La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
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La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
Tadam tadam, je crois que l'inspiration est de retour !
Voici donc la suite !
Quelques infos avant le début:
Pour finir, je vais utiliser les prénoms de nos personnages pour les moments plus personnels... je tiens en compte vos revendications Et puis c'est vrai que ça sonne mieux !
Et aussi, je tiens à vous dire que les enfants, Simon et Sarah, ont 2 ans chacun (petit bond dans le temps)
En avant donc, en espérant que ça vous plaise
Chapitre 1: La mise à pied
- Je ne peux pas vous permettre de reprendre le travail. Pas après ce qui vient de se passer !
Minelli tempêtait dans son bureau face à Jane et Lisbon qui se tenaient côte à côte légèrement inquiets de l’orage qui s’apprêtait à déferler sur eux.
- Vous et votre équipe devez prendre quelques jours de congé.
Lisbon tenta d’intervenir mais Minelli ne lui en laissa pas l’occasion
- Et si vous refusez, je vous mets en arrêt forcé
Jane à son tour, tenta une approche, conscient que cette fois, les choses risquaient de leur échapper.
- C’est sans appel !
Leur patron avant déclaré ces derniers mots sur un ton catégorique et avait accompagné ses paroles d’un geste leur désignant la sortie. Son regard confirmant ses dires, il n’y avait absolument rien à ajouter.
Jane et Lisbon sortirent lentement du bureau et échangèrent un regard plein de sous-entendu. Pour une fois, Jane n’avait aucune envie de renchérir sur le savon que Minelli venait de leur passer.
- Tu ne penses pas qu’il a peut-être raison ? murmura Jane
Il observa le visage triste de Lisbon qui le fixait et ne put s’empêcher de passer son bras autour de ses épaules comme pour la protéger. Elle sourit légèrement, un sourire malheureux. Jane savait qu’elle s’en voulait, il connaissait bien son regard et voir cet éclat dans ses yeux émeraude lui faisait mal au coeur.
- Nous avons fait tout ce qui nous avons pu murmura-t’il, le regard plongé dans le sien.
Elle détourna les yeux un moment avant de secouer la tête. La colère prenait la place de la tristesse et elle faisait tout pour ne pas la laisser s’échapper. Jane n’y était pour rien, et il en était autant peiné qu’elle, ce n’était pas le moment de craquer devant lui, cela risquait de les séparer alors qu’ils avaient besoin l’un de l’autre pour surmonter leur échec.
- C’est faux murmura-t’elle. Et tu le sais parfaitement.
Il ne releva pas sa remarque, sentant que la tornade qui les avait frôlée dans le bureau de Minelli risquait de se dresser entre eux deux s’ils ne faisaient pas attention.
Ils descendirent rejoindre l’équipe qui attendait leur retour avec anxiété. Van Pelt se leva la première à leur arrivée.
- Alors ? demanda-t’elle
Lisbon soupira, laissant une partie de sa colère quitter son coeur.
- Nous sommes suspendus jusqu’à nouvel ordre
Personne ne protesta et Jane n’en fut pas surpris. Il sentait comme un vaste découragement qui avait atteint tous ses amis. Découragement… il inspira, pour s’imprégner de l’atmosphère qui régnait. Une once de découragement, de tristesse avec un soupçon de dégoût et de soulagement. Tous ses sentiments qui ne leur étaient pas familiers et qui les empêchaient de réfléchir de manière rationnelle et posée.
- Jusqu’à quand ? demanda Cho qui s’était assis à son bureau.
Lisbon secoua la main l’air de dire que cela importait peu et elle haussa les épaules, signe, qu’en réalité, elle n’en avait aucune idée. Elle alla se réfugier dans son bureau, et s’assit à son bureau. Elle espérait que le calme qui y régnait lui permettrait d’effacer le sentiment qui prenait de plus en plus d’importance au fond d’elle : celui de la honte. La honte de ne pas avoir pu agir au moment où il aurait fallu, d’avoir été totalement impuissante… Le problème n’était pas qu’ils avaient échoué cette fois-ci, certes, elle s’en voulait pour cet échec, mais ce qui faisait que ce sentiment prenait une ampleur de plus en plus grande était du au fait que cette histoire durait maintenant depuis plusieurs mois.
Jane avait regardé Lisbon s’éloigné sans dire un mot. Il lui laissa un moment de répit, sachant qu’il lui faudrait un peu de temps pour se reprendre.
- Vous tenez le coup ? demanda-t’il en se tournant vers les membres de l’équipe.
Ils hochèrent la tête sans dire un mot. Jane inspira une seconde fois, un soupçon de colère venait de s’ajouter à la panoplie d’émotions qui tourbillonnait déjà tout autour de lui.
- Vous devriez rentrer chez vous proposa-t’il.
Face aux regards que ses amis lui adressèrent, il se retint de sourire. Abandonner ? Prendre un moment de repos ? Etait-ce réellement dans leurs habitudes ?
Mais cette fois, c’était nécessaire, Jane l’avait compris et l’air étouffant qui pesait de plus en plus sur lui confirmait ses pensées : Il fallait qu’ils s’arrêtent un moment.
- Pas question réplique Cho en se levant et en faisant quelques pas, sans aucun but précis, à travers la pièce.
Il les dévisagea un à un et prit sa voix calme et grave qu’il utilisait jadis pour parler aux personnes touchées par la perte d’un être cher.
- Nous n’arriverons à rien dans l’état où nous sommes, nous devons prendre du recul.
Chaque membre de l’équipe dévisagea Jane, comme s’il voulait le défier. Un combat silencieux s’installait entre eux et Jane tenait bon. S’ils persistaient, ils pourraient se détruire, détruire leur carrière et leur vie, et il ne pouvait accepter de les voir réaliser une telle chose sans chercher à s’interposer.
Van Pelt, la première, baissa les armes.
- Je pense que tu as raison Jane
Rigsby se tourna vers elle, surpris, et baissa les yeux un moment puis hocha la tête, l’air déconfis.
- Surement murmura-t’il
Cho n’avait rien dit, mais Jane savait qu’il avait donné son accord. Ils s’arrêteraient quelques temps.
Un coup frappé discrètement à la porte arracha Lisbon de ses pensées et Jane se faufila à l’intérieur de son bureau.
