ma vie, de tout mon être. Et je serai éternellement désolé pour la souffrance que je t'ai fait endurer. Navré. Mais il y a une chose dont je suis sur et certain c'est que je t'aime, je t'aime plus que tout, je t'aime comme un fou Teresa. Et si pour te le prouver je devais te le répéter durant toute ma vie je le ferai. Et pardonne moi pour le mal que je...

Je ne lui laissa pas terminer sa phrase. J'ai collé ma bouche contre la sienne encadrant son visage de mes mains. Nous sommes restés ainsi pendant plusieurs secondes sans bouger nos lèvres. Nous les gardions juste ainsi pour les sceller, pour qu'à présent elles soient liées à jamais.
Non sans peine j'ai décollé mon visage du sien, je l'ai regarder avec les larmes qui roulaient sur ma joue. Des larmes de joie, je l'ai regarder.

-Je t'aime, je t'aime tellement...

La réponse ne se fit pas attendre, cette fois il m'embrassa avec tout l'amour qu'il pouvait y mettre. De sa langue il caressa mes lèvres tendrement. Son mouvement se mêla au mien. Nos langues s'entrechoquaient formant une parfaite union. Ce moment j'en avais rêver depuis ce qui me semblait être une éternité. Alors qu'aucun des deux ne le voulaient, c'est le souffle qui nous arrêta. Il fallait que l'on respire. Mais je ne pouvais plus me détacher de lui. Pas maintenant alors que je l'avais pour moi. Nous avons collé nos front et nous nous sommes sourit en nous regardant dans les yeux. L'instant était magique, parfait. Gravé dans ma mémoire. Il me tenait toujours la main et nous nous sommes dirigés vers sa maison. Je ne m'étais pas rendue compte que j'avais froid.

Là dans ses bras j'avais l'impression que le temps s'arrêtait. Il n'avait pas lâcher ma main depuis qu'il avait fait sa déclaration. Ses mots raisonnaient encore dans ma tête. Il m'aimait. Patrick Jane m'aimait.
Je ne savais plus vraiment quoi dire étant passé à des états d'esprit extrêmes en peu de temps.
Je jouais l'aveugle, puis j'ai compris lorsque c'était trop tard. Une longue descente au enfer. Des paroles qui faisaient souffrir. Des mots d'amour, un réveil, une fuite, un échec, une souffrance, une renaissance, un espoir et la révélation mutuelle d'un amour. Nous sommes arrivés, Jane alluma un feu pour nous réchauffer, me donna de quoi me changer, et alla e préparer un café me laissant m'installer confortablement sur le canapé. Il revint et s'installa à coté de moi, passant son bras derrière moi me permettant de poser ma tête sur son épaule.
-Si tu savais comme je suis désolé Teresa...

Je l'ai embrassé. Ma technique pour le faire taire marchait parfaitement.

-Chut ! Tais toi ! Dis encore une fois que tu es désolé et... et... je te prive de bisous..
- Tout sauf ça...!, répondit-il en faisant la moue

Il me prit par la taille et colla mon corps au sien. Nos lèvres se mêlèrent, le baiser fut passionné.
Il me tenait dans ses bras.

-Tu devrais te reposer Tessa... tu dois être exténuée après tout ce qui s'est passé...

Je prit son Tee-Shirt et le plaqua contre moi.

-Tu crois vraiment que j'ai envie de dormir ?

Il m'embrassa une fois, puis deux, et trois fois... Nos baiser ne se comptaient plus. Il parcourait mon corps de ses mains et moi le siens. La douceur de ses gestes étaient parfaits. je savais qu'il craignait de me faire mal à cause de mes blessures. Durant toute la nuit, nos corps ne formèrent qu'un.
7h30, je me suis réveillé en me demandant si tout cela n'était qu'un rêve jusqu'à ce que je sente la chaleur d'un corps à mes côtés. Je me suis retournée et l'ai vu, dormir paisiblement à mes côtés.
Je pris mon téléphone et envoya un texto à Van Pelt pour la remercier d'avoir mis Jane sur la piste des sentiments que je pouvais avoir pour lui. Texto auquel elle me répondit tout naturellement:
"J'ai juste fait mon boulot... Toute meilleure amie qui se respectent se doit d'intervenir en cas d'extrême urgence même si elle avait jurée de resepcter le choix de son amie et son silence. J'ai jugé que la situation actuelle était une urgence ".....

-Fin-

Yeeeaaah!C'est trop beau *
Merci pour cette magnifique fic
J'adore SO JISBON

Exquis du début a la fin!
J'adore la fin! Tes mots m'ont fait frissoner!!

Oh lalalalalalala!!! Je n'ai pas de mot pour m'exprimer tellement cette fin est vraiment magnifique !!

Je fond en larmes tellement c'est trop émouvant!!

J'ai vraiment adoooooooooré ta Fic!!!

SO JISBON FOREVER!!!

Je te dis sincèrement... RESPECT


Un grand BRAVO à toi!!!

Merciiii pour cette fic tellement magnifique!!!

Bonne fic jisbonienne.

J'ai vraiment eu plaisir à lire ta fic, et j'ai hate de voir comment va être ton épilogue.

Ca été vraiment plaisant à lire malgré des fois quelques fautes.

YEEU ! _ C'est une super jolie méga trop bien fin !!!!!!!
SO JISBON _ Trop mimi , c'est GENIALE !

BRAVO ! _SUPEEEEEEER

cette fic était vraiment super , triste au dépars mais finalement Jane a compris et tout se fini bien
Vraiment, j'ai adoré et j'ai hâte d'en lire une autre

Bravo pour cette fin elle est magnifique
Tout est bien qui finit bien
J'ai hâte de lire ton épilogue et j'espère que tu nous concocteras d'autres fics aussi belles

magnifique fin . Et j'aime beaucoup le fait que Grâce ai jouée un rôle déterminant . Bravo ! ! :)

alors là Shanouw! que dire!?

deux mots: magnifique et boulversant! &

franchement j'ai adoré du début à la fin! merci à toi pour ces supers moments!

Merci pour tous vos commentaires, vraiment

Et donc voilà, comme promis, l'épilogue :)





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Ooooooohhhhhhhhhhh!!! C'est trooooooop trooooooop mignon comme fin !!!

Monsieur et Madame Jane avec deux jumeaux!!! Que demander de plus ???

Magnifique épilogue que tu as là miss!!!

Bravo bravo et merci merci pour ta superbe fic !!!

Troooooooooop fantastique!!!

oh c'est trop et en même temps ! c'est tellement beau! tellement shoupi! mr & mme Jane et leurs enfants! ça sonne parfaitement je trouve!

merci à toi cette magnifique fic! au plaisir de te lire à nouveau!

une dernière chose: respect

C'est trop beau on ne peut pas imaginer mieux comme fin
Encore bravo pour cette magnifique fic

Oh c'est une fin toute fluffy même si j'ai un peu de mal avec ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants pour Jane et Lisbon. Mais au moins c'est une fin pleine d'espoir et de bonheur

C'est très mignon et puis tu écris toujours aussi bien. Merci pour cette fic qui met du baume au coeur.

Cette epilogue
Des pitits jumeaux Jisbon
Sa c'est une belle fin