Time to end it. ^
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Re: Time to end it. ^
- Spoiler:
- All my thanks to :
Riza : Je te laisse voir si ton intuition était bonne ou non… Je me sauve, et ne soit pas trop dure avec moi !
Lisbon :
Jane ]Doe : J’espère que tu survivras pour voir la fin !
Mimi
Camille :
Voilà donc pour vous l'avant-dernier chapitre de cette fic, mais j’enchaînerai probablement sur une autre Je remercie ma chère amie Jane Doe pour cette brillante correction !
Voici avec une petite musique à écouter avec https://www.youtube.com/watch?v=UKTSHaiaw4o
Bref, bonne lecture mes amies
***
Chapitre 8 : « Time to end it »
Chapitre 8 : « Time to end it »
Ha La culpabilité. Terrible sentiment qui peut vous ronger jusqu'à l’âme. Ce sentiment, Jane ne le connaissait que trop bien pour prétendre l’ignorer.
Pourquoi ? Pourquoi le sort s’acharnait t-il sur lui ? C’était à se demander s’il n’était pas maudit. D’abord, sa femme et sa petite fille, assassinées à cause de lui, à cause de sa fierté et de son arrogance. Et maintenant Lisbon. Elle n’avait rien fait pour mériter ça, alors pourquoi maintenant ? Pourquoi elle ? Ça, il le savait. Il était devenu très proche de Lisbon et ça n’avait malheureusement pas échappé à John LeRouge. Rien ne lui échappait. Et Lisbon allait faire les frais de son passé.
Il se torturait l’esprit. Etait-elle encore en vie ? Etait-elle morte ? Il déglutit difficilement à cette dernière pensée, son cœur s’accéléra. Il prit une grande inspiration pour se calmer. Si Lisbon venait à mourir, il n’y survivrait certainement pas.
Il frotta ses mains sur son pantalon et se leva de son canapé sur lequel il était assis depuis plusieurs heures, le regard dans le vide.
Il soupira en passant une main dans ses cheveux indisciplinés et se dirigea vers la petite cuisine de l’open space, vide à cette heure-ci. Il regarda l’horloge qui affichait 00h20.
Il se prépara un thé et se perdit une fois de plus dans ses pensées. Le bruit de sa bouilloire le sortit de sa réflexion. Il versa l’eau dans la tasse mais ne fut pas très enthousiaste. Il porta la tasse à ses lèvres, but une gorgée et la vida dans l’évier. Lorsqu’il ne buvait pas son thé, c’est que quelque chose n’allait vraiment pas.
Il prit l’initiative de rentrer au motel pour prendre une douche et se changer. Il prit la direction de l’ascenseur en trainant les pieds, et descendit jusqu’au parking. Il se dirigea vers sa voiture tout en jetant un regard au sol, là où apparaissait encore la tâche de sang due à l’enlèvement.
Il ravala ses larmes et marcha vers sa DS. Il s’assit au volant mais quelque chose attira son attention. Il sortit et prit le papier posé sur son pare-brise. Une adresse. Il fronça les sourcils. C’était forcément un piège, John LeRouge ne donnerait pas une adresse si facilement, sans bonnes raisons.
Il se pinça les lèvres et repensa aux 3 mots de John LeRouge. « L’aimes-tu suffisamment ». Ici, les mots prenaient tout leur sens : « L’aimes-tu suffisamment pour risquer de tomber dans un piège mortel ? ». Evidemment.
Il prit l’adresse et remonta dans les locaux du CBI. Il se dirigea dans le bureau de Lisbon, ouvrit le tiroir de son bureau et prit l’arme qui se trouvait à l’intérieur. Il savait pertinemment que cette histoire ne pouvait se terminer que d’une façon : la mort. Reste à savoir : Qui ?
Il sortit du bureau et jeta un regard vers le bureau de Cho, il se mordit la lèvre inférieure. Devait-il le mettre au courant ? Cho, son plus fidèle ami ? Il prit le papier et y écrit « Time to end it » en bas. Il ravala sa fierté et son envie de vengeance et posa l’adresse sur le bureau de Cho après l’avoir minutieusement mémorisée. Cho se rendrait forcément à cette adresse le lendemain matin.
Jane jeta un dernier regard vers l’open space et partit vers l’ascenseur.
Il grimpa dans sa DS et se rendit à la dite adresse.
***
Dans l’entrepôt, un homme tournait en rond, passant nerveusement une main dans ses cheveux. Il l’avait échappé belle, encore un peu et sa victime serait morte d’un arrêt cardiaque. Heureusement pour lui qu’il avait des notions de médecine sinon il n’aurait pas réussi à la réanimer.
Il s’approcha de la jeune femme assise sur la chaise.
John LeRouge : « Vous allez mieux, Agent Lisbon ? » demanda t-il en s’agenouillant devant elle.
Lisbon : « Foutez-moi la paix » souffla t-elle difficilement.
John LeRouge : « Allons, ma chère, calmez-vous. Notre ami devrait bientôt arriver » dit-il en souriant.
Lisbon : « Qu..Comment ça ? » Demanda t-elle en levant les yeux vers le tueur en série.
John LeRouge : « J’ai convié Patrick à notre petite réunion » dit-il en se levant.
Lisbon : « Il n’est pas aussi bête pour venir ici seul » dit-elle en secouant la tête.
John LeRouge : « Apparemment si, puisqu’il vient de se mettre en route pour nous rejoindre » dit-il en ricanant.
Lisbon : « Vous êtes une ordure ! » hurla t-elle. « Ça ne vous a pas suffi de tuer sa femme et sa fille ? Vous croyez qu’il n’a pas assez souffert ? » Continua t-elle en le regardant fixement. « Vous n’êtes qu’un psychopathe, un minable, vous êtes pathétique. Jane avait raison, vous êtes narcissique et… » Elle eut le souffle coupé par la lame qui venait de s’enfoncer dans sa chair.
John LeRouge : « Taisez-vous » dit-il en enfonçant un peu plus la lame dans le ventre de Lisbon.
Il l’attrapa et la plaqua au mur qui se trouvait derrière la chaise. Il planta la lame une seconde fois dans son abdomen, lui arrachant un cri de douleur.
John LeRouge : « Une dernière faveur, Agent Lisbon ? » dit-il en souriant.
Lisbon : « Oui… » Dit-elle difficilement.
Le tueur la regarda, lui demandant implicitement plus de détails.
Lisbon : « Dites…Dites lui que je…que je n’ai pas souffert » souffla t-elle, ravalant ses sanglots.
John LeRouge : « J’ai beaucoup de défauts, Agent Lisbon, mais le mensonge n’en fait pas partie » dit-il en plantant la lame une troisième fois. Lisbon ne dit rien, elle ne voulait pas hurler, elle ne voulait pas lui faire ce plaisir.
Elle se sentait peu à peu partir, se vider de toutes ses forces jusqu'à s’écrouler au sol. Dans son dernier souffle, elle murmura le nom de celui qu’elle aimait au plus profond d’elle-même. John LeRouge sourit à l’entente du nom de Jane et continua son œuvre.
***
Jane arriva à l’adresse mais ne trouva qu’un entrepôt abandonné. Il haussa les sourcils et sortit de sa DS, vérifiant qu’il était bien armé.
Il marcha en direction de l’entrée et se stoppa net devant la porte. Un sentiment d’appréhension s’insinua en lui. Il prit une grande inspiration et poussa la porte qui s’ouvrit dans un grincement.
Ses pas résonnèrent dans l’entrepôt vide. Il remarqua une porte au fond de la pièce et avança donc vers celle-ci. Au moment où il se décida à tourner la poignée, une voix se fit entendre.
« Monsieur Jane » dit-il d’une voix à en glacer le sang.
Jane frissonna et se retourna. Il ne voyait pas grand-chose à cause de l’obscurité mais il put néanmoins distinguer une silhouette vêtue de noir.
Jane : « Allez, montrez vous ! » dit-il froidement.