Il s’approcha lentement d’elle et s’agenouilla à ses côtés, le regard triste.
- Térésa murmura-t’il
Il leva sa main pour la passer sur sa joue, essuyant de la sorte les traînées de larmes qui s’étaient formées sur ses joues. Lisbon ne s’était même pas rendue compte que sa vision était devenue trouble. Le geste de son mari la ramena à la réalité.
Ils s’observèrent un instant, jugeant comment l’autre allait et Lisbon sut immédiatement combien Jane était touché par toute cette histoire et la force qu’il devait développé pour ne pas laisser transparaître cette peine.
Ils étaient ensemble depuis deux ans, et c’était pour eux deux, deux années de pur bonheur. Lisbon avait progressivement appris à lire entre les lignes lorsque Jane lui parlait de ce qu’il ressentait et Jane, lui, était toujours resté pareil, aussi clairvoyant et encore plus lorsqu’il s’agissait de la femme qu’il aimait, aussi attentif et aimant qu’elle se l’était imaginé.
Il passa son bras autour de ses épaules et murmura, pour la persuader que c’était réellement la meilleure chose à faire.
- Rentrons à la maison
Elle voulut se dégager et résister. Sa place était là, derrière ce bureau, dans ses locaux, à recevoir des coups de fils, donner des ordres à son équipe et résoudre des enquêtes mais il la serra plus étroitement contre lui.
- Simon nous attend
Alors elle lâcha prise et sourit doucement. Elle se leva lui laissant prendre doucement sa main et posa un moment sa tête contre son torse. Calmée par les mouvements lents que provoquait sa respiration, elle chercha ses lèvres et ils échangèrent un baiser tendre et doux, qui lui redonna du courage. Ils rejoignirent ensemble l’ascenseur, le parking et la voiture de Jane qui était restée immobile depuis la matinée.
Voici donc la suite !
Quelques infos avant le début:
Pour finir, je vais utiliser les prénoms de nos personnages pour les moments plus personnels... je tiens en compte vos revendications Et puis c'est vrai que ça sonne mieux !
Et aussi, je tiens à vous dire que les enfants, Simon et Sarah, ont 2 ans chacun (petit bond dans le temps)
En avant donc, en espérant que ça vous plaise
Chapitre 1: La mise à pied
- Je ne peux pas vous permettre de reprendre le travail. Pas après ce qui vient de se passer !
Minelli tempêtait dans son bureau face à Jane et Lisbon qui se tenaient côte à côte légèrement inquiets de l’orage qui s’apprêtait à déferler sur eux.
- Vous et votre équipe devez prendre quelques jours de congé.
Lisbon tenta d’intervenir mais Minelli ne lui en laissa pas l’occasion
- Et si vous refusez, je vous mets en arrêt forcé
Jane à son tour, tenta une approche, conscient que cette fois, les choses risquaient de leur échapper.
- C’est sans appel !
Leur patron avant déclaré ces derniers mots sur un ton catégorique et avait accompagné ses paroles d’un geste leur désignant la sortie. Son regard confirmant ses dires, il n’y avait absolument rien à ajouter.
Jane et Lisbon sortirent lentement du bureau et échangèrent un regard plein de sous-entendu. Pour une fois, Jane n’avait aucune envie de renchérir sur le savon que Minelli venait de leur passer.
- Tu ne penses pas qu’il a peut-être raison ? murmura Jane
Il observa le visage triste de Lisbon qui le fixait et ne put s’empêcher de passer son bras autour de ses épaules comme pour la protéger. Elle sourit légèrement, un sourire malheureux. Jane savait qu’elle s’en voulait, il connaissait bien son regard et voir cet éclat dans ses yeux émeraude lui faisait mal au coeur.
- Nous avons fait tout ce qui nous avons pu murmura-t’il, le regard plongé dans le sien.
Elle détourna les yeux un moment avant de secouer la tête. La colère prenait la place de la tristesse et elle faisait tout pour ne pas la laisser s’échapper. Jane n’y était pour rien, et il en était autant peiné qu’elle, ce n’était pas le moment de craquer devant lui, cela risquait de les séparer alors qu’ils avaient besoin l’un de l’autre pour surmonter leur échec.
- C’est faux murmura-t’elle. Et tu le sais parfaitement.
Il ne releva pas sa remarque, sentant que la tornade qui les avait frôlée dans le bureau de Minelli risquait de se dresser entre eux deux s’ils ne faisaient pas attention.
Ils descendirent rejoindre l’équipe qui attendait leur retour avec anxiété. Van Pelt se leva la première à leur arrivée.
- Alors ? demanda-t’elle
Lisbon soupira, laissant une partie de sa colère quitter son coeur.
- Nous sommes suspendus jusqu’à nouvel ordre
Personne ne protesta et Jane n’en fut pas surpris. Il sentait comme un vaste découragement qui avait atteint tous ses amis. Découragement… il inspira, pour s’imprégner de l’atmosphère qui régnait. Une once de découragement, de tristesse avec un soupçon de dégoût et de soulagement. Tous ses sentiments qui ne leur étaient pas familiers et qui les empêchaient de réfléchir de manière rationnelle et posée.
- Jusqu’à quand ? demanda Cho qui s’était assis à son bureau.
Lisbon secoua la main l’air de dire que cela importait peu et elle haussa les épaules, signe, qu’en réalité, elle n’en avait aucune idée. Elle alla se réfugier dans son bureau, et s’assit à son bureau. Elle espérait que le calme qui y régnait lui permettrait d’effacer le sentiment qui prenait de plus en plus d’importance au fond d’elle : celui de la honte. La honte de ne pas avoir pu agir au moment où il aurait fallu, d’avoir été totalement impuissante… Le problème n’était pas qu’ils avaient échoué cette fois-ci, certes, elle s’en voulait pour cet échec, mais ce qui faisait que ce sentiment prenait une ampleur de plus en plus grande était du au fait que cette histoire durait maintenant depuis plusieurs mois.
Jane avait regardé Lisbon s’éloigné sans dire un mot. Il lui laissa un moment de répit, sachant qu’il lui faudrait un peu de temps pour se reprendre.
- Vous tenez le coup ? demanda-t’il en se tournant vers les membres de l’équipe.
Ils hochèrent la tête sans dire un mot. Jane inspira une seconde fois, un soupçon de colère venait de s’ajouter à la panoplie d’émotions qui tourbillonnait déjà tout autour de lui.
