Rouge tango ^
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Re: Rouge tango ^
Chapitre lu sur mon tél cet après-midi et je peux enfin te laisser un petit com' (je ne tente même pas d'écrire avec un smartphone, rien ne vaut mon bon PC )
J'aime beaucoup beaucoup et la petite phrase dont tu dis que ça aura de l'importance pour la suite, j'ai eu une idée un peu en premier lieu je t'avoue (mais non mais non je n'ai pas l'esprit mal tourné ) enfin, on verra pour la suite!
Et Jane ne fait jamais rien au hasard, donc je pense que j'ai ma petite idée sur le message
Vivement la suite (et ravie car il y aura plus de chapitres prévus )
J'aime beaucoup beaucoup et la petite phrase dont tu dis que ça aura de l'importance pour la suite, j'ai eu une idée un peu en premier lieu je t'avoue (mais non mais non je n'ai pas l'esprit mal tourné ) enfin, on verra pour la suite!
Et Jane ne fait jamais rien au hasard, donc je pense que j'ai ma petite idée sur le message
Vivement la suite (et ravie car il y aura plus de chapitres prévus )
alamanga- Red John
- Personnage préféré : Cho, Lisbon, Jane. Van Pelt et Rigsby aussi.Abbott, Fischer, Wylie et Vega.
Loisirs : La TV, me balader, visiter...et rêver!
Localisation : Devant mon ordi, sous le soleil exactement!
Re: Rouge tango ^
Cette fic est Whaouw Dios MÍo ! Trop Bien VLs !
MissA.- Agent de circulation
- Personnage préféré : Teresa Lisbon ♥ & Patrick Jane
Loisirs : Regarder The Mentalist , Lire et écrire des Fanfics JISB0N (:
Localisation : Sacramento, CA ♥
Re: Rouge tango ^
super chapitre j'adooooooooooooooooooooooooooooooor
cassis- Distributeur de café
- Personnage préféré : lisbon jane
Loisirs : télé internet
Localisation : bejaia
Re: Rouge tango ^
Je prend mon temps parce que J'AR-TI-CU-LE tous les mots je vis la scène que tu décris, je me plonge dedans, je m'imagine les plans, les postures des personnages, l’environnement, ça prend du temps tout ça mine de rien.
Bref, encore un chapitre du feu de Dieu.
Tu nous laisse comme ça? sans nous dire ce qu'il y a d'écris sur le mot? pffffffffffff
Bref, encore un chapitre du feu de Dieu.
Tu nous laisse comme ça? sans nous dire ce qu'il y a d'écris sur le mot? pffffffffffff
Re: Rouge tango ^
bonsoir les gens! Alors comment allez-vous aujourd'hui? Il fait beau, les petits oiseaux chantent, la Terre tourne autour du soleil..que demander de plus?
Vous vous demandez sans doute d'où me vient cette bonne humeur...eh bien je dois avouer que vos adorables comm y sont pour bcp! Je m'adonne de suite aux remerciements habituels, que vous avez bien mérités!
Merci de votre fidélité, vous êtes ADORABLES!!!
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Chapitre 4 : tension, attention et confession…
A l’intérieur de la grande salle de l’Auditorium, chaque invité avait désormais rejoint sa place. Près de la porte E, en retrait se tenait posté l’agent Cho, stoïque et concentré, occupé à observer la salle. Il avait été rejoint quelques minutes plus tôt par Van Pelt et Rigsby qui s’extasiaient de la beauté des lieux.
« C’est quand même chouette ici, je n’étais jamais entré, chuchota le grand brun.
- C’est vrai, acquiesça Grace. L’orchestre est lui aussi très beau. Qu’en penses-tu Cho ?
- Rien, se contenta de répondre le concerné.
- Au fait, d’autres nouvelles de Jane et Lisbon ? demanda Rigsby, qui arrangeait son oreillette.
- Non, répondit Cho.
- Tu crois vraiment que c‘était une bonne idée de suivre Jane ?
- Non.
- Mais on le fait quand-même ! commenta la rouquine en souriant, comme si cela allait de soi.
- En tout cas, j’ai hâte de voir le patron marcher volontairement sur les pieds de Jane, se moqua gentiment Wayne. Ça va être drôle ! »
Mais alors que Van Pelt laissa échapper un petit rire, Cho demeura quant à lui imperturbable, ce qui commença à agacer un peu son équipier, désarmé devant tant d’impassibilité.
« Bon sang depuis que tu es le boss, tu es encore pire que d’habitude, ironisa Rigsby tandis que son équipier se tourna vers lui pour lui lancer un de ses habituels regards blasés. C’est vrai, tu pourrais te montrer un peu plus expressif, dire ce que tu ressens.
- Pourquoi faire ?
- Eh bien, ce n’est pas tous les jours qu’on effectue notre job dans un si joli cadre, ni même qu’on s’apprête à voir le patron danser avec Jane, ou même…
- Rigsby ? l’interrompit son équipier, toujours immobile et concentré sur la foule.
- Oui ?
- Tu me soûles ! »
Cho avait parlé sans méchanceté, juste de ce ton monocorde qui était le sien : il se tourna alors vers son grand voisin qui l’observait d’un air ahuri.
« Tu m’as demandé d’être expressif et de dire ce que je ressentais, justifia l’agent asiatique en haussant les épaules, comme si cela suffisait.
- Tu voulais savoir, t’as eu la réponse, Wayne, rétorqua Grace amusée de cet échange tellement typique de ses deux collègues.
- Haha, très drôle ! » bougonna le grand brun tandis que Cho esquissa la timide ébauche d’un éventuel petit sourire…Puis il reporta son regard sur l’assistance, notamment sur le Maire qui ne cessait de s’esclaffer depuis un long moment avec ses voisins.
Quand la sonnerie qui annonçait le début de la compétition retentit, l’effervescence s’estompa peu à peu tandis que les lumières commençaient à se tamiser. Des applaudissements retentirent alors pour accueillir le maître de cérémonie qui était apparu sur la scène, devant le rideau qui demeurait obstinément fermé pour l’instant. Soudain, le portable de Cho vibra et l’agent y découvrit un texto de Jane :
« Plan en marche. Rends-toi dans cinq minutes dans la loge n°3. »
Cho montra le message à ses deux collègues auxquels il demanda de rester en faction tandis qu’il rejoindrait les coulisses. Rigsby et Van Pelt firent tous deux une signe vers leurs oreillettes, montrant qu’ils restaient à l’écoute.
« Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, bonsoir et bienvenue à la dix-huitième édition de notre grand concours annuel de danse de salon. Nous avons la chance une fois encore de bénéficier de ce splendide Auditorium qui, grâce à la ténacité et à l’implication de Monsieur le Maire ici présent, demeure toujours aussi fastueux. »
De nouveaux applaudissements s’élevèrent pour saluer le Maire qu’une poursuite se mit à éclairer dans la salle avant de revenir au présentateur.
« Laissez-moi vous présenter les dix membres honorables de notre jury de ce soir, qui auront la délicate mission d’évaluer les artistes… »
Derrière le rideau, pendant que le maître de cérémonie débitait son discours d’accueil, les danseurs participant à la démonstration d’ouverture s’étaient rangés en colonne, prêts à entrer sur scène au moment propice. Parmi eux se trouvait Lisbon, accompagnée de Pierre Dulaine. La jeune femme sentait peser sur ses épaules une pression incommensurable, à la fois à cause de sa future prestation au bras du grand maître mais surtout à cause de la révélation que Jane venait de lui faire dans son message. Peu à peu les rouages du plan du consultant avaient paru plus clairs à la flic expérimentée qu’était Lisbon. Mais pour cela, elle devait offrir à son consultant la diversion nécessaire. Sentant sa partenaire tendue à ses côtés, Pierre Dulaine voulut la rassurer.
« Ne vous laissez pas impressionnée par ma prétendue notoriété. Ici je ne suis plus un célèbre professeur de danse mais votre partenaire de salsa, lui dit-il d’une voix apaisante.
- Cela est plus facile à dire qu’à faire, avoua-t-elle dans un sourire crispé.
- Allons, je suis certain que vous avez connu des situations bien pires que celle-là dans votre métier.
- Pas sûre…, murmura-t-elle en se demandant si finalement elle ne préfèrerait pas courser un dealer dans une rue lugubre.
- Et n’oubliez pas, faites-vous plaisir car le plaisir est…
- …plus important que la performance technique, finit-elle d’un air taquin, en resongeant au sous-entendu que Jane avait fait plus tôt à l’écoute de ce conseil.
- Tout à fait, sans compter que ce serait là une bonne occasion de clouer le bec à votre impossible équipier qui s’amuse à vous mettre dans l’embarras, lui fit remarquer Dulaine. Montrez-lui de quoi vous êtes capable ! »
Ces derniers mots procurèrent à Lisbon un sentiment de défi qu’elle aimerait plus que tout relever : aussi se tourna-t-elle vers son partenaire du moment qui lui tendit la main.
« Et maintenant, place à la salsa… » entendit-elle la voix du présentateur conclure sous un tonnerre d’applaudissements.
Lisbon saisit la main de Dulaine et porta son autre main sur sa hanche droite tandis que les lumières de la scène s’allumaient. Les premières mesures de musique cubaine s’élevèrent de l’orchestre et les danseurs entrèrent en piste en marquant le rythme tout en avançant en alternant les pas. Une fois arrivés à la place convenue, les couples se tournèrent vers le public : les femmes contournèrent leurs partenaires masculins en faisant virevolter leurs robes au son de la salsa. Lisbon connaissait cette chorégraphie par cœur pour l’avoir répétée incessamment avec Jane. La différence était qu’elle évoluait aujourd’hui aux bras du plus prestigieux des mentors. Les figures se succédaient avec fulgurance et très vite Térésa trouva le bon rythme, épaulée par Dulaine qui appréciait de voir sa partenaire totalement absorbée par la magie de la danse.
Un peu en contrebas, dans la salle, deux paires d’yeux totalement incrédules regardaient évoluer la jeune femme à la robe carmin.
« Euh…je rêve ou c’est le patron là sur la droite ? murmura Rigsby, la bouche entrouverte.
- Non, non, tu ne rêves pas, lui confirma la belle rousse à ses côtés, elle aussi plus que surprise du niveau de sa patronne.
- Pffff….eh beh….wahou… !
- Quelle éloquence, dis-moi » le taquina Van Pelt, amusée de voir son équipier sous le choc…et sous le charme !
Rigsby ne répondit pas, trop absorbé par le spectacle qui se jouait sous ses yeux, ne croyant pas ce qu’il voyait. L’agacement laissant la place à l’amusement, Grace lui frappa assez fortement le bras, ce qui eut pour effet de sortir Rigsby de sa transe.
« Eh, si le patron apprend que tu l’a regardée comme s’il s’agissait d’un glace à la vanille, elle te fera muter en Alaska, le réprimanda Van Pelt.
- Mais non, c’est pas ça…ce sont les robes. Ça hypnotise quand ça tourne » tenta maladroitement de se justifier Rigsby qui se frottait le bras où l’avait cogné son équipière.
Celle-ci, dépitée, leva les yeux au ciel en signe d’exaspération puis reporta son attention sur le spectacle aux mille couleurs.
Pendant ce temps là, une autre femme conservait les yeux rivés sur la scène, ou plus précisément sur un couple en particulier qui dominait très largement les autres. Un sentiment de frustration mais aussi de profond malaise s’insinua dans tout son corps quand, au son des notes ensoleillées, elle voyait le grand Pierre Dulaine passionné par la danse qu’il partageait avec son élève à la robe carmin et noire. Chaque figure effectuée, chaque mouvement à la fois précis et tellement gracieux trahissait une ivresse partagée entre les deux partenaires, au parfait diapason. Les regards échangés, la jupe virevoltante, les caresses fugaces entre ces deux corps qui se mouvaient avec tant de distinction au rythme endiablé étaient autant d’insultes insupportables pour la spectatrice impuissante. Elle savait pourtant qu’il ne s’agissait que d’un moment de grâce que les deux danseurs partageaient sans ambiguïté mais elle ne pouvait endurer la connivence que Dulaine semblait avoir tissé avec cette jeune femme à la beauté énigmatique et au talent bien trop dangereux. Et que dire de cette robe ? Pourquoi donc fallait-il que Térésa porte en plus cette robe-là ? Ce vestige d’un passé bien lointain, à jamais hors de portée ? En regardant la jeune danseuse que faisait tournoyer Dulaine, c’était une autre image qui se superposait dans l’esprit de l’inconnue. Aussi ne put-elle demeurer là et éprouva-t-elle un besoin irrépressible de s’éloigner, de réfléchir et peut-être de trouver un moyen de mettre fin à ces tourments incessants qui la pourchassaient.
A vive allure, elle se dirigea vers sa loge, pouvant difficilement contenir les larmes de désarroi qui menaçaient de couler sur son beau visage basané. Quand elle ouvrit la porte pour entrer dans la pièce, cet antre privé où elle pourrait quelques instants tomber le masque, elle était bien trop troublée pour apercevoir la silhouette familière qui se tenait dans le coin opposé de la loge. Ce ne fut qu’en relevant la tête que la femme prit brusquement conscience de la présence de l’intrus. Elle poussa un petit cri de frayeur, accompagné d’un geste de recul.
« Vous ? Que faites-vous là ? s’écria-t-elle d’une voix éraillée mais néanmoins distincte.
- Je pense que vous devinez la raison de ma présence…Anna ! » répondit Jane d’un ton calme.
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Au même moment, sur la scène, la démonstration de salsa arrivait à son terme : les dernières notes permirent aux participants de conclure en beauté, chaque couple finissant sur une figure différente. Malgré une prestation parfaite, Lisbon n’avait guère le cœur léger lorsqu’elle termina, le dos appuyé sur le torse de son partenaire, qui la tenait étroitement enlacée. Le moment de grâce était terminé et la dure réalité revint au galop lorsque les applaudissements retentirent dans la grande salle : de toute évidence le public avait été conquis par ces premiers pas de danse endiablée. Pierre Dulaine libéra Térésa de sa chaste étreinte en lui adressant un sourire radieux avant de se tourner avec elle face à l’assistance qu’ils saluèrent. Lisbon sentit la main de Dulaine serrer un peu plus fortement la sienne pour la féliciter d’avoir été à la hauteur. Mais la jeune femme n’avait guère l’esprit à l’autocongratulation car elle savait que dans quelques instants elle allait devoir blesser cet homme qu’elle estimait grandement. Pour l’instant inconscient du drame qui n’allait pas tarder à se jouer, Pierre se tourna vers ses élèves pour les applaudir, avec toujours à cœur d’encourager ses jeunes recrues.
