Undercover [Fini] ^

Merci, Chizu! :vivement:

"Jane se pencha au dessus de sa collègue et l’embrassa sur le front. Lisbon ne put s’empêcher de sourire et répondit un « bonne nuit, Jane… » plein de tendresse." c trop mignon [b]

Hum j'adore aussi leur petite discussion

Ah le Jisbon

Maintenant j'ai encore plus hâte de lire la suite

Que dire à part : HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA


La suite pour ce soir c'est possible ?????

Oh c'est trooooooooooooooooooooooooop mignon tout plein !!!!

Bon, étant donné que c'est Pâques.... .


En se réveillant, Lisbon se sentit en sécurité. C’était une sensation étrange pour elle, elle n’avait pas ressenti cela depuis bien longtemps. Et pourtant, c’est ce qu’elle ressentait maintenant. La sécurité, la paix, le calme. Elle ouvrit lentement les yeux et commençait à se demander d’où venait cette sensation. Puis elle les vit, les deux bras puissants du consultant qui la serraient comme si sa vie en dépendait. Elle ressentit également son souffle sur sa nuque dénudée, ses cheveux chatouillant son cou. Elle se dégagea doucement pour ne pas le réveiller puis se tourna vers lui, ne pouvant réprimer l’envie de le regarder. Il était là, allongé sur le côté, les yeux fermés. Lisbon l’avait souvent vu se reposer sur son canapé au CBI, mais c’était la première fois qu’elle le voyait dormir pour de bon. Il semblait si paisible et fragile. Elle avait l’impression que pour une fois, son masque était tombé.
Il avait l’air si attendrissant que Lisbon voulut le laisser dormir un peu plus. Elle le regarda encore une fois et, s’étonnant elle-même, elle le trouva beau. « Ne dis pas de bêtises, Teresa » se dit-elle, puis elle s’assit sur le bord du lit pour remettre son oreillette restée sur la table de nuit depuis la veille.
- Bonjour, chérie…
La voix virile et rauque la surprit et elle se retourna pour faire face à son interlocuteur. Elle n’aurait pas pensé que son collègue aurait cette voix au réveil.
- Vous avez bien dormi, madame Graham ?
- Oui, mais arrêtez de m’appeler comme ça, rit-elle, étonnement gênée d’être considérée comme la femme de Jane.
- Vous rougissez, commenta le consultant, trop confortablement allongé pour bouger.
Lisbon s’empourpra d’avantage en entendant le commentaire de son collègue. Elle connaissait sa capacité à lire en elle, et elle aurait voulu plus que tout au monde ne pas avoir le genre de pensées qui lui traversaient l’esprit ce matin-là.
- Vous êtes belle quand vous rougissez, finit-il en refermant les yeux, voulant continuer sa nuit.
L’homme rouvrit discrètement un œil pour observer la réaction de la femme et fit un sourire fier en la voyant contracter tous ses muscles, tendue. Ne voulant pas la mettre encore plus mal à l’aise, Jane se recula dans le lit pour reprendre sa place initiale et ouvrit les couvertures du côté de sa collègue.
- Lisbon, il est six heures du matin. Faites-moi plaisir et revenez vous coucher, voulez-vous ?
- On a une enquête à mener, Jane, et c’est le dernier jour du groupe de soutien…
- Lisbon, on va rien tirer des gens pour l’instant, parce qu’à cette heure-ci, le commun des mortels a l’habitude de dormir, plaisanta-t-il. Allez, revenez vous coucher, mit-il fin à la conversation en refermant les yeux, ses traits se détendant une nouvelle fois.
La jeune femme hésita, puis céda au visage d’ange de son collègue. Et à peine se fut-elle glissé une nouvelle fois sous les draps, que les bras du consultant l’entouraient encore.

Oh lalalalalaaaaaaaaaaaaaa mais t'es folle comme c'est trop MIMI lol
Je vais vraiment devenir shippeuse Jisbon si ça continue lol

Merci les filles!

Y'a de la place dans le clan, WinJane xD.

Oki lol mais je suis dans le clan Patrick Jane je sais pas si je peux dans les deux lol

WinJane a écrit:
Je vais vraiment devenir shippeuse Jisbon si ça continue lol

Oh bah non alors ! Résiste (prouve que tu existes )

Toujours aussi top Shai

Marine a écrit:

WinJane a écrit:
Je vais vraiment devenir shippeuse Jisbon si ça continue lol

Oh bah non alors ! Résiste (prouve que tu existes )

Toujours aussi top Shai

MDR

Naaan mais omg comment jaiiiiiiiiiiiiiiiiime
Sérieux, tu écris bien, j'suis captivée oO
met la suiteee avant que j'aille dodo please *___________* c'est pâque tu l'as dis, pour pacque c'est jamais 2 sans 3

Oulala
Continu comme ça et met vite la suite !

