Red Disappearance [Finish] ^

Lilith a écrit:

C'est ça quand un mec est sexy. Très vite, tout le monde le veux. Sans doute pour ça que j'aime toujuors des mecs qui attirent pas les autres filles, vu comme je suis jalouse parfois xD

Bref, au passage, je vous mettrais sans doute la suite ce soir.

Et voilà, fin du chapitre en ligne !
Bonne lecture les gens !

Marine a écrit:C'est bien mais trop court

J'ai eu une suite sur une des fics que je lis, donc je devrais vous mettre une suite dès que j'l'ai lu si elle est pas trop anti-jisbon et que je suis micro-rassasié.

Et voici une nouvelle suite ! Bonne lecture et laissez vos impressions ^^


Chapitre 12
Profil
Il était sept heures moins dix lorsque Lisbon entra dans son bureau. Elle avait mal dormi, cauchemardant une bonne partie de la nuit. Depuis qu'elle savait que Jane était toujours en vie, le soulagement n'était pas arrivée. A l'inverse, son malaise n'avait fait qu'empirer avec le sentiment de trahison. A quatre heures, à nouveau réveillée en sursaut, elle n'avait pu qu'admettre qu'elle ne retrouverait décidément pas le sommeil. Étrangement, lorsqu'elle se leva pour errer en attendant une heure décente pour arriver au bureau, elle se retrouva habillée et prête à suivre sa journée... devant une pierre tombale. Détournant les yeux de celle dont elle savait désormais combien elle pouvait être inutile, la brune posa les yeux sur celle portant les noms de la femme et la fille de Patrick Jane. Soupirant, elle s'agenouilla devant celle-ci.
Elle ne s'était jamais sentie à l'aise dès que les deux défuntes entraient dans la conversation. Elle n'avait jamais vraiment été capable d'expliquer pourquoi, mais sentir leur présence autour de Jane avait quelque-chose de vraiment dérangeant. Ce matin n'avait rien de différent des précédentes fois. La proximité avec le marbre et le corps de la famille Jane mettait l'agent du CBI très mal à l'aise. Pourtant, elle y resta un certains temps, sans arriver à détacher ses yeux des noms des deux victimes de John le Rouge qui, malgré le fait qu'elles soient encore aujourd'hui de totales inconnues pour elle, avaient bouleversé toute sa vie. Deux noms, deux corps sans vie, avaient laissé partir à la dérive un père de famille qui était directement entré en collision avec la vie déjà bancale de la chef d'équipe.
Elle y avait souvent pensé. Elle avait déjà laissé sous entendre de nombreuses fois à Jane qu'elle avait eu, à l'époque, tout à fait conscience de la merde dans laquelle elle s'enfonçait alors même qu'elle signait pour l'avoir dans son équipe. Elle avait, elle-même, tout à fait conscience que déjà à l'époque, elle savait qu'elle souffrirait par sa faute. Mais elle avait signé. Elle avait accepté les yeux fermés toutes les closes du contrat, toutes les choses qui en découleraient. Elle savait qu'elle finirait par haïr Patrick Jane. Seulement, elle aurait pensé que c'était parce qu'il avait réussi à lui retirer son job, ce travail qu'elle affectionnait tant. Elle ne se doutait pas à l'époque que c'était son cœur qu'il allait meurtrir.
C'est donc encore dans ses pensées qu'en cette heure si matinale, elle pénétra dans des locaux qu'elle s'attendait à trouver vides. Cependant, ce ne fut pas le cas. En effet, Kimball Cho était à son bureau, tapant rapidement sur les touches de son ordinateur. C'était la première fois qu'elle le voyait ainsi et c'est l'idée d'un homme plutôt contrarié qui lui vint à l'esprit.

▬ Une problème ?, demanda Lisbon, malgré le fait qu'elle s'était juré de ne plus avoir aucun contact non professionnel avec lui.

▬ Il a encore fait une connerie.

Nul besoin d'expliciter ce « il » pour qu'elle sache de quoi Cho parlait. Elle s'en retourna pour rejoindre son propre bureau. Après tout, ce n'était plus son affaire. Malgré tout, à peine eut-elle fait trois pas pour s'éloigner de l'agent qu'elle se retourna vers celui-ci, sa curiosité l'emportant sur le reste.

