La pièce secrète (spoiler saison 3) ^

une suite pleaaaaasssseeeeee

Gniark, gniark, gniak, je vous avais pas dit que j'étais un peu sadique? Bon, je m'y mets pour la suite, même si j'ai encore du mal à me remettre du dernier épisode de la saison 3


Les crépitements de la maison en flamme était le seul son qu'il pouvait encore saisir. Pourtant, l'explosion avait attiré nombre de voisins et passants curieux et choqués. Certains appelaient déjà les pompiers, d'autres la police et tous débattaient de l'invraisemblance de cette incident. Était-ce une explosion de gaz? Ou l'œuvre d'une malveillance? Qui pouvait s'en prendre à un pavillon d'un quartier relativement calme?

Lui était loin de se poser toutes ces questions. Machinalement, il était sorti de la voiture et s'était approché de l'incendie, d'abord en marchant puis en accélérant le pas, puis dans une course folle, comme s'il était prêt à se jeter dans les flammes. Il hurlait et pleurait une tristesse inguérissable, un destin inéluctable. A bout de souffle dans ses hoquets de pleurs, il finit sa course dans le jardin, visiblement peu entretenu puisque l'herbe lui arrivait en dessous du genou. Jane, l'homme blessé et meurtri, qui venait de perdre la seconde femme de sa vie, s'écroula à genou, et prit son visage dans ses mains pour y déverser toute sa folie.

Il ne capta pas de suite le mouvement bref à côté de lui. Pourtant un buste venait bel et bien de se relever de la moiteur de l'herbe fraîche. C'est un grognement de douleur et des cris de surprise de l'assemblée qui lui firent reprendre un peu pied à terre. Il tourna la tête vers la personne allongée à côté de lui, une belle brune aux yeux verts, les cheveux trempés et le visage sali qui regardait effondrée sa maison en flamme.

Son cœur manqua un battement et il crut défaillir. Il hurla et s'éloigna d'elle, comme s'il avait vu un fantôme, pensant avoir déjà sombré dans la folie et être sujet aux hallucinations. Mais lorsqu'elle se tourna vers lui, les yeux en pleurs et l'air désemparé, il comprit et tout son être s'apaisa. Ses yeux continuaient à déverser leur contenu mais ce n'était plus en vain, juste pour videz les réservoirs lacrymaux. Il ne comprenait pas comment mais elle était là, bien en vie, devant lui.

Jane se précipita sur elle et la saisit dans ses bras, enfin saisir, c'est un mot un peu faible, étant donné l'étouffement que la jeune femme subissait. Elle se serra aussi contre lui, anéantie mais heureuse de trouver des bras réconfortant, ne saisissant pas encore la peine qu'elle avait causé à son amant. Ils restèrent là un moment, sans parler, se serrant et se donnant des baisers de réconfort, dans une assistance mutuelle.

Jane, en serrant les dents : Petite peste, ne me fait plus jamais une peur pareille.

Lisbon : Ma maison, Jane, ma maison... Je n'ai plus rien!

Jane : Bah, de toute façon, tu n'avais pas grand chose. Tu as dit toi même que la déco et les meubles étaient à l'ancien propriétaire. Je te rachèterai tout c'que tu veux, la maison, les cd des spice girls...

Lisbon qui sourit entre deux sanglots et lui donne une tape sur les bouclettes : Ahh, arrête de te moquer, c'est pas l'moment.

Jane, ne se sentant pas encore prêt à sourire, lui donne un baiser sur le front : Non, tu as raison... Mais comment? Comment tu as fait pour t'en tirer?

Lisbon qui renifle : Quand je suis entrée, il y avait une odeur désagréable. Comme ça fait un moment que je n'suis pas rentrée, les poubelles avaient eut le temps de parfumer la maison. Alors j'suis allée les vidér et à peine avais-je refermé le bac dehors que l'explosion m'a projetée à terre.

Jane : Je bénis ton côté souillon!

Lisbon : Et oh, je suis pas une fille négligée, j'ai juste oublié, ça arrive, hein?

Jane, inquiet : Bon et tu as mal?

Lisbon : J'ai un peu mal au dos et je me suis cognée la tête en tombant, sinon ça va.

Ils achevèrent leur conversation lorsque les sirènes retentirent et emplirent le quartier pavillonnaire. Les pompiers se mirent au travail, les médecins allèrent à la rencontre de la jeune femme tandis que leur collègues s'approchaient du mentaliste.

Hightower, en panique : Que s'est-il passé?

Jane : Lisbon va bien mais sa maison part en fumée, mais je suppose que vous pouvez le voir par vous-même.

