Red letters passion ^

je disais plutôt ça pour autre chose mais bon, avec vous faut s'attendre à tout, perverses !

Je vois que j'arrive juste après la bataille !
Mais pas après la guerre.

Bref.
En deux mots

TROP GENIAL


Un Jane qui veut s'excuser ( chose rarissime il faut bien l'avouer ) et un bouquet de fleurs livré, que demander de plus ??
La réponse à la lettre par exemple ?
Je sais yavait écrit " patience patience " mais je tente on sait jamais ^^

En tout cas une fic toujours aussi plaisante à lire
I'm fan !

So VLS please

Merci beaucoup Terpo4
Ravie de voir que ça te plaise et bon retour parmi nous

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Tout d'abord... Joyeuses Pâques à tous et à toutes

Voici la suite...

Ce capitre en plus "confidence pour confidence" puis avec un joli petit passage pour nous faire rêver
Ca y est, vous allez avoir la réaction de Lisbon face à Jane, l'auteur des lettres passionnés... dans le prochain chapitre.

Je posterai la suite Mardi

Bonne Lecture...
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Chapitre 7 :

Dans la cuisine, Jane renversa de l’eau chaude dans sa tasse bleue pour savourer son thé mais il ne cessait de penser à Lisbon, au mal qu’il lui faisait en se cachant derrière des lettres à l’eau de rose ainsi qu’à lui-même.
Il venait de commettre l’irréparable, le pire des sales tours qu’il pouvait faire de toute sa vie, en réalité la seconde après avoir parler devant les caméras de la personnalité de John Le Rouge qui avait tué sa famille pour le punir, et là, il ne souhaitait qu’une chose ; qu’on puisse le punir à nouveau.

Lorsque Cho, Rigsby et Van Pelt entrèrent dans la cuisine pour se servir un café ou à manger, Jane tapa violemment le poing sur la table et l’équipe sursauta en se tourna vers lui, les yeux écarquillés.
C’était la première fois qu’ils voyaient leur consultant montrer sa colère physiquement, ils se regardèrent se demandant ce qui pouvait le mettre dans cet état et qui allait se lancer.
Sans plus attendre, Kimball s’approcha de Patrick.
- Hey vieux ! Relax. La table ne t’a rien fait. Répliqua Cho.
- Oui…c’est vrai…pardon. Bégaya Jane gêné.
- Jane. Ca va ? Demanda Grace inquiète.
- Oui. Ca va bien. Répondit ce dernier en souriant.
- Tu mens mal vieux. Intervint Wayne. Qu’est-ce qui t’arrive ?
- Moi ? Rien. Dit Jane en haussant les épaules.
- Tu mens encore. Ajouta Cho.
Jane le regarda d’un air perplexe puis regarda Rigsby et Van Pelt jusqu’à ce que Kimball intervienne et que le consultant le fixe.
- Parles-le lui.
- Parler à qui ? Demanda le consultant faisant semblant de comprendre.
- A Lisbon. Avoue-lui la vérité et ce que tu ressens pour elle. Lui répondit Cho.
Soudain, le mentaliste le dévisagea et sentit ses joues rougir lorsqu’il vit le regard amusé de l’asiatique et du couple. Pour couvrir son embarrât, il lança un rire nerveux.
- Je ne vois pas… Commença Jane.
- Arrête de mentir vieux, on le sait. Intervint Wayne dans un soupir.
- On sait que c’est toi qui écris des lettres anonymement à Lisbon. Dit Grace.
- Et que t’es amoureux d’elle. Ajouta Kimball.
Patrick fit un rire nerveux.
- Enfin, c’est ridicule vous… vous voyez moi et… et Lisbon ? Ensemble ? Mentit-il.
- Au contraire, on le voit très bien. Lança Rigsby.
- Y a les signes qui ne trompent pas Jane. Tous ces sourires, ces regards, ces clins d’œil, ces manières très galants de parler… C’est évident. Dit Grace avec insistance.
Puis, sachant qu’il avait épuisé toutes ces tactiques pour échapper à la conversation, le mentaliste effaça son sourire et afficha un visage vulnérable et confus en baissant la tête sous le regard autant compréhensif et compatissant de ses collègues. Un simple soupir de Jane suffisait à dire au trio qu’ils avaient raison.
- Jane, avoues-lui la vérité et dis-lui ce que tu ressens. Reprit Cho.
Le mentaliste secoua la tête.
- Qu’importe si je lui avoue tout ou non, elle m’en voudra et n’aura plus envie de me parler. Avoua Jane d’une voix triste en haussant les épaules.
- Jane ! Qui ne risque rien n’a rien donc fonce ! Va droit au but ! Encouragea Rigsby.
- On ne peut pas dire autant de toi avec Van Pelt à une autre époque. Répliqua Patrick d’un ton ironique et triste.
Face à la réplique du consultant, le grand costaud lui fit un regard assassin tandis que la jolie rousse soupira et l’asiatique baissa la tension.
- Rigsby a raison Jane. Fonce et ais le courage de lui dire ce que tu ressens comme tu le fais avec les gens mais de façon différente. Raisonna Cho.
- Plus facile à dire qu’à faire. Souffla Jane d’une voix triste.
- Donc tu préfères lui envoyer des lettres et que tu attendes qu’elle te réponde alors qu’elle aura déjà rencontré quelqu’un ? Tu comptes rester seul et de souffrir sans jamais rien lui dire jusqu’à la fin de ta vie, c’est ça ? Résuma la jolie rousse.

