Last fight for a new life [Finish] ^

NON MAIS SA VA PAS DE T'ARRETER MAINTETANT !!!!!!

T'es trop sadique

Coucou tout le monde !!

Voici la suite...

Voilà la suite des évènements dont vous vouliez tant savoir et connaître
C'est bientôt la fin... Ben oui, toutes les bonnes choses ont une fin

Merci encore Sweety pour la correction

Exceptionnellement, je vous livrerais le Chapitre 20 Samedi et l'Epilogue Dimanche pour votre plus grand plaisir puis aussi, une petite surprise qui vous attend mais vous le serez que Dimanche

En attendant... Bonne Lecture
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Chapitre 19 :

…Jane résista malgré qu’il ne fût pas très costaud, mais lorsqu’il croisa le regard émeraude de sa partenaire, il redevint plus fort et cet instant-là, il sentit au plus profond de lui qu’il avait fait son choix.
Le mentaliste lui donna un coup entre les jambes et le poussa violemment. Patrick se précipita vers sa partenaire en s’agenouillant en face d’elle pour la libérer et John Le Rouge en profita pour saisir son arme en se relevant et le pointant vers Jane sous les yeux écarquillés de Lisbon qui tenta de le prévenir.

Patrick suivit le regard de Teresa en tournant la tête, puis tout à coup, en une fraction de seconde, des coups de feu retentirent…

PAN… PAN… PAN… PAN…

Soudain, alors les coups de feu cessaient, sans savoir ni se douter de ce qu’il venait de se produire, Jane et Lisbon restèrent scotchés et stoïques en voyant la scène qui avait défilé sous leurs yeux : Le lieutenant Mac Taylor et son équipe apparurent dans la pièce après avoir tiré sur John Le Rouge qui était maintenant allongé sur le sol, le regard dans le vide et le corps impactés de balles, couvert de sang. C’était finit. John Le Rouge était bel et bien mort.
Patrick vit Mac ranger son arme, s’avancer vers le corps du meurtrier de sa femme et de son enfant, s’accroupir à côté de lui et retirer sa cagoule. Le vrai visage de John Le Rouge apparu enfin, il était brun aux cheveux raides avec le regard ténébreux mais glacial et avait des rides marqués – c’était un vieil homme – mais personne ne le connaissait. Qu’est-ce qui lui avait pris de faire autant de mal ? Et pourquoi et dans quel but ?
Personne ne pouvait connaître la réponse mais… Bon débarras. Mac et Patrick se dévisagèrent pendant un instant avec un mélange de colère, de confusion et de soulagement. Le consultant se tourna vers sa patronne tremblante de froid et en larmes.
- Attendez Lisbon, je vais vous détacher. C’est finit maintenant. La rassura Jane.
Il la détacha et retira le scotch de sa bouche puis sans réfléchir, Lisbon se laissa tomber dans les bras de son consultant en fondant en larmes, grelotant encore de froid et de peur.
- Jane… Dit Lisbon en sanglots d’une voix étranglée en claquant des dents.
- Chut… Tout va bien chut… C’est finit Lisbon, je suis là maintenant, je suis là. La rassura son consultant.
Elle continua d’éclater en sanglots tandis que Patrick retira sa veste et la mit sur les épaules de sa partenaire.
- Venez, on sort d’ici ; accrochez-vous à moi. Souffla-t-il.
La jeune femme s’exécuta, enroula ses bras autour de son cou en posant sa tête au creux de son épaule, il glissa ses bras dans son dos et sous ses genoux, souleva Teresa du lit et la porta pendant que Mac et son équipe les guidaient vers la sortie.

Une fois, sorties de ce calvaire, une ambulance était déjà sur place, Patrick déposa Teresa sur la civière où des ambulanciers s’occupèrent d’elle sous les yeux océan inquiets et attentifs du mentaliste. Les ambulanciers emmenèrent Lisbon à l’intérieur de l’ambulance suivit de son consultant qui se fichait de l’avis des ambulanciers à savoir s’il pouvait accompagner son amie ou pas, il tenait à être avec elle.
Jane ne lâcha pas la main de Lisbon et ne la décrocha pas du regard tout le long du trajet jusqu’à Bellevue Hôpital. Une meute de médecins et d’infirmières se précipitèrent vers la jeune femme mais le mentaliste était incapable de lâcher sa main jusqu’à ce qu’une infirmière posa sa main sur l’épaule du beau blond, ce qui guida celui-ci à se tourner vers elle.
- Je suis vraiment désolée monsieur mais vous ne pouvez pas entrer. S’excusa-t-elle d’un air confus.
Jane hocha la tête, se tourna vers Lisbon en la regardant d’un air protecteur et inquiet puis lui caressa tendrement les cheveux et le front. Il se pencha vers elle et déposa un doux baiser sur son front.
- Ne me laissez pas Lisbon, j’ai trop besoin de vous. Murmura-t-il.
Le consultant se tourna vers la meute du personnel médical, leur fit un signe de la tête pour l’emmener puis ils s’exécutèrent alors que Jane lâchait à contrecœur la main de sa demoiselle en détresse avant qu’elle ne disparaisse derrière les portes sous son regard inquiet.

