Blood in troubled water ^
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Re: Blood in troubled water ^
- Spoiler:
- Je ne vois pas Wainwright faire preuve d'autant d'autorité vu la façon dont Jane l'a manipulé et utilisé dans le 4x04
Lisbon qui soigne Jane c'est tout
Quand au passage dans la cuisine c'est plein de tendresse
Même sans rien faire Jane fait craquer toutes les femmes
Par contre la réaction de Lisbon qui disparait alors qu'elle avait "oublié" de parler de Josh à Jane ce n'est pas très cool...sauf si...elle est "un peu" jalouse
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Blood in troubled water ^
Mais c'est une folle cette Mandy!!!!
Je veux la suite Mamzelle !! Et Lisbon bouche bée, énervée, et Jane qui ne peut s'empêcher de regarder cette dernière! Huuuummmm
Encore!
Je veux la suite Mamzelle !! Et Lisbon bouche bée, énervée, et Jane qui ne peut s'empêcher de regarder cette dernière! Huuuummmm
Encore!
mococoa- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Loisirs : sport, lecture (des fics entre autres), The Mentalist
Localisation : Dans mes rêves
Re: Blood in troubled water ^
non mais pour qui elle se prend cette mandy sale garçe celle-la
notre lisbon ne serait t'elle pas jalouse ?
notre lisbon ne serait t'elle pas jalouse ?
Caroline Jane- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane
Loisirs : Mentalist & Tokio Hotel
Localisation : Sur le canapé marron avec Patrick Jane
Re: Blood in troubled water ^
super suite !! :)
la scène entre Jane et Lisbon dans la cuisine est vraiment superbe
Par contre la Mandy, elle a totalement craquer là mdr !
Pauvre Jane qui se fait attaquer omme ça alors qu'il n'a rien demandé lol ;p
et Lisbon qui voit ça ... elle serait pas un peu jalouse, d'ailleurs ?! :)
hâte de lire la suite XD
la scène entre Jane et Lisbon dans la cuisine est vraiment superbe
Par contre la Mandy, elle a totalement craquer là mdr !
Pauvre Jane qui se fait attaquer omme ça alors qu'il n'a rien demandé lol ;p
et Lisbon qui voit ça ... elle serait pas un peu jalouse, d'ailleurs ?! :)
hâte de lire la suite XD
Re: Blood in troubled water ^
JA d'avoir posté la suite et désolée de ne pas avoir commenté avant, en plus je l'ais lu le jour-même, au boulot comme d'hab'
cette suite est superbe avec un magnifique moment Jisbon qui malheureusement ne dure pas longtemps à cause de cette Mandy non mais pour qui elle se prend celle-la
j'espère que ça va s'arranger pour nos héros et que Lisbon se rendra compte qu'elle s'est trompée sur Josh et que Jane est celui qu'il lui faut.
Il me tarde de lire la suite et de savoir ce qu'il va se passer, j'ai encore peur que ça finisse mal après la suite de ton prologue
cette suite est superbe avec un magnifique moment Jisbon qui malheureusement ne dure pas longtemps à cause de cette Mandy non mais pour qui elle se prend celle-la
j'espère que ça va s'arranger pour nos héros et que Lisbon se rendra compte qu'elle s'est trompée sur Josh et que Jane est celui qu'il lui faut.
Il me tarde de lire la suite et de savoir ce qu'il va se passer, j'ai encore peur que ça finisse mal après la suite de ton prologue
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Blood in troubled water ^
Salut je viens de lire ta Fic JA et je tiens a te dire que j'aime beaucoup et puis la façon donc tu écrits est génial franchement c'est dommage que j'ai pas pu la commenter plus tot mais comme on dis vaut mieux tard que jamais J'ai hâte de connaitre la suite
VLS VLS VLS
VLS VLS VLS
Invité- Invité
Re: Blood in troubled water ^
Toujours aussi intéressant, bien écrit et maîtrisé, bravo
teninches- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Localisation : Dans les locaux du CBI
Re: Blood in troubled water ^
Une lettre de menace ?? Ca se complique !
En même temps cette Mandy, elle m'énerve un peu , elle croyait vraiment avoir une chance avec notre Jane ? Elle est barrée ! Mais bon de là à souhaiter sa mort, quand même nooon ( )
Elle compte le quitter bientôt Josh, Lisbon ? Il faut pas être mentaliste pour voir que c'est pas lui qui lui faut !!
Mais VLS quoi !
En même temps cette Mandy, elle m'énerve un peu , elle croyait vraiment avoir une chance avec notre Jane ? Elle est barrée ! Mais bon de là à souhaiter sa mort, quand même nooon ( )
Elle compte le quitter bientôt Josh, Lisbon ? Il faut pas être mentaliste pour voir que c'est pas lui qui lui faut !!
Mais VLS quoi !
terpo4- Agent de circulation
- Localisation : Dans ce monde étrange que l'on nomme " Planète TM "
Re: Blood in troubled water ^
Johel, Mococoa, Caroline Jane, Totorsg, Sweety, Cocodu66,Teninches, & Terpo4
@Johel : J'ai écris ce chapitre avant que l'épisode ne soit diffusé aux USA et je ne peux pas regarder les épisodes parce que j'ai un ordi qui beugue et s'éteint tout seul quand je looke des vidéos sur n'importe quel site sauf Youtube Désolée si j'ai mis le nouveau dirlo du CBI d'un air strict
@Sweety : Mais derien ce n'est pas grave t'inquiètes et ça fait plaisir que t'ait pris le temps de le lire.
Puis petite explication : Si j'ai voulu mettre une fille qui embrasse Jane c'est parce que je meurs d'envie d'une scène comme ça dans la série. De voir ce que ça ferait à Jane qu'une femme l'embrasse ainsi puis de voir la tête que ferait Lisbon en voyant cela
~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
Voici la suite…
C'est un peu plus drôle au début avec une sacrée scène de ménages entre Jane et Lisbon comme d'hab' mais plus tard, ça devient un peu plus... comment dire... assez enfin vous voyez
Bonne Lecture… ____________________________________________________________________
Un peu plus tard dans l’open-space, assis sur son canapé, Jane savoura son thé pour faire disparaître la trace du baiser acre de tout à l’heure, lisant de nouveau Shakespeare et Blake, pendant que Rigsby puis Cho étaient installés à la grande table face à face et Van Pelt derrière son bureau.
Tous trois étaient concentrés au maximum dans leur travail. Auparavant, le mentaliste avait confié à Wayne le message que Mandy Sommers avait reçu sous sa porte : le grand brun l’avait envoyé au labo pour analyse : recherche d’écriture ainsi qu’empreinte partielle.
Soudain, Lisbon arriva comme une furie auprès de son équipe au même moment où Jane ferma son bouquin et le posa sur le divan.
- Où en êtes-vous ? Hurla presque la patronne.
- Samuel Wilde a dit qu’il était parti pour une exposition dans la galerie d’un ami à San Francisco, le soir du meurtre entre 20h30 et 22h45. Expliqua Cho ; son alibi tient la route.
- Ok, et pour Terrence Rudy ?
- Il était à une dégustation gastronomique à Palm Springs jusqu’à 23h et la liste des passagers de l’aéroport confirme qu’il est entré le lendemain matin vers 9h. Intervint Wayne.
- Super. Grommela-t-elle ; Van Pelt, dites-moi que vous avez quelque chose ? supplia-t-elle en se tournant vers la concernée.
- Les comptes de Courtney Brandon sont en train de se vider. Répondit-elle étonnée.
- Comment ça !?! S’étonna Lisbon inquiète.
- Hier, tous ces comptes sont restés normaux jusqu’à ce que j’aperçoives il y a environ quelques minutes, qu’on a retiré plus de 5.000 dollars et ça continue ! Expliqua Grace.
- Vous avez essayé de trouver la source ou je ne sais pas trop comment vous appelez ça ? Demanda sa patronne.
- Non, malheureusement je ne trouve rien. Fit la jolie rousse confuse.
- L’assassin est sûrement un arnaqueur ou plutôt une arnaqueuse, je dois dire que c’est une pro, intervint Jane.
Tous les yeux étaient rivés vers lui, interloqués et intrigués puis il continua en se levant de son sofa.
- Et si elle s’en prend à ses comptes, c’est qu’elle veut disparaître et qu’elle a commis un crime passionnel puis très personnel.
- Tiens, tiens ! Vous avez retrouvé votre langue maintenant ? Se moqua-t-elle d’un ton sec en s’avançant vers lui.
- Elle va bien et vous remercie de s’inquiéter pour elle. Répliqua Jane.
Il tira la langue comme un enfant qui se moque sous les yeux rieurs et interrogateurs de ses collègues.
- Ca va, elle a repris des couleurs quand vous avez embrassé Mandy Sommers à pleine bouche ! Lança sa patronne fâchée.
- Non, non, non c’est… c’est ELLE qui m’a embrassé… pas moi ! Corrigea le mentaliste.
Soudain, Patrick se sentit mal à l’aise et rougit en baissant les yeux après s’être rendu compte qu’il s’était fait avoir par Teresa, qui le regarda d’un air mauvais. Mais sous cette révélation, Rigsby pouffa de rire qu’il essaya en vain de retenir, Cho sourit en étouffant son rire et Grace rit de plus belle.
- Est-ce que j’ai bien entendu ? Une nana t’a carrément sauté dessus !?! Rigola Wayne; alors là, j’aurai dû être en première loge pour voir ça !
- Elle avait un appétit sexuel féroce dis-moi. Blagua Kimball d’un ton enjoué et moqueur.
Lisbon lui jeta un regard incendiaire. Jane se mordit les lèvres sans oser de lever son regard alors que le rire de Rigsby redoubla d’intensité.
- Ouah ! Tu fais un tabac auprès des femmes ! Fit Grace dans un sourire.
- Pourquoi je voudrais faire un tabac auprès des femmes ?! Répondit Jane gêné et interrogateur.
- Et toi qui disais « amour et affection » pour séduire une femme ! Soupira Rigsby en reprenant son souffle.
- Et je ne change pas ce que je dis parce qu’il n’y a que ça de vrai ! Se défendit le mentaliste.
- Mouais, mon œil ! Marmonna Lisbon ; pourquoi pas « sexe puis affinités » pendant que vous y êtes ! Ajouta-t-elle sèchement.
Ils se toisèrent du regard alors que leurs collègues s’échangèrent un regard en haussant les sourcils et essayèrent de se plonger dans le travail pour échapper à la dispute du couple.
- Pourquoi vous parlez sur ce ton ? Demanda son consultant intrigué.
Il contempla sa patronne alors qu’elle fronça les sourcils puis un sourire apparut chez le mentaliste.
- Dites-moi, vous ne seriez pas jalouse ? Demanda-t-il d’un air rieur.
- Q… Quoi ?… Moi, jalouse ? Fit-elle étonnée et mal à l’aise ; non mais je m’en fous pas mal de votre vie privée, Jane… mais essayez de ne pas la mélanger avec la vie professionnelle c’est tout. Ajouta-t-elle énervée ; Ce n’est pas vous qui m'aviez dit ça d’ailleurs ?
Jane baissa les yeux et se mordit les lèvres.
- Puis elle est trop jeune pour vous, vous pourriez être son prof de philo ! Fit remarquer Lisbon méchamment.
- Tiens, je croyais que vous vous en foutiez pas mal de ma vie privée !?! Répliqua Jane dans un sourire.
Lisbon rougit et bouillonna de rage en faisant les yeux noirs alors que Jane souriait de plus belle. Enervée, elle saisit la tasse dans sa main et lança le reste du thé à la figure de son consultant avant de reposer la tasse sur la coupelle. Il se trouva avec le visage ruisselant d’un air surpris, elle tourna les talons et s’en alla d’un pas pressé vers son bureau.