En entendant avec stupeur le résumé de Grace, Patrick la dévisagea ainsi que Wayne et Kimball qui le fixaient avec insistance, encouragement et amusement – le regard typique des amis qui vous diraient que vous préférait être un pauvre type qui préfère rester dans l’ombre et finir sa vie seul plutôt que d’être un homme qui fait le premier pas malgré le risque de se prendre une gifle voir un coup de poing dans la figure – enfin, le regard qui vous demandait :
Est-ce que vous êtes un homme ? Ou bien une poule mouillée ? Contre toute attente et étonnement surpris, Jane se leva d’un bond brutal et quitta la cuisine dans la précipitation sous les yeux de ses camarades qui le regardèrent d’un air amusé et encourageant se diriger vers le bureau de Lisbon d’un pas hésitant mais déterminé.

De son côté, Lisbon était toujours sur son canapé, se prélassant en soupirant de bien être, les yeux fermés et le sourire aux lèvres.
Les premières notes de musique de la ville de Paris sonnaient dans son esprit et elle entra dans un rêve. Teresa marchait aux côtés de cet inconnu, lui tenant la main où leurs doigts s’entrelaçaient et la jeune femme était toute souriante et heureuse à la fois.
Ils marchaient le long de l’avenue des Champs-Elysées, dans les sublimes jardins publics de la capitale. Ils profitaient de déjeuner au restaurant à l’intérieur de la Tour Eiffel où une vue éblouissante de la Ville de Lumière leur appartenait puis il lui offrait un baisemain tendre en même temps qu’elle guidait sa main à caresser sa joue. Le soir, sous un ciel étoilé où Paris brillait de mille feux, il l’invitait à dîner après à danser sur un bateau-mouche qui flottait sur la Seine où ils découvraient Paris dans la nuit sous une atmosphère romantique rien que lui et elle. Au cours de leur valse, ils s’embrassaient tendrement sous un décor de rêve qui la faisait rêver lorsqu’elle était petite. Dans une chambre d’hôtel, au milieu des draps de soie, elle se réveillait de beau matin dans des bras chauds, musclés et protecteurs qui l’entouraient, sa tête posé un torse musclé et bouillant où elle se laissait bercer par les battements d’un cœur et aller par une main délicate qui caressait ses cheveux bruns soyeux, sa peau douce.
Elle leva lentement son regard émeraude pétillant vers le visage de cet homme qui appela son nom, qui la rendait tellement heureuse qui lui apportait une enivrante joie de vivre. Mais lorsqu’elle s’apprêtait à voir son visage, une sonnerie de téléphone interrompit son merveilleux rêve…

En entendant la sonnerie venant de son portable, elle sursauta, tomba du canapé et atterrit les quatre fers en l’air sur le parquet.
- Aïe ! Merde ! Se plaint-t-elle.
Elle se releva lentement en posant une main sur ses reins tandis que son autre main s’agrippait au canapé alors que son portable continuait de sonner. Puis une fois mise sur pied et au bout de la quatrième sonnerie, elle décrocha.
- Lisbon… Oui… D’accord… Parfait… Très bien merci.

