Last fight for a new life [Finish] ^

De rien

Ton compliment me fait rougir

d'accord, je dérougis alors

Lol

Supers chapitre, vivement la suite !!!!!

AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH

Je ne peux pas atteeeeeeendre !!

Encore un excellent chapitre !

EXCELLENT

Je veux la suite, j'suis une accro à tes fics!!!!!

Wouaou quel chapitre j'avoue que tu m'as fait peur avec les coups de feu et le corps feminin sur le sol
Trop bien ce chapitre, vraiment et j'ai hate de decouvrir la suite

Super suite
Contente qu'il n'y ait pas eu de blessés
Trop choux Mac et Jane qui s'inquiètent pour leur partenaire

Hâte de lire la suite :bounce:

On passe par beaucoup d'émotions dans ta fic mais que c'est pour la bonne cause!!!!

j'ai pas déscotchée de mon écran jusqu'au point final!!!

Bravo JA

Après la peur le réconfort
Toujours aussi prenant, les couples se rapprochent, l'enquête progresse...Je retrouve avec plaisir l'expression favorite de Dany
Vivement la suite :bounce: :bounce:

Ouf de soulagement que personne ne soit blessé.

Hâte de lire la suite!

Je vient de rattraper tout mon retard et je n'ai qu'une chose à dire : Respect !!
Quel suspens J'adooore !!!
Mais je doit avouer que tu m'as foutue les chocottes avec cette fusillade !! Heureusement que tous le monde va bien ... en espérant que ça dure xD

Jane Jaloux c'est trop Chou

VLS VLS

Moi aussi tu m'as fait peur avec cette histoire de fusillade
Mais je suis contente que ni Stella ni Lisbon soit blessées
Parcontre ce Meyer je le sens pas non
T'as raison de t'en méfié Jane
ON-NE-TOUCHE-PAS-A-LISBON
Bref un super chapitre

VLS

Merci beaucoup Aphraël

~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~

Voici la suite...

Je vous livre qu'y a un moment où c'est sadique (je ne dis rien mais vous allez comprendre )
Merci infiniment une fois de plus Sweety pour la correction

Pour le prochain chapitre, ce sera un peu plus sur les ships qui je pense fortement que ça va vous plaire dont je posterai très, très vite.

Bonne Lecture _________________________________________________________________

Chapitre 13 :

- Tu crois qu’il est mêlé à John Le Rouge ? Demanda le grand costaud.
- Plutôt que je suis presque sûr qu’il est mêlé à John Le Rouge. Répondit-il sûr de lui.
- Ok vieux, je m’en charge, je t’appelle dès que j’ai quelque chose. Soupira Wayne.
- Merci. Soupira Jane de soulagement.
Les deux hommes raccrochèrent, Jane observa attentivement Lisbon qui commençait à se sentir un peu mieux en la voyant boire son café avec délicatesse mais il remarqua curieusement et avec intrigue que quelque chose clochait chez elle. Pour en avoir le cœur net ainsi que pour veiller sur elle, Jane partit la rejoindre…

