The return of love [Terminée] ^

C'est fou que ça soulage oui

bon, trêve de bavardage, je veux la suite moi

Tu vas l'avoir tkt
Je la posterai dans l'après-midi ou ce soir si l'inspiration ne bloque pas

chouette comme ça je l'aurais quand je rentrerais du boulot

Tu vas vraiment faire ça car moi je l'aime bien Mash et ça me ferais beaucoup de mal de le voir avec K.

Il peut y avoir une autre raison pour qu'il rompe par exemple un geste fou de Jane pour lui montrer son amour.

Je dis ça je dis rien car apparement ton idée fait des émules. Tant pis pour moi

Eh ben... K et Mashburn dans la même fic, tu nous gâte !!!!

J'aime beaucoup ta fic

Hâte de lire la suite !!!

Surtout si tu nous met ta super idée en application !!!

La suite de la fanfic

Désolée pour le retard, j'avais tellement de mal à trouver des anecdotes ainsi que des scènes de pur Jisbon mais je dois avouer que je n'ai pas été douée pour ce chapitre

Je suis assez déçue de ce que j'ai écris mais certains écrivains disent que l'avis principal appartient au lecteur donc je vous laisse faire



4 heures plus tard…

Sur la terrasse d’un café-restaurant chic, Teresa et Walter Mashburn déjeunent en tête-à-tête, elle raconte à son amant le résumé de l’enquête en cours :
Une jeune femme afro-américaine de 39 ans prénommée Sarah Wyatt, directrice financière d’une banque comme l’a suggéré son consultant mais cette banque n’est d’autre que celle où ils ont trouvé le corps ; mariée à Jeffrey Wyatt, expert comptable qui est aussi le fils de Anthony Wyatt le PDG de la banque où travaillait sa belle-fille, elle a laissé trois enfants, deux garçons et une fille âgés de 14, 11 et 8 ans. Son mari avoue que Sarah était une femme exemplaire, toujours ponctuelle, accueillante, à l’écoute des autres mais très maniaque et raisonnable niveau budgétaire autrement dit, ne jetait jamais de l’argent par les fenêtres. Des problèmes niveau financier, professionnel ou familial ? Personne ne sait réellement ni son mari car Sarah était une femme très discrète et ne laissait pas paraître ses émotions.
Durant son résumé, Walter se montre attentif en admirant la façon dont sa compagne dit ses mots qu’il reste la fixer en pinçant ses lèvres qui la met dans l’embarras et sourit :
- Quoi ?
- Rien, c’est juste que je te trouve combattive mais très touchée par ce meurtre.
- Disons que j’essaye de rester objective en laissant mes émotions de côté. Dit-elle avant de prendre une gorgée de café
- C’est tout à fait ton droit. Confirma-t-il
Teresa lui sourit avant de baisser son regard en caressant l’arrière de sa nuque ainsi ayant le regard vide montrant qu’elle est embarrassée et préoccupée ; face à ce silence lourd et à une compagne désemparée, Mashburn pose sa main sur la sienne :
- Teresa. Qu’est-ce qu’il ne va pas ?
- Oh rien. Lui ment-elle
- Tu mens très mal. Dit-il
Elle fait un sourire crispé mais marque une pause avant de pousser un soupir puis de répondre par la suite :
- C’est Lizzie.
- Ta fille ?
Elle hoche la tête :
- Je ne sais plus où j’en suis avec elle… Elle… Elle a des doutes sur le fait que je vois un autre homme que son père.
- Elle est au courant pour nous ? Demanda-t-il
- Non… Simon non plus et… Commença-t-elle avec hésitation
- Tu n’as encore rien dit à Patrick ? Demanda-t-il en commençant à hausser le ton
Elle ne répondit pas. Tessa reste le regarder tristement dans les yeux et Walter comprend que la réponse est « Non » et il s’enfonce sur sa chaise durant quelques secondes avant de se pencher vers elle :
- Teresa, il faudrait que tu leur dises la vérité, on ne peut pas continuer à se cacher le temps qu’on sera ensemble.
- Tu ne crois pas que je le sais déjà ça ?... Walter, comprends bien que je n’ose pas dire aux enfants … Déjà qu’ils aiment leur père plus que tout et le voient rarement. Leur avouer que je fréquente un autre homme, toi, risque d’être difficile pour eux, donc, accorde-moi du temps pour pouvoir leur parler… Dit-elle avec fermeté et compassion
Il reste la regarder en silence ne comprenant pas ce qui pouvait la retenir d’avouer la vérité à sa famille mais en même temps, il pouvait comprendre que dire aux siens qu’ils sortent ensemble depuis trois mois, c’est un peu précipité :
- S’il te plaît ? Supplia-t-elle
Il soupire et se force de sourire :
- D’accord.
Tessa lui sourit, il le lui rendit avant de se pencher vers elle afin de déposer ses lèvres sur les siennes :
- Il faut que j’y aille. J’ai un assassin à arrêter. Dit-elle en se levant
- Je te raccompagne si tu veux. Proposa-t-il en se levant à son tour en déposant deux billets de 50dollars sur la table
La jeune femme incline sa proposition lui disant qu’elle a sa voiture mais accepte qu’il la raccompagne jusqu’au parking où ils s’embrassent et en disant hâte de se trouver le soir même avant que chacun ne gagne son véhicule et ne prenne une direction différente…
Sur la route qui la conduit au QG du CBI, Teresa regarde attentivement la route mais le feu rouge lui ordonne de s’arrête, elle s’exécute et patiente de pouvoir passer. Commençant à perdre patience, elle soupira en taponnant ses doigts sur le volant puis soudainement, elle plonge dans ses pensées lorsqu’elle frôle une chaîne autour de son cou jusqu’à serrer au creux de sa main, un cœur doré avec une émeraude au centre du pendentif où est enfermée, deux petites photos : Lizzie et Simon puis elle avec de l’homme de sa vie…