Elle raccrocha et rangea son portable dans la poche droite de sa veste en se dirigeant vers la porte pour quitter son bureau. Mais lorsqu’elle ouvrit, elle sursauta à nouveau en se trouvant nez à nez avec son consultant, Patrick Jane qui avait aussi prit peur lors de son apparition brutale qu’ils s’étaient bousculés.
- Jane ! Vous m’avez fichu une de ces peurs ! Dit-elle en reprenant son souffle.
- Désolé Lisbon ! Mais vous aussi, vous m’avez peur. Répliqua Jane en reprenant son souffle.
- Je suis désolée, ce n’était pas mon intention. S’excusa Lisbon.
- Ne vous excusez pas, ce n’est rien. Lui rassura son consultant.
Tout à coup, Jane fit une mine vulnérable, triste et confuse en la regardant brièvement dans les yeux mais il détourna bien vite son regard vers ses pieds. Ce qui inquiéta directement Lisbon.
- Ca va ? Demanda-t-elle.
Son consultant ne répondit rien pour l’instant, il reprit son souffle et releva la tête vers elle.
- Voilà… Lisbon, je ne voudrais pas que vous vous fâchiez mais j’ai quelque chose d’important à vous dire. Dit-il d’une voix penaud et triste.
- Moi aussi, j’ai quelque chose à vous dire Jane. Protesta-t-elle.
Patrick fut surpris et la dévisagea.
- Les dames d’abord. Reprit-il avec galanterie.
- La secrétaire du Sénateur Sinise nous a dit qu’il nous attendait avec son fils pour que vous lui présentiez vos excuses et qu’Edward avait quelque chose qui pourrait nous aider dans l’enquête. Expliqua-t-elle.
- Ah ! S’exprima Jane en hochant la tête, je l’avais complètement oublié celui-là. Marmonna-t-il d’un ton ironique.
Il se mit sur le côté, guidant Lisbon à passer devant d’un air galant puis celle-ci s’exécuta mais demanda en s’arrêtant devant lui.
- Et vous, qu’est-ce que vous aviez à me dire ? Demanda-t-elle.
Jane la dévisagea longuement, il ouvrit la bouche mais aucun mot n’arrivait à sortir. Son cœur se serra alors qu’il continuait à la regarder dans les yeux, tant et si bien ça lui faisait mal et un nœud se noua dans son estomac. Mais il n’arrivait à avoir le cran de tout avouer alors il chassa la question d’un revers de la main.
- Oh ! Ca peut attendre. Dit-il.
- Vous êtes sûr que ça va ? Demanda Lisbon.
- Oui, oui. Ne vous en faites pas. Lui répondit son consultant avec un sourire triste et rassurant.
Elle le fixa un moment avec inquiétude mais malgré son sourire irrésistible dont il avait le secret de la faire craquer, la rassurer voir la faire sourire ; la jeune femme se contenta de lui faire un hochement de tête et un bref sourire avant de s’éloigner de lui.
Derrière et en toute discrétion, Jane fit la grimace en se tapant violemment le front tout en se traitant d’idiot avant d’emboîter le pas à sa patronne.

Au Capitole de Sacramento où Le Sénateur et le fils Sinise avaient donné rendez-vous Jane et Lisbon qui arrivèrent à l’heure pétante et s’avancèrent vers eux.
- Sénateur Sinise ? Bonjour, je suis l’agent Teresa Lisbon. Se présenta-t-elle gentiment.
- Oui. Edward m’a parlé de vous mais il ne m’avait dit que vous étiez une aussi belle femme. Lui dit-il en lui faisant un baisemain.
La jeune femme fut surprise et elle se sentit mal à l’aise et flattée alors que Patrick levait les yeux au ciel en secouant la tête d’un air glacial et dégoutté.
«Il ne reste plus que le Pape pour compléter le tableau familial pendant qu’on y est.» Pensa Jane ironique.
Le consultant se racla la gorge d’un air gêné et sec, les Sinise et Lisbon se tournèrent vers lui.
- Ah ! Pardon Monsieur Jane ! Bonjour ! Lui dit le Sénateur sans enthousiasme.
- Bonjour. Le salua le consultant amèrement et froidement.
Leur poigne de main fut sèche et rigide, puis Jane passa sa main sur son torse afin d’enlever la trace et la plongea dans la poche de sa veste pendant qu’il toisait d’un regard noir le père comme le fils.

- Votre fils nous a dit avoir des informations qui pourraient nous aider dans notre affaire ? Demanda-t-il froidement.
- Mademoiselle Lisbon. Intervint Edward sans se tourner vers Jane. Avez-vous réfléchi à ma proposition avant…
- Navrée monsieur mais ce n’est pas très légal d’ignorer la question que vient de poser mon collègue et c’est ce qui s’appelle un manque de respect voir insulte envers un agent. Protesta Lisbon d’un ton ferme et dans un sourire.
- Enfin, je croyais qu’il est consultant ! Riposta le fils.
- Consultant AU CBI donc ça compte. Dit-elle d’un ton fier dans un sourire.
Jane étouffa de rire en entendant la réplique de sa patronne et savoura de voir la tête que faisait Edward. Le fils du Sénateur resta hébété de voir la fermeté de la jeune femme lui signalant que c’était une femme difficile et qui ne laissait pas faire et qu’il se sentit tout petit tandis que son père fut surpris mais garda son sang froid.
- Agent Lisbon. Je vous assure que mon fils va se montrer très coopératif. Reprit le Sénateur d’un ton détaché et approbateur.
- J’en suis persuadée Sénateur. Dit Lisbon avec fermeté et insistance dans le regard ; et en échange, je vous assure que monsieur Jane présentera ses excuses.
Lisbon se tourna vers son consultant et le toisa du regard avec insistance alors que celui-ci la regardait en faisant semblant de ne pas comprendre.
- De quoi ?... Ah oui ! Pardon. Ca m’a échappé. Dit-il dans un sourire crispé. Mais si Edward veut bien nous transmettre ces informations, je présenterai mes excuses.
Le fils regarda son père puis se tourna vers le couple.
- Duncan est amoureux d’Olivia mais si vous pensez qu’il a tué Léa alors qu’elle refusait qu’il voie sa sœur, c’est faux. Elle n’était pas au courant de ça malgré qu’elle l’apprécie. Expliqua Edward.
- Mais il est fiancé à Lana. Pourquoi est-il amoureux d’Olivia alors qu’il va épouser Lana ? Demanda Lisbon.
- Parce qu’elle est hyper jalouse. Répondit Edward. Elle fouille dans ses affaires dès qu’elle rentre du travail ou après qu’il soit parti en voyage pour chercher des messages, des traces de parfum… Vraiment parano.
- Et vous savez ce qu’elle faisait dans la vie avant ? Demanda-t-il.
- Elle travaillait dans un Laboratoire de Santa Ana en association avec le parc zoologique de San Francisco mais elle y retourne depuis quelques semaines pendant le week-end et ses congés. Répondit-il.
Jane marmonna de satisfaction avec un sourire.
- Intéressant. S’exprima Jane ; merci de nous avoir reçu.
Patrick était sur le point de tourner les talons quand Teresa le retint.
- Jane !
Automatiquement, Jane se tourna vers elle.
- Vous n’aurez pas oublié quelque chose ? Demanda-t-elle avec insistance.
Ses yeux le guidèrent vers Edward qui les regardait – malgré que son champ de vison ne porte que sur Lisbon – puis Jane souleva la tête.
- Ah ! C’est vrai. Dit-il dans un sourire.
Lisbon le regarda s’approcher d’Edward afin de lui présenter ses excuses mais au lieu de ça, elle le vit avec surprise lui serrer la main.
- Pardon et merci. Lui dit-il avant de s’en aller.
Teresa le regarda partir avec stupeur et soulagement qu’il avait pu se comporter en adulte – pour une fois – puis elle lui emboîta le pas alors qu'Edward n'avait pas compris pourquoi le consultant lui avait dit pardon.