La silhouette s’avança vers Jane, dévoilant ainsi son visage.
Jane détailla l’homme. Il mesurait environ 1m80, cheveux bruns et yeux verts. Voilà donc l’homme qui avait détruit sa vie.
« Apparemment, vous l’aimez suffisamment » dit-il en souriant en coin.
Jane haussa les sourcils. « Où est-elle ? » demanda t-il sèchement.
« C’est vous le mentaliste, pas moi » dit-il toujours en affichant ce sourire machiavélique sur son visage.
Jane s’énerva et sortit l’arme qu’il braqua sur John LeRouge qui ricana.
John LeRouge : « Oh je vous en prie, vous savez aussi bien que moi que vous n’êtes pas un adepte des armes, contrairement à votre chère Teresa » dit-il en haussant les épaules.
Jane : « Donnez moi une bonne raison de ne pas vous tuer, parce que là, je n’en vois aucune » dit-il en ancrant son regard dans celui de son adversaire.
John LeRouge : « Qui vous indiquera où se trouve votre chère amie si vous me tuez ? Personne. » Dit-il en haussant les épaules.
Jane tenta tant bien que mal de cacher ses émotions mais ce n’était pas une chose facile étant donné l’état dans lequel il se trouvait maintenant.
John LeRouge soupira. « Elle est derrière cette porte, elle vous attend » dit-il en désignant la porte du doigt.
Jane tourna la tête brièvement vers la porte sans pour autant baisser son arme.
John LeRouge l’encouragea à entrer. « Je ne vous tuerai pas » dit-il, comprenant que Jane ne voulait pas baisser son arme.
Il voulait voir Patrick Jane à terre, détruit une seconde fois.
Jane s’approcha de la porte et posa sa main sur la poignée.
Il la tourna et ouvrit la porte.
Suite et fin au prochain épisode...
Jane Addict- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane
Re: Time to end it. ^
je viens de me rendre compte que je n'avais pas commenté les chapitres précédents, honte à moi
Ta fic'est juste géniale mais la suite me fait peur. Qu'est ce que Jane va découvrir derrière la porte ?
J'espère vraiment que Lisbon va s'en sortir, parce que Jane ne s'en remettra jamais
merci pour cette fic'
VLS
Ju3993- Agent de circulation
- Personnage préféré : Patrick Jane
Re: Time to end it. ^
Tu nous offre encore un excellent chapitre. J'ai aussi peur que hâte de lire la suite.
Invité- Invité
Re: Time to end it. ^
Super chapitre cependant ça me fait vraiment mal, pour ma Lis' (et fais gaffe à ton Jane sinon je risque de le tuer si tu va jusqu'au bout de ton idée...mais tu nous fait quoi? Lisbon....par pitié,ne me dis pas que... . (si tu continues comment ça t'es sûre de m'achever, Sarah-Jane. Si tu tue Lisbon, je crois que je ne m'en remettrais jamais...).
Teresa Lisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Ma Lis' , si magistralement interprêtée par ma sublissisme Roby!
Loisirs : écrire, lire, regarder Castle et Mentalist, rêver du Jisbon...
Localisation : Sur une scène de crime avec l'Agent Spécial Lisbon
Re: Time to end it. ^
Oh là là....il fait mal, ton chapitre !
Du début à la fin, mon cœur a souffert !
D'abord la culpabilité de Jane....Elle est caractéristique du personnage, il n'y a là rien de nouveau....n'empêche que ses réflexions, tournées vers Lisbon, m'émeuvent. La culpabilité, mêlée à l'incertitude du sort, la douloureuse pensée du pire....
J'aime bien l'idée que ce soit l'eau qui arrive à ébullition qui mette un terme à celle de ses pensées !
C'est horrible qu'il reste une preuve matérielle de l'épreuve qu'il traverse.
J'ai beaucoup aimé cette réutilisation des trois mots, et la réponse à la question posée....Qui n'était pas une vraie question, tant on sait tous que Jane met la vie de Lisbon avant la sienne.
La voilà, l'explication du titre de cette fic ! Bon, par contre, je pense que s'il avait effectivement ravalé sa fierté et son envie de vengeance, il aurait appelé Cho immédiatement au lieu de lui laisser une note qu'il ne découvrira que le lendemain matin. Mais il n'y a là rien de surprenant !
L'ensemble de la scène avec Lisbon fait mal aussi. Jusqu'au bout, elle garde sa fierté et sa détermination, mais on sent comme il lui en coûte !
Oh Lisbon ! Tu sais bien que si !
RJ finit par s'en prendre de la pire des manières à Lisbon...Il n'y a là rien d'inattendu mais ça ne retire rien à l'horreur de la scène !
Et dans les pires circonstances, c'est encore et toujours à Jane qu'elle pense, essayant d'adoucir autant que faire se peut la façon dont il vivra la découverte des événements qui se profilent. Sainte Teresa jusqu'au bout !
Une faveur refusée par RJ qui ne va pas laisser passer une occasion de torturer un peu plus le mentaliste....mais d'un autre côté, s'il accédait à la demande de Lisbon, ça jeterait le discrédit sur ses propos....quelle confiance accorder aux mots d'un serial killer ?
C'est horrible ! C'est ainsi que Lisbon rend le souffle : seule, dans une cave, le nom de Jane aux lèvres, à défaut d'avoir pu le revoir. Quand je te disais que ton chapitre faisait mal !
Mais bien entendu, on n'en reste pas là....
Le cynisme de RJ fait mal aussi. Associés au meurtre qu'il vient de commettre, ces mots-là sont vraiment terribles...Oui, il l'aime. Plus que suffisamment. Mais l'amour ne sauve pas de tout...
La désignation de Lisbon, par son prénom, pique également.
Mais finalement, le plus douloureux, c'est ça :
Quand on sait ce qui attend Jane, on a presque envie qu'il ne l'ouvre pas, cette porte !
Parce que la question est moins de savoir où est Lisbon que dans quel état il va la trouver...ça a toujours été la question. RJ avait raison : il ne ment pas. Mais la vérité qu'il impose, celle qu'il crée, est d'une cruauté sans nom...
Oui, vraiment, il fait mal, ton chapitre...et Jane ouvrant la porte, je m'attends à souffrir bien davantage lors du prochain....ce qui ne m'empêche pas de l'attendre avec impatience !
Du début à la fin, mon cœur a souffert !
D'abord la culpabilité de Jane....Elle est caractéristique du personnage, il n'y a là rien de nouveau....n'empêche que ses réflexions, tournées vers Lisbon, m'émeuvent. La culpabilité, mêlée à l'incertitude du sort, la douloureuse pensée du pire....
Jane Addict a écrit:
Le bruit de sa bouilloire le sortit de sa réflexion.
J'aime bien l'idée que ce soit l'eau qui arrive à ébullition qui mette un terme à celle de ses pensées !
Jane Addict a écrit: Il se dirigea vers sa voiture tout en jetant un regard au sol, là où apparaissait encore la tâche de sang due à l’enlèvement.
C'est horrible qu'il reste une preuve matérielle de l'épreuve qu'il traverse.
Jane Addict a écrit:Il se pinça les lèvres et repensa aux 3 mots de John LeRouge. « L’aimes-tu suffisamment ». Ici, les mots prenaient tout leur sens : « L’aimes-tu suffisamment pour risquer de tomber dans un piège mortel ? ». Evidemment.
J'ai beaucoup aimé cette réutilisation des trois mots, et la réponse à la question posée....Qui n'était pas une vraie question, tant on sait tous que Jane met la vie de Lisbon avant la sienne.
Jane Addict a écrit:Il sortit du bureau et jeta un regard vers le bureau de Cho, il se mordit la lèvre inférieure. Devait-il le mettre au courant ? Cho, son plus fidèle ami ? Il prit le papier et y écrit « Time to end it » en bas. Il ravala sa fierté et son envie de vengeance et posa l’adresse sur le bureau de Cho après l’avoir minutieusement mémorisée. Cho se rendrait forcément à cette adresse le lendemain matin.
