Red letters passion ^
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Re: Red letters passion ^
Merci Terpo4 & Janeandteresa
Vraiment contente que ça vous plaise
~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
Voici la suite...
Est-ce que Jane et Lisbon vont être enfin ensemble ? C'est à vous de le découvrir Surtout ne me tuez pas sur ce que vous allez lire dans très peu de temps
C'est l'avant-dernier chapitre de ma fic, oui, c'est bientôt la fin mais du moment que ma fic vous plaise, ça me fait chaud au coeur et ça me fait super plaisir
Encore une fois, merci pour tous vos commentaires
En attendant Bonne Lecture...
__________________________________________________________
Le soir même, dans l’open space, Kimball, Grace et Wayne posèrent les pizzas de fin de mission dont une aux anchois, aux quatre fromages et aux poivrons – heureusement pour Cho, il n’y avait pas d’hawaïenne – sur la table accompagnées de quelques boissons.
- Fais gaffe à ne pas bouffer tous les anchois Rigsby sinon je m’énerve. Prévint Cho.
- T’inquiètes, il t’en restera des anchois. Lui rassura son ami.
- Il y a intérêt ! Rétorqua Kimball.
- Je vous préviens, les gars, celle aux poivrons est pour moi ! Intervint Grace.
- Oh non ! Tu ne vas pas t’y mettre toi non plus Grace ! Se plaint Wayne dans un soupir.
- Hey ! C’est bon vieux ! On blaguait. Lui indiqua Cho.
- Ah ! Très drôle ! S’exprima Rigsby d’un air ironique et vexé.
Grace et Cho s’échangèrent un sourire et un regard complice en se tapant dans la main et Rigsby ne pouvait s’empêcher de sourire. Mais dès qu’ils tournèrent la tête, les yeux dirigeaient vers la cuisine où s’était réfugié Jane, leurs sourires s’effacèrent et ils firent une mine triste et inquiète en voyant leur ami pensif, désemparé. Et seul depuis que l’affaire était bouclée – voir depuis qu’il s’était enfermé avec Lisbon dans la salle de bains en lui dévoilant ses sentiments.
Le regarder dans cet état leur pinçait le cœur et ils ne souhaitèrent pas aller le voir car ils se doutaient bien que Jane allait les envoyer balader à sa manière donc ils préférèrent de ne pas courir de risque et retournèrent à leurs préoccupations avec une pensée pour leur ami et leur boss.
Dans la cuisine, Jane buvait son thé loin dans un silence et un moment de solitude. Il n’avait pas faim ni le cœur à fêter la fin d’une nouvelle enquête, il avait le regard triste loin devant lui mais dans le vide. Son esprit se focalisait sans cesse sur Lisbon. Il ne cessait de penser à elle, l’image de son visage apparaissait dans sa tête et devant son regard. Les courbes divines de son visage, l’éclat de sa peau avec de jolies tâches de rousseur, ses joues rouges à croquer comme une pomme, son sourire encore plus rayonnant qu’un rayon de soleil, ses yeux ayant toute l’intensité, la profondeur et l’éclat étincelant d’une émeraude et ses lèvres aussi délicieusement douce qu’une peau de pêche, alors qu’il ne les avait toucher seulement quelques secondes avant de se prendre une gifle.
Mais Patrick ne cessait de penser au baiser de tout à l’heure. C’était déplacé, irrationnel et non-réfléchit, mais il fallait qu’il lui dise enfin ce qu’il avait sur le cœur, ce qu’il ressentait pour elle depuis toutes ces années, enfouie au fond de lui sous une aveugle envie haïssant de vengeance en statut de victime sur John Le Rouge. Maintenant, il se sentit soulagée et libéré d’un poids sur ses épaules mais ça n’avait pas soulagé son cœur, il se sentait triste car depuis qu’ils avaient arrêté l’assassin, Teresa ne lui avait pas adressé un mot.
Pendant ce temps, enfermée dans les toilettes, vêtue d’une jolie robe courte noire style année 50 avec un haut avec décolleté effet cache-cœur, jupe en tulle contrastée à volants et une ceinture autour de la taille de couleur blanc à nouer sur le côté dessinant la silhouette ; chaussées par des sandales dorées à talons hauts ; coiffée d’une queue de-cheval laissant sa frange droite et légèrement maquillée, Lisbon se préparait pour la soirée caritative au Palais de Justice de Santa-Ana après avoir téléphoner à Edward Sinise, fils du Sénateur Sinise – à qui Jane avait sévèrement donné une correction – pour l’informer qu’elle acceptait son invitation pour se changer les idées, alors qu’elle ne souhaitait pas y aller. Il passerait la prendre avec sa grosse berline noire.
La jeune femme se regarda dans le miroir en mettant une dernière touche de mascara mais elle stoppa net son maquillage.
Le cœur cognant dans sa poitrine, les yeux tristes, Teresa toisa son reflet le regard dans le vide. Le flash back de la déclaration de son consultant récemment ne cesse d’envahir ses pensées.
FLASH BACK
- Si je vous ai envoyé ces lettres, c’était pour vous dire que je connais chaque éclats d’or dans vos yeux si magnifiques, que je sais quand vous êtes heureuse et malheureuse, que je ne cesse de penser à vous jour et nuit, que vous êtes de plus en plus belle chaque jour, qu’à chaque fois que je suis avec vous je me sens revivre et que vous êtes la plus belle chose qui m’est arrivée dans ma vie. Avoua-t-il en suffoquant à chaque battement de son cœur.
…
- Je vous aime Lisbon. Avoua-t-il.
Il prit son visage entre ses mains, captura ses lèvres et l’embrassa.
Fin du FLASH BACK
Lisbon effleura ses lèvres du bout de ses doigts en repensant à ce tout premier baiser de Jane, si délicat, tendre, doux et intense. Elle n’avait jamais ressenti une telle sensation auparavant, comme si c’était dans un rêve. Un rêve devenu réalité. Jusqu’à ce qu’elle lui donne cette maudite gifle et elle s’en voulut d’avoir agi de la sorte.
N’avait-elle pas un faible pour Jane ? Bien sûr que si ! C’était évident !
Mais son instinct de flic avait prit le dessus car elle avait peur pour sa carrière d’agent fédéral et cela passait avant toutes choses et qu’elle craignait aussi que leur relation ne soit éphémère, que ça ne marcherait pas.
Teresa repensait à tous ces moments où Patrick faisait tout pour la faire tourner en bourrique, pour la rendre folle ce qui agaçait la jeune femme mais ça lui plaisait car il réussissait toujours à la faire rire, sourire, oublier les tracas ainsi que la violence et le travail afin de savourer la vie.
Elle sortit de ses pensées en secouant la tête, rangea son maquillage dans son sac à main, mit ses cheveux place ainsi que ses mains sur ses joues empourprées afin qu’elles reprennent une couleur normale, reprit son souffle et sortit des toilettes.
Lisbon marchait au milieu des bureaux d’un pas tendu, elle vit ses collègues en train de parler en riant devant la pizza de « fin de mission » ce qui la fit sourire. Elle adorait partager une bonne pizza bien méritée avec eux après une enquête résolue puis même s’ils parlaient de tout et de rien ensemble, elle apprenait à mieux les connaître. Mais lorsque la jeune femme arriva au niveau de la cuisine en croisant le regard son consultant, un malaise envahit l’atmosphère entre eux. Depuis le retour au QG, ils ne s’étaient pas adressés le moindre mot mais arrivés là, en passant leur temps à s’éviter jusqu’à maintenant.
Afin de détendre l’atmosphère qui était gênante et tendue avec un silence lourd, Jane le brisa dans un soupir en dévorant du regard des pieds à la tête Lisbon sublime dans sa tenue de soirée tout en gardant son naturel.
- Salut ! Souffla-t-il.
- Salut ! Lui rendit-elle.
- Vous êtes esquisse. Avoua Jane.
En entendant ce compliment très flatteur, Lisbon baissa la tête et ses joues prirent une couleur légèrement rosée, ne pouvant pas s’empêcher d’esquisser un sourire timide et en touchant ses cheveux comme une adolescente qui se fait draguer par le plus mec de son lycée. Comment pouvait-elle y résister ? Impossible !
Il fit un léger sourire voyant qu’il arrivait toujours à la mettre dans l’embarras mais ce n’était pas son intention cette fois, il voulait juste la complimenter, lui dire le fond de sa pensée. Il se racla la gorge et prit la parole :
- Enfin de compte, vous allez à la soirée caritative remplit de politiciens à ce que je vois ?
- Euh… Oui. Lui répondit-elle en relevant la tête.
- Ah ! Bien. Dit-il déçu et triste.
Ils restèrent se regarder les yeux dans les yeux pendant un moment.
- Et bien… Bonne soirée. Reprit Jane.
Il s’apprêtait à tourner les talons alors que Lisbon se pinçait les lèvres puis elle fit un pas en avant vers lui et le retint.
- Jane.
Ce dernier se tourna vers elle en croisant son regard émeraude et n’étant qu’à quelques centimètres l’un de l’autre.
- Je crois qu’il faut qu’on se parle. Dit-elle sérieuse et gênée.
- Je le crois aussi. Confirma Jane.
- Allons dans mon bureau.
Teresa se dirigea vers son bureau et Patrick laissa son thé encore chaud sur le comptoir de la cuisine et lui emboîta le pas sous le regard interrogateur de leurs collègues qui les virent aller vers le bureau de la jeune femme dont les stores étaient fermés, puis ils s’enfermèrent.