En voyant le liquide de la boisson ruisseler sur son visage jusqu’à tomber sur son costume, l’équipe détourna le regard en pouffant de rire alors que Patrick assez gêné et contrarié en entendant les rires de ses camarades, essuya ses yeux avec son pouce et les fit clignoter.
- Bon, au lieu de vous marrer, vous n’auriez pas un mouchoir par hasard ? Demanda Jane contrarié.
Puis Cho lui en lança un dans un sourire et le mentaliste l’attrapa en plein vol.
- Merci. Le remercia-t-il soulagé.
Il posa sa tasse sur son bureau et épongea son visage jusqu’à frotter énergiquement les tâches sur son costume mais en vain.
- Ben, je crois que je peux changer de costume. Conclut-il en s’en allant de la pièce.
Pendant ce temps, Lisbon était dans son bureau, plongée dans le rapport que Wainwright lui avait confié plutôt, concernant la plainte déposée par les avocats de Rudy à l’encontre de Jane – pour rien changer comme d’habitude. Des fois, elle mourrait d’envie de vraiment utiliser son flingue contre lui ou encore le torturer, au lieu de ça elle lui avait lancé son thé à la figure. Aurait-ce été un crime de faire ça ? Ca l’était, mais ça aurait très tentant !
Soudain, la question du consultant lui revint en tête « Dites-moi, vous ne seriez pas jalouse ? » et gigota dans son esprit jusqu’à ce que la jeune femme secoua la tête pour la chasser de ses pensées.
- Jalouse… Jalouse de qui ? D’une petite fausse blondasse qui fait la moitié de votre âge ? Et puis quoi encore ! Pensa à haute voix Lisbon d’une voix agressive.
- Patron ! Fit Grace au pas de la porte.
Tout à coup, elle sursauta d’un air gêné et se tourna vers la jolie rousse qui fronça les sourcils avec un dossier entre ses mains.
- Oui, Van Pelt. Qu’est-ce qui se passe ? Demanda Lisbon.
- La personne a recommencé à retirer de l’argent sur le compte la victime, il y a 10 minutes. Répondit-elle ; plus de 4.000 dollars envolés !
- Vous avez pu trouver quelque chose ? Supplia sa patronne.
- Je suis allée jusqu’au journal des comptes de la victime que j’ai comparé avec celui de son budget de New-York, expliqua Van Pelt en lui tendant le dossier dans un sourire.
- Et… l’encouragea Lisbon en ouvrant le dossier.
- Et c’est le même numéro que Joyce Brandon a utilisé pour arnaquer la boîte pour laquelle sa sœur travaillait ! Ajouta Grace d’un ton triomphant.
- Donc Joyce Brandon a refait surface lors du décès de sa sœur ! Conclut sa patronne en pensant tout haut ; joli travail, Van Pelt ! La félicita-t-elle.
- Merci, patron ! La remercia Grace toute sourire.
- Allez voir auprès des autorités où ils en sont sur leurs recherches à propos de la sœur et faites une recherche sur Mandy Sommers. Ordonna la belle brunette.
- Quoi ? Vous croyez qu’elle n’est pas claire ou vous faites ça pour Jane ? Demanda Van Pelt dans un sourire.
Lisbon la fixa avec un regard incendiaire, la rouquine se pinça les lèvres en baissant la tête d’un air confus et toussota.
- J’y vais. Murmura-t-elle en sortant de la pièce.
A peine que sa collègue fût sortie de la pièce, son téléphone portable sonna. Teresa fouilla dans la poche de sa veste, sortit son portable et décrocha au bout de la troisième sonnerie.
- Lisbon !
- Agent Lisbon ? Aidez-moi, je vous en prie ! Supplia une voix féminine en sanglots.
- Mademoiselle Sommers ? Qu’est-ce qui se passe ? S’inquiéta l’agent.
- C’est… C’est c… ce Terrence Rudy, il a pénétré chez moi et… il tient une arme ! Il veut me tuer ! Il veut me tuer ! Cria-t-elle d’une voix en sanglots.
Soudain, Mandy hurla en entendant des coups violents cognés contre sa porte.
- Venez vite ! J’ai peur ! Supplia Mandy terrifiée.
- Calmez-vous ! Calmez-vous ! Restez bien cachée ! On arrive ! Lui rassura-t-elle en raccrochant.
Lisbon rangea son portable dans la poche de sa veste, ouvrit le premier tiroir pour saisir son arme qu’elle mit dans son étui avant de quitter son bureau en courant.
Elle se dirigea vers l’open-space où l’équipe la vit, inquiet.
- Ca ne va pas patron ? Demanda Rigsby.
- Mandy Sommers vient de m’appeler, expliqua-t-elle ; Terrence Rudy a pénétré chez elle et la menace avec une arme.
- Quoi ?! S’étonna Grace ; mais pourquoi ?
- Il veut récupérer l’argent qu’il a perdu, sans doute. Supposa Wayne.
- Attends, il est plein aux as, pourquoi chercherait-il des ennuis pour récupérer son fric ? Fit Van Pelt.
- Parce que les riches sont des radins et ne veulent pas se salir leur tableau. Fit Cho.
- Cho, vous venez avec moi, intervint Lisbon ; Rigsby, prévenez les autorités et dites leur de nous rejoindre le plus vite possible, Van Pelt, passez voir Jane quoi qu’il foute, ramenez-le ! Ordonna-t-elle.
- Tout de suite patron ! Dirent les deux agents.
Après avoir pris ses affaires, Cho suivit sa patronne en courant vers l’ascenseur pour rejoindre le parking à vitesse grand V.
A l’appartement de Mandy Sommers, Lisbon et Cho parvinrent jusqu’à la porte du domicile de la jeune femme qui était entrouverte. Ils sortirent leurs armes en s’avançant discrètement où ils se mirent de chaque côté de l’entrée. Les deux agents se regardèrent jusqu’à ce que Teresa fasse un signe de tête à son collègue qui lui répondit avant de pousser brusquement la porte avec son pied et d’entrer dans l’appartement en pointant leurs armes.
Dès leur entrée, il vit que l’appartement était vide.
- Mademoiselle Sommers ! Appela Lisbon ; c’est l’agent Lisbon, vous êtes là ?
Ils avancèrent de quelques pas jusqu’à ce le corps inconscient de Terrence Rudy fit son apparition, allongé sur le tapis du salon. Pendant que Teresa marcha prudemment vers la cuisine qui était vide, Kimball se dirigea vers Rudy qui avait la chemise couverte de sang avec deux blessures par balles au thorax, l’agent prit son pouls dans le cou.
- Alors ? Demanda Lisbon en se tournant vers lui.
Cho secoua la tête en se tournant vers elle.
- Il est mort. Déclara-t-il.
- Et merde ! Souffla Lisbon ; prévenez la morgue, je vais voir dans les autres pièces.
Son collègue hocha la tête alors qu’elle disparut dans le petit couloir. Cho prit son portable dans la poche intérieure de sa veste mais il n’eut pas le temps de composer un numéro. L’asiatique reçut un coup de cross de revolver à la tête et perdit connaissance en s’effondrant au sol.
De son côté, Teresa marcha prudemment à travers le petit couloir, ouvrit une porte à sa gauche avec son pied avant de pointer son arme vers la pièce qui était la salle de bains. Vide. Elle se dirigea vers la première chambre à droite qui était forcément celle de Courtney Brandon car tout était rangé, des articles de presse étaient punaisées sur des panneaux au-dessus de son bureau où occupait une pile de dossiers sur le côté. La jeune femme se dirigea vers le fond du couloir où se trouvait la chambre de Mandy Sommers mais à peine devant la pièce, elle se figea et son visage changea d’expression comme si elle était horrifiée et abasourdie.
A peine elle baissa son arme qu’un mouchoir imbibé de chloroforme se plaqua avec force sur son visage. Lisbon résista à son agresseur de toutes ses forces mais plus elle résistait, plus son adversaire pressait encore plus le mouchoir sur sa figure. Hélas, Lisbon finit par tomber dans l’inconscience, son agresseur saisit son arme avant qu’elle ne touche le sol puis embarqua la jeune femme.
@Johel : J'ai écris ce chapitre avant que l'épisode ne soit diffusé aux USA et je ne peux pas regarder les épisodes parce que j'ai un ordi qui beugue et s'éteint tout seul quand je looke des vidéos sur n'importe quel site sauf Youtube Désolée si j'ai mis le nouveau dirlo du CBI d'un air strict
@Sweety : Mais derien ce n'est pas grave t'inquiètes et ça fait plaisir que t'ait pris le temps de le lire.
Puis petite explication : Si j'ai voulu mettre une fille qui embrasse Jane c'est parce que je meurs d'envie d'une scène comme ça dans la série. De voir ce que ça ferait à Jane qu'une femme l'embrasse ainsi puis de voir la tête que ferait Lisbon en voyant cela
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Voici la suite…
C'est un peu plus drôle au début avec une sacrée scène de ménages entre Jane et Lisbon comme d'hab' mais plus tard, ça devient un peu plus... comment dire... assez enfin vous voyez
Bonne Lecture… ____________________________________________________________________
Chapitre 7 :
Un peu plus tard dans l’open-space, assis sur son canapé, Jane savoura son thé pour faire disparaître la trace du baiser acre de tout à l’heure, lisant de nouveau Shakespeare et Blake, pendant que Rigsby puis Cho étaient installés à la grande table face à face et Van Pelt derrière son bureau.
Tous trois étaient concentrés au maximum dans leur travail. Auparavant, le mentaliste avait confié à Wayne le message que Mandy Sommers avait reçu sous sa porte : le grand brun l’avait envoyé au labo pour analyse : recherche d’écriture ainsi qu’empreinte partielle.
Soudain, Lisbon arriva comme une furie auprès de son équipe au même moment où Jane ferma son bouquin et le posa sur le divan.
- Où en êtes-vous ? Hurla presque la patronne.
- Samuel Wilde a dit qu’il était parti pour une exposition dans la galerie d’un ami à San Francisco, le soir du meurtre entre 20h30 et 22h45. Expliqua Cho ; son alibi tient la route.
- Ok, et pour Terrence Rudy ?
- Il était à une dégustation gastronomique à Palm Springs jusqu’à 23h et la liste des passagers de l’aéroport confirme qu’il est entré le lendemain matin vers 9h. Intervint Wayne.
- Super. Grommela-t-elle ; Van Pelt, dites-moi que vous avez quelque chose ? supplia-t-elle en se tournant vers la concernée.
- Les comptes de Courtney Brandon sont en train de se vider. Répondit-elle étonnée.
- Comment ça !?! S’étonna Lisbon inquiète.
- Hier, tous ces comptes sont restés normaux jusqu’à ce que j’aperçoives il y a environ quelques minutes, qu’on a retiré plus de 5.000 dollars et ça continue ! Expliqua Grace.
- Vous avez essayé de trouver la source ou je ne sais pas trop comment vous appelez ça ? Demanda sa patronne.
- Non, malheureusement je ne trouve rien. Fit la jolie rousse confuse.
- L’assassin est sûrement un arnaqueur ou plutôt une arnaqueuse, je dois dire que c’est une pro, intervint Jane.
Tous les yeux étaient rivés vers lui, interloqués et intrigués puis il continua en se levant de son sofa.
- Et si elle s’en prend à ses comptes, c’est qu’elle veut disparaître et qu’elle a commis un crime passionnel puis très personnel.
- Tiens, tiens ! Vous avez retrouvé votre langue maintenant ? Se moqua-t-elle d’un ton sec en s’avançant vers lui.
- Elle va bien et vous remercie de s’inquiéter pour elle. Répliqua Jane.
Il tira la langue comme un enfant qui se moque sous les yeux rieurs et interrogateurs de ses collègues.
- Ca va, elle a repris des couleurs quand vous avez embrassé Mandy Sommers à pleine bouche ! Lança sa patronne fâchée.
- Non, non, non c’est… c’est ELLE qui m’a embrassé… pas moi ! Corrigea le mentaliste.
