C'est dans le mensonge que la vérité commence. [TERMIÉE] ^

Lorsque Lisbon eut raccroché le téléphone, elle n’osait pas regardé Jane. A ce moment précis, elle ne pensait même plus à ce qui c’était passé précédemment, mais uniquement à l’annonce de Rigsby. Comment dire ça à un homme qui souffre le martyre ? Elle inspira profondément pour enfin se jeter à l’eau, mais à peine eut-elle commencé que Jane la coupa.

Jane : Je le savais.
Lisbon : Qu… quoi ? Bafouilla-t-elle tout en essayant de comprendre de quoi il parlait.
Jane : Ils ont découvert qui était son père ? Enfin… biologique je veux dire.
Lisbon : Comment le savez-vous ? Je ne vous ai encore rien dit !
Jane : Vous n’avez pas besoin de parler pour me dire les choses, je lis en vous. La preuve, vous n’arrivez pas à me regarder dans les yeux parce vous avez peur que je découvre ce que vous cachez. Mais en essayant d’éviter mon regard, vous en dites beaucoup plus.
Lisbon : Très bien, alors qu’est ce que je cache ? dit-elle, d’un air supérieur.
Jane : Vous me supplier de ne pas abordé le sujet du baiser, parce que vous avez peur de vos sentiments.
Lisbon : Alors là… Non mais je rêve ! dit-elle en se relevant. Il faut que je retourne au bureau.
Jane : Vous n’avez rien oublié ?
Lisbon : Très bien, soupira-t-elle. Merci Jane de m’avoir secouru alors que j’allais me noyer, et de m’avoir fait du bouche à bouche pour me réanimer, alors que je n’étais pas inconsciente ! C’était très courageux et… agréable… aussi.
Jane : En fait, je… Je parlais de vos chaussures. Ria-t-il alors que les joues de Lisbon se coloraient d’un rose pâle. Agréable ? S’étonna-t-il ensuite.
Lisbon : Au revoir, Jane.
Jane : A demain, Lisbon.

Sans se retourner, elle écouta les dernières paroles du consultant, qui l’informait de sa présence aux bureaux le lendemain. Elle se réjouissait discrètement, puis traça sa route jusqu'à son véhicule. Il se faisait tard, et Teresa devait encore aller chercher quelque affaire au CBI.
Arrivé sur son lieu de travail, tous étaient déjà partis. Elle se retrouva donc seule, ce qui lui permit de se laisser aller sur le sujet de ses pensées. Lisbon sourit, sans vraiment savoir pourquoi. Avait-elle le béguin ? Était-elle amoureuse ? Elle n’en savait rien, mais elle se sentait vraiment bien. La patronne s’assit sur sa chaise, puis s’appuya contre le dossier de celle-ci. Elle ferma ses paupières, et sans s’en rendre compte, elle s’endormit.
Quelques dizaines de minutes plus tard, elle se fit réveillée par un homme, elle sursauta.

Robin : Tess ! Tu dors ?!
Lisbon : Robin ! Non je… en fait oui, je me suis endormie.
Robin : Et pourquoi tu es trempée ?!
Lisbon : C’est une longue histoire… j’étais avec Jane et…
Robin : Qu’est ce qui se passe entre toi et ce Jane ? Interrogea-t-il l’agent Lisbon.
Lisbon : Rien… absolument rien ! Mais qu’est ce que tu fais là ?
Robin : Je te voyais pas rentrer, je m’inquiétais… chuchota-t-il.
Lisbon : C’est bien la première fois que tu t’inquiètes pour ta grande sœur ! Ria-t-elle, avant de prendre ses affaires et de quitter le bureau.

Ils sortirent donc rapidement tout les deux, si vite que Robin ne remarqua pas qu’il avait perdu son portefeuille dans la course. Décidant que Teresa n’était pas en état de conduire, il proposa de la raccompagner et précisa également qu’il l’emmènerait le lendemain matin. Tess accepta, et tous deux rentrèrent à la maison, pour s’endormir quelques minutes après leur arrivée.