- Vous devriez rentrer chez vous proposa-t’il.
Face aux regards que ses amis lui adressèrent, il se retint de sourire. Abandonner ? Prendre un moment de repos ? Etait-ce réellement dans leurs habitudes ?
Mais cette fois, c’était nécessaire, Jane l’avait compris et l’air étouffant qui pesait de plus en plus sur lui confirmait ses pensées : Il fallait qu’ils s’arrêtent un moment.
- Pas question réplique Cho en se levant et en faisant quelques pas, sans aucun but précis, à travers la pièce.
Il les dévisagea un à un et prit sa voix calme et grave qu’il utilisait jadis pour parler aux personnes touchées par la perte d’un être cher.
- Nous n’arriverons à rien dans l’état où nous sommes, nous devons prendre du recul.
Chaque membre de l’équipe dévisagea Jane, comme s’il voulait le défier. Un combat silencieux s’installait entre eux et Jane tenait bon. S’ils persistaient, ils pourraient se détruire, détruire leur carrière et leur vie, et il ne pouvait accepter de les voir réaliser une telle chose sans chercher à s’interposer.
Van Pelt, la première, baissa les armes.
- Je pense que tu as raison Jane
Rigsby se tourna vers elle, surpris, et baissa les yeux un moment puis hocha la tête, l’air déconfis.
- Surement murmura-t’il
Cho n’avait rien dit, mais Jane savait qu’il avait donné son accord. Ils s’arrêteraient quelques temps.
Un coup frappé discrètement à la porte arracha Lisbon de ses pensées et Jane se faufila à l’intérieur de son bureau.
Il s’approcha lentement d’elle et s’agenouilla à ses côtés, le regard triste.
- Térésa murmura-t’il
Il leva sa main pour la passer sur sa joue, essuyant de la sorte les traînées de larmes qui s’étaient formées sur ses joues. Lisbon ne s’était même pas rendue compte que sa vision était devenue trouble. Le geste de son mari la ramena à la réalité.
Ils s’observèrent un instant, jugeant comment l’autre allait et Lisbon sut immédiatement combien Jane était touché par toute cette histoire et la force qu’il devait développé pour ne pas laisser transparaître cette peine.
Ils étaient ensemble depuis deux ans, et c’était pour eux deux, deux années de pur bonheur. Lisbon avait progressivement appris à lire entre les lignes lorsque Jane lui parlait de ce qu’il ressentait et Jane, lui, était toujours resté pareil, aussi clairvoyant et encore plus lorsqu’il s’agissait de la femme qu’il aimait, aussi attentif et aimant qu’elle se l’était imaginé.
Il passa son bras autour de ses épaules et murmura, pour la persuader que c’était réellement la meilleure chose à faire.
- Rentrons à la maison
Elle voulut se dégager et résister. Sa place était là, derrière ce bureau, dans ses locaux, à recevoir des coups de fils, donner des ordres à son équipe et résoudre des enquêtes mais il la serra plus étroitement contre lui.
- Simon nous attend
Alors elle lâcha prise et sourit doucement. Elle se leva lui laissant prendre doucement sa main et posa un moment sa tête contre son torse. Calmée par les mouvements lents que provoquait sa respiration, elle chercha ses lèvres et ils échangèrent un baiser tendre et doux, qui lui redonna du courage. Ils rejoignirent ensemble l’ascenseur, le parking et la voiture de Jane qui était restée immobile depuis la matinée.
Flicka11- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane
Loisirs : Cinéma, Musique, Lire et écrire des fanfics Jisbon ;-)
Localisation : Dans un tout petit pays pas très loin de la France :-P
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
Ah c'est super trop bien VLS =)
Invité- Invité
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
Fliiiiiiiiiiickkkkkkkkkaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!!!!!
C'est Super ... Ils ont échoué dans quoi ?!
VLsss !
Et j'suis contente que l'inspiration soit revenue (:
C'est Super ... Ils ont échoué dans quoi ?!
VLsss !
Et j'suis contente que l'inspiration soit revenue (:
Felicity- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane avec Lisbon / Kimball Cho
Loisirs : Shippeuse Jisbon ;) / Lire-Ecrire des FanFics
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
Je troue cette nouvelle fic genial !!! J'adooore
VLS
VLS
jisbon06- Agent de circulation
- Personnage préféré : Patrick et Teresa
Loisirs : Lire des fanfictions Jisbon.
Localisation : Au CBI
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
oh mon dieu mais ta un don pour ecrire des trucs aussi bien!!!
Franchement jadore vivement encore une fois la suite !!!
jadore tes inspiration
Franchement jadore vivement encore une fois la suite !!!
jadore tes inspiration
lloret 01- Livreur de Pizza
- Personnage préféré : teresa lisbon
Loisirs : lire et ecrire
Localisation : ain
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
Felicity a écrit:C'est Super ... Ils ont échoué dans quoi ?!
Excellente question mon cher Watson
Marine- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Patrick Jane & Cho
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
Marine a écrit:Felicity a écrit:C'est Super ... Ils ont échoué dans quoi ?!
Excellente question mon cher Watson
C'est pas plutôt " Elementaire Mon cher Watson " ?? ^^
Invité- Invité
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
Ouaip , il on échoué dans QUOI ?!?!
V.L.S c'était vraiment trop bien ^^
V.L.S c'était vraiment trop bien ^^
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
WinJane a écrit:Marine a écrit:Felicity a écrit:C'est Super ... Ils ont échoué dans quoi ?!
Excellente question mon cher Watson
C'est pas plutôt " Elementaire Mon cher Watson " ?? ^^
Élémentaire ma chère WinJane ...
Aurcoco- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane♥Lisbon, et • Red John •
Loisirs : Regarder les épisodes de TM, Lire, Cinéma, Dessiner ...
Localisation : Champagne-Ardenne
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
trop bien ce début, super prenant
mais comme les autres, ils ont échoué dans quoi???????
[b]VLS
mais comme les autres, ils ont échoué dans quoi???????
[b]VLS
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Shaitan- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane, Lisbon et Cho!
