Espoir ^

Et voilà le chapitre 15, avec un peu de retard mais l'important c'est qu'il soit là non?
Bonne lecture......




Chapitre 15: La lettre

Jane avait écouté Cho jusqu’à la fin. Les larmes coulaient librement sur ses joues, il ne tentait même pas de les cacher. Sa haine envers le kidnappeur de Lisbon avait redoublé d’intensité, mais aussi la colère qu’il avait envers lui-même. Il lui avait promis de revenir. Il lui avait promis de la sortir de cet enfer. Mais il n’avait pas tenus sa promesse. Au lieu de ça, il s’était muré dans son chagrin en restant dans le coma durant six longs mois. Six mois durant lesquels Lisbon avait été seule en l’attendant. Quels autres sévissent cet ordure avait-il pu lui faire subir durant ces mois? Vu ce qu’elle avait enduré lorsqu’il était avec elle, il avait peur de ce qu’elle avait du subir, seule face à ce monstre.
Mais le temps n’était plus à la réflexion, il devait savoir. Oui, la seule chose qui comptait pour lui à présent été de savoir si l’équipe avait réussis là où lui avait échoué.


C_ Elle t’a laissé une lettre.

L’asiatique lui tendit une enveloppe. Elle n’avait pas encore était ouverte. Et pour cause, son nom était inscrit dessus en grosses lettres: «  PATRICK JANE ».
Il la saisi de ses mains tremblantes d’angoisse. Il hésité à l’ouvrir. Il avait peur de ce qu’il allait lire, peur que ce soit une lettre d’adieu. Mais il le devait. Lisbon avait pris le temps de l’écrire pour lui alors il devait savoir ce qu’elle avait à lui dire. Alors il l’ouvrit et commença sa lecture.

«  Cher Jane,
Je ne sais pas si nous allons nous revoir un jour alors j’ai décidé de vous écrire cette lettre. Je ne suis même pas certaine que vous l’aurez mais je le fais néanmoins. Au pire ce sera comme si j’écrivais un journal.
Depuis que j’ai signé ce fameux contrat vous nommant consultant auprès de nos services du CBI, j’ai appris à vous connaitre. Tous ce que je savais d vous à l ‘époque je l’avais vu à la télévision et je dois dire que j’avais une mauvaise image de vous. Mais au fil du temps, j’ai pu voir votre vrai personnalité et j’ai appris à vous apprécier et à vous respecter pour votre travail mais aussi pour la personne que vous êtes.
Lorsque je vous ai vu arrivé dans cette cabane il y a…. je ne me rappel même plus combien de temps, enfin bref, ce n’est pas le plus important. Ce que je voulais dire c’est que lorsque vous êtes arrivé dans cette cabane, j’ai cru que mon rêve devenait réalité. Vous étiez enfin là, avec moi, je n’étais plus seule. Mais j’ai déchanté en me rendant compte que si vous étiez là c’est que vous aussi étiez prisonnier. Et cette constatation m’a fait mal. Je ne voulais pas que vous soyez dans cette situation et de plus à cause de moi. Mais je ne sais pas si je pourrais un jour vous remercié d’avoir été là pour moi, de m’avoir aidé soutenue et soigné. Vous avez fais bien plus pour moi que n’importe qui dans ma vie.
Et le moment de notre séparation a été une épreuve très difficile pour moi. Je devais vous voir de nouveau vous éloigner de moi. J’avais pris cette habitude de vous avoir à mes côtés. Mais c’était mieux ainsi. Il vous fallait des soins urgents. Je ne sais pas si vous vous êtes remis de toutes les tortures que vous avez subis par ma faute et je pris le ciel pour que ce soit le cas.
Je tenais également à vous dire que je tiendrais le coup aussi longtemps que possible. Et cela pour deux personnes.
La première, vous. J’ai trop besoin de vous revoir. Je veux pouvoir de nouveau me glisser dans vos bras lorsque je suis triste, ou simplement pour sentir votre cœur battre contre mon oreille. Je sais, je suis un peu fleur bleue, mais c’est tout ce qui me reste en ce moment, mes rêves.
La deuxième personne, et je vous conseil de vous assoir pour lire ces quelques lignes, donc cette autre personne est l’enfant que je porte. Je me doute de votre réaction, vous devez vous demandé pourquoi je vous fais une telle déclaration d’amour pour ensuite vous annoncé que je suis enceinte. Mais n’ayez pas peur, je ne vois personne actuellement…. Enfin je veux dire je ne voyais personne avant de me faire enlever.
Cet enfant c’est le notre.
Vous vous demandez surement comment c’est possible, mais si c’est notre enfant.
Rappelez vous, environ un mois avant mon enlèvement, après cette fameuse enquête qui nous a tous bouleversé, nous sommes allez boire un verre ensemble. Même plus d’un verre. Nous avions vraiment beaucoup trop bu, et ce qui devait arrivé est arrivé.
Je sais qu’après je me suis montrée distante envers vous sans vous en donner la raison, vous la connaissez à présent. J’avais peur, de mes sentiments pour vous, et d’être rejeter. J’avais peur aussi de vous faire souffrir par rapport à votre défunte épouse. Je ne voulais pas qu’il y ai de dérapage entre nous. Mais je crois que finalement j’en avais envie. Je m’excuse si je vous ai fais souffrir par mon attitude.
Je crois que je vais arrêté là ma lettre.
Je vous demanderez juste une chose, si jamais je ne survis pas mais que par je ne sais quel miracle notre bébé arrive à survivre, je voudrais que vous preniez soin de lui. Je voudrais que vous l’aimiez comme moi je l’aurais aimé car cet enfant enfant est le fruit de l’amour que j’ai pour vous.