Il se tût et se tourna vers la maison entièrement consumée que les pompiers tentaient vainement de sauver. Ses collègues firent de même, la mine grave et le silence de marbre. Après cet interlude, ils regardèrent leur patronne se faire emmenée dans l'ambulance par deux ambulanciers et soupirèrent.

Van Pelt : Ça va aller patron? Prenez soin de vous...

Lisbon: Oui ne vous inquiétez pas, ça va aller, ils m'emmènent juste faire quelques examens.

Hightower : Prenez quelque jours, nous allons tenter de faire la lumière sur cette affaire. Rigsby? Allez voir les pompiers et tentez de savoir à quoi est dû l'explosion.

Rigsby, posant sa main sur l'épaule de sa chef en passant : Oui chef

Cho : Vous avez un endroit où loger, patron?

Jane, précipitamment : Oui, elle va dormir chez moi, hein?

Lisbon acquiesça de la tête sans un mot, regardant son consultant avec une pointe de suspicion en tête quant à l'endroit où il allait la faire dormir.

Hightower : En attendant de savoir si cet incident est criminel ou non, vous voulez que j'affecte quelqu'un pour votre protection ?

Jane, réagissant de nouveau au quart de tour : Je m'en occupe.

Hightower, se figeant devant lui, un peu interloquée : Et comment comptez-vous faire?

Jane : Je ferais ce qu'il faut, vous n'avez pas besoin d'en savoir plus. Faîtes donc plutôt votre enquête et votre euh.. lumière sur cette affaire.

Higtower : Vous ne voudriez pas nous y aider par hasard?

Jane : Non... Moi je sais déjà le fin mot de l'histoire.

Et avant que quiconque ne réagisse, il avait déjà sauté dans l'ambulance qui emmenait Lisbon vers l'hôpital le plus proche, laissant le reste de l"équipe interloquée devant les cendres de l'ex-propriété de la brunette.

ouffffffffff , elle va bien je suis bien contente
mais tu nous a fait languir là enfin on a eu notre suite et c'est ce qui compte
je me demande pas où Lisbon va dormir

Ouuuuuf, Elle va bien ! Contente qu'elle ait oublié de sortir les poubelles
Génial, elle va dormir chez Jane Je me demande où

VLS

Luciole a écrit:Oh mais qu'il est gentil ce jane il lui offre l'hospitalité
Oh ils vont pas passer la nuit a jouer au scrable

bien sure et ils auront appris pleins de choses l'un sur l'autre durant la nuit grace à ce jeu

Oufff!!!! Qu'est-ce que j'ai eu peur

Oh oh! Quel gentleman notre Patou de proposer avec tant d'hospitalité de loger Lisbon chez lui

Parlant de Scrabble les filles, je sens que c'est Jane qui va être très doué en vocabulaire mais en jeu des prouesses c'est plutôt Lisbon!!

Pardon je retire et je sors...

VIVEMENT LA SUITE LA SUITE !!!!!!!!

Contente que tu n'ais pas fait mourir notre Lisbonnette

J'ai hâte de voir Lisbon emménager chez Jane

VLS

MissTeresa a écrit: Contente que tu n'ais pas fait mourir notre Lisbonnette

J'ai hâte de voir Lisbon emménager chez Jane

VLS

et surtout les moments intimes tendres entre eux

Hého! Vous influencez par l'auteur avant qu'elle ait écrit le prochain chapitre, hein? Sinon j'vous les colle effectivement devant un échiquier, na!
Sinon j'vois que savoir qui a essayé de tuer Lisbon ne vous intéresse pas tant que ça alors tant pis, j'saute directement au chapitre d'après, direction à côté, euh....
à côté là-bas *yeute le coin des n'adultes*

c'est vrai qu'on y a pas pensé mais j'ai ma petite idée sur la question moi

Je sais pas à qui tu penses mais c'est pas lui.... Nananère euh! D'une c'est moi qui décide qui qui c'est! (on a pas l'occasion de faire son bruno heller tous les jours!) et deux, j'ai pas encore bien choisi mais Jane, lui, il sait....