Une fois la porte fermée derrière lui, Jane se tourna vers Lisbon qui était encore plus tendue et mal à l’aise qu’elle était un instant auparavant. Avant qu’elle n’ouvre la bouche, Patrick parla le premier afin de détendre l’atmosphère.
- Ecoutez, Lisbon au sujet du baiser de tout à l’heure, je… Commença-t-il.
- J’ai aimé ce baiser. Avoua-t-elle en lui coupant la parole.
En entendant la révélation de la belle brunette, le consultant fut surprit et aucun mot n’arriva à sortir de sa bouche puis Lisbon enchaîna.
- Je sais que ça peut paraître soudain, bizarre voir idiot mais j’ai vraiment aimé votre baiser… et je dois vous dire qu’aucun homme ne m’avait jamais embrassé comme vous l’avez fait et… je voudrais vous dire quelque chose.
- Ne vous fatiguez pas Lisbon, je sais ce que vous allez me dire. L’interrompit-il.
- Ah oui !?! Dit-elle surprise et intriguée en fronçant les sourcils.
Jane se contente de hocher de la tête sous les yeux attentifs et intrigués de sa belle patronne.
- Vous vous demandez si tout était vrai ce que j’ai écrit dans les lettres ? Commença-t-il. Et bien, oui. Je pensais sincèrement avec mon cœur chaque mot dans chacune de ces lettres et je le pense depuis le premier jour où je vous ai rencontré malgré que je fus à ce moment-là aveuglé par mon envie ridicule de vengeance ; et le premier des imbéciles de vous avoir jeté dans les bras de Mashburn. J’en étais vraiment jaloux et je m’en veux aussi pour ce fils de Sénateur.
Il marqua une pause en voyant que Teresa restait attentive en dévorant chacune de ses paroles, il fit un pas vers elle sans que celle-ci ne recule ou ne proteste.
- Mais je sais que… Reprit-il. Que pour vous, votre carrière passe avant tout et que vous avez peur de perdre votre poste ou que tout le monde finisse par apprendre qu’on est ensemble jusqu’à ce que ça arrive aux oreilles d’Hightower et qu’elle finisse par vous renvoyer à cause de moi parce que je suis “ trop précieux.” Continua-t-il en imitant les guillemets. Alors que c’est vous qui êtes aussi précieuse que moi et j’accepte votre choix Lisbon car je vous respecte trop vous forcer à choisir. Mais sachez que je suis seulement consultant, pas agent, que je ne veux que votre bonheur, que votre bonheur fait le mien, que je vous aimerais toujours et que je serais toujours là pour vous. Quoi qu’il en coûte et quoi qu’il arrive.
Abasourdie et tombant de haut, Lisbon ne parvint plus à dire quoi que ce soit face à ses paroles qui lui pincèrent le cœur et ses yeux deviennent larmoyants mais elle retint ses larmes de son mieux. Puis la main Patrick lui caressa tendrement sa joue et elle ferma les yeux en savourant le contact chaud dans un soupir d’aise en résistant à ne pas craquer. Elle sentit sa main glisser sous son menton et les lèvres douces de son consultant se poser au coin de ses lèvres à sa plus grande déception.
En ouvrant les yeux, Teresa plongea intensément son regard émeraude dans celui de l’océan de Patrick alors qu’il caressait délicatement les courbes de son visage jusqu’à ce que tout à coup, des coups de klaxons retentissent en bas du bâtiment mit fin à peut-être – ce dernier moment de tendresse.
A contrecœur, sous le regard encore bouleversée de sa belle, Jane baissa la tête en retirant sa main et rangea ses mains dans les poches de sa veste d’un air embarrassé et triste, le cœur serré avec les paroles qu’il venait de dire mais il faisait pour ne pas qu’elle ait des ennuis à cause de lui une nouvelle fois et pour la protéger.
- Je crois que votre cavalier vous attend. Reprit-il.
- … Oui… Oui et je… j’y vais de toute façon. Dit-elle en bafouillant.
Jane hocha la tête en se pinçant les lèvres afin de résister à l’envie de hurler en se traitant d’idiot puis tourna les talons, ouvrit la porte en la guidant de passer devant. Celle-ci s’exécuta en le remerciant d’un simple sourire et hochement de tête. En sortant du bureau et avant qu’ils ne se séparent, ils se regardèrent un instant.
- Bonne soirée Lisbon. Souffla-t-il.
- A vous aussi Jane. Souffla-t-elle.
Ils se regardèrent encore un moment jusqu’à ce que Teresa baisse la tête et s’éloigne de Patrick qui la regarda partir. Il tenta de la retenir en faisant un pas en avant et en essayant de parler. Mais en vain. Il regretta ce qu’il venait de lui dire et savait qu’il lui avait fait de la peine et qu’il était trop tard pour revenir en arrière. Il s’en voulut et partit tête baissée sous le regard triste de leurs collègues.
Au même moment, Lisbon stoppa sa marche en tournant la tête afin de croiser son regard, mais Jane avait déjà disparu. Une larme longea le sa joue en voyant que Patrick n’avait pas essayé de la retenir. Elle s’en était voulut d’avoir pensé tout haut que seule sa carrière comptait pour elle. Tête baissée et essuyant sa joue humide – alors qu’une nouvelle larme ruisselait – elle rejoignit Edward Sinise vêtu d’un costard cravate stricte et classique qui l’attendait appuyé contre sa berline noire sur le parking.
Le fils du Sénateur lui dit qu’elle était irrésistiblement belle et Teresa le remercia sans aucun intérêt, il lui ouvrit la portière côté passager, elle s’y installa avant qu’Edward ne ferme la portière et ne s’installe au volant. La berline quitta le parking du CBI et se mit en route vers le Palais de Justice de Santa-Ana.
Durant le trajet, Lisbon ne dit pas un mot, se contentant de regarder le paysage défiler à vive allure à travers la vitre avec le regard vide.
Edward lui demanda plusieurs fois si elle allait bien, elle lui répétait toujours la même réponse « oui ». C’était la seule réponse qui pouvait sortir de sa bouche et qui pouvait traduire à ce bonhomme de lui foutre la paix pendant un certain temps. Elle ne cessait de penser à Jane et souhaitait que sa transe ne soit pas interrompue.
La berline arriva en bas des escaliers du Palais de Justice, Edward et Teresa sortirent de la voiture et grimpèrent chaque marche aux bras l’un de l’autre mais soudain, Lisbon stoppa net au milieu des escaliers en lâchant le bras du jeune homme. Les paroles que son consultant lui revinrent en tête comme si elle venait de se rendre compte de quelque chose, qu’une signification se cachait derrière ses paroles et qu’il essayait de lui révéler depuis longtemps.
FLASH BACK
- Lisbon, sachez que vous pouvez avoir confiance en moi, quoi qu’il puisse arriver je serai toujours à vos côtés.
…
- Je ne vous ai rien dit parce que je voulais seulement vous protéger.
…
- Si j'allais mourir, je vous appelerais vous. Vous êtes devant moi donc ce n'est pas la peine.
…
- Je serai toujours là pour vous sauver Lisbon que vous le vouliez ou non.
…
- Je suis désolé Lisbon. Tout ça, c'est de ma faute. Je ne vous laisserai pas brûler vivante.
…
Fin du FLASH BACK
Soudain, Lisbon sourit en s’insultant mentalement d’idiote, tourna les talons en dévalant les escaliers. Lorsqu’Edward se tourna, il vit que Teresa avait disparu puis un crissement de pneus attira son attention et il constata que c’était son véhicule qui roulait à toute vitesse. Il resta stupéfait mais alors qu’il allait hurler au près du chauffeur au volant de sa berline, elle était déjà loin.
Au volant de ce véhicule, Teresa Lisbon savait qu’elle venait de faire une énorme erreur mais c’était le seul moyen d’arriver à temps pour retrouver l’homme de sa vie. Reconquérir Patrick Jane.
Vraiment contente que ça vous plaise
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Voici la suite...
Est-ce que Jane et Lisbon vont être enfin ensemble ? C'est à vous de le découvrir Surtout ne me tuez pas sur ce que vous allez lire dans très peu de temps
C'est l'avant-dernier chapitre de ma fic, oui, c'est bientôt la fin mais du moment que ma fic vous plaise, ça me fait chaud au coeur et ça me fait super plaisir
Encore une fois, merci pour tous vos commentaires
En attendant Bonne Lecture...
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Chapitre 10 :
Le soir même, dans l’open space, Kimball, Grace et Wayne posèrent les pizzas de fin de mission dont une aux anchois, aux quatre fromages et aux poivrons – heureusement pour Cho, il n’y avait pas d’hawaïenne – sur la table accompagnées de quelques boissons.
- Fais gaffe à ne pas bouffer tous les anchois Rigsby sinon je m’énerve. Prévint Cho.
- T’inquiètes, il t’en restera des anchois. Lui rassura son ami.
- Il y a intérêt ! Rétorqua Kimball.
- Je vous préviens, les gars, celle aux poivrons est pour moi ! Intervint Grace.
- Oh non ! Tu ne vas pas t’y mettre toi non plus Grace ! Se plaint Wayne dans un soupir.
- Hey ! C’est bon vieux ! On blaguait. Lui indiqua Cho.
- Ah ! Très drôle ! S’exprima Rigsby d’un air ironique et vexé.