Soudain, Patrick se sentit mal à l’aise et rougit en baissant les yeux après s’être rendu compte qu’il s’était fait avoir par Teresa, qui le regarda d’un air mauvais. Mais sous cette révélation, Rigsby pouffa de rire qu’il essaya en vain de retenir, Cho sourit en étouffant son rire et Grace rit de plus belle.
- Est-ce que j’ai bien entendu ? Une nana t’a carrément sauté dessus !?! Rigola Wayne; alors là, j’aurai dû être en première loge pour voir ça !
- Elle avait un appétit sexuel féroce dis-moi. Blagua Kimball d’un ton enjoué et moqueur.
Lisbon lui jeta un regard incendiaire. Jane se mordit les lèvres sans oser de lever son regard alors que le rire de Rigsby redoubla d’intensité.
- Ouah ! Tu fais un tabac auprès des femmes ! Fit Grace dans un sourire.
- Pourquoi je voudrais faire un tabac auprès des femmes ?! Répondit Jane gêné et interrogateur.
- Et toi qui disais « amour et affection » pour séduire une femme ! Soupira Rigsby en reprenant son souffle.
- Et je ne change pas ce que je dis parce qu’il n’y a que ça de vrai ! Se défendit le mentaliste.
- Mouais, mon œil ! Marmonna Lisbon ; pourquoi pas « sexe puis affinités » pendant que vous y êtes ! Ajouta-t-elle sèchement.
Ils se toisèrent du regard alors que leurs collègues s’échangèrent un regard en haussant les sourcils et essayèrent de se plonger dans le travail pour échapper à la dispute du couple.
- Pourquoi vous parlez sur ce ton ? Demanda son consultant intrigué.
Il contempla sa patronne alors qu’elle fronça les sourcils puis un sourire apparut chez le mentaliste.
- Dites-moi, vous ne seriez pas jalouse ? Demanda-t-il d’un air rieur.
- Q… Quoi ?… Moi, jalouse ? Fit-elle étonnée et mal à l’aise ; non mais je m’en fous pas mal de votre vie privée, Jane… mais essayez de ne pas la mélanger avec la vie professionnelle c’est tout. Ajouta-t-elle énervée ; Ce n’est pas vous qui m'aviez dit ça d’ailleurs ?
Jane baissa les yeux et se mordit les lèvres.
- Puis elle est trop jeune pour vous, vous pourriez être son prof de philo ! Fit remarquer Lisbon méchamment.
- Tiens, je croyais que vous vous en foutiez pas mal de ma vie privée !?! Répliqua Jane dans un sourire.
Lisbon rougit et bouillonna de rage en faisant les yeux noirs alors que Jane souriait de plus belle. Enervée, elle saisit la tasse dans sa main et lança le reste du thé à la figure de son consultant avant de reposer la tasse sur la coupelle. Il se trouva avec le visage ruisselant d’un air surpris, elle tourna les talons et s’en alla d’un pas pressé vers son bureau.
En voyant le liquide de la boisson ruisseler sur son visage jusqu’à tomber sur son costume, l’équipe détourna le regard en pouffant de rire alors que Patrick assez gêné et contrarié en entendant les rires de ses camarades, essuya ses yeux avec son pouce et les fit clignoter.
- Bon, au lieu de vous marrer, vous n’auriez pas un mouchoir par hasard ? Demanda Jane contrarié.
Puis Cho lui en lança un dans un sourire et le mentaliste l’attrapa en plein vol.
- Merci. Le remercia-t-il soulagé.
Il posa sa tasse sur son bureau et épongea son visage jusqu’à frotter énergiquement les tâches sur son costume mais en vain.
- Ben, je crois que je peux changer de costume. Conclut-il en s’en allant de la pièce.
Pendant ce temps, Lisbon était dans son bureau, plongée dans le rapport que Wainwright lui avait confié plutôt, concernant la plainte déposée par les avocats de Rudy à l’encontre de Jane – pour rien changer comme d’habitude. Des fois, elle mourrait d’envie de vraiment utiliser son flingue contre lui ou encore le torturer, au lieu de ça elle lui avait lancé son thé à la figure. Aurait-ce été un crime de faire ça ? Ca l’était, mais ça aurait très tentant !
Soudain, la question du consultant lui revint en tête « Dites-moi, vous ne seriez pas jalouse ? » et gigota dans son esprit jusqu’à ce que la jeune femme secoua la tête pour la chasser de ses pensées.
- Jalouse… Jalouse de qui ? D’une petite fausse blondasse qui fait la moitié de votre âge ? Et puis quoi encore ! Pensa à haute voix Lisbon d’une voix agressive.
- Patron ! Fit Grace au pas de la porte.
Tout à coup, elle sursauta d’un air gêné et se tourna vers la jolie rousse qui fronça les sourcils avec un dossier entre ses mains.
- Oui, Van Pelt. Qu’est-ce qui se passe ? Demanda Lisbon.
- La personne a recommencé à retirer de l’argent sur le compte la victime, il y a 10 minutes. Répondit-elle ; plus de 4.000 dollars envolés !
- Vous avez pu trouver quelque chose ? Supplia sa patronne.
- Je suis allée jusqu’au journal des comptes de la victime que j’ai comparé avec celui de son budget de New-York, expliqua Van Pelt en lui tendant le dossier dans un sourire.
- Et… l’encouragea Lisbon en ouvrant le dossier.
- Et c’est le même numéro que Joyce Brandon a utilisé pour arnaquer la boîte pour laquelle sa sœur travaillait ! Ajouta Grace d’un ton triomphant.
- Donc Joyce Brandon a refait surface lors du décès de sa sœur ! Conclut sa patronne en pensant tout haut ; joli travail, Van Pelt ! La félicita-t-elle.
- Merci, patron ! La remercia Grace toute sourire.
- Allez voir auprès des autorités où ils en sont sur leurs recherches à propos de la sœur et faites une recherche sur Mandy Sommers. Ordonna la belle brunette.
- Quoi ? Vous croyez qu’elle n’est pas claire ou vous faites ça pour Jane ? Demanda Van Pelt dans un sourire.
Lisbon la fixa avec un regard incendiaire, la rouquine se pinça les lèvres en baissant la tête d’un air confus et toussota.
- J’y vais. Murmura-t-elle en sortant de la pièce.
A peine que sa collègue fût sortie de la pièce, son téléphone portable sonna. Teresa fouilla dans la poche de sa veste, sortit son portable et décrocha au bout de la troisième sonnerie.
- Lisbon !
- Agent Lisbon ? Aidez-moi, je vous en prie ! Supplia une voix féminine en sanglots.
- Mademoiselle Sommers ? Qu’est-ce qui se passe ? S’inquiéta l’agent.
- C’est… C’est c… ce Terrence Rudy, il a pénétré chez moi et… il tient une arme ! Il veut me tuer ! Il veut me tuer ! Cria-t-elle d’une voix en sanglots.
Soudain, Mandy hurla en entendant des coups violents cognés contre sa porte.
- Venez vite ! J’ai peur ! Supplia Mandy terrifiée.
- Calmez-vous ! Calmez-vous ! Restez bien cachée ! On arrive ! Lui rassura-t-elle en raccrochant.
Lisbon rangea son portable dans la poche de sa veste, ouvrit le premier tiroir pour saisir son arme qu’elle mit dans son étui avant de quitter son bureau en courant.
Elle se dirigea vers l’open-space où l’équipe la vit, inquiet.
- Ca ne va pas patron ? Demanda Rigsby.
- Mandy Sommers vient de m’appeler, expliqua-t-elle ; Terrence Rudy a pénétré chez elle et la menace avec une arme.
- Quoi ?! S’étonna Grace ; mais pourquoi ?
- Il veut récupérer l’argent qu’il a perdu, sans doute. Supposa Wayne.
- Attends, il est plein aux as, pourquoi chercherait-il des ennuis pour récupérer son fric ? Fit Van Pelt.
- Parce que les riches sont des radins et ne veulent pas se salir leur tableau. Fit Cho.
- Cho, vous venez avec moi, intervint Lisbon ; Rigsby, prévenez les autorités et dites leur de nous rejoindre le plus vite possible, Van Pelt, passez voir Jane quoi qu’il foute, ramenez-le ! Ordonna-t-elle.
- Tout de suite patron ! Dirent les deux agents.
Après avoir pris ses affaires, Cho suivit sa patronne en courant vers l’ascenseur pour rejoindre le parking à vitesse grand V.
A l’appartement de Mandy Sommers, Lisbon et Cho parvinrent jusqu’à la porte du domicile de la jeune femme qui était entrouverte. Ils sortirent leurs armes en s’avançant discrètement où ils se mirent de chaque côté de l’entrée. Les deux agents se regardèrent jusqu’à ce que Teresa fasse un signe de tête à son collègue qui lui répondit avant de pousser brusquement la porte avec son pied et d’entrer dans l’appartement en pointant leurs armes.
Dès leur entrée, il vit que l’appartement était vide.
- Mademoiselle Sommers ! Appela Lisbon ; c’est l’agent Lisbon, vous êtes là ?
Ils avancèrent de quelques pas jusqu’à ce le corps inconscient de Terrence Rudy fit son apparition, allongé sur le tapis du salon. Pendant que Teresa marcha prudemment vers la cuisine qui était vide, Kimball se dirigea vers Rudy qui avait la chemise couverte de sang avec deux blessures par balles au thorax, l’agent prit son pouls dans le cou.
- Alors ? Demanda Lisbon en se tournant vers lui.
Cho secoua la tête en se tournant vers elle.
- Il est mort. Déclara-t-il.
- Et merde ! Souffla Lisbon ; prévenez la morgue, je vais voir dans les autres pièces.
Son collègue hocha la tête alors qu’elle disparut dans le petit couloir. Cho prit son portable dans la poche intérieure de sa veste mais il n’eut pas le temps de composer un numéro. L’asiatique reçut un coup de cross de revolver à la tête et perdit connaissance en s’effondrant au sol.
De son côté, Teresa marcha prudemment à travers le petit couloir, ouvrit une porte à sa gauche avec son pied avant de pointer son arme vers la pièce qui était la salle de bains. Vide. Elle se dirigea vers la première chambre à droite qui était forcément celle de Courtney Brandon car tout était rangé, des articles de presse étaient punaisées sur des panneaux au-dessus de son bureau où occupait une pile de dossiers sur le côté. La jeune femme se dirigea vers le fond du couloir où se trouvait la chambre de Mandy Sommers mais à peine devant la pièce, elle se figea et son visage changea d’expression comme si elle était horrifiée et abasourdie.
A peine elle baissa son arme qu’un mouchoir imbibé de chloroforme se plaqua avec force sur son visage. Lisbon résista à son agresseur de toutes ses forces mais plus elle résistait, plus son adversaire pressait encore plus le mouchoir sur sa figure. Hélas, Lisbon finit par tomber dans l’inconscience, son agresseur saisit son arme avant qu’elle ne touche le sol puis embarqua la jeune femme.
TBC...
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Blood in troubled water ^
oh non! c'est pas vrai !!! Cho! Lisbon !!!
je me demande ce qu'il y a dans la chambre de Mandy ... ?!
sinon j'ai adoré comment Lisbon joue la jalouse mdr !
et puis quand elle jette le café à la figure de Jane lol trop fort !
hâte de lire la suite :)
Re: Blood in troubled water ^
Pauvre Lisbon et pauvre Cho que va t'il leur arriver ?
sinon j'ai bien aimer la question qui tue : vous ne serait pas jalouse ? non pas du tout
hâte de voir la suite
moi je suis sure que c'est mandy la coupable
sinon j'ai bien aimer la question qui tue : vous ne serait pas jalouse ? non pas du tout
hâte de voir la suite
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Caroline Jane- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane
Loisirs : Mentalist & Tokio Hotel
Localisation : Sur le canapé marron avec Patrick Jane
Re: Blood in troubled water ^
- Spoiler:
- Pour Wainwright pour le moment difficile de se faire une idée...il faut voir si il sera un peu moins "transparent" par la suite
La scène de "jalousie" de Lisbon qui balance une tasse de thé à la figure de Jane
Lisbon et Cho en danger
Qui est derrière tout ça
:vivement: Vivement la suite ! :bounce: :bounce: :bounce:
Johel- In Jane we trust
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Localisation : près de l'océan
Re: Blood in troubled water ^
Hum hum ... Ca se corse
J'ai trois hypothèses :
1 ) Mandy a appelé Lisbon parce qu'il y avait réellement Rudy dans l'appartement, elle le tue en légitime défense et ... Nan, je la sens pas cette théorie. ( Déjà j'aurais été Lisbon je serais pas allée aider Mandy, elle avait qu'à pas toucher à Jane ! )
2 ) Mandy a appelé Rudy, le tue quand il arrive et tend un piège à Lisbon en lui faisaint croire à une intrusion.