« Mesdames, Messieurs, s’éleva de nouveau la voix du présentateur, je vous demande d’applaudir bien fort ces jeunes talents qui nous ont ravis, accompagnés ce soir des quatre plus grands prestigieux mentors qui existent à ce jour dans cette discipline. Veuillez faire une ovation pour Madame Martha Keller, de Chicago ! »
Une grande femme blonde, d’un âge certain mais d’une allure sans pareille, s’avança pour saluer le public avant de reculer à sa place initiale.
« Monsieur James Molina, de Boston » poursuivit le maître de cérémonie pendant qu’un individu élégant s’avança à son tour avec de grands gestes ostentatoires.
- Dis-donc, celui-là a l’air d’un prétentieux, murmura Van Pelt, toujours vers la porte E, à son voisin Rigsby qui se contenta d’hausser les épaules
- Monsieur Pierre Dulaine, de Sacramento. »
A l’annonce de son nom, celui-ci se tourna vers Térésa et lui reprit la main pour qu’elle l’accompagne.
« Venez avec moi, ma partenaire salue toujours à mes côtés » justifia-t-il sans laisser à Lisbon le temps de protester. Ils s’avancèrent donc tous deux, très gracieux et reçurent une véritable ovation : de toute évidence, Pierre Dulaine demeurait le plus grand…Malgré sa gêne d’être une fois encore sous les projecteurs, Lisbon ne put qu’esquisser un sourire en pensant à la noblesse d’âme de cet homme qui fut le seul enseignant à demander à sa partenaire de partager cet instant de reconnaissance publique, sans vouloir conserver toute la gloire pour lui. Après une jolie révérence, la jeune femme à la robe carmin aperçut sur le flanc droit de la salle, près de la porte, ses deux agents l’applaudir et la siffler avec enthousiasme. Ses joues ne tardèrent pas à virer au rouge : heureusement que Jane n’étais pas dans les parages, car il n’aurait pas fini de la taquiner à ce sujet ! Repenser à son consultant détruisit la magie de l’instant et l’apprentie artiste retrouva un air grave lorsqu’elle recula pour laisser la place aux deux derniers professeurs présentés.
Après quelques minutes de commentaires pompeux pour faire l’éloge des quatre grands maîtres, le présentateur libéra les danseurs et les invita à rejoindre les coulisses afin que puisse débuter les épreuves du concours. Lisbon sortit avec les autres participants et fut bientôt rejointe par Dulaine, à peine essoufflé et tout sourire.
« Bravo Térésa, vous avez été PARFAITE ! s’exclama-t-il d’un air enjoué, quasi paternel. Je vous remercie de m’avoir octroyé l’une des plus belles salsas de ma carrière. »
La jeune femme hocha légèrement la tête, esquivant le plus possible les compliments.
« J’ai vraiment hâte de vous voir tout à l’heure danser le fameux tango avec Patrick, en deuxième partie de soirée.
- Je ne crois pas que cela se fera, Monsieur, dit-elle d’un air navré, sachant qu’elle allait devoir aborder à présent un sujet glissant.
- Allons ne me dîtes pas que vous allez faire votre tête de mule à votre tour, la taquina-t-il en secouant la tête, et tenter de rendre à Patrick la monnaie de…
- Monsieur Dulaine, le coupa-t-elle en levant sa main pour lui demander de l’écouter. Je vais devoir vous demander de venir avec moi. Il y a quelque chose dont nous devons parler.
- Quoi, maintenant ? fit-il surpris. Mais je ne peux pas partir, la seconde candidate est une de mes élèves.
- Je comprends l’importance de cette soirée pour vous, malheureusement il y a plus grave, croyez-moi.
- Mais…
- Pierre, s’il vous plait… »
Dulaine ancra son regard dans les yeux navrés mais déterminés de sa jeune partenaire qui osa pour la première fois l’appeler par son prénom. Ce simple fait suffit à plonger le pauvre homme dans un état d’inquiétude grandissante. En arrière-fond, ils pouvaient entendre la musique d’un mambo qui leur semblait néanmoins bien lointain…
A suivre..
Vous vous demandez sans doute d'où me vient cette bonne humeur...eh bien je dois avouer que vos adorables comm y sont pour bcp! Je m'adonne de suite aux remerciements habituels, que vous avez bien mérités!
- Spoiler:
- Jiisbon: hihi; je me disais bien que tu allais fondre une durite à force de te creuser les méninges pour découvrir la suite..aussi dans ma grande clémence, j'ai bien sûr posté!! (bon alors petite info, il est très rare que je poste après 22h heure française , donc la prochaine fois tu n'auras pas attendre jusqu'à 2h du mat en vain ). Alors pour ce qui est du Dulaine, non je n'ai pas voulu faire de lui un "charmeur", juste un homme charmant... J'ai sans doute loupé qch dans l'écriture si tu l'a perçu comme un Don Juan car je peux t'assurer que c'est nullement le cas.
quant au mot de Jane, nous ne le découvrirons que dans 2 chapitres...mais tu auras le fin mot, promis! Bisous à toi (la suite arrive vite )
JA: alors ma chère, Jiisbon t'a fait tourner en bourrique on dirait!
Oui je voulais que Lisbon puisse aussi se venger un peu de son impossible consultant, en le mouchant elle le remet un peu en place!
Bon j'ai vraiment loupé mon coup avec Dulaine..car ce n'est pas du tout un cavaleur dans mon esprit, juste un homme aux manières un brin précieuses! C'est d'ailleurs Jane qui retourne la situation en "poussant" Lisbon dans les bras de Pierre ( Enfin, pour la danse hein... ) mais ça fait partie du plan! Vous ne croyiez quand même pas qu'on allait voir Jane danser avec Lisbon tout de suite hein?? où serait la surprise sinon?
Sinon je suis contente que tu aies aimé la scène du baisemain, je voulais disséminer au milieu de cette "cohue" et pagaille que crée svt Jane des petits moments brefs mais tendres (la rose, le baisement et il y en aura une autre similaire). merci d'être tjs là.
Peanut: j'ai entendu ton VRAIMENT et je ne vous ferai pas mijoter longtemps..merci à toi.
Sweety: même tes comm "courts" sont un régal ma chère... Je serai curieuse de connaitre ton idée quant au coupable et au mobile (dis-le moi en MP si tu as le temps..car la solution arrive bientôt... ). cela dit, je suis archi-nulle en écriture d'enquête (voilà pourquoi je ne m'y adonne jamais), même ici j'ai tronqué l'investigation puisque mon histoire se trouve essentiellement à l'issue de l'affaire...donc il est fort possible que vous voyez arriver la solution à des kilomètres :pas_poss: Bisous la miss et merci
gabicoon: tout à fait, Jane n'agit jamais sans raison..je pense qu'à la lumière des chapitres suivants, vous verrez que chaque geste et chaque mot étaient soigneusement pesés (du moins j'ai essayé :pas_poss: ). Ne t'excuse nullement, ce n'est pas la longueur du comm qui me fait plaisir mais le message en lui même et surtout le fait que tu aies pris le temps de commenter! Merci à toi
Johel: oui, en écrivant le 1er conseil que Dulaine fait à la jeune Miranda au sujet du plaisir et de la technique, j'imaginais totalement l'air narquois du mentaliste..
c'est vrai que ce n'est pas tout à fait dans le style du perso, mais bon...on s'accorde qqk petites entorses dans les fanfics! (et si Bruno n'est pas content je l'enferme dans une cellule avec la- Spoiler:
- dingue qui animait le cours d'accouchement de Sara et Wayne
Mme Dulaine, coupable? Tiens, je n'y avais pas pensé...
pour le message de Jane, promis vous aurez les réponse!
bisous ma Johel
alamanga: toi l'esprit mal tourné?? Je ne vois pas du tout ce qui a pu te donner de telles idées dans le sous-entendu de Jane???
alors c'est marrant car tout le monde y av de ses spéculations (je comprends le plaisir que doit éprouver Bruno en voyant les fans monter des scenarri tous plus alambiqués les uns que les autres alors que lui a les réponses..mode sadique ON!! "
MissA: merci à toi la miss...au fait, j'ai demandé à une amie qui parle l'espagnol, elle m'a bien confirmée qu'on disait "buena suerte! ouf, suis soulagée. biz à toi
cassis: merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii à toi miss RDV pour la suite j'espère
voilà: ma chère voilà, si tu savais ce que tu me fais plaisir en disant que tu vis les scènes que je décris, j'ose croire que finalement j'arrive à peu près à rendre les passages vivants et réalistes!
donc je t'en pries, prends le temps qu'il te faut
eh oui, j'ai osé vous laisser comme ça..mais la suite arrive, t'es plus fâchée!! à toute!
Donc comme promis, je vous poste le chapitre 4, j'ai aimé l'écrire celui-là aussi, surtout le début nous retrouvons notre équipe, et notamment le duo Cho/Rigsby
Merci de votre fidélité, vous êtes ADORABLES!!!
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Chapitre 4 : tension, attention et confession…
A l’intérieur de la grande salle de l’Auditorium, chaque invité avait désormais rejoint sa place. Près de la porte E, en retrait se tenait posté l’agent Cho, stoïque et concentré, occupé à observer la salle. Il avait été rejoint quelques minutes plus tôt par Van Pelt et Rigsby qui s’extasiaient de la beauté des lieux.
« C’est quand même chouette ici, je n’étais jamais entré, chuchota le grand brun.
- C’est vrai, acquiesça Grace. L’orchestre est lui aussi très beau. Qu’en penses-tu Cho ?
- Rien, se contenta de répondre le concerné.
- Au fait, d’autres nouvelles de Jane et Lisbon ? demanda Rigsby, qui arrangeait son oreillette.
- Non, répondit Cho.
- Tu crois vraiment que c‘était une bonne idée de suivre Jane ?
- Non.
- Mais on le fait quand-même ! commenta la rouquine en souriant, comme si cela allait de soi.
- En tout cas, j’ai hâte de voir le patron marcher volontairement sur les pieds de Jane, se moqua gentiment Wayne. Ça va être drôle ! »
Mais alors que Van Pelt laissa échapper un petit rire, Cho demeura quant à lui imperturbable, ce qui commença à agacer un peu son équipier, désarmé devant tant d’impassibilité.
« Bon sang depuis que tu es le boss, tu es encore pire que d’habitude, ironisa Rigsby tandis que son équipier se tourna vers lui pour lui lancer un de ses habituels regards blasés. C’est vrai, tu pourrais te montrer un peu plus expressif, dire ce que tu ressens.
- Pourquoi faire ?
- Eh bien, ce n’est pas tous les jours qu’on effectue notre job dans un si joli cadre, ni même qu’on s’apprête à voir le patron danser avec Jane, ou même…
- Rigsby ? l’interrompit son équipier, toujours immobile et concentré sur la foule.
- Oui ?
- Tu me soûles ! »
Cho avait parlé sans méchanceté, juste de ce ton monocorde qui était le sien : il se tourna alors vers son grand voisin qui l’observait d’un air ahuri.
« Tu m’as demandé d’être expressif et de dire ce que je ressentais, justifia l’agent asiatique en haussant les épaules, comme si cela suffisait.
- Tu voulais savoir, t’as eu la réponse, Wayne, rétorqua Grace amusée de cet échange tellement typique de ses deux collègues.
- Haha, très drôle ! » bougonna le grand brun tandis que Cho esquissa la timide ébauche d’un éventuel petit sourire…Puis il reporta son regard sur l’assistance, notamment sur le Maire qui ne cessait de s’esclaffer depuis un long moment avec ses voisins.
Quand la sonnerie qui annonçait le début de la compétition retentit, l’effervescence s’estompa peu à peu tandis que les lumières commençaient à se tamiser. Des applaudissements retentirent alors pour accueillir le maître de cérémonie qui était apparu sur la scène, devant le rideau qui demeurait obstinément fermé pour l’instant. Soudain, le portable de Cho vibra et l’agent y découvrit un texto de Jane :
« Plan en marche. Rends-toi dans cinq minutes dans la loge n°3. »
Cho montra le message à ses deux collègues auxquels il demanda de rester en faction tandis qu’il rejoindrait les coulisses. Rigsby et Van Pelt firent tous deux une signe vers leurs oreillettes, montrant qu’ils restaient à l’écoute.
« Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, bonsoir et bienvenue à la dix-huitième édition de notre grand concours annuel de danse de salon. Nous avons la chance une fois encore de bénéficier de ce splendide Auditorium qui, grâce à la ténacité et à l’implication de Monsieur le Maire ici présent, demeure toujours aussi fastueux. »
De nouveaux applaudissements s’élevèrent pour saluer le Maire qu’une poursuite se mit à éclairer dans la salle avant de revenir au présentateur.
« Laissez-moi vous présenter les dix membres honorables de notre jury de ce soir, qui auront la délicate mission d’évaluer les artistes… »
Derrière le rideau, pendant que le maître de cérémonie débitait son discours d’accueil, les danseurs participant à la démonstration d’ouverture s’étaient rangés en colonne, prêts à entrer sur scène au moment propice. Parmi eux se trouvait Lisbon, accompagnée de Pierre Dulaine. La jeune femme sentait peser sur ses épaules une pression incommensurable, à la fois à cause de sa future prestation au bras du grand maître mais surtout à cause de la révélation que Jane venait de lui faire dans son message. Peu à peu les rouages du plan du consultant avaient paru plus clairs à la flic expérimentée qu’était Lisbon. Mais pour cela, elle devait offrir à son consultant la diversion nécessaire. Sentant sa partenaire tendue à ses côtés, Pierre Dulaine voulut la rassurer.
« Ne vous laissez pas impressionnée par ma prétendue notoriété. Ici je ne suis plus un célèbre professeur de danse mais votre partenaire de salsa, lui dit-il d’une voix apaisante.
- Cela est plus facile à dire qu’à faire, avoua-t-elle dans un sourire crispé.
- Allons, je suis certain que vous avez connu des situations bien pires que celle-là dans votre métier.
- Pas sûre…, murmura-t-elle en se demandant si finalement elle ne préfèrerait pas courser un dealer dans une rue lugubre.
- Et n’oubliez pas, faites-vous plaisir car le plaisir est…
- …plus important que la performance technique, finit-elle d’un air taquin, en resongeant au sous-entendu que Jane avait fait plus tôt à l’écoute de ce conseil.
- Tout à fait, sans compter que ce serait là une bonne occasion de clouer le bec à votre impossible équipier qui s’amuse à vous mettre dans l’embarras, lui fit remarquer Dulaine. Montrez-lui de quoi vous êtes capable ! »
Ces derniers mots procurèrent à Lisbon un sentiment de défi qu’elle aimerait plus que tout relever : aussi se tourna-t-elle vers son partenaire du moment qui lui tendit la main.
« Et maintenant, place à la salsa… » entendit-elle la voix du présentateur conclure sous un tonnerre d’applaudissements.