La voilà, l'explication du titre de cette fic ! Bon, par contre, je pense que s'il avait effectivement ravalé sa fierté et son envie de vengeance, il aurait appelé Cho immédiatement au lieu de lui laisser une note qu'il ne découvrira que le lendemain matin. Mais il n'y a là rien de surprenant !
L'ensemble de la scène avec Lisbon fait mal aussi. Jusqu'au bout, elle garde sa fierté et sa détermination, mais on sent comme il lui en coûte !
Jane Addict a écrit:
Lisbon : « Il n’est pas aussi bête pour venir ici seul » dit-elle en secouant la tête.
Oh Lisbon ! Tu sais bien que si !
RJ finit par s'en prendre de la pire des manières à Lisbon...Il n'y a là rien d'inattendu mais ça ne retire rien à l'horreur de la scène !
Jane Addict a écrit:John LeRouge : « Une dernière faveur, Agent Lisbon ? » dit-il en souriant.
Lisbon : « Oui… » Dit-elle difficilement.
Le tueur la regarda, lui demandant implicitement plus de détails.
Lisbon : « Dites…Dites lui que je…que je n’ai pas souffert » souffla t-elle, ravalant ses sanglots.
Et dans les pires circonstances, c'est encore et toujours à Jane qu'elle pense, essayant d'adoucir autant que faire se peut la façon dont il vivra la découverte des événements qui se profilent. Sainte Teresa jusqu'au bout !
Une faveur refusée par RJ qui ne va pas laisser passer une occasion de torturer un peu plus le mentaliste....mais d'un autre côté, s'il accédait à la demande de Lisbon, ça jeterait le discrédit sur ses propos....quelle confiance accorder aux mots d'un serial killer ?
Jane Addict a écrit:Elle se sentait peu à peu partir, se vider de toutes ses forces jusqu'à s’écrouler au sol. Dans son dernier souffle, elle murmura le nom de celui qu’elle aimait au plus profond d’elle-même. John LeRouge sourit à l’entente du nom de Jane et continua son œuvre.
C'est horrible ! C'est ainsi que Lisbon rend le souffle : seule, dans une cave, le nom de Jane aux lèvres, à défaut d'avoir pu le revoir. Quand je te disais que ton chapitre faisait mal !
Mais bien entendu, on n'en reste pas là....
Jane Addict a écrit:« Apparemment, vous l’aimez suffisamment » dit-il en souriant en coin.
Le cynisme de RJ fait mal aussi. Associés au meurtre qu'il vient de commettre, ces mots-là sont vraiment terribles...Oui, il l'aime. Plus que suffisamment. Mais l'amour ne sauve pas de tout...
Jane Addict a écrit:John LeRouge : « Oh je vous en prie, vous savez aussi bien que moi que vous n’êtes pas un adepte des armes, contrairement à votre chère Teresa » dit-il en haussant les épaules.
La désignation de Lisbon, par son prénom, pique également.
Mais finalement, le plus douloureux, c'est ça :
Jane Addict a écrit: John LeRouge soupira. « Elle est derrière cette porte, elle vous attend » dit-il en désignant la porte du doigt.
Quand on sait ce qui attend Jane, on a presque envie qu'il ne l'ouvre pas, cette porte !
Parce que la question est moins de savoir où est Lisbon que dans quel état il va la trouver...ça a toujours été la question. RJ avait raison : il ne ment pas. Mais la vérité qu'il impose, celle qu'il crée, est d'une cruauté sans nom...
Oui, vraiment, il fait mal, ton chapitre...et Jane ouvrant la porte, je m'attends à souffrir bien davantage lors du prochain....ce qui ne m'empêche pas de l'attendre avec impatience !
Re: Time to end it. ^
Ma Sarah ! Je ne te laisse pas un long commentaire, je réserve ça pour le dernier chapitre !
Comme je m'y attendais, ce chapitre est juste une torture mentale ! Et j'ai très peur pour la suite !
C'est toujours super bien écrit, et comme le disait Jane Doe, ça rend l'histoire encore plus triste !
La seule remarque que je ferai est pour la toute fin : J'adore la façon dont tu reprend la découverte par Jane de sa famille, mais cette fois-ci pour Lisbon. Ca rend la chose encore plus tragique !
Bref, un grand bravo et vivement la suite !
Comme je m'y attendais, ce chapitre est juste une torture mentale ! Et j'ai très peur pour la suite !
C'est toujours super bien écrit, et comme le disait Jane Doe, ça rend l'histoire encore plus triste !
La seule remarque que je ferai est pour la toute fin : J'adore la façon dont tu reprend la découverte par Jane de sa famille, mais cette fois-ci pour Lisbon. Ca rend la chose encore plus tragique !
Bref, un grand bravo et vivement la suite !
Re: Time to end it. ^
Je vais faire un texte de remerciements commun cette fois-ci.
Merci à toutes celles qui m’ont suivies tout au long de mes fics, et donc de celle-ci avec…Je pense en particulier à Riza & Jane Doe mais je remercie toutes les autres commentatrices !
Merci à la grande et fabuleuse Jane Doe d’avoir corriger cette fic, sans elle, elle serait incompréhensible… .
Jane s’approcha de la porte et posa sa main sur la poignée.
Il la tourna et ouvrit la porte.
Cette scène le renvoya plusieurs années en arrière, lorsqu’il avait découvert les corps de sa femme et de sa fille. Il était là, figé sur pas de la porte, regardant fixement le smiley qui le narguait sur le mur d’en face.
Il ne voulait pas baisser les yeux, il savait pertinemment ce qu’il allait trouver. Il lâcha l’arme qu’il avait en main sans vraiment s’en rendre compte.
Il prit une grande inspiration et se décida à baisser les yeux vers le sol et là, son cœur se brisa pour la seconde fois.
Les larmes vinrent d’elles-mêmes sans qu’il ne puisse les retenir. Elles coulaient sur ses joues pour s’échouer sur sa chemise. Il ne put avancer dans la pièce, il ne put voir cette horreur de plus près. Lisbon était là, gisant sous le Smiley sanglant.
« Non, non, non » souffla t-il sans cesse en prenant son visage entre ses mains tremblantes. « Lisbon » murmura t-il entre deux flots de larmes.
John LeRouge : « Si ça peut vous rassurer, ses dernières pensées étaient pour vous, Monsieur Jane » dit-il en haussant les épaules.
Jane se retourna vivement, le regard plus noir que jamais. La haine se lisait sur son visage.
« Je vais vous tuer » souffla t-il froidement.
John LeRouge : « Avec quelle arme ? » demanda t-il en agitant l’arme que Jane avait fait tomber.
Jane serra les poings. Il regarda au sol et remarqua qu’en effet, l’arme ne s’y trouvait plus.
John LeRouge : « Avancez » dit-il en désignant la pièce d’un signe de tête. Jane secoua la tête de droite à gauche. « Avancez » dit-il en le braquant.
Jane soupira et se résigna à avancer dans la pièce, évitant de laisser ses yeux tomber sur le corps de Lisbon.
John LeRouge attrapa violemment Jane par le col et le plaqua au mur.
John LeRouge : « Ah vous savez, c’était une femme forte, elle ne m’a même pas supplié de la laisser en vie » dit-il en souriant. « Elle m’a juste demandé de vous dire qu’elle n’avait pas souffert, mais vous savez aussi bien que moi que c’est faux » dit-il, toujours souriant.
Jane serra les dents mais ne dit rien. Les larmes avaient désormais cessé de couler mais son cœur souffrait toujours autant.
John LeRouge : « Je l’entends encore soupirer un petit « Jane » alors que ma lame entrait dans sa chair » dit-il en riant.
Jane le fixa et ses yeux divaguèrent d’eux même vers Lisbon. Elle était si pâle.
Jane : « C’est bon, vous avez terminé votre speech ? » dit-il froidement.