TUUUUUUUUUUUUT…. TUUUUUUUUUUUUUUUT… TUUUUUUUUUUUUUUUT…

Soudain, des coups de klaxons venant d’une voiture placée derrière la SUV font sursauter la belle brunette qui sort de ses pensées ; elle essuie ses larmes, demande pardon au conducteur de derrière d’un signe de la main et poursuit sa route…
Dans le grenier du CBI, sur un simple petit lit, le beau blond au regard bleu azur transperçant essaye de trouver le sommeil tentant d’effacer son hypothèse du fait que la femme de sa vie ait une liaison avec un autre homme mais en vain, ça hante ses pensées et ça depuis des heures.
Il pousse un énorme soupir en se redressant sur son lit, reste immobile pendant un long moment avant de sortir de la poche de son gilet, une précieuse photo de sa famille, la famille la plus extraordinaire qu’il n’a jamais eu avant cela. Il sourit en regardant avec attendrissement, cette photo qui marque un des meilleurs moments de sa vie. Celui du dernier anniversaire de Tess.


7 mois plus tôt…

A cette époque, Teresa fête son anniversaire dont Patrick, Lizzie et Simon lui ont préparé une surprise. En rentrant du travail, la jeune femme retrouve sa petite famille ainsi que ses collègues sur la terrasse faisant un barbecue puis sur l’herbe, elle voit avec admiration que règne un sublime portrait d’elle en grand que Lizzie a peint après avoir fait ses devoirs comme elle l’a promit à son papa, enfin Simon lui offre un bracelet de perles au couleur du ciel et de la mer qu’il a fait à l’école.
En découvrant les cadeaux artistiques de ses enfants, Teresa est aux anges :
- Merci mes chéris. C’est vraiment gentil. Les remercia-t-elle en les serrant fort contre elle.
Après, vient les cadeaux de ses collègues, Grace et Wayne lui offrent un bon permettant d’accéder à un SPA pour un soin ainsi qu’une bonne bouteille de champagne ; Cho et Alyson sa compagne, leur cadeau est un bouquet de fleurs et un petit flacon de parfum.
- Je ne sais pas quoi dire… C’est vraiment gentil à vous. Merci. Dit-elle avec émotion
Teresa est touchée par le geste de ses collègues qu’elle les remercie un par un avant que son regard émeraude intense ne croise le regard envoûtant océan de son mari qui s’avance vers elle avec un sourire irrésistible ; les couples s’éloignent avec un sourire aux lèvres afin de laisser les amoureux seuls et de surveiller leurs deux enfants durant ce temps :
- Salut ma belle tigresse. Dit Patrick d’une voix espiègle et souriant en plaçant ses bras autour de sa taille
- Salut mon beau blond. Lui dit-elle espiègle en mettant ses bras autour de son cou en lui rendant son sourire
Ils s’échangent un baiser fougueux et passionné en s’enlaçant tout l’un contre l’autre mais Teresa le repousse :
- Tu refais le coup classique ! S’exclame-t-elle lançant un regard méfiant vers son mari
- Quoi ? Tu penses que j’ai oublié ton cadeau d’anniversaire ? Demanda-t-il d’un air surpris
- Oui. Affirma-t-elle en hochant la tête
Son séduisant consultant se met à l’observer plus attentivement sur le regard interrogateur de sa ravissante brunette au regard renversant émeraude, puis un sourire se met à rayonner sur le visage d’ange de Jane :
- Regarde dans la poche intérieure de ta veste. Lui indique-t-il avec la tête
Elle fronce les sourcils en gardant son sourire, s’exécute et découvre dans ses mains un coffret rectangulaire en bois foncé rustique :
- Qu’est-ce que c’est ? Questionna-t-elle curieuse et l’air interrogatif
- Ouvre-le… Et ce n’est pas de la camelote puis je te jure que je l’ai payé de ma poche. Jure-t-il en levant sa main droite.
Sa femme secoue la tête le sourire aux lèvres et s’exécute. Tout à coup, elle a le souffle coupé quand elle découvre un sublime collier en or qui est un pendentif en forme de cœur dont est placée au centre, une émeraude scintillante ; Patrick sourit ayant les yeux qui brillent en regardant le visage rayonnant de sa femme :
- Oh ! Patrick !... Commence Tess en jetant un regard au bord des larmes vers son mari en capturant le collier dans sa main ; il est magnifique. Conclue-t-elle en l’admirant
- Il y a quelque chose à l’intérieur. Ajoute son consultant
Elle reprend son regard interrogatif et ouvre le cœur… Une larme perle le long de sa joue, émue de voir deux petites photos : côté droit, photo de Lizzie avec Simon puis elle avec Patrick à gauche. Teresa lève son regard émeraude vers son tendre époux et l’embrasse tendrement malgré ses larmes qui ne cessent de couler le long de ses pommettes rosées :
- Tu n’aurais pas dû te donner tant de mal pour m’offrir un aussi beau cadeau. Dit-elle
Il pose délicatement son index sur les lèvres douces lui indiquant de se taire et dépose un doux baiser sur ses lèvres douces :
- Je peux ? Proposa-t-il en s’emparant doucement du collier de la main de sa muse.
Elle se laisse faire, fait demi-tour en soulevant sa chevelure ébène soyeuse, son mari met le collier autour de son cou avec douceur et tendresse :
- Tu verras… Quoi qu’il puisse arriver… Quelle que soit la distance qui nous sépare… Ce collier te rappellera que moi et nos enfants, nous serons toujours là prés de toi. Dit Patrick d’une voix douce et sincère
Elle se tourne vers lui, embrasse passionnément son mari posant ses mains sur son torse alors qu’il a posé ses mains délicates sur son visage en même temps qu’il essuie les larmes de sa magnifique épouse tellement émue par le merveilleux cadeau de son tendre époux :
- Tu n’étais pas obligé de faire ça. Dit-elle
- Je ne ferai n’importe quoi pour toi, Teresa.
Kiss…
- Je t’aime tellement Patrick. Avoua-t-elle en versant une larme
- Je t’aime plus que tout, Tess. Lui dit-il avant de s’emparer de ses lèvres douces