Localisation : Morbihan, Bretagne
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
Chapitre 2 (première partie) : L’affaire
La voiture de Jane s’immobilisa devant l’entrée d’une jolie maison. Comparée au terrain qui l’entourait, elle n’était pas grande. A la fois coquette et élégante, mais sans complications d’aucune sorte, elle donnait un sentiment de sécurité et de calme. Elle trônait au milieu d’un domaine vaste qui avait plu à Jane pour sa grandeur et sa sérénité. Lisbon, elle, n’ayant jamais voulu habiter une grande maison, avait tout de suite aimé l’aspect de la demeure. L’année précédente, quand ils avaient, pour la première fois, empruntés le chemin menant jusqu’à l’entrée, ils étaient tout les deux tombés sous son charme et avaient signé l’acquisition le jour même.
A partir de l’instant où ils avaient emménagé et débuté leur vie dans le domaine, les choses avaient progressivement dues se mettre en place. La présence de leur fils, Simon, perturbait totalement l’organisation de Lisbon dans son travail, et avait suscité pas mal de tension que Jane et elle avait réussi à surmonter avec beaucoup de force.
Les premiers temps, Jane, s’étend opposé à l’idée d’engager une nounou pour s’occuper de leur enfant, avait laissé son travail au CBI de côté. Lisbon lui apportait les dossiers à la maison et il lui donnait son avis. Parfois, il recevait un coup de téléphone de Cho ou de Rigsby qui avait besoin de ses lumières dans une affaire plus pointilleuse. Lisbon avait également fait des efforts. Elle rentrait plus tôt le soir, essayait de ne pas aller au CBI le week-end et prenait de temps en temps un ou deux jours de congé. Cette organisation dura les six premiers mois de vie de Simon. Puis, un soir, alors que Lisbon revenait d’une journée particulièrement difficile, une dispute importante avait éclatée entre ses deux parents. Ce que Jane ignorait ce soir là, c’était que Minelli avait passé un savon à Lisbon parce que le procureur était furieux de la manière dont son équipe avait résolu une affaire. Et ce que Lisbon ne savait pas c’était que Jane n’avait pas dormi depuis deux jours parce que des cauchemars étaient revenus le hanter. Cela lui arrivait de temps à autres, et cette fois-là, plus que les autres.
Ils avaient laissé passé une journée puis, d’un commun accord, avait conclu qu’il fallait changer leur organisation. L’idée avait germée dans l’esprit de Lisbon alors que Van Pelt lui demandait comment allait Simon. Elle avait alors ramené toute l’équipe chez elle, avait débarqué dans leur salon, sous le regard stupéfait de Jane et avait déclaré qu’à partir de cet instant, leur quartier général se situerait à cet endroit.
Jane, dont un sourire éclatant avait illuminé son visage, lui avait suggéré avec un clin d’œil que prendre le bureau plutôt que le salon était peut-être une bonne idée, et pour finir, ils avaient fini par s’installer dans les deux pièces car Jane aimait rester dans son divan pour réfléchir.
Minelli, qui avait d’abord protesté de voir ses agents déserter ainsi les locaux, avait finalement baisser les armes, voyant le résultat positif que cela portait sur leur travail.
Ils avaient ainsi résolu le problème de Jane qui était tenu trop à l’écart des enquêtes, celui de Lisbon qui n’était pas assez présente, et celui de laisser l’enfant seul vu qu’au moins un des membres de l’équipe devait rester pour rechercher les informations sur les ordinateurs.
Jane savait parfaitement que cette solution ne tiendrait pas des années, mais tant que lui et Lisbon tenait le coup, c’était le plus important.
Lorsque Simon eut plus ou moins 1 an et demi, cette fameuse histoire, qui leur valait à présent un arrêt forcé, avait débutée et la tension qui s’était progressivement accumulée dans l’équipe fit comprendre rapidement à Jane qu’il fallait éviter qu’elle ne s’installe également entre lui et Lisbon. Simon avait commencé à marcher et à parler très jeune. Ses yeux bleus, intelligents, rappelant ceux de son père, montraient qu’il comprenait beaucoup de choses pour son âge. Jane avait alors proposé à Lisbon de réintégrer les bureaux du CBI pour retrouver leur intimité, et de prendre Simon avec eux dans les locaux. Il était plus grand à présent, et Jane avait confiance en lui, tout se passerait bien. De temps en temps, une amie passait garder Simon mais c’était assez rare. Le reste du temps, il passait les journées avec ses parents, se disputant avec son père pour savoir lequel des deux utiliserait le divan du CBI, ou observait avec attention le travail de Van Pelt, les allez et venues des suspects, les interrogatoires menés par ses parents. Il était beaucoup aimé dans le service, et parfois, on le retrouvait dans le bureau de Minelli ou sous celui de Cho.
Jane avait raison, Simon s’était parfaitement adapté à l’ambiance du CBI, excepté quelques légers incidents, comme la fois où il avait envoyé son assiette à la figure de Rigsby sans aucune raison apparente, où lorsque Minelli l’avait vu entrer dans la salle d’interrogation, pour s’asseoir magistralement aux côtés de son père, donnant l’impression de vouloir prendre la relève dés que celui-ci aurait terminé d’interroger le suspect. Le chef du CBI avait cru s’étrangler sur place en se retenant au dernier moment de hurler au garçonnet qu’il n’avait pas le droit d’interrompre un interrogatoire.
C’était l’un des plus beau souvenirs de Jane dans cette salle d’interrogation.
Lisbon ouvrit la portière du passager pour sortir de la voiture et au même instant, la porte d’entrée s’ouvrit et Simon en sortit, courant pour accueillir ses parents.
- Maman, Papa ! cria-t’il un grand sourire illuminant son visage.
La jeune femme prit son fils dans ses bras et suivie de près par son mari, entra dans la maison.
Quelques minutes plus tard, Marie, leur amie qui avait gardé Simon la journée, sortie et s’éloigna dans la nuit.
Ils s’assirent tous les trois dans leur salon. Simon avait quitté les bras de sa maman et était assis aux côtés de son père, les observant attentivement. Jane passa une main douce dans les cheveux bouclés et blonds de son fils et lui adressa un sourire tendre. Le petit garçon se redressa pour se mettre sur ses genoux et passa ses deux bras autour du cou de son père.