Il regarda les portes durant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’il finit par détourner son regard en passant sa main sur visage jusque dans ses cheveux puis, il s’assit sur la première chaise présente.
Ses coudes appuyés sur ses genoux et la tête entre ses mains, il repensa à ce qu’il s’était passé il y a à peine quelques minutes ; il avait laissé tomber son désir de vengeance de tuer John Le Rouge et de le faire souffrir comme il avait fait à sa femme et à son enfant pour sauver la vie de Teresa Lisbon, la jeune femme à qui il tenait tant, avec qui il pouvait partager ses angoisses, ses joies, ses peines, ses sentiments, ses impressions… tout et avec qui il avait tissé des liens très fort.
Mais tout à coup, il renifla et une larme roula le long de sa joue. Pourquoi avoir abandonné son objectif depuis des années ? Pourquoi avoir plutôt sauvé la vie de Lisbon ? Pourquoi avoir fait ce choix ?
Il ne savait pas s’il avait fait le bon choix. Et s’il avait des regrets? Mais Patrick savait une chose : c’était que tout ce qu’il s’était passé et l’enfer qu’avait vécu Teresa était de sa faute. Il se sentait tellement coupable qu’il se leva de sa chaise puis s’enfuit de l’hôpital.

* * * * * * * * * * * * *

Six jours plus tard, dans son bureau, Mac Taylor rangeait les dossiers John Le Rouge dans les cartons pour les rendre au Bureau Californien d’Investigation de Sacramento avec l’aide de sa partenaire et compagne Stella Bonasera.
Ils s’échangèrent de petits regards attendrissants et légers sourires pendant un long moment jusqu’à ce que Mac se racle la gorge en rompant le silence.
- Tu as quelque chose de prévu ce soir ? Demanda Mac timidement.
- Pas spécialement. Lui répondit Stella d’un air réfléchit; pourquoi ?
- Je voulais t’inviter à dîner, enfin… si t’es d’accord. Dit-il d’un air gêné.
Stella se mordit la lèvre inférieure dans un sourire espiègle et déposa un tendre baiser sur les lèvres de son homme.
- Avec plaisir de plus je meurs de faim. Murmura-t-elle dans un sourire en nouant ses bras autour de son cou.
- Pour ça, je connais un bon restaurant dont tu m’en diras des nouvelles. Lui dit-il en enlaçant ses bras autour de sa taille.
- J’ai hâte de voir ça. Ajouta Stella.
Ils se sourirent et elle l’embrassa tendrement et il le lui rendit en approfondissant le baiser qui devint langoureux mais aussitôt, leur moment d’intimité s’interrompit lorsque quelqu’un se racla la gorge en les ramenant à la réalité.
Le couple se tourna vers la porte mal à l’aise et vit Teresa Lisbon qui baissait son regard d’un air confus et embarrassé en se retenant de rire derrière son sourire. Les amants se regardèrent embarrassés et déçus, Stella haussa les épaules.
- On se voit plus tard. Chuchota-t-elle.
- A tout à l’heure. Chuchota Mac.

Ils échangèrent un dernier regard, un dernier sourire et un dernier baiser. Stella s’éloigna de lui, sortie de la pièce en saluant par un sourire suivit d’un hochement de tête Teresa qui lui rendit son salut avant de se tourner vers Mac qui la dévisageait.
- Pardon si je vous ai dérangé… S’excusa Teresa confuse en s’avançant vers lui.
- Ce n’est pas grave ne vous inquiétez pas. Lui rassura Taylor ; comment vous sentez-vous agent Lisbon ?
- Je vais bien, merci. Lui répondit-elle poliment ; je voulais vous remercier… vous et votre équipe pour votre aide. Remercia-t-elle en lui serrant la main.
- Je vous en prie, c’était un plaisir de collaborer avec vous. Dit-il avec modestie en lui serrant la main.
Elle sourit en baissant son regard et lui refit face d’un air confus.
- Et je tenais à vous présenter les excuses de Jane de vous avoir devancé. S’excusa-t-elle.
Il sourit en secouant la tête.
- Ce n’est rien, vous en faites pas. Lui rassura-t-il ; c’est vraiment quelqu’un de bien qui a un bon tempérament et d’excellentes qualités. Ajouta-t-il avec sincérité.
- C’est vrai. Souffla Lisbon dans un sourire timide ; en parlant de Jane, vous ne savez pas où il est ? Demanda-t-elle d’un air inquiet ; j’ai essayé de l’appeler sur son portable et à l’hôtel mais il ne me répond pas.
- Non, je suis navré, je l’ignore. S’excusa-t-il sincère et embêté pour elle.
Lisbon fit un regard déçu, inquiet et triste en entendant la réponse de Taylor et du fait de ne pas avoir eu de nouvelles de son consultant depuis presque une semaine – c’est à-dire depuis qu’il lui avait sauvé la vie – mais elle comprenait que Mac soit désolé pour elle, elle ne lui en voulait pas.
- Merci. Souffla-t-elle à voix basse et déçue.
Elle s’apprêta à tourner les talons mais le supérieur de la police scientifique new-yorkaise la retint.
- Agent Lisbon.
- Hum… Marmonna Lisbon en se tournant vers lui.
- Je pense que si Monsieur Jane ne vous a pas contacté depuis qu’il vous a sauvé la vie, c’est parce qu’il se sent coupable de tout ce qu’il vous ait arrivé. Lui expliqua Mac en la regardant les yeux d’un air sincère.