TBC...

ah ah ah, grillé Jane

ou la, avouer à Lisbon, aie

lisbon qui prend sa défense, trop chou

et Jane qui veut partir sans s'excuser ! ah décidément j'adore !!!

VLS !!!

Toujours aussi bien écrit, vivement la suite !!!!

Jane découvert par l'équipe qui lui fait la leçon
Le délire parisien de Lisbon
...et il ne faut pas oublier l'enquête qui progresse

Oh trop génial cette suite, j'ai trop adoré

Merci JA

Merci beaucoup les filles !!
Toujours aussi contente de voir que ça vous plaise malgré le fait est que j'ai eu un peu de mal à l'écrire ainsi que le suivant mais je vois qu'il a porté ses fruits et je suis contente
Je publierai la suite demain puis j'ai déjà terminé la fic et là , j'écris un OS qui est passée en fanfic dont je publierai la 2ème partie ce soir si j'arrive à le terminer sinon ce sera pour demain

ta fic est super ma JA n'en doute pas, et je dois dire que l'idée des lettres anonymes j'y aurais jamais pensé c'est vraiment bien trouvé
Trop hâte de lire la suite de ton autre fic aussi :vivement: :vivement: :vivement: :vivement:

Merci beaucoup ma Sweety
Je dois avouer qu'au début, j'avais pensé à un site de rencontre ou encore à des mails mais comme je suis de nature assez "vieux-jeu" et romantique, je me suis dis que les lettres serait encore mieux
Mon autre fic est "Un bal de conte de fées" mais j'ai modifié le titre qui est maintenant "A ball of fairy tale" normalement ça devait être un OS mais maintenant c'est une Fic mais courte

Vraiment désolée ! Je ne sais pas si c'est français ce que je viens dire et si tu vois ce que je veux dire

je l'ai commencé et commenté et elle est trop bien

Merciii ma Sweety

ton dernier chapitre est super JA

Jane encore jaloux j'adore!

Et qu'il n'arrive pas à dire à Lisbon que c'est lui c'est trop touchant!!!!

Allez un peu de courage Jane!!!!

Ce chapitre était vraiment TOP !

Pauvre Jane qui n'arrive pas à avouer ses sentiments à Lisbon ...
Je me demande quelle sera la réaction de Lisbon quand elle découvrira que c'est lui qui écrit les lettres.
J'imagine qu'il va falloir attendre un peu avant de connaître la réponse

En tout cas une histoire qui continue de me captiver, alors VLS please !!

Merci beaucoup 'Manga & Terpo4
Vos commentaires me font toujours autant plaisir

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Voici la suite...

Et voici le moment de vérité pour Lisbon de découvrir l'identité de son "admirateur secret" Mais en tout cas, j'ai écrit sur un coup de tête comme une folle que je suis par nature mais j'espère en tout cas que ça vous plaira

Puis je remercie encore et encore Sweety pour la correction de ma fic et je tiens à te dire que j'ai eu une p'tite pensée pour toi en même temps que notre actrice préférée Robin Tunney concernant un passage

La suite sera pour Jeudi

Bonne Lecture...
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Chapitre 8 :

Quelques heures plus tard, de retour au QG du CBI alors que la nuit était déjà tombée sur la côte Ouest ET que les bureaux se vidaient petit à petit, Lisbon était dans son bureau devant son ordinateur en train de taper son clavier avec concentration et détente tandis que de son côté, à l’abri des regards dans son repaire, Jane était allongé sur son lit et lisait la lettre récemment écrite par sa dulcinée s’adressant à l’admirateur secret – donc lui.