3 ) Rudy s'ammène avec un complice, Mandy se défend et tue Rudy mais elle oublie le complice qui la tue ou la kiddnape ou j'en sais rien. Bancale comme théorie ...
En fait j'en sais trop rien même si j'aurais un léger penchant pour la deux ( si si je suis objective ^^ )
VLS !
J'ai trois hypothèses :
1 ) Mandy a appelé Lisbon parce qu'il y avait réellement Rudy dans l'appartement, elle le tue en légitime défense et ... Nan, je la sens pas cette théorie. ( Déjà j'aurais été Lisbon je serais pas allée aider Mandy, elle avait qu'à pas toucher à Jane ! )
2 ) Mandy a appelé Rudy, le tue quand il arrive et tend un piège à Lisbon en lui faisaint croire à une intrusion.
3 ) Rudy s'ammène avec un complice, Mandy se défend et tue Rudy mais elle oublie le complice qui la tue ou la kiddnape ou j'en sais rien. Bancale comme théorie ...
En fait j'en sais trop rien même si j'aurais un léger penchant pour la deux ( si si je suis objective ^^ )
VLS !
terpo4- Agent de circulation
- Localisation : Dans ce monde étrange que l'on nomme " Planète TM "
Re: Blood in troubled water ^
Tu as vraiment un don pour l'écriture JA, c'est vraiment génial à suivre as usual
teninches- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Localisation : Dans les locaux du CBI
Re: Blood in troubled water ^
mille fois tout le monde pour vos commentaires qui me font vraiment super plaisir comme toujours
Voici la suite, le chapitre 8…
Vous allez voir que Mandy n'est pas tout à fait plutôt loin d'être une sainte mais quelqu'un de pire que ça comment vont Cho et Lisbon mais je ne vous en dis pas plus, ça gâcherai le suspens
P.S : J'ai terminé d'écrire cette fic et j'ai déjà commencé à écrire une autre je sais que je déborde peut-être d'imagination mais je travaille encore sur les idées puis je ne la posterais que bien plus tard.
Bonne Lecture… ____________________________________________________________________
Environ 25 minutes plus tard, les voitures de patrouilles, une ambulance et une voiture de médecin-légiste envahissaient le trottoir en face de l’immeuble où se trouvait l’appartement de Mandy Sommers. Les policiers avaient encerclé l’entrée et la zone fut interdite au public sur la scène du crime qui était aussi le lieu principal d’un kidnapping. A l’arrière de l’ambulance, Cho était assis, le regard dans le vide avec une poche de glace sur sa nuque où il avait reçu le coup pendant qu’un ambulancier prit sa tension puis Rigsby et Van Pelt restèrent à ses côtés.
Il y a eu un silence pesant jusqu’à ce que Kimball prenne la parole d’un ton maussade.
- J’aurais dû savoir que c’était un piège, c’est de ma faute.
- Non, vieux. Ce n’est pas de ta faute, tu ne pouvais pas savoir que toi et Lisbon allaient tomber dans le panneau. Le rassura Rigsby.
- Rigsby a raison, Cho. Ajouta Grace d’une voix douce ; tu n’y es pour rien et on va la retrouver.
- Mouais, je l’espère. Fit Cho ; vous savez où est Jane ?
- Il est encore à l’intérieur, Répondit Wayne d’une voix triste ; il n’a pas bougé d’un pouce de la chambre de la fille depuis qu’on est partis.
- Tu penses qu’il s’en veut de ne pas avoir accompagné Lisbon et Cho ? Intervint Grace inquiète.
- Tu sais comment il est quand il s’agit d’elle, il devient totalement incontrôlable. Répondit Cho.
- De plus qu’il ne se le pardonnera jamais s’il lui arrivait malheur. Ajouta Wayne.
- Mais il n’est pour rien ! Insista Van Pelt.
- Dis-lui ça plusieurs fois et tu verras que c’est comme si tu parlais à un mur. Fit Kimball.
Dans l’appartement, Jane n’arrivait plus à décoller ses yeux de la chambre de Mandy Sommers sans bouger d’un pouce depuis qu’il était arrivé. Il était assis sur le lit et regardait fixement ce tableau de chasse. Il sentit son cœur et ses poings se serrer puis sa gorge se nouer en voyant avec dégoût, le placard grand ouvert qui cachait un tableau de chasse d’une traqueuse obsessionnelle et d’une arnaqueuse professionnelle à la fois.
Un muret rempli de photographies d’hommes riches ou ordinaires – dont Terrence Rudy en faisait partie – avec des femmes dont leurs visages étaient gribouillés au feutre rouge, déchirés ou découpés au ciseau. Il regardait plus celles où il était présent en compagnie de Lisbon de qui la beauté de son visage était barbouillée de feutre et il reconnut chaque endroit où les photos ont été prises : En bas de l’immeuble, en entrant et sortant de chez Marie, puis en arrivant au CBI la veille, tout à l’heure dans la cuisine quand Lisbon le soignait… aussi plusieurs articles de presse à son sujet épluchés dans le journal comme sur le net. Cette femme était obsédée par lui et elle haïssait que sa patronne soit toujours à ses côtés comme elle l’a été par tous ces hommes. « Mandy » changeait plusieurs fois d’apparence en voyant le nombre de perruques (blondes, brunes, rousses, courtes, longues…) ainsi que l’immense garde-robe que contenait son armoire maintenant vide. Elle était partie dans la précipitation en voulant de se débarrasser des preuves.
Bien que le nombre de femmes tueuses en série fût extrêmement rare, elles pouvaient être aussi psychopathes que les hommes. Cette folle était minutieuse, méthodique, intelligente et n’avait peur de rien… comme John Le Rouge. Et Patrick n’avait rien vu venir. Il était mentaliste, il aurait dû sentir, il aurait dû voir que quelque chose clochait chez cette bonne femme comme dans cette affaire mais il n’avait rien vu et il s’en voulait d’avoir mis la vie de Lisbon en danger. Tout était de sa faute et il ne se pardonnerait jamais s’il arrivait quoi que ce soit à Lisbon malgré qu’il ne souhaite qu’une chose : la retrouver et la sauver avant de connaître le pire.
Mais tout à coup, une photo l’intrigua. Il fronça les sourcils, plissa les yeux et décrocha la fameuse photo du fond du placard et la détailla.
Des lumières rouges et bleues illuminaient la nuit, c’était lui en train de regarder Lisbon en sublime robe de soirée bleu nuit avec son badge accroché à la chaîne autour de son cou lorsqu’ils passaient ensemble…
Oh non ! Ce n’était pas possible ! Non ! C’était déjà tout prévu d’avance !
Lisbon ouvrit les yeux dans un grognement en sentant un léger mal de crâne, elle voyait trouble et une lumière qui se glissa sous ses paupières. Elle clignota plusieurs fois des yeux avant d’avoir une clairvoyance nette de l’endroit où elle se trouvait. Au fond d’un petit bassin dans une grande pièce où du carrelage blanc régnait dans toute la salle comme on voyait dans une piscine, et une forte odeur repoussant d’eau de javel envahissait l’habitacle qui donna à la jeune femme, la nausée.
Sa tête lui fit atrocement mal qu’elle voulut porter sa main vers le sommet de son crâne, mais elle sentit que ses mains étaient solidement attachées dans son dos par des cordes reliées par quelque chose qu’elle ne saurait décrire. Teresa se rendit compte qu’elle s’était fait piégée et qu’elle était maintenant prisonnière d’un piège qui s’était refermé dès qu’elle y avait mis le pied dedans. Pourtant, elle ne se laissa pas abattre aussi facilement qu’elle tenta de libérer ses mains avec toutes ses tripes mais les liens lui brûlaient la chair jusqu’à l’écorcher, lui donnant envie d’hurler de douleur mais résista.
Hélas, toutes tentatives réduisirent ses chances de pouvoir se délivrer. Elle reprit son souffle mais quand elle releva la tête, un rat faisant la taille d’un furet la guetta sur le rebord du bassin. Lisbon sursauta en poussant un léger cri effrayé suffisamment fort pour que l’animal disparaisse aussi vite.
- Je n’aurais pu croire qu’une vraie dure à cuir comme vous et flic ait peur d’un gros rat ! Ria une voix de femme.
Teresa sursauta à peine en entendant cette voix et se tourna en distinguant la femme dans son champ de vision, debout en face d’elle. L’agent reconnut le regard de cette dernière d’un mélange de sainte-nitouche et de pervers. C’était la dénommée « Mandy Sommers » mais elle était teinte en brune. Lisbon fronça les sourcils en cherchant au fond de sa mémoire où elle avait vu ce visage qui lui semblait familier puis un nom lui vint plus tard en tête.
- Joyce Brandon ! Souffla Lisbon.
La fille sourit d’un air infect et pointa d’une main tremblante, son arme – l’arme de Lisbon qu’elle a volée – dans sa direction sous les yeux noirs de l’agent qui ne présentait aucune crainte mais d’un sang froid très perspicace.
- Dommage que Patrick Jane n’est pas là pour vous applaudir une dernière fois ! Grinça Joyce.
Les deux femmes se toisèrent du regard. Joyce tira deux fois en direction d’un levier à sa droite avant de s’éloigner à reculons en courant afin de sortir du bassin. Lisbon entendit le bruit de l’eau qui coulait à flot comme une chute d’eau, elle tourna la tête et vit que cette même source allait la tuer.
- RIGSBY !!!!!
En entendant la voix de son ami hurler son nom, ce dernier leva les yeux en l’air pour voir que la fenêtre de l’appartement du suspect était ouverte en laissant apparaître brièvement la tête du consultant qui avait disparut aussi vite que l’éclair. Mais Wayne se doutait bien que si Patrick hurlait comme ça, c’était parce qu’il y avait une raison : il avait trouvé quelque chose. Rigsby connaissait bien son collègue et il pouvait sentir dans sa voix qu’il y avait quelque chose. Donc il précipita à toute vitesse à l’intérieur de l’immeuble suivi de ses collègues.
Pendant ce temps, Jane retira toutes les photos de lui et de Lisbon ainsi que toutes les rubriques le concernant du placard puis se précipita au salon où il étala tout le foutoir en évidence sur la table basse au même moment où ses trois collaborateurs pénétrèrent dans la pièce, reprenant leur souffle sans cacher leur stupéfaction en voyant le tableau de chasse sur la table. Le tableau de chasse d’une schizophrène. Chacun dévoilait une émotion différente face à cette mascarade : Cho resta stoïque malgré qu’une once de rage et de dégoût monta en lui, Rigsby fit une mine sombre d’un air horrifié puis Van Pelt resta bouche bée avec un hoquet de surprise bloqué au fond de sa gorge.
Wayne fut le premier à rompre le silence.
- Cette fille vous espionnait depuis le début de l’affaire !?! S’étonna Rigsby.
- Je dirais qu’elle m’espionnait MOI ! Corrigea Jane dans un soupir.
- Qu’est-ce que tu insinues par là ? Demanda Kimball.