▬ Du type ?

▬ Du type qui s'achève par un bain de sang comme on espère ne jamais en voir.

Encore une fois, elle avait l'impression de ne pas avoir eu besoin de traducteur. Jane avait juste fait quelque-chose qui pouvait menacer le secret de sa survie. Encore une fois, à cette idée, c'était la colère qui l'emporta sur tout autre sentiment. Comment osait-il. Cho, et maintenant elle, se battaient pour garder le secret, pour ne le dire à personne. Lisbon mourait d'envie d'en parler à Rigsby et Van Pelt, les deux seuls à tenter encore de faire un deuil qui n'avait pas lieu d'être. Cho avait passé des semaines à soutenir le moral de sa supérieure tout en sachant pertinemment qu'il disait les pires mensonges dans le but de l'aider à accepter cette mort qui n'avait jamais eu lieu. Et une autre personne que Lisbon n'avait jamais vue passait tout son temps avec lui pour le protéger, mettant sa vie entre parenthèse pour préserver celle d'un mentaliste trop égoïste. Tout ça pour quoi ? Pour que ledit mentaliste se fiche de tout ces efforts et mette tout en l'air, par égoïsme pur.
La sortant de ses réflexions, Cho lui tendit un dossier marqué du sigle du CBI. Ouvrant celui-ci à la première page, elle vit qu'il s'agissait du rapport de Cho quand à l'affaire Dereck Ames. Voilà donc pourquoi il était là si tôt. Il avait fini son rapport en un temps record. Lisbon se souvint qu'elle n'avait même pas commencé à taper le sien. Pas le moindre mot. L'agent sous ses ordres retourné à ses occupations, la chef d'équipe se rendit dans son espace de travail. Elle jeta le dossier sur le bureau, sans vraiment regarder, mais se figea en entendant le bruit caractéristique du papier tombant sur le sol. Contournant le meuble, elle vit une enveloppe blanche coincée sous le pied de son fauteuil. Sur celle-ci, un unique mot, son nom écrit à l'encre noire. Regardant pendant un moment les lettres, elle ne reconnut pas l'écriture. Finalement, elle fourra l'enveloppe dans son sac. Elle l'ouvrirait plus tard, elle n'avait pas le temps.
Et effectivement, elle n'eut vraiment pas une minute à elle de toute la journée. D'accord, il n'y avait pas d'affaire en cours, mais Hightower leur signala qu'elle voulait qu'un maximum de rapports en retard, si ce n'était tous, soient bouclés avant la fin de la journée, pour qu'ils puissent partir aux archives et être définitivement clôturés. Cho s'étant pas mal avancé pendant les trois nuits précédentes, fautes de parvenir à trouver le sommeil à cause de ses problèmes avec Lisbon, fut le premier à tout achever. Il proposa à Rigsby de l'aider à achever les siens, son collègue étant le plus en retard après une Lisbon qui grognait comme une lionne dès qu'on tentait de s'approcher de son bureau.
La journée fut donc sans grand intérêt pour les membres de l'équipe du CBI, mais frustrante puisqu'ils voyaient les heures s'égrainer comme des secondes, sans pouvoir rien y faire et sans avoir l'impression d'avancer dans leurs rapports respectifs. Au final, lorsqu'Hightower fit le tour du bureau pour vérifier l'avancée des travaux, elle eut le plaisir de constater que Cho et Van Pelt avaient terminé toute leur paperasse. Rigsby n'en était pas loin, il ne lui en restait que deux et elle lui accorda un délai de vingt-quatre heures. Elle s'énerva, cependant, lorsque Lisbon rejoignit son équipe pour annoncer à sa supérieure qu'elle n'avait pas finit ses rapports. Il lui en restait près de la moitié, ayant pris trop de retard sur les précédentes affaires.