Admirateur,

Tout d’abord, je tiens à vous remercier pour les fleurs. Je ne m’attendais pas à avoir un magnifique bouquet et je confirme que vous avez réussi à me surprendre.
Vous savez, c’est la toute première fois qu’on m’offre des fleurs, en plus mes préférées, votre geste me touche vraiment et votre surprise a été la seule chose qui a réussi à illuminer ma journée de dur labeur.

Très original votre façon de m’indiquer les couleurs du drapeau français, je vous avouerai, que, j’aimerais bien aussi découvrir Paris, on m’a souvent dit que c’était magique de découvrir la ville lors d’un balade en bateau-mouche dans le soir et je voudrais le voir pour le croire si vous comptez un jour m’y emmener, si vous êtes partant, bien sûr.
Sinon, je rêve d’aller en Irlande parce que c’est là-bas où sont mes racines et que j’apprécie tellement la beauté des lacs du Connemara, la ville de Dublin, les falaises de Moher, des plus belles plages de la côte… si vous saviez comme ce pays est vraiment magnifique au Printemps. C’est ce que j’ai toujours voulu visiter et passer des vacances de pur détente et bonheur.
Vous dites que vous aimez bien cuisiner, je suis partante pour découvrir vos talents culinaires comme ça j’apprendrai plus facilement à faire la cuisine moi-même au lieu de commander des pizzas chez moi parce que parfois je n’ai pas le temps de cuisiner à cause du boulot.

Vous dites de ne plus rajouter de compliments à votre égard soit disant « irrésistiblement flatteurs » parce que je ne cesse de vous faire rougir ?
Et bien oui, je peux vous dire que vous m’avez suffisamment faire rougir pendant que je lisais votre lettre, vous avez trop abusé de compliments envers moi.

Mais en tout cas, je tiens à vous dire que la plupart des hommes dans mon entourage me décrieraient seulement sur ce que je suis vu d’un point vu physique ou profiterait de me consoler seulement pendant un moment de faiblesse voir une nuit ; aujourd’hui, à chaque fois qu’un homme s’approche trop de moi, je reste sur mes gardes parce que j’ai ce pressentiment qu’il a une arrière-pensée. Voilà la raison de ma timidité et ma maladresse aussi je n’ai pas le temps de trouver l’homme « idéal ».
Parmi les hommes que j’ai connus et que je connais, je crois que vous êtes probablement le seul qui me définit de façon si forte, simple, rassurante et… intense dans les moindres détails ce que je suis vraiment et je dois vous avouer que ça me donne une sensation étrange d’avoir l’impression que vous me connaissez depuis longtemps.
Est-ce réellement le cas ? Je n’en ai aucune idée, seul vous avez la réponse je pense.

J’attends avec impatience votre réponse à ma lettre pour vous lire afin d’avoir un peu plus d’informations sur vous et peut-être d’avoir la chance de se rencontre pour de vrai.

Je déposerais l’enveloppe à sa place comme d’habitude.

Je dépose un baiser sur votre joue qui doit être couleur écarlate en ce moment.

Teresa Lisbon.


A la fin de sa lecture, Patrick effleura sa joue du bout de ses doigts fins en constatant d’un point de vue troublant qu’elle avait pris la couleur rouge écarlate comme l’avait prévenue Teresa. Il relut chaque mot de sa patronne écrit, hypnotisé par une telle délicatesse, justesse et sérénité que la jeune femme portait au bout de sa plume.
Il posa la lettre sur son torse et se mit à fixer le plafond ne cessant de penser à leur échange de lettres et le cadeau qui lui avait envoyé dans la journée – plutôt que c’était un coursier qui l’avait envoyé par le fleuriste à deux pâtés de maison d’ici, Jane n’avait fait qu’imposer ses exigences. Quelle modestie ! Surtout quelle frime !
Dans sa tête, il réfléchit à la réaction probable de sa partenaire quand il allait finir par lui avouer la vérité.
La surprise ? La colère ? La confusion ? La déception ? Le désarroi ? L’un comme l’autre et toute évidence, tous ces sentiments allaient y passer.
Et il en était persuadé. Il la connaissait bien, il pouvait lire en elle comme un livre ouvert passionnant dont il tournait les pages une à une sans interruption et sans que le livre ne s’achève. Jane savait aussi qu’il risquait de se faire hurler dessus, insulter voir se prendre une grosse gifle en pleine figure. Soit il prenait le risque d’y laisser sa peau mais il tenait à être honnête, soit il passait le reste de sa vie seul à s’en vouloir et à se répéter sans dire qu’il s’était comporté comme un lâche.
Il se leva de son lit d’un bond en prenant la lettre de Teresa entre se mains, la plia et la rangea dans la poche intérieure de sa veste.
Patrick se posta devant la porte coulissante de son repaire avec la main sur la poignée. Il inspira une grande bouffée d’oxygène – malgré l’odeur de la poussière – expira en secouant la tête, ouvrit la porte et sortit de sa tanière en se répétant.
« Allez Jane ! Courage ! Tu as déjà reçu des poings dans la figure et t’es encore en vie ! Donc tu peux encaisser un de plus… Mais c’est bien ça qui me fait peur ! »