Au petit matin, Jane n’avait pratiquement pas dormis de la nuit. Trop de questions s’invitèrent dans son esprit, ce qui l’empêcha de partir dans un profond sommeil. Il se leva donc rapidement, prit une douche et se dirigea vers les bureaux du CBI. A son arrivée, il aperçu Van Pelt, Cho et Rigsby prendre leur petit café du matin.

Jane : Bonjour ! Dit-il, tout sourire.
Cho : Salut Jane. Rigsby nous à dit pour les tests… je suis vraiment désolé.
Jane : Oui, moi aussi. Le tout maintenant, c’est de découvrir qui est le vrai père de Julia. Lisbon n’est pas là ?
Cho : Non, elle n’est pas encore arrivée. C’est étrange d’ailleurs.

Patrick se dirigea tout de même dans son bureau, et aperçu le portefeuille sur le sol. Curieux, il le prit, mais lorsque celui-ci fut dans sa main, il en tomba quelque chose. Une chose qui provoqua un énorme bond dans la poitrine de Jane. Il écarquilla les yeux, ne pouvant plus prononcé un mot tant il était sous le choc. Jane eut tout de même le réflexe de hurler un « Cho !», qui le ramena, lui est ses deux collègue dans la pièce.

Lisbon se réveilla, étrangement, de très bonne humeur. Elle s’habilla puis descendit dans la cuisine, et eut la bonne surprise de voir que le petit-déjeuner était déjà servit. Lisbon s’installa et grignota quelque chose, mais elle entendit soudainement un bruit dans le garage. Elle resta un instant immobile, essayant d’entendre si ce bruit se produisait à nouveau, mais rien. Alors Tess se leva, mis ses chaussures et se dirigea à l’endroit d’où le bruit semblait provenir. Arrivée dans le garage, elle aperçu une assez grande valise qui n’était pas à elle. Elle sourit alors, tout en sachant que s’était celle de son frère, qui cela dit en passant, avait beaucoup changé. Ce n’était plus le gamin insouciant, enchaînant conneries sur conneries, comme il le faisait autrefois. Il était devenu quelqu’un de bien. Elle s’approcha de la valise, et la curiosité l’emporta sur le droit de vie privée. Teresa ouvrit donc la valise, et son souffle s’arrêta net.
Des tonnes de photos, de journaux intime et de petits objet remplissaient cette valise. Elle fronça les sourcils et pris un des journaux intimes en l’ouvrant à la première page. Elle lu alors les quelques lignes, et constata qu’il appartenait à une certaine Claire Gill, nom de jeune fille de Claire Jane.
Elle n’en revenait pas, et ne voulait pas y croire. Comment Robin pouvait avoir les journaux intimes de la femme de Patrick, alors qu’elle n’avait qu’à peine 19 ans lorsqu’elle les avait écris ?
Le soupir de quelqu’un derrière elle l’a fit sursauter.

Robin : Tu fouilles dans mes affaires, grande sœur ? Dit-il d’un ton très noir.
Lisbon : Qu’est ce que tu fou avec les affaires de l’ex femme de Jane ?! S’inquiéta-t-elle.
Robin : C’était ma femme bien avant d’être la sienne ! Hurla-t-il, furieux.
Lisbon : Quoi ?! Mais qu’est ce que tu racontes ?
Robin : Nous nous sommes rencontrés il y a bien longtemps. Ça à été le coup de foudre, dès le premier regard, on savait que nous étions fait l’un pour l’autre. On était heureux ! souri-t-il. Et puis, j’ai du partir pour le travail, ça à durer plus longtemps que prévu… Et cette garce c’est mariée pendant que je n’étais pas là ! Tu comprends ?! Pendant des années je l’ai recherchée, jusqu'à ce que je l’a retrouve, enfin.