▬ Agent Lisbon. Dois-je vous rappeler que vos rapports font partie intégrante de votre mission ? Une affaire ne peut être complètement clôturée tant que tous les agents qui ont travaillé dessus n'ont pas relaté les faits. Nous ne pouvons nous permettre d'avoir un trop grand nombre de rapports en attente. Qu'avez-vous fait de votre journée pour ne pas avoir eu le temps de tout finir ?

▬ Je sais que je n'ai aucune excuse madame, mais...

▬ Il n'y a pas de « mais » qui tienne, agent Lisbon. J'ai été plus que patiente. Je vous ai permis de prendre le temps de faire votre deuil avant de vous confier une affaire difficile, je vous ai laissé plus de temps que nécessaire pour y répondre et je vous ai pardonné bien des erreurs ces derniers temps. Ce n'est pas parce que les bêtises de Patrick Jane ne sont plus une menace à votre carrière que vous êtes tranquille. Je peux aussi vous virer faute de compétence.

▬ Je ne suis pas incompétente.

▬ Mais irresponsable oui, contra Hightower en fixant la chef d'équipe dans les yeux. Ne croyez pas que parce que j'ai passé l'éponge, j'ai complètement oublié que vous avez utilisé mon nom pour vos petites vengeances personnelles.

Lisbon baissa les yeux, évitant soigneusement celui de sa supérieure furieuse.

▬ Cette histoire est remontée aux oreilles du procureur général qui me demande encore pourquoi je ne vous ai pas suspendue, Lisbon, continua Hightower. Prenez garde à vous.

Et elle tourna des talons, retournant dans son bureau. Les agents de Lisbon, restés silencieux jusqu'à présent, se tournèrent tous les trois vers leur supérieure.

▬ Comment ça suspendue ?, demanda Grace en fronçant les sourcils.

▬ Ça n'a pas d'importance, répondit la brune en faisant demi-tour pour partir, mais Cho ne l'entendit pas de cette oreille.

Il attrapa sa patronne par le bras et l'obligea à rester parmi eux. Elle le foudroya du regard, jusqu'à capter celui de l'Asiatique et d'y lire du remord. Elle comprit qu'il craignait que ce ne soit cette histoire avec Jane qui la conduisait au bord du renvoi.

▬ Lisbon, dis-nous, demanda-t-il simplement. On est une équipe, non ?

Elle soupira, avant de se tourner vers Van Pelt et Rigsby, pour leur expliquer à eux, plutôt qu'à Cho.

▬ Il y a quelques jours j'ai... appelé une certaine personne. J'ai dit a cette personne que c'était Hightower qui m'envoyait et que j'avais quelques questions à lui poser. L'autre fois, lorsqu'elle vous a dit de m'envoyer dans son bureau dès que je rentrerais, c'était pour avoir des explications. Il l'avait appelé pour lui donner une information qu'il avait oubliée de me communiquer. Quand elle lui a dit qu'elle n'avait aucune idée de ce dont il parlait, l'homme lui a raconté comment je m'étais présentée à lui. Elle m'a donc menacée de renvoi pour finalement me dire qu'elle passait l'éponge.

▬ C'était qui cette personne, demanda Wayne en fronçant les sourcils.

▬ Le premier profiler à s'être penché sur le cas John le Rouge. D'après mes recherches et les notes de Jane, il n'a jamais vraiment réussi à lâcher cette affaire et le dossier traine toujours près de lui. Il connait pas mal de choses sur John.

▬ Pourquoi cette rencontre ?, poursuivit Grace.

▬ Je voulais des informations sur John le Rouge. Et principalement sur la possibilité qu'il fasse des erreurs. Les notes de Jane sont un vrai foutoir difficile à décrypter et le mot « erreurs » revient plusieurs fois. Je voulais savoir qui faisait des erreurs.

Cho était resté silencieux pendant tout l'échange. Bras croisés, il écoutait simplement, analysant les choses. Après un long silence suivant l'explication de Lisbon, ce fut lui qui reprit la parole en premier.

▬ Et ça donne quoi ?