« Se sent coupable de tout ce qui lui ait arrivé ? » Teresa trotta cette phrase dans sa tête jusqu’à ce qu’elle fit les yeux ronds avec son visage qui se décomposa.
Elle venait de comprendre que Patrick pensait que c’était de sa faute car il avait faillit la perdre, perdre quelqu’un qui lui est cher au cœur, la perdre comme il avait perdu sa femme et sa fille. Elle comprenait qu’il s’en voulait d’avoir perdu voir abandonné sa famille par arrogance, par bêtise mais perdre elle ? Sa patronne ? Elle n’avait pas pu se douter un instant que Jane la considérait comme quelqu’un d’important à ses yeux et qu’il ne supporterait de perdre à nouveau quelqu’un qu’il aimait.
Etait-ce ça la vérité ? La clé du problème ? Que Jane avait laissé tomber sa soif de vengeance parce qu’il avait des sentiments pour elle ? Ou qu’il ne savait plus s’il avait fait ou non le bon choix ?
Il fallait à tout prix qu’elle ait des réponses à ses questions. Il fallait qu’elle le retrouve pour lui parler. Mais l’ennui était qu’elle ne savait pas où il pouvait être.

Mac la dévisagea comme s’il cherchait à lire dans ses pensées en se demandant où pouvait bien être son consultant mais tout à coup, elle lui fit face en le dévisageant à son tour.
- Je crois savoir où il se trouve. Dit-elle en sortant précipitamment la pièce.
Elle sortit du bureau en courant sous les yeux amusés et le sourire enjoué de Mac…

A Central Park, assis sur la pelouse près du lac, Patrick Jane profitait du soleil new yorkais pour se détendre et regarda autour de lui.
Des familles ou quelques couples d’amoureux réunis autour d’un pique-nique, des enfants jouant au football, des parents qui apprenaient à leurs enfants comment donner à manger aux écureuils, aux oiseaux ou aux canards.
Il sourit en voyant couples, familles, enfants et parents heureux de se trouver ensemble, de partager et de savourer des moments pareils qui resteront gravés dans leur mémoire ainsi que dans leur cœur.
Il fit un sourire heureux pour eux mais à la fois triste et crispé lorsqu’il fixa l’anneau doré qui avait prit possession de son annulaire gauche pendant des années et qu’il tenait aujourd’hui entre ses doigts.
Durant ces derniers jours, il avait réfléchit à ce qu’il allait faire après l’affaire John Le Rouge, puis il ne cessait de penser à Lisbon, à se poser des questions sur ses sentiments pour elle qu’il avait finit par accepter et de lui ouvrir son cœur.
Allait-il rester travailler au CBI ou quitter définitivement l’unité ? Comment allait réagir Lisbon quand il lui avouera ses sentiments pour elle ? Quelle en était de sa décision ?
Jane se leva, regarda encore une dernière fois son alliance, l’embrassa et l’envoya en l’air et l’anneau disparut au fond du lac de Central Park. Il regarda le ciel en soupirant dans un sourire de soulagement ; il avait réussit à se libérer de son passé.