De nos jours…

Une lueur naît dans ses yeux, presque à deux doigts de pleurer mais tout à coup, il sursauta quand la porte coulissante s’ouvre et fait apparaître… Teresa qui entre dans la pièce en s’avançant vers lui :
- Salut ! Tu viens ? On a une réunion concernant l’enquête…
Elle stoppa sa phrase, fronce ses sourcils en regardant ce que son époux tient dans ses mains :
- Qu’est-ce que c’est ? Demande-t-elle
Il la suite du regard avant de se tourner vers elle en lui tendant la photo ; la belle brunette capture la photo entre ses mains, puis sourit :
- Je me souviens de ce jour-là. Dit-elle avec nostalgie, je me demandais où elle était passée.
- Je l’ai prise dans ton album photo. Avoua-t-il
Celle-ci fronce les sourcils et sent sa colère montée d’un cran :
- Pourquoi tu t’es pris la peine de fouiner dans mes affaires ? C’est personnel ! S’exprime-t-elle en haussant le ton
- Je le sais mais comme je sais aussi que tu ne me laisserais pas l’opportunité de la prendre donc je l’ai pris. Répliqua-t-il
- Tu ne manques vraiment pas d’air ! Avoua-t-elle d’un regard noir
Il ne répondit pas. Jane resta la regarder dans les yeux d’un air confus pendant un instant puis Tessa brisa le silence en poussant un soupir d’exaspération mai c’est Patrick qui parle en premier :
- Tu peux la reprendre. J’en ai fait une copie pour moi… Commence-t-il
Le consultant vit avec adoration, le visage de sa femme rayonné de bonheur en regardant la photo :
- Puis je sais que c’est ta préférée. Termine-t-il restant les yeux rivés sur elle
Teresa tourne son regard vers lui, reste un moment le fixer sans rien dire avant de sourire :
- Je me souviens qu’à peine, tu avais soufflé les bougies, Lizzie a plongé la tête entière dans le gâteau et elle était recouverte de chocolat partout. Ria-t-il aux éclats
- Puis Simon qui en faisait autant mais il en avait jusque dans les cheveux. Ria-t-elle à son tour
Ils éclatèrent de rire :
- C’est vraiment agréable de te voir sourire après tout ce temps-là. Avoua Patrick avec tant de tendresse dans sa voix.
En entendant ses paroles, elle le regarde en dissimulant petit à petit son sourire étant mal à l’aise :
- Il serait peut-être temps de… de se remettre au travail. Dit-elle gênée, merci de m’avoir rendue la photo.
- Oh ! De rien. Dit-il
Elle quitta le grenier, se dirigeant vers les bureaux assez embarrassée mais s’arrête net au milieu de son élan et regarde la photo que Patrick lui a remis en mais propres qui de son côté, fixe la photographie pendant un moment avant de se remettre au travail…

Merci Jisbonaddict pour cet suite qui ne t'inquiete pas elle est tres reussi

Ils sont trop mignons

A ce mashburn je n'en peux plus

Ils sont trop mimi! Mashburn

VLS

J'ai hâte qu'ils se remettent ensemble
super ta fic

Nan mais t'es pas bien toi, tu nous met des super moments Jisbon et tu nous plante Mashburn autour XD
Enfin c'est pas grave j'adore ta fic =)

Merci beaucoup pour vos commentaire les filles
Pourtant je vous assure que je ne suis pas douée enfin bref, chacun son opinion mais en tout cas ça me fait super plaisir de voir que ça vous plaît!

Je vais essayer de poster le chapitre d'ici ce soir

Super chapitre
J'adore tous leurs flashbacks, ils étaient trop mimis quand ils étaient ensemble
J'espère que ça va vite s'arranger et que Mashburn et K vont disparaître du tableau

VLS

Merci infiniment pour tous vos commentaires

La suite...

Pardon pour le retard mais ce chapitre m'a donné plus de fil à retordre que je ne l'aurai pensé
Entre nous, je croyais m'être débarrassée du 3x07 mais non, la déprime est de retour

Bonne lecture...



