The return of love [Terminée] ^

J'ai un peu de mal avec K patronne du CBI
J'attends la suite pour voir ce que cela va donner

Oui c'est vrai que c'est un peu dur à avaler, en plus qu'elle est même pas agent =/

elle manipule les gens donc ça devrait pas être dure pour elle de prendre cette place, mais un accident est si vite arrivée sur le terrain ou même dans un bureau genre une étagère tombe et là ben plus de K

Tiens, tiens... Vous me donnez des idées les filles

... Oh my god ! Ta fic est vraiment ... waah !
J'm'attendais pas a sa : Jane et Lisbon mariés et peut-être divorcés
C'est vraiment super bien écrit
Par contre, K directrice du CBI : Mais bon comme la dit Sweety , un accident est si vite arrivé ...
VLS !

Tin' mais elle m'énerve elle
J'adoore le début!!
VLS

J'aime beaucoup ce prologue.

Tout va vite donc ça m'a étonné au début
Mais la K qu'est ce qu'elle m'énerve.

Je veux vite la suite

J'aime vraiment . C'est vraie qu'il n'y a pas beaucoup de Fan Fiction où ils sont déjà ensemble .
AAAH_Toujours cette K elle m'énerve !



V.L.S !

Faut se consoler en se disant que c'est pour mieux qu'ils se retrouvent



Ils se retrouvent hein? hein?


VLS! VLS! VLS! VLS! VLS! VLS!

Merci pour tous vos commentaires, ça me fait super plaisir
Voici le tout 1er Chapitre de ma Fanfic que vous attendiez avec impatience et qui j'espère vous plaiera
Désolée d'avoir mis du temps mais je suis totalement déprimée par le 3x07, et j'avoue que je suis déçue de ce que j'ai écrit mais pour le prochain, je vais me rattraper
En tout cas... Bonne lecture...


5 mois plus tard…

5 longs mois, 15 semaines interminables et 105 jours insupportables ont passé depuis la séparation de leurs parents. Lizzie et Simon ne cessent de penser à leur père ; La petite fille n’arrive plus à suivre les cours et réclame son père dès qu’elle rentre à la maison tandis que son petit frère continue à suivre les cours comme si de rien n’était mais n’arrive plus à écouter sa mère dès qu’il demande des nouvelles de son papa, elle change de sujet avec gêne.
Environ 3 mois après sa séparation, Lizzie commence sérieusement à avoir des doutes sur le comportement « bizarre » de sa maman.
Bizarre ? Oui, car elle passe plus de 3 heures au téléphone alors que son temps moyen est d’environ ½ heure mais les conversations avec son père duraient plus d’1 heure et là, c’est le double. Et là, la petite fille commence sérieusement à avoir des soupçons.