Grace et Cho s’échangèrent un sourire et un regard complice en se tapant dans la main et Rigsby ne pouvait s’empêcher de sourire. Mais dès qu’ils tournèrent la tête, les yeux dirigeaient vers la cuisine où s’était réfugié Jane, leurs sourires s’effacèrent et ils firent une mine triste et inquiète en voyant leur ami pensif, désemparé. Et seul depuis que l’affaire était bouclée – voir depuis qu’il s’était enfermé avec Lisbon dans la salle de bains en lui dévoilant ses sentiments.
Le regarder dans cet état leur pinçait le cœur et ils ne souhaitèrent pas aller le voir car ils se doutaient bien que Jane allait les envoyer balader à sa manière donc ils préférèrent de ne pas courir de risque et retournèrent à leurs préoccupations avec une pensée pour leur ami et leur boss.
Dans la cuisine, Jane buvait son thé loin dans un silence et un moment de solitude. Il n’avait pas faim ni le cœur à fêter la fin d’une nouvelle enquête, il avait le regard triste loin devant lui mais dans le vide. Son esprit se focalisait sans cesse sur Lisbon. Il ne cessait de penser à elle, l’image de son visage apparaissait dans sa tête et devant son regard. Les courbes divines de son visage, l’éclat de sa peau avec de jolies tâches de rousseur, ses joues rouges à croquer comme une pomme, son sourire encore plus rayonnant qu’un rayon de soleil, ses yeux ayant toute l’intensité, la profondeur et l’éclat étincelant d’une émeraude et ses lèvres aussi délicieusement douce qu’une peau de pêche, alors qu’il ne les avait toucher seulement quelques secondes avant de se prendre une gifle.
Mais Patrick ne cessait de penser au baiser de tout à l’heure. C’était déplacé, irrationnel et non-réfléchit, mais il fallait qu’il lui dise enfin ce qu’il avait sur le cœur, ce qu’il ressentait pour elle depuis toutes ces années, enfouie au fond de lui sous une aveugle envie haïssant de vengeance en statut de victime sur John Le Rouge. Maintenant, il se sentit soulagée et libéré d’un poids sur ses épaules mais ça n’avait pas soulagé son cœur, il se sentait triste car depuis qu’ils avaient arrêté l’assassin, Teresa ne lui avait pas adressé un mot.
Pendant ce temps, enfermée dans les toilettes, vêtue d’une jolie robe courte noire style année 50 avec un haut avec décolleté effet cache-cœur, jupe en tulle contrastée à volants et une ceinture autour de la taille de couleur blanc à nouer sur le côté dessinant la silhouette ; chaussées par des sandales dorées à talons hauts ; coiffée d’une queue de-cheval laissant sa frange droite et légèrement maquillée, Lisbon se préparait pour la soirée caritative au Palais de Justice de Santa-Ana après avoir téléphoner à Edward Sinise, fils du Sénateur Sinise – à qui Jane avait sévèrement donné une correction – pour l’informer qu’elle acceptait son invitation pour se changer les idées, alors qu’elle ne souhaitait pas y aller. Il passerait la prendre avec sa grosse berline noire.
La jeune femme se regarda dans le miroir en mettant une dernière touche de mascara mais elle stoppa net son maquillage.
Le cœur cognant dans sa poitrine, les yeux tristes, Teresa toisa son reflet le regard dans le vide. Le flash back de la déclaration de son consultant récemment ne cesse d’envahir ses pensées.
FLASH BACK
- Si je vous ai envoyé ces lettres, c’était pour vous dire que je connais chaque éclats d’or dans vos yeux si magnifiques, que je sais quand vous êtes heureuse et malheureuse, que je ne cesse de penser à vous jour et nuit, que vous êtes de plus en plus belle chaque jour, qu’à chaque fois que je suis avec vous je me sens revivre et que vous êtes la plus belle chose qui m’est arrivée dans ma vie. Avoua-t-il en suffoquant à chaque battement de son cœur.
…
- Je vous aime Lisbon. Avoua-t-il.
Il prit son visage entre ses mains, captura ses lèvres et l’embrassa.
Fin du FLASH BACK
Lisbon effleura ses lèvres du bout de ses doigts en repensant à ce tout premier baiser de Jane, si délicat, tendre, doux et intense. Elle n’avait jamais ressenti une telle sensation auparavant, comme si c’était dans un rêve. Un rêve devenu réalité. Jusqu’à ce qu’elle lui donne cette maudite gifle et elle s’en voulut d’avoir agi de la sorte.
N’avait-elle pas un faible pour Jane ? Bien sûr que si ! C’était évident !
Mais son instinct de flic avait prit le dessus car elle avait peur pour sa carrière d’agent fédéral et cela passait avant toutes choses et qu’elle craignait aussi que leur relation ne soit éphémère, que ça ne marcherait pas.
Teresa repensait à tous ces moments où Patrick faisait tout pour la faire tourner en bourrique, pour la rendre folle ce qui agaçait la jeune femme mais ça lui plaisait car il réussissait toujours à la faire rire, sourire, oublier les tracas ainsi que la violence et le travail afin de savourer la vie.
Elle sortit de ses pensées en secouant la tête, rangea son maquillage dans son sac à main, mit ses cheveux place ainsi que ses mains sur ses joues empourprées afin qu’elles reprennent une couleur normale, reprit son souffle et sortit des toilettes.
Lisbon marchait au milieu des bureaux d’un pas tendu, elle vit ses collègues en train de parler en riant devant la pizza de « fin de mission » ce qui la fit sourire. Elle adorait partager une bonne pizza bien méritée avec eux après une enquête résolue puis même s’ils parlaient de tout et de rien ensemble, elle apprenait à mieux les connaître. Mais lorsque la jeune femme arriva au niveau de la cuisine en croisant le regard son consultant, un malaise envahit l’atmosphère entre eux. Depuis le retour au QG, ils ne s’étaient pas adressés le moindre mot mais arrivés là, en passant leur temps à s’éviter jusqu’à maintenant.
Afin de détendre l’atmosphère qui était gênante et tendue avec un silence lourd, Jane le brisa dans un soupir en dévorant du regard des pieds à la tête Lisbon sublime dans sa tenue de soirée tout en gardant son naturel.
- Salut ! Souffla-t-il.
- Salut ! Lui rendit-elle.
- Vous êtes esquisse. Avoua Jane.
En entendant ce compliment très flatteur, Lisbon baissa la tête et ses joues prirent une couleur légèrement rosée, ne pouvant pas s’empêcher d’esquisser un sourire timide et en touchant ses cheveux comme une adolescente qui se fait draguer par le plus mec de son lycée. Comment pouvait-elle y résister ? Impossible !
Il fit un léger sourire voyant qu’il arrivait toujours à la mettre dans l’embarras mais ce n’était pas son intention cette fois, il voulait juste la complimenter, lui dire le fond de sa pensée. Il se racla la gorge et prit la parole :
- Enfin de compte, vous allez à la soirée caritative remplit de politiciens à ce que je vois ?
- Euh… Oui. Lui répondit-elle en relevant la tête.
- Ah ! Bien. Dit-il déçu et triste.
Ils restèrent se regarder les yeux dans les yeux pendant un moment.
- Et bien… Bonne soirée. Reprit Jane.
Il s’apprêtait à tourner les talons alors que Lisbon se pinçait les lèvres puis elle fit un pas en avant vers lui et le retint.
- Jane.
Ce dernier se tourna vers elle en croisant son regard émeraude et n’étant qu’à quelques centimètres l’un de l’autre.
- Je crois qu’il faut qu’on se parle. Dit-elle sérieuse et gênée.
- Je le crois aussi. Confirma Jane.
- Allons dans mon bureau.
Teresa se dirigea vers son bureau et Patrick laissa son thé encore chaud sur le comptoir de la cuisine et lui emboîta le pas sous le regard interrogateur de leurs collègues qui les virent aller vers le bureau de la jeune femme dont les stores étaient fermés, puis ils s’enfermèrent.
Une fois la porte fermée derrière lui, Jane se tourna vers Lisbon qui était encore plus tendue et mal à l’aise qu’elle était un instant auparavant. Avant qu’elle n’ouvre la bouche, Patrick parla le premier afin de détendre l’atmosphère.
- Ecoutez, Lisbon au sujet du baiser de tout à l’heure, je… Commença-t-il.
- J’ai aimé ce baiser. Avoua-t-elle en lui coupant la parole.
En entendant la révélation de la belle brunette, le consultant fut surprit et aucun mot n’arriva à sortir de sa bouche puis Lisbon enchaîna.
- Je sais que ça peut paraître soudain, bizarre voir idiot mais j’ai vraiment aimé votre baiser… et je dois vous dire qu’aucun homme ne m’avait jamais embrassé comme vous l’avez fait et… je voudrais vous dire quelque chose.
- Ne vous fatiguez pas Lisbon, je sais ce que vous allez me dire. L’interrompit-il.
- Ah oui !?! Dit-elle surprise et intriguée en fronçant les sourcils.
Jane se contente de hocher de la tête sous les yeux attentifs et intrigués de sa belle patronne.
- Vous vous demandez si tout était vrai ce que j’ai écrit dans les lettres ? Commença-t-il. Et bien, oui. Je pensais sincèrement avec mon cœur chaque mot dans chacune de ces lettres et je le pense depuis le premier jour où je vous ai rencontré malgré que je fus à ce moment-là aveuglé par mon envie ridicule de vengeance ; et le premier des imbéciles de vous avoir jeté dans les bras de Mashburn. J’en étais vraiment jaloux et je m’en veux aussi pour ce fils de Sénateur.
