Adieu la vie, bonjour le paradis ^

Sadique ...

Juste pour l'être encore plus : Je vien à peine de commencer le chapitre et en ce moment j'ai pas d'inspiration - comme par hasard - alors peut-être que je ne posterais pas demain...

je rentre du boulot, je vois que tu as posté un nouveau chapitre , je le lis et là.... Jane embrasse Frye, je me dis "non c'est pas possible "
Je continue et là... Lisbon apprend que Jane s'est suicidé
et puis je me dis ensuite que tu es peut-être plus sadique que moi, c'est certain
Maintenant j'attends la suite, mais attention , nan je déconne :bounce: :bounce: :bounce:

Oh mon dieu, dit moi qu'il ne va pas mourir , dit moi que K va mourir , dit moi que la suite est ce soir...j'en demande trop peut-être , en gros tu as compris se que je voulais dire VLS VLS VLS

Je n'ai pas été prévenue du nouveau chapitre
Il faut dire que tu fais fort dans ce chapitre entre Kristina et le suicide
Maintenant il faut attendre la suite...

Merci les gens !
Ben, pour le prochain chapitre... Je ne sais pas quand est-ce que le prochain chapitre parraîtra sur vos écrans mais pour sur, il risque d'être mouvementer

Sweety : ton commentaire !

Trinquons à ma fic qui à un succès que je ne pensais pas avoir

Trop bonne ta fic
Pauvre Jane

VLS

Merci C@mil@ ^^ Le chapitre quatre me donne beaucoup de mal. Je n'arrive pas à faire les choses dans l'ordre. . .
Mais je me met au travaille de suite !

Oh, une fic aussi mouvementée... j'adore!!!
Mais, non, ce n'est pas possible, Jane ne PEUT PAS mourir, c'est tout simplement impensable!!! ah non, j'veux paaaaaas
VLS !!!!!

Ben si, il peut Faut prier pour lui
La suite arrive dés que je peut poster et être corriger ^^

Whhhhaaouww ! Jadore ta fic , mais pourvu que Jane ne meurt pas , Sinon VLS VLS !! :)

Voilà la suite, les filles Désoler du retard et de tout le temps que j'ai mis pour le poster mais pour ce chapitre, l'inspiration n'était pas au rendez-vous...


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Avait-il rêvé de cette douce main ?
Cette si douce et si agréable main qui était passée dans sa chevelure bouclée.
Il s'était retourné mais personne n'était dans la cellule.
Maintenant il se mettait à imaginer des choses... Il fallait qu'il en finisse au plus vite, il devenait fou !

Il était huit heures et c'était l'heure pour son petit déjeuner.
Un gardien ouvrit les portes.
Jane suivit les autres détenus jusqu'au réfectoire

Il était dans la file avec son plateau attendant qu'on le serve quand il vit le couteau dans les mains du cuisinier qui découpait du pain.
Une idée lui vint
Avant que personne ne puisse réagir il était sur le cuisinier pour lui prendre son couteau
Sans hésiter il s'entailla profondément le bras gauche.

Avec un sourire, alors que les gardiens se précipitaient sur lui, il rendit son couteau au cuisiner, bouche bée devant son geste
Jane s'assit, attendant sagement son heure.
Le sang dégoulinait, les gros bras de la prison l'entouraient, pour le protéger de l'intervention des gardiens.
Quand enfin ils parvinrent auprès de Jane ils n'arrivèrent pas à arrêter le saignement.

Soudainement, le vue de Jane se brouilla, tout devint noir. Il ne sentait plus son corps.
C'était donc ça la mort.
C'était la fin et il le savait très bien.
Une pensée, qui venait du plus profond du cœur lui fit lâcher un petit soupir.
''Lisbon, je t'aimerais toujours...''
Il venait de sombrer.
Les infirmiers tentaient de le ranimer tout en le plaçant sur un brancard.
Jane percevait encore l'agitation autour de lui

Un peu plus loin le cuisinier était encore sous le choc.
Jamais il n'aurait pensé à ça...qu'un prisonnier puisse agir ainsi devant lui. Il s'en voulait un peu, au fond.
Il aurait dut se méfier du prisonnier solitaire...