Lisbon saisit la main de Dulaine et porta son autre main sur sa hanche droite tandis que les lumières de la scène s’allumaient. Les premières mesures de musique cubaine s’élevèrent de l’orchestre et les danseurs entrèrent en piste en marquant le rythme tout en avançant en alternant les pas. Une fois arrivés à la place convenue, les couples se tournèrent vers le public : les femmes contournèrent leurs partenaires masculins en faisant virevolter leurs robes au son de la salsa. Lisbon connaissait cette chorégraphie par cœur pour l’avoir répétée incessamment avec Jane. La différence était qu’elle évoluait aujourd’hui aux bras du plus prestigieux des mentors. Les figures se succédaient avec fulgurance et très vite Térésa trouva le bon rythme, épaulée par Dulaine qui appréciait de voir sa partenaire totalement absorbée par la magie de la danse.
Un peu en contrebas, dans la salle, deux paires d’yeux totalement incrédules regardaient évoluer la jeune femme à la robe carmin.
« Euh…je rêve ou c’est le patron là sur la droite ? murmura Rigsby, la bouche entrouverte.
- Non, non, tu ne rêves pas, lui confirma la belle rousse à ses côtés, elle aussi plus que surprise du niveau de sa patronne.
- Pffff….eh beh….wahou… !
- Quelle éloquence, dis-moi » le taquina Van Pelt, amusée de voir son équipier sous le choc…et sous le charme !
Rigsby ne répondit pas, trop absorbé par le spectacle qui se jouait sous ses yeux, ne croyant pas ce qu’il voyait. L’agacement laissant la place à l’amusement, Grace lui frappa assez fortement le bras, ce qui eut pour effet de sortir Rigsby de sa transe.
« Eh, si le patron apprend que tu l’a regardée comme s’il s’agissait d’un glace à la vanille, elle te fera muter en Alaska, le réprimanda Van Pelt.
- Mais non, c’est pas ça…ce sont les robes. Ça hypnotise quand ça tourne » tenta maladroitement de se justifier Rigsby qui se frottait le bras où l’avait cogné son équipière.
Celle-ci, dépitée, leva les yeux au ciel en signe d’exaspération puis reporta son attention sur le spectacle aux mille couleurs.
Pendant ce temps là, une autre femme conservait les yeux rivés sur la scène, ou plus précisément sur un couple en particulier qui dominait très largement les autres. Un sentiment de frustration mais aussi de profond malaise s’insinua dans tout son corps quand, au son des notes ensoleillées, elle voyait le grand Pierre Dulaine passionné par la danse qu’il partageait avec son élève à la robe carmin et noire. Chaque figure effectuée, chaque mouvement à la fois précis et tellement gracieux trahissait une ivresse partagée entre les deux partenaires, au parfait diapason. Les regards échangés, la jupe virevoltante, les caresses fugaces entre ces deux corps qui se mouvaient avec tant de distinction au rythme endiablé étaient autant d’insultes insupportables pour la spectatrice impuissante. Elle savait pourtant qu’il ne s’agissait que d’un moment de grâce que les deux danseurs partageaient sans ambiguïté mais elle ne pouvait endurer la connivence que Dulaine semblait avoir tissé avec cette jeune femme à la beauté énigmatique et au talent bien trop dangereux. Et que dire de cette robe ? Pourquoi donc fallait-il que Térésa porte en plus cette robe-là ? Ce vestige d’un passé bien lointain, à jamais hors de portée ? En regardant la jeune danseuse que faisait tournoyer Dulaine, c’était une autre image qui se superposait dans l’esprit de l’inconnue. Aussi ne put-elle demeurer là et éprouva-t-elle un besoin irrépressible de s’éloigner, de réfléchir et peut-être de trouver un moyen de mettre fin à ces tourments incessants qui la pourchassaient.
A vive allure, elle se dirigea vers sa loge, pouvant difficilement contenir les larmes de désarroi qui menaçaient de couler sur son beau visage basané. Quand elle ouvrit la porte pour entrer dans la pièce, cet antre privé où elle pourrait quelques instants tomber le masque, elle était bien trop troublée pour apercevoir la silhouette familière qui se tenait dans le coin opposé de la loge. Ce ne fut qu’en relevant la tête que la femme prit brusquement conscience de la présence de l’intrus. Elle poussa un petit cri de frayeur, accompagné d’un geste de recul.
« Vous ? Que faites-vous là ? s’écria-t-elle d’une voix éraillée mais néanmoins distincte.
- Je pense que vous devinez la raison de ma présence…Anna ! » répondit Jane d’un ton calme.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Au même moment, sur la scène, la démonstration de salsa arrivait à son terme : les dernières notes permirent aux participants de conclure en beauté, chaque couple finissant sur une figure différente. Malgré une prestation parfaite, Lisbon n’avait guère le cœur léger lorsqu’elle termina, le dos appuyé sur le torse de son partenaire, qui la tenait étroitement enlacée. Le moment de grâce était terminé et la dure réalité revint au galop lorsque les applaudissements retentirent dans la grande salle : de toute évidence le public avait été conquis par ces premiers pas de danse endiablée. Pierre Dulaine libéra Térésa de sa chaste étreinte en lui adressant un sourire radieux avant de se tourner avec elle face à l’assistance qu’ils saluèrent. Lisbon sentit la main de Dulaine serrer un peu plus fortement la sienne pour la féliciter d’avoir été à la hauteur. Mais la jeune femme n’avait guère l’esprit à l’autocongratulation car elle savait que dans quelques instants elle allait devoir blesser cet homme qu’elle estimait grandement. Pour l’instant inconscient du drame qui n’allait pas tarder à se jouer, Pierre se tourna vers ses élèves pour les applaudir, avec toujours à cœur d’encourager ses jeunes recrues.
« Mesdames, Messieurs, s’éleva de nouveau la voix du présentateur, je vous demande d’applaudir bien fort ces jeunes talents qui nous ont ravis, accompagnés ce soir des quatre plus grands prestigieux mentors qui existent à ce jour dans cette discipline. Veuillez faire une ovation pour Madame Martha Keller, de Chicago ! »
Une grande femme blonde, d’un âge certain mais d’une allure sans pareille, s’avança pour saluer le public avant de reculer à sa place initiale.
« Monsieur James Molina, de Boston » poursuivit le maître de cérémonie pendant qu’un individu élégant s’avança à son tour avec de grands gestes ostentatoires.
- Dis-donc, celui-là a l’air d’un prétentieux, murmura Van Pelt, toujours vers la porte E, à son voisin Rigsby qui se contenta d’hausser les épaules
- Monsieur Pierre Dulaine, de Sacramento. »
A l’annonce de son nom, celui-ci se tourna vers Térésa et lui reprit la main pour qu’elle l’accompagne.
« Venez avec moi, ma partenaire salue toujours à mes côtés » justifia-t-il sans laisser à Lisbon le temps de protester. Ils s’avancèrent donc tous deux, très gracieux et reçurent une véritable ovation : de toute évidence, Pierre Dulaine demeurait le plus grand…Malgré sa gêne d’être une fois encore sous les projecteurs, Lisbon ne put qu’esquisser un sourire en pensant à la noblesse d’âme de cet homme qui fut le seul enseignant à demander à sa partenaire de partager cet instant de reconnaissance publique, sans vouloir conserver toute la gloire pour lui. Après une jolie révérence, la jeune femme à la robe carmin aperçut sur le flanc droit de la salle, près de la porte, ses deux agents l’applaudir et la siffler avec enthousiasme. Ses joues ne tardèrent pas à virer au rouge : heureusement que Jane n’étais pas dans les parages, car il n’aurait pas fini de la taquiner à ce sujet ! Repenser à son consultant détruisit la magie de l’instant et l’apprentie artiste retrouva un air grave lorsqu’elle recula pour laisser la place aux deux derniers professeurs présentés.
Après quelques minutes de commentaires pompeux pour faire l’éloge des quatre grands maîtres, le présentateur libéra les danseurs et les invita à rejoindre les coulisses afin que puisse débuter les épreuves du concours. Lisbon sortit avec les autres participants et fut bientôt rejointe par Dulaine, à peine essoufflé et tout sourire.
« Bravo Térésa, vous avez été PARFAITE ! s’exclama-t-il d’un air enjoué, quasi paternel. Je vous remercie de m’avoir octroyé l’une des plus belles salsas de ma carrière. »
La jeune femme hocha légèrement la tête, esquivant le plus possible les compliments.
« J’ai vraiment hâte de vous voir tout à l’heure danser le fameux tango avec Patrick, en deuxième partie de soirée.
- Je ne crois pas que cela se fera, Monsieur, dit-elle d’un air navré, sachant qu’elle allait devoir aborder à présent un sujet glissant.
- Allons ne me dîtes pas que vous allez faire votre tête de mule à votre tour, la taquina-t-il en secouant la tête, et tenter de rendre à Patrick la monnaie de…
- Monsieur Dulaine, le coupa-t-elle en levant sa main pour lui demander de l’écouter. Je vais devoir vous demander de venir avec moi. Il y a quelque chose dont nous devons parler.
- Quoi, maintenant ? fit-il surpris. Mais je ne peux pas partir, la seconde candidate est une de mes élèves.
- Je comprends l’importance de cette soirée pour vous, malheureusement il y a plus grave, croyez-moi.
- Mais…
- Pierre, s’il vous plait… »
Dulaine ancra son regard dans les yeux navrés mais déterminés de sa jeune partenaire qui osa pour la première fois l’appeler par son prénom. Ce simple fait suffit à plonger le pauvre homme dans un état d’inquiétude grandissante. En arrière-fond, ils pouvaient entendre la musique d’un mambo qui leur semblait néanmoins bien lointain…
A suivre..
Calypsoh- Inspecteur de police
- Personnage préféré : alors ça c'est dur: j'aime les gamineries de Jane, la loyauté de Lisbon; le flegme de Cho; l'humour de Rigsby et la douceur de Van Pelt!!!
Localisation : à côté de Bruno Heller pour lui tenir la main lors de la rédaction des prochains épisodes!!
Re: Rouge tango ^
Roooh ! l'échange Rigsby / Cho...tellement juste, j'imagine facilement la scène
Que dire de cette réplique de Van Pelt, toujours à Rigsby quand il regarde Lisbon danser
Plus l'histoire avance plus je me dis qu'Anna semble la coupable idéale, surtout avec Jane qui la rejointe
J'ai bien peur que ce pauvre Pierre Dulaine ne soit désagréablement surpris...sauf si je me trompe...
On va avoir droit au tango endiablé où pas
pour cette histoire
Que dire de cette réplique de Van Pelt, toujours à Rigsby quand il regarde Lisbon danser
« Eh, si le patron apprend que tu l’a regardée comme s’il s’agissait d’un glace à la vanille, elle te fera muter en Alaska, le réprimanda Van Pelt.
Plus l'histoire avance plus je me dis qu'Anna semble la coupable idéale, surtout avec Jane qui la rejointe
J'ai bien peur que ce pauvre Pierre Dulaine ne soit désagréablement surpris...sauf si je me trompe...
On va avoir droit au tango endiablé où pas
pour cette histoire
Johel- In Jane we trust
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Re: Rouge tango ^
Johel a écrit:Roooh ! l'échange Rigsby / Cho...tellement juste, j'imagine facilement la scène
Que dire de cette réplique de Van Pelt, toujours à Rigsby quand il regarde Lisbon danser« Eh, si le patron apprend que tu l’a regardée comme s’il s’agissait d’un glace à la vanille, elle te fera muter en Alaska, le réprimanda Van Pelt.
Plus l'histoire avance plus je me dis qu'Anna semble la coupable idéale, surtout avec Jane qui la rejointe
J'ai bien peur que ce pauvre Pierre Dulaine ne soit désagréablement surpris...sauf si je me trompe...
On va avoir droit au tango endiablé où pas
pour cette histoire
je ne suis pas chez moi et je dispose donc d'une connexion internet très limitée (déjà très entamé par la lecture )
c'est pourquoi je me contente de plussyer le commentaire de Johel
vivement la suite
Jiisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Lisbon & Jane
Localisation : N'importe où, tant que qu'il y a du soleil
Re: Rouge tango ^
Encore un chapitre... EXTRA
« Bon sang depuis que tu es le boss, tu es encore pire que d’habitude, ironisa Rigsby tandis que son équipier se tourna vers lui pour lui lancer un de ses habituels regards blasés. C’est vrai, tu pourrais te montrer un peu plus expressif, dire ce que tu ressens.
- Pourquoi faire ?
- Eh bien, ce n’est pas tous les jours qu’on effectue notre job dans un si joli cadre, ni même qu’on s’apprête à voir le patron danser avec Jane, ou même…
- Rigsby ? l’interrompit son équipier, toujours immobile et concentré sur la foule.
- Oui ?
- Tu me soûles ! »
Cho avait parlé sans méchanceté, juste de ce ton monocorde qui était le sien : il se tourna alors vers son grand voisin qui l’observait d’un air ahuri.
« Tu m’as demandé d’être expressif et de dire ce que je ressentais, justifia l’agent asiatique en haussant les épaules, comme si cela suffisait.
- Tu voulais savoir, t’as eu la réponse, Wayne, rétorqua Grace amusée de cet échange tellement typique de ses deux collègues.
- Haha, très drôle ! »
Oui, très très drôle !!!
J'étais vraiment plié de rire en lisant cette réplique Sacré Cho qui ne recule devant rien
Trop excellent !! J'adore !!!
J'aime bien la conversation de Dulaine et Lisbon alors qu'il essaye de la mettre à l'aise alors qu'ils sont à deux doigts de se présenter devant l'assemblée de "bourgeois radin" comme dirait Jane Mais Lisbon a raison : "Facile à dire qu'à faire"
« Euh…je rêve ou c’est le patron là sur la droite ? murmura Rigsby, la bouche entrouverte.
- Non, non, tu ne rêves pas, lui confirma la belle rousse à ses côtés, elle aussi plus que surprise du niveau de sa patronne.
- Pffff….eh beh….wahou… !
- Quelle éloquence, dis-moi » le taquina Van Pelt, amusée de voir son équipier sous le choc…et sous le charme !
« Eh, si le patron apprend que tu l’a regardée comme s’il s’agissait d’un glace à la vanille, elle te fera muter en Alaska, le réprimanda Van Pelt.
- Mais non, c’est pas ça…ce sont les robes. Ça hypnotise quand ça tourne »
Ces deux répliques m'ont fait rire J'imagine trop la tête de Rigsby en voyant sa patronne en train de danser comme ça, direct après ( ) Trop excellent
Comme Johel, il me semble aussi qu'Anna est un suspect potentiel voir le suspect idéal de plus, en voyant sa réaction lorsqu'elle voit Lisbon danser avec son mari, ça l'a mit dans un tel état. Puis j'imagine le choc que risque d'avoir Pierre Dulaine quand il va apprendre la nouvelle...