2 heures 30 plus tard…

Durant la réunion dans les locaux du Bureau Californien d’Investigation, Grace a découvert que Kathleen a retiré une somme de 8.000 $ en espèces de son compte en banque tous les mois depuis environ 1 an. Mais pourquoi ? A qui ? Pour quelle raison ? C’était un vrai mystère…
D’autant plus que la plupart des collègues de la victime disent d’après la rumeur, que M. Wyatt n’était pas d’accord du fait que son fils se marie avec elle parce qu’elle était de race noire. Quel aurait été vraiment le mobil du père pour tuer sa belle-fille ? Arrogance ? Racisme ? Reste à voir…
En conclusion, l’enquête reste une impasse, l’équipe prend congé : Wayne est partie chercher sa fille, Melinda à l’école pendant que Grace fait les courses ; Kimball rentre rejoindre sa fiancée pour une ballade en ville puis Teresa part chez elle prendre quelques affaires avant de rejoindre Mashburn chez lui.
Devant une école publique de Sacramento, plusieurs mamans attendent devant la grille de l’établissement la sortie des enfants; au même moment, alors que la sonnerie résonne dans la cours annonçant la fin de la journée d’école, une Citroën DS couleur ciel se gare sur le trottoir de l’autre côté de la route ce qui attire la curiosité vive des parents ; le conducteur, Patrick Jane descend du véhicule en claquant la portière derrière lui, traverse la route en faisant attention aux voitures puis ses pas atterrissent à temps devant l’école où apparaissent dans son champ de vision ; une mignonne petite brune au regard émeraude de 9 ans à côté d’un craquant petit blond au regard océan de 6 ans qui marchent main dans la main.
Ils aperçoivent leur papa qui se met à marcher vers eux avec un sourire rayonnant alors que Lizzie et Simon se précipitèrent à toute vitesse vers leur père :
- Papa ! Crièrent-ils.
Il se met à leur hauteur puis il les sert très fort contre fort pendant un long instant jusqu’à ce qu’il se libère de leur emprise :
- Je suis heureux de vous voir. Dit-il avec tant de bonheur. Ca s’est bien passé à l’école aujourd’hui ? Demanda-t-il l’air curieux
- Super ! J’ai fais de la peinture, j’ai dessiné une plage avec un grand soleil. S’exprime Simon fier de lui et enthousiaste.
- Ouah ! J’adorais voir ça. Avoua son papa en souriant avant de se tourner vers sa fille ; et toi, Lizzie, raconte-moi.
- J’ai eu un 15/20 à mon contrôle d’histoire. Annonça-t-elle souriante
- C’est bien ma chérie. Je suis fière de toi. S’exprime Patrick.
- Maman n’est pas avec toi, papa ? Demanda son fils
- Non, bonhomme. Maman est… Est occupée en ce moment et… Elle m’a demandé de m’occuper de vous. Répondit-il avec hésitation ainsi qu’un sourire crispé.
« Pas de mensonge, pas de d’idées farfelues, pas de coups en douce ni d’excuses bidons. Juste la vérité », C’est une règle ce qu’a fixé Teresa quelques jours avant la naissance de Lizzie dont il s’est juré de la respecter puis il veut continuer à l’appliquer autant par amour que par respect envers ses enfants et son épouse.
Simon et Lizzie commencent à indiquer leur inquiétude envers leur papa qui reste les regarder droit dans les yeux :
- Papa, ça va ? Demanda sa fille sur un ton doux comme sa maman
- Oh ! Euh… Oui. Ca va ma chérie. Dit-il en sursaut et gêné.
La petite fille au joli minois identique à celui de sa maman, fait un sourire au coin pour faire plaisir à son père mais celui-ci se doute bien qu’elle sait qu’il lui dit ça pour ne passe gâcher ce moment tant attendue des retrouvailles :
- Bon. Ca vous tente une immense glace comme vous les aimez ? Proposa-t-il
- Ouiiiii ! S’exclamèrent Lizzie et Simon en sautillant
- Allons-y ! Dit-il en se redressant
Patrick donne une main de chaque côté à ses enfants en se rendant jusqu’à la DS de l’autre côté de la route ; il les installe correctement avant de prendre place derrière le volant puis prend le chemin le parc avant de prendre la route de la maison dont il connaît par cœur…

Chez la famille Jane, Teresa est en train de se préparer pour rejoindre Walter dans sa villa ; ses vêtements sont étalées en bataille sur le lit, elle porte encore son jeans mais comme haut il n’y a que un soutien-gorge blanc nacré en dentelle :
« Qu’est-ce que je vais pouvoir mettre bon sang… » Pensa-t-elle au bord de la crise de nerfs.
Elle ne sait pas comment s’habiller lorsqu’un homme richissime l’invite à dîner et de passer la nuit chez lui, dans une maison luxueuse en plus ! Elle pioche une robe courte noire plissée au niveau du décolleté et de la taille avec zip au dos ; se regarda dans le miroir…
Non ! La jeune femme la repose en vrac sur le lit et pioche une autre robe. Dès lorsqu’elle se tourne vers son reflet tenant la robe ; son visage se figea, surprise par un électro choc lui disant « Un autre souvenir »…


10 mois plus tôt…

Pour leur 9ème anniversaire de mariage, le couple se rend au restaurant où ils ont l’habitude d’aller, le lieu qui a construit leur avenir ensemble parce que c’est dans ce restaurant que Patrick a fait sa demande en mariage à Teresa et depuis ce moment-là, ils fêtent chaque année de mariage dans cet endroit féerique, c’est devenue une sorte de tradition.
Dans leur chambre à coucher, ils se mettent « presque » sur leur 31 pour aller dîner en tête-à-tête, le séduisant blond est devant le miroir boutonnant sa chemise blanche nacrée de son costume 3 pièces pendant que derrière le paravent, la ravissante brune s’habille afin d’impressionner son époux :
- Tu es prête chérie ? Demanda-t-il en ajustant son col de chemise
- Non. Cette robe ne va pas bien. Répondit-elle agacée et gênée
Patrick est sur le point d’enfiler son gilet bleu gris lorsque sa femme apparaît dans son champ de vision en se plaçant dos à lui et en se regardant dans le miroir. Il est hypnotisé par la beauté de sa femme avec sa robe bustier couleur bleue nuit en satin courte marquant la taille et un bustier froncé, révèle la silhouette et dévoilant les épaules en toute subtilité. Etant mal à l’aise, Teresa aperçoit dans le reflet, le sourire espiègle et le regard prédateur de son mari sur elle ; elle sourit avec ses joues qui commencent à rougir :
- Quoi ? Demanda-t-elle embarrassée.
- Oh ! Rien, c’est que tu… Tu es envoûtante. Avoua-t-il d’une voix espiègle
Elle baisse son regard en sentant ses pommettes rougir de plus belle, cligne des yeux et se mord la lèvre inférieure. La jeune femme sent les mains de son consultant se poser sur ses hanches puis il dépose ses lèvres brûlantes sur ses épaules jusqu’à son cou dont chacun de ses baisers lui procure des frissons et un tel désir charnel :
- Patrick… Dit-elle dans un gémissement de plaisir
- Mmh… Murmure son consultant en continuant ses baisers
- Il vaut mieux qu’on garde ça pour le dessert. Dit-elle en se tournant vers lui en caressant son torse
- Je propose qu’on passe au dessert tout de suite. Propose-t-il
Le séduisant consultant embrasse tendrement sa délicieuse femme qui lui rendit son baiser qui devient passionné, fougueux lorsque leurs langues se rencontrèrent puis une chaleur torride s’apprête à prendre possession de leurs corps au moment où Tess reprend son souffle :
- On risque de se faire prendre si on commence comme ça. Dit-elle
- Je ne vois pas pourquoi. Les enfants ne sont pas à la maison et on a tout notre temps. Lui dit-il avant de l’embrasser.
Leurs baisers deviennent très enflammés en se serrant corps à corps et frissonnant les caresses de chacun :
- A cause de toi, on va être en retard, tu le sais ? Demanda-t-elle dans un souffle en déboutonnant son gilet d’un regard espiègle
- Ah oui ! Pourquoi cela ? Demanda-t-il avec un sourire espiègle
- Parce que vous êtes un vrai cinglé Monsieur Jane. Répond-t-elle d’une voix sensuelle
Soudain, elle le poussa sauvagement en arrière qu’il atterrit sur le lit avec ses yeux qui continuent de dévorer sa jolie femme qui laisse glisser sa robe le long de son corps jusqu’à ce qu’elle touche le sol puis Tess lui dévoile sa corps de déesse en avançant dangereusement :
- C’est vous, agent Lisbon qui me rendait dingue. Dit-il le souffle coupé en la saisissant par la taille
- Ne vous en faites pas, je vais vous guérir. Dit-elle en l’embrassant et en se mettant en califourchon sur lui
Ils éclatèrent de rire avant que le plaisir charnel ne les emporte…


