Last fight for a new life [Finish] ^

JisbonAddict a écrit:Ben, merci Teninches
(navrée, je suis hypermodeste )

JisbonAddict a écrit:
Mais si tu veux le savoir Sweety, je peux te le livrer en MP [/font]

JisbonAddict a écrit:(pourquoi il faut toujours que je cède à cause de vous )

Aphraël a écrit:Mais c'est parce qu'on est des anges et que tu nous aime JA
Je veux du Jisbooooooon !! *Aphraël est en manque *
Hâte de voir ce prochain chapitre

C'est pas faux Mais c'est vrai que vous êtes des anges et que c'est pour ça que je vous adore
Tu vas avoir du Jisbon Aphraël t'inquiètes enfin pas tout de suite mais tu en auras

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Voici la suite...

Et comme promis, y a un peu d’action mais avec un peu de sadisme dont vous allez comprendre pourquoi mais en tout cas

Cette suite a été écrite avec l’aide de Sweety et elle s'est occupée de la correction
Merci à toi, ma belle

Bonne Lecture

La suite... Dans la semaine prochaine ou ce week-end
Et ce sera la fin … Non, je rigole !
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Chapitre 11 :

… - De te tenir au courant si il y a du nouveau, je te le promets. Lui promit-il dans un sourire
Elle sourit.
- Merci Mac. Lui remercia-t-il
Mac fit un sourire gêné tandis que sa partenaire se pencha vers lui et l’embrassa tendrement sur la joue qui le fit rougir. La jeune scientifique resta dévisager son boss un moment avant de se lever du canapé et de quitter son bureau sous le regard triste mais admirable de Mac qui quitta la pièce à son tour et se rendit dans son bureau.

Arrivé enfin devant son bureau respectif, Taylor poussa la porte qui se referma automatiquement, accrocha son manteau au porte-manteau mais lorsqu’il allait rejoindre son fauteuil derrière son poste de travail, une voix masculine résonna dans la pièce qui le fit sursauté.
- Bonjour Lieutenant !
Mac se tourna vers cette voix, vit un homme blond aux yeux bleus vêtu d’un costume 3 pièces se redressant du canapé jusqu’à ce qu’il finit par se lever et le chef de la police scientifique reconnut le consultant de la police californienne, Patrick Jane.
- Bonjour Monsieur Jane. Salua poliment Mac ; que faites-vous ici ?
- J’ai voulu faire des tests sur les canapés new-yorkais ; c’est vraiment confortable, vous pensez qu’ils font des promotions dans les canapés chez vous ? Répliqua-t-il d’un ton détaché et amusé
Le scientifique le dévisagea en fronçant les sourcils d’un air interrogateur et agacé par le ton qu’avait prit le consultant qui avait aussitôt un regard confus.
- Pardon. S’excusa-t-il comme un enfant qui aurait été grondé par sa maman
- Que voulez-vous Monsieur Jane ? Demanda-t-il dans un soupir
- Je tiens à vous présenter mes excuses pour mon comportement d’hier. S’expliqua-t-il ; je sais qu’on doit collaborer ensemble sur cette affaire…
- Mais vous voulez John Le Rouge pour venger votre femme et votre fille, pour vous sentir libérer de ce poison qui vous hante. Ajouta Mac
Jane le regarda d’un air intrigué et interrogateur.
- Vous avez déjà perdu un être aimé dans le passé, n’est-ce pas ? Insinua le consultant avec compassion
Mac laissa passer un instant de silence en regardant où se trouvait son fauteuil, jeta un œil vers Patrick et s’assit derrière son poste en fixant le consultant.
- Claire Conrad, ma femme. Elle est morte lors des attentats du 11 septembre. Avoua-t-il
- Toutes mes condoléances. S’excusa Jane avec tristesse et compassion
Le policier new-yorkais fit un léger sourire au coin signifiant « merci » lorsque Jane prit place sur un siège face à Taylor.
- Comme vous, je voulais me venger de ses terroristes, de toutes ces personnes responsables de la mort de Claire… Commença Mac ; mais j’ai appris que si je faisais justice moi-même, je passerai pour un meurtrier qui risquerait de passer le reste de sa vie en prison et que tous ces efforts donnés pour arriver à être ce que je suis aujourd’hui n’auraient servi plus à rien.
Taylor marqua une pause, vit Jane qui ne répondit pas et qui l’écoutait attentivement avec le regard autant pensif que triste.
- En même temps, continua-t-il ; je me suis senti coupable d’avoir pu ignorer des personnes qui étaient là pour m’aider et au fil du temps que faire justice soi-même n’entraînerait que des conséquences donc j’ai fini par laisser faire la justice faire son travail.
- Et refaire votre vie ? Vous n’avez pas y penser ? Demanda Jane
- Pas dans un premier temps ; répondit-il, mais passer le reste de sa vie seul, c’est mourir de l’intérieur. J’étais avec une femme exemplaire qui était médecin légiste ici mais elle avait décidé de rester dans sa famille à Londres alors que j’étais revenu à New-York mais il ne faut jamais perdre espoir et de s’accrocher à ceux qu’on aime.
Jane hocha légèrement la tête et la baissa en un millième de seconde en se mordillant la lèvre inférieure.