Il marqua une pause en voyant que Teresa restait attentive en dévorant chacune de ses paroles, il fit un pas vers elle sans que celle-ci ne recule ou ne proteste.
- Mais je sais que… Reprit-il. Que pour vous, votre carrière passe avant tout et que vous avez peur de perdre votre poste ou que tout le monde finisse par apprendre qu’on est ensemble jusqu’à ce que ça arrive aux oreilles d’Hightower et qu’elle finisse par vous renvoyer à cause de moi parce que je suis “ trop précieux.” Continua-t-il en imitant les guillemets. Alors que c’est vous qui êtes aussi précieuse que moi et j’accepte votre choix Lisbon car je vous respecte trop vous forcer à choisir. Mais sachez que je suis seulement consultant, pas agent, que je ne veux que votre bonheur, que votre bonheur fait le mien, que je vous aimerais toujours et que je serais toujours là pour vous. Quoi qu’il en coûte et quoi qu’il arrive.
Abasourdie et tombant de haut, Lisbon ne parvint plus à dire quoi que ce soit face à ses paroles qui lui pincèrent le cœur et ses yeux deviennent larmoyants mais elle retint ses larmes de son mieux. Puis la main Patrick lui caressa tendrement sa joue et elle ferma les yeux en savourant le contact chaud dans un soupir d’aise en résistant à ne pas craquer. Elle sentit sa main glisser sous son menton et les lèvres douces de son consultant se poser au coin de ses lèvres à sa plus grande déception.
En ouvrant les yeux, Teresa plongea intensément son regard émeraude dans celui de l’océan de Patrick alors qu’il caressait délicatement les courbes de son visage jusqu’à ce que tout à coup, des coups de klaxons retentissent en bas du bâtiment mit fin à peut-être – ce dernier moment de tendresse.
A contrecœur, sous le regard encore bouleversée de sa belle, Jane baissa la tête en retirant sa main et rangea ses mains dans les poches de sa veste d’un air embarrassé et triste, le cœur serré avec les paroles qu’il venait de dire mais il faisait pour ne pas qu’elle ait des ennuis à cause de lui une nouvelle fois et pour la protéger.
- Je crois que votre cavalier vous attend. Reprit-il.
- … Oui… Oui et je… j’y vais de toute façon. Dit-elle en bafouillant.
Jane hocha la tête en se pinçant les lèvres afin de résister à l’envie de hurler en se traitant d’idiot puis tourna les talons, ouvrit la porte en la guidant de passer devant. Celle-ci s’exécuta en le remerciant d’un simple sourire et hochement de tête. En sortant du bureau et avant qu’ils ne se séparent, ils se regardèrent un instant.
- Bonne soirée Lisbon. Souffla-t-il.
- A vous aussi Jane. Souffla-t-elle.
Ils se regardèrent encore un moment jusqu’à ce que Teresa baisse la tête et s’éloigne de Patrick qui la regarda partir. Il tenta de la retenir en faisant un pas en avant et en essayant de parler. Mais en vain. Il regretta ce qu’il venait de lui dire et savait qu’il lui avait fait de la peine et qu’il était trop tard pour revenir en arrière. Il s’en voulut et partit tête baissée sous le regard triste de leurs collègues.
Au même moment, Lisbon stoppa sa marche en tournant la tête afin de croiser son regard, mais Jane avait déjà disparu. Une larme longea le sa joue en voyant que Patrick n’avait pas essayé de la retenir. Elle s’en était voulut d’avoir pensé tout haut que seule sa carrière comptait pour elle. Tête baissée et essuyant sa joue humide – alors qu’une nouvelle larme ruisselait – elle rejoignit Edward Sinise vêtu d’un costard cravate stricte et classique qui l’attendait appuyé contre sa berline noire sur le parking.
Le fils du Sénateur lui dit qu’elle était irrésistiblement belle et Teresa le remercia sans aucun intérêt, il lui ouvrit la portière côté passager, elle s’y installa avant qu’Edward ne ferme la portière et ne s’installe au volant. La berline quitta le parking du CBI et se mit en route vers le Palais de Justice de Santa-Ana.
Durant le trajet, Lisbon ne dit pas un mot, se contentant de regarder le paysage défiler à vive allure à travers la vitre avec le regard vide.
Edward lui demanda plusieurs fois si elle allait bien, elle lui répétait toujours la même réponse « oui ». C’était la seule réponse qui pouvait sortir de sa bouche et qui pouvait traduire à ce bonhomme de lui foutre la paix pendant un certain temps. Elle ne cessait de penser à Jane et souhaitait que sa transe ne soit pas interrompue.
La berline arriva en bas des escaliers du Palais de Justice, Edward et Teresa sortirent de la voiture et grimpèrent chaque marche aux bras l’un de l’autre mais soudain, Lisbon stoppa net au milieu des escaliers en lâchant le bras du jeune homme. Les paroles que son consultant lui revinrent en tête comme si elle venait de se rendre compte de quelque chose, qu’une signification se cachait derrière ses paroles et qu’il essayait de lui révéler depuis longtemps.
FLASH BACK
- Lisbon, sachez que vous pouvez avoir confiance en moi, quoi qu’il puisse arriver je serai toujours à vos côtés.
…
- Je ne vous ai rien dit parce que je voulais seulement vous protéger.
…
- Si j'allais mourir, je vous appelerais vous. Vous êtes devant moi donc ce n'est pas la peine.
…
- Je serai toujours là pour vous sauver Lisbon que vous le vouliez ou non.
…
- Je suis désolé Lisbon. Tout ça, c'est de ma faute. Je ne vous laisserai pas brûler vivante.
…
Fin du FLASH BACK
Soudain, Lisbon sourit en s’insultant mentalement d’idiote, tourna les talons en dévalant les escaliers. Lorsqu’Edward se tourna, il vit que Teresa avait disparu puis un crissement de pneus attira son attention et il constata que c’était son véhicule qui roulait à toute vitesse. Il resta stupéfait mais alors qu’il allait hurler au près du chauffeur au volant de sa berline, elle était déjà loin.
Au volant de ce véhicule, Teresa Lisbon savait qu’elle venait de faire une énorme erreur mais c’était le seul moyen d’arriver à temps pour retrouver l’homme de sa vie. Reconquérir Patrick Jane.
TBC...
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Red letters passion ^
TRES BELLE SUITE
Dernière édition par janeandteresa le Dim 1 Mai 2011 - 16:50, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Red letters passion ^
très belle suite avec une Teresa qui commence enfin à prendre consience de certaines choses.
Merci pour cette suite JA
Merci pour cette suite JA
teninches- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Localisation : Dans les locaux du CBI
Re: Red letters passion ^
merci pour cette magnifique suite JA
Jiisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Lisbon & Jane
Localisation : N'importe où, tant que qu'il y a du soleil
Re: Red letters passion ^
Wahou !
Une bien jolie suite
Plus qu'un chapitre ?
La fin risque d'être prometteuse alors !
Je suis contente que Lisbon se soit enfin rendu compte de ses sentiments !
C'est pas trop tôt !
Quelle idée d'accompagner l'autre à la soirée aussi !
Nan mais TSS !
Bref, à quand la suite ? ( et fin )
Une bien jolie suite
Plus qu'un chapitre ?
La fin risque d'être prometteuse alors !
Je suis contente que Lisbon se soit enfin rendu compte de ses sentiments !
C'est pas trop tôt !
Quelle idée d'accompagner l'autre à la soirée aussi !
Nan mais TSS !
Bref, à quand la suite ? ( et fin )
terpo4- Agent de circulation
- Localisation : Dans ce monde étrange que l'on nomme " Planète TM "
Re: Red letters passion ^
Merci beaucoup pour vos commentaires les filles !!
Ca me fait super plaisir puis je suis contente de voir que ça vous plaise
J'ai laissé un peu mijoté la tendance entre Jane et Lisbon sur ce coup-là et j'avoue d'avoir été un peu sadique mais ça a mit assez de piment
La fin sera pour Mercredi donc patience... patience...
Ca me fait super plaisir puis je suis contente de voir que ça vous plaise
J'ai laissé un peu mijoté la tendance entre Jane et Lisbon sur ce coup-là et j'avoue d'avoir été un peu sadique mais ça a mit assez de piment
La fin sera pour Mercredi donc patience... patience...
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Red letters passion ^
La fin mercredi...no problemo
toujours aussi bien écrit
toujours aussi bien écrit
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Red letters passion ^
Merciiii beaucoup Johel
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Red letters passion ^
J'adore ton nouveau kit JA
Ton dernier chapitre est super comme toujours, désolée, je n'ai pas pu te commenter plus tôt.
Enfin Lisbon se rend compte de ses sentiments
Hâte d'être à mercredi soir
Ta fan n°1!
Ton dernier chapitre est super comme toujours, désolée, je n'ai pas pu te commenter plus tôt.
Enfin Lisbon se rend compte de ses sentiments
Hâte d'être à mercredi soir
Ta fan n°1!
alamanga- Red John
- Personnage préféré : Cho, Lisbon, Jane. Van Pelt et Rigsby aussi.Abbott, Fischer, Wylie et Vega.
Loisirs : La TV, me balader, visiter...et rêver!
Localisation : Devant mon ordi, sous le soleil exactement!
Re: Red letters passion ^
Mercii beaucoup Manga
Tes commentaires me font toujours autant plaisir
~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
Voici la fin de ma fic !
