Que serais-je sans toi? [Fini] ^

noulpif a écrit:Huum jle sens pas trop ce Edward...Sinon VLS

Hum... Ton intuition n'est pas mauvaise du tout !!!

T'es peut-être le nouveau mentalist XD

Ptitebreizh29 a écrit:

noulpif a écrit:Huum jle sens pas trop ce Edward...Sinon VLS

Hum... Ton intuition n'est pas mauvaise du tout !!!

T'es peut-être le nouveau mentalist XD

Hahaha qui sais :)

J'aime !
Ce Edward..Moi non plus jle sens pas !
not' Jane est Jaloux , c'est trop choux ! (quel rime..><')

V.L.S

Super ce chapitre !
Je l'aime vraiment pas ce Edward
Mais Jane jaloux c'est trop mimi !

Mais je crois que tu as fais une erreur :

Ptitebreizh29 a écrit:- Simon euh… Comment est-elle ? L’agent Lisbon ? Demanda Edward avec hésitation.

"Simon" ? Ce serait pas plutot "Sinon" ?
Mais c'est tout a fait compréhensible

VLS

Aurcoco a écrit:Super ce chapitre !
Je l'aime vraiment pas ce Edward
Mais Jane jaloux c'est trop mimi !

Mais je crois que tu as fais une erreur :

Ptitebreizh29 a écrit:- Simon euh… Comment est-elle ? L’agent Lisbon ? Demanda Edward avec hésitation.

"Simon" ? Ce serait pas plutot "Sinon" ?
Mais c'est tout a fait compréhensible

VLS

oui , c'est tout à fait compréhensible !

jenny3jjw a écrit:

Aurcoco a écrit:Super ce chapitre !
Je l'aime vraiment pas ce Edward
Mais Jane jaloux c'est trop mimi !

Mais je crois que tu as fais une erreur :

Ptitebreizh29 a écrit:- Simon euh… Comment est-elle ? L’agent Lisbon ? Demanda Edward avec hésitation.

"Simon" ? Ce serait pas plutot "Sinon" ?
Mais c'est tout a fait compréhensible

VLS

oui , c'est tout à fait compréhensible !

Merci de m'avoir fait remarqué ma faute de frappe !!!
Pardon !! Pardon !!!
Maudit clavier !!! XD

QG du CBI, Sacramento
Californie

Devant la porte de la salle d’observation, Wayne retient sa patronne qui s’apprêtait à y entrer :
- Patron, le labo a peut-être une piste, Andrea Olsen a été empoisonnée au phénol. Annonça Rigsby.
- C’est puissant pour tuer quelqu’un. Déclare-t-elle Nathan Campbell a un alibi ?
- Il dit qu’il était en train de servir des clients dans le restaurant « North Beach » de 20h30 jusqu’à la fermeture à 23h45 et qu’il est resté pour le ménage jusqu’à minuit.
- Dites à Van Pelt de vérifier cela.
- Tout de suite patron.

Rigsby s’en va en exécutant les ordres pendant que Teresa entre dans la pièce à la salle d’interrogatoire où Nathan était sur une chaise face à Cho et Jane assis sagement pendant que Lisbon observe derrière la vitre :
- Pourquoi vous avez essayé de vous enfuir Nathan ? Demanda calmement Kimball avec le regard glacial pointé sur l’étudiant.
- Je ne vois pas de quoi vous parlez ! Lui répondit Campbell en le regardant en train de le fusiller du regard.
- Andrea Olsen a été retrouvée morte hier matin dans la bibliothèque sur le campus, tu es au courant de ça, n’est-ce pas ?

Le regard de Nathan passe de l’angoisse à la tristesse ainsi qu’à la culpabilité sous les yeux noirs de l’inspecteur :
- Oui. Confirma-t-il d’une voix triste.
- Vous sortiez ensemble ? Demanda Jane.

L’étudiant soupira de colère, de culpabilité et de tristesse :
- Si vous voulez dire qu’on était sur le point de sortir ensemble oui !

Soudain, Cho fut surpris sans laisser une réaction physique de sa part face aux aveux de Nathan ; Jane lui montra la photo en complément avec la note du « Café des Anges » :
- Vous étiez ensemble ce soir-là ?
- Oui. Soupira-t-il avec nostalgie. C’était notre premier rendez-vous.
- Comment vous vous êtes rencontré ?
- C’est sa camarade chambre, Sarah qui nous a présenté… Sarah m’a dit après notre rencontre qu’Andrea lui a avoué que je n’en valais pas la peine et qu’elle n’avait aucune chance avec moi car je sortais déjà avec quelqu’un… Quand ma copine m’a largué pour aller à Harvard…
- Vous étiez perdu, totalement anéanti, déboussolé comme si le monde s’écroulait autour de vous. Lança Jane.
- Oui. Avoue Campbell avec surprise.
- C’est le schéma typique de ce que les hommes ressentent face à une rupture sentimentale. Répondit le consultant.