- Maman est triste murmura-t’il
Jane posa un baiser sur son front et hocha la tête d’un air grave. Simon l’observa un moment, donnant l’impression à Jane de se trouver à nu et rajouta
- Toi aussi papa
Jane le prit dans ses bras et le porta jusqu’à l’étage supérieur où se trouvait sa chambre. Il l’aider à s’apprêter pour la nuit et le mit dans son lit.
Lisbon le rejoignit quelques instants plus tard, pour embrasser son fils et ils sortirent tout deux en catimini lorsque celui-ci ferma enfin les yeux.
Ils redescendirent et rejoignirent à nouveau le salon. Jane s’affala sur son divan et prit sa tête entre ses mains.
- Où est notre erreur ? murmura-t’il sur un ton mi-désespéré, mi-colérique.
Lisbon ferma les yeux, soudain propulsée quelques mois auparavant.
Oui, je sais, je fais un peu durer le plaisir Vous aurez la réponse à votre question ce soir ou demain matin
La voiture de Jane s’immobilisa devant l’entrée d’une jolie maison. Comparée au terrain qui l’entourait, elle n’était pas grande. A la fois coquette et élégante, mais sans complications d’aucune sorte, elle donnait un sentiment de sécurité et de calme. Elle trônait au milieu d’un domaine vaste qui avait plu à Jane pour sa grandeur et sa sérénité. Lisbon, elle, n’ayant jamais voulu habiter une grande maison, avait tout de suite aimé l’aspect de la demeure. L’année précédente, quand ils avaient, pour la première fois, empruntés le chemin menant jusqu’à l’entrée, ils étaient tout les deux tombés sous son charme et avaient signé l’acquisition le jour même.
A partir de l’instant où ils avaient emménagé et débuté leur vie dans le domaine, les choses avaient progressivement dues se mettre en place. La présence de leur fils, Simon, perturbait totalement l’organisation de Lisbon dans son travail, et avait suscité pas mal de tension que Jane et elle avait réussi à surmonter avec beaucoup de force.
Les premiers temps, Jane, s’étend opposé à l’idée d’engager une nounou pour s’occuper de leur enfant, avait laissé son travail au CBI de côté. Lisbon lui apportait les dossiers à la maison et il lui donnait son avis. Parfois, il recevait un coup de téléphone de Cho ou de Rigsby qui avait besoin de ses lumières dans une affaire plus pointilleuse. Lisbon avait également fait des efforts. Elle rentrait plus tôt le soir, essayait de ne pas aller au CBI le week-end et prenait de temps en temps un ou deux jours de congé. Cette organisation dura les six premiers mois de vie de Simon. Puis, un soir, alors que Lisbon revenait d’une journée particulièrement difficile, une dispute importante avait éclatée entre ses deux parents. Ce que Jane ignorait ce soir là, c’était que Minelli avait passé un savon à Lisbon parce que le procureur était furieux de la manière dont son équipe avait résolu une affaire. Et ce que Lisbon ne savait pas c’était que Jane n’avait pas dormi depuis deux jours parce que des cauchemars étaient revenus le hanter. Cela lui arrivait de temps à autres, et cette fois-là, plus que les autres.
Ils avaient laissé passé une journée puis, d’un commun accord, avait conclu qu’il fallait changer leur organisation. L’idée avait germée dans l’esprit de Lisbon alors que Van Pelt lui demandait comment allait Simon. Elle avait alors ramené toute l’équipe chez elle, avait débarqué dans leur salon, sous le regard stupéfait de Jane et avait déclaré qu’à partir de cet instant, leur quartier général se situerait à cet endroit.
Jane, dont un sourire éclatant avait illuminé son visage, lui avait suggéré avec un clin d’œil que prendre le bureau plutôt que le salon était peut-être une bonne idée, et pour finir, ils avaient fini par s’installer dans les deux pièces car Jane aimait rester dans son divan pour réfléchir.
Minelli, qui avait d’abord protesté de voir ses agents déserter ainsi les locaux, avait finalement baisser les armes, voyant le résultat positif que cela portait sur leur travail.
Ils avaient ainsi résolu le problème de Jane qui était tenu trop à l’écart des enquêtes, celui de Lisbon qui n’était pas assez présente, et celui de laisser l’enfant seul vu qu’au moins un des membres de l’équipe devait rester pour rechercher les informations sur les ordinateurs.
Jane savait parfaitement que cette solution ne tiendrait pas des années, mais tant que lui et Lisbon tenait le coup, c’était le plus important.
Lorsque Simon eut plus ou moins 1 an et demi, cette fameuse histoire, qui leur valait à présent un arrêt forcé, avait débutée et la tension qui s’était progressivement accumulée dans l’équipe fit comprendre rapidement à Jane qu’il fallait éviter qu’elle ne s’installe également entre lui et Lisbon. Simon avait commencé à marcher et à parler très jeune. Ses yeux bleus, intelligents, rappelant ceux de son père, montraient qu’il comprenait beaucoup de choses pour son âge. Jane avait alors proposé à Lisbon de réintégrer les bureaux du CBI pour retrouver leur intimité, et de prendre Simon avec eux dans les locaux. Il était plus grand à présent, et Jane avait confiance en lui, tout se passerait bien. De temps en temps, une amie passait garder Simon mais c’était assez rare. Le reste du temps, il passait les journées avec ses parents, se disputant avec son père pour savoir lequel des deux utiliserait le divan du CBI, ou observait avec attention le travail de Van Pelt, les allez et venues des suspects, les interrogatoires menés par ses parents. Il était beaucoup aimé dans le service, et parfois, on le retrouvait dans le bureau de Minelli ou sous celui de Cho.
Jane avait raison, Simon s’était parfaitement adapté à l’ambiance du CBI, excepté quelques légers incidents, comme la fois où il avait envoyé son assiette à la figure de Rigsby sans aucune raison apparente, où lorsque Minelli l’avait vu entrer dans la salle d’interrogation, pour s’asseoir magistralement aux côtés de son père, donnant l’impression de vouloir prendre la relève dés que celui-ci aurait terminé d’interroger le suspect. Le chef du CBI avait cru s’étrangler sur place en se retenant au dernier moment de hurler au garçonnet qu’il n’avait pas le droit d’interrompre un interrogatoire.
C’était l’un des plus beau souvenirs de Jane dans cette salle d’interrogation.
Lisbon ouvrit la portière du passager pour sortir de la voiture et au même instant, la porte d’entrée s’ouvrit et Simon en sortit, courant pour accueillir ses parents.