J'ai pas eu ma suite j'ai mal dormis T__T

Je ne suis pas Jisbon mais tu me fais quand même adorer ta fic.

Un grand bravo et vivement la suite !! :vivement:

Petit moment de folie désolé mais je dois crié
"aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh"

Je suis comme une folle devant mon écran . Je suis parti loin là
Ma dose de Jisbon pour la journée, j'adoooore


La suite please

Voila voila .

Quand elle ouvrit les yeux pour la deuxième fois ce matin-là, son sentiment de sécurité s’était envolé avec les bras de Jane. Elle comprit rapidement qu’elle était seule dans le lit et se leva, ne voulant pas trainer encore plus longtemps. Et puis, elle devait aussi s’avouer que ce deuxième réveil n’était malheureusement pas aussi agréable que le premier. Etonnement, elle prit son temps pour choisir ses vêtements dans sa valise. Ce n’était pas dans ses habitudes de trop soigner son apparence, mais ces derniers temps, elle avait envie de se faire plus belle, et la raison, bien que transparente, n’était pas vraiment du goût de la jeune femme.
Quand elle se décida enfin pour un chemisier rayé blanc et bleu, elle prit tout son tas de vêtements et se dirigea vers la salle de bain pour se laver. Elle poussa la porte sans faire de manières et se figea sur place devant la vision qui s’offrait à elle.
- Salut Lisbon, lança Jane qui la regardait dans le miroir.
La présence de sa collègue ne la dérangea pas plus que ça et il continua à se raser, pas vraiment gêné par le fait que son seul vêtement fut une serviette attachée autour de sa taille.
- Je vais bientôt libérer la salle de bain, la rassura-t-il. Vous avez bien dormi ? Enfin… redormi !
- Heu… oui…
A vrai dire, ce furent les seuls mots de réponse qui atteignirent son esprit alors qu’elle regardait le dos de son ami. Elle devait avouer que même si elle le voyait tous les jours, partager des moments privilégiés comme ceux-ci, c’était une toute autre dimension. Et quand il se tourna vers elle pour répondre par un sourire au peu d’enthousiasme de sa collègue, Lisbon ne put s’empêcher de rougir. Elle avait bien sûr remarqué sa silhouette avantageuse, mais de le voir devant elle, habillé de presque rien… Ses muscles la surprirent, autant que la cicatrice qui barrait son abdomen. Même si elle avait mis du temps à l’admettre, il lui faisait indéniablement de l’effet…
- Ca va, Lisbon ? fronça-t-il les sourcils en s’approchant d’elle.
- Oui, je… vais attendre dehors, fini-t-elle d’une voix rapide en quittant la salle de bain.
« A quoi tu penses, idiote ?! » se dit-elle quand elle eut refermé la porte. « C’est un collègue ! Veuf et insupportable, qui plus est ! » Cependant, elle n’arrivait pas à ôter l’image de l’homme de son esprit. Elle s’empara du combiné et commanda le petit déjeuner, dans une vaine tentative de se changer les idées.
De l’autre côté de la porte, Jane fixait le battant, perdu dans ses pensées. Ce matin-là, en se réveillant pour la deuxième fois, il avait vu sa patronne dans ses bras, et son cœur s’était arrêté. Dans un premier abord, il s’était haï. D’une haine inéluctable contre lui-même, se sentant comme un traitre envers sa femme. Ses bras, c’est à elle qu’ils appartenaient. Mais ensuite il avait vu le visage paisible de la jeune femme et son cœur se remit à pomper son sang, battant la chamade. Son regard, d’abord aveuglé par la haine, s’était mis à parcourir le visage doux de sa collègue, commençant par ses paupières, descendant le trampoline de son nez et se glissant entre ses lèvres entrouvertes…
« Mon dieu, mais qu’est-ce que tu fais ?! » avait-il voulu hurler en tentant de ne plus humer le parfum enivrant de la jeune femme, arrachant difficilement son regard toujours de ses lèvres. Il ne devait pas la regarder comme ça, sentir son odeur, avoir le cœur qui bat plus fort rien qu’en entendant son nom ! Il ne pouvait pas se permettre d’avoir ce genre de pensées, il ne pouvait pas, il ne voulait pas. C’était trop tôt, il n’avait pas encore vengé sa femme et sa fille ! Le souffle haletant, il se dégagea aussi rapidement que possible et courut vers la salle de bain, plonger sa tête sous le robinet, tentant de chasser ces idées qu’il refusait d’avoir.