Soudain, le consultant fit sa mine obscure, son regard plongé dans le vide sous les regards inquiets et intrigués du trio.
- Le visage de Lisbon, commença-t-il en pensant à voix haute ; et les vôtres ont été effacés sur toutes les photos même sur les articles et je dirais même qu’elle me traque depuis un bon moment. J’ai vu plusieurs photos d’hommes riches et d’hommes ordinaires comme moi séparées de chaque côté du placard… comme si elle menait une double vie. Hommes riches : une arnaqueuse, hommes ordinaires : c’est une traqueuse… plus une psychopathe.
Un silence pesant régna longuement dans la pièce. Ses équipiers tombaient des nus en entendant l’explication non-rassurante mais logique du mentaliste qui baissa la tête qui passa sa main sur son visage d’un air angoissant puis devint songeur en regardant une photo de « Mandy » avec Courtney Brandon.
Il s’avança vers le petit meuble où il saisit le cadre, fronça les sourcils en détaillant attentivement le portrait de « Mandy » en demandant à Van Pelt sans se tourner vers elle.
- Grace, montre-moi la photo de Joyce Brandon s’il te plaît !
- Tout de suite ! Dit-elle.
La jolie rousse s’exécuta en tapant quelques touches sur le clavier de son ordinateur portable et la photo de Joyce Brandon s’afficha sur l’écran pendant que Jane se dirigea lentement vers elle.
- Je l’ai ! Indiqua-t-elle au mentaliste.
Jane se mit à côté de Van Pelt, Rigsby et Cho se mirent derrière eux en regardant par-dessus leurs épaules alors que le consultant comparait les deux portraits avant d’annoncer.
- C’est elle ! C’est Joyce Brandon !
- Avant que Lisbon ne parte, elle m’a demandé de faire une recherche sur Mandy Sommers. Dit Grace en fronçant les sourcils.
Elle tapa activement sur les touches sans quitter l’écran des yeux et un article de presse avec une femme ressemblant à la suspecte apparut au milieu de la rubrique.
- J’ai fait une recherche, poursuivit-elle ; puis j’ai eu un résultat : il y a une autre Mandy Sommers mais qu’elle avait 36 ans, directrice d’une boîte de cosmétique à New-York mais elle est morte, il y a 1 an.
- Par noyade ? Devina Jane.
- Oui. Fit Grace surprise.
Il agita son index en faisant marche arrière avant de tourner les talons et se précipiter vers la salle de bains sous les yeux ahuris de ses collègues qui finirent par lui emboiter le pas.
Jane ouvrit frénétiquement chaque armoire, chaque tiroir autour du lavabo afin de trouver quelque chose qui le pourrait aller jusqu’au bout de son hypothèse jusqu’à se pencher vers la petite poubelle en inox où il ouvrit et découvrit un sac plastique suspect. Ses collègues arrivèrent au bas de la porte, le consultant se tourna vers eux en tenant, du bout de ses doigts, le sac plastique suspect tâché de petites traces brunes.
Munies de gants, Wayne entra dans la salle d’eau, prit le sac, le posa dans le lavabo, l’ouvrit et Jane se pencha en même temps que son collègue de voir le contenu : des gants, une boîte en carton, un pinceau et un récipient puis une boîte de lentilles de contact verts.
- De la teinture à cheveux et des lentilles de contact ! Fit Rigsby.
- Qu’est-ce qu’elle veut chercher à faire exactement ? Demanda Van Pelt.
- Changer à nouveau d’identité. Répondit Cho.
- Lisbon ! Intervint Jane, choqué.
Tous les regards se posèrent sur lui.
- Elle veut prendre l’identité de Lisbon… Dit Jane dans un souffle ; pour m’avoir.
Tout à coup, le portable du consultant sonna, il le chercha pour le trouver dans la poche de son gilet, le saisit et sans voir qui l’appelait, décrocha à la troisième sonnerie.
- Allô !
- Salut Patrick ! Salua une voix féminine sensuelle ; Je vous ai manqué ?
Voici la suite, le chapitre 8…
Vous allez voir que Mandy n'est pas tout à fait plutôt loin d'être une sainte mais quelqu'un de pire que ça comment vont Cho et Lisbon mais je ne vous en dis pas plus, ça gâcherai le suspens
P.S : J'ai terminé d'écrire cette fic et j'ai déjà commencé à écrire une autre je sais que je déborde peut-être d'imagination mais je travaille encore sur les idées puis je ne la posterais que bien plus tard.
Bonne Lecture… ____________________________________________________________________
Chapitre 8 :
Environ 25 minutes plus tard, les voitures de patrouilles, une ambulance et une voiture de médecin-légiste envahissaient le trottoir en face de l’immeuble où se trouvait l’appartement de Mandy Sommers. Les policiers avaient encerclé l’entrée et la zone fut interdite au public sur la scène du crime qui était aussi le lieu principal d’un kidnapping. A l’arrière de l’ambulance, Cho était assis, le regard dans le vide avec une poche de glace sur sa nuque où il avait reçu le coup pendant qu’un ambulancier prit sa tension puis Rigsby et Van Pelt restèrent à ses côtés.
Il y a eu un silence pesant jusqu’à ce que Kimball prenne la parole d’un ton maussade.
- J’aurais dû savoir que c’était un piège, c’est de ma faute.
- Non, vieux. Ce n’est pas de ta faute, tu ne pouvais pas savoir que toi et Lisbon allaient tomber dans le panneau. Le rassura Rigsby.
- Rigsby a raison, Cho. Ajouta Grace d’une voix douce ; tu n’y es pour rien et on va la retrouver.
- Mouais, je l’espère. Fit Cho ; vous savez où est Jane ?
- Il est encore à l’intérieur, Répondit Wayne d’une voix triste ; il n’a pas bougé d’un pouce de la chambre de la fille depuis qu’on est partis.
- Tu penses qu’il s’en veut de ne pas avoir accompagné Lisbon et Cho ? Intervint Grace inquiète.
- Tu sais comment il est quand il s’agit d’elle, il devient totalement incontrôlable. Répondit Cho.
- De plus qu’il ne se le pardonnera jamais s’il lui arrivait malheur. Ajouta Wayne.
- Mais il n’est pour rien ! Insista Van Pelt.
- Dis-lui ça plusieurs fois et tu verras que c’est comme si tu parlais à un mur. Fit Kimball.
Dans l’appartement, Jane n’arrivait plus à décoller ses yeux de la chambre de Mandy Sommers sans bouger d’un pouce depuis qu’il était arrivé. Il était assis sur le lit et regardait fixement ce tableau de chasse. Il sentit son cœur et ses poings se serrer puis sa gorge se nouer en voyant avec dégoût, le placard grand ouvert qui cachait un tableau de chasse d’une traqueuse obsessionnelle et d’une arnaqueuse professionnelle à la fois.
Un muret rempli de photographies d’hommes riches ou ordinaires – dont Terrence Rudy en faisait partie – avec des femmes dont leurs visages étaient gribouillés au feutre rouge, déchirés ou découpés au ciseau. Il regardait plus celles où il était présent en compagnie de Lisbon de qui la beauté de son visage était barbouillée de feutre et il reconnut chaque endroit où les photos ont été prises : En bas de l’immeuble, en entrant et sortant de chez Marie, puis en arrivant au CBI la veille, tout à l’heure dans la cuisine quand Lisbon le soignait… aussi plusieurs articles de presse à son sujet épluchés dans le journal comme sur le net. Cette femme était obsédée par lui et elle haïssait que sa patronne soit toujours à ses côtés comme elle l’a été par tous ces hommes. « Mandy » changeait plusieurs fois d’apparence en voyant le nombre de perruques (blondes, brunes, rousses, courtes, longues…) ainsi que l’immense garde-robe que contenait son armoire maintenant vide. Elle était partie dans la précipitation en voulant de se débarrasser des preuves.
Bien que le nombre de femmes tueuses en série fût extrêmement rare, elles pouvaient être aussi psychopathes que les hommes. Cette folle était minutieuse, méthodique, intelligente et n’avait peur de rien… comme John Le Rouge. Et Patrick n’avait rien vu venir. Il était mentaliste, il aurait dû sentir, il aurait dû voir que quelque chose clochait chez cette bonne femme comme dans cette affaire mais il n’avait rien vu et il s’en voulait d’avoir mis la vie de Lisbon en danger. Tout était de sa faute et il ne se pardonnerait jamais s’il arrivait quoi que ce soit à Lisbon malgré qu’il ne souhaite qu’une chose : la retrouver et la sauver avant de connaître le pire.
Mais tout à coup, une photo l’intrigua. Il fronça les sourcils, plissa les yeux et décrocha la fameuse photo du fond du placard et la détailla.
Des lumières rouges et bleues illuminaient la nuit, c’était lui en train de regarder Lisbon en sublime robe de soirée bleu nuit avec son badge accroché à la chaîne autour de son cou lorsqu’ils passaient ensemble…
Oh non ! Ce n’était pas possible ! Non ! C’était déjà tout prévu d’avance !
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Lisbon ouvrit les yeux dans un grognement en sentant un léger mal de crâne, elle voyait trouble et une lumière qui se glissa sous ses paupières. Elle clignota plusieurs fois des yeux avant d’avoir une clairvoyance nette de l’endroit où elle se trouvait. Au fond d’un petit bassin dans une grande pièce où du carrelage blanc régnait dans toute la salle comme on voyait dans une piscine, et une forte odeur repoussant d’eau de javel envahissait l’habitacle qui donna à la jeune femme, la nausée.
Sa tête lui fit atrocement mal qu’elle voulut porter sa main vers le sommet de son crâne, mais elle sentit que ses mains étaient solidement attachées dans son dos par des cordes reliées par quelque chose qu’elle ne saurait décrire. Teresa se rendit compte qu’elle s’était fait piégée et qu’elle était maintenant prisonnière d’un piège qui s’était refermé dès qu’elle y avait mis le pied dedans. Pourtant, elle ne se laissa pas abattre aussi facilement qu’elle tenta de libérer ses mains avec toutes ses tripes mais les liens lui brûlaient la chair jusqu’à l’écorcher, lui donnant envie d’hurler de douleur mais résista.
Hélas, toutes tentatives réduisirent ses chances de pouvoir se délivrer. Elle reprit son souffle mais quand elle releva la tête, un rat faisant la taille d’un furet la guetta sur le rebord du bassin. Lisbon sursauta en poussant un léger cri effrayé suffisamment fort pour que l’animal disparaisse aussi vite.
- Je n’aurais pu croire qu’une vraie dure à cuir comme vous et flic ait peur d’un gros rat ! Ria une voix de femme.
Teresa sursauta à peine en entendant cette voix et se tourna en distinguant la femme dans son champ de vision, debout en face d’elle. L’agent reconnut le regard de cette dernière d’un mélange de sainte-nitouche et de pervers. C’était la dénommée « Mandy Sommers » mais elle était teinte en brune. Lisbon fronça les sourcils en cherchant au fond de sa mémoire où elle avait vu ce visage qui lui semblait familier puis un nom lui vint plus tard en tête.
- Joyce Brandon ! Souffla Lisbon.
La fille sourit d’un air infect et pointa d’une main tremblante, son arme – l’arme de Lisbon qu’elle a volée – dans sa direction sous les yeux noirs de l’agent qui ne présentait aucune crainte mais d’un sang froid très perspicace.
- Dommage que Patrick Jane n’est pas là pour vous applaudir une dernière fois ! Grinça Joyce.
Les deux femmes se toisèrent du regard. Joyce tira deux fois en direction d’un levier à sa droite avant de s’éloigner à reculons en courant afin de sortir du bassin. Lisbon entendit le bruit de l’eau qui coulait à flot comme une chute d’eau, elle tourna la tête et vit que cette même source allait la tuer.
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- RIGSBY !!!!!