Ce matin-là, Teresa se lève de bonne humeur et déterminée, elle est vêtue d’un jeans, d’un chemisier couleur bleu ciel faisant ressortir ses yeux et coiffée d’un chignon laissant sa frange régnée sur son front ce qui est tout à fait normal... Mais loin de là, car elle ajoute un parfum sucré et épicé puis une couche de maquillage.
Elle prépare le déjeuner des enfants avant que le bus ne passe les prendre pour les emmener à l’école :
- Les enfants ! Dépêchez-vous de vous préparer, le bus va arriver d’une minute à l’autre ! Hurla-t-elle depuis la cuisine suffisamment forte pour que sa voix résonne à l’étage
Des pas déambulent dans les escaliers de bois rustiques et courent à vive allure en traversant le salon jusqu’à la cuisine où Lizzie et Simon apparaissent habillés avec leurs sacs d’école au dos :
- Ca y est ! On est prêt maman. Dit Lizzie
- Très bien, et voilà vos déjeuners. Dit sa maman en tendant leurs sacs de déjeuner.
Teresa accompagne ses enfants jusqu’à l’abri bus à une cinquantaine de mètres de la maison et la jeune femme reste auprès de ses enfants en entendant le bus :
- Maman ? Demanda Simon d’un air curieux
- Oui, mon chéri.
- Pourquoi tu t’es fait jolie aujourd’hui ?
Elle reste fixer son fils pendant un moment de réflexion afin de trouver les mots justes puis elle se met à sa hauteur sans le quitter du regard :
- Bien, parce que j’ai mangé avec un ami aujourd’hui que je n’ai pas depuis longtemps donc je me suis fait belle pour le voir. Lui répondit sa maman avec un sourire
- Oui, tu vois quelqu’un d’autre mais pas papa si je comprends bien. Avoua Lizzie d’un ton ironique
- Lizzie ! Ne me parle pas comme ça. Répondit Teresa sur un ton autoritaire, et je t’ai déjà dit qu’avant d’être sûr de quoi, il…
- Il faut des preuves, je le sais. Lui coupa-t-elle en en levant ses yeux au ciel, mais papa dit aussi qu’il fallait être attentif en observant les gens. Ajouta-t-elle satisfaite de sa phrase
- Et bien, ton père peut dire n’importe quoi quelques fois. Dit Teresa sans hésitation, du tac au tac.
Au même moment, un bruit de klaxon retentit suivit d’un crissement de pneus et des portes qui s’ouvrent ; le bus vient de s’arrêter devant eux :
- Oui, tu dis ça comme si tu savais tout bien plus que lui. Dit Lizzie d’un ton sévère et le regard noir
- Lizzie, ne commence pas s’il te plaît. Lui répondit sa mère avec calme
- Tu as oublié papa ? Demanda le petit garçon avec tristesse
- Oh non ! Non, mon chéri, je ne l’ai pas oublié. Lui répondit-elle de façon mélancolique, et tu sais pourquoi ? Questionna-t-elle
Simon secoue la tête en signe de dire « Non » :
- Parce que quand je te regarde, je peux le voir à travers toi car tu lui ressembles beaucoup. Dit-elle en caressant ses jolies bouclettes blondes de son fils et faisant un demi-sourire
Simon fait un petit sourire après avoir écouté la jolie phrase de sa maman malgré qu’il ne soit pas convaincu qu’elle dise qu’elle n’est plus amoureuse de son papa et sa grande sœur partage son avis sans qu’ils ne se le disent. Le chauffeur d’autocar se racla la gorge afin de les prévenir qu’ils vont être en retard :
- Viens Simon. On va être en retard. Interrompt la petite fille en prenant la main de son p’tit frère afin de l’entraîner avec lui dans l’autobus sans adresser un seul regard à sa mère
- Je vous aime. Leur cria leur maman en les voyant grimper avant que les portes ne se referment
Teresa regarde Lizzie et Simon s’installer l’un à côté de l’autre sur un siège de son côté au fond du véhicule, la jeune femme agite son bras en l’air afin de faire un signe d’au revoir à ses enfants ; Lizzie lui lance un bref regard alors que son frère échange un signe avec sa mère avant que l’autocar n’emmène Lizzie et Simon sur le chemin de l’école.

A peine rentrer à la maison, son portable sonna au fond de la poche de son jeans, elle fouilla dans sa poche droite et décroche au bout de 2 sonneries :
- Allô ?
- Salut ma tigresse. Répondit une voix masculine espiègle
- Ah ! Salut. Dit Teresa en souriant
- Je ne te dérange pas ? Demanda l’homme inconnu
- Non… Non, pas du tout. Répondit-elle. Pourquoi tu m’appelles ?
- Je voulais savoir si notre déjeuner tient toujours car j’ai une petite surprise pour toi. Répondit l’inconnu d’une voix espiègle et mystérieuse
- Walter… Commence-t-elle dans un sourire
- … Oui, je sais que tu n’aimes pas ça mais tu ne vas pas le regretter crois-moi. Lui coupa Walter
Mais le millionnaire a l’impression de parler dans le vide car Teresa ne lui répondait pas :
- Teresa ?... Teresa ? Tu es là ? Demanda Walter d’un air inquiet
- Ah… Euh… Oui. Oui, je suis là. Répondit-elle avec gêne
- Est-ce que ça va ?
- Oui. Excuse-moi, je suis désolée, je… Commença-t-elle
- Oh ! Je suis navré ma puce on m’attend, donc à 12h30 comme convenu ? Demanda-t-il d’une voix pressée
- Euh… Oui. Répondit-elle
- Bien. Je t’embrasse ma belle.
- Oui. Moi aussi.
Mais elle lui a répondu après qu’il est raccroché.
« Il aurait pu attendre que je lui réponde aussi » Pensa-t-elle.
Tessa pose son portable sur le buffet à l’entrée mais soudain, elle reste immobile ayant l’esprit ailleurs, en entendant ces mots résonnés au bout du fil elle repense étrangement à Patrick, son mari…


