Lockdown [Spoiler Saison 3] ^

quand je disais que je ne sentais pas ce chapitre...
Mais d'un autre côté il était impossible que Jane sorte de prison alors...
J'aime bien le petit passage où Cho commence à paniquer
Superbe chapitre comme d'habitude

merci Johel mais il reste encore l'épilogue

Pourquoi cet étrange sourire
Nous réserverais tu une surprise dont tu as le secret

qui sait

Jane qui est mort!!

C'est trop triste!!

C'est quoi cette surprise que tu nous prépares? :bounce:

patience si j'ai le temps la suite et fin sera pour demain

Purée, tu m'as fait trop pleuré du début à la fin

Les dernières paroles de Jane à ses amis et à Lisbon , Lisbon qui s'écroule au sol en larmes la mort de Jane

Trop horrible et trop triste !!

Hein ? Une surprise ? Mais qu'est-ce que tu nous mijotes ?
Ah Ah Ah Ah !!! Je crois que j'ai compris !! :bounce: :bounce:

vous aurez votre surprise demain ou peut-être ce soir mais je vous laisse je vais manger

Waou, Jane mort ...

tu n'y va pas de main morte ...


le bébé est née et en bonne santé, point positif. Joli prénom en passant pour une petite fille,


une surprise ??? ah ah !!!

Déjà que j'avais pas le moral, c'est pas prêt de s'arranger!!
Jane qui s'est fait tué en prison, mais c'est trop triste!!!
Mais bon, c'est vrai que la fin de ce chapitre est très belle avec Lisbon qui met au monde le bébé de Jane.

Je me demande ce que tu nous réserves pour l'épilogue!!!

VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

désolée de ne pas avoir posté la suite hier comme je devais le faire, j'ai pas fini de l'écrire, et je ne pourrais pas plus la poster aujourd'hui, je vais à l'hôpital et je ne sais pas quand j'en sortirais, donc je vais faire de mon mieux pour demain, sinon ce ne sera pas avant la semaine prochaine
de plus, pour les 3 semaines à venir je ne serais pas très présente sur le fo, ma meilleure amie vient passer deux semaines chez moi et ensuite ma mère et ma soeur arrivent, donc je vais passer du temps avec elles, autant que je pourrais avec le boulot, donc je ne pense pas pouvoir écrire aussi souvent que d'habitude
pardonnez-moi

T'en fais pas, Sweety, la santé et la famille avant tout

Pas d’inquiétude Sweety...comme je te l'ai déjà dit la santé avant tout...et la famille
On peut attendre

Ne t'inquiètes pas Sweety ce n'est pas grave
On patientera sagement
Ta santé et ta famille passent avant tout Prends soin de toi et profites bien de ta famille ainsi que ta meilleure amie

je ne peux que répéter ce que les autres ont déjà dit, ta vie d'abord, le fo' ensuite

passe de bons moments avec ta famille et tes amis

et on croise les doigts pour santé

Profite bien de ta famille et prend soin de ta santé!!!
Nous on attendra, prend tout le temps qu'il te faut.

je plussoie les filles
On attendra ne t'en fait pas Soigne-toi et profite de ta famille et repose-toi surtout!

La fic peut attendre, la santé passe d'abord. Prends soin de toi.

Je vous avez promis une surprise alors la voilà , finalement ma fic sera un peu plus longue, de combien de chapitres je ne sais pas encore mais pas beaucoup.
En attendant, je vous souhaite une bonne lecture



Une belle journée de printemps, le soleil était haut dans le ciel, une légère brise venait souffler à travers les branches des arbres.
Lisbon se trouvait dans son jardin, observant sa fille courir après le petit chien qu’elle lui avait offert pour son anniversaire, deux mois plus tôt. La petite fille était tout le portrait de son père et parfois c’était difficile pour Teresa de la voir, mais elle aimait sa fille plus que tout au monde. Elle ne survivrait pas si elle devait la perdre. Pourtant elle savait que cela risquait d’arriver et plus tôt qu’elle ne le pensait. En effet, Elisabeth était malade et avait besoin d’une greffe de moelle osseuse, malheureusement pour elle, les médecins n’avaient pas encore trouvés de donneurs compatible et les chances de survies de la fillette n’étaient pas très élevées.

Lisbon se leva de son fauteuil et marcha jusqu’à sa fille pour se joindre à son jeu. Depuis l’annonce de sa maladie, la jeune femme avait mit un terme à sa carrière au CBI pour se consacrer entièrement à elle. Alors il arrivait souvent qu’elles se retrouvent dans le jardin pour des parties de cache-cache, des courses entre mère et fille ou tout simplement des séances de chatouilles.