En entendant la voix de son ami hurler son nom, ce dernier leva les yeux en l’air pour voir que la fenêtre de l’appartement du suspect était ouverte en laissant apparaître brièvement la tête du consultant qui avait disparut aussi vite que l’éclair. Mais Wayne se doutait bien que si Patrick hurlait comme ça, c’était parce qu’il y avait une raison : il avait trouvé quelque chose. Rigsby connaissait bien son collègue et il pouvait sentir dans sa voix qu’il y avait quelque chose. Donc il précipita à toute vitesse à l’intérieur de l’immeuble suivi de ses collègues.
Pendant ce temps, Jane retira toutes les photos de lui et de Lisbon ainsi que toutes les rubriques le concernant du placard puis se précipita au salon où il étala tout le foutoir en évidence sur la table basse au même moment où ses trois collaborateurs pénétrèrent dans la pièce, reprenant leur souffle sans cacher leur stupéfaction en voyant le tableau de chasse sur la table. Le tableau de chasse d’une schizophrène. Chacun dévoilait une émotion différente face à cette mascarade : Cho resta stoïque malgré qu’une once de rage et de dégoût monta en lui, Rigsby fit une mine sombre d’un air horrifié puis Van Pelt resta bouche bée avec un hoquet de surprise bloqué au fond de sa gorge.
Wayne fut le premier à rompre le silence.
- Cette fille vous espionnait depuis le début de l’affaire !?! S’étonna Rigsby.
- Je dirais qu’elle m’espionnait MOI ! Corrigea Jane dans un soupir.
- Qu’est-ce que tu insinues par là ? Demanda Kimball.
Soudain, le consultant fit sa mine obscure, son regard plongé dans le vide sous les regards inquiets et intrigués du trio.
- Le visage de Lisbon, commença-t-il en pensant à voix haute ; et les vôtres ont été effacés sur toutes les photos même sur les articles et je dirais même qu’elle me traque depuis un bon moment. J’ai vu plusieurs photos d’hommes riches et d’hommes ordinaires comme moi séparées de chaque côté du placard… comme si elle menait une double vie. Hommes riches : une arnaqueuse, hommes ordinaires : c’est une traqueuse… plus une psychopathe.
Un silence pesant régna longuement dans la pièce. Ses équipiers tombaient des nus en entendant l’explication non-rassurante mais logique du mentaliste qui baissa la tête qui passa sa main sur son visage d’un air angoissant puis devint songeur en regardant une photo de « Mandy » avec Courtney Brandon.
Il s’avança vers le petit meuble où il saisit le cadre, fronça les sourcils en détaillant attentivement le portrait de « Mandy » en demandant à Van Pelt sans se tourner vers elle.
- Grace, montre-moi la photo de Joyce Brandon s’il te plaît !
- Tout de suite ! Dit-elle.
La jolie rousse s’exécuta en tapant quelques touches sur le clavier de son ordinateur portable et la photo de Joyce Brandon s’afficha sur l’écran pendant que Jane se dirigea lentement vers elle.
- Je l’ai ! Indiqua-t-elle au mentaliste.
Jane se mit à côté de Van Pelt, Rigsby et Cho se mirent derrière eux en regardant par-dessus leurs épaules alors que le consultant comparait les deux portraits avant d’annoncer.
- C’est elle ! C’est Joyce Brandon !
- Avant que Lisbon ne parte, elle m’a demandé de faire une recherche sur Mandy Sommers. Dit Grace en fronçant les sourcils.
Elle tapa activement sur les touches sans quitter l’écran des yeux et un article de presse avec une femme ressemblant à la suspecte apparut au milieu de la rubrique.
- J’ai fait une recherche, poursuivit-elle ; puis j’ai eu un résultat : il y a une autre Mandy Sommers mais qu’elle avait 36 ans, directrice d’une boîte de cosmétique à New-York mais elle est morte, il y a 1 an.
- Par noyade ? Devina Jane.
- Oui. Fit Grace surprise.
Il agita son index en faisant marche arrière avant de tourner les talons et se précipiter vers la salle de bains sous les yeux ahuris de ses collègues qui finirent par lui emboiter le pas.
Jane ouvrit frénétiquement chaque armoire, chaque tiroir autour du lavabo afin de trouver quelque chose qui le pourrait aller jusqu’au bout de son hypothèse jusqu’à se pencher vers la petite poubelle en inox où il ouvrit et découvrit un sac plastique suspect. Ses collègues arrivèrent au bas de la porte, le consultant se tourna vers eux en tenant, du bout de ses doigts, le sac plastique suspect tâché de petites traces brunes.
Munies de gants, Wayne entra dans la salle d’eau, prit le sac, le posa dans le lavabo, l’ouvrit et Jane se pencha en même temps que son collègue de voir le contenu : des gants, une boîte en carton, un pinceau et un récipient puis une boîte de lentilles de contact verts.
- De la teinture à cheveux et des lentilles de contact ! Fit Rigsby.
- Qu’est-ce qu’elle veut chercher à faire exactement ? Demanda Van Pelt.
- Changer à nouveau d’identité. Répondit Cho.
- Lisbon ! Intervint Jane, choqué.
Tous les regards se posèrent sur lui.
- Elle veut prendre l’identité de Lisbon… Dit Jane dans un souffle ; pour m’avoir.
Tout à coup, le portable du consultant sonna, il le chercha pour le trouver dans la poche de son gilet, le saisit et sans voir qui l’appelait, décrocha à la troisième sonnerie.
- Allô !
- Salut Patrick ! Salua une voix féminine sensuelle ; Je vous ai manqué ?
TBC...
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- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Blood in troubled water ^
mais ça va pas de couper maintenant
bon au moins tout le monde connais la véritable identité de Mandy, qui n'est autre que Joyce, mais maintenant il reste encore à savoir où elle a caché Lisbon, avant qu'il ne soit trop tard
si jamais elle fait du mal à qui que ce soit attention
me tarde trop la suite
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Blood in troubled water ^
Mais pourquoi vous torturez toutes Lisbon
Jane qui culpabilise
Et Joyce qui cherche à ressembler à Lisbon...plutôt tordue la dame...
Maintenant Jane arrivera t-il a temps ?
Jane qui culpabilise
Et Joyce qui cherche à ressembler à Lisbon...plutôt tordue la dame...
Maintenant Jane arrivera t-il a temps ?
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Blood in troubled water ^
Toi tu torture Jane alors nous Lisbon pour équilibrer un peu
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Blood in troubled water ^
elle est complètement folle cette fille!!!
Pauvre Lisbon, elle est mal barré là ... :s
j'espère que Jane et l'équipe vont réussir à la trouver à temps ...
hâte de lire la suite :)
Re: Blood in troubled water ^
NON MAIS ELLE EST FOLLE CETTE FILLE
MON DIEU POURVU QUE LISBON S SEN SORTE
HATE D AVOIR LA SUITE
MON DIEU POURVU QUE LISBON S SEN SORTE
HATE D AVOIR LA SUITE
Caroline Jane- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane
Loisirs : Mentalist & Tokio Hotel
Localisation : Sur le canapé marron avec Patrick Jane
Re: Blood in troubled water ^
JE VEUX LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
décidément, je ne sais pas qui t'a inspirée cette mandy, mais en tout cas, elle est complètement barrée
S'il te plaît, ne fais rien à Lisbon...
décidément, je ne sais pas qui t'a inspirée cette mandy, mais en tout cas, elle est complètement barrée
S'il te plaît, ne fais rien à Lisbon...
mococoa- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Loisirs : sport, lecture (des fics entre autres), The Mentalist
Localisation : Dans mes rêves
Re: Blood in troubled water ^
Une belle suite plein de suspens, comme je les aime.
Bravo JA. Et c'est trop cool que tu en aies commencé une autre moi je dis
Bravo JA. Et c'est trop cool que tu en aies commencé une autre moi je dis
teninches- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Localisation : Dans les locaux du CBI
Re: Blood in troubled water ^
tout le monde pour vos commentaires
C'est plus enjouée et plus simple de torturer Lisbon que Jane car il a déjà souffert comme ça le pauvre entre kidnapping, et tout... Je ne sais pas pour quelle raison le personnage de cette fille m'a inspiré et ça je vous le jure peut-être que c'était en rêve où à cause du couple du 1x02, je ne sais pas
Assez de bavardage, sans plus attendre, voici la suite
Edit : P.S : J'ai terminé le prologue et le chapitre 1 mais je cherche un titre pour ma fic
Bonne Lecture… ____________________________________________________________________
En entendant cette femme parler ainsi, le sang de Jane se glaça et son visage changea totalement d’expression avant de faire signe à Grace de localiser l’appel qu’elle fit sans hésiter un seul instant.
- Bonjour Joyce. Salua-t-il d’un ton naturel ; désenchanté de vous connaître.
Elle rit.
- Je m’aperçois que vous aussi, vous avez réussit à percer mon secret, vous êtes fort Patrick. Constata Joyce d’un ton moqueur.
- Je fais de mon mieux. Fit-il en haussant légèrement les épaules.
Il y eut un court silence. Dans la cour d’une maison à l’abandon depuis des années, Joyce jeta un bref coup d’œil à travers la baie vitrée où à l’intérieur, l’eau continuait de couler à flots dans le bassin. De son côté, Jane sentit l’angoisse monter en lui sur la vie de Lisbon prisonnière de cette folle qui la retenait il ne sait où.
- Vous avez bien entraîné l’agent Lisbon pour qu’elle parvienne à m’identifier. Reprit-elle sarcastique ; dommage que vous ne soyez pas là pour la féliciter une dernière fois.
En entendant sa dernière phrase, son sang se glaça de plus en plus comme s’il n’arrivait plus à circuler dans son corps et ressentit une inquiétude voire une colère monstre bouillir au fond de lui.
- Comment ça ? Siffla-t-il entre ses dents paniqué ; que lui avez-vous fait ?
- Oubliez donc l’agent Lisbon, je suis là moi. Fit-elle d’un ton radouci.
- Laissez-moi lui parler. Dit Jane d’un ton dur.
- Elle prend un bain et elle ne peut pas vous parler donc oubliez-la ! S’emporta Joyce.
- Que lui avez-vous fait ? Demanda le consultant ferme.
- Rien du tout ! Mentit-elle sarcastique.
- Vous la faites souffrir comme vous l’avait fait à Courtney parce qu’elle avait le droit à tout ce qu’elle désirait sauf vous, c’est ça ? Insista Jane d’une voix blanche et ferme.
En écoutant les paroles du mentaliste ainsi que le prénom de sa sœur, Joyce serra fort le portable dans sa main étant à deux doigts de le broyer quand des souvenirs les plus douloureux de sa vie lui revinrent en mémoire en fermant les yeux mais se ravisa.
- Très perspicace ! Commenta Joyce d’un ton amer ; c’est ce que j’aime chez vous. Aussi, vous êtes peut-être un manipulateur, un menteur mais un homme généreux, dévoué tellement incroyable. Ajouta-t-elle d’un soupir.
- Qu’est-ce que vous voulez Joyce ? Demanda Patrick.
Elle se mordit la lèvre inférieure.
- Vous. Je ne veux que vous. Soupira-t-elle.
- Vous savez bien que c’est impossible. Souffla Jane.
Joyce sourit et secoua la tête.
- Quand vous me verrez, vous direz le contraire, j’en suis certaine. Fit Joyce sûre d’elle ; je vous rappelle plus tard.
Puis elle raccrocha et tourna les talons pour se diriger vers la maison.
De son côté, Jane avait encore son portable collé contre son oreille et son regard nageait dans le vide sans pouvoir entendre que la kidnappeuse de Lisbon avait mis fin à la communication. Cho, Rigsby et Van Pelt le fixèrent d’un air inquiet, voyant leur ami muet comme une carpe puis immobile comme une statue. Mais le consultant revint à lui quand il raccrocha enfin son téléphone et sans prêter attention à ses amis, il sortit dans la salle de bain sous les yeux du trio qui s’interrogeaient chacun du regard.