Le craquant consultant dévala les escaliers, stoppa un moment en regardant sa douce patronne de loin à travers les stores de son bureau. Elle était toujours à la tâche et c’est ce qui lui plaisait chez elle.
Malgré la violence menaçante qui redoublait de force dans les coins de rue c’est une femme courageuse, forte et qui se battait pour arrêter les méchants, rendre justice aux familles afin de les aider à faire leur deuil. En même temps, c’était la seule personne en qui il pouvait avoir confiance, qui était toujours là pour l’écouter, le soutenir – sans compter les fois où elle risquait sa carrière pour lui à cause de ses sales plans foireux.
N’était-ce pas une preuve d’amour ? Ou simplement une preuve d’affection amicale ?
Même si c’était le cas, il voulait en avoir le cœur net. Jane prit son courage à deux mains et s’avança vers le bureau de Lisbon.

Le consultant s’arrêta au pas de la porte du bureau de sa patronne, se contentant de la dévorer du regard d’un air attendrissant et patient comme il avait l’habitude de faire lorsqu’il avait un plan en tête pour coincer l’assassin au cours d’une enquête.
Sa douce patronne sentit sa présence tout près d’elle mais l’ignora pendant un moment – bien que ce fut difficile car il la dévisageait sans cesse.
Soudain, elle sentit ses joues rougir tellement le regard océan rivé sur elle la mettait terriblement mal à l’aise et il y parvenait toujours – et il adorait la voir rougir, ça la rendait encore plus attirante. Seulement deux bonnes minutes plus tard, Teresa jeta quelques coups d’œil timides, curieux mais agacés et gênants vers Patrick qui continuait toujours de la dévisager, gardant ce même regard mais avec un soupçon de vulnérabilité ainsi que de tristesse dans ses beaux yeux bleus qui montrait autant son côté d’enfant fragile que de celui de chien battu qui le rendait irrésistiblement plus craquant.

Elle finit par se tourner vers lui et brisa le silence.
- Qu’est-ce qu’il y a ? Demanda-t-elle dans un soupir.
- J’ai deux choses à vous dire, Lisbon mais promettez-moi de ne pas vous mettre en colère. Supplia-t-il.
- D’accord. Allez-y. Dit-elle d’une voix calme en fronçant les sourcils.
Mais ces mots, le consultant resta silencieux. Il regarda à droite à gauche en se pinçant la lèvre inférieure sans bouger d’un pouce alors que Lisbon faisait les gros yeux en penchant son visage vers lui d’un air insistant et impatiemment. Elle leva les yeux au ciel avec agacement avant de dire.
- Jane !
En entendant son nom, automatiquement, ce dernier tourna son regard vers elle, plongeant ses yeux océan dans le blanc des yeux émeraude de sa partenaire qui haussa les épaules agacée d’attendre qu’il ouvre enfin la bouche.
- La première chose est : Je crois que l’assassin va réparer son erreur et de s’en prendre à Olivia ce soir. Avoua-t-il.
- Et qu’est-ce qui vous fait dire ça ? Demanda-t-elle.
Jane pénétra par petit pas dans son bureau en s’avançant vers elle sans que l’un et l’autre ne se quittent des yeux.
- L’assassin est peut-être intelligent mais il s’est trompé de cible, Léa Dubois n’était pas l’objectif à abattre. Ca s’avérait un crime passionnel et parfait mais il ne s’était pas douté que les choses tourneraient mal. Expliqua-t-il d’un ton sûr de lui.
- Et il a l’intention de tuer Olivia car c’était elle la cible depuis le début. Comprit-elle d’un air surpris.
Jane pointa du doigt avec un large sourire aux lèvres lui indiquant qu’elle avait raison.
- Voilà ! S’exprima-t-il avec enthousiasme.
- Et je suppose que vous ayez concocté un plan pour accueillir le coupable dans la chambre d’hôtel d’Olivia, c’est ça ? Suggéra Lisbon d’un air sarcastique.
- Bien sûr que non ! Mentit-il en haussant les épaules.
- N’oubliez pas que je suis flic Jane et là, vous ne faites même plus l’effort de me mentir. Lui rappela Lisbon ; alors c’est quoi votre idée ?
- Oui, c’est vrai. Dit-il gêner en baissant la tête dans un sourire ; Et je n’écris pas aussi bien que vous sur le papier. Poursuivit-il en haussant les épaules.
« Et je n’écris pas aussi bien que vous sur le papier » Cette phrase poussa Lisbon à s’interroger sur ce qu’il entendait par là, elle fronça les sourcils en le dévisageant d’un air soupçonneux et intrigué alors que celui-ci l’observait confus et embarrassé puis il brisa le silence.
- Je vous y emmène ? Proposa-t-il dans un sourire.
Elle le regarda incrédule pendant un moment avant de s’exécuter à le suivre, mais pas dans sa DS qu’elle définit comme un « tas de ferrailles », fut la seule condition.

