Undercover [Fini] ^

Le coup des micros !!! Je suis pliée !

Joubar a écrit:Audrey, j'adore ta bannière

Merci Joubar !

Jisbon18 a écrit:alors j'étais comment?

Super crédible ! Je suis sûre que t'as eu ton diplôme avec mention !

ouais tro forte !!

- Je n’ai rien entendu, tu n’as rien entendu, Cho n’a rien entendu. On garde ça pour nous et pas un mot quand ils seront revenus. J’ai pas envie de me faire virer................................ MDR
Trop bien.
merci

le moment de solitude de lisbon et jane quant ils vont retrouver leur collègue. Si cela pouvait arriver dans la serie.

Dr Audrey

bon a+ car moi suis fatiguée je vais faire dodo bonne nuit a tous et a demain

Yyyyyyyyyyyyyyyyyyyiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

A super!!!!! Franchement génial rien d'autre à dire si juste

VVVVVVLLLLLLLLLSSSSSSSSSSSSSSS !!!!!!

Franchement EXCELLENT c'etait juste par-fait ^____^

J'aime beaucoup la facon detournee de nous montrer ce qui se passe dans la chambre XD
Je me demande ce que va nous montrer la suite *regard lubrique*

VLS donc

J'adore cette Fanfiction, franchement on dirait un véritable épisode de la série.

j'adoooooooooooooooooooooooree, trop excellent, c'est génial, magnifique

Pour le passage des micros j'étais pliée

Moi qui étais raplpla aujourd'hui ces chapitres m'ont donné du moral

Merci

Excellent !! J'adore !!

La suite, c'est pour quand ?

c'est bientôt l'heure de la suite??????

J'ai pas intérêt à avoir une journée de retard, je me fais lyncher .