Voici le moment de vérité de ce qui va se passer Est-ce que Jane et Lisbon vont-ils se retrouver ? Vont-ils se mettre ensemble ? A vous de le découvrir
En tout cas, j'ai vraiment pris un réel plaisir d'écrire cette fic pour vous et pour vtre plus grand plaisir puis je suis contente que cette fic vous plaise autant
Est-ce qu'il y aura une autre fic ? Pour l'instant, pour être honnête, je n'ai pas encore d'idées pour une prochaine fic mais si j'en ai, y aura une prochaine fic
Merci mille fois pour tous vos commentaires aussi mille fois merci à Sweety pour la correction de ma fic
Bonne Lecture...
__________________________________________________________
Aux alentours de 23h, la berline noire roula vers le QG du CBI de Sacramento qui était à environ 1h30 du Palais de Justice de Santa-Ana. La circulation était très dense donc elle pouvait rouler à vive allure en respectant toujours les limitations de vitesse – enfin presque – parce que Teresa laissa tomber son côté femme flic rationnelle, calme et compétente et laissa parler son côté femme douce, fragile d’une enfant blessée par la mort de sa mère, la violence de son père, l’abandon d’un de ses frères ainsi que le mépris et la médiocrité des hommes.
Elle ne voulait plus souffrir, ni être abandonnée et plus important encore, la jeune femme ne voulait pas que le règlement contrôle aussi sa vie privée. Non ! Il fallait que ça change et que ça cesse.
Elle voulait être heureuse comme n’importe quelle femme, avec un homme à ses côtés pour la soutenir, l’aider dans n’importe quelle circonstance – même s’il parvenait souvent à la rendre folle –, la faire rire, qui serait un mari hors du commun et un père idéal pour ses futurs enfants, la respecterait telle qu’elle est vraiment, qui la comprenne, qui ferait tout et n’importe quoi pour faire son bonheur aussi pour la rendre heureuse.
Aujourd’hui, elle savait que son cœur battait et avait choisit l’homme en question depuis bien longtemps. Bien trop longtemps. Cet homme était son consultant. Cet homme était Patrick Jane.
N’était-il pas interdit que deux collègues aient une liaison ? Si, bien sûr. Etait-elle conscience dans quoi elle s’entraînait ? Evidemment ! Mais elle s’en foutait de tout ça – enfin presque – Patrick était consultant et non agent ; malgré qu’ils étaient collègues de travail, qu’il avait déjà enfreint plusieurs règles et qu’elle s’était fixé cette limite entre elle et lui ; il fallait prendre des risques dans la vie et ceux malgré les inconvénients. Teresa décida de brûler cette limite et de retrouver son consultant.
Elle se prépara mentalement à ce qu’elle allait lui dire lorsqu’elle arriva sur le parking du QG une demi-heure plus tard. Elle sortit en trombe du véhicule et courut à toute vitesse en entrant dans le bâtiment et appuya comme une dingue sur le bouton de l’ascenseur. Les portes s’ouvrirent et elle grimpa à pas de loup dans l’appareil, appuya sur le bouton du quatrième étage et les portes se fermèrent. Arrivée à destination, Teresa sortit en courant à toute vitesse en faisant attention à ne pas déraper du fait qu’elle portait des talons hauts. La jeune femme chercha son consultant du regard dans les moindres recoins des bureaux où il pouvait bien se cacher. En vain. Son canapé, la cuisine, son bureau, l’open space… tout était vide. Mais il restait encore une source d’espoir lorsqu’elle grimpa les escaliers quatre par quatre en allant vers son repaire. Plus elle avançait, plus son cœur cognait dans sa poitrine mais elle avait tellement envie de sortir tout ce qu’elle ressentait, tout ce qu’elle avait sur le cœur depuis toutes ces années, depuis leur première rencontre.
Devant la porte, ses mains tremblèrent, son cœur s’emballa et des papillons virevoltèrent dans son ventre. Elle hésita un moment en se demandant si son consultant dormait ou non voir fit semblant de dormir – et ça ne serait pas étonnant – mais elle frappa à la porte.
- Jane ! L’appela-t-elle à travers la porte.
Mais il ne répondit pas. C’était un test de faire semblant de ne pas l’écouter. Elle garda espoir en se mordillant la lèvre inférieure dans un sourire, elle frappa à nouveau en appelant encore son nom. Aucune réponse. Soudain, elle devint inquiète et eut peur que son consultant ait fait une bêtise. Elle fit coulisser la porte et l’entrebâillât afin de balayer la pièce du regard.
- Jane. Chuchota-t-elle.
Aucune réponse. Et lorsque Lisbon ouvrit entièrement la porte, sa source d’espoir s’envola en éclat en une fraction de seconde. Elle fût déçue et triste de voir que le repaire de Jane était vide. Elle pénétra dans le grenier observant la pièce éclairée par une petite lampe suspendue au plafond et la lumière blanche naturelle du clair de lune. La jeune femme vit ce qui servait de lit à l’ancien médium, d’une manière mélancolique la belle brunette balaya la pièce du regard.
Avec lui, Teresa avait partagé tellement de choses, de confidences, de souvenirs, de moments qui furent gravés à travers ces murs. Des bons moments où il se confiait à elle et inversement, il la faisait rire ou lui rendait le sourire quand elle n’était pas bien comme des mauvais de leurs disputes quand Jane achevait l’enquête seul sans la tenir au courant de ses initiatives, son bureau ou quand elle était inquiète pour lui quand il s’enfermait dans son coin sans qu’il ne s’ouvre à elle.
Ses yeux étaient au bord des larmes en repensant à ces moments où ils apprenaient à se connaître, à l’attachement qu’ils avaient ainsi qu’aux sentiments qu’ils ressentaient pour l’un et pour l’autre.
Teresa s’approcha du bureau de Patrick qu’elle toucha du bout de ses doigts et vit son ordinateur fermé. Elle se mit à le toucher lorsqu’un flash récent la toucha en plein cœur lui revint en mémoire…
Flash Back
Plus tard, après l’affaire du meurtre du mari d’Erika Flynn, Teresa frappa la porte du repaire de Patrick, elle l’appela en demandant s’il était là. Mais elle ne vit personne. Elle pénétra dans la pièce et s’avança jusqu’au bureau du beau blondinet pour récupérer son ordinateur. Lisbon l’éteignit, ferma son ordinateur mais lorsqu’elle allait partir ; le visage vulnérable mais craquant à souhait de Jane sur l’écran de son ordinateur attira son attention.
Elle observa un moment son consultant qui envahissait l’écran dans un instant d’hésitation et bougea la souris en cliquant sur « Play » en s’asseyant sur la chaise sans quitter Jane du regard. Puis il parla devant la caméra d’une timidité et d’un naturel sans pareil.
- Je cherche quelqu'un qui... euh... quelqu'un en qui je peux avoir confiance. Une personne forte, une personne... en paix avec elle-même, une personne meilleure que moi. Quelqu'un qui connaît mon... côté le plus sombre et m'aime quand même.
Une flamme douce brilla dans les yeux émeraude de Teresa ainsi qu’un sourire timide en dévorant chacun de ses mots sans quitter son regard océan très touchant, vulnérable et intense.
- Une femme incroyable. Constata Erika Flynn.
Jane acquiesça d’un sourire triste et d’un regard fragile.
- Elle l'était.
Fin du Flash Back
Une larme ruisselait le long de sa joue, un léger sourire ainsi qu’un frisson parcourut son dos rien qu’en revivant ce moment où elle avait découvert que Patrick révélait une partie d’elle qui se trouvait aussi chez sa défunte épouse. Il parlait d’elle avec une telle sensibilité, nostalgie, sincérité et douceur rien que d’entendre au son de sa voix.
Mais soudain, la belle brunette vit avec curiosité et interrogation, un carnet en moleskine noir où des papiers dépassaient. Qu’est-ce qu’il pouvait bien contenir ? Qu’est-ce que Jane pouvait noter dedans ? Et pourquoi il utilisait cela en cas de besoin ? Justement, elle voulait le savoir.
Elle hésita un instant mais son instinct de flic la guida de l’ouvrir et s’exécuta. Elle tourna les pages et vit quelques notes concernant les indices sur l’affaire de John Le Rouge, le tueur qui avait volé sa femme et sa fille ainsi que brisé sa vie. Plus elle tournait les pages, plus elle se sentait mal à l’aise avec son cœur qui se serra en prenant l’initiative de s’immiscer dans cette face sombre, cachée et douloureuse de sa mauvaise passe qui avait chamboulé la vie de son consultant.
Au fur et à mesure que les pages tournaient, elle sentit un nœud se nouait dans son estomac jusqu’à ce que Lisbon fit un bond de surprise et son regard fut scotché…
Le Smiley ensanglanté dessiné au feutre rouge prenant toute la place sur le papier était barré d’une croix faite au feutre noire et son anneau doré était emprisonné dans un sachet en plastique, agrafée sur la page indiquant à Lisbon que Jane avait bien tourné la page sur son passé et que sans le moindre doute il avait décidé de recommencer à vivre, redémarrer à zéro, commencer une nouvelle vie. Puis, lorsqu’elle tourna la page, elle se figea et devint sourde ayant les larmes aux yeux. Un grand sourire s’afficha sur ses lèvres et son cœur qui s’emballa à toute vitesse…
La page suivante était dessinée par un cœur avec des initiales à l’intérieur…
P.J ? Patrick Jane. Lui. Et T.L ? Teresa Lisbon. Elle. C’était évident ! Ca crevait les yeux ! Il éprouvait des sentiments pour elle et elle en éprouvait pour lui. Malgré leurs différences, ils avaient confiance l’un en l’autre, avaient une nette impression de se connaître depuis longtemps, ils partagés les mêmes souffrances – qui était leur unique point commun – et ce qui les liaient et les avaient unis comme si c’était un coup du destin ! Plus loin, dans le carnet, Teresa effleura chaque page du bout de ses doigts en découvrant que les mots écrits dans son carnet étaient identiques à ceux qui étaient dans ses lettres et vit les lettres qu’elle lui avait envoyées depuis ces derniers jours. Puis soudain, l’espoir revit comme une illumination en se rappelant où pouvait bien se trouver l’homme de sa vie. La plage !