On aura le droit à notre fameux tango ou pas ?? Je ne cache que je l'espère de tout coeur qu'on l'aura
Please please please, faites que Caly nous livre le fameux et torride tango Jane/Lisbon
et pour ce chapitre !!
VLS VLS VLS
« Bon sang depuis que tu es le boss, tu es encore pire que d’habitude, ironisa Rigsby tandis que son équipier se tourna vers lui pour lui lancer un de ses habituels regards blasés. C’est vrai, tu pourrais te montrer un peu plus expressif, dire ce que tu ressens.
- Pourquoi faire ?
- Eh bien, ce n’est pas tous les jours qu’on effectue notre job dans un si joli cadre, ni même qu’on s’apprête à voir le patron danser avec Jane, ou même…
- Rigsby ? l’interrompit son équipier, toujours immobile et concentré sur la foule.
- Oui ?
- Tu me soûles ! »
Cho avait parlé sans méchanceté, juste de ce ton monocorde qui était le sien : il se tourna alors vers son grand voisin qui l’observait d’un air ahuri.
« Tu m’as demandé d’être expressif et de dire ce que je ressentais, justifia l’agent asiatique en haussant les épaules, comme si cela suffisait.
- Tu voulais savoir, t’as eu la réponse, Wayne, rétorqua Grace amusée de cet échange tellement typique de ses deux collègues.
- Haha, très drôle ! »
Oui, très très drôle !!!
J'étais vraiment plié de rire en lisant cette réplique Sacré Cho qui ne recule devant rien
Trop excellent !! J'adore !!!
J'aime bien la conversation de Dulaine et Lisbon alors qu'il essaye de la mettre à l'aise alors qu'ils sont à deux doigts de se présenter devant l'assemblée de "bourgeois radin" comme dirait Jane Mais Lisbon a raison : "Facile à dire qu'à faire"
« Euh…je rêve ou c’est le patron là sur la droite ? murmura Rigsby, la bouche entrouverte.
- Non, non, tu ne rêves pas, lui confirma la belle rousse à ses côtés, elle aussi plus que surprise du niveau de sa patronne.
- Pffff….eh beh….wahou… !
- Quelle éloquence, dis-moi » le taquina Van Pelt, amusée de voir son équipier sous le choc…et sous le charme !
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« Eh, si le patron apprend que tu l’a regardée comme s’il s’agissait d’un glace à la vanille, elle te fera muter en Alaska, le réprimanda Van Pelt.
- Mais non, c’est pas ça…ce sont les robes. Ça hypnotise quand ça tourne »
Ces deux répliques m'ont fait rire J'imagine trop la tête de Rigsby en voyant sa patronne en train de danser comme ça, direct après ( ) Trop excellent
Comme Johel, il me semble aussi qu'Anna est un suspect potentiel voir le suspect idéal de plus, en voyant sa réaction lorsqu'elle voit Lisbon danser avec son mari, ça l'a mit dans un tel état. Puis j'imagine le choc que risque d'avoir Pierre Dulaine quand il va apprendre la nouvelle...
On aura le droit à notre fameux tango ou pas ?? Je ne cache que je l'espère de tout coeur qu'on l'aura
Please please please, faites que Caly nous livre le fameux et torride tango Jane/Lisbon
et pour ce chapitre !!
VLS VLS VLS
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Rouge tango ^
Alors j'ai VRAIMENT () aimé ce chapitre. Comme Johel, je me dis que Anna est la coupable au fur et à mesure que le chapitre avance mais quelque part je me dis aussi que c'est trop simple, trop... évident et je sais pas pourquoi.
J'ai adoré le fait que Cho rembarre Rigsby avec son "tu me saoûles"
J'ai aussi aimé Rigsby qui trouve une excuse bidon comme le fait d'être hyptnotisé par les robes quand elles tournent...
Et pis la description de la dance et tout, j'ai VRAIMENT (again) l'impression d'y être.
Merci pour ce chapitre, vivement le prochain ^^
J'ai adoré le fait que Cho rembarre Rigsby avec son "tu me saoûles"
J'ai aussi aimé Rigsby qui trouve une excuse bidon comme le fait d'être hyptnotisé par les robes quand elles tournent...
Et pis la description de la dance et tout, j'ai VRAIMENT (again) l'impression d'y être.
Merci pour ce chapitre, vivement le prochain ^^
Re: Rouge tango ^
Encore un SUPER chapitre!!!
J'ai adoré, entre la discussion typique Cho-Rigsby, la superbe danse (qui est d'ailleurs très bien décrite) entre Lisbon et Dulaine, Rigsby ébahi... Bref, que du bonheur en concentré!
Mais... là les choses se gatent... VLS !!!!!!
J'ai adoré, entre la discussion typique Cho-Rigsby, la superbe danse (qui est d'ailleurs très bien décrite) entre Lisbon et Dulaine, Rigsby ébahi... Bref, que du bonheur en concentré!
Mais... là les choses se gatent... VLS !!!!!!
gabicoon- Distributeur de café
- Personnage préféré : Jane
Localisation : France, Gironde (33)
Re: Rouge tango ^
EXTRA chapitre j'ai adoré l'intensité que tu a mis en décrivant la danse de lisbon et son professeur c'été so
cho qui rembard rigsby bien trouvé mais ce sera pour notre chére professeur
encor vivment la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
cho qui rembard rigsby bien trouvé mais ce sera pour notre chére professeur
encor vivment la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
cassis- Distributeur de café
- Personnage préféré : lisbon jane
Loisirs : télé internet
Localisation : bejaia
Re: Rouge tango ^
Whaouw Lisbon qui Gére parfaitement en Danse ! J'espere qu'il y aura quand même le tango avec Jane
VLS VLS !!
VLS VLS !!
MissA.- Agent de circulation
- Personnage préféré : Teresa Lisbon ♥ & Patrick Jane
Loisirs : Regarder The Mentalist , Lire et écrire des Fanfics JISB0N (:
Localisation : Sacramento, CA ♥
Re: Rouge tango ^
Je n'ai que 2 mots: LA SUITE
alamanga- Red John
- Personnage préféré : Cho, Lisbon, Jane. Van Pelt et Rigsby aussi.Abbott, Fischer, Wylie et Vega.
Loisirs : La TV, me balader, visiter...et rêver!
Localisation : Devant mon ordi, sous le soleil exactement!
Re: Rouge tango ^
bon, là je suis vraiment en retard pour commenter
Comme la fois d'avant, un petit com car tout a déjà été dit
Encore un superbe chapitre tout y est si bien décrit que j'avais vraiment l'impression de voir notre Lisbon évoluer sur la scène, dansant en rythme avec Dulaine, c'était magnifique , même si comme les autres, j'aimerais vraiment la voir, ou la lire , danser avec Jane, après tout, ils se sont entrainés dur pour ça
J'adore la réaction de Rigsby en voyant sa patronne danser, la réplique de Van Pelt, mais ce que j'ai le plus particulièrement aimé c'est le moment Cho/Rigsby, c'était tordant , Cho égale à lui-même quelle que soit la situation
Et la fin je sens que ça va être un moment difficile pour notre cher Dulaine, mais il ne sera pas seul pour affronter tout ça, Lisbon sera avec lui pour le soutenir.
Tu voulais savoir à qui je pensais? C'est simple, comme Johel je pensais à Mme Dulaine, mais ça ne semble pas être elle d'après ton com, ou alors cherche tu à brouiller les pistes parce que nous approchons trop de la vérité . Ou nous ne sommes tout simplement pas mentalist, dommage.
Je suis moi aussi curieuse de savoir ce qu'il y a dans le mot que Jane a donné à Lisbon, est-ce le nom du, ou de la, coupable? Certainement vu la réaction de l'agent. Et comme toujours, je voudrais savoir comment il fait pour toujours deviner avant les autres
Maintenant je ne dirais qu'une chose:
VLS VLS VLS VLS VLS
ainsi que et pour cette fic splendide qui redonne un peu le sourire et nous donne de l'espoir quand à la relation Jane/Lisbon
Comme la fois d'avant, un petit com car tout a déjà été dit
Encore un superbe chapitre tout y est si bien décrit que j'avais vraiment l'impression de voir notre Lisbon évoluer sur la scène, dansant en rythme avec Dulaine, c'était magnifique , même si comme les autres, j'aimerais vraiment la voir, ou la lire , danser avec Jane, après tout, ils se sont entrainés dur pour ça
J'adore la réaction de Rigsby en voyant sa patronne danser, la réplique de Van Pelt, mais ce que j'ai le plus particulièrement aimé c'est le moment Cho/Rigsby, c'était tordant , Cho égale à lui-même quelle que soit la situation
Et la fin je sens que ça va être un moment difficile pour notre cher Dulaine, mais il ne sera pas seul pour affronter tout ça, Lisbon sera avec lui pour le soutenir.
Tu voulais savoir à qui je pensais? C'est simple, comme Johel je pensais à Mme Dulaine, mais ça ne semble pas être elle d'après ton com, ou alors cherche tu à brouiller les pistes parce que nous approchons trop de la vérité . Ou nous ne sommes tout simplement pas mentalist, dommage.
Je suis moi aussi curieuse de savoir ce qu'il y a dans le mot que Jane a donné à Lisbon, est-ce le nom du, ou de la, coupable? Certainement vu la réaction de l'agent. Et comme toujours, je voudrais savoir comment il fait pour toujours deviner avant les autres
Maintenant je ne dirais qu'une chose:
VLS VLS VLS VLS VLS
ainsi que et pour cette fic splendide qui redonne un peu le sourire et nous donne de l'espoir quand à la relation Jane/Lisbon
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Rouge tango ^
bonsoir à tous et à toutes!
Comme toujours vous m'avez gâtée avec vos comm adorables et je suis confuse de devoir ce soir ne poster qu'un remerciement collectif alors que vous méritez tellement plus...
mais j'ai, je crois une bonne excuse: j'ai passé un long moment cet aprèm à le faire ...MAIS CA Y EST J'AI REDIGE LE TANGO FINAL que vous attendez tous, mettant ainsi un point final à cette fiction...(caly en mode fier d'elle )
Alors par contre je suis confrontée à petit problème de timing :pas_poss: : nous partons demain chez mes parents et mardi chez mes beaux-parents jusqu'à vendredi...donc, je vous promets de tout faire pour vous poster le dernier chapitre lundi car sinon après c'est la diette jusqu'à vendredi (étant donné que je n'aurai pas accès à internet! ).
Déjà que je me suis faite "grondée" gentiment par mon chéri car les valises ne sont pas tout à fait finies (ben oui, je me prenais la tête avec un certain tango pendant l'après-midi ) mais apparemment quand j'ai lu le chapitre à mon "zamour", il a dit: "bon, ok, ça valait le coup que je me tape les valises..."
(ZE T AIME MI AMOR!! )
Bref, en attendant voilà l'avant dernier chapitre avec la résolution de l'enquête (bon ok, je suis nulle en suspense, voilà pourquoi je ne m'adonne jamais à écrire des fic centrée sur l'investigation ).
Vous l'aurez tous compris, la coupable est.....................................................................
j'aime bien ce chapitre là, plus émouvant que les autres...et surtout je crois qu'on y retrouve un peu le Jane "alambiqué" du show (enfin, très modestement... ). Vous découvrez aussi le contenu du message de Jane précédemment ainsi qu'un petit moment avec la rose "maravilla".
Bonne lecture à tous et encore pardon de ne pas vous remercier individuellement (je crois que c'est la 1ère fois que je le fais et je ferai tout pour que ça ne se renouvelle pas souvent car vous méritez vraiment qu'on vous réponde à vos adorables messages
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Chapitre 5 : quand les masques tombent…
Toujours se faisant face dans la loge, Jane et Anna se jaugèrent du regard quelques instants. La première surprise passée, l’épouse de Pierre Dulaine sembla se ressaisir et se radoucir.
« Mon dieu Monsieur Jane, vous m’avez fait peur, dit-elle en portant sa main sur son cœur.
- Je vous mentirais si je niais avoir voulu vous surprendre quelque peu, répondit-il posément, toujours appuyé au chambranle de la grande penderie. Je reconnais néanmoins que mon intrusion dans votre sphère privée n’est guère convenable.
- Oui…disons que je ne m’attendais pas à trouver quelqu’un ici. Puis-je savoir la raison de votre présence ? » demanda-t-elle de son ton le plus aimable.
Jane continuait de fixer son interlocutrice et il ne put retenir un petit sourire narquois devant le calme dont tentait de faire preuve Anna.
« Je vous félicite, vous conservez vos très bonnes manières et votre correction en dépit de la panique qui doit certainement monter peu à peu en vous.
- Mais de quelle panique parlez-vous ? fit-elle surprise mais néanmoins maitresse d’elle-même.
- Je suis vraiment impressionné, vous ne laissez rien transparaitre. L’habitude de toujours masquer vos véritables émotions sans doute… »
Intriguée, Anna restait debout devant la porte sans vraiment bouger : en revanche, elle arborait à présent un visage beaucoup plus fermé.
« Ecoutez, je ne voudrais pas paraître impolie, mais je n’apprécie pas trop que l’on entre dans mes quartiers sans y avoir été invité.
- C’est tout à fait compréhensible, acquiesça Jane en hochant la tête. Surtout quand on a des choses à cacher n’est-ce pas…
- Mais de quoi parlez-vous donc ?
- Pourquoi sembliez-vous si troublée en entrant ? embraya directement le mentaliste en pointant du doigt son interlocutrice.
- Quoi ? Je…je ne vois pas en quoi mes états d’âme vous concernent, répondit-elle plus sèchement. Si vous ne quittez pas immédiatement cette pièce, j’appelle la sécurité.
- Allez-y, faites-donc, vous risquez juste de voir arriver mes collègues agents fédéraux. Ce soir, c’est nous qui assurons la sécurité. »
La révélation laissa Anna quelques secondes sans voix, le temps qu’elle intègre toutes les données.
« Vous êtes de la police ? demanda-t-elle, perplexe.
- En quelque sorte, disons que je travaille avec les forces de l’ordre, moi j’ai un peu trop de mal avec le règlement pour être considéré comme un vrai agent, ironisa le consultant en levant les yeux au ciel.
- Et à quoi rime cette comédie ?
- Nous enquêtons sur le meurtre d’une des élèves de votre époux, Ellen Mitchell. Vous la connaissiez…
- Non pas vraiment, répondit-elle un peu trop vite.
- Ce n’était pas une question, mais plutôt une affirmation, renchérit Jane. Vous la connaissiez et saviez qu’elle était l’élément le plus brillant de cette promotion.