Arrivés la chambre d’hôtel d’Olivia Dubois, la sœur de la victime, Jane ouvrit la porte grâce à un trombone avec l’accord désapprobateur de Lisbon – ce qui était bien entendu illégal et appelé comme une effraction. Le séduisant consultant ouvrit la porte, se mit sur la côté en plaquant la porte contre le mur afin de guider – en parfait gentleman – sa patronne et celle-ci s’exécuta. Jane lui emboîta le pas en refermant la porte à clefs derrière lui comme elle avait été avant qu’ils ne fassent irruption. Lisbon observa la chambre qui n’avait pas du tout changé depuis leur dernière visite, elle ne savait pas où son consultant voulait en venir alors que celui-ci se dirigeait vers la commode en bois dans l’angle près de la porte donnant vers la salle de bain, il cacha discrètement une mini-caméra avec micro parmi des fleurs – des jonquilles – dans un vase en porcelaine blanc.

Lisbon fronça les sourcils, incrédule, intriguée en se demandant quel était son plan puis elle brisa le silence afin d’en avoir le cœur net à ses préoccupations.
- Jane, vous allez finir par m’expliquer votre plan ?
Il lui fit volte-face en s’approchant d’elle, plongeant son regard dans la prunelle de ses yeux en saisissant son portable et composant un numéro.
- L’assassin va venir ici dans très peu de temps après qu’Olivia Dubois rentrera de son travail car il n’aura pas d’autres choix que de venir la voir pour exécuter son plan et une petite initiative de ma part va le pousser à se présenter. Lui expliqua-t-il.
Alors que son interlocutrice allait ouvrir la bouche, Jane porta son portable à son oreille et parla.
- Cho ? C’est bon ?... Formidable, que la folie commence ! Dit Jane avant de raccrocher.
- Quelle initiative ? Répéta Lisbon.
Patrick fouilla la poche gauche de son veston, sortit une petite feuille rose qu’il déplia et le tendit à Teresa qui la prit entre ses mains puis lit à haute voix.


Olivia,

Je suis désolé pour Léa qui était vraiment une fille admirable comme toi et je ne peux imaginer ton chagrin. Si tu as besoin d’une épaule pour te réconforter, d’une personne pour t’écouter ou si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésite pas à me le dire, je serais toujours là pour t’aider quoi qu’il advienne.
Ce que je vais te dire ne va être facile, mais il faut savoir prendre des risques dans la vie. Olivia, je sais qui est l’assassin de ta sœur, mais je ne peux pas te le dire sur le papier sinon tout le monde va croire que j’y suis mêlé alors que c’est totalement faux.
Je passerais te voir à ton hôtel ce soir après ton travail puis en même temps, j’ai quelque chose à te dire ; quelque chose que je voulais te dire depuis tellement longtemps.

Duncan.


Soudain, à la fin de la lettre, Teresa scruta attentivement l’écriture de la lettre alors que Jane reprenait son explication.
- Oui, j’ai écrit et mis ce mot sur le bureau de Duncan Peters comme ça l’assassin va se montrer et on sera là pour le prendre sur le fait en train d’empoisonner Olivia. Poursuivit Jane.
Mais Lisbon scrutait toujours l’écriture jusqu’à ce que ses yeux s’écarquillent et ses joues virent rouges mais rouges pétard. Elle se tourna vers son consultant, déroutée et furieuse alors que Jane essayait de garder son naturel malgré que le masque n’allait pas tarder à tomber.
- Quoi ? Demanda-t-il.
- C’est vous n’est-ce pas ? Soupçonna Lisbon la mâchoire serrée.
Jane haussa les épaules en faisant semblant de ne pas comprendre ni savoir de quoi il parlait alors qu’il évitait le sujet surtout maintenant.
- Arrêtez de vous moquer de moi, Jane ! Hurla-t-elle furieuse. C’est vous qui m’avez envoyé des lettres comme celle-ci et c’est à vous que je répondais en confiant des détails sur moi ! C’est ça !

Soudain, Patrick avait mis son doigt sur ses lèvres pour indiquer à Teresa, folle de rage de se taire et que quelqu’un s’approchait lorsqu’il entendit des pas s’avancer vers la porte d’entrée. Sur-le-champ, le consultant entraîna sa furie jusqu’à la salle de bain et ferma la porte tandis que Lisbon serrait les dents, bouillonnant de colère et fit volte-face contre la porte en chuchotant.
- Vous avez intérêt à vous expliquer si vous voulez que je fasse usage de mon flingue ! Menaça-t-elle ; pourquoi vous m’avez fait une chose pareille ?
Jane soupira en plongeant profondément ses yeux bleus tristes dans le regard émeraude enragé de Lisbon alors qu’ils étaient proches l’un de l’autre.
- Ouvrez les yeux Lisbon ! Lui dit-il d’une voix fragile ; si je vous ai envoyé ces lettres, c’était pour vous dire que je connais chaque éclats d’or dans vos yeux si magnifiques, que je sais quand vous êtes heureuse et malheureuse, que je ne cesse de penser à vous jour et nuit, que vous êtes de plus en plus belle chaque jour, qu’à chaque fois que je suis avec vous je me sens revivre et que vous êtes la plus belle chose qui m’est arrivée dans ma vie. Avoua-t-il en suffoquant à chaque battement de son cœur.
Teresa resta perplexe et sans voix pendant quelques secondes.
- Mais q… qu’est-ce… que ça… Commença-t-elle en bafouillant.
- Je vous aime Lisbon. Avoua-t-il.
Il prit son visage entre ses mains, captura ses lèvres et l’embrassa.

