Red letters passion ^
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Re: Red letters passion ^
je l'ai commencé et commenté et elle est trop bien
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Red letters passion ^
Merciii ma Sweety
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Red letters passion ^
ton dernier chapitre est super JA
Jane encore jaloux j'adore!
Et qu'il n'arrive pas à dire à Lisbon que c'est lui c'est trop touchant!!!!
Allez un peu de courage Jane!!!!
Jane encore jaloux j'adore!
Et qu'il n'arrive pas à dire à Lisbon que c'est lui c'est trop touchant!!!!
Allez un peu de courage Jane!!!!
alamanga- Red John
- Personnage préféré : Cho, Lisbon, Jane. Van Pelt et Rigsby aussi.Abbott, Fischer, Wylie et Vega.
Loisirs : La TV, me balader, visiter...et rêver!
Localisation : Devant mon ordi, sous le soleil exactement!
Re: Red letters passion ^
Ce chapitre était vraiment TOP !
Pauvre Jane qui n'arrive pas à avouer ses sentiments à Lisbon ...
Je me demande quelle sera la réaction de Lisbon quand elle découvrira que c'est lui qui écrit les lettres.
J'imagine qu'il va falloir attendre un peu avant de connaître la réponse
En tout cas une histoire qui continue de me captiver, alors VLS please !!
Pauvre Jane qui n'arrive pas à avouer ses sentiments à Lisbon ...
Je me demande quelle sera la réaction de Lisbon quand elle découvrira que c'est lui qui écrit les lettres.
J'imagine qu'il va falloir attendre un peu avant de connaître la réponse
En tout cas une histoire qui continue de me captiver, alors VLS please !!
terpo4- Agent de circulation
- Localisation : Dans ce monde étrange que l'on nomme " Planète TM "
Re: Red letters passion ^
Merci beaucoup 'Manga & Terpo4
Vos commentaires me font toujours autant plaisir
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Voici la suite...
Et voici le moment de vérité pour Lisbon de découvrir l'identité de son "admirateur secret" Mais en tout cas, j'ai écrit sur un coup de tête comme une folle que je suis par nature mais j'espère en tout cas que ça vous plaira
Puis je remercie encore et encore Sweety pour la correction de ma fic et je tiens à te dire que j'ai eu une p'tite pensée pour toi en même temps que notre actrice préférée Robin Tunney concernant un passage
La suite sera pour Jeudi
Bonne Lecture...
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Quelques heures plus tard, de retour au QG du CBI alors que la nuit était déjà tombée sur la côte Ouest ET que les bureaux se vidaient petit à petit, Lisbon était dans son bureau devant son ordinateur en train de taper son clavier avec concentration et détente tandis que de son côté, à l’abri des regards dans son repaire, Jane était allongé sur son lit et lisait la lettre récemment écrite par sa dulcinée s’adressant à l’admirateur secret – donc lui.
Admirateur,
Tout d’abord, je tiens à vous remercier pour les fleurs. Je ne m’attendais pas à avoir un magnifique bouquet et je confirme que vous avez réussi à me surprendre.
Vous savez, c’est la toute première fois qu’on m’offre des fleurs, en plus mes préférées, votre geste me touche vraiment et votre surprise a été la seule chose qui a réussi à illuminer ma journée de dur labeur.
Très original votre façon de m’indiquer les couleurs du drapeau français, je vous avouerai, que, j’aimerais bien aussi découvrir Paris, on m’a souvent dit que c’était magique de découvrir la ville lors d’un balade en bateau-mouche dans le soir et je voudrais le voir pour le croire si vous comptez un jour m’y emmener, si vous êtes partant, bien sûr.
Sinon, je rêve d’aller en Irlande parce que c’est là-bas où sont mes racines et que j’apprécie tellement la beauté des lacs du Connemara, la ville de Dublin, les falaises de Moher, des plus belles plages de la côte… si vous saviez comme ce pays est vraiment magnifique au Printemps. C’est ce que j’ai toujours voulu visiter et passer des vacances de pur détente et bonheur.
Vous dites que vous aimez bien cuisiner, je suis partante pour découvrir vos talents culinaires comme ça j’apprendrai plus facilement à faire la cuisine moi-même au lieu de commander des pizzas chez moi parce que parfois je n’ai pas le temps de cuisiner à cause du boulot.
Vous dites de ne plus rajouter de compliments à votre égard soit disant « irrésistiblement flatteurs » parce que je ne cesse de vous faire rougir ?
Et bien oui, je peux vous dire que vous m’avez suffisamment faire rougir pendant que je lisais votre lettre, vous avez trop abusé de compliments envers moi.
Mais en tout cas, je tiens à vous dire que la plupart des hommes dans mon entourage me décrieraient seulement sur ce que je suis vu d’un point vu physique ou profiterait de me consoler seulement pendant un moment de faiblesse voir une nuit ; aujourd’hui, à chaque fois qu’un homme s’approche trop de moi, je reste sur mes gardes parce que j’ai ce pressentiment qu’il a une arrière-pensée. Voilà la raison de ma timidité et ma maladresse aussi je n’ai pas le temps de trouver l’homme « idéal ».
Parmi les hommes que j’ai connus et que je connais, je crois que vous êtes probablement le seul qui me définit de façon si forte, simple, rassurante et… intense dans les moindres détails ce que je suis vraiment et je dois vous avouer que ça me donne une sensation étrange d’avoir l’impression que vous me connaissez depuis longtemps.
Est-ce réellement le cas ? Je n’en ai aucune idée, seul vous avez la réponse je pense.
J’attends avec impatience votre réponse à ma lettre pour vous lire afin d’avoir un peu plus d’informations sur vous et peut-être d’avoir la chance de se rencontre pour de vrai.
Je déposerais l’enveloppe à sa place comme d’habitude.
Je dépose un baiser sur votre joue qui doit être couleur écarlate en ce moment.
Teresa Lisbon.
A la fin de sa lecture, Patrick effleura sa joue du bout de ses doigts fins en constatant d’un point de vue troublant qu’elle avait pris la couleur rouge écarlate comme l’avait prévenue Teresa. Il relut chaque mot de sa patronne écrit, hypnotisé par une telle délicatesse, justesse et sérénité que la jeune femme portait au bout de sa plume.
Il posa la lettre sur son torse et se mit à fixer le plafond ne cessant de penser à leur échange de lettres et le cadeau qui lui avait envoyé dans la journée – plutôt que c’était un coursier qui l’avait envoyé par le fleuriste à deux pâtés de maison d’ici, Jane n’avait fait qu’imposer ses exigences. Quelle modestie ! Surtout quelle frime !
Dans sa tête, il réfléchit à la réaction probable de sa partenaire quand il allait finir par lui avouer la vérité.
La surprise ? La colère ? La confusion ? La déception ? Le désarroi ? L’un comme l’autre et toute évidence, tous ces sentiments allaient y passer.
Et il en était persuadé. Il la connaissait bien, il pouvait lire en elle comme un livre ouvert passionnant dont il tournait les pages une à une sans interruption et sans que le livre ne s’achève. Jane savait aussi qu’il risquait de se faire hurler dessus, insulter voir se prendre une grosse gifle en pleine figure. Soit il prenait le risque d’y laisser sa peau mais il tenait à être honnête, soit il passait le reste de sa vie seul à s’en vouloir et à se répéter sans dire qu’il s’était comporté comme un lâche.
Il se leva de son lit d’un bond en prenant la lettre de Teresa entre se mains, la plia et la rangea dans la poche intérieure de sa veste.
Patrick se posta devant la porte coulissante de son repaire avec la main sur la poignée. Il inspira une grande bouffée d’oxygène – malgré l’odeur de la poussière – expira en secouant la tête, ouvrit la porte et sortit de sa tanière en se répétant.
« Allez Jane ! Courage ! Tu as déjà reçu des poings dans la figure et t’es encore en vie ! Donc tu peux encaisser un de plus… Mais c’est bien ça qui me fait peur ! »
Le craquant consultant dévala les escaliers, stoppa un moment en regardant sa douce patronne de loin à travers les stores de son bureau. Elle était toujours à la tâche et c’est ce qui lui plaisait chez elle.
Malgré la violence menaçante qui redoublait de force dans les coins de rue c’est une femme courageuse, forte et qui se battait pour arrêter les méchants, rendre justice aux familles afin de les aider à faire leur deuil. En même temps, c’était la seule personne en qui il pouvait avoir confiance, qui était toujours là pour l’écouter, le soutenir – sans compter les fois où elle risquait sa carrière pour lui à cause de ses sales plans foireux.
N’était-ce pas une preuve d’amour ? Ou simplement une preuve d’affection amicale ?
Même si c’était le cas, il voulait en avoir le cœur net. Jane prit son courage à deux mains et s’avança vers le bureau de Lisbon.
Le consultant s’arrêta au pas de la porte du bureau de sa patronne, se contentant de la dévorer du regard d’un air attendrissant et patient comme il avait l’habitude de faire lorsqu’il avait un plan en tête pour coincer l’assassin au cours d’une enquête.
Sa douce patronne sentit sa présence tout près d’elle mais l’ignora pendant un moment – bien que ce fut difficile car il la dévisageait sans cesse.
Soudain, elle sentit ses joues rougir tellement le regard océan rivé sur elle la mettait terriblement mal à l’aise et il y parvenait toujours – et il adorait la voir rougir, ça la rendait encore plus attirante. Seulement deux bonnes minutes plus tard, Teresa jeta quelques coups d’œil timides, curieux mais agacés et gênants vers Patrick qui continuait toujours de la dévisager, gardant ce même regard mais avec un soupçon de vulnérabilité ainsi que de tristesse dans ses beaux yeux bleus qui montrait autant son côté d’enfant fragile que de celui de chien battu qui le rendait irrésistiblement plus craquant.