De nos jours…

Touchant avec douceur chaque passage de sa peau où son mari a déposé une pluie de baisers à travers son miroir, Teresa sourit timidement et lâche un léger rire de la phrase de son souvenir avant de revenir à la réalité. Mais croisant son regard dans le reflet du miroir, la jeune femme commence à se poser des questions : « Comment le fat que des tas de souvenirs surviennent ainsi ? Pourquoi je me sens heureuse en y repensant ? Qu’est-ce qu’il m’arrive ? » Elle se force à trouver les réponses mais en vain. Tout à coup, un bruit de voiture de modèle classique mais mythique attire sa curiosité ; elle s’avance vers la fenêtre de la chambre, se penche vers le bas de sa maison où elle aperçoit la « machine infernale » de son mari se garer sur le bas côté. La ravissant brune au regard d’émeraude ne peut s’empêcher de faire ressortir la flic qui est en elle à cause de son sens de l’observation quand elle regarde Patrick sortir de sa « boîte en ferrailles » et de le voir se tourner vers la banquette arrière d’aider leurs petits anges à descendre du véhicule enfin elle s’éloigna de la fenêtre…

A cet instant, la porte d’entrée en bois s’ouvre laissant apparaître Lizzie et Simon suivit de leur papa, pénètrent dans le salon alors que leur maman descendit des escaliers et arrive dans la pièce vêtue de son jeans du matin, un débardeur blanc à fines bretelles et une veste beige puis tenant une sacoche noire à la main :
- Ah ! Vous voilà ! S’exclame-t-elle en souriant
- Coucou maman ! S’exprime son fils en allant l’embrasser tendrement
La maman et le fils se serrent fort dans les bras de l’un et de l’autre sous le regard tendre de Patrick; cette image lui a tellement manqué qu’il ne peut s’empêcher d’esquiver un sourire :
- Tu pars en voyage ? Demanda Simon en voyant la sacoche
- Non. Je risque de travailler tard ce soir donc j’ai pris des affaires au cas où. Lui répondit-elle avec un léger mensonge.
- C’est ça… Murmura sa fille sur un ton ironique
Patrick fût assez surpris par la réaction de sa fille puis qu’elle n’est pas allée embrassé sa mère, il peut apercevoir de la tristesse et de la colère chez elle quand Lizzie jette brièvement un regard vers Tess ; soudain, le consultant parvient à comprendre que sa fille a découvert quelque chose sur sa mère et qu’il commence à croire malheureusement que son hypothèse tient la route :
- Lizzie, ne recommence pas s’il te plaît ! Exigea Teresa en se tournant vers lui.
- Pardon, j’ai des devoirs à faire. Dit-elle froidement, je peux aller papa ? Demanda-t-elle à son père
- Oui, vas-y chérie. Répondit-il en regardant sa femme dans les yeux
La petite fille s’exécute en passant devant sa mère sans y prêter attention, Teresa est mal à l’aise par le regard de Patrick qu’elle se tourne vers son fils :
- Tiens, Simon. Tu rejoins ta sœur en haut, je dois parler avec papa avant de partir d’accord ?
- D’accord. Accepta le petit ange blond en serrant sa mère dans ses bras, je t’aime maman. Murmura-t-il
- Moi aussi, je t’aime mon cœur. Lui dit-elle
Puis il exécute l’ordre donné par sa mère qui le regarde s’éloigner de son champ de vision.