Avec tout mon amour, et pour toujours,
Teresa Lisbon.
Je vous aime Patrick Jane. »

Jane replia soigneusement la lettre. Il n’en revenait pas. Lisbon était enceinte, et de lui en pus. Jamais il n’aurait osé rêver d’une telle chose. Mais comment avait-il pu ne pas s’apercevoir de sa grossesse durant le peu de temps qu’il été rester avec elle dans cette cabane? Elle n’avait pas l’air d ‘avoir grossi, et pourtant…..
Il se tourna vers Cho qui s’était éloigné le temps de sa lecture. L’asiatique se tourna vers lui au même instant et leur regard se croisèrent.

J_ Où sont-ils à présent?
C_ Lisbon se trouve dans l’aile psychiatrique de l’hôpital. Après que nous l’ayons retrouvé, elle été mal en point mais assez forte pour que la grossesse aille à terme.
J_ C’est… une fille ou un garçon?
C_ Une jolie petit fille.
J_ Où est-elle?
Toujours ici. Elle a beaucoup souffert du manque de nourriture de Lisbon, elle est encore en couveuse mais elle va de mieux en mieux. Je vais demandé à ce que tu puisse la voir.
J_ Merci. Je voudrais voir Lisbon aussi.
C_ Je m’en occupe.

Ainsi, l’agent quitta la chambre en laissant Jane seul face à toutes ces révélations. Il était de nouveau père. Il avait encore du mal à s’y faire mais le plus important c’est que les deux nouvelles femmes de sa vie étaient toutes les deux en vie.
Il souris et ce dit que bientôt ils allaient tous sortir d’ici, en famille. Il allait aider Lisbon à se remettre. Il allait être là pour elle.

Quelques minutes plus tard, un infirmier entra dans sa chambre avec un fauteuil roulant et le conduisit auprès de la jeune femme qu’il voulait tant revoir.
Le chemin jusqu’à elle lui parut durer une éternité, mais finalement il arriva.
L’infirmier, après l’avoir installé près du lit, les laissa.
Jane fut attristé de voir la jeune femme ainsi. Elle avait le regard dans le vague. Elle ne fixait rien en particulier. C’était comme si elle ne se trouvait plus dans son corps, comme si elle n’était plus là.
Il se pencha et lui prit la main. Il commença alors à lui parler pour la faire revenir. Il avait tant besoin d’elle. Mais aussi leur enfant. Il voulait pouvoir profiter de sa nouvelle famille. Et il allait tous faire pour que son rêve devienne réalité.


A suivre………………….

ohhhhhhhh trop mimi un p'tit bébé jane
bon surtout ne fais pas mourir Lisbon hein
VLSSSSSSSSSSSS !!!!!

Ouf Lisbon est toujours en vie! Et en plus avec un p'tit bout!
VLS

Oh c'est tellment magnifique !!! il la retrouver et en plus ils ont un enfant ensemble c'est tout simplement magique !!!

Bravo bravo bravo Sweety !! J'espere maintenant que Lisbon va aller mieux mais je n'en doute pas.

VLS

Wahou, un bébé Jisbon

C'est fort en rebondissements (et pas en chocolat !), vraiment génial !

La fait pas mourir, pas mainenant, pas de truc super méga triste, pitié

VLS !

Voilà mon tout nouveau chapitre, terminé juste à l'instant pour vous.....
Préparez vos mouchoirs..
Et préparez vos petits coeurs à beaucoup d'émotions
Maintenant, place à la lecture, et n'oubliez pas, donnez moi votre avis...



Chapitre 16: Retrouvailles

Lisbon entendait parlé à côté d’elle. C’était un bruit étouffé mais elle l’entendait néanmoins. Chaque jour elle entendait des voix, mais jamais elle ne faisait le moindre geste pour montré qu‘elle était encore là. Elle ne savait même pas o elle était. Elle ne savait plus. Elle se rappelait un peu de ce qui c’était passé le jour de son sauvetage mais peu à peu ses souvenirs s’estomper. Elle ne voulait pas garder ses souvenirs, ils lui faisaient trop de mal. A chaque fois qu’elle revoyait la scène elle souffrait un peu plus.


FLASH-BACK


Elle avait finis d’écrire la lettre qu’elle destinait à Jane. Elle avait beaucoup pleuré lors de sa rédaction, repensé à lui été dure mais elle en avait besoin. Elle ne savait pas si elle allait le revoir alors elle avait eu l’idée de lui écrire. Elle se doutait que sa lettre n’arriverait jamais à son destinataire mais au moins elle avait mis par écrit ce qu’elle ressentait et ce qu’elle voulait lui dire.
Lorsqu’elle avait enfin finis, elle passa sa main sur son ventre légèrement arrondis. Il n’était pas très gros comparé à ce qu’il aurait dû être mais c’était normal. Les tortures et la privation de nourriture n’avait pas aidé le bébé à se développé convenablement. Elle espérait seulement que ce petit être allait bien, qu’il serait en bonne santé et qu’elle pourrait le mettre au monde ailleurs qu’ici, dans cette cave.
Elle voulait que Jane puisse voir leur enfant. Mais elle ne savait pas s’il serait heureux. Après tout, ils avaient eu une aventure d’une nuit suite à une soirée bien trop arrosée. Elle l’avait par la suite évité autant qu’elle le pouvait sans toutefois nuire à leur travail. Mais l’ambiance n’était pas vraiment au beau fixe avant son enlèvement. Comment allait-il réagir face à cette nouvelle? Elle n’avait rien osé lui dire lorsqu’il se trouvait là, avec elle, elle s’était contenté de profiter de sa présence, courte mais si réconfortante. Elle aurait dû le lui dire, elle n’aurait pas dû garder ce secret pour elle. Et pourtant, la peur d’être rejeté l’avait poussé à garder le silence. Et maintenant elle regrettait.