- Pierre m’en a parlé quelques fois, en effet mais je ne vois toujours pas pourquoi…
- Que ressentez-vous quand vous voyez toutes ces femmes virevolter dans les bras de votre mari ? la coupa-t-il sans hésitation.
Anna demeura la bouche entrouverte, trouvant sans doute cette question totalement déplacée.
« Je ne ressens rien du tout, expliqua-t-elle en s’avançant vers la coiffeuse pour se donner une contenance.
- Je ne vous crois pas, personne ne resterait de marbre devant ce qui fut autrefois votre grande passion. Vous étiez une vraie star de la danse à l’époque n’est-ce pas ? D’ailleurs je dois reconnaître qu’en plus du talent, vous aviez toute la beauté nécessaire » lâcha Jane tout naturellement alors qu’il sortit de la poche de son pantalon une photographie un peu ancienne.
Il s’agissait d’un cliché sur lequel on pouvait voir Anna, plus jeune d’environ dix ans et vêtue d’une robe de compétition carmin et noire, tenir le trophée de concours de Sacramento. La jeune femme se raidit en reconnaissant l’image.
« Où avez-vous trouvé cela ? demanda-t-elle sur la défensive.
- Dans le bureau de votre époux. Pierre garde précieusement cachée dans un tiroir une boite nacrée contenant plusieurs clichés de vous en danseuse, expliqua le consultant d’une voix sérieuse. Vous avez beaucoup de chance, cet homme vous aime sans réserve aucune.
- Je le sais, il m’a toujours aimée, même…, commença Anna qui s’interrompit cependant, la gorge serrée.
- …même quand vous n’avez plus pu être la grande artiste qu’il avait toujours connue, termina Jane doucement.
Anna baissa la tête et acquiesça.
« Pierre m’a soutenue, m’a épaulée dans chaque étape de ma rééducation. Il était là le jour où le médecin m’a annoncée que je devais arrêter la danse, il était là quand mon moral était au plus bas, il était toujours là pour moi…, fit-elle en toisant son interlocuteur.
- Et puis dernièrement, il était devenu moins présent, n’est-ce pas ?
- Pas du tout, réagit-elle.
- Bien sûr que si, contrefit Jane en s’avançant vers elle, tenant toujours la photographie. Il avait toujours été un bourreau du travail, dépensant sans compter les heures pour entrainer ses élèves. Mais il ne s’agissait que jeunes prodiges de passage, comme il en existe beaucoup, aussi cela ne vous inquiétait nullement. C’est alors qu’est arrivée Ellen, cette jeune femme au talent sans pareil, qui sut toucher votre époux autant sur le plan artistique que sur le plan humain. Il vous parlait d’elle un peu plus chaque jour je suppose, soulignant avec passion les capacités extraordinaires qu’il avait décelées en elle, les immenses progrès qu’elle faisait en peu de temps. Puis il s’est mis à lui donner des cours gratuitement plusieurs fois par semaine, pour finir dernièrement par la voir tous les jours. »
Alors que Jane débitait ses paroles avec calme, Anna lui tournait résolument le dos, s’affairant à réorganiser les objets posés sur la coiffeuse.
« Pour votre époux, il n’existait aucune ambiguïté, poursuivit le consultant de son ton le plus assuré. Il n’agissait que par admiration, par humanité et par amour du talent. Mais vous ne le viviez pas ainsi. Jour après jour, vous étiez dévorée par une jalousie de plus en plus virulente.
- N’importe quoi, je savais parfaitement que Pierre me resterait fidèle, s’insurgea-t-elle en se retournant vivement. De quoi pourrais-je être jalouse ? Ce que vous dîtes n’a aucun sens.
- Vous craignez de ne plus être la danseuse numéro un dans son cœur. Vous craignez qu’il ne trouve un jour celle qui serait digne de devenir l’héritière de votre talent. Et il l’avait trouvée, en la personne d’Ellen.
- Vous êtes totalement ridicule, assura-t-elle en élevant la voix.
- Vous ne supportiez pas que Pierre apprenne à Ellen tout ce qu’il vous avait enseigné à vous, de même que vous n’avez pas supporté voir Térésa vêtue de la même robe que celle que vous portiez en tant que championne.
- Je…
- Ne le niez pas, quand vous nous avez aperçus Lisbon, votre mari et moi dans les coulisses vous avez marqué un temps d’arrêt avant de nous rejoindre, je vous observais. Ensuite vous avez éprouvé le besoin de venir nous interrompre, prétextant que le Maire souhaitait parler à votre époux. Or vous n’avez pas quitté les coulisses après que ce cher élu eut été installé dans la salle, et mes hommes postés prêts de lui ne vous ont à aucun moment vu parler avec lui. Donc vous mentiez…enfin, vous avez tenté de dissuader Pierre de danser avec Lisbon, que vous voyez à présent comme une nouvelle rivale.
- Et qu’est-ce qui vous a amené à cette brillante conclusion ? ironisa Anna en croisant les bras, ne tenant pas du tout à se laisser démonter par les propos de Jane.
- Votre façon de la jauger il y a deux jours lorsque nous nous sommes rencontrés au cours de danse. Vous n’avez cessé de souligner l’excellence de sa prestation, vous souvenez-vous ? Vous aviez déjà du mal à accepter un simple entrainement, alors la voir aujourd’hui faire la danse d’ouverture du concours qui vous était si cher, au bras de votre époux admiratif, vous ne pouviez que réagir…d’où ma présence ici ! »
Jane ponctua la fin de sa réplique d’un petit claquement de doigt, signe que sa démonstration était sans faille. Anna demeurait immobile face à lui, semblant retrouver son calme le temps que les rouages de son cerveau mettent en place une parade de sortie.
« Et vous vous êtes fait passer pour un élève de mon mari, avez travaillé durement des danses que de toute évidence vous ne pratiquerez jamais, avez monté ce soir ce traquenard rocambolesque dans le seul but de prouver que je regrettais le temps où j’étais au top niveau ? dit-elle d’un ton sardonique qui se voulait blessant. Les autorités seront ravies d’apprendre que les instances fédérales dépensent l’argent du contribuable à des fins si pertinentes. »
Jane ne put contenir un petit rire moqueur.
« Certes non, je suis là parce que je sais que vous avez tué Ellen et que nous venons vous arrêter ! » conclut-il d’un air nonchalant.
- Tiens donc, et quelles preuves avez-vous, mises à part vos suppositions fantasques basées uniquement sur des hypothèses et quelques observations purement subjectives ?" le moucha-t-elle sans se laisser démonter.
Jane fit mine de réfléchir quelques instants puis s’écria :
« Cho ? Lisbon ? Vous pouvez venir s’il vous plait ? »
A peine eut-il parlé, que la porte de la salle de bain s’ouvrit laissant apparaître l’agent asiatique, dissimulé dans la pièce d’à côté depuis le début. Puis ce fut la porte d’entrée qui s’ouvrit sur une Lisbon en tenue de gala et, derrière elle, un Pierre Dulaine totalement livide, suivi de Van Pelt. A la vue de son mari, Anna blêmit à son tour, laissant tomber le masque placide qu’elle avait tenté d’arborer devant Jane.
« Ah oui, je crois avoir omis de préciser que, d’abord, tout ce qui a été dit dans cette loge fut entendu par mes collègues grâce au micro dissimulé avant votre arrivée ; qu’ensuite, me doutant que mes déductions géniales ne suffiraient pas à convaincre un jury, j’ai demandé à Van Pelt de vérifier la localisation de votre portable le soir du meurtre ; et qu’enfin, nous avons obtenu un mandat pour fouiller votre maison afin de retrouver l’arme de crime que, vraisemblablement vous avez enterrée quelque part dans votre jardin » énuméra Jane en comptant sur ses doigts.
Pendant ce temps, Dulaine ne lâchait pas son épouse du regard, la suppliant de démentir tout ce qui venait d’être dit.
« Madame Dulaine, si l’on en croit la balise de votre portable, vous vous trouviez à Hisdon Park, soit le lieu du crime, à l’heure du meurtre d’Ellen Mitchell, annonça Lisbon d’un ton solennel.
- Et alors ? Ce n’est pas très loin des bureaux de Pierre, j’avais dans l’idée première de le rejoindre pour lui faire une surprise puis un terrible mal de tête m’a fait changer d’avis, tenta-t-elle de se justifier, de plus en plus affolée en la présence de son époux.
- Sauf que tu m’as appelé dix minutes avant l’heure du meurtre en me disant que tu trouvais à la maison, lâcha péniblement Pierre, totalement sonné.
- Alors qu’en réalité elle vous appelait de son portable, à quelques rues d’où vous vous trouviez. Elle savait que le fixe de votre bureau n’affichait pas les numéros entrants, vous ne verriez donc pas a priori qu’elle ne vous téléphonait pas de la maison, expliqua doucement Lisbon, que Van Pelt venait d’informer quelques minutes auparavant.
- Et voilà ! » conclut Jane d’un ton néanmoins beaucoup moins jovial que d’ordinaire, par égard pour le pauvre Dulaine qui n’avait rien vu venir.
Cette fois, Anna se sentit cernée de toute part : elle l’était certes physiquement, par la présence dans cette petite pièce de cinq personnes qui venaient de tout comprendre…Mais elle supportait encore plus difficilement l’expression de douleur qui se dessinait sur le beau visage de son époux. On eut dit qu’il venait de vieillir de dix ans tant le désarroi se lisait dans ses yeux.
« Pourquoi Anna ? murmura-t-il faiblement à son épouse. Pourquoi ?
- Parce que tu cherchais en d’autres ce que tu ne trouvais plus en moi, avoua-t-elle en pleurant. Cette étincelle de passion que tu ne peux partager à présent qu’avec des inconnues pourvues de capacités que je n’ai plus. Ellen était mon passé, cette image de moi qui m’a échappée et que je n’ai pas supporté te voir former. Je n’ai pas pu accepter que tu façonnes ce diamant brut pour en faire le joyau que j’ai été jadis… »
Tout en parlant, Anna avait saisi les mains de son mari en guise de supplication.
« Je te demande pardon, je suis tellement désolée. »
Si au début Pierre Dulaine ne sembla pas réagir au contact de cette femme qui l’avait aimé et trahi en même temps, il sortit néanmoins de sa torpeur et posa un baiser sur la chevelure brune d’Anna, qui pleurait à présent contre son torse. Mais il n’ajouta rien, totalement dépassé par la dure réalité.
Après avoir accordé quelques dernières secondes de complicité aux deux époux, Cho s’avança vers la coupable en sortant les menottes qu’il s’apprêtait à lui passer.
« Madame Anna Dulaine, je vous arrête pour le meurtre d’Ellen Mitchell. Nous allons vous lire vos droits ».
Après avoir passé les bracelets en métal aux mains d’Anna qui jeta un dernier regard éploré à son mari, l’agent emmena la captive aux cotés de Van Pelt qui prévint Rigsby par micro.
Restés seuls dans la loge où s’était dénoué un vrai drame, Jane et Lisbon observaient Pierre Dulaine, ce grand maître respecté et cet homme aux qualités humaines indéniables, tenter d’encaisser le coup de massue qui venait de le frapper.
« Je n’ai rien vu de sa souffrance et de ses doutes, murmura l’enseignant sans quitter des yeux le mur opposé.
- Il n’est pas facile de déceler la souffrance chez nos proches, tenta de le réconforter Térésa, désolée pour ce pauvre homme. Nous n’avons pas toujours le recul nécessaire.
- Mais j’aurais dû le voir. Entre Anna et moi, il n’y a jamais eu besoin de mots pour nous comprendre. Un simple regard suffisait, un contact…et tout se révélait. Nous avons fonctionné ainsi pendant plus de quinze ans… »
Jane et Lisbon eurent alors le même réflexe de se tourner l’un vers l’autre : il leur arrivait souvent à eux aussi de communiquer sans paroles, d’avoir ces regards qui a eux seuls justifiaient tout…mais ils étaient aussi les premiers à savoir que cette technique ne pouvait être infaillible.
« Que va-t-il lui arriver maintenant ? s’enquit alors Pierre qui essuya une larme dévalant sa joue.
- Elle va être écrouée quelques temps, puis le montant de sa caution sera fixée ; et après ce sera le procès, lui expliqua Lisbon le plus sobrement possible.
- Et je serai à ses côtés, conclut le mari en ancrant son regard dans celui de Jane. Je ne l’abandonnerai pas une fois de plus. »
Jane approuva d’un signe de tête compatissant et tendit au triste époux la photographie d’Anna : Dulaine prit congé laissant les deux enquêteurs, toujours en costume de gala, seuls dans la loge à présent vide.
« La danse déchaine plus de passions que je ne l’aurais cru, dit timidement Lisbon, troublée par cette histoire qui l’avait remuée plus que de raison.
- Je sais, fit sobrement son équipier qui se tourna vers elle. Vous tiendrez le coup ? »
Lisbon plongea alors ses yeux émeraude dans le regard inquiet de Jane : il n’aimait vraiment pas la voir triste et au fond d’elle, cela lui réchauffait un peu le cœur. Elle esquiva néanmoins la question.
« Et vous ? » contrefit-elle, tout aussi sérieusement.
Ni l’un ni l’autre ne répondrait, ce serait trop se dévoiler. Jane se contenta de retirer délicatement la rose « maravilla » qu’il avait piquée tantôt dans les cheveux de Lisbon. Un peu surprise, cette dernière le laissa faire, ne sachant pas trop où il voulait en venir. Jane huma quelques secondes la rose, comme pour retrouver un certain calme, puis la tendit à la jeune femme qui l’accepta sans rien dire de plus. Ce simple geste suffit à les apaiser tous les deux…du moins, pour l’instant. Puis Jane posa sa main dans le dos de Lisbon pour l’inviter à sortir.
En se mouvant, le froissé de la robe laissa tomber par terre un petit bout de papier : il s’agissait du message que Jane avait subtilement glissé dans la main de Lisbon, avant la salsa d’ouverture.
On pouvait y lire : « Charmez le mari innocent pendant que je confonds la femme coupable. RDV après danse devant la loge 3! Tout sera révélé… ».
...
A suivre (Epilogue à venir)
Comme toujours vous m'avez gâtée avec vos comm adorables et je suis confuse de devoir ce soir ne poster qu'un remerciement collectif alors que vous méritez tellement plus...
mais j'ai, je crois une bonne excuse: j'ai passé un long moment cet aprèm à le faire ...MAIS CA Y EST J'AI REDIGE LE TANGO FINAL que vous attendez tous, mettant ainsi un point final à cette fiction...(caly en mode fier d'elle )
Alors par contre je suis confrontée à petit problème de timing :pas_poss: : nous partons demain chez mes parents et mardi chez mes beaux-parents jusqu'à vendredi...donc, je vous promets de tout faire pour vous poster le dernier chapitre lundi car sinon après c'est la diette jusqu'à vendredi (étant donné que je n'aurai pas accès à internet! ).