De son côté, Lisbon but une gorgée de café qui avait fini par refroidir ; elle avala d’un trait sa gorgée de café froid en faisant la grimace d’un air dégoutté et écœuré puis repoussa le gobelet loin d’elle.
Soudain, Teresa aperçut en jetant un bref coup d’œil, son consultant s’installer juste à côté d’elle. Elle fut mal à l’aise qu’il soit aussi près d’elle.
- Ca va ? Demanda Jane d’un air inquiet.
- A part un café chaud qui a finit en jus de chaussettes, je vais bien. Mentit-elle à moitié sans le regarder.
Mais Jane savait bien qu’elle mentait, il pouvait lire en elle comme un livre ouvert avec les pages qui s’écrivaient et tournaient. Le consultant se doutait que quelque chose la rendait triste et irritable.
Pour lui prouver sa présence et son soutien, il lui prit la main et la serra fort dans les siennes en lui disant qu’il était là. Celle-ci fut surprise par son geste, ce signe de réconfort, de soutien et de présence pour l’un et pour l’autre alors qu’il n’avait jamais fait ça auparavant.
- Lisbon, commença Jane ; ce n’est pas la peine de me cacher des choses, vous savez que vous pouvez tout me confier. Et je vois bien qu’il y a quelque chose qui vous dérange et qui vous rende triste.
- La seule chose qui me dérange, c’est vous à longueur de temps et je ne suis pas triste, je veux seulement que vous me fichiez la paix. Lança-t-elle en lui faisant face.
- Refouler votre colère ne résoudra rien et vous le savez, Lisbon. Dit-il d’une voix douce ; mais si vous ne voulez pas me parler de ce qui vous tracasse, ce n’est pas grave, j’attendrai jusqu’à ce que vous trouviez le courage de me le dire et je vous écouterez. Promit-il.
Un silence s’installa, Lisbon plongea son regard dans celui de Jane couleur océan. Elle fut surprit par ces mots tellement sincères et attentionnés qu’elle pouvait croire qu’il était sincère et attentif comme aucune autre personne ne l’était avec elle. Teresa baissa les yeux dans un soupir sous l’œil de Patrick qui comprit qu’elle allait parler donc il se prépara avec la plus grande attention.
- Oui, d’accord, commença-t-elle ; oui, vous avez raison. Je suis triste et en colère. Avoua-t-elle.
- Pourquoi ? Demanda-t-il.
- J’ai perdu mon collier. Répondit-elle en indiquant son cou.
Le consultant aperçut que c’était vrai, le cou de sa patronne ne portait aucune trace du collier en or avec une croix. Patrick savait que Teresa portait toujours ce bijou autour du cou et qu’elle ne le quittait jamais mais il ignorait en même temps pourquoi mais se doutait que c’était quelque chose qui avait de l’importance et qui était précieux aux yeux de la jeune femme.
- Soit je l’ai perdu soit on… on me l’a volé. Dit-elle avec tristesse.
- Il a de l’importance pour vous ? Demanda son consultant.
- Ca venait de ma mère. Lui répondit-elle.
- Excusez-moi, Lisbon, je ne voulais pas… Commença-t-il confus.
- Non, ce n’est rien. Le rassura-t-elle dans un sourire triste.
Jane ne répondit rien et se contenta d’écouter Lisbon.
- 2 jours avant sa mort, je, commença-t-elle ; je suis allée fouiller dans les tiroirs de sa commode afin de trouver un bijou pour aller une fête d’anniversaire d’une amie qui était ma voisine à l’époque… Ma mère m’a surprise mais elle a pris ma fouille avec un grand sourire. Dit-elle en souriant étant au bord des larmes.
Patrick sourit en imaginant le genre d’adolescente était sa patronne ; malgré son côté très garçon manqué, elle voulait laisser parler son petit brin de jeune fille, ce qui l’attirait particulièrement chez elle.
- Je voulais lui expliquer la raison et m’excuser, reprit-elle ; mais elle ne m’avait pas laissé le temps. Je l’ai vu enlever de son cou son collier en or avec la croix qu’elle ne quittait jamais, me le mettre autour de mon cou alors que j’étais prête à refuser mais elle…
Elle marqua une pause en commençant à verser une larme, elle l’essuya alors que Jane serrait encore plus sa main entre les siennes lui disant de prendre son temps et qu’il était là. Elle inspira et expira avant de reprendre la parole.
- … Elle m’a regardé dans les yeux et m’a dit qu’elle savait que j’adorais ce collier, qu’il appartenait à ma grand-mère et que c’était un porte-bonheur. Elle voulait me le remettre quand je serais majeure mais elle a voulut me le donner tout de suite car elle savait que j’avais toute la maturité que peut avoir une fille adulte.
- Et je trouve qu’elle avait raison. Confirma Jane dans un sourire.
Lisbon baissa son regard dans un sourire en sentant ses joues rougir légèrement en entendant ce qu’il venait de dire.
- Puis elle m’a dit qu’elle, reprit-elle à deux doigts de pleurer ; qu’elle était plus que jamais fière de moi, m’a demandé d’en prendre soin et m’a qu’elle m’aimait.

N’arrivant plus à se retenir, Lisbon pleura toutes les larmes de son corps sous le regard triste et confus de Jane qui n’arrivait pas à trouver les mots justes pour la consoler. Alors, le beau blondinet prit la belle brunette dans ses bras et la serra contre lui ; la jeune femme se laissa faire en se blottissant contre son torse et fondit en larmes.
Elle se sentait bien dans ses bras, en sécurité, protégée par ses bras musclés et ses larmes cessèrent petit à petit.
Patrick n’avait jamais vu sa patronne tellement fragile, vulnérable et désespérée qu’il ne savait pas comment s’y prendre pour la réconforter, lui remonter le moral, lui redonner le sourire, mais lui offrir son épaule pour pleurer était la seule solution.
Enfin, Lisbon s’éloigna de son étreinte et Jane la libéra, tous deux le firent à contrecœur alors qu’ils se sentaient tellement apaisés et bien l’un contre l’autre.
- Ca va mieux ? Demanda Jane.
- Un peu, oui. Merci. Répondit-elle en baissant son regard et en reniflant.
- Lisbon.
Jane mit son pouce et son index sous le menton de la jeune femme pour lui relever la tête afin de croiser son regard.
- On va retrouver votre collier, je vous le promets. Promit-il.
- Jane, un collier comme j’ai ne se trouve pas au coin de la rue comme par magie. Dit-elle.
- Je le sais mais il faut que vous croyez Lisbon, on retrouvera votre collier. Promit-il.
Elle lui répondit par un simple sourire en voyant qu’il était sincère.