Il se mit à marcher à toute vitesse lorsqu’il s’arrêta net. Son cœur battait la chamade voir accélérait le rythme en croisant le regard émeraude étincelant de sa patronne, son amie, sa confidente, la femme de sa vie, Teresa qui s’avançait vers lui jusqu’à ce qu’elle s’arrête à quelques centimètres de lui.
- Salut ! Salua-t-elle timidement.
- Salut ! Salua-t-il à son tour tout chamboulé.
- Je me doutais que je vous trouverais là. Dit Lisbon.
- Vous voulez savoir pourquoi je n’ai pas décroché le téléphone, n’est-ce pas? Suggéra Jane.
- Oui, pourquoi ? Demanda-t-elle.
Ils se regardèrent droit dans les yeux mais Jane baissa son regard en passant sa main dans ses cheveux. Le mentaliste n’arrivait plus à la regarder tant il ne savait pas par où commencer, ni comment s’y prendre pour lui dire ce qu’il avait sur le cœur. Mais il prit son courage à deux mains en reprenant son souffle et plongea son regard océan dans le celui de sa dulcinée.
- Je ne vous ai pas répondu parce que je me doutais que vous m’en vouliez pour ce qui s’est passé et je… je me sentais coupable de ce qui vous ait arrivé car j’ai failli vous perdre comme j’ai perdu ma femme et mon enfant. Expliqua-t-il d’un air triste.
- Non, Jane, ce n’est pas de votre faute. Lui rassura-t-elle d’une voix apaisée ; vous m’avez sauvé la vie et je…
- S’il vous plaît Lisbon, laissez-moi m’expliquer, c’est important ce que j’ai à vous dire. L’interrompit-il.
Elle ne protesta pas voyant bien que c’était pour lui de ce qu’il y avait de plus important, comme s’il voulait parler avec son cœur.
- Depuis la première fois que je vous ai rencontré, j’ai toujours su que je ressentais quelque chose pour vous ; reprit-il, mais je le niais car j’étais aveuglé par mon désir de vengeance… Mais plus on passait du temps ensemble plus je sentais que mes sentiments grandissaient… Depuis le premier jour, je m’étais juré sur ma vie que je serai prêt à tout, jusqu’à sacrifier ma vie pour vous quoi qu’il puisse arriver car je n’arriverais pas à continuer ma vie sans vous Lisbon… Aujourd’hui, je suis conscient que je suis amoureux… Amoureux d’une femme incroyable, merveilleuse, extraordinaire déjà telle qu’elle est vraiment.
Elle resta immobile à l’écouter attentivement en dévorant chacun de ses mots, a tel point que des larmes menacèrent de couler quand il parla d’elle ainsi.
Une vague de frisson envahit son corps, la troublant, et ses joues virèrent au rouge lorsque Patrick prit son visage entre ses mains comme s’il prenait quelque chose de fragile, rangeant ses cheveux bruns derrière ses oreilles, de précieux et plongea son regard dans le sien.
- Je t’aime Teresa Lisbon. Reprit-il dans un murmure ; je t’aime du plus profond de mon cœur… Je n’en ai rien à cirer du règlement et du CBI et je ne dis pas ça parce que t’as failli mourir ou pour profiter de toi… Je n’oserais jamais te faire ça car je t’aime plus que tout au monde Teresa.

Lisbon ne savait plus trop quoi répondre face à une aussi surprenante, belle et émouvante déclaration venant d’un homme, surtout venant de Jane et des larmes roulèrent le long de ses joues, que son consultant les chassa tout en les caressant avec ces pouces. Sans réfléchir et en oubliant les règles qu’elle s’était fixé à l’égard de son consultant, elle prit son visage entre ses mains, se mit sur la pointe des pieds et déposa un tendre baiser sur ses lèvres.
Patrick mit une main autour de sa taille et une autre dans sa nuque pour lui rendre son baiser et l’approfondir dans un soupir d’aise tandis qu’elle se plaquait contre son torse en nouant ses bras autour de son cou.
Ils entrouvrirent leurs bouches et leurs langues se frôlèrent, se rencontrèrent et ce contact les électrisa et les troubla ; les mains de Jane caressèrent les hanches de Lisbon qui lui caressa son visage et ses cheveux. Ils rompirent leur baiser afin de reprendre leurs souffles restant dans les bras l’un de l’autre, front contre front, les yeux dans les yeux.

Teresa déposa un tendre baiser sur les lèvres de Patrick alors que de nouvelles larmes ruisselaient sur son visage.
- Je t’aime aussi Patrick Jane. Renifla-t-elle dans un souffle ; je t’ai toujours aimé et je n’ai jamais cessé de t’aimer depuis tout ce temps.
Il lui sourit en la regardant dans les yeux et l’embrassa tendrement.

Ils s’embrassèrent en restant dans les bras l’un de l’autre en exprimant tout leur amour l’un et pour l’autre depuis des années sur le sol et sous le soleil de New-York. Voici une nouvelle vie et un nouveau départ à deux qui leur ouvraient enfin les bras.

TBC...

suspens jusqu'au bout mais magnifique chapitre et c'etait si beau les retrouvailles Lisbon qui dit l'aimer depuis toujours et qui ne cessera jamais
trop hate de lire la suite

j'avais raison pour Mac
Mais c'est tout et tout
Une peu d'amour dans ce monde de brutes ça fait du bien.
Vivement la suite

Merci infiniment Sweety & Johel

Oui, Johel, t'avais raison mais tu n'étais pas la seule à l'avoir suspecté. Vous êtes mentalistes les filles

Des retrouvailles comme ça dans la série, ce serait vraiment du pur bonheur malgré que ce soit trop demander mais bon, gardons espoir

Trop belle suite, j'ai adoré

Merci JA

Superbe chapitre, plein de tendresse et d'amour
Magnifique la déclaration de Jane