Elle finit par se tourner vers lui et brisa le silence.
- Qu’est-ce qu’il y a ? Demanda-t-elle dans un soupir.
- J’ai deux choses à vous dire, Lisbon mais promettez-moi de ne pas vous mettre en colère. Supplia-t-il.
- D’accord. Allez-y. Dit-elle d’une voix calme en fronçant les sourcils.
Mais ces mots, le consultant resta silencieux. Il regarda à droite à gauche en se pinçant la lèvre inférieure sans bouger d’un pouce alors que Lisbon faisait les gros yeux en penchant son visage vers lui d’un air insistant et impatiemment. Elle leva les yeux au ciel avec agacement avant de dire.
- Jane !
En entendant son nom, automatiquement, ce dernier tourna son regard vers elle, plongeant ses yeux océan dans le blanc des yeux émeraude de sa partenaire qui haussa les épaules agacée d’attendre qu’il ouvre enfin la bouche.
- La première chose est : Je crois que l’assassin va réparer son erreur et de s’en prendre à Olivia ce soir. Avoua-t-il.
- Et qu’est-ce qui vous fait dire ça ? Demanda-t-elle.
Jane pénétra par petit pas dans son bureau en s’avançant vers elle sans que l’un et l’autre ne se quittent des yeux.
- L’assassin est peut-être intelligent mais il s’est trompé de cible, Léa Dubois n’était pas l’objectif à abattre. Ca s’avérait un crime passionnel et parfait mais il ne s’était pas douté que les choses tourneraient mal. Expliqua-t-il d’un ton sûr de lui.
- Et il a l’intention de tuer Olivia car c’était elle la cible depuis le début. Comprit-elle d’un air surpris.
Jane pointa du doigt avec un large sourire aux lèvres lui indiquant qu’elle avait raison.
- Voilà ! S’exprima-t-il avec enthousiasme.
- Et je suppose que vous ayez concocté un plan pour accueillir le coupable dans la chambre d’hôtel d’Olivia, c’est ça ? Suggéra Lisbon d’un air sarcastique.
- Bien sûr que non ! Mentit-il en haussant les épaules.
- N’oubliez pas que je suis flic Jane et là, vous ne faites même plus l’effort de me mentir. Lui rappela Lisbon ; alors c’est quoi votre idée ?
- Oui, c’est vrai. Dit-il gêner en baissant la tête dans un sourire ; Et je n’écris pas aussi bien que vous sur le papier. Poursuivit-il en haussant les épaules.
« Et je n’écris pas aussi bien que vous sur le papier » Cette phrase poussa Lisbon à s’interroger sur ce qu’il entendait par là, elle fronça les sourcils en le dévisageant d’un air soupçonneux et intrigué alors que celui-ci l’observait confus et embarrassé puis il brisa le silence.
- Je vous y emmène ? Proposa-t-il dans un sourire.
Elle le regarda incrédule pendant un moment avant de s’exécuter à le suivre, mais pas dans sa DS qu’elle définit comme un « tas de ferrailles », fut la seule condition.
Arrivés la chambre d’hôtel d’Olivia Dubois, la sœur de la victime, Jane ouvrit la porte grâce à un trombone avec l’accord désapprobateur de Lisbon – ce qui était bien entendu illégal et appelé comme une effraction. Le séduisant consultant ouvrit la porte, se mit sur la côté en plaquant la porte contre le mur afin de guider – en parfait gentleman – sa patronne et celle-ci s’exécuta. Jane lui emboîta le pas en refermant la porte à clefs derrière lui comme elle avait été avant qu’ils ne fassent irruption. Lisbon observa la chambre qui n’avait pas du tout changé depuis leur dernière visite, elle ne savait pas où son consultant voulait en venir alors que celui-ci se dirigeait vers la commode en bois dans l’angle près de la porte donnant vers la salle de bain, il cacha discrètement une mini-caméra avec micro parmi des fleurs – des jonquilles – dans un vase en porcelaine blanc.
Lisbon fronça les sourcils, incrédule, intriguée en se demandant quel était son plan puis elle brisa le silence afin d’en avoir le cœur net à ses préoccupations.
- Jane, vous allez finir par m’expliquer votre plan ?
Il lui fit volte-face en s’approchant d’elle, plongeant son regard dans la prunelle de ses yeux en saisissant son portable et composant un numéro.
- L’assassin va venir ici dans très peu de temps après qu’Olivia Dubois rentrera de son travail car il n’aura pas d’autres choix que de venir la voir pour exécuter son plan et une petite initiative de ma part va le pousser à se présenter. Lui expliqua-t-il.
Alors que son interlocutrice allait ouvrir la bouche, Jane porta son portable à son oreille et parla.
- Cho ? C’est bon ?... Formidable, que la folie commence ! Dit Jane avant de raccrocher.
- Quelle initiative ? Répéta Lisbon.
Patrick fouilla la poche gauche de son veston, sortit une petite feuille rose qu’il déplia et le tendit à Teresa qui la prit entre ses mains puis lit à haute voix.
Olivia,
Je suis désolé pour Léa qui était vraiment une fille admirable comme toi et je ne peux imaginer ton chagrin. Si tu as besoin d’une épaule pour te réconforter, d’une personne pour t’écouter ou si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésite pas à me le dire, je serais toujours là pour t’aider quoi qu’il advienne.
Ce que je vais te dire ne va être facile, mais il faut savoir prendre des risques dans la vie. Olivia, je sais qui est l’assassin de ta sœur, mais je ne peux pas te le dire sur le papier sinon tout le monde va croire que j’y suis mêlé alors que c’est totalement faux.
Je passerais te voir à ton hôtel ce soir après ton travail puis en même temps, j’ai quelque chose à te dire ; quelque chose que je voulais te dire depuis tellement longtemps.
Duncan.
Soudain, à la fin de la lettre, Teresa scruta attentivement l’écriture de la lettre alors que Jane reprenait son explication.
- Oui, j’ai écrit et mis ce mot sur le bureau de Duncan Peters comme ça l’assassin va se montrer et on sera là pour le prendre sur le fait en train d’empoisonner Olivia. Poursuivit Jane.
Mais Lisbon scrutait toujours l’écriture jusqu’à ce que ses yeux s’écarquillent et ses joues virent rouges mais rouges pétard. Elle se tourna vers son consultant, déroutée et furieuse alors que Jane essayait de garder son naturel malgré que le masque n’allait pas tarder à tomber.
- Quoi ? Demanda-t-il.
- C’est vous n’est-ce pas ? Soupçonna Lisbon la mâchoire serrée.
Jane haussa les épaules en faisant semblant de ne pas comprendre ni savoir de quoi il parlait alors qu’il évitait le sujet surtout maintenant.
- Arrêtez de vous moquer de moi, Jane ! Hurla-t-elle furieuse. C’est vous qui m’avez envoyé des lettres comme celle-ci et c’est à vous que je répondais en confiant des détails sur moi ! C’est ça !
Soudain, Patrick avait mis son doigt sur ses lèvres pour indiquer à Teresa, folle de rage de se taire et que quelqu’un s’approchait lorsqu’il entendit des pas s’avancer vers la porte d’entrée. Sur-le-champ, le consultant entraîna sa furie jusqu’à la salle de bain et ferma la porte tandis que Lisbon serrait les dents, bouillonnant de colère et fit volte-face contre la porte en chuchotant.
- Vous avez intérêt à vous expliquer si vous voulez que je fasse usage de mon flingue ! Menaça-t-elle ; pourquoi vous m’avez fait une chose pareille ?
Jane soupira en plongeant profondément ses yeux bleus tristes dans le regard émeraude enragé de Lisbon alors qu’ils étaient proches l’un de l’autre.
- Ouvrez les yeux Lisbon ! Lui dit-il d’une voix fragile ; si je vous ai envoyé ces lettres, c’était pour vous dire que je connais chaque éclats d’or dans vos yeux si magnifiques, que je sais quand vous êtes heureuse et malheureuse, que je ne cesse de penser à vous jour et nuit, que vous êtes de plus en plus belle chaque jour, qu’à chaque fois que je suis avec vous je me sens revivre et que vous êtes la plus belle chose qui m’est arrivée dans ma vie. Avoua-t-il en suffoquant à chaque battement de son cœur.
Teresa resta perplexe et sans voix pendant quelques secondes.
- Mais q… qu’est-ce… que ça… Commença-t-elle en bafouillant.
- Je vous aime Lisbon. Avoua-t-il.
Il prit son visage entre ses mains, captura ses lèvres et l’embrassa.
Vos commentaires me font toujours autant plaisir
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Voici la suite...
Et voici le moment de vérité pour Lisbon de découvrir l'identité de son "admirateur secret" Mais en tout cas, j'ai écrit sur un coup de tête comme une folle que je suis par nature mais j'espère en tout cas que ça vous plaira
Puis je remercie encore et encore Sweety pour la correction de ma fic et je tiens à te dire que j'ai eu une p'tite pensée pour toi en même temps que notre actrice préférée Robin Tunney concernant un passage
La suite sera pour Jeudi
Bonne Lecture...