TBC...

alors la bravo, tu m'a fait pleurer

c'était très bien écrit, j'adore quand elle compare les lettres

ps : juste, il y a un passage qui est bizarre, question grammaire et conjugaison :

Soudain, Patrick avait mis son doigt sur ses lèvres pour indiquer à Teresa, folle de rage de se taire et que quelqu’un s’approchait lorsqu’il entendit des pas s’avancer vers la porte d’entrée. Sur-le-champ, le consultant entraîna sa furie jusqu’à la salle de bain et ferma la porte tandis que Lisbon serrait les dents, bouillonnant de colère et fit volte-face contre la porte en chuchotant.

j'ai un peu de mal, tu commence avec du plus que parfait, puis de l'imparfait pour finir par du passé simple et tout ça commençant avec soudain qui lui est un adverbe qui s'accompagne de passé simple et non de pqpft. de plus, oui je sais, je suis chiante, tu utilise la forme "et que quelqu'un" qui s'utilise avec un autre que plaçé avant (que ... et que ...) ça fait bizarre, je tenais à te le dire, j'espère que tu ne m'en veux pas (j'ai une mère prof des écoles, ça explique tout )

Ce chapitre est vraiment magnifique

Je plussoie Jiisbon: je suis

de joie je te rassure

C'est trop beau!!!!!!!

Génial l'idée que Lisbon comprend grâce aux écritures, ça y est elle a enfin capté!

Et que dire de la fin quand il l'emmène dans la salle de bain et qu'il lui dit tout ça!

MAGNIFIQUE MAGNIFIQUE MAGNIFIQUE

Je languis trop la suite pour savoir comment Lisbon va réagir!!!!

Pas futé Jane sur le coup...ou était-ce prémédité...j'opterai pour la seconde supposition
il a enfin avoué
maintenant reste à avoir si Lisbon va utiliser son flingue, son poing...ou répondra t-elle à ses avances :bounce: :bounce: :bounce:

La fin est superbe

J'ai trop hâte de lire la suite pour voir comment Lisbon va réagir.

Merci JA

Merci infiniment les filles !!
Trop ravie de voir que ça vous plaise

Oh! Je ne voulais pas surtout pas vous faire pleurer Jiisbon & 'Manga mais du moment que c'est de joie, ça me soulage

@ Jiisbon : T'inquiètes, je ne t'en veux pas mais ne le prends pas mal et ce n'est pas trop toi t'inquiète mais je préfère éviter le sujet parce que quand je fais une faute que soit de conjugaison ou d'orthographe, je m'énerve assez rapidement et là, c'est le cas car je suis super exigeante là-dessus alors que je suis une experte en français voir en orthographe. Mais là, vu que je sens que je vieillit trop rapidement je pense que je vais retourner à l'école
Désolée si tu l'as mal pris mais je ne cherchais pas à être méchante juste à être directe et honnête

no problème JA

Oh Oh OH !!!!

Mais

Enfin il passe à l'action !!
Bon ok le lieu n'est pas le plus romantique qu'il existe mais au moins Lisbon est fixée !

Hâte de voir sa réction

Alors VLS

Jiisbon a écrit:alors la bravo, tu m'a fait pleurer

c'était très bien écrit, j'adore quand elle compare les lettres

ps : juste, il y a un passage qui est bizarre, question grammaire et conjugaison :

Soudain, Patrick avait mis son doigt sur ses lèvres pour indiquer à Teresa, folle de rage de se taire et que quelqu’un s’approchait lorsqu’il entendit des pas s’avancer vers la porte d’entrée. Sur-le-champ, le consultant entraîna sa furie jusqu’à la salle de bain et ferma la porte tandis que Lisbon serrait les dents, bouillonnant de colère et fit volte-face contre la porte en chuchotant.

j'ai un peu de mal, tu commence avec du plus que parfait, puis de l'imparfait pour finir par du passé simple et tout ça commençant avec soudain qui lui est un adverbe qui s'accompagne de passé simple et non de pqpft. de plus, oui je sais, je suis chiante, tu utilise la forme "et que quelqu'un" qui s'utilise avec un autre que plaçé avant (que ... et que ...) ça fait bizarre, je tenais à te le dire, j'espère que tu ne m'en veux pas (j'ai une mère prof des écoles, ça explique tout )

la faute viens de moi Jiisbon en corrigeant j'ai surement laissé passer une erreur, et je m'en excuse je devrais penser à faire ça la journée au lie de la nuit