Le séduisant consultant se mit à penser aux mots du ténébreux scientifique à propos du point commun qui les lia. Patrick se remit en mémoire de ce que Teresa lui avait dit auparavant au sujet de sa vengeance sur John Le Rouge
« Si vous tentez de lui infliger des sévices, je vous en empêcherai, si vous lui infligez des sévices, je vous arrêtez… J’ai pris des risques pour vous et je fais ça tout le temps ! … Vous n’êtes pas capable de voir qu’il y a des gens qui ont besoin de vous, qui tiennent à vous. Vous êtes un monstre d’égoïsme et de puérilité, il faut que ça cesse. »
Il se rendit compte malgré sa carapace de femme rationnelle, forte, courageuse, caractérielle mais fragile, généreuse et douce ; à quel point elle tint réellement à lui en prenant des risques jusqu’à sacrifier sa carrière pour lui sauver la mise.
Mais le plus troublant dans tout ça, c’est qu’il tint vraiment à elle, il était prêt à tout pour la rendre heureuse jusqu’à risquer sa vie pour lui sauver la vie malgré que ce soit contre sa volonté.
Si Mac avait raison ? Si jamais il continuait à ne penser qu’à son objectif, il risquait de perdre ceux qu’il aimait ? De ne plus avoir d’espoir de recommencer à vivre ?
Puis le mentaliste pensa à sa femme et à sa fille, si elles étaient encore vivantes ; il pensa qu’elles lui auraient dit qu’elles ne souhaitaient que son bonheur, qu’il soit heureux, qu’elles ne voulaient pas le voir malheureux et qu’il puisse enfin refaire sa vie en repartant à zéro avec quelqu’un qui pouvait le rendre heureux… comme Teresa Lisbon.

Il chassa cette idée de sa tête et se tourna vers Mac dans un soupir. Taylor rompit le silence.
- Monsieur Jane il faut que vous sachiez que votre collègue, l’agent Lisbon, a un grand respect pour vous malgré tout ce que vous pouvez faire.
- Je sais que parfois je vais un peu trop loin, lui dit Jane.
- Oui c’est vrai, continua Mac, mais vous semblez être important pour elle.
- Que voulez-vous dire? Interrogea le séduisant consultant.
- L’agent Lisbon trouve que vous êtes un homme qui a du cœur et il m’a semblais voir quelque chose dans son regard lorsqu’elle m’a dit ça, expliqua le lieutenant de New-York.
- Je ne vois pas ce qu’il pourrait y avoir dans son regard a part de la colère, tenta de nier Jane.
Mais les mots de Mac s’insinuaient peu à peu dans son esprit et il se rendait compte que c’était vrai, Lisbon était une femme de caractère qui n’avait pas peur de se mouiller pour lui, pour le sortir de tous les problèmes qu’il pouvait créer, et malgré ça elle continuait de travailler avec lui sans jamais vraiment s’en plaindre, juste de temps en temps pour la forme. Mac avait raison, il y avait parfois quelque chose dans le regard de la jeune femme qui était différent, mais le mentaliste ne voulait pas le voir, il ne voulait pas qu’elle s’attache a lui et surtout il ne voulait pas s’attacher a elle, il ne le devait pas, c’était bien trop dangereux pour elle.
Mac le ramena à la réalité.
- Vous m’avez dis que je devais penser à refaire ma vie mais vous devriez y penser aussi.
Les deux hommes restèrent un moment sans parler, juste à repenser a leur discussion.