La jeune femme se tourne vers son époux qui reste la fixer durant plusieurs secondes ce qui la rend mal à l’aise :
- Quoi ? Demanda-t-elle avec insistance
- Ca me manquait ce moment de retrouvailles entre toi et nos enfants. Lui répondit Patrick avec un demi-sourire en s’avançant vers elle
- Ne commence pas s’il te plaît.
- Ok. Dit-il en hochant la tête, parlons d’autre chose alors. Propose-t-il prenant l’air sérieux
- Genre… Commença Tessa en l’insistant à dire quelque chose
- De ton amant ! Lança-t-il avec une pincée de jalousie dans sa voix
Soudain, en entendant sa révélation, Teresa est tellement surprise qu’elle sent la colère qui commence à monter d’un cran :
- Quoi ?!... Tu dis n’importe quoi ! S’exclama-t-elle
- Pas du tout. Affirma-t-il
- T’as une preuve de ce que tu dis ?
- Tu mets de plus en plus de parfum et de maquillage alors que ce n’est pas ton genre… Ce matin, j’ai remarqué que tu regardais sans cesse ta montre d’un air pressé, tu ne m’as pas regardé dans les yeux une seule fois et je viens de me rendre compte que notre fille est en colère contre toi et ne se confie à toi plus du tout comme avant. Expliqua-t-il sûr de lui
Face à son explication, la jeune femme baisse son regard au bord des larmes pendant un moment, elle relève la tête ayant une larme qui coule le long de sa joue et croise le regard triste et sombre de son époux. Mais c’est trop dur à supporter que Tess se dirige vers la porte mais Patrick la retient par le bras :
- Lâche-moi ! Hurla-t-elle en résistant à son emprise
- Tu as pensé à moi ? A nos enfants ? Demanda son consultant sur un ton sévère
- A ton avis Patrick, pourquoi je n’ai rien voulu dire ?! Cria-t-elle en fondant en larmes
Le blondinet regarde sa brunette dans les yeux et vient de connaître sa réponse, il commence à regretter son comportement envers celle qui l’aime, qui est la mère de ses merveilleux enfants et qui est toute sa vie ; il s’apprête à ouvrir la bouche pour s’excuser mais Teresa prend la parole en colère :
- Voilà une raison de notre séparation Patrick. Tu t’obstines toujours à connaître la vérité à ta façon sans te préoccuper des conséquences qu’il puisse y avoir, sans voir le mal que tu fais autour de toi et le pire, c’est que tu réfléchis pas à ce que tu va dire aux personnes qui souffrent. T’es vraiment un monstre d’égoïste et puérile puis parfois je me demande ce qu’il m’a pris de t’avoir épousé ? Avoua-t-elle
Ce fut un coup poignard en plein cœur que ressent Patrick en entendant les paroles de son épouse, il reste figer alors que Teresa réussit à se dégager de son emprise et sort en courant de la maison mais le consultant essaye de la retenir :
- Teresa !... Teresa ! Cria-t-il en se précipitant vers l’extérieur
Son épouse est déjà au volant de sa SUV qui commence à rouler à vive allure au moment où il arrive sur le trottoir pour la rattraper :
- Teresa ! Attends ! Cria-t-il
Mais trop tard, la Chevrolet noire est déjà loin emportant Lisbon en larmes à moitié soulagée et confuse d’avoir lancé ces mots à son mari.
En entrant chez lui, son mari plaque son dos contre la porte en levant les yeux au ciel en commençant à pleurer en s’effondrant sur le sol la tête entre ses mains; il s’en veut de ne pas avoir retenir sa femme pour lui dire qu’il est désolé, qu’il s’en veut de lui avoir fait du mal, qu’il lui promet de changer parce qu’il l’aime, il ne l’a jamais cessé d’aimer et qu’il aimerait jusqu’à la fin de ses jours mais il comprit qu’il est allé trop loin.
A l’étage, les enfants ont entendu la dispute de leurs parents qui les rendent malheureux de voir aussi leur papa dans un état de désespoir, ils meurent d’envie de courir vers lui pour le consoler mais soudain, quelqu’un sonna à la porte…

Ooooh non c'est pas gentil ce qu'elle lui dit là qu'elle est bête de l'avoir épousé

Rolalala mais ces deux là je vous jure! pas un pour rattraper l'autre!


Vivement la suite que tout se rétablisse!

mais qu'est-ce qui lui a prit de lui dire ça? elle veut qu'on fasse une crise pour comprendre son erreur? Enfin, c'est pas pour être méchante mais ce serait bien qu'il lui arrive quelque chose à elle ou à lui et comme ça ils se rendraient compte qu'ils ne peuvent pas vivre l'un sans l'autre

Ah mais il est super déprimant ce passage!


Pauvre Patou, il mérite pas de s'en prendre plein la figure
Elle est cruelle pour le coup Lisbon

VLSP

C'est quand même pas Hightower qui se ramène?!


VLS !!!

Le pauvre!! Trop triste ce passage!
VLS

Oh je snif

Ne soyez pas triste les filles, ça ne va pas s'arranger tout de suite mais ça va s'arranger ne vous inquiétez pas

Je posterai la suite demain donc reposez-vous

hâte de lire la suite, surtout si Jane et Lisbon se remettent ensemble

Sweetylove30 a écrit:hâte de lire la suite, surtout si Jane et Lisbon se remettent ensemble

Hey hey! Ma Sweety un peu de patience, ça va venir mais pas maintenant
Sadique, je sais et fière


La suite... Je sais oui, c'est encore plus triste mais c'est faire évoluer mon idée dans le chapitre suivant; j'ai encore d'autres tours dans mon sac

Bonne lecture...



DING DONG…

Soudain, quelqu’un sonna à la porte… Lizzie et Simon ne savent pas s’ils suivent leur instinct pour venir consoler leur père désemparé et de dire à la personne en question de repasser plus tard ou bien le laisser gérer son chagrin et d’ouvrir cette maudite porte d’entrée à contre cœur. Mais, Patrick ne veut pas se lever et ouvrir la porte à qui que ce soit, tout ce qu’il souhaite, c’est de se retrouver seul.

DING DONG…

L’inconnu(e) insiste pour qu’il vienne l’ouvrir ; le craquant blond au regard azur essuie ses dernières larmes, se lève en faisant un demi-tour sur lui-même et ouvre la porte…

…

Sur une immense terrasse fleurie avec une piscine aussi immense qu’un bassin réservé aux nageurs pour les entraînements aux prochains J.O, Walter Mashburn lit son journal en buvant un verre de whisky dans son salon de jardin jusqu’à ce qu’une visiteuse désemparée et en larmes attire son attention et lui indique d’abandonner sa lecture. Il se précipite vers Teresa en sanglots avec le maquillage dégoulinant :
- Teresa ?! S’exclame-t-il en se rapprochant d’elle
- Walter, je… Commence-t-elle en larmes
Elle se précipite dans ses bras, fondant en larmes alors que son amant la serre tout contre lui en même temps qu’il la console :
- Chut ! Calme-toi ! Je suis là maintenant. Lui murmura-t-il
Elle s’écarte de son étreinte en se mettant face à lui et explosa sa colère :
- J’en ai assez ! Je n’en peux plus je… Commence-t-elle à s’expliquer
- Chut ! Calme-toi Tess ! Lui dit-il en essuyant ses larmes. Viens t’asseoir près de moi, je vais te demander à ce qu’on t’apporte un verre d’eau et tu vas me raconter ce qui s’est passé. Propose-t-il
Il la guida vers le salon de jardin en la tenant près d’elle de peur que sa compagne ne s’évanouisse…