Patrick se laissa tomber sur le canapé du salon et prit son visage entre ses mains dans un soupir en se laissant envahir par les moments qu’il avait vécus auprès de Teresa. Ces nombres incalculables de fois où elle lui hurlait dessus à cause de ses plans foireux et des plaintes qu’elle recevait parce qu’il était allé trop loin – même beaucoup trop loin – il se sentait coupable alors que c’était plus fort lui mais il savait qu’il la faisait mal voire souffrir alors que ce n’était pas son intention.
Ces instants où ils se parlaient, se confiaient à propos de leur passé : sa vengeance parlant de faire subir le même sort à John Le Rouge comme il avait fait à sa femme et sa fille, lorsque son père à elle était violent à cause de l’alcool après la mort de sa mère – même si elle ne le disait pas, il s’en doutait – etc.
Et ces fois quand il la faisait rire et sourire pour lui remonter le moral, lui faire oublier ces tracas ainsi que la violence quotidienne qui tournait autour d’elle. Pourtant, dès qu’ils se trouvaient tous deux dans une pièce, les yeux dans les yeux, Jane sentit de drôles de sensations comme des papillons voler dans son estomac ou son cœur qui battait fort ; il avait une envie de ranger une mèche de cheveux qui couvrit le visage de la jeune femme, de caresser sa joue, de la serrer dans ses bras, de poser ses lèvres sur les siennes… Jamais il n’avait ressenti de tels sentiments pour une femme depuis le décès de son épouse, et jamais le consultant n’avait rencontré une personne qui pouvait le comprendre, connaître et respecter son côté sombre autre que Teresa Lisbon qui faisait maintenant partie de son existence. Mais elle était devenue inaccessible, un autre homme faisait maintenant partie de sa vie et impossible pour lui de trouver un moyen stupide que d’accepter cette relation qui le faisait souffrir.
Tout à coup, Jane sursauta lorsqu’une main se posait sur son épaule et leva les yeux en voyant que c’était Cho, installé à côté de lui alors que Rigsby puis Van Pelt restaient debout face à lui, l’air inquiet.
- Ca va Jane ? Demanda Cho.
- Oui, oui, ça va. Mentit-il triste dans un sourire crispé.
- Non, ça ne va pas. Fit Kimball.
- De plus, tu mens très mal. Intervint Rigsby.
Il baissa les yeux, se mordit les lèvres en fixant le bout de ses chaussures.
- Jane, commença Grace ; ce n’est pas de ta faute si Lisbon a été enlevée, tu ne pouvais pas…
- Si Van Pelt, j’aurais dû le savoir ! Protesta Jane ; c’est de ma faute, j’aurais dû me douter qu’il n’y avait quelque chose de pas clair dans cette affaire, que Lisbon allait être en danger et je… je l’ai laissée tomber.
- Arrête, Jane ! Intervint Cho ; cesse d’être égoïste et de te lamenter ! Ce n’est pas de ta faute ce qui est arrivé à Lisbon. C’est de la mienne et il faut que je l’accepte !
- Non Cho ! C’est MA faute ! J’aurais dû être là ! Protesta le consultant.
- Arrêtez tous les deux ! Intervint Grace d’un ton ferme; ce n’est de la faute de personne ! Ce qui devait arriver est arrivé et on n’y peut rien !
Tous les garçons la fixèrent tout étonné face à son air ferme et dur qu’elle n’avait pas l’habitude de prendre – seulement durant un interrogatoire – mais ils devaient reconnaître qu’elle n’avait pas tort. Ce n’était la faute de personne. Bien que Jane avait du mal à l’admettre.
Soudain, le portable du consultant sonna à nouveau sur la table basse et vit le nom de Lisbon affichée sur son écran puis décrocha aussitôt après 2 sonneries.
- Je vous écoute !
- Soyez au Tower café dans 1 heure, asseyez-vous en terrasse et attendez sagement. Informa Joyce ; venez seul, pas de flic ni un de vos amis sinon vous savez ce qui risque d’arriver, n’est-ce pas ? Ajouta-t-elle d’un ton calme.
- Oui. C’est très clair. Souffla-t-il en avalant difficilement sa salive ; mais laissez-moi lui parler.
Mise à l’écart, au bas d’un escalier en métal en colimaçon Joyce fit mine de réfléchir en jetant un œil vers Teresa au loin avec un petit sourire sadique.
- Je ne crois pas que ce soit le bon moment. Lui répondit-elle.
- Laissez-moi lui parler. Insista-t-il ferme et énervé.
Joyce soupira d’exaspération et d’énervement. A l’autre bout du fil, Patrick pouvait entendre des talons résonnés sur un sol couvert de carrelage, de l’eau couler puis qui s’arrêta soudainement et entendit la jeune femme folle dire.
- C’est pour vous.
- A… Allô !?! Jane ! Fit Lisbon.
Jane ferma les yeux en soupirant de soulagement et sentit son cœur se gonfler dans sa poitrine en entendant la voix apaisante de Lisbon qui lui manquait tant.
- Lisbon ! Souffla-t-il ; est-ce que ça va ? S’inquiéta-t-il.
- J’ai connu mieux ! Lui répondit-elle.
Le consultant fit un sourire triste en l’entendant dire cela ce qui lui ressemblait bien avant de l’effacer aussitôt.
- Tenez bon, Lisbon. On va vous sortir de ce pétrin, je vous le promets. Jura-t-il.
La jeune femme fit un sourire triste au coin en entendant ses paroles qu’elle avait l’habitude d’entendre et c’est ce qui l’énervait. Cependant, ça lui faisait du bien d’entendre le son de sa voix.
- Je vous en prie Jane, supplia-t-elle ; ne faites pas de conneries, ne risquez pas votre vie, vous n’êtes pas agent…
- Je serai toujours là pour vous sauver, Lisbon que vous le vouliez ou non. Lui coupa-t-il d’un ton ferme et sincère.
Mais elle n’avait pas eu le temps de répliquer que Joyce avait prit le relais et s’éloigna de Lisbon en enclenchant à niveau l’eau mais moins fort que tout à l’heure.
- Voilà ! Fit Joyce ; à tout à l’heure Patrick. Ajouta-t-elle en raccrochant.
Jane raccrocha à son tour, le regard dans le vide alors que Cho et Rigsby se tournèrent vers Van Pelt qui tapait frénétiquement sur le clavier de son ordinateur portable.
- Tu as pu la localiser ? Demanda Cho.
- Non, Répondit-elle déçue et confuse ; elle a appelé sur le portable de Lisbon puis elle a dût mettre un système pour brouiller la localisation.
- Cette fille est peut-être cinglée mais elle est forte ! Répliqua Wayne en serrant les dents.
Subitement, Jane se leva en passant ses collègues qui le regardèrent partir.
- Hey, où tu vas ? Le retint Wayne.
- A ton avis, où je vais ? Rétorqua sèchement Jane en se tournant vers lui.
- Jane, tu ne vas nulle part tout seul ! Fit Grace.
- Je sais ce que je fais Grace, lança le consultant ; je ne veux pas que vous soyez en danger ni que vous risquiez votre carrière à cause de moi.
- Van Pelt a raison. Soutint Kimball en se levant du canapé ; tu iras nulle part tout seul !
Jane resta de marbre en les regardant tous les trois qui le fixaient d’un air grave.
- Ecoute vieux, commença Rigsby d’un ton ferme; t’as toujours été là pour nous aider pour résoudre des affaires et en échange t’as reçu notre aide pour l’affaire John Le Rouge et notre soutien pendant que t’étais en tôle, résuma-t-il ; puis maintenant tu comptes encore faire cavalier seul pour arrêter une malade mentale et sauver Lisbon sans nous ?
Rigsby laissa sa question en suspense afin d’entendre une réponse sortir de la bouche du mentaliste mais il ne fit rien.
- En tout cas, ne compte pas sur moi pour lâcher l’affaire parce que je ne lâcherais pas et Lisbon serait folle de rage si elle nous voyait ainsi ! Fit Cho.
- Oui et on est en équipe. Affirma fermement Grace.
- Bon, vieux, c’est quoi ton plan ? Demanda Wayne.
Jane les observa un à un pour voir qu’ils étaient durs comme fer et il pensa à Lisbon qui aurait été touchée voire fière d’avoir une telle équipe.
Teresa ne lâchait pas prise. Elle essaya de toutes ses forces de se libérer de ses liens alors que l’eau lui arrivait jusqu’à ses hanches et continua de monter encore.
Puis, le bruit des pas de Joyce Brandon résonnèrent dans l’habitacle qu’elle releva automatiquement la tête pour être choquée de voir que la folle furieuse portait la même robe, même sac à main, même veste en cuir aussi même coiffure qu’elle-même avait mise il y a deux jours. Lorsqu’elle avait été appelée pour cette enquête en plein dîner romantique avec Josh.
- Où avez-vous trouvé ces vêtements ? Demanda-t-elle dans un souffle
Joyce tournoya sur elle-même d’un air satisfaite avant de lui faire face.
- Pas mal, hein ? Fit-elle ; je trouve que vous avez bon goût.
- Vous êtes folle, Joyce ! L’insulta-t-elle en criant.
- Patrick oubliera tout de suite qui je suis quand il me verra en vous et c’est vous qu’il traitera de folle ! Répliqua Joyce fière et sadique.
- Jane ne se laisse JAMAIS manipuler même pas par une malade mentale comme vous ! Cria Lisbon.
- Ce n’est pas tout le temps le cas, n’est-ce pas ? Fit Joyce.
Puis elle regarda l’agent avant de tourner les talons et partir alors que Lisbon essaya de la retenir.
- Attendez, Joyce ! Joyce !
Mais en vain. Ses paroles résonnèrent dans le vide et la cinglée était déjà partie à son rendez-vous avec Jane en se faisant passer pour l’agent Teresa Lisbon qui était en réalité prisonnière.
C'est plus enjouée et plus simple de torturer Lisbon que Jane car il a déjà souffert comme ça le pauvre entre kidnapping, et tout... Je ne sais pas pour quelle raison le personnage de cette fille m'a inspiré et ça je vous le jure peut-être que c'était en rêve où à cause du couple du 1x02, je ne sais pas
Assez de bavardage, sans plus attendre, voici la suite
Edit : P.S : J'ai terminé le prologue et le chapitre 1 mais je cherche un titre pour ma fic
Bonne Lecture… ____________________________________________________________________
Chapitre 9 :
En entendant cette femme parler ainsi, le sang de Jane se glaça et son visage changea totalement d’expression avant de faire signe à Grace de localiser l’appel qu’elle fit sans hésiter un seul instant.
- Bonjour Joyce. Salua-t-il d’un ton naturel ; désenchanté de vous connaître.
Elle rit.
- Je m’aperçois que vous aussi, vous avez réussit à percer mon secret, vous êtes fort Patrick. Constata Joyce d’un ton moqueur.
- Je fais de mon mieux. Fit-il en haussant légèrement les épaules.
Il y eut un court silence. Dans la cour d’une maison à l’abandon depuis des années, Joyce jeta un bref coup d’œil à travers la baie vitrée où à l’intérieur, l’eau continuait de couler à flots dans le bassin. De son côté, Jane sentit l’angoisse monter en lui sur la vie de Lisbon prisonnière de cette folle qui la retenait il ne sait où.
- Vous avez bien entraîné l’agent Lisbon pour qu’elle parvienne à m’identifier. Reprit-elle sarcastique ; dommage que vous ne soyez pas là pour la féliciter une dernière fois.
En entendant sa dernière phrase, son sang se glaça de plus en plus comme s’il n’arrivait plus à circuler dans son corps et ressentit une inquiétude voire une colère monstre bouillir au fond de lui.
- Comment ça ? Siffla-t-il entre ses dents paniqué ; que lui avez-vous fait ?
- Oubliez donc l’agent Lisbon, je suis là moi. Fit-elle d’un ton radouci.
- Laissez-moi lui parler. Dit Jane d’un ton dur.