Le jeune garçon hocha la tête et continue son histoire ayant le blues :
- Andrea était généreuse, simple, patiente, à l’écoute, souriante, drôle que j’ai fini par tomber amoureux d’elle.
- Vous lui aviez fini par lui avouer ce que vous ressentiez pour elle puis votre histoire allait commencer. Pense Jane tout haut.

Il hocha la tête pendant que le consultant reste l’observer pendant que derrière la vitre, Lisbon suit attentivement l’interrogatoire et soupire après la phrase de son consultant :
- Oui. Dit le jeune étudiant avec culpabilité.
- Y avait-il des problèmes entre vous ? Demanda Kimball.
- Non.
- Vous mentez. Intervient Jane en souriant. Voir même. Vous cachez quelque chose ?
- Non ! Maintient l’étudiant.
- Ah bon ?... Vous pouvez réessayer mais avec plus de fermeté.

Nathan reste le regarder avant de regarder l’asiatique qui reste le fixer du regard sagement et avec méfiance puis Campbell soupira, sort son portable de la poche droite de son jean et se mit à appuyer sur les touches :
- Quelques heures avant notre rencard, j’ai reçu ce message.

Jane se penche en écoutant le message avec attention :
«P’tit gars, tu as mal choisis la fille qu’il te faut, tu vas faire la belle et grosse connerie de ta vie : Un conseil : Laisses tomber Andrea, elle n’est pas faite pour toi mais pour moi ! Que serais-je sans elle ? Que serais-je sans toi, Andrea ?»

A la fin du message, Cho et Lisbon froncent les sourcils ainsi que Jane qui réfléchit en même temps :
- Mmh… Intéressant ! Dit-il en haussant les épaules avec interrogation.
- Vous en avez parlé à la police ? Demanda Cho.
- Pff… Ca n’aurait servit à rien car ils auraient dit que ça serait une blague de quelqu’un du campus.

L’agent Cho et le beau blondinet se regardent avec interrogation :
- Vous n’en avez pas parlé à Andrea ? Demanda Jane.
- Non. Je ne voulais pas qu’elle s’inquiète ni qu’elle soit mêler à tout ça. Lui répondit Campbell avec une telle tristesse dans sa voix.
- Quel était son endroit préféré ? Demanda le consultant par curiosité.
- Le restaurant où on a eu lieu notre rencard mais elle préférait la bibliothèque. Avoue-t-il avec un léger sourire et nostalgique.

Patrick sourit en commençant à comprendre et avoir en même temps des doutes concernant l’affaire ; brutalement, il se lève :
- Merci ! Vous pouvez partir ! Exclama le consultant en se dirigeant vers la sortie.

Cho est surpris et perplexe à ce que Patrick vient de dire sous le regard de Teresa qui fronça les sourcils avec un regard noir, commençant à s’énerver après lui ; Cho se tourne vers la vitre en s’adressant à elle :
- Il peut partir ?
- Il peut partir ! Cria-t-elle afin qu’il puisse l’entendre.

Elle sort de la pièce en furie en allant voir Jane qui s’apprête à s’allonger sur le divan mais en voyant leur patronne arrivée furax vers le craquant blond aux yeux bleus sous les yeux de Rigsby et Van Pelt qui murmurent :
- Oh ! Attention ! Ca va barder.
- Qu’est-ce que Jane a encore fait pour foutre le patron en rogne ? Demanda Grace en fronçant les sourcils et en tapant sur son clavier.
- Ca, on ne va pas tarder à le savoir. Répondit Wayne en détournant le regard.

Ils préfèrent s’éloigner et rester au dehors de la querelle qui allait démarrer par Teresa qui se met en face de lui vraiment furax alors que le séduisant mentaliste sourit :
- Alors maintenant c’est vous qui dites aux témoins de partir ?

Le beau consultant se tourne vers elle avec un sourire béat et charmeur mais qui finit par disparaître en voyant le regard fusillant de sa patronne :
- Pardon.
- Nathan Campbell reste le suspect principal dans cette affaire.
- Il est innocent. Assez impulsif, naïf et émotif; mais innocent.
- Encore une de vos intuitions qui vous le dit.
- C’est bien pour ça que vous m’avez embauché non ? Demanda-t-il
- Une fois pour toute Jane, je vous ai embauché pour nous aider à résoudre des affaires et NON à décider si le témoin est suspect ou pas voir pire, de leur donner l’autorisation de partir ! Lui répond Lisbon en lui criant dessus.
- Mais avouez que si je n’étais pas là avec mon aide précieuse, vous seriez totalement perdue.
- Ah ! Vraiment ?
- Vraiment.

Ne supportant plus le sale caractère puis du son côté gamin puérile, égoïste et arrogant de son consultant; Lisbon s’enfuit et s’enferme dans son bureau à bout de nerfs.

La voyant partir, Patrick voit qu’il est allé trop loin et qu’il a contrarié Lisbon mais il le nit en le dissimulant derrière un sourire en regardant Rigsby et Van Pelt, ils lui font les yeux noirs lui disant qu’il a dépassé les bornes.