Sweetylove30 a écrit:

MissTeresa a écrit: Contente que tu n'ais pas fait mourir notre Lisbonnette

J'ai hâte de voir Lisbon emménager chez Jane

VLS

et surtout les moments intimes tendres entre eux

C'est ce que je voulais dire

Désolée Abby mais dès qu'on nous met Lisbon et Jane en colloc on ne voit plus rien d'autre

Alors... mais qui a bien pu essayer de tuer Lisbon ?

comment t'essaye de te rattraper MissTeresa

C'est clair....
Nan mais c'est pas grave, moi je m'adape à mes lecteurs. J'ai juste le premier et le dernier chapitre en tête, le reste, c'est de l'impro
Donc allons-y pour partie d'échec mais bon, au vue des derniers événements, elle sera forcément rock and roll...

oh choueete ça va bouger dans les caleçons la maison

Ahh tu m'as fait peur j'ai cru que tu l'avais tuée!!
J'ai hate de voir Lisbon emménager chez Jane
VLS

Sweetylove30 a écrit:

Luciole a écrit:Oh mais qu'il est gentil ce jane il lui offre l'hospitalité
Oh ils vont pas passer la nuit a jouer au scrable

bien sure et ils auront appris pleins de choses l'un sur l'autre durant la nuit grace à ce jeu

Sweetylove30 a écrit:

MissTeresa a écrit: Contente que tu n'ais pas fait mourir notre Lisbonnette

J'ai hâte de voir Lisbon emménager chez Jane

VLS

et surtout les moments intimes tendres entre eux

Sweetylove30 a écrit:oh choueete ça va bouger dans les caleçons la maison

Alors comme vous avez pu le constater Sweety n'est pas du tout obsédée perverse

OH qu'est ce qu'il est gentil Jane de lui proposer un coin où dormir. On se demande ce qu'il a prévu.

Bon par contre, lui il le sait mais tous le monde est dans le flou, ça c'est pas cool.

merci MissTeresa si c'était pas le cas, je pense que maintenant tous le monde à une image de moi un peu , mais je ne le nie pas au contraire je le revendique

VIVE LE JISBON SEX

Bah j'ai rien dit moi Au contraire je te soutiens, tu dis tout haut ce que tout le monde pense tout bas

J'adore quand Jane se rend compte que Lisbon n'ai pas morte ! Je l'imagine trop se jeter sur elle et la serrer fort


C'et vrai que la suite promet d'être Rockn'Roll chez Patrick Ils vont bapyiser toutes les pièces de la maison...


Sinon, l'assassin, je vois pas trop... L'autre fils mafieux qui draguait Lisbon ? Mais c'est pas facile de deviner etant donné que même toi t'es pas trop decider encore...

Bon, une petite suite quand même avant la partie nc-17... Parce que ce soir, je suis inspirée...

La nuit s'annonçait longue. C'était ce que le mentaliste avait pressenti dans le hall d'accueil de l'hôpital où l'agent Lisbon avait été amenée. Mais il était loin de se douter de ce qui l'attendrai....

Elle s'était endormie en attendant les résultats des examens. Déjouant la vigilance des infirmières, le consultant s'était introduit dans sa chambre et s'attardait à présent à son chevet. Et dire qu'il avait failli la perdre, comme si son drame personnel n'était pas assez douloureux. Il avait fallu qu'il s'attache à elle, cet âme fragile et solitaire qui ne voulait personne dans sa vie. Pourtant elle était celle qui le comprenait le mieux et à qui seule, il accorda sa confiance.

A présent, elle était dans un lit d'hôpital, encore une fois à cause de lui. Il s'en voulait atrocement et n'était pas sur que sa ride frontale de culpabilité disparaitrait de sitôt. Il lui serra la main, faisant attention de ne pas débrancher de fils, faisant biper les machines autours. Il aurait voulu fuir loin d'elle à cet instant précis, faire comme si rien ne s'était passé, comme s'il ne lui avait pas avoué qu'il l'aimait. Retrouver enfin son îlot de solitude et son leitmotiv de vengeance.

Mais il devait voir la réalité en face, c'était trop tard, le mal était fait. Et même s'il s'éloignait, le risque planant sur elle ne partirait pas. Il n'allait tout de même pas être lâche au point de la laisser dans un moment où elle avait le plus besoin de lui...



Lisbon fut réveillée par des cris. Elle crut d'abord qu'il s'agissait de son rêve, un peu trop réel. Mais lorsqu'elle papillonna des yeux, elle aperçut une silhouette à la fenêtre se faire molester par une personne en blouse rose qui le tirait vers la sortie. Même dans son état comateux, elle comprit rapidement de qui il s'agissait.

Lisbon : Non attendez, laisse-le s'il vous plaît... J'aimerais qu'il reste

Jane, avec un sourire : Ah, Lisbon, vous êtes réveillées? Vous voyez, je peux rester, c'est elle qui le demande...

Infirmière : Bon, mais ne faîtes plus cela, monsieur, l'hôpital a des règles strictes et si vous passez outre, nous devrons appeler la sécurité.