Hâte d'être à ce week-end pour lire la suite :bounce:
Même si ça signifie que c'est la fin

j'ai suivi ta fic depuis le debut tu es bourre de talent tu sais doser le suspense au bon moment les moments ships j'adoore zet les emotions que tu arrive a transcrire aux personnages je te dis bravo et hate d'avoir cette suite sadique en tous cas j'espere cest rj qui est mort

oups je me suis tromper jai ecris pour le chapitre precedent desolee

les retrouvailles j'adore vive la suite

Edit MissTeresa : Edite ton message au lieu d'en créer un nouveau quand il y a moins d'une heure entre les deux

Merci Teninches, MissTeresa & Janeandteresa

Je ne sais plus où me mettre tellement vos commentaires font super plaisir

De rien JA, c'est mérité

Super la fic tourne telle qu'on peut le rêver
Vivement samedi !!

Merciiii Jen'ny

JisbonAddict a écrit:Merciiii Jen'ny

De rien !! Je suis ta fic avec plaisir

T'es gentille

MAGNIFIQUE

j'adore j'adore j'adore!

Je suis ta fan n°1!

C'était trop beau!

Merciiiii beaucoup Alamanga
T'es la première à le dire donc oui, t'es ma fan Number One

Voici la suite... Désolée pour le double-poste

Une suite 100% Jisbon dont de nombreuses surprises vous attendent ainsi qu'un peu de sadisme pour pimenter le tout

Ce chapitre est écrit avec la collaboration exclusive et prestigieuse de Sweety
Merci ma belle

Comme promis, je vous livrerais l'Epilogue demain avec comme convenue, une jolie petite surprise pour vous les Jisbonneuses

Mais en attendant... Bonne Lecture
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Chapitre 20 :

Un an et trois mois plus tard, dans une chambre d’hôtel, Patrick Jane se regardait dans le miroir au-dessus d’une commode en réajustant la veste de son costume deux pièces bleu foncé et sa chemise blanche.
Il ferma un bouton de sa veste mais lorsqu’il mit ses mains sur les poignets du premier tiroir de la commode, son regard se dirigea vers la porte de la salle de bains pour voir si elle était toujours fermée et occupée par Teresa Lisbon, sa dulcinée, la femme qui partageait son amour, son cœur, sa vie depuis cette fameuse journée ensoleillée à Central Park, qui était en train de se faire belle – malgré le fait que pour lui, elle n’avait pas besoin de l’être encore plus car elle l’était déjà.
Jane ouvrit discrètement le tiroir, tira un vêtement d’un côté, saisit dans sa main droite un petit écrin en velours noir tandis que sa main gauche refermait doucement le tiroir. Il ouvrit l’écrin, regarda tendrement l’intérieur avec émotion et angoisse en se mordillant la lèvre inférieure dans un sourire pendant un instant d’interrogation.
Qu’est-ce que sera sa réaction face à sa proposition ? Quelle va être sa réponse ? Est ce que elle serait enfin prête pour cet engagement ?
Il n’en avait pas la moindre idée mais il portait tous ses espoirs et toutes ses chances de son côté pour rester optimiste. Soudain, il ferma l’écrin et l’enfouie dans la poche gauche de son pantalon à toute vitesse quand il entendit la porte de la salle de bains s’ouvrir tout à coup.

Son regard bleu océan s’émerveilla, hypnotisé et il resta bouche bée lorsque Teresa apparut dans son champ de vision, vêtue d’une jolie robe bustier courte en satin couleur ivoire, cintrée, taille haute façon empire marquée par une ceinture couleur bordeaux nouée sur le côté et des escarpins à talons hauts de la même couleur que sa robe. Ses cheveux bruns intensément bouclés tombaient en cascade sur ses épaules nues et sa frange balayée sur le côté laissait plus de place à son visage angélique et ses magnifiques yeux émeraudes; légèrement maquillée et portant de belles boucles d’oreilles.
Il n’arrivait pas, ne trouvait pas les mots justes pour la décrire tellement elle était… Elle était vraiment… Vraiment merveilleuse – elle l’était de plus en plus chaque jour. La belle brunette s’avança vers son homme d’un air inquiet et amusé quand elle le vit rougir mais en restant immobile sans bouger un membre.