Déjà que je me suis faite "grondée" gentiment par mon chéri car les valises ne sont pas tout à fait finies (ben oui, je me prenais la tête avec un certain tango pendant l'après-midi ) mais apparemment quand j'ai lu le chapitre à mon "zamour", il a dit: "bon, ok, ça valait le coup que je me tape les valises..."
(ZE T AIME MI AMOR!! )
Bref, en attendant voilà l'avant dernier chapitre avec la résolution de l'enquête (bon ok, je suis nulle en suspense, voilà pourquoi je ne m'adonne jamais à écrire des fic centrée sur l'investigation ).
Vous l'aurez tous compris, la coupable est.....................................................................
- Spoiler:
- LA CUISINIERE des Dulaine
j'aime bien ce chapitre là, plus émouvant que les autres...et surtout je crois qu'on y retrouve un peu le Jane "alambiqué" du show (enfin, très modestement... ). Vous découvrez aussi le contenu du message de Jane précédemment ainsi qu'un petit moment avec la rose "maravilla".
Bonne lecture à tous et encore pardon de ne pas vous remercier individuellement (je crois que c'est la 1ère fois que je le fais et je ferai tout pour que ça ne se renouvelle pas souvent car vous méritez vraiment qu'on vous réponde à vos adorables messages
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Chapitre 5 : quand les masques tombent…
Toujours se faisant face dans la loge, Jane et Anna se jaugèrent du regard quelques instants. La première surprise passée, l’épouse de Pierre Dulaine sembla se ressaisir et se radoucir.
« Mon dieu Monsieur Jane, vous m’avez fait peur, dit-elle en portant sa main sur son cœur.
- Je vous mentirais si je niais avoir voulu vous surprendre quelque peu, répondit-il posément, toujours appuyé au chambranle de la grande penderie. Je reconnais néanmoins que mon intrusion dans votre sphère privée n’est guère convenable.
- Oui…disons que je ne m’attendais pas à trouver quelqu’un ici. Puis-je savoir la raison de votre présence ? » demanda-t-elle de son ton le plus aimable.
Jane continuait de fixer son interlocutrice et il ne put retenir un petit sourire narquois devant le calme dont tentait de faire preuve Anna.
« Je vous félicite, vous conservez vos très bonnes manières et votre correction en dépit de la panique qui doit certainement monter peu à peu en vous.
- Mais de quelle panique parlez-vous ? fit-elle surprise mais néanmoins maitresse d’elle-même.
- Je suis vraiment impressionné, vous ne laissez rien transparaitre. L’habitude de toujours masquer vos véritables émotions sans doute… »
Intriguée, Anna restait debout devant la porte sans vraiment bouger : en revanche, elle arborait à présent un visage beaucoup plus fermé.
« Ecoutez, je ne voudrais pas paraître impolie, mais je n’apprécie pas trop que l’on entre dans mes quartiers sans y avoir été invité.
- C’est tout à fait compréhensible, acquiesça Jane en hochant la tête. Surtout quand on a des choses à cacher n’est-ce pas…
- Mais de quoi parlez-vous donc ?
- Pourquoi sembliez-vous si troublée en entrant ? embraya directement le mentaliste en pointant du doigt son interlocutrice.
- Quoi ? Je…je ne vois pas en quoi mes états d’âme vous concernent, répondit-elle plus sèchement. Si vous ne quittez pas immédiatement cette pièce, j’appelle la sécurité.
- Allez-y, faites-donc, vous risquez juste de voir arriver mes collègues agents fédéraux. Ce soir, c’est nous qui assurons la sécurité. »
La révélation laissa Anna quelques secondes sans voix, le temps qu’elle intègre toutes les données.
« Vous êtes de la police ? demanda-t-elle, perplexe.
- En quelque sorte, disons que je travaille avec les forces de l’ordre, moi j’ai un peu trop de mal avec le règlement pour être considéré comme un vrai agent, ironisa le consultant en levant les yeux au ciel.
- Et à quoi rime cette comédie ?
- Nous enquêtons sur le meurtre d’une des élèves de votre époux, Ellen Mitchell. Vous la connaissiez…
- Non pas vraiment, répondit-elle un peu trop vite.
- Ce n’était pas une question, mais plutôt une affirmation, renchérit Jane. Vous la connaissiez et saviez qu’elle était l’élément le plus brillant de cette promotion.
- Pierre m’en a parlé quelques fois, en effet mais je ne vois toujours pas pourquoi…
- Que ressentez-vous quand vous voyez toutes ces femmes virevolter dans les bras de votre mari ? la coupa-t-il sans hésitation.
Anna demeura la bouche entrouverte, trouvant sans doute cette question totalement déplacée.
« Je ne ressens rien du tout, expliqua-t-elle en s’avançant vers la coiffeuse pour se donner une contenance.
- Je ne vous crois pas, personne ne resterait de marbre devant ce qui fut autrefois votre grande passion. Vous étiez une vraie star de la danse à l’époque n’est-ce pas ? D’ailleurs je dois reconnaître qu’en plus du talent, vous aviez toute la beauté nécessaire » lâcha Jane tout naturellement alors qu’il sortit de la poche de son pantalon une photographie un peu ancienne.
Il s’agissait d’un cliché sur lequel on pouvait voir Anna, plus jeune d’environ dix ans et vêtue d’une robe de compétition carmin et noire, tenir le trophée de concours de Sacramento. La jeune femme se raidit en reconnaissant l’image.
« Où avez-vous trouvé cela ? demanda-t-elle sur la défensive.
- Dans le bureau de votre époux. Pierre garde précieusement cachée dans un tiroir une boite nacrée contenant plusieurs clichés de vous en danseuse, expliqua le consultant d’une voix sérieuse. Vous avez beaucoup de chance, cet homme vous aime sans réserve aucune.
- Je le sais, il m’a toujours aimée, même…, commença Anna qui s’interrompit cependant, la gorge serrée.
- …même quand vous n’avez plus pu être la grande artiste qu’il avait toujours connue, termina Jane doucement.
Anna baissa la tête et acquiesça.
« Pierre m’a soutenue, m’a épaulée dans chaque étape de ma rééducation. Il était là le jour où le médecin m’a annoncée que je devais arrêter la danse, il était là quand mon moral était au plus bas, il était toujours là pour moi…, fit-elle en toisant son interlocuteur.
- Et puis dernièrement, il était devenu moins présent, n’est-ce pas ?
- Pas du tout, réagit-elle.
- Bien sûr que si, contrefit Jane en s’avançant vers elle, tenant toujours la photographie. Il avait toujours été un bourreau du travail, dépensant sans compter les heures pour entrainer ses élèves. Mais il ne s’agissait que jeunes prodiges de passage, comme il en existe beaucoup, aussi cela ne vous inquiétait nullement. C’est alors qu’est arrivée Ellen, cette jeune femme au talent sans pareil, qui sut toucher votre époux autant sur le plan artistique que sur le plan humain. Il vous parlait d’elle un peu plus chaque jour je suppose, soulignant avec passion les capacités extraordinaires qu’il avait décelées en elle, les immenses progrès qu’elle faisait en peu de temps. Puis il s’est mis à lui donner des cours gratuitement plusieurs fois par semaine, pour finir dernièrement par la voir tous les jours. »
Alors que Jane débitait ses paroles avec calme, Anna lui tournait résolument le dos, s’affairant à réorganiser les objets posés sur la coiffeuse.
« Pour votre époux, il n’existait aucune ambiguïté, poursuivit le consultant de son ton le plus assuré. Il n’agissait que par admiration, par humanité et par amour du talent. Mais vous ne le viviez pas ainsi. Jour après jour, vous étiez dévorée par une jalousie de plus en plus virulente.
- N’importe quoi, je savais parfaitement que Pierre me resterait fidèle, s’insurgea-t-elle en se retournant vivement. De quoi pourrais-je être jalouse ? Ce que vous dîtes n’a aucun sens.
- Vous craignez de ne plus être la danseuse numéro un dans son cœur. Vous craignez qu’il ne trouve un jour celle qui serait digne de devenir l’héritière de votre talent. Et il l’avait trouvée, en la personne d’Ellen.
- Vous êtes totalement ridicule, assura-t-elle en élevant la voix.
- Vous ne supportiez pas que Pierre apprenne à Ellen tout ce qu’il vous avait enseigné à vous, de même que vous n’avez pas supporté voir Térésa vêtue de la même robe que celle que vous portiez en tant que championne.
- Je…
- Ne le niez pas, quand vous nous avez aperçus Lisbon, votre mari et moi dans les coulisses vous avez marqué un temps d’arrêt avant de nous rejoindre, je vous observais. Ensuite vous avez éprouvé le besoin de venir nous interrompre, prétextant que le Maire souhaitait parler à votre époux. Or vous n’avez pas quitté les coulisses après que ce cher élu eut été installé dans la salle, et mes hommes postés prêts de lui ne vous ont à aucun moment vu parler avec lui. Donc vous mentiez…enfin, vous avez tenté de dissuader Pierre de danser avec Lisbon, que vous voyez à présent comme une nouvelle rivale.
- Et qu’est-ce qui vous a amené à cette brillante conclusion ? ironisa Anna en croisant les bras, ne tenant pas du tout à se laisser démonter par les propos de Jane.
- Votre façon de la jauger il y a deux jours lorsque nous nous sommes rencontrés au cours de danse. Vous n’avez cessé de souligner l’excellence de sa prestation, vous souvenez-vous ? Vous aviez déjà du mal à accepter un simple entrainement, alors la voir aujourd’hui faire la danse d’ouverture du concours qui vous était si cher, au bras de votre époux admiratif, vous ne pouviez que réagir…d’où ma présence ici ! »
Jane ponctua la fin de sa réplique d’un petit claquement de doigt, signe que sa démonstration était sans faille. Anna demeurait immobile face à lui, semblant retrouver son calme le temps que les rouages de son cerveau mettent en place une parade de sortie.
« Et vous vous êtes fait passer pour un élève de mon mari, avez travaillé durement des danses que de toute évidence vous ne pratiquerez jamais, avez monté ce soir ce traquenard rocambolesque dans le seul but de prouver que je regrettais le temps où j’étais au top niveau ? dit-elle d’un ton sardonique qui se voulait blessant. Les autorités seront ravies d’apprendre que les instances fédérales dépensent l’argent du contribuable à des fins si pertinentes. »
Jane ne put contenir un petit rire moqueur.
« Certes non, je suis là parce que je sais que vous avez tué Ellen et que nous venons vous arrêter ! » conclut-il d’un air nonchalant.
- Tiens donc, et quelles preuves avez-vous, mises à part vos suppositions fantasques basées uniquement sur des hypothèses et quelques observations purement subjectives ?" le moucha-t-elle sans se laisser démonter.
Jane fit mine de réfléchir quelques instants puis s’écria :
« Cho ? Lisbon ? Vous pouvez venir s’il vous plait ? »
A peine eut-il parlé, que la porte de la salle de bain s’ouvrit laissant apparaître l’agent asiatique, dissimulé dans la pièce d’à côté depuis le début. Puis ce fut la porte d’entrée qui s’ouvrit sur une Lisbon en tenue de gala et, derrière elle, un Pierre Dulaine totalement livide, suivi de Van Pelt. A la vue de son mari, Anna blêmit à son tour, laissant tomber le masque placide qu’elle avait tenté d’arborer devant Jane.
« Ah oui, je crois avoir omis de préciser que, d’abord, tout ce qui a été dit dans cette loge fut entendu par mes collègues grâce au micro dissimulé avant votre arrivée ; qu’ensuite, me doutant que mes déductions géniales ne suffiraient pas à convaincre un jury, j’ai demandé à Van Pelt de vérifier la localisation de votre portable le soir du meurtre ; et qu’enfin, nous avons obtenu un mandat pour fouiller votre maison afin de retrouver l’arme de crime que, vraisemblablement vous avez enterrée quelque part dans votre jardin » énuméra Jane en comptant sur ses doigts.
Pendant ce temps, Dulaine ne lâchait pas son épouse du regard, la suppliant de démentir tout ce qui venait d’être dit.
« Madame Dulaine, si l’on en croit la balise de votre portable, vous vous trouviez à Hisdon Park, soit le lieu du crime, à l’heure du meurtre d’Ellen Mitchell, annonça Lisbon d’un ton solennel.
- Et alors ? Ce n’est pas très loin des bureaux de Pierre, j’avais dans l’idée première de le rejoindre pour lui faire une surprise puis un terrible mal de tête m’a fait changer d’avis, tenta-t-elle de se justifier, de plus en plus affolée en la présence de son époux.
- Sauf que tu m’as appelé dix minutes avant l’heure du meurtre en me disant que tu trouvais à la maison, lâcha péniblement Pierre, totalement sonné.
- Alors qu’en réalité elle vous appelait de son portable, à quelques rues d’où vous vous trouviez. Elle savait que le fixe de votre bureau n’affichait pas les numéros entrants, vous ne verriez donc pas a priori qu’elle ne vous téléphonait pas de la maison, expliqua doucement Lisbon, que Van Pelt venait d’informer quelques minutes auparavant.
- Et voilà ! » conclut Jane d’un ton néanmoins beaucoup moins jovial que d’ordinaire, par égard pour le pauvre Dulaine qui n’avait rien vu venir.
Cette fois, Anna se sentit cernée de toute part : elle l’était certes physiquement, par la présence dans cette petite pièce de cinq personnes qui venaient de tout comprendre…Mais elle supportait encore plus difficilement l’expression de douleur qui se dessinait sur le beau visage de son époux. On eut dit qu’il venait de vieillir de dix ans tant le désarroi se lisait dans ses yeux.
« Pourquoi Anna ? murmura-t-il faiblement à son épouse. Pourquoi ?
- Parce que tu cherchais en d’autres ce que tu ne trouvais plus en moi, avoua-t-elle en pleurant. Cette étincelle de passion que tu ne peux partager à présent qu’avec des inconnues pourvues de capacités que je n’ai plus. Ellen était mon passé, cette image de moi qui m’a échappée et que je n’ai pas supporté te voir former. Je n’ai pas pu accepter que tu façonnes ce diamant brut pour en faire le joyau que j’ai été jadis… »
Tout en parlant, Anna avait saisi les mains de son mari en guise de supplication.
« Je te demande pardon, je suis tellement désolée. »
Si au début Pierre Dulaine ne sembla pas réagir au contact de cette femme qui l’avait aimé et trahi en même temps, il sortit néanmoins de sa torpeur et posa un baiser sur la chevelure brune d’Anna, qui pleurait à présent contre son torse. Mais il n’ajouta rien, totalement dépassé par la dure réalité.