Mais la belle brunette fut tellement troublée par le regard océan de son partenaire qu’elle en eu le souffle coupé.
Patrick fut si hypnotisé par le regard émeraude de sa partenaire qu’il n’arrivait plus à dire le moindre mot pour décrire ses yeux tellement magnifiques.
Leurs visages n’étaient plus qu’à quelques centimètres de l’un et de l’autre, ils n’avaient jamais été aussi proches jusqu’à maintenant. Jane chercha dans le regard de Lisbon la moindre protestation ou autre pour l’empêcher à aller plus loin mais rien, il se rendit compte qu’il allait l’embrasser, ses sentiments pour elle étaient si fort qu’il arrivait à peine à les contrôler.
Allaient-ils vraiment franchir le pas ? Si oui, que se passerait-il après ? Aurait-il des conséquences dans leur relation de travail ?
Oui, il y aura des conséquences dans leur relation de boulot, ils n’arriveront pas à se regarder en face ou encore travailler main dans la main comme autrefois. Sans y penser et sans y réfléchir, ils allaient le faire.

Mais alors que les lèvres de Patrick allaient toucher celles de Teresa, ils s’éloignèrent l’un de l’autre, mal à l’aise quand ils furent interrompus par Mac qui arrivait en trombe vers eux.
- Agent Lisbon, vous allez bien ? Demanda Taylor.
- … Oui. Oui, ça va je vais bien. Répondit-elle ; et comment va le Lieutenant Bonasera ?
- Elle est fatiguée mais elle va bien, elle se repose chez elle. Répondit le scientifique.
- Vous devriez aller la voir et lui dire ce que vous ressentez. Intervint Jane en fixant Mac des yeux.

La californienne et le new-yorkais le regardèrent d’un air surprit et interrogateur.
- Qu’insinuez-vous par là monsieur Jane ? Demanda Taylor.
- Je dis simplement que vous devriez avouer vos sentiments pour le Lieutenant Bonasera et ne niez pas, ça grève les yeux que vous êtes amoureux d’elle. Allez-y foncez ! Lui répondit-il avec insistance.
Taylor baissa la tête en souriant étant assez mal à l’aise et surprit par la perspicacité de Jane ayant deviné ce qu’il ressentait pour Stella et il avait raison.
Lisbon allait protester en même temps que Mac allait dire quelque chose mais au même moment, Danny arriva dans la salle et s’avança vers eux avec ses mains enfouies dans des gants en caoutchouc ainsi qu’un sachet de pièces à conviction avec des balles à l’intérieur et un dossier.
- Mac ! Pardon pour cette intrusion mais il fallait que vous voyez ça. S’exprima Danny.
- Vous avez du nouveau ? Demanda Mac aussitôt.
- Oui. Répondit-il à son supérieur avant de se tourner vers Lisbon et Jane ; mais il faut que vous ayez le cœur bien accroché. Prêt ?
Le couple californien se dévisagea avec un air interrogateur en cherchant à comprendre ce que Messer cherchait à leur dire puis ils se tournèrent vers lui.
Danny sortit les balles du sachet, les éparpilla sur la table sous l’œil curieux de Mac, Patrick et Teresa. Messer tourna les balles dans le même sens en face d’eux.
- Vous pouvez dire ce qu’elles ont ces balles ? Demanda Lisbon.
- Quand j’ai voulu les identifier, j’ai remarqué une gravure sur chacune des balles. Celui qui a tiré sur vous et sur Stella a gravé des lettres sur chaque balle. Dit Danny.
Tout le monde se regarda sauf Jane qui resta immobile ayant le regard réfléchit et dans le vide.
- J’ai cherché et composé un nom différent à chaque fois jusqu’à ce que le trouve et que je le photographie pour que vous le voyiez plus clair. Dit Danny.
Le jeune scientifique sortit une photo du dossier et la tendit à Mac qui ne réagissait pas mais qui s’inquiétait de la tournure que venait de prendre cette affaire. Lisbon resta l’observer jusqu’à ce qu’elle intervint avec inquiétude et angoisse.
- Qu’est-ce qui est écrit ? Demanda-t-elle.
Mac la regarda en fronçant les sourcils et lui montra le cliché des lettres ordonnées gravées sur les balles. Teresa avait le souffle coupé et était angoissée de lire ce qui était écrit dessus.


