Undercover [Fini] ^

Non non, moi j'en suis ravie

C'est tellement triste

Qu'est-ce qu'elle fou notre Teresa ?
A sa place, je serais déjà mariée avec Jane ( ou avec Alex, j'hesite encore )

Pitié la suite

Aurcoco a écrit:A sa place, je serais déjà mariée avec Jane ( ou avec Alex, j'hesite encore )

Quel dilemme .

La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite ? *-*

Je fais une pause dans mes révisions pour vous poster ça! On arrive à la fin de l'histoire.




Lisbon se réveilla en sursaut et regarda autour d’elle. Son ordinateur allumé, un dossier ouvert, posé négligemment sur son bureau et un mug rempli de café glacé lui tenaient compagnie, sans parler des valises qui lui étaient apparues sous les yeux depuis quelques jours. Elle arrivait de moins en moins à dormir depuis qu’elle avait compris que le sentiment qu’elle ressentait pour Jane n’était autre de que de l’amour pur et dur, et chaque journée passée sans lui lui paraissait une torture. En regardant la date en bas de son écran, elle fit un triste sourire. Deux mois aujourd’hui, se dit-elle.

Il n’était que vingt heures et la jeune femme savait qu’elle n’arriverait pas à se rendormir de sitôt. Son équipe était partie assez tôt ce jour-là, après une arrestation qui s’était très bien passée, et la jeune agent était restée seule dans son bureau, comme d’habitude, après la rituelle dégustation de pizza sans ananas. Pour ressasser tout un tas de souvenirs et d’idées noires. Elle ouvrit le tiroir du bas et en sortit la bouteille de whisky et le verre qui en étaient le seul contenu, se disant que l’alcool l’aiderait peut-être à trouver le sommeil, mais avant de se servir, elle vit que le petit voyant rouge de son portable clignotait.

Elle reposa la bouteille et le verre sur le bureau et s’empara de son portable, sourcils froncés. Elle se souvint qu’elle l’avait laissé en silencieux et que c’était probablement pour ça qu’elle ne l’avait pas entendu sonner, mais tout ça lui parût bien futile quand elle vit qui en était l’expéditeur. Dans un premier temps, elle en voulut à Jane de ne pas respecter sa promesse de ne plus insister, mais au fond, elle savait qu’elle était bien heureuse qu’il pense à elle.

« 52, Av Oscar Wilde, Sacramento. J’ai envie de te voir. »

Lisbon soupira profondément et regarda son sac posé sur son canapé. Devait-elle y aller ? Devait-elle une fois pour toutes renoncer à sa carapace et faire face à cet homme qui était en train de chambouler sa vie ?

Waaaaaaaaa mais tu peux pas t'arrêter laaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa oO
C'est trop court omg, mais vraiment super bien écrit comme d'hab ! après tes révisions, tu nous met la suiite ? =)

Joubar a écrit:Waaaaaaaaa mais tu peux pas t'arrêter laaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa oO
C'est trop court omg, mais vraiment super bien écrit comme d'hab ! après tes révisions, tu nous met la suiite ? =)

J'ai révisé la moitié et l'exam c'est demain, alors ça me paraît short xD.

Oui tkt je comprends, révise c'est plus important x)

toi aussi tu es cruelle

mdr ^^

Bon bah j'espère qu'elle va y aller quand même hein Go Jisbon Go ^___^

(J'aime beaucoup le nom de la Rue ^^)

Cours Lisbon cours; dans les bras de Jane évidement ^^

Je commence à bouillonnée alors Lisbon tu lève tes fesses de ta chaise ET TU COURS VOIR JANE !!!!!!!!!!!!!!!

Tinker-Bell a écrit:Je commence à bouillonnée alors Lisbon tu lève tes fesses de ta chaise ET TU COURS VOIR JANE !!!!!!!!!!!!!!!

+1, chuis TROP, D'accord

Alors ton exam Shaitan ? x) . & à quand la suite ?

L'exam s'est plutôt bien passé ^^ merci de demander!