Après avoir accordé quelques dernières secondes de complicité aux deux époux, Cho s’avança vers la coupable en sortant les menottes qu’il s’apprêtait à lui passer.
« Madame Anna Dulaine, je vous arrête pour le meurtre d’Ellen Mitchell. Nous allons vous lire vos droits ».
Après avoir passé les bracelets en métal aux mains d’Anna qui jeta un dernier regard éploré à son mari, l’agent emmena la captive aux cotés de Van Pelt qui prévint Rigsby par micro.
Restés seuls dans la loge où s’était dénoué un vrai drame, Jane et Lisbon observaient Pierre Dulaine, ce grand maître respecté et cet homme aux qualités humaines indéniables, tenter d’encaisser le coup de massue qui venait de le frapper.
« Je n’ai rien vu de sa souffrance et de ses doutes, murmura l’enseignant sans quitter des yeux le mur opposé.
- Il n’est pas facile de déceler la souffrance chez nos proches, tenta de le réconforter Térésa, désolée pour ce pauvre homme. Nous n’avons pas toujours le recul nécessaire.
- Mais j’aurais dû le voir. Entre Anna et moi, il n’y a jamais eu besoin de mots pour nous comprendre. Un simple regard suffisait, un contact…et tout se révélait. Nous avons fonctionné ainsi pendant plus de quinze ans… »
Jane et Lisbon eurent alors le même réflexe de se tourner l’un vers l’autre : il leur arrivait souvent à eux aussi de communiquer sans paroles, d’avoir ces regards qui a eux seuls justifiaient tout…mais ils étaient aussi les premiers à savoir que cette technique ne pouvait être infaillible.
« Que va-t-il lui arriver maintenant ? s’enquit alors Pierre qui essuya une larme dévalant sa joue.
- Elle va être écrouée quelques temps, puis le montant de sa caution sera fixée ; et après ce sera le procès, lui expliqua Lisbon le plus sobrement possible.
- Et je serai à ses côtés, conclut le mari en ancrant son regard dans celui de Jane. Je ne l’abandonnerai pas une fois de plus. »
Jane approuva d’un signe de tête compatissant et tendit au triste époux la photographie d’Anna : Dulaine prit congé laissant les deux enquêteurs, toujours en costume de gala, seuls dans la loge à présent vide.
« La danse déchaine plus de passions que je ne l’aurais cru, dit timidement Lisbon, troublée par cette histoire qui l’avait remuée plus que de raison.
- Je sais, fit sobrement son équipier qui se tourna vers elle. Vous tiendrez le coup ? »
Lisbon plongea alors ses yeux émeraude dans le regard inquiet de Jane : il n’aimait vraiment pas la voir triste et au fond d’elle, cela lui réchauffait un peu le cœur. Elle esquiva néanmoins la question.
« Et vous ? » contrefit-elle, tout aussi sérieusement.
Ni l’un ni l’autre ne répondrait, ce serait trop se dévoiler. Jane se contenta de retirer délicatement la rose « maravilla » qu’il avait piquée tantôt dans les cheveux de Lisbon. Un peu surprise, cette dernière le laissa faire, ne sachant pas trop où il voulait en venir. Jane huma quelques secondes la rose, comme pour retrouver un certain calme, puis la tendit à la jeune femme qui l’accepta sans rien dire de plus. Ce simple geste suffit à les apaiser tous les deux…du moins, pour l’instant. Puis Jane posa sa main dans le dos de Lisbon pour l’inviter à sortir.
En se mouvant, le froissé de la robe laissa tomber par terre un petit bout de papier : il s’agissait du message que Jane avait subtilement glissé dans la main de Lisbon, avant la salsa d’ouverture.
On pouvait y lire : « Charmez le mari innocent pendant que je confonds la femme coupable. RDV après danse devant la loge 3! Tout sera révélé… ».
...
A suivre (Epilogue à venir)
Calypsoh- Inspecteur de police
- Personnage préféré : alors ça c'est dur: j'aime les gamineries de Jane, la loyauté de Lisbon; le flegme de Cho; l'humour de Rigsby et la douceur de Van Pelt!!!
Localisation : à côté de Bruno Heller pour lui tenir la main lors de la rédaction des prochains épisodes!!
Re: Rouge tango ^
Qu'est ce que cela donnerait si tu étais douée pour les enquêtes, non parce que là tu nous fait une superbe démonstration des talents du consultant
Tu as mené cette histoire de main de maître
On comprend que Jane a manipulé Anna pour l'amener là où il le voulait...la robe...quelle idée
Quand à l'amour de Pierre pour sa femme, un homme de coeur jusqu'au bout...
Au final Jane et Lisbon se sentent presque coupables d'avoir arrêté Anna
Quand au petit mot...Tu as probablement brisé le coeur des Jisbonneuses
Mais moi je reste sur ma faim...j'ai pô eu le tango
pour ce chapitre
Et vivement l'épilogue !
Tu as mené cette histoire de main de maître
On comprend que Jane a manipulé Anna pour l'amener là où il le voulait...la robe...quelle idée
Quand à l'amour de Pierre pour sa femme, un homme de coeur jusqu'au bout...
Au final Jane et Lisbon se sentent presque coupables d'avoir arrêté Anna
Quand au petit mot...Tu as probablement brisé le coeur des Jisbonneuses
Mais moi je reste sur ma faim...j'ai pô eu le tango
pour ce chapitre
Et vivement l'épilogue !
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Rouge tango ^
Johel a écrit:Qu'est ce que cela donnerait si tu étais douée pour les enquêtes, non parce que là tu nous fait une superbe démonstration des talents du consultant
Tu as mené cette histoire de main de maître
On comprend que Jane a manipulé Anna pour l'amener là où il le voulait...la robe...quelle idée
Quand à l'amour de Pierre pour sa femme, un homme de coeur jusqu'au bout...
Au final Jane et Lisbon se sentent presque coupables d'avoir arrêté Anna
Quand au petit mot...Tu as probablement brisé le coeur des Jisbonneuses
Mais moi je reste sur ma faim...j'ai pô eu le tango
pour ce chapitre
Et vivement l'épilogue !
une flemme incontestée pour poster de vrai commentaires en ce moment mais je ne suis pas chez moi
un très bon chapitre, bravo
Jiisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Lisbon & Jane
Localisation : N'importe où, tant que qu'il y a du soleil
Re: Rouge tango ^
Johel a écrit:Qu'est ce que cela donnerait si tu étais douée pour les enquêtes, non parce que là tu nous fait une superbe démonstration des talents du consultant
Tu as mené cette histoire de main de maître
On comprend que Jane a manipulé Anna pour l'amener là où il le voulait...la robe...quelle idée
Quand à l'amour de Pierre pour sa femme, un homme de coeur jusqu'au bout...
Au final Jane et Lisbon se sentent presque coupables d'avoir arrêté Anna
Quand au petit mot...Tu as probablement brisé le coeur des Jisbonneuses
Mais moi je reste sur ma faim...j'ai pô eu le tango
pour ce chapitre
Et vivement l'épilogue !
Johel a déjà tout dit, alors que dire de plus
A part...
Je veux LE TANGO LE TANGO LE TANGO
Et...
L'EPILOGUE L'EPILOGUE L'EPILOGUE !!!
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Rouge tango ^
Bon alors le boulet que je suis n'a pas vu tes mises à jour. Méchant le net
Juste j'ai eu un soucis pour arriver au chapitre 2, le lien me renvoi au chapitre un
Chapitre 2:
J'aime à chaque fois tes entrées en matière et voir l'équipe galérait à résoudre une enquête c'est toujours plaisant à voir surtout avec Jane à leur coté.
Plus j'avance dans la lecture, plus je crains le pire pour le plan de Jane et la pauvre Lisbon qui est obligé de suivre avec.
J'aime bien voir Rigs toujours aussi benêt et VP est VP quoi. En fait, tu ne déroges jamais à ce que l'on connait des persos dans la série, ce qui permet de visualiser toutes les scènes parfaitement, de lire ta fic comme on regarde un épisode. Qu'est ce que j'aime ça.
J'en étais sur qu'il avait une idée, il est vraiment taquin et pauvre Lisbon obligé de rentrer dans ses plans sans rien savoir. Je la plains et je ne peux pas m'en empêcher c'est plus fort que moi.
Je l'aime bien ce Dulaine et puis son rapport avec les deux et notamment Jane précisément là où j'en suis de ma lecture me plait de plus en plus. Donc en plus d'être fidèle aux personnages de la série, tu as des persos propres géniaux. Un régal en somme.
Je dois dire que pour la scène où Lisbon le fait rentrer de force dans la loge, je n'ai pas cru au départ que c'était elle à cause des deux bras basanés, j'ai cru qu'on allait s'en prendre à Jane et je me demandais comment ils avaient fait pour savoir. Bref, j'ai adoré la scène entre Jane et Lisbon, c'est tellement eux. Mais d'un coté je fais car le coup des secrets est malheureusement bien vrai et c'est bien triste. Enfin, profitons de la légèreté de ta fic et du fait que ce soit la tenue qui soit en cause.
Oh la dispute et la phrase cinglante de Lisbon, qu'est ce que j'aimerai un truc comme ça dans la série mais pour une chose plus sérieuse et la réaction de Jane (sans ça tirade juste son désarroi) Tu me vends du rêve là.
Ah oui je n'avais pas relever pour l'hispanisation de Lisbon. En fait tous le monde la voit avec des origines irlandaises car dans un tweet des scénaristes, ils considèrent Lisbon comme à moitié irlandaise (ça je pense qu'ils ont gardé l'histoire de Robin et l'histoire de Chicago qui est connu pour avoir une grande communauté irlandaise du à son histoire et à moitié portugaise.C'est pas une critique c'est juste pour répondre à ta question et comme j'ai pas lu les coms je ne sais pas si on t'a répondu.
Je reprends. Punaise la tirade de Jane, c'est pas demain que l'on entend ça dans la bouche de Jane enfin pas aussi clairement même s'il a déjà fait allusion à la beauté de Lisbon.
Tu les épargnes pas tout les deux et les remarques cinglantes de Lisbon sont tellement vraies et encore une fois, qu'est ce que j'aimerai qu'elle les lui dise parfois dans la série. Juste pour le faire cogiter, enfin surtout dans cette saison 4.
Et j'aime comme on passe d'une situation tendue avec une Lisbon qui menace Jane à une réplique délirante, inattendue et qui me fait conclure ce chapitre avec un grand sourire.
Chapitre 3:
Je crois que je te l'ai déjà dit mais je l'aime ce Dulaine et les profs de sport en général comme ça sont tellement rares, quand on fait de la compet souvent il n'y a que la victoire qui compte. J'aime ce personnage de plus en plus si c'est possible.
Il est quand même agaçant Jane même dans tes fics et j'aime bien les petites pics qui lancent que ce soit à Dulaine, 0 Lisbon ou à Anna (ben oui je peux pas redire Dulaine tu me croirais folle).
J'aime beaucoup l'amour que se porte Anna et Pierre mais j'ai peur, je trouve Jane suspicieux et je voudrai pas m'attacher à Anna alors qu'elle a tué.
Oh en effet je vais me méfier d'Anna avec son "Plait il" et puis Jane qui n'en manque pas une. C'est vraiment une sainte Lisbon, y'a pas à dire. Elle aurait pu le flinguer sur place.
Et Dulaine qui rentre dans le jeu de Jane. Là c'est franchement drôle à lire et je m'imagine l'air paniquer de Lisbon sans soucis mais c'est ma petite Lisbon alors je peux pas m'empêcher de la plaindre quelque peu.
Anna m'intrigue vraiment et la robe rouge doit avoir une signification. C'est pas toi qui a dit que tu étais nulle dans les enquêtes et ben qu'est ce que ça doit être si tu étais douée.
Monsieur je sais tout pour finir mais le baisemain est si attendrissant. J'aime cette fic c'est définitif mais là il se fait tard alors je crois que je lirais les autres chapitres plus tard. Merci pour ces petits moments de bonheur
Juste j'ai eu un soucis pour arriver au chapitre 2, le lien me renvoi au chapitre un
Chapitre 2:
J'aime à chaque fois tes entrées en matière et voir l'équipe galérait à résoudre une enquête c'est toujours plaisant à voir surtout avec Jane à leur coté.
Plus j'avance dans la lecture, plus je crains le pire pour le plan de Jane et la pauvre Lisbon qui est obligé de suivre avec.
J'aime bien voir Rigs toujours aussi benêt et VP est VP quoi. En fait, tu ne déroges jamais à ce que l'on connait des persos dans la série, ce qui permet de visualiser toutes les scènes parfaitement, de lire ta fic comme on regarde un épisode. Qu'est ce que j'aime ça.
J'en étais sur qu'il avait une idée, il est vraiment taquin et pauvre Lisbon obligé de rentrer dans ses plans sans rien savoir. Je la plains et je ne peux pas m'en empêcher c'est plus fort que moi.
Je l'aime bien ce Dulaine et puis son rapport avec les deux et notamment Jane précisément là où j'en suis de ma lecture me plait de plus en plus. Donc en plus d'être fidèle aux personnages de la série, tu as des persos propres géniaux. Un régal en somme.
Je dois dire que pour la scène où Lisbon le fait rentrer de force dans la loge, je n'ai pas cru au départ que c'était elle à cause des deux bras basanés, j'ai cru qu'on allait s'en prendre à Jane et je me demandais comment ils avaient fait pour savoir. Bref, j'ai adoré la scène entre Jane et Lisbon, c'est tellement eux. Mais d'un coté je fais car le coup des secrets est malheureusement bien vrai et c'est bien triste. Enfin, profitons de la légèreté de ta fic et du fait que ce soit la tenue qui soit en cause.
Oh la dispute et la phrase cinglante de Lisbon, qu'est ce que j'aimerai un truc comme ça dans la série mais pour une chose plus sérieuse et la réaction de Jane (sans ça tirade juste son désarroi) Tu me vends du rêve là.
Ah oui je n'avais pas relever pour l'hispanisation de Lisbon. En fait tous le monde la voit avec des origines irlandaises car dans un tweet des scénaristes, ils considèrent Lisbon comme à moitié irlandaise (ça je pense qu'ils ont gardé l'histoire de Robin et l'histoire de Chicago qui est connu pour avoir une grande communauté irlandaise du à son histoire et à moitié portugaise.C'est pas une critique c'est juste pour répondre à ta question et comme j'ai pas lu les coms je ne sais pas si on t'a répondu.
Je reprends. Punaise la tirade de Jane, c'est pas demain que l'on entend ça dans la bouche de Jane enfin pas aussi clairement même s'il a déjà fait allusion à la beauté de Lisbon.
Tu les épargnes pas tout les deux et les remarques cinglantes de Lisbon sont tellement vraies et encore une fois, qu'est ce que j'aimerai qu'elle les lui dise parfois dans la série. Juste pour le faire cogiter, enfin surtout dans cette saison 4.