7 ans plus tôt…

Teresa est à la maison, derrière son bureau en train d’éplucher la paperasse jusqu’à ce que son téléphone sonne et décroche aussitôt :
- Allô ?
- Coucou mon cœur. Lui répondit joyeusement son mari
- Salut chéri. Lui répondit-elle dans un sourire
- Tu es occupée avec ta paperasse !? Suggère Patrick d’un air malicieux
- Non, pas du tout.
- Menteuse.
Ils partent dans un fou rire et le séduisant consultant reprend son sérieux :
- Ce soir, je t’invite au restaurant. Dit-il en dissimulant sa nervosité
Sa femme fronce les sourcils :
- Pourquoi ?
- Parce que j’ai envie de passer une soirée en tête à tête avec la femme de ma vie. Répondit-il avec tant de simplicité
- Patrick, dis-moi la vérité. Exige-t-elle
- Je ne peux pas te dire plus sinon ça ne serait plus une surprise... Je sais que tu n’aimes pas les surprises mais s’il te plaît, fais-moi confiance. Supplia-t-il d’une voix douce
Patrick laisse passer un silence pour entendre Tessa lancée un soupir d’exaspération en levant les yeux au ciel :
- Je ne sais pas.
- Oh ! Agent Lisbon, je sais que vous mourrez d’envie de vous trouver seul avec votre consultant préféré. Dit-il d’un air espiègle en sortant son plus beau sourire.
Elle ne peut s’empêcher d’échapper un rire :
- Très bien, monsieur Jane. J’accepte votre invitation.
- Je passe te prendre à 21heures et porte la robe qui va si bien avec tes yeux. Dit-il
- Je n’ai pas l’attention de la mettre.
- Mensonge encore, c’est celle que tu préfères car tu sais que tu risques me rendre plus de toi. Avoua Patrick d’un air fougueux et coquin
- Si tu n’avais pas été consultant, j’aurais mis un malin plaisir irrésistible de te passer les menottes. Avoua-t-elle agacée et espiègle
- Ouh ! Moi aussi, je t’aime ma belle tigresse. Répondit son consultant d’un ton charmeur et souriant
Elle raccrocha la première agacée en éclatant de rire car elle sait que c’est un jeu de provocation qu’ils ont crée entre eux depuis longtemps…