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Chapitre 8 :
Quelques heures plus tard, de retour au QG du CBI alors que la nuit était déjà tombée sur la côte Ouest ET que les bureaux se vidaient petit à petit, Lisbon était dans son bureau devant son ordinateur en train de taper son clavier avec concentration et détente tandis que de son côté, à l’abri des regards dans son repaire, Jane était allongé sur son lit et lisait la lettre récemment écrite par sa dulcinée s’adressant à l’admirateur secret – donc lui.
Admirateur,
Tout d’abord, je tiens à vous remercier pour les fleurs. Je ne m’attendais pas à avoir un magnifique bouquet et je confirme que vous avez réussi à me surprendre.
Vous savez, c’est la toute première fois qu’on m’offre des fleurs, en plus mes préférées, votre geste me touche vraiment et votre surprise a été la seule chose qui a réussi à illuminer ma journée de dur labeur.
Très original votre façon de m’indiquer les couleurs du drapeau français, je vous avouerai, que, j’aimerais bien aussi découvrir Paris, on m’a souvent dit que c’était magique de découvrir la ville lors d’un balade en bateau-mouche dans le soir et je voudrais le voir pour le croire si vous comptez un jour m’y emmener, si vous êtes partant, bien sûr.
Sinon, je rêve d’aller en Irlande parce que c’est là-bas où sont mes racines et que j’apprécie tellement la beauté des lacs du Connemara, la ville de Dublin, les falaises de Moher, des plus belles plages de la côte… si vous saviez comme ce pays est vraiment magnifique au Printemps. C’est ce que j’ai toujours voulu visiter et passer des vacances de pur détente et bonheur.
Vous dites que vous aimez bien cuisiner, je suis partante pour découvrir vos talents culinaires comme ça j’apprendrai plus facilement à faire la cuisine moi-même au lieu de commander des pizzas chez moi parce que parfois je n’ai pas le temps de cuisiner à cause du boulot.
Vous dites de ne plus rajouter de compliments à votre égard soit disant « irrésistiblement flatteurs » parce que je ne cesse de vous faire rougir ?
Et bien oui, je peux vous dire que vous m’avez suffisamment faire rougir pendant que je lisais votre lettre, vous avez trop abusé de compliments envers moi.
Mais en tout cas, je tiens à vous dire que la plupart des hommes dans mon entourage me décrieraient seulement sur ce que je suis vu d’un point vu physique ou profiterait de me consoler seulement pendant un moment de faiblesse voir une nuit ; aujourd’hui, à chaque fois qu’un homme s’approche trop de moi, je reste sur mes gardes parce que j’ai ce pressentiment qu’il a une arrière-pensée. Voilà la raison de ma timidité et ma maladresse aussi je n’ai pas le temps de trouver l’homme « idéal ».
Parmi les hommes que j’ai connus et que je connais, je crois que vous êtes probablement le seul qui me définit de façon si forte, simple, rassurante et… intense dans les moindres détails ce que je suis vraiment et je dois vous avouer que ça me donne une sensation étrange d’avoir l’impression que vous me connaissez depuis longtemps.
Est-ce réellement le cas ? Je n’en ai aucune idée, seul vous avez la réponse je pense.
J’attends avec impatience votre réponse à ma lettre pour vous lire afin d’avoir un peu plus d’informations sur vous et peut-être d’avoir la chance de se rencontre pour de vrai.
Je déposerais l’enveloppe à sa place comme d’habitude.
Je dépose un baiser sur votre joue qui doit être couleur écarlate en ce moment.
Teresa Lisbon.
A la fin de sa lecture, Patrick effleura sa joue du bout de ses doigts fins en constatant d’un point de vue troublant qu’elle avait pris la couleur rouge écarlate comme l’avait prévenue Teresa. Il relut chaque mot de sa patronne écrit, hypnotisé par une telle délicatesse, justesse et sérénité que la jeune femme portait au bout de sa plume.
Il posa la lettre sur son torse et se mit à fixer le plafond ne cessant de penser à leur échange de lettres et le cadeau qui lui avait envoyé dans la journée – plutôt que c’était un coursier qui l’avait envoyé par le fleuriste à deux pâtés de maison d’ici, Jane n’avait fait qu’imposer ses exigences. Quelle modestie ! Surtout quelle frime !
Dans sa tête, il réfléchit à la réaction probable de sa partenaire quand il allait finir par lui avouer la vérité.
La surprise ? La colère ? La confusion ? La déception ? Le désarroi ? L’un comme l’autre et toute évidence, tous ces sentiments allaient y passer.
Et il en était persuadé. Il la connaissait bien, il pouvait lire en elle comme un livre ouvert passionnant dont il tournait les pages une à une sans interruption et sans que le livre ne s’achève. Jane savait aussi qu’il risquait de se faire hurler dessus, insulter voir se prendre une grosse gifle en pleine figure. Soit il prenait le risque d’y laisser sa peau mais il tenait à être honnête, soit il passait le reste de sa vie seul à s’en vouloir et à se répéter sans dire qu’il s’était comporté comme un lâche.
Il se leva de son lit d’un bond en prenant la lettre de Teresa entre se mains, la plia et la rangea dans la poche intérieure de sa veste.
Patrick se posta devant la porte coulissante de son repaire avec la main sur la poignée. Il inspira une grande bouffée d’oxygène – malgré l’odeur de la poussière – expira en secouant la tête, ouvrit la porte et sortit de sa tanière en se répétant.
« Allez Jane ! Courage ! Tu as déjà reçu des poings dans la figure et t’es encore en vie ! Donc tu peux encaisser un de plus… Mais c’est bien ça qui me fait peur ! »
Le craquant consultant dévala les escaliers, stoppa un moment en regardant sa douce patronne de loin à travers les stores de son bureau. Elle était toujours à la tâche et c’est ce qui lui plaisait chez elle.
Malgré la violence menaçante qui redoublait de force dans les coins de rue c’est une femme courageuse, forte et qui se battait pour arrêter les méchants, rendre justice aux familles afin de les aider à faire leur deuil. En même temps, c’était la seule personne en qui il pouvait avoir confiance, qui était toujours là pour l’écouter, le soutenir – sans compter les fois où elle risquait sa carrière pour lui à cause de ses sales plans foireux.
N’était-ce pas une preuve d’amour ? Ou simplement une preuve d’affection amicale ?
Même si c’était le cas, il voulait en avoir le cœur net. Jane prit son courage à deux mains et s’avança vers le bureau de Lisbon.
Le consultant s’arrêta au pas de la porte du bureau de sa patronne, se contentant de la dévorer du regard d’un air attendrissant et patient comme il avait l’habitude de faire lorsqu’il avait un plan en tête pour coincer l’assassin au cours d’une enquête.
Sa douce patronne sentit sa présence tout près d’elle mais l’ignora pendant un moment – bien que ce fut difficile car il la dévisageait sans cesse.
Soudain, elle sentit ses joues rougir tellement le regard océan rivé sur elle la mettait terriblement mal à l’aise et il y parvenait toujours – et il adorait la voir rougir, ça la rendait encore plus attirante. Seulement deux bonnes minutes plus tard, Teresa jeta quelques coups d’œil timides, curieux mais agacés et gênants vers Patrick qui continuait toujours de la dévisager, gardant ce même regard mais avec un soupçon de vulnérabilité ainsi que de tristesse dans ses beaux yeux bleus qui montrait autant son côté d’enfant fragile que de celui de chien battu qui le rendait irrésistiblement plus craquant.
Elle finit par se tourner vers lui et brisa le silence.
- Qu’est-ce qu’il y a ? Demanda-t-elle dans un soupir.
- J’ai deux choses à vous dire, Lisbon mais promettez-moi de ne pas vous mettre en colère. Supplia-t-il.
- D’accord. Allez-y. Dit-elle d’une voix calme en fronçant les sourcils.
Mais ces mots, le consultant resta silencieux. Il regarda à droite à gauche en se pinçant la lèvre inférieure sans bouger d’un pouce alors que Lisbon faisait les gros yeux en penchant son visage vers lui d’un air insistant et impatiemment. Elle leva les yeux au ciel avec agacement avant de dire.
- Jane !
En entendant son nom, automatiquement, ce dernier tourna son regard vers elle, plongeant ses yeux océan dans le blanc des yeux émeraude de sa partenaire qui haussa les épaules agacée d’attendre qu’il ouvre enfin la bouche.
- La première chose est : Je crois que l’assassin va réparer son erreur et de s’en prendre à Olivia ce soir. Avoua-t-il.
- Et qu’est-ce qui vous fait dire ça ? Demanda-t-elle.
Jane pénétra par petit pas dans son bureau en s’avançant vers elle sans que l’un et l’autre ne se quittent des yeux.
- L’assassin est peut-être intelligent mais il s’est trompé de cible, Léa Dubois n’était pas l’objectif à abattre. Ca s’avérait un crime passionnel et parfait mais il ne s’était pas douté que les choses tourneraient mal. Expliqua-t-il d’un ton sûr de lui.
- Et il a l’intention de tuer Olivia car c’était elle la cible depuis le début. Comprit-elle d’un air surpris.
Jane pointa du doigt avec un large sourire aux lèvres lui indiquant qu’elle avait raison.
- Voilà ! S’exprima-t-il avec enthousiasme.
- Et je suppose que vous ayez concocté un plan pour accueillir le coupable dans la chambre d’hôtel d’Olivia, c’est ça ? Suggéra Lisbon d’un air sarcastique.
- Bien sûr que non ! Mentit-il en haussant les épaules.
- N’oubliez pas que je suis flic Jane et là, vous ne faites même plus l’effort de me mentir. Lui rappela Lisbon ; alors c’est quoi votre idée ?