John LeRouge ricana. « Donnez-moi une bonne raison de ne pas vous tuer sur le champ » dit-il en prenant soin de reprendre les paroles de Jane.
Jane : « Je n’en vois aucune » dit-il en le fixant. « Allez-y, tuez moi » dit-il sérieusement en haussant les épaules.
John LeRouge rit et l’attrapa par la chemise pour le jeter au sol. Jane tomba à côté du corps de Lisbon. Il ne put retenir un cri d’horreur et évita de détourner la tête en voyant qu’il se trouvait à côté de sa Lisbon.
John LeRouge le braqua, un sourire machiavélique aux lèvres. « C’est vraiment trop facile avec vous, Monsieur Jane » dit-il en secouant la tête. « D’abord votre femme et votre fille, ensuite votre bien- aimée patronne et après ce sera quoi ? » dit-il en souriant.
Jane : « Qui vous dit qu’il y aura un « Après » ?» dit-il en mimant les guillemets.
John LeRouge émit un léger « Hum hum » avant d’enlever le cran de sécurité. « Une dernière volonté, Monsieur Jane ? » dit-il en le pointant.
Jane : « Allez en enfer » lui cracha t-il au visage.
John LeRouge : « Oh mais j’y compte bien » dit-il avec un sourire en coin.
Jane ferma les yeux, anticipant le moment où John LeRouge tirerait. Une détonation résonna et il ne put empêcher un cri de s’échapper.
Quelques minutes plus tard, il rouvrit les yeux, pensant découvrir John LeRouge mais tout ce qu’il vit fut Cho et Rigsby, armes en mains, John LeRouge au sol.
Il resta bouche bée quelques minutes avant de reprendre ses esprits.
Cho et Rigsby avaient le regard figé sur la scène qui s’offrait à eux. Rigsby sortit de la maison en courant, pâle et tremblant. Cho, d’habitude si stoïque, ne put réprimer un cri d’horreur.
Cho s’approcha de Jane, visiblement en état de choc. Il s’agenouilla, prit le pouls de Lisbon, pour voir s’il n’y avait vraiment plus rien à faire. Il soupira bruyamment en secouant la tête.
Cho : « Merde, c’est pas vrai ! Jane, tu vas bien ? » Dit-il en voyant Jane pâle et haletant.
Jane le regarda et souffla un « Lis…Lisbon » avant de se retourner lentement vers Lisbon, derrière lui.
Il était tellement choqué qu’il n’avait même pas remarqué que Cho était agenouillé à ses côtés.
Il se retourna complètement et se mit à genoux. Il regarda longuement le corps de sa patronne, avant qu’un flot de larme ne se déverse sur ses joues.
Jane : « Par…Pardonnez-moi Lisbon » pleura t-il en caressant son visage inerte.
Il se redressa légèrement et quelque chose tomba de sa poche. Il baissa les yeux sur le sol et vit la croix de Lisbon. Il ne lui en fallut pas plus pour que ses sanglots redoublent d’intensité.
Cho : « Je te laisse quelques…minutes. Je vais voir si les renforts sont là… » dit-il difficilement en posant sa main sur l’épaule de Jane.
Jane acquiesça d’un faible signe de tête sans se retourner.
Il prit la croix entre ses doigts et la contempla longuement. Il reporta son regard sur le visage de Lisbon qui semblait si sereine, comme si elle était plongée dans un profond sommeil. Il releva doucement sa nuque et passa la croix autour et la raccrocha à son cou.
Il soupira et reposa doucement la tête de Lisbon sur le sol.
Jane : « Je n’ai jamais cru au paradis Lisbon, mais j’espère que là où vous êtes, vous avez trouvé la paix » dit-il en contemplant son visage.
Il se pencha en avant et déposa un long baiser sur le front de Lisbon, laissant ses larmes s’échouer sur son visage.
Jane : « Adieu Teresa » dit-il entre deux sanglots.
Il se leva, regarda une dernière fois le Smiley et sortit de l’entrepôt.
A peine sortit du bâtiment, il fut ébloui par la lumière du soleil. Tous les regards se tournèrent vers lui. Les ambulanciers et les autres agents du CBI étaient déjà là.
Il fit un pas puis un autre jusqu'à arriver devant Cho et Rigsby qui le regardait, les yeux rougis.
Aucun mot ne fut échangé. Cho posa sa main sur l’épaule de Jane qui gardait la tête baissée.
Cho : « Allez, on y va ça sert à rien de rester ici » dit-il en prenant la direction du SUV.
Jane acquiesça et jeta un regard vers les deux civières qui sortaient de l’entrepôt. Il remarqua immédiatement que la seconde transportait un corps plus petit. Lisbon.
Il soupira et fut sorti de ses pensées par Cho qui l’appelait.
Jane prit la direction du SUV lorsqu’une violente douleur lui transperça la poitrine. Il s’appuya sur le capot du véhicule.
Il était terrassé par la douleur et tenait difficilement sur ses deux jambes. Son cœur lui faisait terriblement mal. Il entendit la voix de Cho hurler son nom et il put l’apercevoir s’approcher.
Jane : « Je…suis…désolé » murmura t-il avant de s’écrouler au sol.
Cho : « Merde ! Il me faut de l’aide ici ! » Hurla t-il à l’attention des ambulanciers, qui arrivèrent vite vers eux. « Allez Jane, tiens bon » souffla t-il au consultant qui avait désormais fermé les yeux.
Les deux ambulanciers se regardèrent mutuellement en haussant les sourcils avant d’emporter Jane en ambulance.
Quelques heures plus tard à l’hôpital de Sacramento.
Cho, Rigsby et Van Pelt attendaient dans le hall de l’hôpital pour avoir des nouvelles de leur ami.
Ils étaient désemparés et profondément blessés par la mort de leur patronne, et amie. Van Pelt avait du mal à sécher ses larmes alors que Rigsby et Cho restaient silencieux.
Ils avaient perdu l’un des membres de leur petite famille et craignaient d’en perdre un second.
Un médecin vint à leur rencontre.
Médecin : « Monsieur Jane ? » dit-il dans le hall. Les 3 collègues se levèrent et se dirigèrent vers le médecin.
Cho : « Oui, nous sommes ses collègues » dit-il
Médecin : « Oui, je me souviens » dit-il en se rappelant la dernière fois où Jane avait eu une crise cardiaque, quelques jours plus tôt.
Van Pelt : « Comment va-t-il ? » s’empressa t-elle de demander.
Médecin : « Et bien, une fois encore, Monsieur Jane a été victime d’une violente crise cardiaque probablement due à une surcharge émotionnelle. » dit-il en lisant le dossier.
Cho : « Oui, notre patronne est décédée aujourd’hui, il a retrouvé son corps » dit-il en baissant la tête. Van Pelt et Rigsby baissèrent la tête aussi.
Pour une personne extérieure, Cho pourrait paraître insensible à la mort de sa patronne, mais il était surement le plus affecté par cette perte. En plus de cela, il était le plus proche de Jane, après Lisbon. S’il venait à perdre Jane aussi, il lui faudrait du temps pour s’en remettre, beaucoup de temps.
Médecin : « Je vois…Monsieur Jane est sous respirateur artificiel, je pense que vous devriez aller lui faire vos adieux » dit-il d’un regard désolé.
Van Pelt : « vous voulez dire que… »
Médecin : « Monsieur Jane ne se réveillera pas cette fois-ci. Il restera sous respirateur encore 2 heures et après nous aurons l’obligation de le débrancher »
Van Pelt fondit en sanglots dans les bras de Rigsby qui ravalait les siens.
Cho cacha son émotion du mieux qu’il put, mais intérieurement, il était brisé.
Médecin : « Venez, je vous conduis à l’endroit où il repose pour le moment » dit-il en se dirigeant vers une chambre de l’hôpital.
Les 3 amis furent conduits à une chambre sombre et insonorisée. Les bruits des machines reliés au cœur de Jane résonnaient en bruit de fond.