Pendant ce temps, Stella Bonasera sortait du bâtiment pour rentrer chez elle lorsqu’elle croisa l’agent Lisbon.
- Bonjour agent Lisbon ! Salua Stella
- Lieutenant Bonasera ! Salua Lisbon à son tour
Les deux femmes se serrèrent la main, et soudain, sans vraiment comprendre comment ni pourquoi, elles commencèrent à discuter de leur collègue respectif.
- Mac est un homme bien, commença Stella. Il a beaucoup souffert de la perte de sa femme et je sais qu’il a encore du mal à s’en remettre.
- Je vois ce que vous voulez dire, acquiesça Lisbon. Il en est de même pour Jane. Ce n’est jamais facile de perdre une personne proche de soit, comme une femme et un enfant dans le cas de Jane.
- C’est pourquoi ils ont besoin de quelqu’un pour les soutenir.
- Vous avez raison.
Stella et Teresa se sourirent, puis Stella reprit la parole.
- Qui a-t-il entre Jane et vous agent Lisbon? interrogea-t-elle, curieuse.
- Que… quoi? Répondit Lisbon, surprise par la question.
- Je vois bien qu’il ne vous est pas indifférent. Je me demandais s’il n’y avait pas quelque chose entre vous.
- Non… non il n’y a rien, mais qui a-t-il entre Mac et vous? Demanda à son tour Lisbon.
- Rien du tout, répondit la brune de New-York en baissant les yeux.
Lisbon remarqua le trouble de sa nouvelle collègue et la comprit.
Elle aussi était attirée par son collègue et elle savait ce qu’elle ressentait pour ressentir la même chose.
Alors qu’elle allait reprendre la parole, elle se fit bousculer par un homme et, en relevant les yeux, elle reconnut l’homme qui lui avait remit un paquet la veille.
Il lui sourit et se rapprocha d’elle, les yeux charmeurs et un sourire aux lèvres.
- Agent Lisbon, commença Meyer. Je suis ravie de vous revoir.
- Bonjour, répondit Lisbon, gênée par le regard de l’homme sur elle.
- Votre collègue n’est pas avec vous? Remarqua-t-il, ravie de la situation et de ne pas avoir le consultant dans les pieds.
- Il ne doit pas être loin, répondit Stella a la place de Lisbon, comprenant que l’homme la dragué sans retenue.

Lisbon sourit à Stella pour la remercier et la brune le lui rendit. Mais cela ne gêna nullement Meyer qui se rapprocha encore des deux jeunes femmes, sans toutefois faire attention aux dire de la femme flic de New-York. Il n’avait d’yeux que pour la californienne.
Mais alors qu’il se rapprochait de trop, une moto noire sans plaque d’immatriculation avec le conducteur vêtu de noir, arrive dans un crissement de pneu et des coups de feu résonnèrent dans le silence de ce début de journée.
Mac et Jane étaient dans le hall de l’immeuble à la recherche de Lisbon lorsqu’ils entendirent des coups de feu.
Affolés, les deux hommes se précipitèrent dehors à toute vitesse pour voir un homme vêtu de noir s’enfuir sur une moto sans plaques.
Jane chercha des yeux sa collègue et la vit. Une lueur paniquée refléta dans ses yeux couleur océan et il hurla en précipitant vers elle qui était couchée sur le sol.
- LISBON!!!

TBC...