L'Asiatique voulait savoir qui faisait des erreurs. Si Jane avait noté ce mot, ce n'était pas pour rien. Il y avait certainement quelque-chose que le mentaliste ne leur avait pas dit. Parce que d'aussi loin qu'il se souvienne, Jane ne lui avait jamais parlé de John le Rouge et d'erreur, en d'autres termes que « John le rouge ne commet pas d'erreurs. Si vous trouvez quelque-chose, c'est qu'il voulait que vous le trouviez. Ne vous reste plus qu'à découvrir pourquoi il le voulait. »

▬ Il m'a dit que maintenant ça serait difficile, mais pas impossible. Bosco a été assassiné parce qu'il avait découvert que John le Rouge commettait des erreurs.

▬ C'est le profiler qui vous l'a dit ?, demanda Van Pelt.

▬ Non. Il m'a dit qu'il avait récemment obtenu des preuves qui stipulaient que Sam et son équipe s'intéressait vraiment de très près aux erreurs de John le Rouge sur un dossier vieux de neuf ans. Que ces preuves – qui avaient disparu avec l'équipe de Bosco – auraient pu permettre de trouver l'identité du tueur. J'en conclus qu'il les a fait exécuter pour ça.

Les autres s'échangèrent un regard alors qu'ils assimilaient la nouvelle. Ainsi donc, leur patronne avait continué en cachette ses recherches sur John le Rouge. Enfin, ça, c'était ce que Rigsby et Van Pelt devaient assimiler. Cho, lui, le savait déjà. Ce qu'il ignorait cependant, c'était cette petite recherche de sa boss qui manquait aujourd'hui de lui couter sa place. Il comprit alors que Lisbon avait vraiment été prête à tout pour retrouver le tueur en série. Elle le lui avait déjà dit. Elle avait promis sur la tombe des Jane qu'elle mettrait fin aux actions de cette ordure et Cho la soupçonnait même d'avoir pour plan la mort de John. Il ne pensait pas, cependant, qu'elle serait capable de mettre en jeu sa carrière pour ça. Du moins pas avant le jour fatidique du face à face. Il s'avérait que si. Lisbon avait été prête à foutre en l'air sa carrière pour une simple petite information sur le tueur en série. Il comprenait d'autant plus la colère de l'agent face au mentaliste.

▬ Bon et si on rentrait tous chez nous maintenant hein ?, s'exclama soudainement la brunette. Je suis crevée et j'ai besoin d'une bonne nuit de sommeil. Vous aussi. Allez oust, je ne veux plus vous voir.

Et la chef d'équipe retourna dans son bureau, remplir son sac et se préparer à rentrer chez elle, pendant que ces agents en faisaient de même. Alors qu'elle allait fourrer un de ses dossiers en retard dans son sac, Lisbon posa les yeux sur l'enveloppe qu'elle avait trouvée ce matin et mis dans son sac. Elle fronça les sourcils. Celle-ci semblait ouverte, alors qu'elle aurait juré ce matin que l'enveloppe était fermée. Elle la tira donc du sac et l'ouvrit pour en ressortir une feuille blanche au format A4, soigneusement pliée. Elle la déplia et son froncement de sourcils prit d'abord les traits de la surprise, avant de devenir inquiet.
Sans plus réfléchir, elle se jeta littéralement hors de son bureau pour retrouver Cho. Celui-ci écoutait distraitement ses deux compères en train de discuter tout en préparant leurs affaires. Toute conversation se tut quand les pas précipités de Lisbon se firent entendre et qu'elle se jeta sur Cho.

▬ Il faut que tu m'emmènes, tout de suite.

▬ Quoi ?, demanda celui-ci sans comprendre.

▬ J'ai pas retenue un dixième de la route, je sais absolument pas où la maison se trouve et il faut y aller maintenant alors tu prends les clés du van et tu m'y conduis.

▬ Lisbon tu sais bien que..., commença-t-il à voix basse avant d'être coupé par sa supérieure.

Sans un mot, elle lui planta la feuille sous les yeux. Il l'attrapa, ne pouvant rien lire à la distance à laquelle elle l'avait mise et lut rapidement les quelques lignes. Le visage impassible de l'Asiatique se décomposa pourtant à mesure qu'il avançait dans sa lecture.