Elle dormis quelques minutes puis son ravisseur quitta la maison, c‘est-ce qui la réveilla. Jamais il ne la laisserait tranquille. C’était comme vingt ans plus tôt. A la différence que la première fois il ne l’avait pas enfermé dans une cave mais il l’avait gardé dans sa maison à lui, la faisant passé pour la fille d’un couple d’amis. Et elle n’avait rien dit à personne à cette époque. Elle avait souvent eu l’occasion de fuir, mais les menaces de cet homme l’avait dissuadé de tenter quoi que ce soit.
Mais dans son malheur, il y avait eu un soleil. Et ce soleil se trouvait être Patrick Jane. Elle ne se doutait pas à ce moment-là qu’ils se reverraient des années plus tard, qu’ils travailleraient ensemble.
A ce moment-là, il n’étaient tout deux que des enfants, enfin lui n’était plus vraiment un enfant puisqu’il semblait avoir dans les seize ans, mais il était encore jeune. Et malgré son jeune âge, il avait prit des risques pour la sauver. Si seulement elle avait pût se rappelé de lui lorsque leurs chemins c’étaient de nouveau croisés. Mais les souvenirs de sa première fuite ne lui étaient revenus qu’il y a peu.
Elle se rappellerait toujours à présent de la gentillesse qui se dégagé de ce jeune homme. Il l’avait aidé jusqu’au bout, allant jusqu’à la raccompagner dans sa ville natale, abandonnant sa vie et sa famille pour qu’elle puisse revoir les siens. Il avait été courageux.
Et à présent, elle était de nouveau là, coincé avec ce monstre qui n’était autre que le cousin de Patrick Jane. Elle en voulait à cet homme. Lui faire subir ça de nouveau était vraiment dure, mais s’en prendre à son propre cousin, il devait vraiment être mal dans sa peau et dans sa tête pour agir de la sorte.
Lorsque Travis avait découvert sa grossesse, il était entré dans une colère noir. Elle avait bien cru qu’elle allait mourir à ce moment-là. Mais au contraire, l’homme avait changé du tout au tout. Il était devenus plus gentil avec elle, lui donnant à manger plus régulièrement, la soignant, l’aidant à reprendre des forces. Ainsi, le bébé pouvait se développé mieux qu’au début de sa grossesse. Teresa avait peur des conséquences de tout ces changements. Pourquoi était-il aussi bon avec elle? Que cachaient toutes ces gentillesses? Elle finis par le découvrir lorsqu’il lui apprit qu’après la naissance du bébé elle ne lui serait plus d’aucune utilité. Il allait garder le bébé et ainsi faire souffrir son cousin en lui envoyant des lettres et des photos de l’enfant sans jamais lui permettre de le voir. Ce serait sa manière de se venger disait-il.

Un jour tout changea. Travis partis en ville pour ramenait de quoi la soigné, mais il ne revint pas. Elle attendit durant un temps qui lui sembla être des jours. Elle ne voulait pas qu’il revienne mais d’un autre côté elle ne voulait pas mourir seule ici.

Puis finalement, un matin, la porte de la cave s’ouvrit sur un homme grand, brun, portant une arme et un gilet pare-balle. Elle le reconnus aussitôt et elle sombra ensuite dans l’inconscient. Elle se réveilla plusieurs heures plus tard, à l’hôpital.
Les trois agents de son équipe se trouvaient dans un coin de sa chambre et discutaient. Lorsqu’elle ouvrit les yeux, ils accoururent.
Elle se souvenait encore de leur visage triste. Pourtant ils auraient dû être heureux de la revoir. Cho lui apporta bien vite les raisons de cette tristesse, et c’est là qu’elle sombra dans cette sorte de léthargie. Elle se demandait encore comment elle avait réussis à mettre son enfant au monde. Mais elle se doutait qu’elle n’avait surement pas fait grand-chose. Les médecins étaient doués.

Fin du FLASH-BACK


Depuis ce moment-là, chaque jours quelqu’un venait lui parlé. Jamais la même personne deux fois d’affilée. Mais elle n’était jamais seule bien longtemps. Elle aurait voulut pouvoir leur répondre mais elle était tellement triste qu’elle ne parvenait à rien. Elle ne voulait qu’une seule chose, que Patrick Jane vienne la voir, lui prenne la main et lui parle.
Mais alors qu’elle écoutait la personne lui parlé, elle pensait reconnaitre la voix. Une voix qu’elle pourrait reconnaitre entre mille. Une voix qui avait le don de l’exaspérer mais aussi de faire battre son cœur plus vite.
Lentement elle tourna la tête dans la direction de cette voix, ses yeux suivant le mouvement. Elle croisa alors deux yeux bleus pleins de larmes. Sa vue se brouilla, les larmes dévalaient également le long de ses joues. Une mains vint se posé sur son visage et la douceur de ce geste la réveilla entièrement. Elle ferma les yeux quelques secondes puis les rouvrit. La personne s’était rapproché d’elle, avec difficulté à bien voir l’expression de son visage.
Alors, elle ouvrit la bouche et prononça son premier mot depuis qu’elle se trouvait là.