Patrick fit un léger sursaut en même temps que son cœur fit un looping quand sa dulcinée posa sa main sur sa joue.
- Patrick, ça va ? Demanda-t-elle inquiète.
- Waouh… Souffla-t-il.
Elle sourit en fronçant les sourcils.
- Waouh quoi ? Répéta-t-elle.
- Tu as à couper le souffle. Souffla Jane d’un air envoûté.
Le sourire de Lisbon s’agrandit et ses joues prirent la couleur pivoine au compliment de Jane qui la mit mal à l’aise. Elle baissa les yeux mais elle sentit deux doigts de son compagnon sous son menton la guidant à lever les yeux vers lui. Elle s’exécuta. Leurs regards pétillants d’amour l’un et pour l’autre se croisèrent, le consultant sourit à sa muse avant de déposer un baiser doux, amoureux et tendre sur ses lèvres douces qu’elle lui rendit.
Leur baiser ne dura qu’un bref instant magique quand Patrick recula d’un pas en prenant les mains de Teresa dans les siennes et la regardant droit les yeux dans un soupir d’un air hésitant et anxieux.
- Teresa…
- Hum… Marmonna-t-elle.
- J’ai… j’ai quelque chose à te demander. Bafouilla-t-il.
- Vas-y, je t’écoute. Dit-elle attentive.
Il reprit son souffle en sentant son cœur s’accélérer fort dans sa poitrine sous les yeux interrogatifs et assez soucieux de sa partenaire alors qu’il tentait de la rassurer avec son grand regard océan et un sourire malgré tout crispé.
- Voilà… Commença-t-il en bafouillant ; j’ai… j’ai énormément réfléchit ces derniers temps que je…

Mais il n’avait pas eu le temps de terminer sa phrase qu’on frappa à la porte de leur chambre, elle s’ouvrit et le couple se tourna vers Kimball Cho qui fit son apparition au pas de la porte d’un air confus même si son visage restait neutre.
- Oh ! Excusez-moi de vous déranger mais c’est l’heure d’y aller. S’excusa-t-il.
- Oui, on arrive. Allez-y, je vous rejoins dans le hall. Prévint Lisbon.
- D’accord. Dit Cho en fermant la porte derrière lui.
- Qu’est-ce que tu voulais me dire ? Demanda la jeune femme en se tournant vers Jane.
Il secoua la tête en chassant la question d’un revers de la main assez gênant.
- Oh ! Peu importe. Dit-il dans un sourire crispé; on ferait mieux d’aller avant qu’il ne parte avant nous puis le second mariage peut attendre. On y va ?

Alors que Jane lui montrait son plus beau sourire en se mettant sur le côté, la guidant de la main de passer devant lui, Lisbon le regarda d’un air interrogateur en se posant pleins de questions au sujet des derniers mots qu’il avait prononcé « Le second mariage peut attendre ».
Le second mariage ? Quelqu’un d’autre allait se marier aussi ? Mais le mariage de qui il voulait parler ?
Elle se creusa les méninges en ne trouvant d’explication juste à son énigme sans quitter son regard. Mais en vain. Patrick posa sa main au creux des reins de Teresa sans la brusquer en la poussant en direction de la porte et ils quittèrent leur chambre avec interrogation, anxiété et impatience.

* * * * * * * * * * *

A Central Park, en plein air sous un temps ensoleillé, les premières notes de musique du groupe de Jazz dont Mac Taylor faisait parti, se firent entendre et un murmure parcourut l’assemblée. L’équipe californienne du CBI sourient de bonheur en voyant les demoiselles d’honneur ; Lindsay, Peyton et Aubrey accompagnés des témoins, Danny, Don et Sheldon ouvrirent la cérémonie en marchant jusqu’à ce qu’ils se séparent une fois devant l’autel sous les yeux pétillants du marié, Mac qui attendait l’arrivée de sa futur épouse.
Dès que Stella Bonasera apparut rayonnante en robe de mariée, l’assemblée se leva, ayant les yeux rivés sur sa beauté alors qu’elle salua par un hochement de tête et un sourire alors qu’elle n’avait d’yeux que pour Mac, son futur-mari qui la dévorait du regard.
Lorsque Stella se mit à côté de Mac en même temps que la musique s’arrêta, l’assemblée s’assit et la cérémonie commença tandis que les futurs mariés se tenaient la main et s’échangeaient un regard et un sourire complice…

Pendant la cérémonie comme pendant le dîner qui se déroula sous un léger mais sublime couché de soleil, Patrick et Teresa ne se lâchèrent pas la main comme Mac et Stella qui étaient devenus Monsieur et Madame Taylor.
Mais contrairement à la jeune mariée, Lisbon ne cessait de penser et de s’interroger sur ce qu’avait dit son compagnon puis à ce qu’il voulait tant lui dire dans leur chambre d’hôtel avant qu’on ne vienne les interrompre – enfin, à interrompre Patrick dans son élan.
Soudain, elle sursauta en sortant de ses pensées lorsqu’elle sentit la main de Jane caresser sa joue avec une note d’inquiétude dans sa voix.
- Teresa. Ma belle, ça va ? Demanda-t-il.
- Euh… Oui. Oui, ça va. Mentit-elle en souriant.
- Chérie, je vois bien que tu mens mal. Dit Jane ; qu’est-ce qui ne vas pas ?
Elle laissa sa réponse en suspension en le regardant droit dans les yeux.
- Qu’est-ce que tu voulais me dire tout à l’heure ? Demanda-t-elle.
- Comment ça ? Demanda son homme à son tour.
- Avant que Cho ne débarque, tu disais que tu voulais me dire quelque chose d’important, qu’est-ce que c’est ? Insista-t-elle.
- Tu tiens vraiment à le savoir ? Lui demanda-t-il.
Tandis qu’ils se regardaient droit dans les yeux, Lisbon hocha la tête en insistant à ce qu’il lui réponde mais il ne répondit rien alors qu’au même moment, alors l’orchestre terminait la musique, les mariés se levaient pour rejoindre le milieu de la scène pour la fameuse danse. Un grand sourire s’afficha sur les lèvres de Patrick que Teresa lui rendit sans comprendre pourquoi.
- Attends-moi là. Lui dit-il.