▬ Merde, pesta-t-il en attrapant ses clés et son arme. Okay on fonce.

▬ Vous, lança Lisbon en direction de ces deux agents perdus. Vous venez aussi. Arme et gilet pare-balle et on ne discute pas. Rigsby, tu as deux minutes pour nous rejoindre en bas avec un gilet pour chacun ! Van Pelt, va chercher les clés du van, tu as trente secondes pour nous rejoindre avant que l'ascenseur ne s'ouvre.

Avant qu'ils n'aient pu demander des explications, Lisbon et Cho s'étaient déjà précipités vers les ascenseurs. Grace et Wayne s'observèrent une seconde avant de partir chacun dans une direction, suivant les ordres donnés.


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Sirène hurlante et gyrophare allumé, le van traversait la route à vive allure, les voitures devant s'écarter sur son chemin. Au volant, un Kimball Cho crispé. A sa droite, une Teresa Lisbon inquiète et incapable de tenir sur son siège. A l'arrière, un Wayne Rigsby et une Grace Van Pelt bien incapables de dire ce qu'il se passait dans cette voiture.

▬ Bon sang, Cho ! Plus vite, merde !, grogna Lisbon en regardant le compteur. Ce tas de ferrailles peut monter au moins jusqu'à 160.

▬ Lisbon calme-toi. Ça ne changera rien de m'engueuler.

▬ Non, mais si tu veux pas qu'on ait sur la conscience la mort d'un type censé être déjà mort, t'as intérêt à te grouiller.

Cho soupira, préférant ne rien répondre à sa supérieure. Il prit son téléphone portable et le donna à Lisbon.

▬ Regarde dans le répertoire et essaye de contacter BS.

▬ BS ?, répéta la chef d'équipe.

▬ Baby-sitter.

Cette réponse eu au moins le mérite de la faire sourire un petit peu.

▬ Il s'appelle Dwight Saddler. Je suis censé pouvoir le joindre 24h/24. S'il ne répond pas...

▬ S'il ne répond pas ?, répéta-t-elle une nouvelle fois.

▬ Tu pourras me hurler dessus pour que j'accélère le rythme, il y aura une bonne raison.

Lisbon trouva rapidement le fameux BS dans le répertoire et lança l'appel. Celui-ci se fit dans le vide pendant plusieurs longues secondes, avant qu'elle ne tombe sur une messagerie des plus impersonnelles et ne permettant d'avoir l'identité de BS. Alors que la voix d'ordinateur féminine lui disait de laisser un message après le BIP, elle se tourna vers le conducteur.

▬ Cho ! Pied au plancher, maintenant.

Sans discuter, l'Asiatique obtempéra. A son tour, il craignait vraiment la suite des évènements. Même lorsqu'il n'avait pas un boulot aussi important que celui qui lui avait été confié, il était toujours joignable. Il s'était d'ailleurs attiré pas mal d'ennuis en répondant alors qu'il n'aurait probablement pas dû le faire. Kimball craignait donc le pire.

▬ Est-ce que quelqu'un va enfin se donner la peine de nous expliquer ce qu'il se passe bon sang ?, sonna la voix de Van Pelt derrière eux, impatiente, inquiète et complètement larguée par la situation.

Lisbon se tourna vers elle et se mordit la lèvre inférieure.

kis a écrit:Roo tu me tient en haleine, franchement tu réussi a noué mystère, action et sentiment sans en arrivé par la case "gniangnian"

latitemaï a écrit:Qu'est ce qu'il a encore faiit??!!
Viite la suiite stp !!

WinJane a écrit:

latitemaï a écrit:Qu'est ce qu'il a encore faiit??!!
Viite la suiite stp !!

Une connerie qui risque de lui couter la vie, comme d'habitude MDR

En y réfléchissant, je sais pas vraiment si c'est clair l'idiotie qu'il a fait ce grand fou... Quoique en fait si... Je sais plus. Bref, vous me direz si jamais. Vous en faites pas, il s'est ni suicidé, ni enfuit au fin fond de l'Idaho.

Bref, en attendant, voici la suite ! Suivez les petits rouges.