L'ambulance roulait à toute allure, compte tenu de l'état de Jane le directeur avait décidé de le transférer à l'hôpital, l'infirmerie de la prison n'ayant pas le matériel necessaire.
Les infirmiers à l'arrière de véhicule essayaient tant bien que mal de réanimer l'ex-consultant balloté dans tout les sens, malgré la prudence du chauffeur.
Ils arrivèrent rapidement rapidement aux urgences

Le médecin et l'infirmier qui poussaient Jane sur son brancard bousculaient les urgentistes sur leur passage pour arriver au plus vite à la salle de réanimation
Ils arrivèrent dans la salle avec des machines respiratoires, des défibrillateurs et autres machines.
Les urgentistes de l'hôpital qui avaient pris le relai déshabillèrent Jane, le mettant torse nu.
Tous étaient occupés.
Certains s'affairairaient pour stopper l’hémorragie, pendant que d'autres prépareraient le défibrillateur.
Quand l'hemoragie fut arrêtée et le défibirilateur chargé, le médecin hurla
-« Poussez-vous ! A trois ! Un, deux, trois ! »

Jane sentit une grande dose d’électricité entrer en lui, le poussant à ouvrir les yeux.
Son cœur redémarra d'un coup, rapide et irrégulier.
-"c'est bon" constata le médecin
On intuba l'ex-consultant pour lui faciliter la respiration et il fut installé dans une chambre
Malgré les protestations des infirmières il fut menotté à son lit par les gardiens qui avaient suivi l'ambulance.

Elle devait aller vérifier où il se trouvait, elle ne pouvait plus attendre, il fallait qu'elle sache.
Dans la voiture, elle ne contrôlait plus les larmes, se laissant aller.
Plus rien ne pouvez l'arrêter, elle était devenue folle, complètement folle.
La voiture roulait vite, trop vite.
Elle grillait les feux, secouant la tête en pensant aux remarques que Jane n'aurait pas manqué de faire
Il n'était pas là...
Tant pis pour son permis ! seul Jane comptait.

Elle arriva alors à la prison de Sacramento, essuyant d'abord ses larmes.

On la laissa rentrer grâce à son badge.
Le directeur de la prison , celui qui avait appeler le C.B.I , vint à sa rencontre.
Lisbon lui tendit la main, le directeur fit de même.
Lisbon se dégagea et essaya – j'ai bien dit ''essaya'' – de lui sourire.
Le directeur, sentant son malaise, s’excusa et lui parla:

-" Patrick Jane, votre consultant a été transporté à l'hôpital de Sacramento à quelques minutes d'ici. Toutes mes condoléances... "
Cette dernière phrase mit en rage Lisbon.
Comment-ça !, '' Toutes mes condoléances ?'' Il n'était pas encore, mort, elle en était sûre !
-" Ouais... ", murmura-t-elle entre ses dents, "Merci bien Monsieur. Je vous aller à l'hôpital, je vous donnerais des nouvelles dès que possible".
Elle serra la main du directeur avec force, comme pour faire passer sa colère, sa rage.

Elle partit alors, sautillant, se retenant de courir.
Elle grimpa dans sa voiture et démarra, lançant un petit regard à la prison.
Il fallait qu'elle le rejoigne au plus vite, sinon elle deviendrait vraiment folle.

Elle roulait à toute allure, pire qu'en venant à la prison.
La peur, le stress de le retrouver mort, à la morgue la faisait devenir encore plus dingue si c'était possible.
Elle ne pouvait pas le perdre, pas lui, pas Jane.
C'était Jane, oui. Mais Jane pour elle, c'était tout ! C'était sa vie, sa joie, sa tristesse, son cœur...
Il était entré dans sa vie et n'en était plus ressortit jusqu'à aujourd'hui.
Elle s'en voulait presque de ne pas être aller le voir en prison.

Elle arriva alors à l'hôpital, les larmes aux yeux.
Elle courut jusqu'à l'accueil des urgences, essoufflée demandant la chambre d'un certain Patrick Jane.
Une jeune infirmière revenant d'une chambre lui indiqua celle de Jane.
Lisbon hocha la tête et s'y précipita.
La jeune infirmière sourit d'un air compatissant.
C'était dur d'avoir ce genre de patient, surtout quand ils ont de la famille.

Lisbon s'approcha de la chambre, son cœur tambourinant plus fort à chaque pas qu'elle faisait.
Quand elle se trouva devant la porte, un gardien, de deux mètres de haut la stoppa.
Lisbon lui lança un regard noir et sortit sa carte du C.B.I.

-« C.B.I, agent Lisbon, j'aimerais lui parler, si vous permettez. »
Le gardien fixa la jeune femme de haut, puis regarda la carte.
Il hocha la tête et se décala pour laisser place à la jeune femme.
Lisbon se tourna vers le gardien, lui demandant avec gentillesse, mais assez froidement d'aller ailleurs car elle avait besoin '' d’intimité'' pour questionner le patient sur sa tentative de suicide.
Le gardien, comprit assez vite, la laissa lui disant qu'il reviendrait dans une trentaine de minutes.