@Chizu: bosser > serpent > tantinet ... xD

Je vous poste le dernier chapitre, les gens! Dernier chapitre!!!




Jane sortit de la douche et se sécha, avant de prendre son temps pour se rhabiller. Cela faisait déjà un mois qu’il habitait ici, dans cette petite maison de trois chambres aux allures modestes. Il n’allait pas se plaindre, il se sentait à l’aise ici, et c’était la première fois qu’il habitait une chambre, en dehors des hôtels, sans smiley rouge au-dessus de sa tête. Il essayait de tourner la page et, étonnement, il y arrivait, doucement mais sûrement. Cependant, il savait mieux que quiconque que ce dont il avait le plus besoin pour commencer une nouvelle page, c’était de Lisbon.

Il sortit de la salle de bain et descendit les escaliers, pieds nus, allant s’installer dans le fauteuil devant la télé. Ce soir, le propriétaire des lieux l’avait abandonné pour sortir avec quelques amis à lui, laissant néanmoins quelques instructions à l’ancien consultant. « Si une fille vient frapper, t’ouvres pas, ou alors tu t’attends à une déferlante d’insultes. Si c’est un homme… ouvre encore moins, c’est probablement le copain d’une des filles. » Jane sourit, la palpitante vie d’Alex ne cesserait jamais de l’amuser. Il tourna la tête et son regard tomba sur une photo du jeune Irlandais avec son fils, en train de jouer sur la plage avec Guinness. Il y avait des photos de l’enfant dans toute la maison et Jane l’enviait d’avoir quelqu’un à chérir de la sorte. Il aurait tant voulu pouvoir profiter de sa fille plus longtemps…

Ne trouvant aucun programme à son goût, il éteignit le poste de télévision et se leva pour aller se chercher à manger dans la cuisine. Ces derniers temps, il ne respectait pas vraiment les horaires habituels des repas et son rythme était imposé par les grognements de son estomac et par son nouveau colocataire, qui était loin d’être un modèle de régularité. En se dirigeant vers la petite cuisine américaine de la maison, il trébucha avec un carton et faillit tomber, se retenant au dernier moment à un meuble. Décidément, ce déménagement ne finirait jamais. Alex n’avait pas beaucoup d’affaires, mais le peu qu’il avait était en vrac, soit dans des cartons, soit pas à leur place, et l’ex consultant ne s’y retrouvait plus.

Quand Alex était revenu à Sacramento, il avait tout d’abord logé quelques jours chez Jane, le temps de se trouver une petite maison à louer en dehors de la ville, et ses seules exigences étaient une chambre pour lui, une pour son fils et un jardin pour son chien. Le reste, peu lui importait. C’était grâce à une connaissance de son grand frère, celui qui tenait le pub, qu’il avait trouvé celle qu’il avait finalement louée. Et la première chose qu’il avait faite après avoir monté les meubles, c’est mettre des photos de Louis dans toute la maison, de façon à ce que le petit garçon se sente bien chez lui. Néanmoins… le reste était bien négligé.

Il grogna en regardant le pauvre contenu du réfrigérateur, se maudissant de ne pas être allé faire les courses cet après-midi-là comme il avait d’abord prévu de le faire, mais un téléfilm inintéressant et un pot de glace le lui avaient empêché. L’espace d’un instant, quand on sonna à la porte, Jane crut que son ami avait eu la présence d’esprit de lui commander une pizza, avant de vite se rendre compte que ça resterait un rêve, qu’Alex n’y aurait jamais pensé tout seul. Il soupira de mécontentement en allumant la bouilloire et alla ouvrir la porte, et la surprise qu’il ressentit se refléta sur son visage dont toute expression était d’habitude contrôlée et réfléchie.
- Teresa ? Mais… qu’est-ce que tu fais là ? demanda-t-il, sans aucun reproche dans sa voix.
- Pardon ? haussa-t-elle les sourcils, tout aussi étonnée.
- Je… m’attendais pas à te voir… Entre ! lança-t-il en sortant de sa torpeur et en se poussant pour la laisser passer. Je… tu veux boire quelque chose ?
- Un… thé, s’il te plait.