“_ Liz,” appela Lisbon, “va chercher Patti et rentre s’il te plait.”
“_ Mais maman il est encore tôt,” se plaignit la fillette.
“_ Ne commence pas à me faire tes petits yeux ma chérie, tu sais ce que le médecin à dit,” rappela la jeune femme à sa fille, les mains sur les hanches.
“_ Je sais,” soupira Liz avant de partir chercher sa chienne.

Lisbon regarda un moment la petite fille retourner dans la maison, la tête basse, les larmes aux yeux. Elle-même n’en menait pas large, ce n’était pas une vie pour une enfant de cette âge, ni pour n’importe qui. A peine sept ans et la pauvre devait se restreindre de beaucoup d’activités, ne pouvait pas aller avec ses amies lorsque ces dernières souhaitaient l’inviter à des parties pyjama ou autre. L’ancien agent du CBI aurait tout donné pour pouvoir être compatible et permettre à sa fille d’avoir une vie normale, mais elle ne l’était pas. Et lorsqu’Elisabeth lui faisait ces petits yeux, elle croyait revoir Jane, son Jane. Ils avaient le même regard, les mêmes yeux suppliant et parfois ça fonctionnait, mais pas toujours.

Lisbon revint sur terre lorsque le téléphone sonna et rentra pour répondre, ne cessant de prier pour que ce soit le médecin lui annonçant enfin la bonne nouvelle qu’elle attendait depuis des années.

“_ Lisbon,” répondit-elle instinctivement, la force de l’habitude.
“_ Madame Lisbon, ici le docteur Stevens,” s’annonça son interlocuteur.
“_ Docteur Stevens, que se passe-t-il?” S’inquiéta-t-elle aussitôt. “Une mauvaise nouvelle avec les derniers examens?”
“_ Non madame, plutôt une bonne nouvelle, nous venons de trouver un donneur Compatible avec Elisabeth.”

Le cœur de Lisbon fit un bon dans sa poitrine et des larmes de joies coulèrent sur ses joues. Enfin. Enfin sa fille était sauve, enfin elle pourrait vivre la vie dont elle rêvait depuis toujours, enfin elle pourrait être une petite fille comme les autres.
La voix du médecin lui rappela qu’il était toujours en ligne.

“_ Madame Lisbon? Vous êtes toujours là?” Appela la voix inquiète du médecin.
“_ Oh… oui, oui, je suis toujours là,” répondit rapidement Lisbon.
“_ Il faudrait que vous veniez au plus vite avec votre fille, plus tôt nous procéderont à la greffe.”
“_ Bien, je préviens Liz et nous arrivons.”
“_ Je vous attends.”

Lisbon reposa le combiné d’une main tremblante, versant toujours ses larmes de joie. Sa fille avait une chance de s’en sortir, elle avait encore du mal à y croire, mais c’était pourtant bien vrai.
Elle monta dans la chambre de la petite, certaine de l’y trouver, écrivant dans son journal. Depuis qu’elle avait apprit à écrire elle avait décidé de consigner ses journées et ses états d’âmes dans le petit livre que lui avait offert Van Pelt l’année d’avant. Elle avait collé une photo de ses deux parents ensembles prise lors d’une soirée au CBI sur la couverture.
En entrant dans la pièce, Lisbon découvrit effectivement sa fille sur son lit, mais elle n’écrivait pas dans son journal, non elle avait dans les mains un cadre, et pas n’importe lequel.

“_ Elisabeth?” Appela Lisbon.

La fillette laissa tomber le cadre sur le lit et sursauta en entendant sa mère. Elle chassa quelques larmes à l’aide de son bras gauche tandis que la a main droite se posait sur le visage de son père souriant sur la photo.
Lisbon s’approcha rapidement du lit et s’assit sur le bord, entourant sa fille de ses bras.

“_ Il me manque maman,” pleura l’enfant, “je sais qu’il est mort avant ma naissance mais… il me manque mon papa.”
“_ Je sais mon cœur,” souffla Lisbon en passant une main réconfortante dans le dos de sa fille, “ il me manque à moi aussi.”
“_ Pourquoi il est mort maman? Pourquoi il est partit?”
“_ Il est mort en héros ma puce, en me sauvant la vie, ainsi que la tienne.”

La mère et la fille se serrèrent une fois de plus dans les bras l’une de l’autre avant que Lisbon ne se dégage de la petite, un sourire sur le visage.