Lisbon semblait tout comprendre. Tout était devenu clair pour elle. La jeune femme voulu sortir son arme, pour se défendre contre lui, mais malheureusement elle ne l’avait pas sur elle. Sachant qu’elle ne pourrait pas s’enfuir, elle essayait de gagné du temps.

Lisbon : Mais pourquoi les avoir tués Robin ?! Ou... John Lerouge, si tu préfères.
Robin : Mais je ne voulais pas les tués, tu sais. J’ai d’abord été la voir, calmement, mais elle m’a repoussée. Et la, je voulais lui prouvé qu’on était fait l’un pour l’autre, alors je l’ai amenée chez moi et je lui ai montré comme je l’aimais… dit-il en affichant un sourire pervers.
Lisbon : Tu l’as… violée ? demanda-t-elle en reculant d’un pas.
Robin : Je dois dire qu’elle se débattait bien, au début. Et puis après, c’était bien trop facile.
Lisbon : Mais pourquoi Julia ?! Elle n’y était pour rien… trembla-t-elle.
Robin : Parce que je ne savais pas que c’était ma fille ! répondit-il en dégageant sa colère. En l’égorgeant, j’étais persuadé que c’était la bavarde qu’ils avaient fait tous le deux. C’est à cause de Jane que j’ai perdu ma fille, et ma femme, aujourd’hui il va payer.
Lisbon : Tu ne crois pas qu’il à déjà assez souffert ?! S’énervait-elle.
Robin : Je ne crois pas, non. Et puis, s’il perd la femme qu’il aime, il comprendra enfin ce que j’ai ressentit.
Lisbon : La femme qu'il aime ?
Robin : Désolé que ça tombe sur toi Tess, mais j’ai bien compris que vous étiez très proche. Mais puisque c’est toi, je vais faire ça rapidement pour que tu ne sentes pas trop la lame te trancher la gorge…

(NP : Je sens que beaucoup de gens vont me détester... Me tuer pas hein, sinon vous saurez jamais la fin, se serait dommage... )

Patrick était encore dans le bureau de la patronne, en compagnie de Cho, Van Pelt et Rigsby. Il ramassa l’objet qui était tombé auparavant sur le sol.

Jane : C’est la moitié de la photo manquante.
Cho : Mais, c’est le frère de Lisbon…
Van Pelt : Je ne comprends pas là !
Jane : Lisbon est en danger, il faut qu’on y aille !

Ils partirent aussitôt chez Teresa, prenant tous la même voiture. Jane semblait très nerveux, se qui inquiétait ses trois collègues. Ils arrivèrent rapidement à destination, et le mentaliste sauta presque de la voiture pour accourir dans la maison. Il ordonna à ses équipiers de ne pas rentrer, puis disparu en refermant la porte derrière lui.
Une fois à l’intérieur, il avançait d’un pas très lent et silencieux. Il entendit une voix d’homme provenir du garage, il s’y précipita. Sur le pas de la porte, il vit une scène effrayante. Lisbon, attachée sur une chaise, suppliant son frère de ne pas l’égorgée. Terrifié, Jane ne bougeait pas, il resta immobile, jusqu'à ce que la lame vienne frôler la gorge de la jeune femme.

Jane : Stop ! cria-t-il en avançant.

RJ se retourna brusquement, il lui sourit. Patrick avançait, pour se rapprocher de l’ordure qui avait assassiné sa famille. La colère montait en lui, la haine, la tristesse, l’envie de vengeance. Il se sentit comme incontrôlable, il aurait pu le massacrer. Mais il vit soudainement Lisbon, en pleure, juste devant lui.

Jane : Laissez-la partir. C’est avec moi que vous avez un compte à régler.
Robin : En la touchant elle, je vous touche, vous.
Jane : Soyez réaliste, vous ne sortiras pas d’ici vivant. Même si vous me tuez, les centaines de flics sont postés et armé devant cette maison.
Robin : Bien, dit-il en se retournant vers sa sœur. Allez, dégage ! lui ordonna-t-il alors qu’il lui coupait ces liens.
Lisbon : Jane, je ne vous laisserais pas seule avec …
Jane : Sortez Lisbon ! Coupa-t-il. Maintenant !