Jane s’éclipsa, toujours aussi choqué par la présence de la jeune femme, et servit deux tasses de thé fumant à la camomille dans la cuisine avant de revenir dans le hall où Lisbon l’attendait.
- Le salon est par là, montra-t-il d’un signe de la main, risquant de faire tomber son thé.

Ils gardèrent tous les deux le silence un moment, aucun des deux n’osait parler, ni même se regarder. Même Jane, d’habitude si confiant, évitait le regard de son ancienne collègue. Au bout d’un moment, Jane, intrigué, lui posa la question qui lui brûlait les lèvres.
- Lisbon… comment tu as su où me trouver ? fronça-t-il les sourcils, non pas par énervement mais par une vraie envie de savoir.
- Bah… c’est évident, non ? dit-elle en relevant le regard, sourcils encore plus froncés que lui.

Face à l’expression d’incompréhension de l’homme, la jeune femme commença à avoir des doutes.
- Mais tu sais, le sms… que tu m’as envoyé…
- Je t’ai pas envoyé de sms.
- Si, tu m’en as envoyé un avec l’adresse et tu disais que tu… que tu avais envie de me voir… dit-elle, sa voix s’adoucissant en disant ces quelques mots.

Jane détourna le regard et rit pour lui-même avant de replonger ses lèvres dans son thé brûlant, son sourire revenant lentement sur son visage.
- Qu’est-ce qu’il y a de si drôle ? s’étonna Lisbon, ayant l’impression d’avoir manqué un épisode.
- Ce qu’il y a de drôle, répondit Jane avec un regard amusé, c’est qu’Alex n’avait plus de forfait. Il m’a demandé de lui prêter mon portable ce soir.

Lisbon était interloquée. Elle ne savait plus ce qu’elle ressentait, comment elle devait prendre ce que Jane venait de lui dire. Se surprenant elle-même, elle sentit la colère monter en elle, comme si elle avait été trahie.
- Tu te fous de moi ?! C’est Alex qui m’a envoyé ce message ?! explosa-t-elle en se levant d’un bond. Alors tous les efforts que j’ai faits, toute la force que j’ai dépensée pour me convaincre, ça a été pour rien ?! Je suis allée contre ma nature alors que c’est même pas toi qui as écrit ce putain de message !
- Hé, je te rappelle que j’étais pas au courant non plus ! s’exclama l’homme en se levant à son tour.
- Tu sais aussi bien que moi que sans ce satané message je serais pas venue !
- Oui ! Je le sais ! Mais t’es aussi heureuse que moi qu’on soit ensemble aujourd’hui !

Lisbon allait répliquer mais se ravisa en baissant les yeux, sachant qu’il avait raison. Elle devait avouer que de le voir l’avait chamboulée. Elle qui croyait qu’avec le temps les sentiments s’atténuaient, son cœur s’était serré plus fort que jamais quand elle avait vu le regard bleu de l’homme se poser à nouveau sur elle. Avec lui, elle se sentait importante, belle, elle savait qu’à ses yeux elle comptait plus que n’importe qui, et ça la rendait heureuse. Mais dans ses yeux elle voyait également un avenir incertain, et c’était ce qui lui faisait le plus peur dans tout ça.

Jane comprenait les débats intérieurs de Lisbon, il savait exactement ce qu’elle craignait, il avait appris à la connaître par cœur et la peur de l’engagement dont souffrait la femme était également la plus grande peur de Jane, et pour des raisons plus qu’évidentes. Si elle n’arrivait pas à s’engager, comment allait-il la convaincre ? Lentement, il approcha d’elle et, d’un geste apaisant, il posa sa main sur son avant-bras, pour l’amadouer. Puis, avec la même lenteur, il l’entoura de ses bras où elle se lova, relâchant toute la pression qui l’assaillait depuis que Jane était parti de sa vie.