L_ Ja…. Jane..
J_ Oh Lisbon.

Jane la prit dans ses bras et la serrât si fort contre lui qu’elle crut un instant qu’elle allait étouffer. Mais elle était heureuse, elle était enfin avec lui, dans ses bras. Elle resserra encore plus l’étreinte, ne voulant pas être de nouveau séparer de lui. Elle avait tellement attendu ce moment. Puis Jane se décala légèrement de la jeune femme, plongeant de nouveau son regard dans celui de celle qui faisait battre son cœur, puis il se pencha vers elle et déposa tendrement ses lèvres sur celles tant désirés. Lisbon répondit immédiatement au baiser. Comment aurait-elle pu ne pas le faire, c’était le chose qui l’avait fait tenir durant ces longs mois de captivité, l’espoir de pouvoir à nouveau goûter à ses lèvres.
Ils se séparèrent à bout de souffle mais restèrent front contre front, comme lorsqu’ils avaient prit la décision de se quitter plusieurs mois plus tôt, quand Jane lui avait promis de revenir.


J_ Je suis désolé Lisbon.
L_ Pourquoi?
J_ Je n’ai pas tenu ma promesse, je ne suis pas revenus, je….
L_ Ne vous tourmentez pas avec ça. Si vous aviez pu vous seriez revenus. Lorsqu’ils m’ont ramené à l’hôpital, ils m’ont tout expliqué. C’est plutôt à moi de vous faire des excuses.
J_ Qu’avez-vous fait qui mérite mon pardon?
L_ Je vous ai caché ma grossesse. J’avais peur des conséquences après cette fameuse nuit, peur que vous ne vouliez pas de moi, je vous soyez en colère contre moi…..
J _ Jamais je ne pourrais vous en vouloir. Nous étions deux cette nuit là, ne l’oubliez pas. Et us, je vous aime trop pour vous en vouloir.
L_ Je… Je vous aime aussi Jane…
J_ Je pense qu’on pourrait se tutoyer et s’appeler par nos prénom vous ne croyez pas?
L_ Je t’aime Patrick.
J_ Je t’aime Teresa, et notre enfant aussi.
L_ Oh mon dieu, mon bébé…….. Où est-il?
J_ Calme toi, le bébé va bien. Il est un peu faible mais il va bien. Ou plutôt, elle va bien.
L_ C’est une fille? Tu l’as vu?
J_ C’est une fille oui, mais je ne l’ai pas encore vu, je voulais te voir avant.


Le couple s’embrassa encore une fois. Ils semblaient vouloir rattrapé le temps perdus. Puis Jane appela une infirmière pour qu’elle examine Lisbon. Une fois cela fait, ils demandèrent à être conduit auprès de leur enfant. Ce que la jeune infirmière s’empressa de faire. Il avancèrent donc, main dans la main, chacun dans un fauteuil poussé par un infirmier. Mais lorsqu’ils arrivèrent à l’étage des soins pédiatrique, une alarme se mit à sonnée. Des agents de sécurité accoururent, suivit par un médecin qui semblait affolé.

J _ Que ce passe-t-il?
X_ Un bébé à disparus, l’hôpital est fermé le temps de e retrouvé.
J_ Quel bébé?
X_ Il n’avait pas encore de nom, ses parents étaient dans le coma….

Lisbon se crispa et serra très fort la main de Jane dans la sienne. Celui-ci se tourna vers la jeune femme qui pleurait déjà. Leur petite fille avait disparus……


A suivre……………………


Peut-être la suite demain, avant de partir en vacances.

*regarde autour d'elle avec anxiété*

Au secours !! Je suis entourée de sadiquuuuuuuues !!!!

(sinon, toujours aussi bien ! Mais c'est le coup de grace que tu leur portes là ...)

VLS !

TU VEUX NOUS TUER ???? c'est tellement mignon mais en meme temps super triste !!
Je suis sur que c'est le ravisseur de Lisbon qui leur a enleves leur enfant !! Je vais le

Bon je me calme et j'attends la suite !!!

Je suis sur que c'est le ravisseur de Lisbon qui leur a enleves leur enfant !! Je vais le

t'es sure? Rappel toi que le ravisseur de Lisbon a été arrêter par Cho et qu'il est en prison.
Mais tu le saura demain

ARGH !!!

Tu as signé mon arrêt de mort ! T'étais parti pour un super happy end !
Dis donc, toi quand tu t'y met, t'es super ultra sadique !!!

VLS VLS

pas ma faute j'ai de supers profs pour ça

AHHH ca recommence!
C'est dingue ce que vous pouvez être sadiques les filles xD

VLS

Héwwoo .. NNon , t'est trop sadique !
Lisbon , Jane & après le bébé .. Nanméo
Sinon , super TOP ton chapitre .. Les retrouvaille .