Jane : Vous avez parfaitement raison, madame... Et devant l'air étonnée de la jeune femme... elle a subi une tentative d'assassinat, vous avez raison d'être vigilante!

Pas le temps pour l'infirmière de répondre, le médecin entra précipitamment dans la chambre, des dossiers à la main.

Le médecin : Bien, madame Lisbon? Bonjour, docteur Gay, je viens d'avoir vos résultats et ils sont très bons. Il n'y a pas de traumatisme crânien, ni de séquelles physiques hormis les contusions. Vous avez eu de la chance, vous allez pouvoir sortir de l'hôpital!

Jane : Allélulia! Allez Lisbon, filons d'ici.

Il ne lui laissa pas vraiment d'alternative. Elle prit rapidement ses affaires, malgré sa léthargie et son mal de crâne. Elle saisit au vol les cachets anti-douleurs qu'on lui donna et s'engouffra dans la DS bleue du mentalist.

Lisbon, suspicieuse : On va chez vous?

Jane : Non

Lisbon : Je m'en doutait.... Oh attendez, j'ai un message.... C'est Cho qui demande des nouvelles et qui... Mmm, ils nous attendent tous les 3 chez vous.

Jane la regarda, surpris et embêté. Et flut, il n'avait pas prévu ça. Il comptait l'emmener au CBI, dans son placard, le seul lieu où il se sentait au sécurité, où il serait à même de protéger Lisbon, avec son 8mm...

Chez lui, c'était comme aller dans la gueule du loup et s'y pendre la gueule ouverte. En plus, il ne voulait pas de l'équipe dans les pattes, ils lui feraient surement baisser sa vigilance et empêcherait tout épanchement auprès de sa patronne. Mais il n'avait visiblement pas le choix alors il fit brusquement demi-tour, sentant une deuxième ride s'inscrire sur son front, d'inquiétude cette fois.

Lisbon : Pourquoi vous êtes inquiet? Vous avez dit que vous saviez qui avait essayé de me tuer!

Jane : Je n'peux pas tout prévoir, Térésa... Je n'ai pas pu prévoir l'explosion.

Lisbon, après un long silence : ce n'est pas de votre faute, ce qui est arrivé, vous n'avez pas à vous en vouloir

Jane : Quand vous saurez de quoi il s'agit, vous allez me détester...

Lisbon, tout bas : Ça, ce n'est pas possible

Jane, encore plus bas : Oh que si...


Ils arrivèrent enfin chez le mentalist et trouvèrent leurs collègues accueillants et chaleureux devant la bonne mine de l'agent Lisbon. C'est Jane qui avait le visage blafard et peu avenant lorsqu'il les fit rentrer. Tous furent sidérés par le peu de meuble que la pièce possédait. C'était succinct, fonctionnel, peu utilisé. On aurait dit que le proprio venait juste de défaire des cartons.

Ils s'installèrent sur les canapés posés dans la pièce et décidèrent de passer la soirée à regarder des DVD. Cho commanda les pizza, Van Pelt servit à boire et Rigsby choisit les films. L'ambiance se détendit rapidement, Jane également. Le ton était à la rigolade et aux confidences et fit oublier au petit groupe les péripéties de la journée.

Rigsby : ça c'est le passage que je préfère, quand bruce lee...

Van pelt, lui envoyant une cacahuète sur la tête : Chuuuuuuuut! Raconte pas tout, je l'ai pas vu celui-là

Cho : C'est pas tous les mêmes ses films?

Rigsby, vexé : Nannnn, la fille change à chaque fois....

Ils se regardèrent et éclatèrent de rire. Ils continuèrent sur la même lancée, Jane commençant à sourire et retrouvant son côté gamin qu'il pensait avoir perdu. Il s'approcha de sa supérieure qui commençait à bailler à côté de lui et passa son bras par dessus son épaule. Il se sentit comme à l'époque de son adolescence, lors des premiers émois amoureux. Il avait le même état d'exaltation et de bouillonnement devant la brunette à sa gauche.

Lisbon quant à elle, ressentait le contre coup du choc et sentait la fatigue la gagner. Toutefois, elle ne voulait pas se laisser aller au sommeil, pas avant d'être sure d'être en sécurité. Quand son partenaire la rapprocha de lui discrètement, elle posa sa tête sur son épaule et se laisser aller contre son torse. Elle se sentait si bien, comme si elle était en couple et pourtant quelque chose en elle la fit frissonner. Elle sentait la solitude qu'elle avait quitté 3 jours auparavant l'appeler cruellement. C'était très angoissant.