Et maintenant il se retrouvait là, planté au milieu de la salle de bain à regarder une porte comme s’il pouvait voir à travers. Une porte derrière laquelle se trouvait Teresa Lisbon. Il enleva le reste de mousse à raser puis sortit de la salle de bain chercher sa valise. Et il lui suffit de voir sa collègue prendre son petit déjeuner, décoiffée, pas maquillée et en pyjama, pour que toutes ces images reviennent.
- La salle de bain est libre, dit-il simplement en enfilant un jean et une chemise à carreaux bleus avant de s’asseoir à table. Merci pour le petit déjeuner.
- De rien. Où est passé votre costume trois pièces ?
- Envie de changement, s’expliqua-t-il simplement.
Le reste du petit déjeuner se passa en silence, un silence pesant, presque palpable. Aucun des deux ne parlait. Et puis, qu’auraient-ils pu se dire ? « Il fait beau, aujourd’hui. » « L’affaire avance pas. » C’était si futile par rapport à ce qui hantait leurs cœurs. Si bien qu’ils finirent rapidement et Lisbon s’éclipsa dans la salle de bain alors que Jane allait prendre l’air en marchant un peu. Il serait bien resté tout seul, mais malheureusement la solitude est un luxe qu’il ne pouvait s’offrir.
- Il se passe quoi avec le patron ?
- Il se passe rien, Van Pelt, répondit-il en s’asseyant sur un banc dans un parc.
- J’ai du mal à le croire… Ca vous ressemble pas d’être aussi silencieux. A aucun des deux.
- On a rien à se dire, c’est tout.
- Jane, même quand t’as rien à dire, t’as des trucs à dire, se moqua-t-elle.
- Il n’y a rien, je t’assure. Où est Cho ?
- Il est rentré dormir, je le relève jusqu'à dix heures.
- D’accord. Tu sais pourquoi j’aime bien Cho ? Parce qu’il pose pas de questions.
- Tu viens d’avouer que tu avais des choses à dire. Vas y, défoule-toi, vide tes poches.
Jane soupira bruyamment pour montrer son agacement, enfonçant son visage dans ses mains, mais il se plia à la volonté de sa collègue, qui était très surprise que son stratagème ait marché.
- J’en sais rien… commença-t-il. Je donne l’impression d’être à l’aise dans cette atmosphère, mais en fait… ça fait mal. Il y a une femme, Monica Vasquez, qui a perdu son mari et elle veut se faire inséminer avec son sperme pour avoir un enfant de lui. Enfin tu connais l’affaire. Et j’arrête pas de me demander ce que je ferais si j’étais à sa place. Tu sais, pour comprendre ce que ressent quelqu’un qui a perdu un mari ou une femme, il faut être… veuf. Tu ne peux pas expliquer l’ampleur de ta perte. Et puis je vois toutes ces femmes qui se battent pour réussir à avoir des enfants, et je me déteste encore plus d’avoir eu la chance d’avoir une petite fille merveilleuse et… et de l’avoir perdue. Je me déteste…
Soudain, ressentant une présence, le consultant leva la tête et vit un enfant dans les huit ans planté devant lui, le fixant.
- Salut.
- Tu parles tout seul ?
- Non, je parle avec des gens qui sont très loin, avec ma tête, rit-il. Tu t’appelles comment ?
- Stuart. Je te crois pas.
- Je t’assure ! Je peux lire les pensées. Regarde : prends cette pièce, dit-il en en prenant une dans sa poche, et cache-la quelque part. Je vais la retrouver en lisant dans tes pensées.

Super chapitre ! Intense je dirais
Jane en serviette dans ma salle de bain, je ...

Quant à la photo...

Merciiii pour ces trois derniers chapitres, tu as fait battre mon petit coeur

Pas le temps de rester sur le fofo, j'étais juste passé pour lire la suite de la fic en vitesse

Merciii pour cette superbe suiiiiite

j'éspère que tu vas nous mettre la suite ce soir pas trop tard

Excellente fic' !!!

je viens de lire l'intégralité de ta fiction et je dis: BRAVO
Tellement réaliste, émouvant, drôle........ Tout en lisant je m'imagine les scènes, les dialogues collent parfaitement à chacun des personnages. Quant tu auras finis, envois tout ça a Bruno Heller, il en ferra un épisisode. Merci encore et continu comme ça.