V.L.S

C'est trop d'émotion pour moi

De super retrouvailles entre Jane et Lisbon, tout partis pour un super Happy end et voilà qu'on découvre que leur petite fille a disparut.

Quel sadisme VLS!

Sadique et perverse en plus ^^

tu me tue mais c'est magnifique . J'aime toujours autant ta fic c'est génial

désolée les filles mais ce soir je suis trop fatiguée pour écrire la suite de ma fic, mais promis demain matin avant d'aller travailler je l'écris et je vous la poste, et si vous êtes sages vous aurez un autre chapitre le soir. Ensuite il vous faudra attendre le 26 Aout pour avoir la suite car je pars en vacances. Si je trouve un cyber café je posterais mais là je ne peux rien vous promettre.
Sur ce bonne nuit à tous...

Dacc's ... Vive demain matin alors !

alors je me suis levée tôt ce matin pour vous écrire ce chapitre avant d'aller au travail.
Perso je ne le trouve pas super, mais bon c'est juste pour vous faire patienté, ce soir je prévois une meilleur chapitre mais je pense que ce sera le dernier car je pars demain matin à 5h donc je ne pourrais pas écrire demain.




Chapitre 17: Disparition


L’hôpital était en pleine effervescence. La disparition du bébé avait inquiété tous le personnel soignant, se demandant comment cela avait-il pu arrivé. Toutes les issues avaient été fermer et étaient surveillées par des agents de sécurité. La police avait été demandé en renfort. Le temps leur était compté car le bébé en question souffrait d’un problème cardiaque, découvert seulement quelques jours plus tôt. Il fallait faire vite car loin de sa couveuse et des traitements dont il était l’objet, il avait de grande chance de ne pas survivre.
La directrice de l’hôpital se sentait mal d’avoir perdu un bébé, surtout un enfant qui avait si mal commençait dans la vie. Ses parents n’étaient pas en mesure de s’occuper de lui, ou plutôt d’elle, et elle était en plus de ça malade. Cette petite fille n’avait vraiment pas était gâté.
En voulant joindre la personne qui veillait sur l’enfant en l’absence des parents, la directrice apprit que ceux-ci étaient enfin réveillés. Elle soupira de soulagement. Le couple avait traversé l’enfer et elle était heureuse qu’ils soient de nouveau eux-mêmes. Mais d’un autre côté, elle allait devoir annoncer à des gens tout juste revenus d’un long coma pour l’un et d’une longue période dépression pour l’autre, que leur seule et unique petite fille avait été kidnappé. Elle avait peur de la réaction de la jeune mère qui risquait de refaire une dépression, et qui sait peut-être même tenté quelque chose contre elle-même. Mais elle avait le devoir de le faire. Alors, elle prit son courage à deux mains et se dirigea vers la chambre de la jeune femme où le couple avait été installer.


En entrant dans la chambre, elle fut accueillis par le silence. Le couple se trouvait près de la fenêtre, l’homme tenant fermement la main de sa tendre dans la sienne. Peut-être pensait-il que cela l’apaiserait, mais il semblait que ce ne soit pas très efficace. La jeune femme pleurait à chaudes larmes. Elle avait perdus son enfant, le seul enfant qu’elle avait et elle en voulait au monde entier. Mais le pire c’est qu’elle s’en voulait à elle-même. Si elle n’avait pas fait cette dépression, si elle avait été elle-même ces derniers mois, alors sa fille aurait été auprès d’elle et dans ce cas elle n’aurait pas disparus. A cette simple pensée, elle repoussa la main de son compagnon qui ne compris pas la raison de son rejet.

J_ Teresa, qu’y a-t-il?
L_ C’est de ma faute…
J_ Quoi? Mais non, tu n’y ai pour rien…
L_ Si je n’avais pas fait une dépression, alors notre fille aurait été avec nous, elle n’aurait jamais disparus. Et je ne t’aurais pas fais souffrir encore une fois.
J_ Mais de quoi tu parle?
L_ Tu as déjà perdue une fille et à cause de moi tu en perds une autre.

Et elle fondit en larmes. Jane resta un moment en silence, ayant du mal à digéré ce que venait de lui dire la jeune femme. D’un côté elle avait raison, si elle n’avait pas été dans cet état, leur fille serait toujours là. Mais si lui n’avait pas été dans le coma alors elle n’aurait surement pas fait de dépression car il aurait été là pour la soutenir. Et s’il ne l’avait jamais rencontré, alors peut-être que son cousin ne s’en serait pas de nouveau prit à elle, et dans ce cas elle n’aurait pas subit tous ça.
Mais en y réfléchissant, s’il n’avait pas recroisé la route de Teresa Lisbon, alors leur petite fille n’aurait pas été conçus. Il se dit alors qu’il ne fallait pas regretté les choses du passé mais plutôt tenter de vivre avec et d’avancer.