Il se leva de sa chaise, se pencha vers elle pour l’embrasser sur la joue et s’éloigna d’elle sous son regard hébété et déçue de le voir partir comme ça, comme un voleur sans avoir eu de réponse à sa question et sans dire où il allait. Mais, Teresa vit son homme murmurer à l’oreille des mariés qui sourirent et jetèrent un regard dans sa direction avant de se tourner vers Patrick pour lui répondre par un hochement de tête. Le consultant leur répondit par un sourire avant de monter sur scène. Un musicien fit quelques tintements de verre et une vague de chut parcourut l’assemblée. Ce fut le silence absolu et les regards étaient rivés vers Jane.

Lisbon le regarda avec attention et intrigue saisir le micro étant assez naturel et anxieux.
- Bonsoir à tous, commença Patrick dans un sourire. Pour ceux qui ne me connaissent pas, je m’appelle Patrick Jane, je suis consultant au Bureau Californien d’Investigation et je suis récemment un ami de ses jolis et jeunes mariés.
Il le dit en désignant dans un sourire et un geste galant de la main Mac et Stella.
- Je suis vraiment désolé d’interrompre une aussi belle fête mais je tenais vraiment à deux choses. Reprit-il en s’excusant ; d’abord, je voulais souhaiter à Mac et à Stella tout le bonheur du monde et… soyez heureux ensemble. Aimez-vous de plus en plus chaque jour qui passe et quelles que soient les épreuves qui vous attendent ou se mettent au travers de votre route, vous arriverez à les surmonter ensemble car à deux, on devient plus fort… Aujourd’hui, c’est le début d’une nouvelle vie qui commence pour vous et nous sommes tous là à partager ce moment avec vous donc levons notre verre à la santé Mac et Stella ! Aux jeunes mariés !
Teresa sourit d’adoration, de tendresse sans décrocher ses yeux émeraude pétillants de son homme. Les invités s’exécutèrent en criant « Aux jeunes mariés ! », le couple s’embrassa tendrement sous leurs cris enthousiastes et attendris, Mac serra la main de Patrick et lui donna une accolade puis Stella lui fit la bise. Patrick se pencha de nouveau vers le micro et toussota.
- Oui, je voulais dire quelque chose dont je voudrais également partager avec vous si vous permettez, reprit-il poliment d’un sourire gêné.
Un nouveau silence s’installa.
- Il y a sept ans aujourd’hui, reprit-il ; jour pour jour, j’ai rencontré Teresa Lisbon, l’amour de ma vie, l’élue de mon cœur qui est là, ici présente puis que j’aimerais qu’elle vienne me rejoindre.

Lisbon fut stupéfaite et gênée et elle secoua la tête dans un sourire avec ses joues qui rougissent lorsque l’assistance se tourna vers elle et que Jane lui fit signe de le rejoindre prenant son air de chien battu étant sûr qu’elle allait céder. Ce fut le cas. Teresa secoua la tête dans un sourire, se leva, traversa l’assistance qui lui sourit et la dévisagea. Patrick lui tendit la main pour l’aider à monter sur l’estrade, elle saisit sa main, monta sur l’estrade et se mit face à lui en le regardant dans les yeux en lui lâcher sa main. Son amant toussota et reprit son souffle avant de reprendre la parole.
- Teresa… commença-t-il, tu es la plus chose qui me soit arrivée dans la vie, jamais je n’aurais pensé qu’un jour je pourrais rencontrer une femme aussi forte, courageuse, réaliste, attentive, intelligente, généreuse, surtout autoritaire et entêtée aussi…
Sa compagne lui donna une tape sur l’épaule dans un rire alors que l’assistance et Jane se mirent à rire.
- … Autrement dit, reprit-il ; jamais je n’aurais pu penser qu’un jour je rencontrerais une femme aussi surprenante, vraiment incroyable et extraordinaire que toi. Quand je suis avec toi, je sais que je peux te dire tout comme te dire ce qui me passe par la tête, ce que j’ai sur le cœur, ce que je ressens… Avec toi, je me sens revivre, je me sens encore plus heureux que n’importe quel homme sur cette Terre même si je me conduis souvent comme un gamin ou comme un imbécile. Je suis réellement et vraiment fou amoureux de toi…
Il se tut, les invités restèrent silencieux, en admiration face à une si belle déclaration venant de lui. Teresa fut toute aussi émue et se sentit rougir de plus en plus en entendant ses mots.
- Aujourd’hui, reprit Jane, je voudrais te poser l’unique question et je me rends compte que ce n’est pas très orthodoxe et gênant ce que je vais faire mais j’y tiens vraiment à te le demander.