- Oui, c’est vrai. Dit-il gêner en baissant la tête dans un sourire ; Et je n’écris pas aussi bien que vous sur le papier. Poursuivit-il en haussant les épaules.
« Et je n’écris pas aussi bien que vous sur le papier » Cette phrase poussa Lisbon à s’interroger sur ce qu’il entendait par là, elle fronça les sourcils en le dévisageant d’un air soupçonneux et intrigué alors que celui-ci l’observait confus et embarrassé puis il brisa le silence.
- Je vous y emmène ? Proposa-t-il dans un sourire.
Elle le regarda incrédule pendant un moment avant de s’exécuter à le suivre, mais pas dans sa DS qu’elle définit comme un « tas de ferrailles », fut la seule condition.
Arrivés la chambre d’hôtel d’Olivia Dubois, la sœur de la victime, Jane ouvrit la porte grâce à un trombone avec l’accord désapprobateur de Lisbon – ce qui était bien entendu illégal et appelé comme une effraction. Le séduisant consultant ouvrit la porte, se mit sur la côté en plaquant la porte contre le mur afin de guider – en parfait gentleman – sa patronne et celle-ci s’exécuta. Jane lui emboîta le pas en refermant la porte à clefs derrière lui comme elle avait été avant qu’ils ne fassent irruption. Lisbon observa la chambre qui n’avait pas du tout changé depuis leur dernière visite, elle ne savait pas où son consultant voulait en venir alors que celui-ci se dirigeait vers la commode en bois dans l’angle près de la porte donnant vers la salle de bain, il cacha discrètement une mini-caméra avec micro parmi des fleurs – des jonquilles – dans un vase en porcelaine blanc.
Lisbon fronça les sourcils, incrédule, intriguée en se demandant quel était son plan puis elle brisa le silence afin d’en avoir le cœur net à ses préoccupations.
- Jane, vous allez finir par m’expliquer votre plan ?
Il lui fit volte-face en s’approchant d’elle, plongeant son regard dans la prunelle de ses yeux en saisissant son portable et composant un numéro.
- L’assassin va venir ici dans très peu de temps après qu’Olivia Dubois rentrera de son travail car il n’aura pas d’autres choix que de venir la voir pour exécuter son plan et une petite initiative de ma part va le pousser à se présenter. Lui expliqua-t-il.
Alors que son interlocutrice allait ouvrir la bouche, Jane porta son portable à son oreille et parla.
- Cho ? C’est bon ?... Formidable, que la folie commence ! Dit Jane avant de raccrocher.
- Quelle initiative ? Répéta Lisbon.
Patrick fouilla la poche gauche de son veston, sortit une petite feuille rose qu’il déplia et le tendit à Teresa qui la prit entre ses mains puis lit à haute voix.
Olivia,
Je suis désolé pour Léa qui était vraiment une fille admirable comme toi et je ne peux imaginer ton chagrin. Si tu as besoin d’une épaule pour te réconforter, d’une personne pour t’écouter ou si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésite pas à me le dire, je serais toujours là pour t’aider quoi qu’il advienne.
Ce que je vais te dire ne va être facile, mais il faut savoir prendre des risques dans la vie. Olivia, je sais qui est l’assassin de ta sœur, mais je ne peux pas te le dire sur le papier sinon tout le monde va croire que j’y suis mêlé alors que c’est totalement faux.
Je passerais te voir à ton hôtel ce soir après ton travail puis en même temps, j’ai quelque chose à te dire ; quelque chose que je voulais te dire depuis tellement longtemps.
Duncan.
Soudain, à la fin de la lettre, Teresa scruta attentivement l’écriture de la lettre alors que Jane reprenait son explication.
- Oui, j’ai écrit et mis ce mot sur le bureau de Duncan Peters comme ça l’assassin va se montrer et on sera là pour le prendre sur le fait en train d’empoisonner Olivia. Poursuivit Jane.
Mais Lisbon scrutait toujours l’écriture jusqu’à ce que ses yeux s’écarquillent et ses joues virent rouges mais rouges pétard. Elle se tourna vers son consultant, déroutée et furieuse alors que Jane essayait de garder son naturel malgré que le masque n’allait pas tarder à tomber.
- Quoi ? Demanda-t-il.
- C’est vous n’est-ce pas ? Soupçonna Lisbon la mâchoire serrée.
Jane haussa les épaules en faisant semblant de ne pas comprendre ni savoir de quoi il parlait alors qu’il évitait le sujet surtout maintenant.
- Arrêtez de vous moquer de moi, Jane ! Hurla-t-elle furieuse. C’est vous qui m’avez envoyé des lettres comme celle-ci et c’est à vous que je répondais en confiant des détails sur moi ! C’est ça !
Soudain, Patrick avait mis son doigt sur ses lèvres pour indiquer à Teresa, folle de rage de se taire et que quelqu’un s’approchait lorsqu’il entendit des pas s’avancer vers la porte d’entrée. Sur-le-champ, le consultant entraîna sa furie jusqu’à la salle de bain et ferma la porte tandis que Lisbon serrait les dents, bouillonnant de colère et fit volte-face contre la porte en chuchotant.
- Vous avez intérêt à vous expliquer si vous voulez que je fasse usage de mon flingue ! Menaça-t-elle ; pourquoi vous m’avez fait une chose pareille ?
Jane soupira en plongeant profondément ses yeux bleus tristes dans le regard émeraude enragé de Lisbon alors qu’ils étaient proches l’un de l’autre.
- Ouvrez les yeux Lisbon ! Lui dit-il d’une voix fragile ; si je vous ai envoyé ces lettres, c’était pour vous dire que je connais chaque éclats d’or dans vos yeux si magnifiques, que je sais quand vous êtes heureuse et malheureuse, que je ne cesse de penser à vous jour et nuit, que vous êtes de plus en plus belle chaque jour, qu’à chaque fois que je suis avec vous je me sens revivre et que vous êtes la plus belle chose qui m’est arrivée dans ma vie. Avoua-t-il en suffoquant à chaque battement de son cœur.
Teresa resta perplexe et sans voix pendant quelques secondes.
- Mais q… qu’est-ce… que ça… Commença-t-elle en bafouillant.
- Je vous aime Lisbon. Avoua-t-il.
Il prit son visage entre ses mains, captura ses lèvres et l’embrassa.
TBC...
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Red letters passion ^
alors la bravo, tu m'a fait pleurer
c'était très bien écrit, j'adore quand elle compare les lettres
ps : juste, il y a un passage qui est bizarre, question grammaire et conjugaison :
j'ai un peu de mal, tu commence avec du plus que parfait, puis de l'imparfait pour finir par du passé simple et tout ça commençant avec soudain qui lui est un adverbe qui s'accompagne de passé simple et non de pqpft. de plus, oui je sais, je suis chiante, tu utilise la forme "et que quelqu'un" qui s'utilise avec un autre que plaçé avant (que ... et que ...) ça fait bizarre, je tenais à te le dire, j'espère que tu ne m'en veux pas (j'ai une mère prof des écoles, ça explique tout )
c'était très bien écrit, j'adore quand elle compare les lettres
ps : juste, il y a un passage qui est bizarre, question grammaire et conjugaison :
Soudain, Patrick avait mis son doigt sur ses lèvres pour indiquer à Teresa, folle de rage de se taire et que quelqu’un s’approchait lorsqu’il entendit des pas s’avancer vers la porte d’entrée. Sur-le-champ, le consultant entraîna sa furie jusqu’à la salle de bain et ferma la porte tandis que Lisbon serrait les dents, bouillonnant de colère et fit volte-face contre la porte en chuchotant.
j'ai un peu de mal, tu commence avec du plus que parfait, puis de l'imparfait pour finir par du passé simple et tout ça commençant avec soudain qui lui est un adverbe qui s'accompagne de passé simple et non de pqpft. de plus, oui je sais, je suis chiante, tu utilise la forme "et que quelqu'un" qui s'utilise avec un autre que plaçé avant (que ... et que ...) ça fait bizarre, je tenais à te le dire, j'espère que tu ne m'en veux pas (j'ai une mère prof des écoles, ça explique tout )
Dernière édition par Jiisbon le Mar 26 Avr 2011 - 18:33, édité 1 fois
Jiisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Lisbon & Jane
Localisation : N'importe où, tant que qu'il y a du soleil
Re: Red letters passion ^
Je plussoie Jiisbon: je suis
de joie je te rassure
C'est trop beau!!!!!!!
Génial l'idée que Lisbon comprend grâce aux écritures, ça y est elle a enfin capté!
Et que dire de la fin quand il l'emmène dans la salle de bain et qu'il lui dit tout ça!
MAGNIFIQUE MAGNIFIQUE MAGNIFIQUE
Je languis trop la suite pour savoir comment Lisbon va réagir!!!!
de joie je te rassure
C'est trop beau!!!!!!!
Génial l'idée que Lisbon comprend grâce aux écritures, ça y est elle a enfin capté!
Et que dire de la fin quand il l'emmène dans la salle de bain et qu'il lui dit tout ça!
MAGNIFIQUE MAGNIFIQUE MAGNIFIQUE
Je languis trop la suite pour savoir comment Lisbon va réagir!!!!
alamanga- Red John
- Personnage préféré : Cho, Lisbon, Jane. Van Pelt et Rigsby aussi.Abbott, Fischer, Wylie et Vega.
Loisirs : La TV, me balader, visiter...et rêver!
Localisation : Devant mon ordi, sous le soleil exactement!