Elle entra, d abord hésitante. Et si il avait changer d'avis ?
Et si il ne voulait plus la voir, maintenant ?
Et si il l'a rejetait parce qu'elle n'avait pas répondu à son appel au secours ?
Tant de questions et pas de réponses.
Elle entra, s'approchant doucement du lit du soit disant mort aux dires du directeur de la prison.
Elle aperçu alors le bras de Jane menotté.
Il y a vraiment des fois ou les gardiens abusaient.
Comment Jane pourrait s'enfuir ? vu l'état dans lequel il était...

Plus elle s'approchait, plus son cœur battait.
Elle arriva alors tout prêt du lit, quand Jane ouvrit les yeux.
Un énorme sourire s'afficha sur ses lèvres, mais celles de Lisbon restèrent crispées.
Elle ne souriait pas. Elle ne pouvait pas, c'était encore trop tôt pour elle.
Une larme roula sur sa joue.

«Pas...Pleurer...Lisbon... »Souffla difficilement Jane clignant plusieurs fois des yeux.
Jane la fixait dans les yeux sans qu'elle ne put détacher son regard de celui-ci, mais s'en fut trop pour elle.
Elle lui lança un regard noir, le plus méchant qu'elle pouvait.

Elle leva la main et...

https://the-mentalist.frenchboard.com/t2524p45-adieu-la-vie-bonjour-le-paradis (chapitre 5)

oh bah finalement il est pas mort pour le moment
Pauvre Jane, vraiment, en être rendu à mettre fin à sa vie , mais par chance les médecins arrivent à le sauver, t'as de la chance toi

Et Lisbon n'est pas dans un meilleur état, si elle en oublie les limitations de vitesse, c'est vraiment qu'elle va mal et oui, Jane est toute sa vie, le pire c'est qu'il aura fallut ça pour qu'elle s'en rende compte

Il me tarde de lire la suite, mais prends ton temps pour écrire

OUF, il est vivant!!! :vivement:
C'est bien le style de Jane, ça, sourire alors qu'il a mal
VLS !!!

Jane vivant pour le moment...
Lisbon qui ne respecte pas le code de la route pour son consultant
Reste à voir comment va se passer la visite à l'hôpital

QUOI !? Mais tu peux pas t'arreter comme sa ! " Elle leva la main et ...." Et quoi ?? Oh làlà elle ne lui metterai pas une gifle quand même ? Rha je sais plus quoi penser .

VLS VLS VLS VLS VLS , J'en peux plus

Comme à dit Sweety , Il n'est pas encore tiré d'affaire, le pôvre p'tit
Pour la main vous verrez bien
Merci des coms, ça motive ^^

il est vivant notre jane hate pour la suite

Merci Cassis ^^ Si tu veut je le fait crever, hein...
Edit : Au faite, j'ai mis romance mais je pense qu'il n'y en aura pas beaucoup --
Et aussi cette fic risque de mal se finir alors attention au âmes sensible

Il est vivant... Tu as de la chance, ton exécution est remise à plus tard...

Lisbon qui conduit comme une folle... J'ai bien cru qu'elle allait finir à l'hôpital soit dans une chambre comme patiente, soit à la morgue héhéhééé

Si Lisbon fout une gifle à Jane, je comprendrais parce qu'elle a eu peur, mais bon, le pauvre est déjà mal en point ...

En tout cas tu nous tient en halène avec la fin de ta fic =)

Je patiente pour la suite !

Désole du Dp mais la chapitre cinq vien d'apparaître ^^ Bonne lecture
Petit indice : S'il vous plaît, Pas taper

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Chapitre 5

Mais que croyait-il ?
Qu'elle allait le prendre dans ses bras et rire comme au bon vieux temps ?
Quel idiot il faisait.
Il souffrait, il avait mal, très mal.
Quand il avait vu Lisbon rentrer son bonheur était complet...
Elle était là...

Cette gifle ne lui avait pas fait mal physiquement, mais c'est ce qu'elle révélait qui lui fit mal.
Elle lui en voulait, encore et pour toujours.
Lui aussi s'en voulait, c'est pour cela qu'il avait décidé d'en finir...
Bien sûr, il avait été ramené à la vie mais il avait tellement perdu de sang que son sort n'était pas encore fixé.

Il essaya de se relever sur son oreiller, mais les menottes accrochées à son bras l'en empêchaient.
Il les fixa, essayant de tirer dessus dans l'espoir de les arracher.
Une main se posa alors sur son bras et il releva la tête, s'arrêtant de tirer.

Lisbon le fixait, droit dans les yeux.
Il put y voir de la tristesse, de la haine, du dégoût, tout ce qu'il aurait voulut éviter.
Il baissa lentement les yeux, ne pouvant pas la regarder en face, ça lui faisait mal.
Il ne savait plus quoi penser, il ne s'en voulait pas pour sa tentative, mais pour le mal qu'il lui faisait.