Jane : Vous avez froid Lisbon? Vous tremblez.

Il avait saisi que quelque chose n'allait pas et qui n'avait rien à voir avec la température ambiante. Toutefois il prit une couverture et la glissa sur leur deux corps. Doucement, sous la couverture, sa main se saisit de celle de sa "girlfriend" du soir et lui fit ainsi comprendre que quoiqu'il arrive, il serait là.

Ils finirent par s'endormir tous les cinq rapidement, épuisé par une longue journée de stress. Lisbon fut la première, suivit de Cho et Rigsby qui ronflait, enfin Van Pelt et Jane qui ne put résister à l'appel de Morphée.

Une heure à peine s'écoula avant qu'un bruit suspect ne vienne réveiller le blondinet. Il ne dormait que d'un oeil, malgré sa propre fatigue. C'était un bruit de pas, puis plusieurs bruit de pas qui résonnèrent dans la maison. Il paniqua et commença à s'agiter, ce qui réveilla sa partenaire.

Une silhouette se posta au milieu des canapés, un manteau de cuir sur le dos, un flingue au poignet, un air mauvais sur le visage. Il tenait en joue le couple Jisbon tandis que 3 de ses amis faisaient de même avec les autres agents.

Todd : T'aurais pas du embrasser ma copine, je vais te le faire regretter.

Jane : Attendez, vous ne savez rien de ce qui s'est passé!

Todd : Oh que si, je t'ai surpris bouche à bouche avec ma blonde, ptit con de blondinet!

Lisbon : Quoi? Mais de quoi il s'agit? Jane?

Cho : Ecoutez, quoiqu'il ait fait, je me dois de vous dire que garder en joues 4 agents du CBI...

Toss : Parce que tu crois que ça me fais peur le chintoc? Tu seras pas le premier flic que je buterai

Jane, qui tremblait, paniqué mais qui tentait de garder la tête froide : Je vous présente Todd Herbert, le bras droit de Calzione, qui entretient une relation avec Mme Clazione et qui l'a aidé à l'assassinat d'Elizabeth...

Lisbon : Et c'est quoi cette histoire de baiser?

Jane : C'est pas le moment de Lisbon...

Todd: Oh que si, c'est le moment que ta meuf sache quel coureur de jupon tu es et que je vous bute tous les cinq pour l'avoir arrêté, et toi pour l'avoir embrassé.

Jane : Ok, alors si nous devons être clair, c'est elle qui m'a embrassé, et j'en ai profité pour lui demander si en plus d'avoir découvert quelle femme intéressée sa belle-mère était, Elisabeth n'avait pas découvert aussi qu'elle était une cougar avec tous les jeunots qui passent, notamment son mari, Thomas Calzione... Et je suis désolé d'avoir profité d'une femme presque sans défense pour les biens de l'enquête, mais oui, j'me suis laissé faire, ce qui a permis son arrestation.

Todd : T'as fini blondinet? Si tu crois que ta meuf va te croire, t'es couillon...

Jane : Pourtant vous, vous ne croyez pas votre "meuf" capable de draguer un autre homme, et ce fut le cas...

Todd, s'énervant : La ferme!

Soudain une détonation retentit. Jane ne respira plus, Lisbon hurla, tous le monde se paralysa. Todd Herbert tomba sur le parquet et un flaque de sang se forma rapidement autour de lui.

C'était Van Pelt qui avait tiré. Des sirènes retentirent dehors, prévenu par la jeune femme qui avait profité de l'altéraction et de l'intérêt de leur preneur d'otage qui avait dévié vers le couple pour prendre les choses en main. Outre le fait qu'elle leur sauvait la vie, elle espérait, qui sait, une petite promotion ou au moins une petite prime...

Tous le monde tremblait mais Cho et Rigsby sortirent en même temps leur arme en criant "Mains sur la tête, plus vite que ça, à terre!" L'arrestation se fit rapidement, et laissa nos tourtereaux abasourdis, réalisant à peine tout ce qu'ils subissaient depuis leur réveil du matin.

J'adore ce chapitre.


J'ai eu un peu peur quand à la fin de celui ci mais il est vraiment génial.

Tu as mêlé suspense et tendresse vraiment très bien, ça a été un plaisir de le lire

c'est intense la fin de ton chapitre, les pauvres à peine remit de l'explosion ils se font prendre en otages, j'adore toujours autant et j'espère que Lisbon ne va pas en vouloir à Jane pour le baiser à l'autre blonde
VLS VLS VLS VLS