Cho fut le premier à s’avancer vers Jane. Il était allongé sur un lit blanc, un tuyau sortait de sa bouche. Il paraissait serein, comme ci rien de tout ça ne s’était passé.
Cho : « Repose en paix, vieux frère » dit-il en posant sa main sur l’épaule de Jane.
Il ne put empêcher une larme de couler sur sa joue mais il la chassa bien vite. Celui qu’il considérait comme « l’emmerdeur » mais qui était, cependant, son meilleur ami, était partit.
Il n'entendrait plus jamais la voix de celui qui figurait parmi les rares personnes qui savaient lui arracher un sourire.
Van Pelt s’avança à son tour et se jeta sur Jane « Je sais que tu ne croyais pas au paradis…Mais j’espère que là où tu es maintenant, tu as enfin trouvé la paix ».
Rigsby s’avança en dernier : « C’est malin Jane…Repose en paix »
Les 3 amis restèrent encore quelques heures avant que les médecins n’arrivent dans la chambre pour débrancher la machine.
Ils restèrent jusqu'à la fin, jusqu'à que la machine affiche une ligne continue, jusqu'à qu’il soit complètement parti.
Ils quittèrent la chambre, tête baissée, ils avaient définitivement perdu les deux piliers de leur petite équipe, qui ne serait plus jamais la même.
Deux jours plus tard, ils se retrouvèrent tous les 3 au cimetière de Sacramento. Leurs deux amis se trouvaient devant eux, deux cercueils en chêne massif, deux pierres tombales.
Sur l’une était marquée : « Teresa Lisbon : 1972 – 2013. Beloved sister and friend »
Sur l’autre était marquée : « Patrick Jane : 1969 – 2013. Beloved Father, husband and friend »
Van Pelt : « Pourquoi ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers ? » demanda t-elle à ses collègues, les larmes aux yeux.
Les deux hommes haussèrent les épaules.
Cho : « Ce qui est sur c’est que le dicton « L’un part, l’autre reste » ne s’appliquait vraiment pas à Jane et Lisbon »
Rigsby : « Oui, ils fonctionnaient en duo, ils ne se quittaient presque jamais » dit-il un léger sourire aux lèvres.
Van Pelt : « Ils auront été ensemble du début à la fin » dit-elle en soupirant.
Cho et Rigsby ne purent qu’acquiescer.
Ils se regardèrent tous et prirent la décision de quitter le cimetière, pour laisser les deux amis reposer en paix éternellement.
Merci à toutes celles qui m’ont suivies tout au long de mes fics, et donc de celle-ci avec…Je pense en particulier à Riza & Jane Doe mais je remercie toutes les autres commentatrices !
Merci à la grande et fabuleuse Jane Doe d’avoir corriger cette fic, sans elle, elle serait incompréhensible… .
J’aime écrire, mais je n’aime pas finir d’écrire une fic…J’adore mes personnages et j’ai un petit pincement au cœur quand j’en termine une, en particulier celle-ci…
Bref…voici la petite musique qui va avec..https://www.youtube.com/watch?v=qI3urAES-g8A bientôt pour une nouvelle fic !
***
Chapitre 9 : « The end »
***
Chapitre 9 : « The end »
Jane s’approcha de la porte et posa sa main sur la poignée.
Il la tourna et ouvrit la porte.
Cette scène le renvoya plusieurs années en arrière, lorsqu’il avait découvert les corps de sa femme et de sa fille. Il était là, figé sur pas de la porte, regardant fixement le smiley qui le narguait sur le mur d’en face.
Il ne voulait pas baisser les yeux, il savait pertinemment ce qu’il allait trouver. Il lâcha l’arme qu’il avait en main sans vraiment s’en rendre compte.
Il prit une grande inspiration et se décida à baisser les yeux vers le sol et là, son cœur se brisa pour la seconde fois.
Les larmes vinrent d’elles-mêmes sans qu’il ne puisse les retenir. Elles coulaient sur ses joues pour s’échouer sur sa chemise. Il ne put avancer dans la pièce, il ne put voir cette horreur de plus près. Lisbon était là, gisant sous le Smiley sanglant.
« Non, non, non » souffla t-il sans cesse en prenant son visage entre ses mains tremblantes. « Lisbon » murmura t-il entre deux flots de larmes.
John LeRouge : « Si ça peut vous rassurer, ses dernières pensées étaient pour vous, Monsieur Jane » dit-il en haussant les épaules.
Jane se retourna vivement, le regard plus noir que jamais. La haine se lisait sur son visage.
« Je vais vous tuer » souffla t-il froidement.
John LeRouge : « Avec quelle arme ? » demanda t-il en agitant l’arme que Jane avait fait tomber.
Jane serra les poings. Il regarda au sol et remarqua qu’en effet, l’arme ne s’y trouvait plus.
John LeRouge : « Avancez » dit-il en désignant la pièce d’un signe de tête. Jane secoua la tête de droite à gauche. « Avancez » dit-il en le braquant.
Jane soupira et se résigna à avancer dans la pièce, évitant de laisser ses yeux tomber sur le corps de Lisbon.
John LeRouge attrapa violemment Jane par le col et le plaqua au mur.
John LeRouge : « Ah vous savez, c’était une femme forte, elle ne m’a même pas supplié de la laisser en vie » dit-il en souriant. « Elle m’a juste demandé de vous dire qu’elle n’avait pas souffert, mais vous savez aussi bien que moi que c’est faux » dit-il, toujours souriant.
Jane serra les dents mais ne dit rien. Les larmes avaient désormais cessé de couler mais son cœur souffrait toujours autant.
John LeRouge : « Je l’entends encore soupirer un petit « Jane » alors que ma lame entrait dans sa chair » dit-il en riant.
Jane le fixa et ses yeux divaguèrent d’eux même vers Lisbon. Elle était si pâle.
Jane : « C’est bon, vous avez terminé votre speech ? » dit-il froidement.
John LeRouge ricana. « Donnez-moi une bonne raison de ne pas vous tuer sur le champ » dit-il en prenant soin de reprendre les paroles de Jane.
Jane : « Je n’en vois aucune » dit-il en le fixant. « Allez-y, tuez moi » dit-il sérieusement en haussant les épaules.
John LeRouge rit et l’attrapa par la chemise pour le jeter au sol. Jane tomba à côté du corps de Lisbon. Il ne put retenir un cri d’horreur et évita de détourner la tête en voyant qu’il se trouvait à côté de sa Lisbon.
John LeRouge le braqua, un sourire machiavélique aux lèvres. « C’est vraiment trop facile avec vous, Monsieur Jane » dit-il en secouant la tête. « D’abord votre femme et votre fille, ensuite votre bien- aimée patronne et après ce sera quoi ? » dit-il en souriant.
Jane : « Qui vous dit qu’il y aura un « Après » ?» dit-il en mimant les guillemets.
John LeRouge émit un léger « Hum hum » avant d’enlever le cran de sécurité. « Une dernière volonté, Monsieur Jane ? » dit-il en le pointant.
Jane : « Allez en enfer » lui cracha t-il au visage.
John LeRouge : « Oh mais j’y compte bien » dit-il avec un sourire en coin.
Jane ferma les yeux, anticipant le moment où John LeRouge tirerait. Une détonation résonna et il ne put empêcher un cri de s’échapper.
Quelques minutes plus tard, il rouvrit les yeux, pensant découvrir John LeRouge mais tout ce qu’il vit fut Cho et Rigsby, armes en mains, John LeRouge au sol.
Il resta bouche bée quelques minutes avant de reprendre ses esprits.
Cho et Rigsby avaient le regard figé sur la scène qui s’offrait à eux. Rigsby sortit de la maison en courant, pâle et tremblant. Cho, d’habitude si stoïque, ne put réprimer un cri d’horreur.
Cho s’approcha de Jane, visiblement en état de choc. Il s’agenouilla, prit le pouls de Lisbon, pour voir s’il n’y avait vraiment plus rien à faire. Il soupira bruyamment en secouant la tête.