“_ J’ai une bonne nouvelle pour toi ma puce, le médecin à téléphoné et…”

Mais elle ne pu finir sa phrase, Elisabeth avait bondit du lit, comme si elle avait comprit de quoi il retournait. Elle se précipita vers son placard et en sortit un petit sac contenant des affaires. Elle avait toujours un sace de prêt pour le cas où le médecin les appellerait, pour le cas où elle serait de nouveau si malade qu’elle doive retourner à l’hôpital. C’Était une petite fille très prévoyante.

Lisbon la laissa faire, heureuse de la voir sourire de nouveau, de la voir heureuse de nouveau. Cela lui réchauffa le cœur de la voir ainsi, elle était si belle lorsqu’elle souriait, comme son père.
Quelques minutes plus tard, Lisbon et sa fille étaient en voiture et se rendaient chez Van Pelt pour lui déposer Patti. Elles ne savaient pas pour combien de temps elles en auraient et ne voulaient pas laisser la chienne toute seule à la maison.


Lisbon gara sa voiture sur le parking si connu de l’hôpital et en sortit, allant pas la suite ouvrir la porte à Elisabeth qui trépignait d’impatience. La fillette était collée à la vitre, suppliant du regard sa mère d’aller plus vite et, lorsque la porte s’ouvrit elle se rua à l’extérieur mais s’arrêta pour attendre sa mère. Elle restait tout de même prudente.

Le duo entra dans le hall du bâtiment et fut accueillit pas le sourire de l’infirmière à l’accueil. Depuis le temps qu’elles venaient ici elles connaissaient tout le monde.
Une autre infirmière vint les voir et les conduisit dans une chambre pour qu’elles s’installent en attendant la visite du médecin.
La petite fille s’installa gentiment sur le lit et sortit un livre de son sac pour lire. Elle manquait bien souvent l’école mais elle ne voulait pas prendre du retard, elle voulait réussir. Elle savait amadouer les gens tout comme son père savait le faire, mais elle était assidu dans son travail comme l’était sa mère. Un parfait mélange de ses parents.

Le médecin ne tarda pas à arriver et Lisbon vint immédiatement à sa rencontre, impatiente d’en savoir plus sur le donneur qui allait sauver sa fille.

“_ Madame Lisbon, je suis content de vous voir,” sourit le médecin, “salut Liz.”
“_ Bonjour docteur Stevens,” salua Elisabeth de la main.
“_ Alors docteur, qui est ce fameux donneur?” interrogea Lisbon.
“_ Il préfère garder l’anonymat, il m’a dit qu’il avait entendu parler de votre fille et qu’il voulait accomplir une bonne action dans sa vie, qu’il n’aimait pas savoir cette enfant triste et malade.”
“_ Mais…”
“_ Je ne peux malheureusement pas vous en dire plus pour le moment, peut-etre acceptera-t-il de venir vous voir plus tard, pour le moment il est en salle de préparation et je crois que la jeune demoiselle qui est là devrait en faire autant.”
“_ Oui docteur,” sourit la petite en reposant son livre.

Le médecin quitta la pièce et une infirmière arriva pour aider Elisabeth à se préparer pendant que Lisbon sortait dans le couloir.
La brune resta devant la porte en attendant de pouvoir retourner auprès de sa fille mais une voix l’interpella. Elle tourna la tête et tomba sur Cho qui arrivait avec Elise.
Les deux femmes se prirent dans les bras tandis que Cho attendait son tour pour prendre son ancienne patronne dans ses bras. Depuis la mort de Jane et la naissance d’Elisabeth, Cho et Lisbon étaient devenu plus proche et ils savaient qu’ils pouvaient compter l’un sur l’autre. Cho était même le parrain de la petite et il en était fier.
Lorsqu’Elise libera Lisbon de ses bras, Cho prit sa place et la serra fort contre lui, heureux pour elle et pour sa filleule.

“_ Alors?” S’enquit l’asiatique.
“_ Un donneur anonyme,” répondit Lisbon.
“_ Le principal c’est que quelqu’un puisse sauver Elisabeth,” compléta Elise.
“_ C’est bien vrai ça,” approuva Lisbon, “et je ferais mieux de retourner auprès de ma chère petite avant qu’elle ne fasse tourner en bourrique l’infirmière.”
“_ C’est tout son père,” lança Cho.

Tout le monde sourit à cette réplique et Lisbon s’éclipsa, retrouvant sa fille dans sa chambre qui était déjà prête à être emmener en salle d’opération.

Lisbon entra dans la pièce et elle sourit à sa fille qui, pour une fois, avait été sage comme une image, au plus grand bonheur de l’infirmière.
La jeune femme les laissa et quitta la pièce. Lisbon en profita pour s’assoir sur le bord du lit et prit les mains de sa fille dans les siennes.