De nos jours…

- Teresa… Teresa… Murmura un homme endormi
Dans les locaux du CBI, un homme au costume 3 pièces aux bouclettes blondes ébouriffées et au regard bleu azur ravageur du nom de Patrick Jane, est allongé sur son canapé et rêve. Il a le sourire aux lèvres en repensant à ce merveilleux moment qui est un des plus beaux de sa vie ; ce jour-là, lors de ce dîner aux chandelles sur la terrasse d’un restaurant chaleureux à l’ambiance romantique, Patrick a demandé Teresa en mariage devant une vingtaine de personnes.
Quittant leurs yeux rivés sur les rapports, le voyant endormi murmurant le prénom de son épouse avec un sourire aux lèvres, ses collègues éprouvent de la compassion pour lui ; depuis l’incident, ils le trouvent plus vulnérable et encore plus malheureux qu’à l’époque de son désir de vengeance sur Red John ; ils ont essayé tous les moyens possibles qu’imaginables de lui remonter le moral mais le consultant reste inconsolable.
Soudain, Kristina Frye apparaît dans la pièce :
- Je viens de recevoir un appel du procureur général, un meurtre a eu lieu derrière la banque principale du quartier chic de Sacramento, des agents sont déjà sur place, ils vous attendent. Annonça-t-elle
L’équipe se leva en prenant leurs affaires, étant à deux doigts de se diriger vers l’ascenseur, la voix de Patrick les retient :
- Pas la peine de vous déplacer, mademoiselle Frye a parlé avec la victime qui lui a livré le nom de son meurtrier donc l’affaire est résolue. Alléluia ! S’exprime-t-il d’un air héritable gardant les yeux fermés
Cho, Rigsby et Van Pelt savent aussi que Jane est devenu plus héritable et gamin qu’autrefois ; face à sa remarque, Frye lui lance un sourire narcissique avant de se tourner vers les meilleurs agents du l’unité :
- Allez-y. Exigea-t-elle
- Bien, madame. Répondirent le trio en chœur et s’en vont avant de jeter un œil à Jane puis à leur nouvelle supérieure.
Jane se redresse sur son canapé, se lève en arrangeant correctement son costume 3 pièces avant de rejoindre ses collègues mais Kristina le retient de se positionnant face à lui :
- Patrick…
- Appelez-moi, monsieur Jane. Lui coupa-t-il d’un ton froid et ferme ; vous me bloquez le passage pour me dire d’aller doucement et me faire discret ou pour me donner le CV de vos morts qui auront la capacité de me remplacer quand je prendrai ma retraite ? Ajoute-t-il
Elle ne répond pas, lui lance un regard assez noir et un sourire narquois avant de prendre la parole :
- Je sais que vous êtes triste et abattu par ce qui vient de vous arriver et je me sens responsable croyez-moi. Avoua-t-elle
- Gardez votre pitié mademoiselle Frye. Dit Jane froidement
- Je vous invite à déjeuner pour que nous puissions parler calmement en toute liberté. Propose-t-elle dans un sourire
Il ne répond pas tout de suite, il reste la fixer froidement droit dans les yeux durant quelques secondes avant de dire :
- Je n’ai pas faim. Répond-t-il, je peux faire mon boulot? Demanda-t-il en se mettant sur le côté, se préparant à partir
Le sourire qui rayonne sur son visage, s’efface en moins d’un millième de seconde et s’écarte pour le laisser partir ; il s’éloigne se dépêchant de retrouver ses collègues et dit à Frye un bref « Merci » sans la regarder en face…