Cho : « Merde, c’est pas vrai ! Jane, tu vas bien ? » Dit-il en voyant Jane pâle et haletant.
Jane le regarda et souffla un « Lis…Lisbon » avant de se retourner lentement vers Lisbon, derrière lui.
Il était tellement choqué qu’il n’avait même pas remarqué que Cho était agenouillé à ses côtés.
Il se retourna complètement et se mit à genoux. Il regarda longuement le corps de sa patronne, avant qu’un flot de larme ne se déverse sur ses joues.
Jane : « Par…Pardonnez-moi Lisbon » pleura t-il en caressant son visage inerte.
Il se redressa légèrement et quelque chose tomba de sa poche. Il baissa les yeux sur le sol et vit la croix de Lisbon. Il ne lui en fallut pas plus pour que ses sanglots redoublent d’intensité.
Cho : « Je te laisse quelques…minutes. Je vais voir si les renforts sont là… » dit-il difficilement en posant sa main sur l’épaule de Jane.
Jane acquiesça d’un faible signe de tête sans se retourner.
Il prit la croix entre ses doigts et la contempla longuement. Il reporta son regard sur le visage de Lisbon qui semblait si sereine, comme si elle était plongée dans un profond sommeil. Il releva doucement sa nuque et passa la croix autour et la raccrocha à son cou.
Il soupira et reposa doucement la tête de Lisbon sur le sol.
Jane : « Je n’ai jamais cru au paradis Lisbon, mais j’espère que là où vous êtes, vous avez trouvé la paix » dit-il en contemplant son visage.
Il se pencha en avant et déposa un long baiser sur le front de Lisbon, laissant ses larmes s’échouer sur son visage.
Jane : « Adieu Teresa » dit-il entre deux sanglots.
Il se leva, regarda une dernière fois le Smiley et sortit de l’entrepôt.
***
A peine sortit du bâtiment, il fut ébloui par la lumière du soleil. Tous les regards se tournèrent vers lui. Les ambulanciers et les autres agents du CBI étaient déjà là.
Il fit un pas puis un autre jusqu'à arriver devant Cho et Rigsby qui le regardait, les yeux rougis.
Aucun mot ne fut échangé. Cho posa sa main sur l’épaule de Jane qui gardait la tête baissée.
Cho : « Allez, on y va ça sert à rien de rester ici » dit-il en prenant la direction du SUV.
Jane acquiesça et jeta un regard vers les deux civières qui sortaient de l’entrepôt. Il remarqua immédiatement que la seconde transportait un corps plus petit. Lisbon.
Il soupira et fut sorti de ses pensées par Cho qui l’appelait.
Jane prit la direction du SUV lorsqu’une violente douleur lui transperça la poitrine. Il s’appuya sur le capot du véhicule.
Il était terrassé par la douleur et tenait difficilement sur ses deux jambes. Son cœur lui faisait terriblement mal. Il entendit la voix de Cho hurler son nom et il put l’apercevoir s’approcher.
Jane : « Je…suis…désolé » murmura t-il avant de s’écrouler au sol.
Cho : « Merde ! Il me faut de l’aide ici ! » Hurla t-il à l’attention des ambulanciers, qui arrivèrent vite vers eux. « Allez Jane, tiens bon » souffla t-il au consultant qui avait désormais fermé les yeux.
Les deux ambulanciers se regardèrent mutuellement en haussant les sourcils avant d’emporter Jane en ambulance.
***
Quelques heures plus tard à l’hôpital de Sacramento.
Cho, Rigsby et Van Pelt attendaient dans le hall de l’hôpital pour avoir des nouvelles de leur ami.
Ils étaient désemparés et profondément blessés par la mort de leur patronne, et amie. Van Pelt avait du mal à sécher ses larmes alors que Rigsby et Cho restaient silencieux.
Ils avaient perdu l’un des membres de leur petite famille et craignaient d’en perdre un second.
Un médecin vint à leur rencontre.
Médecin : « Monsieur Jane ? » dit-il dans le hall. Les 3 collègues se levèrent et se dirigèrent vers le médecin.
Cho : « Oui, nous sommes ses collègues » dit-il
Médecin : « Oui, je me souviens » dit-il en se rappelant la dernière fois où Jane avait eu une crise cardiaque, quelques jours plus tôt.
Van Pelt : « Comment va-t-il ? » s’empressa t-elle de demander.
Médecin : « Et bien, une fois encore, Monsieur Jane a été victime d’une violente crise cardiaque probablement due à une surcharge émotionnelle. » dit-il en lisant le dossier.
Cho : « Oui, notre patronne est décédée aujourd’hui, il a retrouvé son corps » dit-il en baissant la tête. Van Pelt et Rigsby baissèrent la tête aussi.
Pour une personne extérieure, Cho pourrait paraître insensible à la mort de sa patronne, mais il était surement le plus affecté par cette perte. En plus de cela, il était le plus proche de Jane, après Lisbon. S’il venait à perdre Jane aussi, il lui faudrait du temps pour s’en remettre, beaucoup de temps.
Médecin : « Je vois…Monsieur Jane est sous respirateur artificiel, je pense que vous devriez aller lui faire vos adieux » dit-il d’un regard désolé.
Van Pelt : « vous voulez dire que… »
Médecin : « Monsieur Jane ne se réveillera pas cette fois-ci. Il restera sous respirateur encore 2 heures et après nous aurons l’obligation de le débrancher »
Van Pelt fondit en sanglots dans les bras de Rigsby qui ravalait les siens.
Cho cacha son émotion du mieux qu’il put, mais intérieurement, il était brisé.
Médecin : « Venez, je vous conduis à l’endroit où il repose pour le moment » dit-il en se dirigeant vers une chambre de l’hôpital.
Les 3 amis furent conduits à une chambre sombre et insonorisée. Les bruits des machines reliés au cœur de Jane résonnaient en bruit de fond.
Cho fut le premier à s’avancer vers Jane. Il était allongé sur un lit blanc, un tuyau sortait de sa bouche. Il paraissait serein, comme ci rien de tout ça ne s’était passé.
Cho : « Repose en paix, vieux frère » dit-il en posant sa main sur l’épaule de Jane.
Il ne put empêcher une larme de couler sur sa joue mais il la chassa bien vite. Celui qu’il considérait comme « l’emmerdeur » mais qui était, cependant, son meilleur ami, était partit.
Il n'entendrait plus jamais la voix de celui qui figurait parmi les rares personnes qui savaient lui arracher un sourire.
Van Pelt s’avança à son tour et se jeta sur Jane « Je sais que tu ne croyais pas au paradis…Mais j’espère que là où tu es maintenant, tu as enfin trouvé la paix ».
Rigsby s’avança en dernier : « C’est malin Jane…Repose en paix »
Les 3 amis restèrent encore quelques heures avant que les médecins n’arrivent dans la chambre pour débrancher la machine.
Ils restèrent jusqu'à la fin, jusqu'à que la machine affiche une ligne continue, jusqu'à qu’il soit complètement parti.
Ils quittèrent la chambre, tête baissée, ils avaient définitivement perdu les deux piliers de leur petite équipe, qui ne serait plus jamais la même.
***
Deux jours plus tard, ils se retrouvèrent tous les 3 au cimetière de Sacramento. Leurs deux amis se trouvaient devant eux, deux cercueils en chêne massif, deux pierres tombales.
Sur l’une était marquée : « Teresa Lisbon : 1972 – 2013. Beloved sister and friend »
Sur l’autre était marquée : « Patrick Jane : 1969 – 2013. Beloved Father, husband and friend »
Van Pelt : « Pourquoi ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers ? » demanda t-elle à ses collègues, les larmes aux yeux.
Les deux hommes haussèrent les épaules.
Cho : « Ce qui est sur c’est que le dicton « L’un part, l’autre reste » ne s’appliquait vraiment pas à Jane et Lisbon »
Rigsby : « Oui, ils fonctionnaient en duo, ils ne se quittaient presque jamais » dit-il un léger sourire aux lèvres.