- On dirait qu’il vous en veut. Remarqua Danny en croisant les bras contre sa poitrine.
- C’est un message, un avertissement. Intervint Jane le regard dans le vide ; ça veut dire que c’est John Le Rouge qui vous a tiré dessus et il me dit que vous êtes son joujou, son objet. C’est un peu sa façon à lui de vous dire qu’il vous aime. Ajouta-t-il en se tournant vers Lisbon.
- Mais enfin c’est n’importe quoi ! Rétorqua-t-elle ; je n’appartiens à personne et je trouve qu’il essaye de me dire que je dois me retirer de l’affaire.
- Vous avez peut-être raison mais ce que vient de dire Monsieur Jane n’est peut-être faux et on ne recule aucune autre hypothèse pour l’instant. Intervint Mac
Soudain, un coursier âgé d’une vingtaine d’années au look délabré et décontracté qui lui allait bien, cheveux noirs courts cachés sous son casque de scooter et les yeux verts se racla la gorge et tous les yeux se rivèrent vers lui.
- Excusez-moi, j’ai un paquet pour l’agent Teresa Lisbon. Annonça-t-il.
- Oui, c’est moi. Se désigna-t-elle en se levant de sa chaise.
Elle se dirigea vers lui et lui prit le paquet des mains.
- Bonne journée. Dit-il avant de s’éloigner d’elle.
- Merci. Le remercia-t-elle en fixant curieusement le paquet.
Le paquet avait la longueur d’une boîte à chaussures qui enfermeraient des bottes décoré d’un ruban rouge avec un nœud sur le couvercle du paquet. Jane se leva et s’avança vers la jeune femme et se pencha vers son oreille.
- Dites donc, vous cachez bien votre jeu, vous faites tomber plus d’un new-yorkais depuis à peine 2 jours. Murmura-t-il d’une voix espiègle.
- Oh ! Ca va vous ! Lui dit-elle agacée.
La jeune femme regarda Mac et Danny se retenant de sourire, elle leva les yeux au ciel et s’apprêta à ouvrir le paquet. Mais lorsque Teresa l’ouvrit, elle le lâcha dans un cri de terreur et de surprise en découvrant ce qu’il y avait à l’intérieur, si bien que le cadeau tomba sur le sol en montrant aux hommes ce qu’il contenait alors que Patrick la soutenait en mettant ses mains sur ses épaules.
Sur un lit vert en aluminium, une douzaine de roses noires avec un souris morte, le collier de la jeune femme couvert de sang et un papier plié en deux tâchés de sang.
Taylor enfila des gants en caoutchouc en se mettant accroupie sur le paquet, saisit le papier qui l’intriguait, se releva, déplia le papier et son regard se figea pendant un instant jusqu’à ce qu’il croise le regard encore secoué mais interrogatif de Lisbon et celui inquiet et interrogatif de Jane.
Le scientifique leur montra la feuille et les deux californiens eurent le souffle coupé en découvrant ce qui était écrit dessus.
- L’ordure ! S’exprima-t-il dans une rage dans sa voix.

trop bien ce chapitre ma JA mais ca tu le savais deja, je te le dis souvent, je trouve plus quoi dire a force
j'ai vraiment hate de savoir la suite meme si je la connais deja, c'etait juste histoire de dire quelque chose

Ouah c'était génial

Le moment où Jane serre Lisbon dans ces bras et qu'ils sont à 2 doigts de s'embrasser, j'étais

Et la phrase de Jane à Taylor, trop bien!

Par contre la fin, arghhhhh c'est horrible

Hâte de savoir la suite! VLS

Super suite avec tout ce qu'il faut pour qu'on l'aime.

Bravo JA

Merci beaucoup Sweety, Alamanga & Teninches

Oui Sweety, je le savais déjà et je te remercie encore oui, tu connais la suite mais ça reste entre nous

P.S: J'espère que tu ne m'as pas oublié au sujet des chapitres que je t'ai envoyé mais si tu es en difficulté voir si tu n'as pas le temps, ce n'est pas grave, tu me les renvoies et je m'en occuperais.

De rien

Le Jane, il ferait mieux de s'appliquer ses propres conseils !!
Très bon chapitre cela dit ! ça suintait le cadeau de RJ à plein nez par contre ...