La directrice, qui était rester à l’entré de la pièce depuis le début de l’échange entre le couple, se sentit encore plus mal. Elle avait peur que la pauvre femme ne tente quelque chose contre elle-même et que malgré toute sa bonne volonté, l’homme ne puisse rien y faire. Elle décida donc de ne pas les déranger et de repasser plus tard, lorsqu’ils serraient en état de l’écouter.
Elle préféra retourné voir les agents de sécurité, savoir s’ils avaient du nouveau au sujet du bébé. Et en effet ils en avaient. Grace aux vidéos surveillance, ils avaient pu voir qui avait emmené l’enfant. Ils avaient pu suivre les déplacements de la personne jusqu’au parking mais ensuite, le kidnappeur était monté dans une voiture et avait quitté l’enceinte de l’hôpital. A présent plus moyen de savoir où se trouvait l’enfant.
La directrice se sentait vraiment mal d’un coup. C’était la première fois qu’elle perdait un enfant. Comment une telle chose avait-il pu arrivé dans son hôpital? Avec toute la sécurité qu’il y avait, comment? Elle en était là de ses réflexions lorsque quelqu’un frappa à la porte de son bureau. Elle reconnus tout de suite l’agent Cho du CBI, qui travaillait avec les parents de la petite disparue. L’asiatique entra dans le bureau et vint se placer devant la jeune femme. Son regard ne laissé transparaitre aucune émotion, on aurait pas pu dire s’il était en colère ou non.


C_ Je voudrais avoir accès au vidéos surveillance.
Di_ Pourquoi?
C_ Je souhaite prendre part aux recherche sur la fille de mes amis. Et je sais que vous allez dire que je suis trop proche des parents pour être concentré sur l’affaire mais il en est tout autre.
Di_ Expliquez vous.
C_ Mon équipe et moi sommes les meilleur dans notre domaine et je connais bien mes amis, ils ne laisseront pas n’importe qui recherché leur fille. Et je les comprends. Patrick Jane, le père, a déjà perdus un enfant, assassinée il y a de ça sept ans par le tueur en série Red John. Il a reprit goût à la vie grâce à Teresa Lisbon, alors je ne veux pas qu’il sombre de nouveau. Je sais que nous aurons plus de chance de retrouvé la petite avec nos moyens qu’avec ceux de la police locale.


La directrice réfléchis un moment à la proposition de l’agent. Il n’avait pas tout à fait tort. Il connaissait bien les parents et saurait comment les calmer face à la situation. Et elle avait entendu parler de l’équipe du CBI du l’asiatique. Cette équipe avait d’excellents résultats, pas autant que l’équipe dont il faisait partis avant, mais à présent la sienne était la meilleure. Et quoi de mieux que la meilleure équipe pour l’aidé à retrouvé cette petite fille rapidement?
Elle accepta la proposition de l’agent mais elle donna une condition qui n’était pas négociable, elle voulait prendre part à l’affaire. Elle voulait pouvoir aider dans les recherches de l’enfant, car elle se sentait responsable de sa disparition. Elle voulait pouvoir réparer ses torts, même si elle n’y était pas pour grand-chose.
L’homme accepta et partis joindre on équipe pour commencer au plus vite.


A suivre……………………


J'espère que vous avez aimé..... A ce soir pour la suite....

Owoh .... Ton chapitre est super !
C'et crooo Triste , vite retrouver l'enfant ... Aller , aller x)

V.L.S

Trop bien ce chapitre!
VLS

Superbe chapitre VLS

Un petit message pour vous dire que je pars demain matin à 5h. Ceci sera donc mon dernier message, enfin j'espère car je dois me coucher tôt.
J'avais écris mon nouveau chapitre mais hélas..... je me suis trompée de touche et au lieu d'enregistrer j'ai éffacé....
je vais devoir recommencé mais ce soir j'ai pas le courage
Je vais le faire demain dans le train puis dans l'avion et enfin dans la voiture, j'aurais le temps j'ai environ 9h de voyage en tout......
Si je trouve un point WiFi je vous posterais ce que j'ai écris pendant les vacances.... sinon je vous dis à dans deux semaines....

Vous allez me manquer...

Plus qu'une semaine; va t'on tenir ? ^^

salut a toutes et a tous, me revoila je suis toujours en vacances mais chez mamaie y a internet donc je vous poste un nouveau chapitre.
J'en ai encore 4 en reserve mais apres faudra attendre que j'ecrive.
Donc voila la suite...



Chapitre 18: L'enquete

L’agent Cho avait été mis au courant de la disparition de la fille de ses amis. Il s’était immédiatement rendus au poste de sécurité de l’hôpital pour avoir plus d’informations sur l’enlèvement de la petite. Une fois sur place, il montra son badge au gardien en poste et expliqua sa position. Le gardien, un peu réticent au début, lui fit finalement un rapport de la situation. Ensemble, ils visionnèrent les vidéos de surveillance afin de voir si la personne qui avait emmenée la petite apparaissait sur les écrans. En effet, on pouvait voir un homme habillait en infirmier prendre l’enfant, parler a l’infirmière de garde et sortir avec la petite. Mais ils ne purent voir son visage. L’homme était un professionnel, il ne semblait pas être à son coup d’essais. Il parvinrent à le suivre jusqu’au parking mais rien de plus.
Cho décida de joindre Rigsby et Van Pelt. Les deux agents aussi avaient entendu l’histoire de l’enlèvement et d’eux-mêmes ils s’étaient dirigés vers le poste de sécurité. Une fois leurs informations misent en commun, les trois agents décidèrent de se séparé pour couvrir plus de terrain. Pendant que Cho allait voir la directrice, les deux autres allaient interroger l’infirmière de garde de la nurserie. Cho ne leur avait pas encore dit pour l’état de ses amis, il avait peur qu’ils ne soient pas assez concentré sur leur travail. Il le leur dirait plus tard dans la journée. En attendant, il devait absolument voir la directrice de l’hôpital afin de pouvoir enquêter sans problèmes et avec le maximum de coopération de la part du personnel soignant.