Van Pelt : « Ils auront été ensemble du début à la fin » dit-elle en soupirant.
Cho et Rigsby ne purent qu’acquiescer.
Ils se regardèrent tous et prirent la décision de quitter le cimetière, pour laisser les deux amis reposer en paix éternellement.
Ainsi s'achève cette histoire.
Dernière édition par Jane Addict le Ven 7 Juin 2013 - 11:05, édité 1 fois
Jane Addict- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane
Re: Time to end it. ^
Merci à toi de nous offrir des fics aussi plaisantes....même quand elles se terminent comme celle-ci !
Je suis toute
Piouf....par où commencer ?
Par le début ? La porte qui en rappelle une autre, ce qui l'attend derrière qui rappelle un autre drame....avec l'horreur ajoutée qu'il est déjà passé par là et sait pertinemment à quoi s'attendre.
Pas de note sur la porte, cette fois....mais l'horreur des commentaires en direct de RJ qui, cette fois, ne sont pas un simple exposé de ses récriminations mais viennent souligner l'atrocité des derniers instants de Lisbon :
Le pire étant pour moi :
La révélation du mensonge que Lisbon voulait que Jane puisse croire, comme un dernier 'cadeau' à celui déjà tellement éprouvé.....
RJ citant les mots de Jane, ce dernier reprenant ses propres mots cette fois pour signifier que sa vie ne représente plus rien.....
Super dialogue !
Il ne pensait peut-être pas y aller aussi vite, mais Cho et Rigsby se sont chargés d'envoyer le criminel ad patres. Bien fait !
Et à partir de là, tout part en vrille et je n'ai plus eu le contrôle de mes émotions...
La scène de la croix : parfaite ! Tu sais toute l'importance que j'attache à ce symbole et comme je voulais que Lisbon la récupère, au moins pour l'éternité. Mais le fait que ce soit Jane qui la remette à sa place m'a profondément émue.....et je ne te parle même pas des quelques mots prononcés
Puis le pire qui se produit....encore.
J'aime beaucoup l'ambiguité entre ce qui relève de la souffrance physique et ce qui renvoie à la douleur émotionnelle....Dans tous les cas, Jane a le coeur brisé, d'une manière si cruelle qu'il ne peut pas s'en relever.
D'ailleurs, le médecin parle de lui comme s'il était déjà mort....On pourrait presque croire que c'est un employé des pompes funèbres qui s'exprime.
Les propos de Van Pelt qui font écho aux mots prononcés par Jane auprès de Lisbon sont en cela très touchants....
Et cette dernière scène :
Pfiou ! C'est si juste et en même temps si triste. A défaut d'avoir pu vivre les choses ensemble, ils sont morts ensemble, la mort de Lisbon poussant sans nul doute Jane dans la tombe qu'il avait commencée à creuser lors de la mort de sa famille. Ensemble, réunis pour l'éternité....
Je suis toute
Piouf....par où commencer ?
Par le début ? La porte qui en rappelle une autre, ce qui l'attend derrière qui rappelle un autre drame....avec l'horreur ajoutée qu'il est déjà passé par là et sait pertinemment à quoi s'attendre.
Pas de note sur la porte, cette fois....mais l'horreur des commentaires en direct de RJ qui, cette fois, ne sont pas un simple exposé de ses récriminations mais viennent souligner l'atrocité des derniers instants de Lisbon :
Jane Addict a écrit:
John LeRouge : « Si ça peut vous rassurer, ses dernières pensées étaient pour vous, Monsieur Jane » dit-il en haussant les épaules.
Le pire étant pour moi :
Jane Addict a écrit:John LeRouge : « Ah vous savez, c’était une femme forte, elle ne m’a même pas supplié de la laisser en vie » dit-il en souriant. « Elle m’a juste demandé de vous dire qu’elle n’avait pas souffert, mais vous savez aussi bien que moi que c’est faux » dit-il, toujours souriant.
La révélation du mensonge que Lisbon voulait que Jane puisse croire, comme un dernier 'cadeau' à celui déjà tellement éprouvé.....
Jane Addict a écrit:John LeRouge ricana. « Donnez-moi une bonne raison de ne pas vous tuer sur le champ » dit-il en prenant soin de reprendre les paroles de Jane.
Jane : « Je n’en vois aucune » dit-il en le fixant. « Allez-y, tuez moi » dit-il sérieusement en haussant les épaules.
RJ citant les mots de Jane, ce dernier reprenant ses propres mots cette fois pour signifier que sa vie ne représente plus rien.....
Jane Addict a écrit:Jane : « Allez en enfer » lui cracha t-il au visage.
John LeRouge : « Oh mais j’y compte bien » dit-il avec un sourire en coin.
Super dialogue !
Il ne pensait peut-être pas y aller aussi vite, mais Cho et Rigsby se sont chargés d'envoyer le criminel ad patres. Bien fait !
Et à partir de là, tout part en vrille et je n'ai plus eu le contrôle de mes émotions...
La scène de la croix : parfaite ! Tu sais toute l'importance que j'attache à ce symbole et comme je voulais que Lisbon la récupère, au moins pour l'éternité. Mais le fait que ce soit Jane qui la remette à sa place m'a profondément émue.....et je ne te parle même pas des quelques mots prononcés
Jane Addict a écrit:Jane : « Je n’ai jamais cru au paradis Lisbon, mais j’espère que là où vous êtes, vous avez trouvé la paix » dit-il en contemplant son visage.
Il se pencha en avant et déposa un long baiser sur le front de Lisbon, laissant ses larmes s’échouer sur son visage.
Jane : « Adieu Teresa » dit-il entre deux sanglots.
Puis le pire qui se produit....encore.
Jane Addict a écrit:Il était terrassé par la douleur et tenait difficilement sur ses deux jambes. Son cœur lui faisait terriblement mal. Il entendit la voix de Cho hurler son nom et il put l’apercevoir s’approcher.
J'aime beaucoup l'ambiguité entre ce qui relève de la souffrance physique et ce qui renvoie à la douleur émotionnelle....Dans tous les cas, Jane a le coeur brisé, d'une manière si cruelle qu'il ne peut pas s'en relever.
Jane Addict a écrit:Médecin : « Venez, je vous conduis à l’endroit où il repose pour le moment » dit-il en se dirigeant vers une chambre de l’hôpital.
D'ailleurs, le médecin parle de lui comme s'il était déjà mort....On pourrait presque croire que c'est un employé des pompes funèbres qui s'exprime.
Jane Addict a écrit:Van Pelt s’avança à son tour et se jeta sur Jane « Je sais que tu ne croyais pas au paradis…Mais j’espère que là où tu es maintenant, tu as enfin trouvé la paix ».
Les propos de Van Pelt qui font écho aux mots prononcés par Jane auprès de Lisbon sont en cela très touchants....
Et cette dernière scène :
Jane Addict a écrit:Cho : « Ce qui est sur c’est que le dicton « L’un part, l’autre reste » ne s’appliquait vraiment pas à Jane et Lisbon »
Rigsby : « Oui, ils fonctionnaient en duo, ils ne se quittaient presque jamais » dit-il un léger sourire aux lèvres.
Van Pelt : « Ils auront été ensemble du début à la fin » dit-elle en soupirant.
Pfiou ! C'est si juste et en même temps si triste. A défaut d'avoir pu vivre les choses ensemble, ils sont morts ensemble, la mort de Lisbon poussant sans nul doute Jane dans la tombe qu'il avait commencée à creuser lors de la mort de sa famille. Ensemble, réunis pour l'éternité....
Re: Time to end it. ^
Que dire sur ce chapitre...A part qu'il était superbe, mais c'est probablement l'un des plus tristes que j'ai jamais lu...
Toujours difficile de passer après Jane Doe, j'approuve tout ce que tu as dit, ma chère !
Je voulais laisser un long commentaire mais je suis sur mon téléphone et j'ai peut-être un cours de maths dans pas longtemps.