- Elle prend un bain et elle ne peut pas vous parler donc oubliez-la ! S’emporta Joyce.
- Que lui avez-vous fait ? Demanda le consultant ferme.
- Rien du tout ! Mentit-elle sarcastique.
- Vous la faites souffrir comme vous l’avait fait à Courtney parce qu’elle avait le droit à tout ce qu’elle désirait sauf vous, c’est ça ? Insista Jane d’une voix blanche et ferme.
En écoutant les paroles du mentaliste ainsi que le prénom de sa sœur, Joyce serra fort le portable dans sa main étant à deux doigts de le broyer quand des souvenirs les plus douloureux de sa vie lui revinrent en mémoire en fermant les yeux mais se ravisa.
- Très perspicace ! Commenta Joyce d’un ton amer ; c’est ce que j’aime chez vous. Aussi, vous êtes peut-être un manipulateur, un menteur mais un homme généreux, dévoué tellement incroyable. Ajouta-t-elle d’un soupir.
- Qu’est-ce que vous voulez Joyce ? Demanda Patrick.
Elle se mordit la lèvre inférieure.
- Vous. Je ne veux que vous. Soupira-t-elle.
- Vous savez bien que c’est impossible. Souffla Jane.
Joyce sourit et secoua la tête.
- Quand vous me verrez, vous direz le contraire, j’en suis certaine. Fit Joyce sûre d’elle ; je vous rappelle plus tard.
Puis elle raccrocha et tourna les talons pour se diriger vers la maison.
De son côté, Jane avait encore son portable collé contre son oreille et son regard nageait dans le vide sans pouvoir entendre que la kidnappeuse de Lisbon avait mis fin à la communication. Cho, Rigsby et Van Pelt le fixèrent d’un air inquiet, voyant leur ami muet comme une carpe puis immobile comme une statue. Mais le consultant revint à lui quand il raccrocha enfin son téléphone et sans prêter attention à ses amis, il sortit dans la salle de bain sous les yeux du trio qui s’interrogeaient chacun du regard.
Patrick se laissa tomber sur le canapé du salon et prit son visage entre ses mains dans un soupir en se laissant envahir par les moments qu’il avait vécus auprès de Teresa. Ces nombres incalculables de fois où elle lui hurlait dessus à cause de ses plans foireux et des plaintes qu’elle recevait parce qu’il était allé trop loin – même beaucoup trop loin – il se sentait coupable alors que c’était plus fort lui mais il savait qu’il la faisait mal voire souffrir alors que ce n’était pas son intention.
Ces instants où ils se parlaient, se confiaient à propos de leur passé : sa vengeance parlant de faire subir le même sort à John Le Rouge comme il avait fait à sa femme et sa fille, lorsque son père à elle était violent à cause de l’alcool après la mort de sa mère – même si elle ne le disait pas, il s’en doutait – etc.
Et ces fois quand il la faisait rire et sourire pour lui remonter le moral, lui faire oublier ces tracas ainsi que la violence quotidienne qui tournait autour d’elle. Pourtant, dès qu’ils se trouvaient tous deux dans une pièce, les yeux dans les yeux, Jane sentit de drôles de sensations comme des papillons voler dans son estomac ou son cœur qui battait fort ; il avait une envie de ranger une mèche de cheveux qui couvrit le visage de la jeune femme, de caresser sa joue, de la serrer dans ses bras, de poser ses lèvres sur les siennes… Jamais il n’avait ressenti de tels sentiments pour une femme depuis le décès de son épouse, et jamais le consultant n’avait rencontré une personne qui pouvait le comprendre, connaître et respecter son côté sombre autre que Teresa Lisbon qui faisait maintenant partie de son existence. Mais elle était devenue inaccessible, un autre homme faisait maintenant partie de sa vie et impossible pour lui de trouver un moyen stupide que d’accepter cette relation qui le faisait souffrir.
Tout à coup, Jane sursauta lorsqu’une main se posait sur son épaule et leva les yeux en voyant que c’était Cho, installé à côté de lui alors que Rigsby puis Van Pelt restaient debout face à lui, l’air inquiet.
- Ca va Jane ? Demanda Cho.
- Oui, oui, ça va. Mentit-il triste dans un sourire crispé.
- Non, ça ne va pas. Fit Kimball.
- De plus, tu mens très mal. Intervint Rigsby.
Il baissa les yeux, se mordit les lèvres en fixant le bout de ses chaussures.
- Jane, commença Grace ; ce n’est pas de ta faute si Lisbon a été enlevée, tu ne pouvais pas…
- Si Van Pelt, j’aurais dû le savoir ! Protesta Jane ; c’est de ma faute, j’aurais dû me douter qu’il n’y avait quelque chose de pas clair dans cette affaire, que Lisbon allait être en danger et je… je l’ai laissée tomber.
- Arrête, Jane ! Intervint Cho ; cesse d’être égoïste et de te lamenter ! Ce n’est pas de ta faute ce qui est arrivé à Lisbon. C’est de la mienne et il faut que je l’accepte !
- Non Cho ! C’est MA faute ! J’aurais dû être là ! Protesta le consultant.
- Arrêtez tous les deux ! Intervint Grace d’un ton ferme; ce n’est de la faute de personne ! Ce qui devait arriver est arrivé et on n’y peut rien !
Tous les garçons la fixèrent tout étonné face à son air ferme et dur qu’elle n’avait pas l’habitude de prendre – seulement durant un interrogatoire – mais ils devaient reconnaître qu’elle n’avait pas tort. Ce n’était la faute de personne. Bien que Jane avait du mal à l’admettre.
Soudain, le portable du consultant sonna à nouveau sur la table basse et vit le nom de Lisbon affichée sur son écran puis décrocha aussitôt après 2 sonneries.
- Je vous écoute !
- Soyez au Tower café dans 1 heure, asseyez-vous en terrasse et attendez sagement. Informa Joyce ; venez seul, pas de flic ni un de vos amis sinon vous savez ce qui risque d’arriver, n’est-ce pas ? Ajouta-t-elle d’un ton calme.
- Oui. C’est très clair. Souffla-t-il en avalant difficilement sa salive ; mais laissez-moi lui parler.
Mise à l’écart, au bas d’un escalier en métal en colimaçon Joyce fit mine de réfléchir en jetant un œil vers Teresa au loin avec un petit sourire sadique.
- Je ne crois pas que ce soit le bon moment. Lui répondit-elle.
- Laissez-moi lui parler. Insista-t-il ferme et énervé.
Joyce soupira d’exaspération et d’énervement. A l’autre bout du fil, Patrick pouvait entendre des talons résonnés sur un sol couvert de carrelage, de l’eau couler puis qui s’arrêta soudainement et entendit la jeune femme folle dire.
- C’est pour vous.
- A… Allô !?! Jane ! Fit Lisbon.
Jane ferma les yeux en soupirant de soulagement et sentit son cœur se gonfler dans sa poitrine en entendant la voix apaisante de Lisbon qui lui manquait tant.
- Lisbon ! Souffla-t-il ; est-ce que ça va ? S’inquiéta-t-il.
- J’ai connu mieux ! Lui répondit-elle.
Le consultant fit un sourire triste en l’entendant dire cela ce qui lui ressemblait bien avant de l’effacer aussitôt.
- Tenez bon, Lisbon. On va vous sortir de ce pétrin, je vous le promets. Jura-t-il.
La jeune femme fit un sourire triste au coin en entendant ses paroles qu’elle avait l’habitude d’entendre et c’est ce qui l’énervait. Cependant, ça lui faisait du bien d’entendre le son de sa voix.
- Je vous en prie Jane, supplia-t-elle ; ne faites pas de conneries, ne risquez pas votre vie, vous n’êtes pas agent…
- Je serai toujours là pour vous sauver, Lisbon que vous le vouliez ou non. Lui coupa-t-il d’un ton ferme et sincère.
Mais elle n’avait pas eu le temps de répliquer que Joyce avait prit le relais et s’éloigna de Lisbon en enclenchant à niveau l’eau mais moins fort que tout à l’heure.
- Voilà ! Fit Joyce ; à tout à l’heure Patrick. Ajouta-t-elle en raccrochant.
Jane raccrocha à son tour, le regard dans le vide alors que Cho et Rigsby se tournèrent vers Van Pelt qui tapait frénétiquement sur le clavier de son ordinateur portable.
- Tu as pu la localiser ? Demanda Cho.
- Non, Répondit-elle déçue et confuse ; elle a appelé sur le portable de Lisbon puis elle a dût mettre un système pour brouiller la localisation.
- Cette fille est peut-être cinglée mais elle est forte ! Répliqua Wayne en serrant les dents.
Subitement, Jane se leva en passant ses collègues qui le regardèrent partir.
- Hey, où tu vas ? Le retint Wayne.
- A ton avis, où je vais ? Rétorqua sèchement Jane en se tournant vers lui.
- Jane, tu ne vas nulle part tout seul ! Fit Grace.
- Je sais ce que je fais Grace, lança le consultant ; je ne veux pas que vous soyez en danger ni que vous risquiez votre carrière à cause de moi.
- Van Pelt a raison. Soutint Kimball en se levant du canapé ; tu iras nulle part tout seul !
Jane resta de marbre en les regardant tous les trois qui le fixaient d’un air grave.
- Ecoute vieux, commença Rigsby d’un ton ferme; t’as toujours été là pour nous aider pour résoudre des affaires et en échange t’as reçu notre aide pour l’affaire John Le Rouge et notre soutien pendant que t’étais en tôle, résuma-t-il ; puis maintenant tu comptes encore faire cavalier seul pour arrêter une malade mentale et sauver Lisbon sans nous ?
Rigsby laissa sa question en suspense afin d’entendre une réponse sortir de la bouche du mentaliste mais il ne fit rien.
- En tout cas, ne compte pas sur moi pour lâcher l’affaire parce que je ne lâcherais pas et Lisbon serait folle de rage si elle nous voyait ainsi ! Fit Cho.
- Oui et on est en équipe. Affirma fermement Grace.
- Bon, vieux, c’est quoi ton plan ? Demanda Wayne.
Jane les observa un à un pour voir qu’ils étaient durs comme fer et il pensa à Lisbon qui aurait été touchée voire fière d’avoir une telle équipe.
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Teresa ne lâchait pas prise. Elle essaya de toutes ses forces de se libérer de ses liens alors que l’eau lui arrivait jusqu’à ses hanches et continua de monter encore.
Puis, le bruit des pas de Joyce Brandon résonnèrent dans l’habitacle qu’elle releva automatiquement la tête pour être choquée de voir que la folle furieuse portait la même robe, même sac à main, même veste en cuir aussi même coiffure qu’elle-même avait mise il y a deux jours. Lorsqu’elle avait été appelée pour cette enquête en plein dîner romantique avec Josh.
- Où avez-vous trouvé ces vêtements ? Demanda-t-elle dans un souffle
Joyce tournoya sur elle-même d’un air satisfaite avant de lui faire face.
- Pas mal, hein ? Fit-elle ; je trouve que vous avez bon goût.
- Vous êtes folle, Joyce ! L’insulta-t-elle en criant.
- Patrick oubliera tout de suite qui je suis quand il me verra en vous et c’est vous qu’il traitera de folle ! Répliqua Joyce fière et sadique.
- Jane ne se laisse JAMAIS manipuler même pas par une malade mentale comme vous ! Cria Lisbon.
- Ce n’est pas tout le temps le cas, n’est-ce pas ? Fit Joyce.
Puis elle regarda l’agent avant de tourner les talons et partir alors que Lisbon essaya de la retenir.
- Attendez, Joyce ! Joyce !
Mais en vain. Ses paroles résonnèrent dans le vide et la cinglée était déjà partie à son rendez-vous avec Jane en se faisant passer pour l’agent Teresa Lisbon qui était en réalité prisonnière.
TBC...
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Blood in troubled water ^
Je plussoie Totorsg, ta suite est vraiment tiptop
teninches- Red John
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