Des murmures circulèrent tandis que Teresa fronçait les sourcils en se demandant sur ce qu’il tenait tant à lui demander. Patrick glissa sa main libre dans la poche de son pantalon, en sortit un petit écrin en velours noir, s’agenouilla devant elle et ouvrit le coffret. Teresa écrasa ses mains contre ses lèvres, les yeux baignés de larmes lorsqu’elle vit une sublime bague de fiançailles sertie d’un diamant taillé en forme d’émeraude.
- Teresa Lisbon, accepterais-tu de m’épouser et de passer le reste de ta vie à mes côtés jusqu’à ce que la mort nous sépare ? Lui demanda-t-il, la regardant droit dans les yeux.

Des cris de surprise et de joie, des murmures voir des larmes résonnèrent dans l’assemblée ; Lisbon n’arrivait plus à articuler un seul mot qu’elle hocha la tête, Jane rit en se redressant pour l’embrasser mais elle enroula ses bras autour de son cou au même moment.
Elle mit son visage entre ses mains étouffant un sanglot et resta front contre front, les yeux dans les yeux, elle déposa un doux baiser humide par ses larmes sur ses lèvres.
- C’est ça que t’as voulu me dire tout à l’heure ? Lui demanda-t-elle dans un murmure, en sanglots
- Oui et je suis désolé de te le dire que maintenant. S’excusa-t-il d’une voix penaud et confus.
- Tu n’as pas à t’excuser, c’est la plus belle surprise que tu viennes de me faire. Lui dit-elle.

Ils se sourient et s’embrassèrent tendrement sous les yeux impatients des invités et des mariés. Patrick mit le micro en face de leurs bouches afin de communiquer aux autres la réponse tant attendue de Teresa.
- Ca veut dire oui ? Lui demanda-t-il.
Elle hocha la tête dans un sourire avec des larmes qui ruisselaient sur ses joues.
- Ca veut dire oui. Oui, Patrick Jane, je veux t’épouser et passer le reste de ma vie à tes côtés jusqu’à ce que la mort nous sépare. Lui répondit-elle en sanglots.
Aussitôt sous les cris de bonheur et de joie ainsi que des applaudissements de l’assemblée, Patrick remit le micro à sa place, sortit la bague de l’écrin qu’il rangea dans la poche de son pantalon ; il prit la main gauche de Teresa et glissa la bague à son annulaire.
Elle regarda sur sa nouvelle bague qui fut magnifique tandis que son fiancé chassa ses larmes de ses joues du bout de ses doigts. La jeune femme releva la tête, croisa le regard océan de Patrick qui lui sourit.
- Je t’aime Teresa. Lui murmura-t-il.
- Moi aussi, je t’aime plus que tout Patrick. Lui murmura-t-elle à son tour.
Ils s’embrassèrent et se serrèrent tout l’un contre l’autre en partageant tout l’amour qu’ils avaient l’un comme pour l’autre.

Les invités les applaudissaient en criant et en sifflant de bonheur pour eux. Mac et Stella les rejoignirent sur scène en leur exprimant leurs félicitations puis demandèrent à porter à toast aux futurs mariés comme aux jeunes mariés.
Mais alors que Jane allait descendre de l’estrade, Lisbon le retint par la main, le regard inquiet. Il se retourna pour lui faire face et s’inquiéta à son tour.
- Teresa, que se passe-t-il? Lui demanda-t-il vraiment inquiet pour elle.
- Patrick je… je dois te dire quelque chose. Souffla-t-elle.
Patrick Jane retint son souffle, la peur faisant son chemin dans tout son corps alors que Teresa le fixait toujours, les larmes lui montant aux yeux une nouvelle fois, mais des larmes de peur et d’inquiétude face a sa réaction cette fois.
Tous le monde les regarda, inquiets eux aussi.
Que voulait-elle lui annoncer qui la mette dans cet état? Était-ce grave? Était-elle malade?
Lisbon avait peur de lui annoncer, peur de le faire souffrir mais il le fallait bien, alors elle prit une grande inspiration et se lança :
- Patrick…

TBC...

je sens une bonne dose de frustration arriver chez tes fans

Je le sens aussi j'ignore encore pourquoi

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

pourquoi tu t'arrêtes maintenant?!!!!!!!

Spoiler:

VLS!!!!!!!!!!

joli chapitre tout en émotion
Je me demande si Lisbon...Euh...

Spoiler:

Je sais, il va falloir attendre pour avoir la réponse...
En tout les cas

RRRRRRRRRRRRRRRRRRRHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!!!!!!!
Non mais sa va pas de t'arrêter la !!!!

La suite et plus vite que sa

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH la suite

j'adore trop, bravo JA