Après un certain temps, elle posa sa tête délicatement sur son épaule alors que Jane caressait son dos, parcourant du bout des doigts chaque bosse de sa colonne vertébrale. Pour le plus grand plaisir de l’homme, Lisbon s’abandonnait complètement à lui à cet instant, et il se pencha vers elle pour lui susurrer un doux « je t’aime… », chatouillant son oreille de ses lèvres.

Soudain, elle s’écarta brusquement de lui, le repoussant. Le patron avait l’air assaillie par les doutes et complètement perdue par tout ce qui lui arrivait, tout ce qu’elle entendait. Elle fut sur le point de parler à plusieurs reprises mais ce ne fut qu’après quelques vaines tentatives qu’elle trouva les mots qu’elle cherchait.
- Patrick, est-ce que tu comprends ma situation ? Est-ce que tu as essayé de te mettre à ma place ? Tu comprends ce que le fait d’avoir une relation représente pour moi ? C’est le danger ! Tu sais à quel point j’ai besoin d’une vie stable, d’un point d’accroche ! Tu n’es pas ce point d’accroche, Patrick. Stabilité, c’est un mot que tu connais même pas ! Tu réalises la prise de risques que ça implique pour moi ? Ca fait trois fois que tu me dis que tu m’aimes, et à chaque fois ça me laisse perplexe que tu arrives à me le dire aussi facilement ! Moi aussi je… moi aussi je t’aime, continua-t-elle d’une voix maintenant chargée de douceur et d’émotion. Moi aussi je t’aime et ma plus belle nuit, c’est dans tes bras que je l’ai passée. Mais plus j’y réfléchis et plus j’en arrive à la conclusion que je serais folle de commencer quelque chose avec toi. Ma raison et mon amour pour mon travail au CBI m’empêchent de prendre un aussi gros risque, Patrick. Le risque de t’aimer et de tout perdre…

Jane s’éloigna d’un pas en arrière, mains sur les hanches, réfléchissant à ce qu’il allait lui répondre. Quand il releva son visage vers elle, un petit sourire s’esquissait sur ses lèvres, et une étincelle nouvelle brillait dans son regard plein d’espoir.
- Teresa, ma belle… la vie est une prise de risques constante ! Tu sais, le jour où j’ai trouvé ma femme et ma fille dans ma chambre, je… j’ai cru mourir. Pendant des années, je n’ai pensé qu’à me venger et plusieurs fois j’ai même songé à attenter à mes jours, tu es la mieux placée pour connaître cette partie sombre de ma vie. Et pourtant, aujourd’hui je veux retenter ça avec toi. Si tu crois que je n’ai pas peur, tu te trompes ! Je me demande tous les jours si ça pourrait marcher, si je ne fais pas une erreur. Mais il me suffit de te regarder pour me sentir heureux, n’est-ce pas là la preuve la plus évidente ?

Jane se mit à côté de la femme et lui prit la main, avant d’embrasser la pièce d’un ample mouvement de bras.
- Regarde Alex. De ton point de vue, c’est un type sans ambition, qui va de petit boulot en petit boulot, de ville en ville, de femme en femme, qui habite une maison poussiéreuse, bordélique et qui paye pas de mine et qui traîne un chien miteux en gratouillant une guitare dans un état lamentable pour se faire des sous. Mais moi, ce que je vois, c’est un homme libre qui aime son fils de tout son cœur, et qui fera tout pour être un bon père. Et tu sais quoi ? Cet homme déménagera à nouveau, il aimera à nouveau, il changera de boulot encore et encore. S’il le faut, il repartira de zéro également. Parce qu’il ne passe pas son temps à calculer les risques. Il prend tout ce que la vie lui offre de bon, en écartant le mauvais. Ca lui réussit pas toujours, mais il n’a pas besoin de plus. Parce que tout ce dont il a besoin pour être heureux, c’est de la personne qu’il aime le plus au monde. Et c’est également mon cas.