Et j'aime comme on passe d'une situation tendue avec une Lisbon qui menace Jane à une réplique délirante, inattendue et qui me fait conclure ce chapitre avec un grand sourire.
Chapitre 3:
Je crois que je te l'ai déjà dit mais je l'aime ce Dulaine et les profs de sport en général comme ça sont tellement rares, quand on fait de la compet souvent il n'y a que la victoire qui compte. J'aime ce personnage de plus en plus si c'est possible.
Il est quand même agaçant Jane même dans tes fics et j'aime bien les petites pics qui lancent que ce soit à Dulaine, 0 Lisbon ou à Anna (ben oui je peux pas redire Dulaine tu me croirais folle).
J'aime beaucoup l'amour que se porte Anna et Pierre mais j'ai peur, je trouve Jane suspicieux et je voudrai pas m'attacher à Anna alors qu'elle a tué.
Oh en effet je vais me méfier d'Anna avec son "Plait il" et puis Jane qui n'en manque pas une. C'est vraiment une sainte Lisbon, y'a pas à dire. Elle aurait pu le flinguer sur place.
Et Dulaine qui rentre dans le jeu de Jane. Là c'est franchement drôle à lire et je m'imagine l'air paniquer de Lisbon sans soucis mais c'est ma petite Lisbon alors je peux pas m'empêcher de la plaindre quelque peu.
Anna m'intrigue vraiment et la robe rouge doit avoir une signification. C'est pas toi qui a dit que tu étais nulle dans les enquêtes et ben qu'est ce que ça doit être si tu étais douée.
Monsieur je sais tout pour finir mais le baisemain est si attendrissant. J'aime cette fic c'est définitif mais là il se fait tard alors je crois que je lirais les autres chapitres plus tard. Merci pour ces petits moments de bonheur
Daidi- Co-admin
- Personnage préféré : Lisbon
Re: Rouge tango ^
J'ai eu le plaisir de lire ton dernier chapitre et je dois t'avouer que ça a été un vrai plaisir. J'avais bien vu pour la coupable, en même temps tu nous as beaucoup poussé vers elle que ça crevait les yeux xD
J'ai de la peine pour monsieur Dulaine et sa femme. Elle qui voyait un rêve brisé et lui qui ne se rendait pas compte de la souffrance de sa femme...
Enfin, ces petits moment jisbonnesques super touchant et léger...
Vivement l'épilogue et pis surtout la danse entre Jane et Lisbon !!!
J'ai de la peine pour monsieur Dulaine et sa femme. Elle qui voyait un rêve brisé et lui qui ne se rendait pas compte de la souffrance de sa femme...
Enfin, ces petits moment jisbonnesques super touchant et léger...
Vivement l'épilogue et pis surtout la danse entre Jane et Lisbon !!!
Re: Rouge tango ^
JisbonAddict a écrit:Johel a écrit:Qu'est ce que cela donnerait si tu étais douée pour les enquêtes, non parce que là tu nous fait une superbe démonstration des talents du consultant
Tu as mené cette histoire de main de maître
On comprend que Jane a manipulé Anna pour l'amener là où il le voulait...la robe...quelle idée
Quand à l'amour de Pierre pour sa femme, un homme de coeur jusqu'au bout...
Au final Jane et Lisbon se sentent presque coupables d'avoir arrêté Anna
Quand au petit mot...Tu as probablement brisé le coeur des Jisbonneuses
Mais moi je reste sur ma faim...j'ai pô eu le tango
pour ce chapitre
Et vivement l'épilogue !
Johel a déjà tout dit, alors que dire de plus
A part...
Je veux LE TANGO LE TANGO LE TANGO
Et...
L'EPILOGUE L'EPILOGUE L'EPILOGUE !!!
bon, tout est dit alors... je plussois
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Rouge tango ^
Bah tout à déjà été dit avant je plussois également cette fic est géniale^^.
Luna- Gardien du parking
- Personnage préféré : Lisbon, cho, jane
Loisirs : Regarder séries et des films, lire des fanfics sur tout et n'importe quoi, dessiner, écrire, chanter, l'équitation etc ....
Localisation : Bah si je vous le disais ce serais plus drôle !
Re: Rouge tango ^
Un chapitre à couper le souffle! Tu as superbement bien mené les propos de notre Jane préféré, coupant la femme dans ses explications hasardeuses et ayant toujours le dessus mentalement!
J'adore
Vivement l'épilogue qui , je l'espère fortement, fera entrer en jeu le TANGO!!!
^^
VLS
J'adore
Vivement l'épilogue qui , je l'espère fortement, fera entrer en jeu le TANGO!!!
^^
VLS
gabicoon- Distributeur de café
- Personnage préféré : Jane
Localisation : France, Gironde (33)
Re: Rouge tango ^
C'est re moi pour la suite de ta fic
Chapitre 4:
J'adore Cho qui casse Van Pelt et Rigsby dans leur enthousiasme avec son "rien". Et le reste de la conversation avec pour conclure tout ça le "Tu me saoules", je crois que tu commences fort ce chapitre. Comme c'est facile d'imaginer la scène.
Punaise tu es aussi taquine que Jane, j'aurai pensé savoir de quoi il était question sur le bout de papier mais que nenni tu maintiens le suspens. Et même si parfois je déteste Lisbon pour suivre Jane les yeux fermés je dois dire que souvent cela donne lieu à des scènes vraiment plaisantes et je sens que ça va être le cas ici.
Quand j'ai dit que j'adorais Dulaine, en fait le mot n'est pas assez fort, je le vénère pour les mots qu'il trouve à dire à Lisbon. Ma petite Lisbon montre lui à Jane de quoi tu es capable, qu'il reste la bouche ouverte et l'esprit embrumé.
Et voir Lisbon virevoltait est toujours plaisant, pour une fois qu'elle n'est pas tournée en ridicule. Et la réaction de Van Pelt et Risgby est vraiment marrante à lire.
L'explication de la robe fait jour, ça je m'en doutais que ce n'était pas anodin. Et franchement, elle doit être flattée Lisbon d'être traitée de beauté énigmatique car je n'aurais pas pensé à cet adjectif pour la décrire.
Oh non pas Anna, ils faisaient un beau couple. Pff, qu'est ce que je l'aime pas Jane dans ces moments là. Je savais qu'il ne fallait pas que je m'attache à elle. Bon c'est pas fait c'est sur mais pourquoi il serait dans sa loge et puis pourquoi cette détresse en voyant Lisbon dansait avec son mari et si elle avait connu la même chose avec Ellen.
Oh ça sent pas bon vu les tourments de Lisbon. Et pour une fois qu'elle aurait pu s'auto congratuler, j'espère qu'elle en aura l'occasion car là elle profite pas de ce moment de bonheur :/
Oh ben si finalement, il est bien ce Pierre et dire qu'il va avoir son coeur déchiré. Pff, c'est pas drôle tout ça. Oh j'aime pas du tout que Lisbon fasse ça. Pauvre Pierre, lui qui est tellement gentil, tellement généreux.
Bon je vais direction le 5.
Chapitre 5:
J'ai eu encore un soucis avec le lien qui mène au chapitre 5, je sais pas si ça vient de moi où s'il y a un beugue car ça m'amène sur la page mais pas sur le chapitre alors que normalement tu nous amènes directement au chapitre. Bref c'est pas grave.
Le tête à tête entre Jane et Anna est excellent, on peut s'imaginer sans peine, les mimiques de Jane face à une Anna qui essaye de cacher sa peur d'être découverte. Et puis tu fais monter la tension dans l'échange c'est quelque peu grisant, ce que j'arrive à ressentir en te lisant.
Ca y est j'ai mon explication pour la robe. Il est en effet brillant Jane (je te jure que ça me coute de dire ça vraiment) Puis punaise elle a un mari des plus aimants, cette semi déclaration envers lui en reconnaissant qu'il était là pour elle est c'est assez triste surtout quand on sait ce qu'elle a fait. Pfff.
Il est quand même cruel Jane même s'il faut la faire craquer mais dire tout ça sur un ton des plus posé ça fait mal. C'est bête à dire mais je comprends le désarroi d'Anna et sa jalousie.
Euh finalement, je ne l'aime pas trop cette Anna, enfin je sais pas, je n'aime pas la manière dont elle parle à Jane pour se défendre plutôt.
Et par contre le "Et voilà" même si ce n'est pas sur un ton jovial, je le lui aurais fait manger à Jane. D'ailleurs j'imagine pas Jane dire son Et voilà sans le petit ton et le petit sourire en coin donc c'est peut être pour ça. Pauvre Mr Dulaine. Pffff
Et tu m'achèves avec la déclaration d'Anna à son mari, ce moment rien qu'à eux mais tellement pénible. Et le geste de son mari pour la soutenir, un tendre baiser. Et puis le voir culpabiliser ainsi. Il me fait vraiment de la peine cet homme.
Et puis tu arrives a me redessiner un sourire en mettant en parallèle les gestes et les non paroles de Dulaine et sa femme avec ceux de Jane et Lisbon et c'est attendrissant dans ce moment là si pénible mais le sourire reste triste avec la fin de la phrase et son infaillibilité.
Et une fois de plus les non dits entre Jane et Lisbon reprennent leurs droits ils sont désespérants ces deux là même si c'est dur, ça fait mal, je trouve que les silences sont pires.
Oh et j'ai eu ce qu'il y avait écrit sur le message.
Bon ben voilà une jolie fic s'achève et je vais attendre patiemment le tango et l'épilogue.
Chapitre 4:
J'adore Cho qui casse Van Pelt et Rigsby dans leur enthousiasme avec son "rien". Et le reste de la conversation avec pour conclure tout ça le "Tu me saoules", je crois que tu commences fort ce chapitre. Comme c'est facile d'imaginer la scène.
Punaise tu es aussi taquine que Jane, j'aurai pensé savoir de quoi il était question sur le bout de papier mais que nenni tu maintiens le suspens. Et même si parfois je déteste Lisbon pour suivre Jane les yeux fermés je dois dire que souvent cela donne lieu à des scènes vraiment plaisantes et je sens que ça va être le cas ici.
Quand j'ai dit que j'adorais Dulaine, en fait le mot n'est pas assez fort, je le vénère pour les mots qu'il trouve à dire à Lisbon. Ma petite Lisbon montre lui à Jane de quoi tu es capable, qu'il reste la bouche ouverte et l'esprit embrumé.
Et voir Lisbon virevoltait est toujours plaisant, pour une fois qu'elle n'est pas tournée en ridicule. Et la réaction de Van Pelt et Risgby est vraiment marrante à lire.
L'explication de la robe fait jour, ça je m'en doutais que ce n'était pas anodin. Et franchement, elle doit être flattée Lisbon d'être traitée de beauté énigmatique car je n'aurais pas pensé à cet adjectif pour la décrire.
Oh non pas Anna, ils faisaient un beau couple. Pff, qu'est ce que je l'aime pas Jane dans ces moments là. Je savais qu'il ne fallait pas que je m'attache à elle. Bon c'est pas fait c'est sur mais pourquoi il serait dans sa loge et puis pourquoi cette détresse en voyant Lisbon dansait avec son mari et si elle avait connu la même chose avec Ellen.
Oh ça sent pas bon vu les tourments de Lisbon. Et pour une fois qu'elle aurait pu s'auto congratuler, j'espère qu'elle en aura l'occasion car là elle profite pas de ce moment de bonheur :/
Oh ben si finalement, il est bien ce Pierre et dire qu'il va avoir son coeur déchiré. Pff, c'est pas drôle tout ça. Oh j'aime pas du tout que Lisbon fasse ça. Pauvre Pierre, lui qui est tellement gentil, tellement généreux.
Bon je vais direction le 5.
Chapitre 5:
J'ai eu encore un soucis avec le lien qui mène au chapitre 5, je sais pas si ça vient de moi où s'il y a un beugue car ça m'amène sur la page mais pas sur le chapitre alors que normalement tu nous amènes directement au chapitre. Bref c'est pas grave.
Le tête à tête entre Jane et Anna est excellent, on peut s'imaginer sans peine, les mimiques de Jane face à une Anna qui essaye de cacher sa peur d'être découverte. Et puis tu fais monter la tension dans l'échange c'est quelque peu grisant, ce que j'arrive à ressentir en te lisant.
Ca y est j'ai mon explication pour la robe. Il est en effet brillant Jane (je te jure que ça me coute de dire ça vraiment) Puis punaise elle a un mari des plus aimants, cette semi déclaration envers lui en reconnaissant qu'il était là pour elle est c'est assez triste surtout quand on sait ce qu'elle a fait. Pfff.
Il est quand même cruel Jane même s'il faut la faire craquer mais dire tout ça sur un ton des plus posé ça fait mal. C'est bête à dire mais je comprends le désarroi d'Anna et sa jalousie.
Euh finalement, je ne l'aime pas trop cette Anna, enfin je sais pas, je n'aime pas la manière dont elle parle à Jane pour se défendre plutôt.
Et par contre le "Et voilà" même si ce n'est pas sur un ton jovial, je le lui aurais fait manger à Jane. D'ailleurs j'imagine pas Jane dire son Et voilà sans le petit ton et le petit sourire en coin donc c'est peut être pour ça. Pauvre Mr Dulaine. Pffff
Et tu m'achèves avec la déclaration d'Anna à son mari, ce moment rien qu'à eux mais tellement pénible. Et le geste de son mari pour la soutenir, un tendre baiser. Et puis le voir culpabiliser ainsi. Il me fait vraiment de la peine cet homme.
Et puis tu arrives a me redessiner un sourire en mettant en parallèle les gestes et les non paroles de Dulaine et sa femme avec ceux de Jane et Lisbon et c'est attendrissant dans ce moment là si pénible mais le sourire reste triste avec la fin de la phrase et son infaillibilité.
Et une fois de plus les non dits entre Jane et Lisbon reprennent leurs droits ils sont désespérants ces deux là même si c'est dur, ça fait mal, je trouve que les silences sont pires.
Oh et j'ai eu ce qu'il y avait écrit sur le message.
Bon ben voilà une jolie fic s'achève et je vais attendre patiemment le tango et l'épilogue.
Daidi- Co-admin
- Personnage préféré : Lisbon
Re: Rouge tango ^
'Veux la suite por favor , LE TANGO JISBON
sinon BRAVO BRAVO J'AIME TROP ! :DDD
sinon BRAVO BRAVO J'AIME TROP ! :DDD
MissA.- Agent de circulation
- Personnage préféré : Teresa Lisbon ♥ & Patrick Jane
Loisirs : Regarder The Mentalist , Lire et écrire des Fanfics JISB0N (:
Localisation : Sacramento, CA ♥
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