…

- Ah ! C’est vous ! S’exprime Patrick sans enthousiasme
- Oh ! Vous n’êtes pas votre assiette. Constate Kristina
- Vous avez des yeux pour le voir par vous-même non ? Demanda-t-il sur un ton sec
A l’étage, un joli minois d’une petite brunette ainsi qu’un mignon regard d’ange d’un petit blondinet observent la scène en première loge en chuchotant :
- C’est qui ça Lizzie ? Demanda Simon d’un air curieux
- Je ne sais pas Simon mais je ne l’aime pas. Lui répondit sa grande sœur
- Elle a une drôle façon de regarder papa. Remarque le petit garçon avec inquiétude
- Oui et c’est bien ce qui me fait peur. Lui fait remarquer la petite fille à son tour
Pendant ce temps, Frye resta un moment à l’observer avec un sourire narquois :
- Une dispute avec l’agent Lisbon ? Finit-elle par demander
- Primo : Pas l’agent Lisbon mais Teresa, ma femme et la mère de nos enfants. Secundo : Je ne vois pas en quoi ça vous regarde. Lui expliqua fermement le consultant
Le visage de Kristina se décompose mais son sourire devient hypocrite et crispé devant le visage rieur des enfants :
- Bien dit papa. Ria Lizzie
- C’est toi le plus fort papounet. Ajouta son petit frère en riant
- Ce n’est pas en défoulant votre colère sur moi que vous y arriverez à vous calmer. Lui fait-elle remarquer
- Vous étiez sois disant médium… Et actuellement vous êtes directrice du CBI et non psychologue à ce que je sache. Se moqua-t-il sur un ton sec avec un faux sourire
Ses supporters qui sont ses deux anges étouffent de rire alors que Mademoiselle Frye garde le même sourire :
- C’est vrai et au sujet de mon poste de directrice de l’unité, je tolère à ce que vous me parlez sur un autre ton si ce n’est pas trop demandé. Dit-elle en prenant un air sérieux et supérieur avec un sourire hypocrite
- A vos ordres Madame ! Se moqua-t-il en se mettant en garde à vous... Qu’est-ce que vous faites là ?
- Je peux entrer ? Demanda-t-elle avec espérance
- Répondez à ma question. Insista-t-il
- Laissez-moi entrer juste un instant et je répondrais à votre question. Dit-elle faisant la maligne avec un sourire narquois
Le séduisant consultant reste un moment à l’observer alors qu’à l’étage :
- Non, papa, ne cède pas. Supplia sa fille
- Elle est forte. Remarqua son petit frère d’un air dubitatif et septique
Lizzie se tourne vers lui et le dévisage avec un regard noir :
- De quel côté tu es, toi ? Lui demanda-t-elle
Simon reste un petit instant le regard sombre de sa grande sœur comme le fait leur papa quand il regarde leur maman :
- Pardon. Lui répondit-il avec un regard confus.
Sa grande sœur lève les yeux au ciel en secouant la tête avant de tourner son regard la scène du rez-de-chaussée et comme dirait son papa :
« La même facette adorable que sa maman quand elle se fâche »

…

Dans le salon de jardin, assis sur un canapé en osier, Teresa boit d’un trait une gorgée d’eau en tremblant de colère et son démaquillage dégoulinant à cause des larmes qui ont coulés ; son amant l’aide à reposer son verre sur la table :
- Allez, respire à fond. Lui indique-t-il
Elle s’exécute en prenant une bouffée d’oxygène et expire profondément pendant qu’il écarte quelques mèches de cheveux ébène soyeux qui couvrent son visage :
- Dis-moi ce qui te met dans cet état.
- Il est au courant Walter. Avoua-t-elle
Mashburn reste figer le temps d’un moment de réflexion avant de prendre la parole :
- Tu le lui as dis ? Demanda-t-il
- Je n’en ai pas eu besoin, il l’a deviné tout seul. Lui répondit-elle
- Voilà autre chose. Remarqua-t-il dans un soupir
- Je n’arrive plus à le supporter Walter… J’en ai ma claque de ses coups en douce, de son sens de voir les choses sans qu’il ne se rende compte du mal qu’il fait… S’exprime-t-elle en larmes
Elle pose sa tête pose au creux de son cou pendant que son corps est emprisonné des bras de son amant, elle a besoin de trouver du réconfort et d’être écouter malgré qu’elle n’a jamais voulu parler de sa vie privée à cause de son passé : le décès de sa mère, le fait que son père est devenu alcoolique et a faillit tuer ses 3 frères ainsi qu’elle.
Walter ne supporte pas de la voir dans cet état et il décide de briser le silence :
- Ecoute. Tu vas venir s’installer quelques temps ici avec les enfants.
- Quoi ?! Demanda-t-elle surprise en essuyant ses larmes.
- Oui, je pense que ce serait bien que tu prennes un peu de recul. Répondit-il avec détermination
- Non. Non, je ne veux pas que moi ou les enfants te dérangent. Lui dit-elle avec gêne
- Hey ! Bien au contraire, ça me permettra de connaître tes enfants.
- T’es sûr ? Demanda-t-elle
- Absolument sûr. Lui confirma-t-il
La jeune femme lui fait un léger sourire avant de l’embrasser…