Elle se mordilla la lèvre inférieure, et tout deux se fixèrent pendant un cours instant. C’était un de ces regards qu’elle détestait. Les yeux de Patrick étaient colorés d’un rouge pâles, et tout en fixant la jeune femme, il avait l’air de lui dire au revoir. Elle se retourna brusquement, regardant maintenant son frère avec mépris. Elle n’avait pas le droit de l’abandonner, pas comme ça, pas avec RJ en face de lui. Si Jane venait à mourir, elle ne se le pardonnerait jamais. Pourtant, Teresa n’avait pas le choix, elle savait que c’était la vengeance de Patrick, et qu’après tout ça, elle n’avait pas le droit de la lui interdire. Alors elle soupira, déposant sa main sur l’épaule de Jane et la faisant glisser jusqu'à son poignet, et quitta la pièce en baissant le regard.
Jane avait fermé les yeux un cours instant, pour ressentir plus intensément la caresse de sa patronne, puis les avait rouverts et posés sur John Lerouge. Sans réfléchir, le mentaliste se jeta sur son adversaire, qui lui était armé.
Lors de sa parade défensive, RJ avait réussi à entailler le bras du consultant, qui lui ne se laissait pas déconcentré par la douleur. Ils se battirent pendant plusieurs minutes, cassants de nombreux objets se trouvant là, puis RJ assomma Jane d’un coup de planche en bois, préalablement posée dans le garage. Jane s’effondra littéralement sur le sol, pendant que RJ se releva. Robin faisait alors tournoyé la lame entre ses mains, observant l’homme à terre. Il se baissa, et commença à passer sa lame sur le cou de Jane, l’ouvrant partiellement. Sans que personne ne s’y attendent, un coup de feu se fit entendre. Ceux qui étaient restés à l’extérieur entrèrent immédiatement dans la maison. Arrivé dans le garage, ils virent Jane à terre dans une légère marre de sang, et Lisbon à ces cotés. Ils détournèrent ensuite le regard, et aperçurent le corps sans vie de RJ, un impact de balle entre les deux yeux.

Lisbon : Appeler une ambulance !

L’équipe s’exécuta immédiatement, et Teresa se retourna sur Jane qui semblait ouvrir les yeux.

Lisbon : Jane ! Vous m’entendez ?
Jane : Lis… où est John Lerouge ? dit-il en essayant de se relever.
Lisbon : Il est mort Jane, c’est bien fini cette fois. Répondit la patronne en l’obligeant à rester sur le sol.

Alors que l’ambulance emportait Jane ainsi que le corps de RJ, Lisbon rejoignit sa voiture et rentra chez elle. Sous le regard impuissant de ses collègues et amis, elle semblait anéantie. Sans un mot ni un regard, elle parti dans l’ombre comme pour se faire oublier. Lorsqu’elle fut seule, elle se laissa enfin aller et pleura toutes les larmes de son corps, depuis le début, le tueur le plus recherché était son frère, et elle n’avait rien vu venir. La seule chose qu’elle pensait avoir réussi était l’éducation de ses frères, mais aujourd’hui toutes ses convictions étaient remises en doute. Arrivée chez elle, Tess sorti une bouteille de Whisky, et sans prendre la peine d’y ajouter un verre, elle l’ouvrit en s’installant sur le canapé.
De son coté, Jane était à l’hôpital depuis quelques heures déjà, mais ne voulait pas y rester. Les infirmière lui avaient recouvert sa plaie d’un fin bandage, puis décidèrent de le garder pendant la nuit. Sans manifester de mécontentement, Jane attendit la tombée de la nuit pour sortir de sa chambre et ainsi s’enfuir de l’hôpital. Une fois dehors, il se précipita au CBI pour parler à sa patronne. Encore sous le choc, Cho, Rigsby et Van Pelt étaient restés tout les trois dans le bureau, et furent surpris en voyant le mentaliste arrivé en trombes.