Et maintenant, il fallait qu'il subisse son regard.
Son regard plein de haine et de désespoir.
Une larme trouva refuge au coin de ses yeux.
Il avait été égoïste, il en prenait conscience.
Son acte était vraiment égoïste et il s'en voulait un peu plus à chaque seconde passée avec elle.

Il regarda son bras.
Sa main n'était plus là.
Il releva vivement la tête vers la porte.
Elle était en train de partir, de le laisser seul.
Il aurait voulut lui parler mais il était trop faible.
Elle se tourna vers lui, lui lançant un regard noir... Un regard qu'il n'aimait pas, qu'il trouvait trop triste...
Des larmes perlaient aux yeux de l'ex-consultant.
Pourquoi ? Pourquoi ce regard ?

« Adieu Jane. Ne comptez plus sur moi, vous n'avez pas tenu votre promesse...»

Sur ces mots, elle ferma la porte et partit.
Jane aurait voulut hurler, crier, mais aucun son ne sortait de sa bouche.
Impossible.
Elle ne pouvait pas... Elle ne pouvait pas le laisser seul alors qu'il avait besoin d'elle... pas maintenant, pas aujourd'hui.
Et ce vouvoiement, il l'avait déçue une fois de plus...une fois de trop...c'était donc vraiment la fin.

Il posa sa tête sur l'oreiller, pleurant silencieusement la perte de son amie.
Elle était tout pour lui, sa vie, sa joie, sa tristesse, son cœur...
Tous les jours il la voyait souriante, joyeuse et là, il découvrait Lisbon , sa Lisbon, triste, pleine de haine et de rage, tout ça par sa faute.

Mais alors qu'il était perdu, se noyant dans le désepoir, sa vision se troubla, son cœur s'arrêta brusquement.
Les machines bipèrent les infirmières qui arrivèrent en courant.


Elle était partie.
Elle n'avait pas supporté le sourire de son ex-consultant, son regard si joyeux quand elle était venue et si triste quand elle était partie.
Elle pensait vraiment ce qu'elle avait dit en partant et elle ne le regrettait qu'à peine.

Cette phrase, c'était toute la colère qu'elle ressentait en elle.
Toute la tristesse qu'elle ne pouvait pas exprimer parce que les autres comptaient sur elle.
Tout ce qu'elle avait sur son cœur de jeune femme policière et courageuse.
Elle avait besoin de lâcher sa peine, sa colère, sa haine, sa rage, son désespoir.

Elle n'était pas sur la route du CBI. Elle s'était garée près d'une plage, pleurant encore et encore.
Elle sortit alors de la voiture, séchant ses larmes.
Ses larmes...C'était tout ce qu'il lui restait maintenant qu'il n'était plus dans sa vie.

Elle s'approcha des vagues, puissantes et écumantes.
Elle entra dans l'eau, ce qui lui donna des frissons, l'eau aujourd'hui était si fraîche.
Il n'avait fait que pleuvoir, comme si le ciel avait comprit la douleur de Térésa Lisbon.

Elle ferma les yeux, se laissant bercer par les vagues et elle hurla. Oui, elle hurla.
Elle hurla sa peine, sa rage, sa colère, son désespoir.
Tout ce qu'elle ne pouvait plus garder en elle.
Une larme, une fois de plus, s'échoua sur sa joue.

Il s'était joué d'elle, s'était amusé avec ses sentiments, il se fichait d'elle et de ce qu'elle ressentait.
Ce n'était plus qu'un manipulateur, aux yeux de Lisbon.
Il l'avait charmée avec son sourire, sa voix, son rire...
Et il était partit comme un voleur avec son cœur.
Elle aurait aimé lui foutre son poing dans la figure à ce moment là, mais elle s'était retenue.
Elle était tout de même Térésa Lisbon, la flic du CBI la plus respectueuse des règles !

Elle sortit de l'eau, essoufflée, fatiguée et rentra chez elle se changer.
Elle irait au CBI plus tard, elle avait un projet en tête avant.
Peut-être cela lui ferait du bien...

https://the-mentalist.frenchboard.com/t2524p60-adieu-la-vie-bonjour-le-paradis ( chapitre 6 et 7 )

Ah non !!!! C'est pas possible ! elle peut pas faire ca !!!

Et puis Jane qui fait un arrêt !!
ne le tue pas !!!

J'ai vraiment hate de lire la suite

Merci Ju3993 ^^ Ça me motive

Aller suicide collectif , je dit sa mais Lisbon elle m’énerve elle aurait pas pu simplement l'embrasser et lui dire de ne plus jamais lui faire un coup pareille, bon c'est sure que sa aurait été un peu trop guimauve...bref VLS VLS VLS