Lisbon se tourna vers lui, plongeant son regard dans celui de l’homme. Ils se regardèrent intensément durant de longues secondes, alors que Jane caressait la main de Lisbon, toujours dans la sienne. Après un moment qui leur parût durer une éternité, l’agent fronça les sourcils et se dégagea avant de planter son index dans le torse de Jane.
- Tu repasseras tes chemises, compris ?

Jane, qui s’était inquiété par le regard de Lisbon, fit un immense sourire et, sans répondre, s’approcha de la femme pour l’embrasser, lui communiquant tout l’amour qu’il avait réprimé depuis de si longues années. Le repassage attendra, se dit-il.

Shaitan a écrit:
- Regarde Alex. De ton point de vue, c’est un type sans ambition, qui va de petit boulot en petit boulot, de ville en ville, de femme en femme, qui habite une maison poussiéreuse, bordélique et qui paye pas de mine et qui traîne un chien miteux en gratouillant une guitare dans un état lamentable pour se faire des sous. Mais moi, ce que je vois, c’est un homme libre qui aime son fils de tout son cœur, et qui fera tout pour être un bon père. Et tu sais quoi ? Cet homme déménagera à nouveau, il aimera à nouveau, il changera de boulot encore et encore. S’il le faut, il repartira de zéro également. Parce qu’il ne passe pas son temps à calculer les risques. Il prend tout ce que la vie lui offre de bon, en écartant le mauvais. Ca lui réussit pas toujours, mais il n’a pas besoin de plus. Parce que tout ce dont il a besoin pour être heureux, c’est de la personne qu’il aime le plus au monde. Et c’est également mon cas.

J'aime ce paragraphe, c'est tellement simple mais tellement vrai.
j'adore ce chapitre. C'est le dernier mais un des plus beau que tu as écris. De l'humour, de l'émotion bref, je n'ai qu'un mot à dire BRAVO;

Waaahouuu, super fin, j'ai vraiment adorée toute ta fic, j'étais à fond dedans chaques soirs, j'éspère que tu vas continuer à écrire de belles choses, encore bravo pour cette fin je ne m'attendais pas à mieux

Bouhouhouhouhouhouuuu, c'etaaaiiit Trooop Biiieeeen ....
Exellente fin, c'etait juste trop Parfait. Le coup des chemises, et Alex,
Shai' tu es un ange !! Je sais pas quoi dire d'autre,

Merci !!

Wow wow wow

C'est une super fiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnnnnn

« Si une fille vient frapper, t’ouvres pas, ou alors tu t’attends à une déferlante d’insultes. Si c’est un homme… ouvre encore moins, c’est probablement le copain d’une des filles. »

Quel séducteur cet Alex

- Teresa, ma belle… la vie est une prise de risques constante ! Tu sais, le jour où j’ai trouvé ma femme et ma fille dans ma chambre, je… j’ai cru mourir. Pendant des années, je n’ai pensé qu’à me venger et plusieurs fois j’ai même songé à attenter à mes jours, tu es la mieux placée pour connaître cette partie sombre de ma vie. Et pourtant, aujourd’hui je veux retenter ça avec toi. Si tu crois que je n’ai pas peur, tu te trompes ! Je me demande tous les jours si ça pourrait marcher, si je ne fais pas une erreur. Mais il me suffit de te regarder pour me sentir heureux, n’est-ce pas là la preuve la plus évidente ?

Magnifiquement bien dit

Jane, qui s’était inquiété par le regard de Lisbon, fit un immense sourire et, sans répondre, s’approcha de la femme pour l’embrasser, lui communiquant tout l’amour qu’il avait réprimé depuis de si longues années.

J'ai adoré cette fic, du début à la fin

Vive le Jisbon

Merci Shai de nous avoir ravie avec cette super fic

Une autre fic Jisbon en vue?

Super belle fin !


Par contre Alex me manque déjà

Je vais faire comment pour vivre sans ta fic maintenant ^^
Elle est super bien ecrit