- Maman, Papa ! cria-t’il un grand sourire illuminant son visage.
La jeune femme prit son fils dans ses bras et suivie de près par son mari, entra dans la maison.
Quelques minutes plus tard, Marie, leur amie qui avait gardé Simon la journée, sortie et s’éloigna dans la nuit.
Ils s’assirent tous les trois dans leur salon. Simon avait quitté les bras de sa maman et était assis aux côtés de son père, les observant attentivement. Jane passa une main douce dans les cheveux bouclés et blonds de son fils et lui adressa un sourire tendre. Le petit garçon se redressa pour se mettre sur ses genoux et passa ses deux bras autour du cou de son père.
- Maman est triste murmura-t’il
Jane posa un baiser sur son front et hocha la tête d’un air grave. Simon l’observa un moment, donnant l’impression à Jane de se trouver à nu et rajouta
- Toi aussi papa
Jane le prit dans ses bras et le porta jusqu’à l’étage supérieur où se trouvait sa chambre. Il l’aider à s’apprêter pour la nuit et le mit dans son lit.
Lisbon le rejoignit quelques instants plus tard, pour embrasser son fils et ils sortirent tout deux en catimini lorsque celui-ci ferma enfin les yeux.
Ils redescendirent et rejoignirent à nouveau le salon. Jane s’affala sur son divan et prit sa tête entre ses mains.
- Où est notre erreur ? murmura-t’il sur un ton mi-désespéré, mi-colérique.
Lisbon ferma les yeux, soudain propulsée quelques mois auparavant.
Oui, je sais, je fais un peu durer le plaisir Vous aurez la réponse à votre question ce soir ou demain matin
Flicka11- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane
Loisirs : Cinéma, Musique, Lire et écrire des fanfics Jisbon ;-)
Localisation : Dans un tout petit pays pas très loin de la France :-P
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
t'as pas répondu à la question, c'est quoi qui s'est mal passé?
Réponse dans le prochain chapitre, lol
Bon c'est comme tu veux, tu peux répondre dans le dernier chapitre aussi du moment que tu répond
Réponse dans le prochain chapitre, lol
Bon c'est comme tu veux, tu peux répondre dans le dernier chapitre aussi du moment que tu répond
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
Vous en faites pas, je suis pas aussi sadique, je vous ferrai pas attendre jusqu'à la fin de l'histoire
Flicka11- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane
Loisirs : Cinéma, Musique, Lire et écrire des fanfics Jisbon ;-)
Localisation : Dans un tout petit pays pas très loin de la France :-P
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
PounchKimball a écrit:Argh , je veut savoir ! ;-)
V.L.S
+1 !!
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
Je suis sûre que quelqu'un est mort .
Shaitan- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane, Lisbon et Cho!
Localisation : Morbihan, Bretagne
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
C'est possible Shai' c'est possible lol
Invité- Invité
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
J'aurais bien aimé que Simon ai genre ... 16 ans :)))))))))
Parce qu'un mini Patrick Jane, avec une touche de Lisbon = Enfant limite parfait (:
Bonn, j'ai ma petite idée sur ce qui s'est passé mais j'ai pas assez d'élément pour construire un dossier solide, manque de preuves. Ha non, ça c'est la réplique de Lisbon, pardon
VLS Flickaaa !!
Parce qu'un mini Patrick Jane, avec une touche de Lisbon = Enfant limite parfait (:
Bonn, j'ai ma petite idée sur ce qui s'est passé mais j'ai pas assez d'élément pour construire un dossier solide, manque de preuves. Ha non, ça c'est la réplique de Lisbon, pardon
VLS Flickaaa !!
Felicity- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane avec Lisbon / Kimball Cho
Loisirs : Shippeuse Jisbon ;) / Lire-Ecrire des FanFics
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
Felicity a écrit:J'aurais bien aimé que Simon ai genre ... 16 ans :)))))))))
Parce qu'un mini Patrick Jane, avec une touche de Lisbon = Enfant limite parfait (:
Bonn, j'ai ma petite idée sur ce qui s'est passé mais j'ai pas assez d'élément pour construire un dossier solide, manque de preuves. Ha non, ça c'est la réplique de Lisbon, pardon
VLS Flickaaa !!
C'est que tu te Lisbonnifie xD
Invité- Invité
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
Ben ... Comment dire, j'ai toujours aimé Lisbonette ...
Felicity- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane avec Lisbon / Kimball Cho
Loisirs : Shippeuse Jisbon ;) / Lire-Ecrire des FanFics
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
Felicity a écrit:Ben ... Comment dire, j'ai toujours aimé Lisbonette ...
" Oh c'est que j'avais pas remarqué "
Invité- Invité
Re: La vengeance désespérée (suite d' "Etrange Manipulation") ^
C'est vrai ma Fée que donner 16 ans à Simon peut donner une super fic, mais pour mon histoire, ça n'irait pas... tu verras après Mais qui sait, peut-être que dans une prochaine fic, je le ferai grandir, j'en sais rien encore !!!
Chapitre 2 (2ème partie): L'affaire
Tout avait commencé par un coup de fil du procureur. Le dossier avait été transmis à Lisbon qui l’avait brièvement exposé à son équipe. L’enquête semblait simple, sans complications, et ils avaient tous débuté les recherches, comme à leur habitude. Tout semblait indiquer que cette affaire serait résolue aussi rapidement et facilement que les autres, mais pendant la journée qui avait suivit l’appel, Jane avait senti, au fond de lui, un étrange sentiment s’éveiller. Le soupçon de quelque chose qu’il ne parvenait pas à identifier.
Sur les lieux du crime, ils n’avaient trouvé aucune trace, pas de suspect potentiel, pas de piste. Rapidement, l’enquête avait stagné, augmentant encore le sentiment de mal-être qui avait envahit le consultant.
Puis, le lendemain, ils avaient reçu un second coup de fil. Il n’en fallait pas plus à Jane pour savoir. Savoir qu’ils se trouvaient confronté à quelque chose de beaucoup plus grand que ce à quoi ils s’étaient préparés. Il sentait que ce n’était pas un simple crime. C’était le début d’une carrière, celle d’un meurtrier fantôme qui ne laissait derrière lui aucune trace.