Sur les lieux du crime, les agents aperçoivent leur chef de l’unité, Teresa Lisbon qui est arrivée la première sur place :
- Bonjour patron !
- Bonjour ! Leur répondit-elle
Elle vit Patrick s’avancer vers elle, Teresa prend possession d’un regard gêné et sombre le voyant marcher à ses côtés à quelques centimètres d’elle au moment où ils se dirigent vers le corps d’une femme au milieu des ordures :
- Salut. Salua Jane
- Salut. Lui lança-t-elle brièvement avant de se tourner vers ses collègues, la victime reste inconnue, on ne sait rien d’elle, pas de papiers d’identité, pas de vêtements, rien, on a envoyé ses empreintes au labo afin de pouvoir l’identifier, on aura les résultats dans l’après-midi. Résume-t-elle en regardant ses notes sur son calepin
- Pourquoi on nous met sur le cou, c’est du ressort de la police locale non ? Questionna Wayne
- Logiquement oui mais le PDG de la banque a mis au courant le procureur général lequel a prévenu Frye, qui nous a gentiment dit de nous charger de l’affaire. Lui répondit-elle agacée
- Mmh ! Un politicien ami d’un autre politicien. Conclue Jane
- Entre autres oui. Dit-elle
Il hoche la tête en sautillant sur ses talons, se met à regarder sa femme qui jette des regards sombres et interrogatifs dans sa direction ; soudain, Patrick se penche vers elle doucement jusqu’à ce que Teresa sente le souffle chaud de son mari qui lui donne encore des frissons, Jane se met à renifler la nuque de sa femme et elle se met à reculer d’un pas :
- Tu sens rudement bon. Constate le consultant, Il y a de la lavande dedans non ?
- Qu’est-ce que j’en sais et je ne suis pas un échantillon. Lui répondit Tessa froidement
- Oh ! D’accord. C’est seulement de la curiosité et de constater que ce n’est pas ton genre de mettre une surdose. Lui dit-il sûr de lui
A peine qu’elle allait ouvrir la bouche, son mari s’est accroupie en observant dans les moindres détails le corps de la jeune femme :
- C’est une femme noire, d’environ 40 ans… Une odeur de crème hydratante à l’Aloé Véra, un parfum sucrée et cher… Des ongles parfaitement manucurées et soignés qui conclue une femme riche, soigneuse et ordonnée… Une montre en argent au poignet droit donc elle était gauchère puis elle porte une alliance donc une femme mariée… Un chignon parfaitement impeccable…
- Donc... Dit Grace en insistant à entendre sa réponse
- Elle était soit directrice financière dans une banque ou chef d’entreprise dans une société de comptabilité.
- Ca va nous faciliter la tâche pour un avis de recherche si c’est que tu dis est vrai. Dit Cho gardant son sérieux
- Attendez, ce n’est qu’une hypothèse. Dit Teresa restant objective et septique ; venez, on y va.
Le trio s’exécute ainsi que Jane mais se rapproche de plus en plus de Teresa :
- Je sais que tu n’as pas envie de me parler…
- C’est vrai. Dit Tessa sans le regarder
- Mais je sais que tu ne peux pas m’empêcher de voir nos enfants. Dit-il en se mettant en face d’elle afin de l’arrêter
Les agents s’éloignent d’eux ayant peur que cette discussion finisse en orage mais soudain, Teresa et Patrick se regardèrent droit dans les yeux et pour la première fois depuis des mois, c’est un mélange de douceur et de tristesse qui règnent dans leurs regards ; Tessa reste troublée par le regard azur de son mari puis interrompt ce silence :
- Je ne t’ai jamais empêché de voir nos enfants, Patrick. Seulement que je suis… occupée ces temps-ci mais…
Elle marque une pause en se pinçant les lèvres mais il y a eu pas assez de discrétion pour échapper au regard du séduisant mentaliste :
- Je ne serais pas à la maison avant demain matin et je n’ai personne pour m’occuper des enfants donc si tu veux t’en charger vas-y.
Il lui lance un demi-sourire :
- Merci.
Elle lui sourit en s’éloignant de lui mais le doute s’empare de Patrick sur la phrase qu’elle lui a dite : « Je ne serais pas à la maison avant demain matin… », Est-ce à cause de son travail ? Elle est capable de rester toute une nuit à travailler mais elle serait raisonnable de rentrer pour se reposer malgré que ça ne dure que quelques heures donc il se penche sur une possibilité qui commence à lui donner un horriblement pincement au cœur et la boule au ventre… Un amant !

Olalala mais Teresa, elle fait pas d'effort et elle ose mentir a ses enfants ! Nanméo c'est pas bien ! xD
J'adore la façon qu'a Jane de se comporter avec K ^^
J'espère que cette histoire va vite ses régler quand même =)
JVLS

J'adore ta fic'!
J'ai hate de lire la suite!

J'aime pas Masburn Pareil pour K !
J'espère que Lisbon et Jane vont se réconcillier
JVLS !

JVLS

Oooh, j'aime ta fic
VLS

Oh non après K, Mashburn

C'est triste que Jane et Lisbon ne soient plus ensemble
J'ai mal pour Jane, il voit pas beaucoup ses enfants et en plus Lisbon voit quelqu'un

VLS

Roh non Pauvres enfants
Pff Lisbon tu fais une grosse erreur en voyant Mashburn !!
J'espère que ca s'arrangera

Et après c'est moi qu'on traite de sadique, tu veux que je vienne de botter les fesses moi?
je veux qu'ils se remettent ensemble

Patience patience les filles, ne vous inquiètez pas, je vais arranger cela.
Tiens, une idée m'est venue comme ça, cela pourra me paraître bizarre et banale mais je vous la donne :

Spoiler:

oh JA j'adore ton idée

Merci Sweety !!
Ca m'est venue comme ça puis j'avais une immense envie de remonter le moral des Jisbonneuses ainsi que moi par la même occupation

alors n'hésite pas, fonce

Let's go!!

Ah mais c'est que ton idée est diaboliquement géniale!

VLS!