Une fois devant le bureau de la jeune femme, Cho resta un moment sans bouger. Il pouvait la voir à travers la vitre de la porte. C’était une femme d’environ trente cinq ans, grande, mince. Son visage aux yeux légèrement bridés laissait penser qu’elle devait être métisse. Ses long cheveux noir de jais lui tombaient dans le dos et encadraient un visage fin mais qui laissait transparaitre toute son inquiétude. L’asiatique se prit à avoir pitié d’elle et de sa place de directrice. lui-même étant chef d’équipe avait parfois du mal avec les responsabilités, bien qu’il soit habitué, alors avoir la direction d’un hôpital tout entier ne devait pas être une mince affaire.
Il se reprit et frappa à la porte. Une voix tremblante lui répondit d’entrer, ce qu’il fit, avec son eternel visage d’où aucunes émotions ne transparaissaient.
Il s’avança vers le bureau mais ne s’assis pas bien que la jeune femme lui en fit la proposition muette. Au contraire, il se tint droit devant elle, montrant ainsi tout le sérieux de sa démarche.
Il s’adressa donc à elle d’un voix très calme et posée.

C_ Je suis l’agent du CBI Kimball Cho. Je viens vous voir pour vous signalé que je compte prendre en charge l’enquête concernant la disparition de la petite. Les parents sont des ami a moi et je ne voudrais pas qu’ils souffrent encore après tout ce qu’ils ont déjà vécus.
Di_ Je vous comprends agent Cho. Je n’irais pas contre le fait que vous preniez part à l’enquête mais j’aimerais avant tout avoir une autorisation de vos supérieurs.
C_ Cela va de soit. Je m’en occupe des la fin de notre entretien.
Di_ Dans ce cas je ne vous retiens pas plus longtemps. J’attends l’autorisation, mais en attendant vous pouvez commencer votre enquête. Je vais prévenir le personnel qu’ils vont être interrogés.
C_ Je vous remercie d’avance. Je vous tiendrais au courant de l’avancement.

Ils se saluèrent puis Cho quitta le bureau, laissant son interlocutrice seule face aux appels incessant des nombreux donataires de l’hôpital qui menaçaient de ne plus rien verser suite au manque de sécurité de l’établissement.


Van Pelt et Rigsby se trouvaient dans la nurserie, chacun interrogeant une infirmière. Rigsby se chargeant de l’infirmière de garde, sa collègue étant bien trop émotive pour mener à bien l’interrogatoire.
Mais malheureusement pour lui, la vieille femme n’avait pas grand-chose à lui dire. L’infirmier recherché n’était pas un inconnu du service puisqu’il travaillait la depuis presque trois mois. L’agent pensa donc que l’homme était la pour faire les repérage, c’est-à-dire voir quel enfant était le plus intéressant. Il apprit aussi que cet homme était très intéressé par ce bébé en particulier, comme s’il le connaissait. Ce qui intrigua l’agent. Qui pouvait bien connaitre l’existence de la petite fille ne dehors des trois membres de l’équipe et de Hightower? Il faudrait qu’il en parle au plus vite à Cho afin de voir dans leur entourage qui avait accès aux dossier de Lisbon et Jane. C’était le seul endroit ou l’information aurait pu être lu.

Van Pelt de son coté n’avait pas appris grand-chose. L’infirmière en second ne s’occupait que très rarement de la petite fille, ayant déjà beaucoup de travail avec les autres bébés. L’équipe soignante avait pris la décision de laisser l’infirmière en chef prendre soin de l’enfant. Tous connaissaient l’histoire de sa naissance, la situation de ses parents et les conditions dans lesquelles elle avait grandit durant la grossesse de sa mère. Ils pensaient tous plus prudent de laisser une personne de plus grande expérience prendre soins d’elle. La jeune agent remercia la jeune femme pour sa coopération et partis rejoindre son collègue, dans l’espoir qu’il aurait obtenus plus d’informations qu’elle. Mais hélas, il n’en avait pas plus qu’elle. Ils se rendirent donc au bureau de personnel pour jeter un œil au dossier de cet infirmier


Cho avait prit contact avec sa supérieure, exigent plus que demandant l’autorisation de mener l’enquête sur la disparition de la fille de Jane. Hightower n’avait émit aucune objection, elle comptait même lui demander de le faire. Elle faxa donc les documents officiels à l’hôpital pour ainsi pouvoir couvrir ses agents. Elle demanda toutefois à être mis régulièrement au courant de l’avancement de l’enquête.
Cho lui fit également part de l’état de Jane et de Lisbon. La chef fut ravis d’apprendre que les deux allaient mieux, bien qu’elle aurait souhaité qu’ils n’aient pas a vivre ca. Il aurait été mieux si Jane ne s’était pas réveillé ce jour-la, s’il n’avait pas découvert l’existence de sa fille et son enlèvement le même jour. Lui qui avait déjà perdus une fille, il devait se sentir vraiment très mal. Mais il y avait aussi Lisbon qui avait déjà très mal vécus le coma de Jane après tous ces longs mois de captivité et de tortures. Mais de perdre sa fille alors qu’elle recommençait juste a s’ouvrir de nouveau au monde…… pourrait-elle le supporter ou alors allait-elle de nouveau sombrer? Tant de questions que pouvait se poser cette femme qui, seulement un an plus tôt, ne pensait pas pouvoir s’attacher autant à cette équipe.