Re: Red letters passion ^
Pas futé Jane sur le coup...ou était-ce prémédité...j'opterai pour la seconde supposition
il a enfin avoué
maintenant reste à avoir si Lisbon va utiliser son flingue, son poing...ou répondra t-elle à ses avances :bounce: :bounce: :bounce:
il a enfin avoué
maintenant reste à avoir si Lisbon va utiliser son flingue, son poing...ou répondra t-elle à ses avances :bounce: :bounce: :bounce:
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Red letters passion ^
La fin est superbe
J'ai trop hâte de lire la suite pour voir comment Lisbon va réagir.
Merci JA
J'ai trop hâte de lire la suite pour voir comment Lisbon va réagir.
Merci JA
teninches- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Localisation : Dans les locaux du CBI
Re: Red letters passion ^
Merci infiniment les filles !!
Trop ravie de voir que ça vous plaise
Oh! Je ne voulais pas surtout pas vous faire pleurer Jiisbon & 'Manga mais du moment que c'est de joie, ça me soulage
@ Jiisbon : T'inquiètes, je ne t'en veux pas mais ne le prends pas mal et ce n'est pas trop toi t'inquiète mais je préfère éviter le sujet parce que quand je fais une faute que soit de conjugaison ou d'orthographe, je m'énerve assez rapidement et là, c'est le cas car je suis super exigeante là-dessus alors que je suis une experte en français voir en orthographe. Mais là, vu que je sens que je vieillit trop rapidement je pense que je vais retourner à l'école
Désolée si tu l'as mal pris mais je ne cherchais pas à être méchante juste à être directe et honnête
Trop ravie de voir que ça vous plaise
Oh! Je ne voulais pas surtout pas vous faire pleurer Jiisbon & 'Manga mais du moment que c'est de joie, ça me soulage
@ Jiisbon : T'inquiètes, je ne t'en veux pas mais ne le prends pas mal et ce n'est pas trop toi t'inquiète mais je préfère éviter le sujet parce que quand je fais une faute que soit de conjugaison ou d'orthographe, je m'énerve assez rapidement et là, c'est le cas car je suis super exigeante là-dessus alors que je suis une experte en français voir en orthographe. Mais là, vu que je sens que je vieillit trop rapidement je pense que je vais retourner à l'école
Désolée si tu l'as mal pris mais je ne cherchais pas à être méchante juste à être directe et honnête
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Red letters passion ^
no problème JA
Jiisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Lisbon & Jane
Localisation : N'importe où, tant que qu'il y a du soleil
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
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Re: Red letters passion ^
Oh Oh OH !!!!
Mais
Enfin il passe à l'action !!
Bon ok le lieu n'est pas le plus romantique qu'il existe mais au moins Lisbon est fixée !
Hâte de voir sa réction
Alors VLS
Mais
Enfin il passe à l'action !!
Bon ok le lieu n'est pas le plus romantique qu'il existe mais au moins Lisbon est fixée !
Hâte de voir sa réction
Alors VLS
terpo4- Agent de circulation
- Localisation : Dans ce monde étrange que l'on nomme " Planète TM "
Re: Red letters passion ^
Jiisbon a écrit:alors la bravo, tu m'a fait pleurer
c'était très bien écrit, j'adore quand elle compare les lettres
ps : juste, il y a un passage qui est bizarre, question grammaire et conjugaison :Soudain, Patrick avait mis son doigt sur ses lèvres pour indiquer à Teresa, folle de rage de se taire et que quelqu’un s’approchait lorsqu’il entendit des pas s’avancer vers la porte d’entrée. Sur-le-champ, le consultant entraîna sa furie jusqu’à la salle de bain et ferma la porte tandis que Lisbon serrait les dents, bouillonnant de colère et fit volte-face contre la porte en chuchotant.
j'ai un peu de mal, tu commence avec du plus que parfait, puis de l'imparfait pour finir par du passé simple et tout ça commençant avec soudain qui lui est un adverbe qui s'accompagne de passé simple et non de pqpft. de plus, oui je sais, je suis chiante, tu utilise la forme "et que quelqu'un" qui s'utilise avec un autre que plaçé avant (que ... et que ...) ça fait bizarre, je tenais à te le dire, j'espère que tu ne m'en veux pas (j'ai une mère prof des écoles, ça explique tout )
la faute viens de moi Jiisbon en corrigeant j'ai surement laissé passer une erreur, et je m'en excuse je devrais penser à faire ça la journée au lie de la nuit
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Red letters passion ^
Tu es toute pardonnée Sweety et comment on t'en voudrait, on t'adore trop
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
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Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Red letters passion ^
ah c'est pas grave sweety, on s'en fiche après tout
Jiisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Lisbon & Jane
Localisation : N'importe où, tant que qu'il y a du soleil
Re: Red letters passion ^
merci de pas m'en vouloir
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Red letters passion ^
Tout d'abord:
Ensuite: Pardon de ne commenter que maintenant, je galère un peu en ce moment et internet aussi malheureusement J'espère que tu ne m'en veux pas trop
Et enfin, le plus important:
Elle a enfin ouvert les yeux notre Lisbon-Je-Comprends-Pas-Trop-Comment-J'ai-Réussi-A-Devenir-Flic-En-Etant-Si-Aveugle
Et evidemment, il a fallu que tu nous les mette dans une situation très délicate pour ce moment... révélateur !
La déclaration de Jane...
Je sens que la suite risque d'être mouvementée
Un grand bravo pour ce super chapitre très émouvant et superbement bien écrit
Ensuite: Pardon de ne commenter que maintenant, je galère un peu en ce moment et internet aussi malheureusement J'espère que tu ne m'en veux pas trop
Et enfin, le plus important:
Elle a enfin ouvert les yeux notre Lisbon-Je-Comprends-Pas-Trop-Comment-J'ai-Réussi-A-Devenir-Flic-En-Etant-Si-Aveugle
Et evidemment, il a fallu que tu nous les mette dans une situation très délicate pour ce moment... révélateur !
La déclaration de Jane...
Je sens que la suite risque d'être mouvementée
Un grand bravo pour ce super chapitre très émouvant et superbement bien écrit
Invité- Invité
Re: Red letters passion ^
Ouah !! Merciii beaucoup ma Aphraël
Trop ravie que ça te plaise malgré que je ne m'y attendais pas que ça allait faire un tel effet sur toi
Mais non, je ten veux pas pourquoi je t'en voudrais après avoir lu ton joli commentaire qui fait super plaisir
La suite sera pour demain
Trop ravie que ça te plaise malgré que je ne m'y attendais pas que ça allait faire un tel effet sur toi
Mais non, je ten veux pas pourquoi je t'en voudrais après avoir lu ton joli commentaire qui fait super plaisir
La suite sera pour demain
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Red letters passion ^
D'abord, désolée pour le double-poste
Voici la suite...
L'instant de vérité sur la réaction de Lisbon ainsi que la fin de l'enquête
La suite sera pour Dimanche Je vous confie que la suite risque d'être assez douloureux pour vous et pourquoi ? Ca, je ne vous le dirait pas
Il ne reste plus que deux chapitres après cela, oui, c'est déjà presque la fin mais comme je l'ai dit, je voulais faire en sorte être proche de la série mais je me suis amusée à l'écrire rien que pour vous mes p'tites Jisbonneuses
Mais en attendant Bonne Lecture...
__________________________________________________________
Lisbon fut surprise et ses yeux s’écarquillèrent. Elle trembla, troublée par son baiser ; pendant un instant la jeune femme resta figée, interdite. Mais son baiser était tendre… doux… intense… voluptueux et tellement… envoûtant et amoureux qu’aucun homme n’avait pu lui faire tant d’effet lors d’un tout premier baiser – surtout aucun de la gent masculine ne l’avait jamais l’embrasser comme Patrick Jane était en train de le faire pour la première fois.
Pendant combien de temps avait-elle tant espéré ce moment ? Combien de fois avait-elle voulu que son rêve se réalise enfin ? Et depuis combien de temps avait-elle résisté à la tentation et de franchir la limite une seule fois ?
Alors qu’elle était plongée dans ses pensées, Jane approfondit son baiser, une main restant sur sa joue empourprée tandis que l’autre main glissa délicatement sur sa hanche afin de la serrer contre lui en laissant échapper un soupir d’aise. Soudain, Lisbon ferma lentement ses yeux en posant ses mains sur son torse où elle pouvait sentir les battements de son cœur contre la paume de sa main.
Mais, alors qu’elle allait lui voler un baiser, des questions trottèrent dans sa tête. Si jamais Hightower finissait par apprendre leur relation ? Elle allait la supprimer de son poste voir la renvoyer du CBI ? Ou dans ces cas-là, l’histoire allait se répéter comme pour Rigsby et Van Pelt ?
Par crainte de perdre son job, par peur que leur liaison fasse le tour du bâtiment pour arriver jusqu’aux oreilles d’Hightower et que leur relation ne se complique lorsqu’ils se croiseraient au bureau, la brunette ouvrit les yeux, le repoussa à l’aide de ses mains pour l’éloigner d’elle et mit fin au baiser. Sur le coup, Teresa colla à Patrick une énorme gifle dont le consultant fut presque K.O. en portant sa main sur sa joue en feu par la claque de Lisbon.
Il la regarda, confus, alors qu’elle le fusillait du regard – bien qu’elle avait rougi et tremblé quand il l’avait embrassé. Jane savait qu’elle avait ressentit quelque chose mais ne disait rien. Il avait déjà eu suffisamment de claques pour aujourd’hui.
- Ne vous avisez plus jamais à me faire ça ! Prévint-elle d’un ton menaçant et embarrassé.