Van Pelt : Jane … ! Qu’est ce que tu fais là ? Est-ce que ça va ?
Jane : Oui, ça peut aller. Où est Lisbon ?
Van Pelt : elle est rentrée directement après… enfin, tu sais quoi.
Jane : Et vous l’avez laissé rentrer seule ? Il passa une main sur son bandage qui commençait à devenir douloureux. Elle venait d’apprendre que c’était son frère qui… il faut que j’y aille.

Les trois confrères se regardèrent, tout en se disant que Jane avait peut-être raison, ils avaient fait une belle connerie.
Celui-ci, au volant de sa DS, appuyait sur les gazs, de toutes ses forces, de peur que sa patronne ne fasse une connerie. C’est à se moment qu’il réalisa qu’elle était bien plus qu’une simple patronne. C’était la femme qui l’avait sauvé, bien avant se soir, de la dépression la plus totale. Elle avait toujours été la pour lui, dans les bons comme les mauvais moments… Aujourd’hui, c’étais à Jane de lui montrer qu’elle pouvait compter sur lui. Elle souffrait, il souffrait, mais ils se devaient d’être la l’un pour l’autre. Dès qu’il aperçu la maison de Lisbon, il parqua sa voiture sur le bord de la route et accourra à l’intérieur. Il frappa à la porte, à maintes reprises, mais n’entendit aucune réponse. Il entra. Il vit l’horreur, non pas pire que la découverte de sa fille et de sa femme, mais ce qu’il avait en face lui déchirait le cœur.
Lisbon pleurant de toutes ses forces, avec à la main, une bouteille pratiquement vide. Elle criait, elle demandait pourquoi, elle frappait les coussins à coté d’elle pour se défouler. Jane n’en pouvait plus, il s’approcha et l’attrapa fermement avant de lui enlever sa bouteille. Elle se débattait, Teresa ne vouait pas qu’on l’aide, mais elle s’avoua vaincue et serra à son tour Jane dans ses bras. Toujours en pleure, sa respiration de faisait plus lente, plus calme. Jane se retira délicatement, puis la regarda en souriant. Un sourire qu’elle rendit immédiatement, tant il semblait sincère et vrai.
Soudain, Lisbon devint blanche, l’effet de l’alcool sans doute… Jane l’amena vite à la salle de bain, et la mise sous une douche glacée, sans prendre la peine d’enlever ses vêtements. Lisbon se retint de hurler au contact du liquide gelé, puis regarda Patrick en le suppliant de la laisser sortir de la douche. Il craqua et l’aida à mettre un pied dehors, puis il l’a fixa.

Jane : ça va mieux ? dit-il en souriant.
Lisbon : Je crois oui… qu’est ce que vous faites là ?
Jane : Je... voulais vous remercié. Vous m’avez sauvé Lisbon et…
Lisbon : Je n’ai fait que mon travail Jane, rien de plus…
Jane : Non je veux dire, si j’ai tenu le coup c’est grâce à vous. Toutes ses années, je me sentais seul, si perdu… jusqu’à votre arrivée. Vous êtes un ange gardien, mon ange gardien.

Lisbon souri et baissa les yeux. Personne ne lui avait jamais dit ça auparavant, elle était touchée. Elle sentit alors une main se posé sur son menton pour lui relever la tête, et se perdit dans les magnifique yeux de Jane. La main de celui-ci, encore posée sur son menton, s’aventura plus sérieusement sur sa joue, puis dans ses cheveux. Il rapprocha la tête de la jeune femme encore trempée, puis s’empara furtivement de ses lèvres. Patrick se recula, observant avec attention les moindres réactions de sa partenaire, et celle-ci s’approcha à nouveau pour l’embrasser encore une fois, mais là, d’un baiser profond et passionné.