…

- Mais qu’est-ce qu’il est bête ! S’exclama Lizzie exaspérée
- Ca oui ! Confirma Simon dans un soupir d’exaspération
Ca fait environ presque ¼ d’heure que Lizzie et Simon ont abandonné le temps consacré à leurs devoirs pour se concentrer sur la discussion entre leur papa et cette femme qui est sa patronne. Patrick a finit par céder en laissant entrer Kristina chez eux ; Frye est dans le salon en train de contempler les photos qui règnent sur le bord de la cheminée et sur les murs, marquant les merveilleux moments de la vie du consultant avec la femme de sa vie et leurs deux adorables anges gardiens pendant que le consultant se prépare un thé et sert une tasse de café pour elle.
L’ancienne médium voit que Patrick est un mari aimant et un père modèle ainsi qu’admirable, elle se dit qu’elle aurait aimé avoir cette chance d’avoir un homme tel que lui à ses côtés qui serait quoi faire et prêt à tout pour la rendre heureuse ainsi que sa famille.
Le bruit des pas du consultant s’avancer vers elle, qu’elle se retourne et le vit arriver lui tendant une tasse de café d’une main alors que son autre main tient sa tasse de thé :
- Merci. Remercia-t-elle en saisissant la tasse
- J’ai tenu ma parole maintenant c’est à votre tour. Lui dit-il sérieusement
Elle se dérobe en se tournant vers les photos de la famille Jane :
- Vous avez l’air heureux sur ces photos, j’avoue que je suis surprise de voir un sourire sincère sur votre visage. Remarqua-t-elle en buvant une gorgée de café
Ne supportant plus cette femme, Lizzie se montre en descendant au rez-de-chaussée secourir son père suivit plus tard de son petit frère :
- Papa ! S’exclame Lizzie en s’approchant de son père.
Frye et Patrick se tournent vers eux puis leur papa est surpris de les voir qu'il pose sa tasse de thé sur la table basse du salon :
- Qu’est-ce que vous faites ici tous les deux ? Demanda-t-il
- On a entendu toi et maman vous disputer. Répondit Simon, On n’aime pas vous entendre crier ni te voir triste. Ajoute-t-il
Patrick est touché de voir l’attention que portent ses enfants à son égard qu’il leur donne un bisou sur leur front :
- Vous êtes adorable. Dit-il avec un demi-sourire

…

A l’entrée de sa villa, Walter raccompagne Teresa jusqu’à sa SUV :
- T’es sûr de ce que tu veux ? Demanda Tess avec gêne
- Tess, on en a déjà parlé. Tout ce que je veux, c’est ton bonheur et que tu sois heureuse. Dit Mashburn en lui ouvrant la portière côté conducteur de sa SUV
En entendant cette phrase, ça résonne comme un écho dans sa tête :
« Tout ce que je veux, c’est ton bonheur et que tu sois heureuse »
C’est ce qui disait Patrick, son mari à longueur de temps avant qu’ils ne se marient dont elle a finit par succomber. Elle lui fait un léger sourire :
- Merci. Remercia-t-elle en grimpant dans sa voiture.
- Va chercher tes affaires et tes enfants. Je vous attends. Lui dit-il
- D’accord. Lui dit-elle à son tour
Ils échangèrent un baiser avant que Teresa ne prenne la route qui la conduit vers chez elle…

…

- C’est qui ? Demanda sceptiquement Lizzie à son père
Patrick suit le regard de sa fille se tournant vers Kristina qui reste les observer sans rien dire puis le mentaliste se redresse en se mettant derrière ses enfants :
- Oh ! Euh… Les enfants, voici Kristina Frye, la patronne de maman. Madame, voici mes enfants : Lizzie et Simon.
- Bonjour. Salua Frye en se mettant à leur niveau
- Bonjour. Saluèrent les deux petits Jane sans enthousiasme
Ils restèrent observer Frye dans un silence avant de parler :
- Papa nous a dit que vous voyez l’avenir, c’est vrai ? Demanda Simon
- Oui, c’est exact mais c’était il y a longtemps. Répondit Frye
- Les morts savaient que vous étiez une illuminée. Se moqua Lizzie ironiquement
Surprise aux paroles directes de la petite fille, Simon étouffe de rire alors que Frye se tourne vers elle, surprise par ce qu’elle vient d’entendre et constate qu’elle a le trait caractère de son père :
- Lizzie ! S’exprime le mentaliste en étouffant un rire
- Oh ! Ca va. Rassura Kristina d’un air hypocrite
- Les enfants, allez retourner dans vos chambres s’il vous plaît. Supplia-t-il
Ils restent fixer froidement Frye pendant quelques secondes et s’exécutent :
- Simon a tout de vous niveau physique et Lizzie a votre caractère qui est étonnamment rare. Constate l’ancienne médium
- Je dois le prendre comme un compliment… Maintenant, dites-moi pourquoi vous faites là. Dit le mentaliste
- Je suis venue vous voir car je me fais du souci pour vous car je peux voir que vous êtes malheureux et que devenez de plus en plus vulnérable ces temps-ci. Constate-t-elle
- A qui la faute d’après vous ? Rappela-t-il sur un ton sec. Il serait temps que vous partez. Exigea-t-il
- Sinon quoi ? Vous allez me traiter de tous les noms pour me faire partir ? Demanda-t-elle sur un ton posé
- Ca reste une possibilité. Dit-il froidement
Elle regarde dans les yeux voyant que c’est peut-être un de ses tours de passe-passe pour se débarrasser d’elle et c’est le cas :
- Bien. Je connais le chemin. Dit-elle en posant sa tasse sur la table basse et s’en va.
Mais arrivée à son niveau étant qu’à quelques centimètres de son visage, elle lui murmura à l’oreille :
- Au revoir Patrick.
Elle s’apprête à l’embrasser sur la joue mais il l’esquive à temps en tournant la tête ; déçue, elle s’en va en fermant la porte derrière elle.

Au même moment, alors que Kristina s’éloigne de chez les Jane, Lisbon arriva devant chez elle sans faire attention à Frye qui s’en va. La porte s’ouvre, Patrick croise la couleur émeraude du regard de sa femme à l’entrée et tente une manœuvre de s’excuser :
- Ah ! C’est toi ! Ecoute, je suis désolé Teresa je… Commence-t-il en s’approchant d’elle
- Ne gaspille pas ta salive Patrick. Je suis venue chercher mes affaires et les enfants. Avoua-t-elle en s’éloignant de lui

Oh nnnnnnnoooooooonnnnnnnn Lisbon quest ce qu'il te prends , pauvre Patou

Ah non ils vont pas aller vivre chez Mashburn!!!
Pauvre Jane

VLS