Les oiseaux posés sur le rebord de la fenêtre commençaient à chanter, accompagnés du vrombissement régulier des voitures en contrebas, telle une rivière qui s’écoulait. Le soleil s’était levé il y a déjà quelques heures, mais la femme dormait encore profondément. Elle sentit des chatouillements sur sa nuque puis sur son oreille, qui se déplacèrent ensuite sur ses paupières closes, son nez, pour mourir sur ses lèvres. Dans son sommeil, elle sourit. Elle se sentait bien. Les chatouillements reprirent sur sa bouche, toujours aussi doux, puis prirent doucement de l’intensité. Lisbon ouvrit lentement ses paupières, encore toute engourdie, mais l’image qu’elle avait sous les yeux finit de la réveiller. En voyant enfin les beaux yeux verts de la femme, Jane fit un grand sourire, son doigt toujours posé sur les lèvres de son amie.
- Qu’est-ce que tu es belle, le matin… murmura-t-il.
Lisbon ne répondit pas, assaillie par toutes les images de la veille qu’elle aurait voulu oublier. Passer la nuit avec lui avait été une pure folie et la plus grosse erreur de sa vie. Elle écarta les doigts de l’homme et mit une main sur son visage, espérant encore que tout ceci n’eut été qu’un cauchemar.
- Tu te caches parce que tu ne veux pas me voir moi ou parce que tu ne veux pas voir ce qu’il s’est passé ? demanda-t-il de sa voix toujours ingénue.
- Des deux… répondit-elle. Tu sais que ça ne recommencera pas, dit-elle d’un ton ferme en enlevant sa main pour le fixer dans les yeux.
- J’espère que tu te trompes, dit-il avec un sourire, comme à chaque fois que quelque chose le blessait. J’ai passé une nuit merveilleuse, je ne veux pas faire comme si de rien n’était.
- Jane, c’était une erreur ! s’exclama-t-elle en ramenant le drap sur elle pour se lever.
- Teresa, arrête… On va pas recommencer comme hier, non ?
La femme s’enferma dans la salle de bain pour se rhabiller alors que Jane faisait les cent pas devant la porte, attendant qu’elle ressorte pour pouvoir s’expliquer. Quand le battant se rouvrit enfin, Lisbon s’arrêta net en voyant que Jane bloquait le passage.
- Patrick, laisse-moi passer… se plaignit-elle. En plus ce caleçon te va pas du tout.
- C’est pas ce que tu disais hier soir !
- Pourquoi tu crois que tu l’as pas gardé longtemps. Laisse-moi passer ! Et cette histoire, on en parle plus !
Elle le poussa et se faufila dans une ouverture. Jane savait que ça serait difficile, mais elle était plus tête de mule qu’il ne l’espérait. En voyant qu’elle rangeait tous les micros dans la mallette et ses vêtements dans sa valise, il commença à s’habiller à son tour. Pas question qu’elle parte sans lui. Il n’avait pas encore mis ses chaussures quand elle prit toutes ses affaires et ouvrit la porte.
- Teresa, tu vas pas me laisser ici !
Sans répondre, elle s’éloigna dans le couloir alors que Jane faisait ses lacets en un temps record. Il ramassa ses vêtements aussi vite qu’il pût et les fourra dans son sac de voyage avant de courir dans le couloir pour rattraper la femme, mais quand il arriva à l’ascenseur, les portes venaient de se refermer. Il emprunta l’escalier de secours et dévala les marches aussi rapidement que faire se peut pour arriver dans un hall bondé de monde. Le temps de trouver la jeune femme parmi toute cette foule de gens, elle était déjà arrivée aux portes d’entrée. Il courut en esquivant les gens et, quand il réussit enfin à sortir de l’hôtel, le taxi de l’agent avait déjà démarré.
Jane resta sur le trottoir, ses vêtements mis n’importe comment et ses cheveux en bataille, alors que la voiture s’éloignait. Pourquoi s’acharnait-t-elle tant à dresser un mur entre elle et ses sentiments ? Jane la comprenait, il était pareil. Mais son mur, il avait réussi à l’abattre, et il voyait qu’il faudrait encore bien du temps à Lisbon pour qu’elle puisse faire de même.
- Dis, t’es pas censé être DANS la voiture AVEC la fille ? lança une voix grave derrière son dos, aux sonorités irlandaises.
Un homme svelte se tenait près de lui, un jean délavé avec un genou déchiré, des Converses qui avaient bien vécu, un tee-shirt de The Pogues dont le motif commençait à s’effacer. Avec la barbe naissante et les cheveux en bataille, le consultant faillit ne pas le reconnaître.
- Ah… Salut, Alex… Qu’est-ce que tu fais là ?
- Je venais chercher mon dernier chèque, dit-il en montrant une enveloppe. Des petits soucis avec ma’am Lisbon ?
- M’en parle pas…
- Elle t’a laissé planté ?
- Ouais…
- Viens, je te ramène. Si on part tout de suite, on pourra peut-être y être avant elle.
- Comment ça ?
- Le temps qu’elle aille à l’aéroport, qu’elle achète son billet, qu’elle prenne l’avion, atterrisse et prenne un taxi pour arriver au bureau, on aura largement fait le trajet par l’autoroute. A moins que t’aies peur de monter en voiture avec un Irlandais à moitié fou, sourit-il.

Toujours au bon endroit au bon moment cet Alex !

Haha excellent, du grand Lisbon XD

Ceci dit tant mieux que ça se passe comme ça parce que au moins on a encore quelques chapitres devant nous

J'ai encore éclaté de rire à une phrase:

En plus ce caleçon te va pas du tout.
- C’est pas ce que tu disais hier soir !
- Pourquoi tu crois que tu l’as pas gardé longtemps.

Ça c'est énoooorme j'adore

j'ai hâte de savoir ce qui vas se passer lors du retour au bureau.
hahahahahahahahah
Excellent.

c'est dingue comment on s'imagine bien les scènes. J'ai l'impression de regarder un DVD

aaaaaah mais euuh pourquoi elle réagit comme ça Lisbon??????

Bon la connaissant ça devrait pas m'étonner

Patrick, laisse-moi passer… se plaignit-elle. En plus ce caleçon te va pas du tout.
- C’est pas ce que tu disais hier soir !
- Pourquoi tu crois que tu l’as pas gardé longtemps. Laisse-moi passer ! Et cette histoire, on en parle plus !

c'est trop fort

La suiiiiiiiite, la suiiiite please, c'est un supplice d'attendre

J'ai bien aimé le passage du calecon ^^
Vivement la suite

Ah excellent je veux la suiteuh!!!!

toujours aussi bon à lire,

à quand la suite

à quand la suite ?

Je crois que Shai a du boulot, mais elle essaiera sûrement de poster tout à l'heure

Ok, je ne sais pas de quoi il s'agit, mais courage x)

J'éspère que tu vas poster avant que j'aille dormir