Pour commencer, j'aime beaucoup le parallèle entre la découverte par Jane de sa famille et celle de Lisbon. L'histoire de la porte et tout...
Après, je savais très bien que Lisbon était morte, que c'était trop tard. En général, dans les fictions comme ça, j'ai toujours une lueur d'espoir pour que Jane ou Lisbon ne soit pas mort(e). Malheureusement, la réalité était bien comme je l'avais envisagé...
La découverte du corps de Lisbon par Jane est poignante, si jamais on a ça dans la série un jour, mais...je pleure toutes les larmes de mon corps ! xD
Mais ce qui m'a le plus touché, ou plutôt ce qui m'a le plus serré le cœur c'est lorsque Jane est à l'extérieur et qu'il voit un corps sous un drap blanc passer près de lui...le corps de Lisbon...
Et la fin...Jane terrassé par une crise cardiaque ! Je n'y avais jamais pensé, c'est original au moins. :]
La seule pensée qui me fait sourire est qu'ils seront ensemble pour l'éternité, en paix.
Bref, une fin très triste mais tellement bien écrite !
J'ai hâte de voir ta prochaine fiction !
PS : J'avais les larmes aux yeux pendant la lecture. Attention à toi, la vengeance sera terrible ! *rire démoniaque*
Toujours difficile de passer après Jane Doe, j'approuve tout ce que tu as dit, ma chère !
Je voulais laisser un long commentaire mais je suis sur mon téléphone et j'ai peut-être un cours de maths dans pas longtemps.
Pour commencer, j'aime beaucoup le parallèle entre la découverte par Jane de sa famille et celle de Lisbon. L'histoire de la porte et tout...
Après, je savais très bien que Lisbon était morte, que c'était trop tard. En général, dans les fictions comme ça, j'ai toujours une lueur d'espoir pour que Jane ou Lisbon ne soit pas mort(e). Malheureusement, la réalité était bien comme je l'avais envisagé...
La découverte du corps de Lisbon par Jane est poignante, si jamais on a ça dans la série un jour, mais...je pleure toutes les larmes de mon corps ! xD
Mais ce qui m'a le plus touché, ou plutôt ce qui m'a le plus serré le cœur c'est lorsque Jane est à l'extérieur et qu'il voit un corps sous un drap blanc passer près de lui...le corps de Lisbon...
Et la fin...Jane terrassé par une crise cardiaque ! Je n'y avais jamais pensé, c'est original au moins. :]
La seule pensée qui me fait sourire est qu'ils seront ensemble pour l'éternité, en paix.
Bref, une fin très triste mais tellement bien écrite !
J'ai hâte de voir ta prochaine fiction !
PS : J'avais les larmes aux yeux pendant la lecture. Attention à toi, la vengeance sera terrible ! *rire démoniaque*
Re: Time to end it. ^
Jane Addict a écrit:
Lisbon était là, gisant sous le Smiley sanglant.
Noon!! Lisbon!!
Là tu m'achève, Sarah... Ma Lis' qui git sous le mythe smiley sanglant de c'est juste une vision que je me refuse à avoir mais ton style d'écriture est tellement visuel que c'est impossible de ne pas imaginer la scène
Jane Addict a écrit: Sur l’une était marquée : « Teresa Lisbon : 1972 – 2013. Beloved sister and friend »
Sur l’autre était marquée : « Patrick Jane : 1969 – 2013. Beloved Father, husband and friend »
Et les dates sur les pierres tombales... (mon petit coeur ne résiste pas, ce chapitre me le brise en mille morceaux) enfin bref, j'ai adoré ce chapitre que tu as si bien écrit, comme toujours. La fin est juste...
PS: je sais pas si je vais pouvoir résister à tuer ton Jane la prochaine fois, Sarah, parce que la mort de ma Lis' me marque profondément...
Dernière édition par Teresa Lisbon le Sam 8 Juin 2013 - 11:50, édité 4 fois
Teresa Lisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Ma Lis' , si magistralement interprêtée par ma sublissisme Roby!
Loisirs : écrire, lire, regarder Castle et Mentalist, rêver du Jisbon...
Localisation : Sur une scène de crime avec l'Agent Spécial Lisbon
Re: Time to end it. ^
Magnifique fin : c'est aussi pas mal de ne pas avoir de happy end. C'est tellement plus dans l'esprit de la serie !
Tournesol- Distributeur de café
Re: Time to end it. ^
Teresa Lisbon a écrit:
PS: je sais pas si je vais pouvoir résister à tuer ton Jane la prochaine fois, Sarah, parce que la mort de ma Lis' me marque profondément...
Tu remarqueras qu'elle a aussi tué 'son' Jane....donc en fait vous êtes quitte, nan ?
Re: Time to end it. ^
Quelle fin émouvante ! C'est tellement triste mais si bien écrit ! Je n'ai pas pu retenir quelques larmes . Cette fic figurera parmis mes préférées. Merci à toi de l'avoir écrite
Invité- Invité
Re: Time to end it. ^
Ca y est, j'ai versé ma première larme devant une fic'
Tout au long de ton chapitre j'avais la gorge serrée, Lisbon morte... Pas possible
Comme Teresa, j'ai pas pu les retenir quand j'ai lu :
Malgré ça, merci Sarah pour cette belle et triste histoire, je l'ai beaucoup aimé !
Tout au long de ton chapitre j'avais la gorge serrée, Lisbon morte... Pas possible
Comme Teresa, j'ai pas pu les retenir quand j'ai lu :
Jane Addict a écrit:
Sur l’une était marquée : « Teresa Lisbon : 1972 – 2013. Beloved sister and friend »
Sur l’autre était marquée : « Patrick Jane : 1969 – 2013. Beloved Father, husband and friend »
Malgré ça, merci Sarah pour cette belle et triste histoire, je l'ai beaucoup aimé !
0Camille- Agent de circulation
- Personnage préféré : Lisbon, Jane
Re: Time to end it. ^
Très bonne fic miss
Conyro- Distributeur de café
- Personnage préféré : Jane, Lisbon,Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire des fictions : DW et TM
Localisation : Dans le lit avec Matt Smith et Simon Baker
Re: Time to end it. ^
Jane Doe a écrit:Teresa Lisbon a écrit:
PS: je sais pas si je vais pouvoir résister à tuer ton Jane la prochaine fois, Sarah, parce que la mort de ma Lis' me marque profondément...
Tu remarqueras qu'elle a aussi tué 'son' Jane....donc en fait vous êtes quitte, nan ?
Effectivement...
Teresa Lisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Ma Lis' , si magistralement interprêtée par ma sublissisme Roby!
Loisirs : écrire, lire, regarder Castle et Mentalist, rêver du Jisbon...
Localisation : Sur une scène de crime avec l'Agent Spécial Lisbon
Re: Time to end it. ^
et une petite fic de Sarah..
j'ai beaucoup aimé, super bien écrit comme toujours.. mais la fin est très triste..
j'ai aussi eu une petite larme sur la fin.
l'histoire était très bien menée, et était très intéressante, je l'ai dévoré... 4
vivement la prochaine
j'ai beaucoup aimé, super bien écrit comme toujours.. mais la fin est très triste..
j'ai aussi eu une petite larme sur la fin.
l'histoire était très bien menée, et était très intéressante, je l'ai dévoré... 4
vivement la prochaine
Saff45- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Re: Time to end it. ^
Je viens d'engloutir ta fic d'une seule traite! J'ai mal au coeur de voir que tu les as tués tous les deux mais la fic était néanmoins superbe! C'est une scène qui me passe souvent par la tête pour la fin de Mentalist, un Lisbon gisant sous le smiley
Bref j'adore! encore Bravo!
Bref j'adore! encore Bravo!
lisbon.jane- Chef d'unité au CBI
- Personnage préféré : Patrick Jane
Loisirs : la danse, cuisiner de la pâtisserie, regarder Mentalist (bien sur!!)
Localisation : Belgique
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