Son soupçon fut confirmé le lendemain lorsqu’un troisième coup de fil résonna depuis le bureau de Minelli, faisant sursauter l’équipe qui avait souhaité, prié pour que ce jour soit un jour calme, sans bavure.
Les jours qui suivirent restèrent silencieux, pas d’appel, pas de courrier ni de mail, des jours qu’ils avaient utilisés pour tenter d’élucider cette affaire mais en vain. Quelques semaines plus tard, quatre appels avaient été passé, un par jour, ne faisant qu’aggraver l’humeur déjà accablante de l’équipe.
Sept meurtres avaient déjà été commis, et toujours aucun indice. Sur les lieux du crime, le meurtrier ne laissait rien au hasard. Pas d’empreinte, pas de traces de pas, pas d’ADN. Les victimes semblaient être choisies au hasard, aucun point commun entre les familles, elles étaient de classe et de rang social différent, ne fréquentaient pas les mêmes lieux, ne se connaissaient pas. La seule et unique chose qu’ils s’avaient, c’était qu’il s’agissait, à chaque fois, d’enfants. Des enfants, fille ou garçon, de tout âge, ayant deux points communs: les cheveux bruns et les yeux marrons.
C’était là, tout leur dossier. Ils n’avaient rien, absolument rien d’autre sur ce tueur et pour une fois, Jane se sentait réellement impuissant.
Ils avaient testés plusieurs pistes, mais à chaque fois, cela se révélait être des impasses.
Et puis, la veille, les choses s’étaient empirées.
Le téléphone de Lisbon avait sonné. Persuadée qu’il s’agissait encore du procureur, elle avait levé un regard anxieux vers son mari qui se trouvait en face d’elle dans son bureau. D’une main tremblante, redoutant d’entendre qu’un nouveau meurtre avait été commis, elle avait décroché et porté l’appareil à son oreille. Voyant le regard horrifié qu’elle affichait alors, Jane avait compris que quelqu’un d’autre était au bout de la ligne. Lisbon avait branché rapidement le haut parleur et déposé le téléphone sur son bureau. Une voix s’était élevée et s’exclamait : « Un enfant mourra dans un délai de trente minutes ». Le timbre de la voix était déformé, empêchant de déterminer s’il s’agissait d’un homme ou d’une femme. Le meurtrier avait répété : « Trente minutes » et avait raccroché.
Jane et Lisbon, après avoir échangé un regard, s’étaient précipités vers la cuisine du CBI, là où le reste de l’équipe discutait tout en mangeant.
Ils avaient utilisé toutes les astuces qu’ils connaissaient. Van Pelt avait réussi à localiser l’appel passé sur le portable de Lisbon, il partait d’une cabine téléphonique en ville. Ils avaient tous sauté dans leur voiture, roulant à tombeau ouvert vers le lieu identifié. Et là, debout au bord de la route, à proximité de la cabine, ils avaient regardé tout autour d’eux à la recherche d’un signe, d’un quelconque signe qui les mettrait sur la piste. C’est à cet instant que Jane avait commencé à utiliser son instinct. Il devait à John le Rouge le fait d’avoir développé de manière plus pointilleuse sa capacité à comprendre, mieux que quiconque, ce qui pouvait se passer dans la tête d’un tueur.
Ils les avaient guidés à travers les routes, sans savoir réellement comment ses pas le conduisaient vers tel ou tel endroit. Et ils avaient trouvés.
Une petite maison à l’avant de laquelle se trouvait un parterre de fleurs. Ils avaient trouvés, mais c’était déjà trop tard. Une fillette de cinq ans se trouvait allongée sur le sol de la cuisine, sa tête baignant dans son sang, ses yeux marrons les fixant, comme pour leur demander pourquoi ils n’étaient pas arrivés plus tôt. La demi-heure était passée de cinq secondes.
Jane savait que Lisbon aurait pu surmonter ce nouveau meurtre, le onzième, comme elle l’avait fait avec les autres, si seulement la mère n’avait pas surgit à cet instant.
Les hurlements qu’elle avait poussés, les larmes qui coulaient sur ses joues avaient touché la jeune femme plus qu’elle ne l’aurait voulu.
La mère s’était tournée vers eux et désespérée, leur avait crié : « Pourquoi avez-vous laissé faire ça ? » C’était suffisant. Cette simple petite phrase qui remettait tout en question avait pétrifié Lisbon sur place.
Un sentiment de haine avait grandit en elle, la haine dirigée contre ce meurtrier d’enfants et pour la première fois, elle eut l’envie de décharger son arme dans le mur situé en face d’elle.
Lisbon reprit brusquement sa respiration. Cette petite fille aurait du vivre. Cinq secondes, que représentait cinq secondes dans une vie ? La différence entre la vie et la mort.
La voix de Jane la sortie de ses pensées.
- Je suis certain que nous avons fait une erreur, nous avons négligé un détail.
Il secoua la tête, se leva et rejoignit Lisbon, sentant qu’elle avait besoin de sa présence.
Il s’assit à ses côtés et elle posa sa tête sur son épaule.
- A qui Minelli a-t’il confié l’affaire ? murmura-t’il
Elle soupira et haussa les épaules. Elle ne l’avait même pas demandé, cela lui importait peu. Depuis la première fois, la Térésa Lisbon qu’elle connaissait se sentait impuissante face à un tel monstre, et cette phrase qui tournait en elle : « Pourquoi avez-vous laissé faire ça ? » l’empêchait de respirer.
Jane l’attira près de lui comme s’il voulait que le contact entre eux fasse passer un peu de sa tristesse vers lui, et ils restèrent l’un près de l’autre alors que les heures de la nuit commençaient lentement à s’écouler.
Vous aurez la suite ce soir, promis !
Chapitre 2 (2ème partie): L'affaire
Tout avait commencé par un coup de fil du procureur. Le dossier avait été transmis à Lisbon qui l’avait brièvement exposé à son équipe. L’enquête semblait simple, sans complications, et ils avaient tous débuté les recherches, comme à leur habitude. Tout semblait indiquer que cette affaire serait résolue aussi rapidement et facilement que les autres, mais pendant la journée qui avait suivit l’appel, Jane avait senti, au fond de lui, un étrange sentiment s’éveiller. Le soupçon de quelque chose qu’il ne parvenait pas à identifier.