Elle laissa tomber le carnet sur la table et partit en courant de la pièce jusqu’à se trouver sur le parking à vitesse grand V, monta au volant de la berline qu’elle avait emprunté – voler serait le mot juste – et fonça vers la plage de Sacramento.
Le ciel prit une couleur orangée et rosée quand les premiers rayons du soleil se levèrent à l’horizon. L’aube régnait sur la côte Ouest, reflétant dans le miroir d’eau de l’océan avec un vent frais et pur ainsi que le bruit des mouettes qui accompagnait le décor. Assis avec ses bras entourant ses genoux ramenés contre sa poitrine sur le sable fin d’une plage, Patrick Jane admirait le spectacle.
Il adorait observer le soleil se lever lors de ses promenades matinales et par tous les temps mais ses pensées étaient ailleurs. Le visage angélique de Teresa Lisbon l’obsédait. Il s’en voulait de l’avoir laisser aller à cette soirée remplis de politiciens merdiques et de bourgeois radins aux bras de ce fils de Sénateur n’ayant pas de plan dans la cervelle. Il avait découvert quelque chose qu’il n’avait pas connu depuis longtemps : la jalousie. Il était horriblement jaloux, il aurait dû proposer à la jeune femme de l’accompagner voir de ne pas y aller du tout. Mais comme le dernier des idiots, il n’avait rien fait pour la retenir. Maintenant, sur cette plage abandonnée, coquillage et crustacés, devant un sublime lever de soleil, il s’en voulait comme s’il avait perdu celle qu’il l’aimait de la même manière qu’il avait perdu sa famille à une autre époque de sa vie. Aujourd’hui, c’était comme si son passé et cette même culpabilité l’avaient rattrapé. Il chassa une larme qui coulait sur sa joue et se releva pour rejoindre sa DS avec un pincement au cœur.
Au même moment, le long du trottoir qui longeait la plage, la berline noire se gara précipitamment dans un crissement de pneus derrière la DS bleue de Jane. Lisbon sortit du véhicule malgré une vague de frissons qui parcourait son corps avec le froid, la nervosité et la fatigue. Les cernes sous ses yeux indiquaient son manque de sommeil et des traces de son mascara avaient coulé à cause de ses larmes. Mais la jeune femme s’en fichait, elle voulait à tout prix retrouver Jane. Elle savait que l’homme de sa vie était là, quelque part, pas très loin voir tout près d’elle. Elle enleva ses sandales qui lui faisaient mal aux pieds, les lança sur le siège passager et ferma la portière du conducteur et courut sur le sable en balayant du regard le paysage afin de repérer son consultant. Soudain, son regard se figea lorsque Teresa vit Patrick marcher vers elle ; sans plus attendre, elle courut vers lui, le cœur léger malgré qu’elle n’était pas très jolie à voir.
Jane vit soudainement courir vers lui une petite jeune femme brune, en tenue du soir, pieds nus mais son maquillage avait laissait des traces, sans doute à cause des larmes, et des cernes sous ses yeux à cause du manque de sommeil. Mais son regard émeraude l’hypnotisait et reconnaissait cette jeune femme. C’était Lisbon ! Il s’avança vers elle d’un pas de loup décidé avec l’espoir qui revenait.
Ils ne se quittèrent pas du regard jusqu’à ce qu’ils arrivent à quelques centimètres l’un de l’autre.
- Salut ! Salua Lisbon essoufflée.
- Lisbon ! Souffla Jane.
- Ecoutez, avant de dire quoi que ce soit, j’ai quelque chose à vous dire et s’il vous plaît ne m’interrompez pas. Supplia-t-elle avec insistance.
Sans protester ni dire ou faire quoi que ce soit d’autre, Jane s’exécuta sans insister.
- Je sais que je suis autoritaire… entêtée voir… froide mais vous n’avez peut-être pas tort si c’est que vous pensez. Commença-t-elle en versant une larme. Mais vous savez ce qui est dingue ?... C’est que j’ai toujours pu être moi-même depuis que je vous ai rencontré car avec vous, je peux me lâcher, tenter ou essayer tout et n’importe quoi jusqu’à enfreindre parfois les règles mais j’arrive à me libérer d’un poids grâce à vous…
Elle marqua une pause voyant que Jane l’écoutait attentivement sans la quitter des yeux avec une telle fragilité et intensité dans son regard.
- Puis à part vous… Continua-t-elle en larmes. Aucun homme n’avait pu autant me rendre folle, me faire rire, me rendre heureuse, me respecter, m’accepter telle que je suis et me regarder sans aucun mépris ni honte ni complexe ni préjugé comme vous le faites… Et c’est la première fois de ma vie qu’un homme me met en confiance, me rend tellement heureuse et quand il n’est pas là, je suis malheureuse… Tout ça pour dire que… c’est idiot mais je… je suis vraiment amoureuse… Je suis amoureuse de toi Patrick Jane… Malgré le règlement, le CBI…
Elle stoppa à nouveau en s’apprêtant à chasser une larme sur sa joue mais elle sentit le contact chaud des mains de Jane qui prirent son visage entre ses mains et il chassa les larmes de sa belle avec ses pouces alors qu’elle posa ses mains sur son torse. Restant un moment front contre front, les yeux dans les yeux, Jane soupira.
- Je ressens également toutes ces choses quand je suis avec toi. Murmura-t-il. C’est tellement fort que je n’ai jamais pu ressentir ça chez aucune autre femme à part toi. Je suis amoureux de toi depuis le premier regard… Mais je te demande pardon. Pardon, de m’être conduit comme un idiot, de ne pas t’avoir retenu et de tout ce que je t’ai dit hier soir, tu ne t’imagines pas à quel point je m’en veux que j’ai cru que je t’avais perdu pour toujours.
- Non. Souffla-t-elle. Tu ne me perdras jamais, je te le jure. Je t’aime.
- Je t’aime aussi Teresa. Souffla-t-il.
Il captura ses lèvres douces et l’embrassa.
Teresa soupira d’aise lorsqu’elle lui rendit son baiser et l’approfondit en entourant sa nuque de ses bras tandis que Patrick entoura les sien autour d’elle en la serrant tout contre lui afin de sentir la chaleur de son corps contre le sien. Les mains de Jane se baladèrent dans le dos de sa belle qui caressa ses cheveux et sa nuque en mordillant sa lèvre inférieure. Ils ouvrirent leurs bouches, leurs langues s’effleurèrent, se rencontrèrent et s’emmêlèrent sous des soupirs de désir et leurs baisers devinrent passionnés, tendres et enivrants. Ils ne pouvaient plus se décoller ni se détacher ni se séparer l’un de l’autre. Tout ce qu’ils voulaient, c’était d’être ensemble, vivre leur amour à 100% chaque seconde qui passait, être heureux et unis jusqu’à la fin de leur vie.
Aujourd’hui, sous les couleurs de l’aurore et sur une plage déserte, Patrick Jane et Teresa Lisbon étaient enfin unis puis ne former plus qu’un.
Tes commentaires me font toujours autant plaisir
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Voici la fin de ma fic !
Voici le moment de vérité de ce qui va se passer Est-ce que Jane et Lisbon vont-ils se retrouver ? Vont-ils se mettre ensemble ? A vous de le découvrir
En tout cas, j'ai vraiment pris un réel plaisir d'écrire cette fic pour vous et pour vtre plus grand plaisir puis je suis contente que cette fic vous plaise autant
Est-ce qu'il y aura une autre fic ? Pour l'instant, pour être honnête, je n'ai pas encore d'idées pour une prochaine fic mais si j'en ai, y aura une prochaine fic
Merci mille fois pour tous vos commentaires aussi mille fois merci à Sweety pour la correction de ma fic
Bonne Lecture...
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Epilogue :
Aux alentours de 23h, la berline noire roula vers le QG du CBI de Sacramento qui était à environ 1h30 du Palais de Justice de Santa-Ana. La circulation était très dense donc elle pouvait rouler à vive allure en respectant toujours les limitations de vitesse – enfin presque – parce que Teresa laissa tomber son côté femme flic rationnelle, calme et compétente et laissa parler son côté femme douce, fragile d’une enfant blessée par la mort de sa mère, la violence de son père, l’abandon d’un de ses frères ainsi que le mépris et la médiocrité des hommes.
Elle ne voulait plus souffrir, ni être abandonnée et plus important encore, la jeune femme ne voulait pas que le règlement contrôle aussi sa vie privée. Non ! Il fallait que ça change et que ça cesse.
Elle voulait être heureuse comme n’importe quelle femme, avec un homme à ses côtés pour la soutenir, l’aider dans n’importe quelle circonstance – même s’il parvenait souvent à la rendre folle –, la faire rire, qui serait un mari hors du commun et un père idéal pour ses futurs enfants, la respecterait telle qu’elle est vraiment, qui la comprenne, qui ferait tout et n’importe quoi pour faire son bonheur aussi pour la rendre heureuse.