Cho retourna voir la directrice de l’hôpital afin de lui fournir les documents leur permettant d’enquêter librement dans l’enceinte de l’hôpital. La jeune femme n’avait pas bougé depuis qu’il l’avait quitté une heure plus tôt. Elle était toujours assise derrière son bureau, à la différence qu’elle n’était plus harcelée au téléphone. Non, elle était assise, les coudes devant elle, la tete dans les mains. Ses épaules étaient secouaient de sanglots étouffés.
Il entra silencieusement et s’approcha d’elle. Elle ne semblait pas l’avoir entendus car, lorsqu’il posa la main sur son épaule elle sursauta. Elle se retourna brusquement mais se détendit en reconnaissant l’agent asiatique. Elle sécha ses larmes et lui fit un pauvre sourire auquel il répondit, chose rare chez cet homme.
Cho ne se sentait pas à l’aise habituellement face aux démonstrations d’affection ou de tristesse, mis la il se sentait en devoir de la consoler. Il ne savait pas pourquoi mais il était comme dans l’incapacité d’agir comme à son habitude et ne voulait pas laisser cette femme porter seule le poids de la culpabilité.
Il avança un siège à cote d’elle et s’y installa. Il posa les documents qu’il était venus lui apporter sur le bureau et tenta de la réconforter. La jeune femme se laissa faire, heureuse que lui, ami proche des parents de la victime, ne lui en veuille pas. Elle se sentait bien en ce moment. Elle se tourna vers l’homme et se jeta dans ses bras en pleurant de plus belle. Cho ne savait pas vraiment quoi faire mais il l’entoura tout de même de ses bras et lui passa une main dans le dos lentement, la massant jusqu’à ce qu’elle se calme. La jeune femme finit par se calmer et le remercia. Elle prit les documents, les lit puis lui indiqua que les membres du personnel présent aujourd’hui avaient été prévenus de l’enquête et étaient prés a coopérer.

Van Pelt et Rigsby n’avaient pas beaucoup avancé en interrogeant les infirmières, mais ils eurent plus de chance avec la femme de ménage de l’étage.

F_ Il était de plus en plus tendus ces derniers temps. Il semblait nerveux, il ne cessait de téléphoner à une personne qui hurlait souvent à l’autre bout de la ligne. Une fois j’ai entendus cette personne dire qu’il devait faire vite. Je ne savais pas de quoi il s’agissait et je n’ai pas cherché à comprendre. Je suis désolée, si j’avais su avant j’aurais fais plus attention.
VP_ Vous n’y êtes pour rien. Je vous remercie de votre coopération.
F_ De rien, j’espère que vous retrouverez la petite au plus vite.
R_ Nous vous tiendrons au courant lorsque nous la retrouverons.
F_ Merci.

Ils avaient enfin apprit quelque chose, mais ca ne les aidaient pas beaucoup. Il devaient retrouver le fameux téléphone et ainsi ils auraient de quoi avancer. Par chance, la femme de ménage revint leur dire qu’il utilisé souvent le téléphone de service de l’étage. Ils n’avaient donc plus qu’à trier les appels émît par ce téléphone et ils auraient enfin avancer.
Cho les avait rejoint et ils lui firent un rapport. Ils décidèrent donc de contacter le reste de leur équipe pour pouvoir avancer plus rapidement.
Tandis que Cho donnait ses ordres à ses subalternes, les deux autres attendaient dans le couloir. Cho raccrocha enfin et fixa les deux autres qui semblaient attendre quelque chose.


C_ Je sais ce que vous voulez.
R\_ On aimerait bien allé voir Jane, on sait jamais, peut-être qu’il y a eu du changement.
C_ Justement, il y en a eu.
VP_ Quoi? Rien de grave au moins?
C_ Non, mais Jane est enfin réveillé.
R_ C’est vrai? Pourquoi ne nous avoir rien dit avant?
C_ Vous étiez trop occupé quand il s’est réveillé et ensuite la petite à disparue, je ne voulais pas que vous vous dispersiez. Il faut aussi que vous sachiez que Lisbon est enfin revenue à elle, grâce à Jane.
VP_ Ok, pas de problèmes, je comprends parfaitement ta réaction. Mais on pourrait allez les voir maintenant?
C_ Allez-y.

Et les deux agents ne se firent pas prier pour partir en direction de la chambre de Jane. Ils se doutaient bien qu’ils trouveraient Lisbon avec lui. Ils étaient heureux de savoir ca, les choses n’étaient pas si mauvaises que ca finalement. Mais ils redoutaient aussi l’état dans lequel ils allaient les trouver. Jane avait déjà perdu une famille, il devait être vraiment retourné par cette histoire. Et Lisbon, elle avait déjà perdu sa mère, son père n’avait pas été tendre avec elle et elle avait du s’occuper de ses frères. Elle avait enfin un enfant à elle et voila qu’on le lui enlevé. Elle risquait de replonger dans son mutisme s’ils ne retrouvaient pas la petite au plus vite.
En entrant dans la chambre, ils se figèrent sur place.


A suivre…………………………………


Bientot un autre chapitre, j'espere que vous avez aimer.