Un ange passa. Deux. Trois. Cela devenait interminable. Jane lui adressa un regard incrédule et perplexe malgré qu’il fût encore un peu sonné par la gifle alors que Lisbon le toisait du regard, mal à l’aise. Elle baissa la tête en cachant ses joues rouges – plutôt cachant le rouge de désir et de colère – derrière ses cheveux bruns. Patrick l’observa attentivement afin d’entrer dans son esprit et soudainement, quelques secondes plus tard, il sentit la déception et la tristesse l’envahir. Il en conclut que Teresa avait peur de perdre son poste de chef d’équipe de l’unité si jamais Madeleine finissait par apprendre qu’ils entretenaient une liaison au sein du CBI, que le même sort allait s’abattre sur eux, comme pour Rigsby et Van Pelt puis qu’un choix s’imposerait : Garder leur job ? Ou leur couple ?
Mais avait-elle vraiment des sentiments pour lui ? Est-ce qu’il avait de l’importance à ses yeux ? Pourquoi un consultant et un agent du CBI seraient privés du droit d’entretenir une relation ?
C’est vrai. Elle était agent et lui était consultant ! Mais Jane remit en compte qu’Hightower l’avait mis en garde comme quoi à la moindre infraction, Lisbon risquait de se faire virer car il était bien trop précieux pour le bureau. Il s’en fichait de ce que pensaient les supérieurs, du règlement… de tout – pour rien y changer. Il sentait bien que Lisbon avait de l’attirance pour lui depuis le début mais elle ne cessait de nier tout en bloc pour conserver son job et c’était ce qui le décevait, mais malgré cela mais il comprenait ses angoisses.
Lorsqu’il s’apprêta à ouvrir la bouche, le bruit d’un tour de clés dans la serrure de la porte de la chambre d’hôtel le retint. Tous deux firent volte-face mais pouvaient croiser leurs regards – enfin, se jetant de brefs regards sans qu’ils ne se croisent - plaquèrent une oreille discrète sur la porte de la salle de bain afin d’entendre ce qui se passait. Olivia pénétra dans sa chambre d’hôtel et la ferma derrière elle dans un soupir d’exaspération et épuisée par son travail. Elle jeta ses clefs sur la commode, laissa tomber ses affaires à l’entrée puis s’écroula sur le ventre sur son lit. La jeune fille fixa longuement la photo d’elle et de sa sœur décédée sur la table de nuit avec nostalgie et mélancolie et des larmes lui montèrent aux yeux.
Pendant ce temps, Lisbon s’impatientait en sautillant sur ses talons étant presser que le plan de Jane s’achève enfin et de sortir de la petite salle de bain. Elle se mit à observer discrètement – malgré que ce ne fût pas assez sans pouvoir se faire remarquer – vers son consultant et rompit le silence.
- Si dans les secondes qui suivent, votre plan ne présente aucun résultat, je me casse d’ici ! Murmura Lisbon en serrant les dents d’un ton colérique mais embarrassé.
- Patience… Ca va venir. Murmura-t-il d’une voix triste mais douce.
Soudain, quelqu’un frappa à la porte. Jane et Lisbon se toisèrent du regard pendant qu’Olivia se tournait vers la porte, se leva du lit en passant ses mains sur son visage pour essuyer ses larmes, réajusta sa tenue en reprenant son souffle tandis qu’elle se dirigeait vers la porte.
La jeune fille ouvrit la porte en tirant la porte vers elle et fut surprise en découvrant la personne se trouvant en face d’elle.
- Lana !
- Salut Olivia ! Salua celle-ci.
- Coucou Lana Cheng. Salua Jane dans un murmure.
- La fiancée de Duncan Peters !?! Dit Lisbon d’un air surpris.
Ils se regardèrent condescendants – sans oublier le malaise du baiser qui ne cessait de les ronger. Lisbon retourna jouer les concierges de services tandis que Jane attrapait son téléphone.
- Cho !
- Bravo pour ton serment ! Répliqua Cho.
- Vraiment romantique et touchant ce que tu as dis. Souffla Grace.
- C’était trop fort. Ajouta Wayne.
- La prochaine fois, je vous offrirai les places au premier rang pour le prochain numéro. Répliqua Jane septique ; vous êtes prêt ?
- On est déjà à la projection. Dit Cho.
Dans la SUV, devant l’écran d’ordinateur connecté avec la caméra ainsi que leurs oreilles avec le micro, les trois agents virent et entendirent tout. Pendant ce temps, les deux femmes s’entrelacèrent – Lana avec un air détaché et ironique, Olivia avec un air triste et sympathique.
- J’espère que je ne te dérange pas ? Demanda Lana.
- Non, non. Je t’en prie entre. Proposa gentiment Olivia d’une voix faible.
Lana s’exécuta tandis qu’Olivia fermait la porte derrière la chinoise puis se mit à côté d’elle.
- Qu’est-ce qui t’amène ici Lana ? Demanda Olivia.
- On n’a pas eu le temps de se voir depuis le temps donc je ne suis venue te dire que j’étais désolée pour Léa. Je l’aimais bien comme une sœur. S’excusa Lana d’un air détaché et forcé.
Olivia lui sourit tristement en hochant la tête avec les yeux qui menacèrent de pleurer.
- Puis tu sais que si t’as besoin de parler ou de quoi que ce soit, je suis là. Enchaîna la chinoise avec désintérêt.
- C’est gentil à toi. Merci. Lui remercia-t-elle d’une voix faible ; tu veux quelque chose à boire ?
- Je veux bien un peu de champagne, en l’honneur de Léa. Lui répondit la chinoise.
- Bonne idée, je vais chercher ça. Dit Olivia.
Elle partit vers le minibar tandis que Jane entrebâillât petit à petit la porte pour mieux voir la scène, suivit de Lisbon qui souhaitait plus que tout de voir ce qui se passait et se colla presque à lui et son consultant pouvait sentit agréablement l’odeur du shampooing dans sa chevelure brune. Il fût envoûté par l’odeur enivrante et naturelle de l’amande douce et du lin qui lui correspondait parfaitement ; mais il sortit de ses pensées en secouant la tête et se tourna vers Cho.
- Cho, prépares-toi.
Au signal, Kimball sortit de la SUV et partit à l’intérieur de l’hôtel.
Pendant ce temps, les autres continuaient de suivre la scène. La sœur de la défunte arrivait vers Lana avec un sceau remplit de glaçons gardant au frais une bouteille de champagne et des coupes. Olivia les posa sur une petite table, tendit une coupe à Lana, prit la bouteille dans sa main libre, versa le liquide pétillant dans la coupe de son amie avant de se servir. La jeune fille reposa la bouteille dans le sceau et se tourna vers Lana en levant son verre.
- A Léa ! A ma sœur incroyable ! Annonça Olivia avec émotion.
- On ne t’oubliera jamais Léa. Dit Lana.
Elles trinquèrent en cognant leurs coupes l’une contre l’autre mais lorsqu’elles allaient porter les coupes à leurs lèvres, on frappa à la porte. Surprises, elles se regardèrent, l’air interrogateur. Olivia posa son verre sur la petite table.
- Excuse-moi, je reviens. S’excusa Olivia.
La jeune fille s’éloigna de son amie qui l’observa se diriger vers la porte de la chambre avec discrétion, regarda prudemment d’un air mauvais à droite et à gauche en entendant la porte s’ouvrir, plongea une main dans son sac à main et sortit une fiole contenant un liquide jaunâtre transparent.
- Si tu crois que tu vas me prendre Duncan, tu te trompes sale petite garce ! Marmonna-t-elle d’un air menaçant en serrant sa mâchoire.
Tout à coup, lorsqu’elle allait ouvrir la fiole en la penchant vers le verre d’Olivia, une porte s’ouvrit, des pas vinrent dans sa direction suivit d’une voix féminine.
- Ne bougez pas ! Avertit la voix.
Lana releva la tête et fût surprise de voir Lisbon pointée son arme vers elle suivit de Jane et Cho arrivant vers elle dans la même posture que sa boss.
- Mais… Enfin, qu’est-ce qui se passe ? Demanda Lana.
- Oh ! Arrêtez votre cirque, on sait que c’est vous la coupable dans l’histoire. Rétorqua Jane.
- Donnez-nous la fiole et mettez les mains derrière le dos ! Ordonna Cho.
Lana s’exécuta. Lisbon prit la fiole tandis que Lana mit les mains dans le dos et que Kimball rangeait son arme et lui passait les menottes.
- Est-ce que vous pouvez m’expliquer ce qui se passe et ce que vous faites dans ma chambre ? Demanda Olivia inquiète et agacée.
- Votre soit disant amie est une affreuse vipère qui était à deux doigts de vous tuer. Répondit le consultant.
Olivia regarda le blondinet d’un air interrogateur et stupéfait avant de se tourner vers Lana qui fit les yeux noirs.
- C’est vrai ? Demanda la jeune fille à son amie.
- Vous n’avez aucune preuve. Dit Lana sûre d’elle.
- Si, on a tous filmé et enregistré dans les moindres détails depuis votre entrée dans la chambre. Intervint Lisbon satisfaite.
- Edward Sinise nous a dit que votre « fiancé » Duncan était amoureux d’Olivia et que vous saviez dès le début qu’il lui envoyé des lettres. Commença Jane.
Lana le fixa alors que son visage se décomposait tandis qu’Olivia était bouche bée en commençant à bouillonner de colère puis Jane enchaîna son explication.