Aujourd’hui, elle savait que son cœur battait et avait choisit l’homme en question depuis bien longtemps. Bien trop longtemps. Cet homme était son consultant. Cet homme était Patrick Jane.
N’était-il pas interdit que deux collègues aient une liaison ? Si, bien sûr. Etait-elle conscience dans quoi elle s’entraînait ? Evidemment ! Mais elle s’en foutait de tout ça – enfin presque – Patrick était consultant et non agent ; malgré qu’ils étaient collègues de travail, qu’il avait déjà enfreint plusieurs règles et qu’elle s’était fixé cette limite entre elle et lui ; il fallait prendre des risques dans la vie et ceux malgré les inconvénients. Teresa décida de brûler cette limite et de retrouver son consultant.
Elle se prépara mentalement à ce qu’elle allait lui dire lorsqu’elle arriva sur le parking du QG une demi-heure plus tard. Elle sortit en trombe du véhicule et courut à toute vitesse en entrant dans le bâtiment et appuya comme une dingue sur le bouton de l’ascenseur. Les portes s’ouvrirent et elle grimpa à pas de loup dans l’appareil, appuya sur le bouton du quatrième étage et les portes se fermèrent. Arrivée à destination, Teresa sortit en courant à toute vitesse en faisant attention à ne pas déraper du fait qu’elle portait des talons hauts. La jeune femme chercha son consultant du regard dans les moindres recoins des bureaux où il pouvait bien se cacher. En vain. Son canapé, la cuisine, son bureau, l’open space… tout était vide. Mais il restait encore une source d’espoir lorsqu’elle grimpa les escaliers quatre par quatre en allant vers son repaire. Plus elle avançait, plus son cœur cognait dans sa poitrine mais elle avait tellement envie de sortir tout ce qu’elle ressentait, tout ce qu’elle avait sur le cœur depuis toutes ces années, depuis leur première rencontre.
Devant la porte, ses mains tremblèrent, son cœur s’emballa et des papillons virevoltèrent dans son ventre. Elle hésita un moment en se demandant si son consultant dormait ou non voir fit semblant de dormir – et ça ne serait pas étonnant – mais elle frappa à la porte.
- Jane ! L’appela-t-elle à travers la porte.
Mais il ne répondit pas. C’était un test de faire semblant de ne pas l’écouter. Elle garda espoir en se mordillant la lèvre inférieure dans un sourire, elle frappa à nouveau en appelant encore son nom. Aucune réponse. Soudain, elle devint inquiète et eut peur que son consultant ait fait une bêtise. Elle fit coulisser la porte et l’entrebâillât afin de balayer la pièce du regard.
- Jane. Chuchota-t-elle.
Aucune réponse. Et lorsque Lisbon ouvrit entièrement la porte, sa source d’espoir s’envola en éclat en une fraction de seconde. Elle fût déçue et triste de voir que le repaire de Jane était vide. Elle pénétra dans le grenier observant la pièce éclairée par une petite lampe suspendue au plafond et la lumière blanche naturelle du clair de lune. La jeune femme vit ce qui servait de lit à l’ancien médium, d’une manière mélancolique la belle brunette balaya la pièce du regard.
Avec lui, Teresa avait partagé tellement de choses, de confidences, de souvenirs, de moments qui furent gravés à travers ces murs. Des bons moments où il se confiait à elle et inversement, il la faisait rire ou lui rendait le sourire quand elle n’était pas bien comme des mauvais de leurs disputes quand Jane achevait l’enquête seul sans la tenir au courant de ses initiatives, son bureau ou quand elle était inquiète pour lui quand il s’enfermait dans son coin sans qu’il ne s’ouvre à elle.
Ses yeux étaient au bord des larmes en repensant à ces moments où ils apprenaient à se connaître, à l’attachement qu’ils avaient ainsi qu’aux sentiments qu’ils ressentaient pour l’un et pour l’autre.
Teresa s’approcha du bureau de Patrick qu’elle toucha du bout de ses doigts et vit son ordinateur fermé. Elle se mit à le toucher lorsqu’un flash récent la toucha en plein cœur lui revint en mémoire…
Flash Back
Plus tard, après l’affaire du meurtre du mari d’Erika Flynn, Teresa frappa la porte du repaire de Patrick, elle l’appela en demandant s’il était là. Mais elle ne vit personne. Elle pénétra dans la pièce et s’avança jusqu’au bureau du beau blondinet pour récupérer son ordinateur. Lisbon l’éteignit, ferma son ordinateur mais lorsqu’elle allait partir ; le visage vulnérable mais craquant à souhait de Jane sur l’écran de son ordinateur attira son attention.
Elle observa un moment son consultant qui envahissait l’écran dans un instant d’hésitation et bougea la souris en cliquant sur « Play » en s’asseyant sur la chaise sans quitter Jane du regard. Puis il parla devant la caméra d’une timidité et d’un naturel sans pareil.
- Je cherche quelqu'un qui... euh... quelqu'un en qui je peux avoir confiance. Une personne forte, une personne... en paix avec elle-même, une personne meilleure que moi. Quelqu'un qui connaît mon... côté le plus sombre et m'aime quand même.
Une flamme douce brilla dans les yeux émeraude de Teresa ainsi qu’un sourire timide en dévorant chacun de ses mots sans quitter son regard océan très touchant, vulnérable et intense.
- Une femme incroyable. Constata Erika Flynn.
Jane acquiesça d’un sourire triste et d’un regard fragile.
- Elle l'était.
Fin du Flash Back
Une larme ruisselait le long de sa joue, un léger sourire ainsi qu’un frisson parcourut son dos rien qu’en revivant ce moment où elle avait découvert que Patrick révélait une partie d’elle qui se trouvait aussi chez sa défunte épouse. Il parlait d’elle avec une telle sensibilité, nostalgie, sincérité et douceur rien que d’entendre au son de sa voix.
Mais soudain, la belle brunette vit avec curiosité et interrogation, un carnet en moleskine noir où des papiers dépassaient. Qu’est-ce qu’il pouvait bien contenir ? Qu’est-ce que Jane pouvait noter dedans ? Et pourquoi il utilisait cela en cas de besoin ? Justement, elle voulait le savoir.
Elle hésita un instant mais son instinct de flic la guida de l’ouvrir et s’exécuta. Elle tourna les pages et vit quelques notes concernant les indices sur l’affaire de John Le Rouge, le tueur qui avait volé sa femme et sa fille ainsi que brisé sa vie. Plus elle tournait les pages, plus elle se sentait mal à l’aise avec son cœur qui se serra en prenant l’initiative de s’immiscer dans cette face sombre, cachée et douloureuse de sa mauvaise passe qui avait chamboulé la vie de son consultant.
Au fur et à mesure que les pages tournaient, elle sentit un nœud se nouait dans son estomac jusqu’à ce que Lisbon fit un bond de surprise et son regard fut scotché…
Le Smiley ensanglanté dessiné au feutre rouge prenant toute la place sur le papier était barré d’une croix faite au feutre noire et son anneau doré était emprisonné dans un sachet en plastique, agrafée sur la page indiquant à Lisbon que Jane avait bien tourné la page sur son passé et que sans le moindre doute il avait décidé de recommencer à vivre, redémarrer à zéro, commencer une nouvelle vie. Puis, lorsqu’elle tourna la page, elle se figea et devint sourde ayant les larmes aux yeux. Un grand sourire s’afficha sur ses lèvres et son cœur qui s’emballa à toute vitesse…
La page suivante était dessinée par un cœur avec des initiales à l’intérieur…
P.J ? Patrick Jane. Lui. Et T.L ? Teresa Lisbon. Elle. C’était évident ! Ca crevait les yeux ! Il éprouvait des sentiments pour elle et elle en éprouvait pour lui. Malgré leurs différences, ils avaient confiance l’un en l’autre, avaient une nette impression de se connaître depuis longtemps, ils partagés les mêmes souffrances – qui était leur unique point commun – et ce qui les liaient et les avaient unis comme si c’était un coup du destin ! Plus loin, dans le carnet, Teresa effleura chaque page du bout de ses doigts en découvrant que les mots écrits dans son carnet étaient identiques à ceux qui étaient dans ses lettres et vit les lettres qu’elle lui avait envoyées depuis ces derniers jours. Puis soudain, l’espoir revit comme une illumination en se rappelant où pouvait bien se trouver l’homme de sa vie. La plage !
Elle laissa tomber le carnet sur la table et partit en courant de la pièce jusqu’à se trouver sur le parking à vitesse grand V, monta au volant de la berline qu’elle avait emprunté – voler serait le mot juste – et fonça vers la plage de Sacramento.
Le ciel prit une couleur orangée et rosée quand les premiers rayons du soleil se levèrent à l’horizon. L’aube régnait sur la côte Ouest, reflétant dans le miroir d’eau de l’océan avec un vent frais et pur ainsi que le bruit des mouettes qui accompagnait le décor. Assis avec ses bras entourant ses genoux ramenés contre sa poitrine sur le sable fin d’une plage, Patrick Jane admirait le spectacle.