Sur les lieux du crime, ils n’avaient trouvé aucune trace, pas de suspect potentiel, pas de piste. Rapidement, l’enquête avait stagné, augmentant encore le sentiment de mal-être qui avait envahit le consultant.
Puis, le lendemain, ils avaient reçu un second coup de fil. Il n’en fallait pas plus à Jane pour savoir. Savoir qu’ils se trouvaient confronté à quelque chose de beaucoup plus grand que ce à quoi ils s’étaient préparés. Il sentait que ce n’était pas un simple crime. C’était le début d’une carrière, celle d’un meurtrier fantôme qui ne laissait derrière lui aucune trace.
Son soupçon fut confirmé le lendemain lorsqu’un troisième coup de fil résonna depuis le bureau de Minelli, faisant sursauter l’équipe qui avait souhaité, prié pour que ce jour soit un jour calme, sans bavure.
Les jours qui suivirent restèrent silencieux, pas d’appel, pas de courrier ni de mail, des jours qu’ils avaient utilisés pour tenter d’élucider cette affaire mais en vain. Quelques semaines plus tard, quatre appels avaient été passé, un par jour, ne faisant qu’aggraver l’humeur déjà accablante de l’équipe.
Sept meurtres avaient déjà été commis, et toujours aucun indice. Sur les lieux du crime, le meurtrier ne laissait rien au hasard. Pas d’empreinte, pas de traces de pas, pas d’ADN. Les victimes semblaient être choisies au hasard, aucun point commun entre les familles, elles étaient de classe et de rang social différent, ne fréquentaient pas les mêmes lieux, ne se connaissaient pas. La seule et unique chose qu’ils s’avaient, c’était qu’il s’agissait, à chaque fois, d’enfants. Des enfants, fille ou garçon, de tout âge, ayant deux points communs: les cheveux bruns et les yeux marrons.
C’était là, tout leur dossier. Ils n’avaient rien, absolument rien d’autre sur ce tueur et pour une fois, Jane se sentait réellement impuissant.
Ils avaient testés plusieurs pistes, mais à chaque fois, cela se révélait être des impasses.
Et puis, la veille, les choses s’étaient empirées.
Le téléphone de Lisbon avait sonné. Persuadée qu’il s’agissait encore du procureur, elle avait levé un regard anxieux vers son mari qui se trouvait en face d’elle dans son bureau. D’une main tremblante, redoutant d’entendre qu’un nouveau meurtre avait été commis, elle avait décroché et porté l’appareil à son oreille. Voyant le regard horrifié qu’elle affichait alors, Jane avait compris que quelqu’un d’autre était au bout de la ligne. Lisbon avait branché rapidement le haut parleur et déposé le téléphone sur son bureau. Une voix s’était élevée et s’exclamait : « Un enfant mourra dans un délai de trente minutes ». Le timbre de la voix était déformé, empêchant de déterminer s’il s’agissait d’un homme ou d’une femme. Le meurtrier avait répété : « Trente minutes » et avait raccroché.
Jane et Lisbon, après avoir échangé un regard, s’étaient précipités vers la cuisine du CBI, là où le reste de l’équipe discutait tout en mangeant.
Ils avaient utilisé toutes les astuces qu’ils connaissaient. Van Pelt avait réussi à localiser l’appel passé sur le portable de Lisbon, il partait d’une cabine téléphonique en ville. Ils avaient tous sauté dans leur voiture, roulant à tombeau ouvert vers le lieu identifié. Et là, debout au bord de la route, à proximité de la cabine, ils avaient regardé tout autour d’eux à la recherche d’un signe, d’un quelconque signe qui les mettrait sur la piste. C’est à cet instant que Jane avait commencé à utiliser son instinct. Il devait à John le Rouge le fait d’avoir développé de manière plus pointilleuse sa capacité à comprendre, mieux que quiconque, ce qui pouvait se passer dans la tête d’un tueur.
Ils les avaient guidés à travers les routes, sans savoir réellement comment ses pas le conduisaient vers tel ou tel endroit. Et ils avaient trouvés.
Une petite maison à l’avant de laquelle se trouvait un parterre de fleurs. Ils avaient trouvés, mais c’était déjà trop tard. Une fillette de cinq ans se trouvait allongée sur le sol de la cuisine, sa tête baignant dans son sang, ses yeux marrons les fixant, comme pour leur demander pourquoi ils n’étaient pas arrivés plus tôt. La demi-heure était passée de cinq secondes.
Jane savait que Lisbon aurait pu surmonter ce nouveau meurtre, le onzième, comme elle l’avait fait avec les autres, si seulement la mère n’avait pas surgit à cet instant.
Les hurlements qu’elle avait poussés, les larmes qui coulaient sur ses joues avaient touché la jeune femme plus qu’elle ne l’aurait voulu.
La mère s’était tournée vers eux et désespérée, leur avait crié : « Pourquoi avez-vous laissé faire ça ? » C’était suffisant. Cette simple petite phrase qui remettait tout en question avait pétrifié Lisbon sur place.
Un sentiment de haine avait grandit en elle, la haine dirigée contre ce meurtrier d’enfants et pour la première fois, elle eut l’envie de décharger son arme dans le mur situé en face d’elle.
Lisbon reprit brusquement sa respiration. Cette petite fille aurait du vivre. Cinq secondes, que représentait cinq secondes dans une vie ? La différence entre la vie et la mort.
La voix de Jane la sortie de ses pensées.
- Je suis certain que nous avons fait une erreur, nous avons négligé un détail.
Il secoua la tête, se leva et rejoignit Lisbon, sentant qu’elle avait besoin de sa présence.
Il s’assit à ses côtés et elle posa sa tête sur son épaule.
- A qui Minelli a-t’il confié l’affaire ? murmura-t’il
Elle soupira et haussa les épaules. Elle ne l’avait même pas demandé, cela lui importait peu. Depuis la première fois, la Térésa Lisbon qu’elle connaissait se sentait impuissante face à un tel monstre, et cette phrase qui tournait en elle : « Pourquoi avez-vous laissé faire ça ? » l’empêchait de respirer.
Jane l’attira près de lui comme s’il voulait que le contact entre eux fasse passer un peu de sa tristesse vers lui, et ils restèrent l’un près de l’autre alors que les heures de la nuit commençaient lentement à s’écouler.
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