- Je me doutais que c’était vous quand je vous ai vu avec Duncan qui ne faisait pas attention à vous alors que vous lui serrez le bras comme un objet qui vous appartient. Vous avez essayé d’imiter l’écriture d’Hugo et envoyé les lettres à Léa pour qu’Olivia ne les reçoive jamais… Mais c’en était de trop donc ce jour-là, vous avez décidé de railler Olivia de sa vie pour que Duncan reste à vos côtés, donc vous avez injecté le poison dans son verre… Enchaîna Jane.
- Nous savons que vous travaillez dans un Laboratoire en association avec le parc animalier de San Francisco donc vous procurer du venin de cobra a été très facile. Ajouta Lisbon.
- Mais… Intervint le consultant en levant le doigt, vous vous êtes aperçue que c’est Léa qui a bu le verre de sa sœur avec le poison et que c’était trop tard. Vous avez volé la vie de Léa alors qu’elle voulait juste se marier.
La jeune chinoise bouillonna de colère et de haine alors qu’Olivia versa des larmes silencieuses en adressant un regard noir vers Lana.
- Duncan est à moi ! Dit-elle en serrant les dents avec rage. J’étais prête à faire ma vie avec lui ! Jusqu’à ce que tu débarques et qu’il tombe amoureux de toi que ça m’a dégoutté ! Je ne voulais pas tuer Léa mais toi ! Comme ça Duncan se tournerait vers moi !
Olivia, en sanglots, s’apprêta à se jeter sur elle pour l’étrangler mais Lisbon la retint.
- Laissez-moi vous dire une chose. Intervint Jane ; l’amour ne se commande pas, l’amour c’est deux cœurs qui battent quand ils se croisent, l’amour est comme le destin : il guide deux êtres humains faits pour être ensemble.
En entendant ces mots avec tendresse, fermeté et sincérité ; Teresa ressentit un frisson parcourir son dos lorsqu’elle regarda incrédule et bouche bée les yeux tristes et sincères de son consultant envers Lana qui restait stupéfaite.
- Duncan ne vous mérite pas et vous non plus d’ailleurs. Ajouta le consultant
Lana baissa la tête totalement abasourdie. Alors que Jane partait, il croisa le regard émeraude de Lisbon qui fût surprise et troublée par ces paroles d’une telle sincérité. Le consultant plongea son regard océan dans le sien lui indiquant sa tristesse et sa compréhension sur le fait qu’elle avait des craintes à cause du règlement qui pourrait les séparer ou la fasse renvoyer de son poste. Jane s’éloigna et sortit de la chambre avec un pincement au cœur, ainsi que Lisbon qui commençait à avoir des regrets et le cœur serré malgré ce qu’elle pouvait ressentir pour son consultant. Elle sortit de ses pensées et suivit avec Olivia, Cho qui sortait de la chambre en embarquant l’assassin.
Voici la suite...
L'instant de vérité sur la réaction de Lisbon ainsi que la fin de l'enquête
La suite sera pour Dimanche Je vous confie que la suite risque d'être assez douloureux pour vous et pourquoi ? Ca, je ne vous le dirait pas
Il ne reste plus que deux chapitres après cela, oui, c'est déjà presque la fin mais comme je l'ai dit, je voulais faire en sorte être proche de la série mais je me suis amusée à l'écrire rien que pour vous mes p'tites Jisbonneuses
Mais en attendant Bonne Lecture...
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Chapitre 9 :
Lisbon fut surprise et ses yeux s’écarquillèrent. Elle trembla, troublée par son baiser ; pendant un instant la jeune femme resta figée, interdite. Mais son baiser était tendre… doux… intense… voluptueux et tellement… envoûtant et amoureux qu’aucun homme n’avait pu lui faire tant d’effet lors d’un tout premier baiser – surtout aucun de la gent masculine ne l’avait jamais l’embrasser comme Patrick Jane était en train de le faire pour la première fois.
Pendant combien de temps avait-elle tant espéré ce moment ? Combien de fois avait-elle voulu que son rêve se réalise enfin ? Et depuis combien de temps avait-elle résisté à la tentation et de franchir la limite une seule fois ?
Alors qu’elle était plongée dans ses pensées, Jane approfondit son baiser, une main restant sur sa joue empourprée tandis que l’autre main glissa délicatement sur sa hanche afin de la serrer contre lui en laissant échapper un soupir d’aise. Soudain, Lisbon ferma lentement ses yeux en posant ses mains sur son torse où elle pouvait sentir les battements de son cœur contre la paume de sa main.
Mais, alors qu’elle allait lui voler un baiser, des questions trottèrent dans sa tête. Si jamais Hightower finissait par apprendre leur relation ? Elle allait la supprimer de son poste voir la renvoyer du CBI ? Ou dans ces cas-là, l’histoire allait se répéter comme pour Rigsby et Van Pelt ?
Par crainte de perdre son job, par peur que leur liaison fasse le tour du bâtiment pour arriver jusqu’aux oreilles d’Hightower et que leur relation ne se complique lorsqu’ils se croiseraient au bureau, la brunette ouvrit les yeux, le repoussa à l’aide de ses mains pour l’éloigner d’elle et mit fin au baiser. Sur le coup, Teresa colla à Patrick une énorme gifle dont le consultant fut presque K.O. en portant sa main sur sa joue en feu par la claque de Lisbon.
Il la regarda, confus, alors qu’elle le fusillait du regard – bien qu’elle avait rougi et tremblé quand il l’avait embrassé. Jane savait qu’elle avait ressentit quelque chose mais ne disait rien. Il avait déjà eu suffisamment de claques pour aujourd’hui.
- Ne vous avisez plus jamais à me faire ça ! Prévint-elle d’un ton menaçant et embarrassé.
Un ange passa. Deux. Trois. Cela devenait interminable. Jane lui adressa un regard incrédule et perplexe malgré qu’il fût encore un peu sonné par la gifle alors que Lisbon le toisait du regard, mal à l’aise. Elle baissa la tête en cachant ses joues rouges – plutôt cachant le rouge de désir et de colère – derrière ses cheveux bruns. Patrick l’observa attentivement afin d’entrer dans son esprit et soudainement, quelques secondes plus tard, il sentit la déception et la tristesse l’envahir. Il en conclut que Teresa avait peur de perdre son poste de chef d’équipe de l’unité si jamais Madeleine finissait par apprendre qu’ils entretenaient une liaison au sein du CBI, que le même sort allait s’abattre sur eux, comme pour Rigsby et Van Pelt puis qu’un choix s’imposerait : Garder leur job ? Ou leur couple ?
Mais avait-elle vraiment des sentiments pour lui ? Est-ce qu’il avait de l’importance à ses yeux ? Pourquoi un consultant et un agent du CBI seraient privés du droit d’entretenir une relation ?
C’est vrai. Elle était agent et lui était consultant ! Mais Jane remit en compte qu’Hightower l’avait mis en garde comme quoi à la moindre infraction, Lisbon risquait de se faire virer car il était bien trop précieux pour le bureau. Il s’en fichait de ce que pensaient les supérieurs, du règlement… de tout – pour rien y changer. Il sentait bien que Lisbon avait de l’attirance pour lui depuis le début mais elle ne cessait de nier tout en bloc pour conserver son job et c’était ce qui le décevait, mais malgré cela mais il comprenait ses angoisses.
Lorsqu’il s’apprêta à ouvrir la bouche, le bruit d’un tour de clés dans la serrure de la porte de la chambre d’hôtel le retint. Tous deux firent volte-face mais pouvaient croiser leurs regards – enfin, se jetant de brefs regards sans qu’ils ne se croisent - plaquèrent une oreille discrète sur la porte de la salle de bain afin d’entendre ce qui se passait. Olivia pénétra dans sa chambre d’hôtel et la ferma derrière elle dans un soupir d’exaspération et épuisée par son travail. Elle jeta ses clefs sur la commode, laissa tomber ses affaires à l’entrée puis s’écroula sur le ventre sur son lit. La jeune fille fixa longuement la photo d’elle et de sa sœur décédée sur la table de nuit avec nostalgie et mélancolie et des larmes lui montèrent aux yeux.
Pendant ce temps, Lisbon s’impatientait en sautillant sur ses talons étant presser que le plan de Jane s’achève enfin et de sortir de la petite salle de bain. Elle se mit à observer discrètement – malgré que ce ne fût pas assez sans pouvoir se faire remarquer – vers son consultant et rompit le silence.
- Si dans les secondes qui suivent, votre plan ne présente aucun résultat, je me casse d’ici ! Murmura Lisbon en serrant les dents d’un ton colérique mais embarrassé.
- Patience… Ca va venir. Murmura-t-il d’une voix triste mais douce.
Soudain, quelqu’un frappa à la porte. Jane et Lisbon se toisèrent du regard pendant qu’Olivia se tournait vers la porte, se leva du lit en passant ses mains sur son visage pour essuyer ses larmes, réajusta sa tenue en reprenant son souffle tandis qu’elle se dirigeait vers la porte.
La jeune fille ouvrit la porte en tirant la porte vers elle et fut surprise en découvrant la personne se trouvant en face d’elle.
- Lana !
- Salut Olivia ! Salua celle-ci.
- Coucou Lana Cheng. Salua Jane dans un murmure.
- La fiancée de Duncan Peters !?! Dit Lisbon d’un air surpris.
Ils se regardèrent condescendants – sans oublier le malaise du baiser qui ne cessait de les ronger. Lisbon retourna jouer les concierges de services tandis que Jane attrapait son téléphone.
- Cho !
- Bravo pour ton serment ! Répliqua Cho.
- Vraiment romantique et touchant ce que tu as dis. Souffla Grace.