Il adorait observer le soleil se lever lors de ses promenades matinales et par tous les temps mais ses pensées étaient ailleurs. Le visage angélique de Teresa Lisbon l’obsédait. Il s’en voulait de l’avoir laisser aller à cette soirée remplis de politiciens merdiques et de bourgeois radins aux bras de ce fils de Sénateur n’ayant pas de plan dans la cervelle. Il avait découvert quelque chose qu’il n’avait pas connu depuis longtemps : la jalousie. Il était horriblement jaloux, il aurait dû proposer à la jeune femme de l’accompagner voir de ne pas y aller du tout. Mais comme le dernier des idiots, il n’avait rien fait pour la retenir. Maintenant, sur cette plage abandonnée, coquillage et crustacés, devant un sublime lever de soleil, il s’en voulait comme s’il avait perdu celle qu’il l’aimait de la même manière qu’il avait perdu sa famille à une autre époque de sa vie. Aujourd’hui, c’était comme si son passé et cette même culpabilité l’avaient rattrapé. Il chassa une larme qui coulait sur sa joue et se releva pour rejoindre sa DS avec un pincement au cœur.
Au même moment, le long du trottoir qui longeait la plage, la berline noire se gara précipitamment dans un crissement de pneus derrière la DS bleue de Jane. Lisbon sortit du véhicule malgré une vague de frissons qui parcourait son corps avec le froid, la nervosité et la fatigue. Les cernes sous ses yeux indiquaient son manque de sommeil et des traces de son mascara avaient coulé à cause de ses larmes. Mais la jeune femme s’en fichait, elle voulait à tout prix retrouver Jane. Elle savait que l’homme de sa vie était là, quelque part, pas très loin voir tout près d’elle. Elle enleva ses sandales qui lui faisaient mal aux pieds, les lança sur le siège passager et ferma la portière du conducteur et courut sur le sable en balayant du regard le paysage afin de repérer son consultant. Soudain, son regard se figea lorsque Teresa vit Patrick marcher vers elle ; sans plus attendre, elle courut vers lui, le cœur léger malgré qu’elle n’était pas très jolie à voir.
Jane vit soudainement courir vers lui une petite jeune femme brune, en tenue du soir, pieds nus mais son maquillage avait laissait des traces, sans doute à cause des larmes, et des cernes sous ses yeux à cause du manque de sommeil. Mais son regard émeraude l’hypnotisait et reconnaissait cette jeune femme. C’était Lisbon ! Il s’avança vers elle d’un pas de loup décidé avec l’espoir qui revenait.
Ils ne se quittèrent pas du regard jusqu’à ce qu’ils arrivent à quelques centimètres l’un de l’autre.
- Salut ! Salua Lisbon essoufflée.
- Lisbon ! Souffla Jane.
- Ecoutez, avant de dire quoi que ce soit, j’ai quelque chose à vous dire et s’il vous plaît ne m’interrompez pas. Supplia-t-elle avec insistance.
Sans protester ni dire ou faire quoi que ce soit d’autre, Jane s’exécuta sans insister.
- Je sais que je suis autoritaire… entêtée voir… froide mais vous n’avez peut-être pas tort si c’est que vous pensez. Commença-t-elle en versant une larme. Mais vous savez ce qui est dingue ?... C’est que j’ai toujours pu être moi-même depuis que je vous ai rencontré car avec vous, je peux me lâcher, tenter ou essayer tout et n’importe quoi jusqu’à enfreindre parfois les règles mais j’arrive à me libérer d’un poids grâce à vous…
Elle marqua une pause voyant que Jane l’écoutait attentivement sans la quitter des yeux avec une telle fragilité et intensité dans son regard.
- Puis à part vous… Continua-t-elle en larmes. Aucun homme n’avait pu autant me rendre folle, me faire rire, me rendre heureuse, me respecter, m’accepter telle que je suis et me regarder sans aucun mépris ni honte ni complexe ni préjugé comme vous le faites… Et c’est la première fois de ma vie qu’un homme me met en confiance, me rend tellement heureuse et quand il n’est pas là, je suis malheureuse… Tout ça pour dire que… c’est idiot mais je… je suis vraiment amoureuse… Je suis amoureuse de toi Patrick Jane… Malgré le règlement, le CBI…
Elle stoppa à nouveau en s’apprêtant à chasser une larme sur sa joue mais elle sentit le contact chaud des mains de Jane qui prirent son visage entre ses mains et il chassa les larmes de sa belle avec ses pouces alors qu’elle posa ses mains sur son torse. Restant un moment front contre front, les yeux dans les yeux, Jane soupira.
- Je ressens également toutes ces choses quand je suis avec toi. Murmura-t-il. C’est tellement fort que je n’ai jamais pu ressentir ça chez aucune autre femme à part toi. Je suis amoureux de toi depuis le premier regard… Mais je te demande pardon. Pardon, de m’être conduit comme un idiot, de ne pas t’avoir retenu et de tout ce que je t’ai dit hier soir, tu ne t’imagines pas à quel point je m’en veux que j’ai cru que je t’avais perdu pour toujours.
- Non. Souffla-t-elle. Tu ne me perdras jamais, je te le jure. Je t’aime.
- Je t’aime aussi Teresa. Souffla-t-il.
Il captura ses lèvres douces et l’embrassa.
Teresa soupira d’aise lorsqu’elle lui rendit son baiser et l’approfondit en entourant sa nuque de ses bras tandis que Patrick entoura les sien autour d’elle en la serrant tout contre lui afin de sentir la chaleur de son corps contre le sien. Les mains de Jane se baladèrent dans le dos de sa belle qui caressa ses cheveux et sa nuque en mordillant sa lèvre inférieure. Ils ouvrirent leurs bouches, leurs langues s’effleurèrent, se rencontrèrent et s’emmêlèrent sous des soupirs de désir et leurs baisers devinrent passionnés, tendres et enivrants. Ils ne pouvaient plus se décoller ni se détacher ni se séparer l’un de l’autre. Tout ce qu’ils voulaient, c’était d’être ensemble, vivre leur amour à 100% chaque seconde qui passait, être heureux et unis jusqu’à la fin de leur vie.
Aujourd’hui, sous les couleurs de l’aurore et sur une plage déserte, Patrick Jane et Teresa Lisbon étaient enfin unis puis ne former plus qu’un.
TBC...
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Red letters passion ^
Oh mais c'est trop miiiiiignon
Et pis le coeur dans le carnet so cuuuute
Bref Une belle fin pour une belle histoire, BRAVO !
J'espère qu'il y en aura d'autres mais prend le temps de réfléchir ^^
Et pis le coeur dans le carnet so cuuuute
Bref Une belle fin pour une belle histoire, BRAVO !
J'espère qu'il y en aura d'autres mais prend le temps de réfléchir ^^
terpo4- Agent de circulation
- Localisation : Dans ce monde étrange que l'on nomme " Planète TM "
Re: Red letters passion ^
Cette fin est splendide, à l'image de ta fic
Merci et bravo JA
Merci et bravo JA
teninches- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Localisation : Dans les locaux du CBI
Re: Red letters passion ^
bravo pour cette magnifique fin !
Jiisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Lisbon & Jane
Localisation : N'importe où, tant que qu'il y a du soleil
Re: Red letters passion ^
C'est trop trop beau
J'adore!
C'est du Jisbon trop mignon
Et en plus tu as remis le passage avec la fin du 3x19, c'est exactement ça
Ta fic est vraiment trop belle! Elle fait rêver!
ta fan n°1 (tu m'as même mis une petite larme à l'oeil en le lisant tellement c'était beau )
J'adore!
C'est du Jisbon trop mignon
Et en plus tu as remis le passage avec la fin du 3x19, c'est exactement ça
Ta fic est vraiment trop belle! Elle fait rêver!
ta fan n°1 (tu m'as même mis une petite larme à l'oeil en le lisant tellement c'était beau )
alamanga- Red John
- Personnage préféré : Cho, Lisbon, Jane. Van Pelt et Rigsby aussi.Abbott, Fischer, Wylie et Vega.
Loisirs : La TV, me balader, visiter...et rêver!
Localisation : Devant mon ordi, sous le soleil exactement!
Re: Red letters passion ^
Merciii pour tous vos commentaires filles !!!
Je ne sais plus où me mettre tellement vos commentaires me font tellement plaisir
Au passage, je remercie infiniment MissTeresa pour la traduction du 3x19 et Sweety pour la correction
Vos réponses sont dans le spoiler
Encore merci pour tous vos commentaires
Je ne sais plus où me mettre tellement vos commentaires me font tellement plaisir
Au passage, je remercie infiniment MissTeresa pour la traduction du 3x19 et Sweety pour la correction
Vos réponses sont dans le spoiler
- Spoiler:
- - Terpo4 : Merci beaucoup
Oui, j'ai imaginé le p'tit coeur dans le carnet comme les ados étant amoureux et qui font cela dans leur jounal intime ou dans leur agenda
Oui, y en aura d'autres mais la recherche d'idées risque d'être longue mais pour l'instant, je me concentre sur mon autre fic actuelle
- Teninches : Derien miss et merci beaucoup à toi
- Jiisbon : Merciii beaucoup
- Manga : Mercii infiniment ma fan n°1 Tes commentaires me font toujours autant plaisir mais je ne voulais pas te faire pleurer
J'ai demandé à MissTeresa de traduire le passage du 3x19 et je la remercie infiniment moi, je n'y suis pour rien mais je suis contente que ça te plaise
Encore merci pour tous vos commentaires
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Red letters passion ^
Super fic.. bravo..
J ai adoré.
L enquete etait tres bien et l echange de lettre etait sympa comme idee.
Et toujours une super fin jisbon
J ai adoré.
L enquete etait tres bien et l echange de lettre etait sympa comme idee.
Et toujours une super fin jisbon
Saff45- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
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