“_ Ça va aller mon cœur?” demanda-t-elle.
“_ Oui maman, n’ais pas peur, tout va bien se passer.”
“_ C’est le monde à l’envers, c’est la petite fille qui rassure sa maman.”

Les deux Lisbon se retournèrent pour se retrouver face à un infirmier venu emmener Elisabeth. La petite fille se jeta dans les bras de sa mère et la serra dort contre son petit cœur, lui promettant que tout ira bien pour elle et qu’il fallait qu’elle garde confiance.
L’infirmier installa Elisabeth sur le fauteuil roulant et la petite fille salua sa mère une dernière fois avant de disparaitre. Lisbon resta donc seule dans la chambre, l’image de sa petite fille souriante dans ce fauteuil roulant.
Elle pria de tout son cœur pour que la greffe fonctionne et que son petit ange retrouve une vie normale, la vie dont toutes les petites filles de son âge rêvaient. Elle pria Jane de veiller sur leur fille, de faire en sorte qu’elle s’en sorte.
Elle savait que si jamais elle perdait Elisabeth, elle serait inconsolable, qu’elle n’aurait plus rien pour la retenir dans ce monde.


Les premières heures passèrent et Lisbon, Cho et Elise restèrent assit sur les fauteuils inconfortable de la salle d’attente prévu pour les familles. L’attente était vraiment longue et Lisbon ne put rester assise et se mit à faire les cent pas dans la pièce. Elle ne supportait plus d’attendre des nouvelles de sa fille, elle voulait tellement pouvoir la serrer dans ses bras, pouvoir sentir son petit corps en vie contre elle.

Les gens entraient et sortaient de la salle d’attente, parfois souriant parfois en larmes. Cela ne faisait rien pour aider à calmer Lisbon, bien au contraire. Sa peur montait en elle, la peur de ne jamais la revoir vivante.
Cho et Elise s’absentèrent le temps d’allé boire un café, la laissant seule. Mais cela n’avait pas d’importance pour elle, la seule chose qui occupait son esprit était sa fille.
Elle entendit quelqu’un entrer dans la salle d’attente mais ne se retourna pas pour voir qui c’était, elle n’en avait rien à faire. Cette personne s’approcha d’elle mais resta derrière et lui dit que tout irait bien, qu’Elisabeth serait de nouveau en bonne sante et qu’elle pourrait s’amuser avec ses petites amies à l’école comme n’importe quelle enfant de son âge. Puis, la personne lui souffla quelques mots à l’oreille.

“_ C’est une merveilleuse petite fille, comme sa maman.”

Lisbon eu des frissons dans tout son corps et se retourna vivement mais la personne était partit, elle était seule dans la pièce.

Dsl fais longtemps que j'ai pas commenter sur tes fics , mais le boulot m'occupe pas mal !!!

MAIS tu peut pas nous laisser sur une fin de chapitres comme saaaaa , je vais virer dingue
Mais excellent la petite liz va être en santée :)

ah vanou je suis si contente de te retrouver
c'est pas grave si tu commente pas beaucoup, moi j'écris plus aussi souvent en ce moment, en plus comme j'ai 3 fics en cours dont une sur Castle
la suite ne tardera pas trop, si je peux je la poste demain sinon ça attendra la semaine prochaine mais oui la petite ira mieux, le truc à savoir maintenant c'est: qui est son sauveur?

J'ai peut-être une petite idée de qui c'est mais je me garde la surprise que la suite soit demain ou la semaine prochaine je vais attendre
Super chapitre encore une fois sweety !!

Sweety ! Tu abuses là, je comprend plus rien. Bon déjà Lisbon est sortie, et ca c'est génial ! Mais faire sa fille malade... entre The fear of my life et ça, tu ne nous épargnes pas. Heureusement pour Liz, tout à l'air plus simple pour elle d'un coup ! Une Lisbon maman, c'est assez osé, mais tu nous la résume parfaitement bien, conservant son caractère même dans la maternité.

Voilà, tu es donc toute autorisé de prendre ton temps sur cette fiction avant de te remettre à celle sur Castle, parce qu'elle est aussi magnifique, et que j'ai moins de travail

merci beaucoup ma belle
je m'occupe des suites en rentrant, là je dois allé chercher mon père au boulot

C'est pas vrai, ce serait pas un grand blond ténébreux ce mystérieux étranger!!!
J'espère que oui!!!
En tout cas, c'est trop triste quand la petite dit à Lisbon que son père lui manque.
Mais peut-être pas pour longtemps! Je sens venir une grosse surprise!!!!

VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!