- C’était trop fort. Ajouta Wayne.
- La prochaine fois, je vous offrirai les places au premier rang pour le prochain numéro. Répliqua Jane septique ; vous êtes prêt ?
- On est déjà à la projection. Dit Cho.
Dans la SUV, devant l’écran d’ordinateur connecté avec la caméra ainsi que leurs oreilles avec le micro, les trois agents virent et entendirent tout. Pendant ce temps, les deux femmes s’entrelacèrent – Lana avec un air détaché et ironique, Olivia avec un air triste et sympathique.
- J’espère que je ne te dérange pas ? Demanda Lana.
- Non, non. Je t’en prie entre. Proposa gentiment Olivia d’une voix faible.
Lana s’exécuta tandis qu’Olivia fermait la porte derrière la chinoise puis se mit à côté d’elle.
- Qu’est-ce qui t’amène ici Lana ? Demanda Olivia.
- On n’a pas eu le temps de se voir depuis le temps donc je ne suis venue te dire que j’étais désolée pour Léa. Je l’aimais bien comme une sœur. S’excusa Lana d’un air détaché et forcé.
Olivia lui sourit tristement en hochant la tête avec les yeux qui menacèrent de pleurer.
- Puis tu sais que si t’as besoin de parler ou de quoi que ce soit, je suis là. Enchaîna la chinoise avec désintérêt.
- C’est gentil à toi. Merci. Lui remercia-t-elle d’une voix faible ; tu veux quelque chose à boire ?
- Je veux bien un peu de champagne, en l’honneur de Léa. Lui répondit la chinoise.
- Bonne idée, je vais chercher ça. Dit Olivia.
Elle partit vers le minibar tandis que Jane entrebâillât petit à petit la porte pour mieux voir la scène, suivit de Lisbon qui souhaitait plus que tout de voir ce qui se passait et se colla presque à lui et son consultant pouvait sentit agréablement l’odeur du shampooing dans sa chevelure brune. Il fût envoûté par l’odeur enivrante et naturelle de l’amande douce et du lin qui lui correspondait parfaitement ; mais il sortit de ses pensées en secouant la tête et se tourna vers Cho.
- Cho, prépares-toi.
Au signal, Kimball sortit de la SUV et partit à l’intérieur de l’hôtel.
Pendant ce temps, les autres continuaient de suivre la scène. La sœur de la défunte arrivait vers Lana avec un sceau remplit de glaçons gardant au frais une bouteille de champagne et des coupes. Olivia les posa sur une petite table, tendit une coupe à Lana, prit la bouteille dans sa main libre, versa le liquide pétillant dans la coupe de son amie avant de se servir. La jeune fille reposa la bouteille dans le sceau et se tourna vers Lana en levant son verre.
- A Léa ! A ma sœur incroyable ! Annonça Olivia avec émotion.
- On ne t’oubliera jamais Léa. Dit Lana.
Elles trinquèrent en cognant leurs coupes l’une contre l’autre mais lorsqu’elles allaient porter les coupes à leurs lèvres, on frappa à la porte. Surprises, elles se regardèrent, l’air interrogateur. Olivia posa son verre sur la petite table.
- Excuse-moi, je reviens. S’excusa Olivia.
La jeune fille s’éloigna de son amie qui l’observa se diriger vers la porte de la chambre avec discrétion, regarda prudemment d’un air mauvais à droite et à gauche en entendant la porte s’ouvrir, plongea une main dans son sac à main et sortit une fiole contenant un liquide jaunâtre transparent.
- Si tu crois que tu vas me prendre Duncan, tu te trompes sale petite garce ! Marmonna-t-elle d’un air menaçant en serrant sa mâchoire.
Tout à coup, lorsqu’elle allait ouvrir la fiole en la penchant vers le verre d’Olivia, une porte s’ouvrit, des pas vinrent dans sa direction suivit d’une voix féminine.
- Ne bougez pas ! Avertit la voix.
Lana releva la tête et fût surprise de voir Lisbon pointée son arme vers elle suivit de Jane et Cho arrivant vers elle dans la même posture que sa boss.
- Mais… Enfin, qu’est-ce qui se passe ? Demanda Lana.
- Oh ! Arrêtez votre cirque, on sait que c’est vous la coupable dans l’histoire. Rétorqua Jane.
- Donnez-nous la fiole et mettez les mains derrière le dos ! Ordonna Cho.
Lana s’exécuta. Lisbon prit la fiole tandis que Lana mit les mains dans le dos et que Kimball rangeait son arme et lui passait les menottes.
- Est-ce que vous pouvez m’expliquer ce qui se passe et ce que vous faites dans ma chambre ? Demanda Olivia inquiète et agacée.
- Votre soit disant amie est une affreuse vipère qui était à deux doigts de vous tuer. Répondit le consultant.
Olivia regarda le blondinet d’un air interrogateur et stupéfait avant de se tourner vers Lana qui fit les yeux noirs.
- C’est vrai ? Demanda la jeune fille à son amie.
- Vous n’avez aucune preuve. Dit Lana sûre d’elle.
- Si, on a tous filmé et enregistré dans les moindres détails depuis votre entrée dans la chambre. Intervint Lisbon satisfaite.
- Edward Sinise nous a dit que votre « fiancé » Duncan était amoureux d’Olivia et que vous saviez dès le début qu’il lui envoyé des lettres. Commença Jane.
Lana le fixa alors que son visage se décomposait tandis qu’Olivia était bouche bée en commençant à bouillonner de colère puis Jane enchaîna son explication.
- Je me doutais que c’était vous quand je vous ai vu avec Duncan qui ne faisait pas attention à vous alors que vous lui serrez le bras comme un objet qui vous appartient. Vous avez essayé d’imiter l’écriture d’Hugo et envoyé les lettres à Léa pour qu’Olivia ne les reçoive jamais… Mais c’en était de trop donc ce jour-là, vous avez décidé de railler Olivia de sa vie pour que Duncan reste à vos côtés, donc vous avez injecté le poison dans son verre… Enchaîna Jane.
- Nous savons que vous travaillez dans un Laboratoire en association avec le parc animalier de San Francisco donc vous procurer du venin de cobra a été très facile. Ajouta Lisbon.
- Mais… Intervint le consultant en levant le doigt, vous vous êtes aperçue que c’est Léa qui a bu le verre de sa sœur avec le poison et que c’était trop tard. Vous avez volé la vie de Léa alors qu’elle voulait juste se marier.
La jeune chinoise bouillonna de colère et de haine alors qu’Olivia versa des larmes silencieuses en adressant un regard noir vers Lana.
- Duncan est à moi ! Dit-elle en serrant les dents avec rage. J’étais prête à faire ma vie avec lui ! Jusqu’à ce que tu débarques et qu’il tombe amoureux de toi que ça m’a dégoutté ! Je ne voulais pas tuer Léa mais toi ! Comme ça Duncan se tournerait vers moi !
Olivia, en sanglots, s’apprêta à se jeter sur elle pour l’étrangler mais Lisbon la retint.
- Laissez-moi vous dire une chose. Intervint Jane ; l’amour ne se commande pas, l’amour c’est deux cœurs qui battent quand ils se croisent, l’amour est comme le destin : il guide deux êtres humains faits pour être ensemble.
En entendant ces mots avec tendresse, fermeté et sincérité ; Teresa ressentit un frisson parcourir son dos lorsqu’elle regarda incrédule et bouche bée les yeux tristes et sincères de son consultant envers Lana qui restait stupéfaite.
- Duncan ne vous mérite pas et vous non plus d’ailleurs. Ajouta le consultant
Lana baissa la tête totalement abasourdie. Alors que Jane partait, il croisa le regard émeraude de Lisbon qui fût surprise et troublée par ces paroles d’une telle sincérité. Le consultant plongea son regard océan dans le sien lui indiquant sa tristesse et sa compréhension sur le fait qu’elle avait des craintes à cause du règlement qui pourrait les séparer ou la fasse renvoyer de son poste. Jane s’éloigna et sortit de la chambre avec un pincement au cœur, ainsi que Lisbon qui commençait à avoir des regrets et le cœur serré malgré ce qu’elle pouvait ressentir pour son consultant. Elle sortit de ses pensées et suivit avec Olivia, Cho qui sortait de la chambre en embarquant l’assassin.
TBC...
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Red letters passion ^
MAGNIFIQUE !!!
Jiisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Lisbon & Jane
Localisation : N'importe où, tant que qu'il y a du soleil
Re: Red letters passion ^
magnifique suite: pauvre Jan, il se dévoile enfin et il se prend la baffe du siècle..
j'espère que ça va s'arranger entre ces deux-là.
Merci JA
j'espère que ça va s'arranger entre ces deux-là.
Merci JA
teninches- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Localisation : Dans les locaux du CBI
Re: Red letters passion ^
Je n'avais pas capter que Cho, Rigsby et Van Pelt pouvaient voir et écouter
J'imagine bien leurs têtes
N'empêche, je suis contente que Lisbon soit au courant, même si elle ne veut/peut pas avoir une relation avec Jane.
J'ai hâte de voir comment il va la convaincre que c'est possible
Parce qu'il va la convaincre hein !?
En tout cas encore un super chapitre
Vite vite la suite !!
J'imagine bien leurs têtes
N'empêche, je suis contente que Lisbon soit au courant, même si elle ne veut/peut pas avoir une relation avec Jane.
J'ai hâte de voir comment il va la convaincre que c'est possible
Parce qu'il va la convaincre hein !?
En tout cas encore un super chapitre
Vite vite la suite !!
Invité- Invité
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