A SUIVRE...

Madame de La Fayette

Dans son bureau, toujours folle de rage contre le séduisant mentaliste qui n’en fait qu’à sa tête et qu’elle croit chaque fois qu’elle se retrouve face à son enfant, Teresa est devant son ordinateur en plein travail mais sent une présence au pas de la porte qui n’est d’autre qu’un joli visage d’ange, un beaux blond dont le regard intense bleu océan est pointé dans sa direction.

Elle sait que Jane est là mais ne prête aucune attention ce qui rend assez malheureux le consultant ; Lisbon jette un œil discret et noir dans sa direction en apercevant qu’il a le regard triste comme un enfant qui était mis au coin puis Patrick décide d’entamer la conservation avec douceur :
- Lisbon…
- Tiens ! Vous êtes là vous? Le regardant froidement et l’air sévère
- Vous êtes toujours fâchée contre moi ? demanda le mentaliste en entrant dans la pièce et ferme la porte derrière lui.
- A votre avis.
- Je suis vraiment désolé Lisbon. Se mettant en face d’elle, la regardant dans les yeux avec un air confus et triste.
- Non, c’est faux Jane ! A chaque fois c’est toujours la même excuse : «Je suis désolé, je le regrette, ça ne se reproduira plus» mais vous ne teniez jamais parole parce que vous ne prenez pas conscience qu’il y a des limites puis que je suis obligée de prendre des risques pour vous tout le temps.
- Là, je le pense vraiment Lisbon. Dit Jane malheureux.
- Je l’espère. Lui répondit sa patronne avec froideur.

Teresa lui un dernier regard noir avant de se toucher vers son ordinateur ; mais Patrick reste immobile, la fixant du regard ayant les mains dans les poches de sa veste pendant quelques secondes avec d’ouvrir la bouche :
- Je vous le promets que je me ferai pardonner.
- Vous voulez vous faire pardonner ? Tenez-vous à carreaux la prochaine fois. Dit-elle, le regard fusillant vers lui.
- Je n’aime pas vous voir triste et furieuse comme ça Lisbon.
- Tiens ! Vous jouez les psys maintenant ? Faites-en une thérapie tant que vous y êtes.
- Oui… Jouer un psychologue qui vous drogue ni vue et connue puis qu’on vous accuse de meurtre plus tard… Ce n’est pas de mon ressort. Dit-il

Il lui fait un clin d’œil en lui montrant son sourire charmeur que Teresa n’a pas pu s’empêcher de sourire à son tour en croisant ce sourire qui le rend si irrésistible même si elle préférait le nier, elle le pensait.

Il était impossible de résister au charme naturel de son consultant même s’il l’énervait, elle n’était pas insensible :
- Suis-je pardonné ? demanda Jane avec un sourire en sautillant sur ses talons.
- N’en faites pas trop non plus. Répond-t-elle en souriant en secouant la tête.

En la voyant sourire, Jane se sent plus heureux qu’il y a quelques secondes car il était malheureux parce que Lisbon l’était parce qu’elle était en colère après lui mais malgré que sa patronne va lui dire le contraire, il sait qu’il est pardonné.

Soudain alors que le consultant au regard envoûtant est en train de se diriger vers la porte, le téléphone sonne dans la pièce et Teresa décroche :
- Lisbon !
- Re-bonjour gent Lisbon ?! C’est Edward Thompson !
- Ah ! Re-bonjour.
- J’espère que je ne vous dérange pas?
- Non, pas du tout. Qu’est-ce que je peux faire pour vous Monsieur Thompson?

En entendant son nom et étant curieux par nature, Jane tourne les talons et reste au pas de la porte mais à cet instant, le consultant découvre quelque chose en regardant bizarrement sa jolie patronne, il éprouve bien plus fort que de l’amitié pour elle mais ne sait pas comment ça se fait ni comment l’expliquer ce sentiment qui est plus fort de l’amitié pour elle.

Pendant que Thompson discute au bout du fil avec Lisbon :
- Je voudrais savoir si, si vous avez avancé dans l’enquête ?
- On avance petit à petit mais on fait tout notre possible pour résoudre cette affaire au plus vite.
- Avec vous comme enquêtrice exemplaire, je n’ai aucun doute là-dessus.
- Je fais mon job. Dit-elle en souriant.
- Est-ce que je pourrais vous inviter à prendre un verre ce soir?

Lisbon fut surprise sur le coup en entendant cette invitation si directe et soudaine sous le regard de Jane qui voit sa patronne gênée :
- Euh… Monsieur Thompson.
- Appelez-moi Edward, je vous en prie.
- Si vous voulez… Euh… Je suis désolée mais je ne crois pas que ce soit une bonne idée.
- Pourquoi ? demanda-t-il étant perplexe. Excusez-moi de cette indiscrétion mais est-ce qu’il y a quelque chose entre vous et Monsieur Jane ?

Soudain, la jeune femme au regard émeraude reste bouche bée, mal à l’aise et commence à rougir ce qui n’échappe pas aux yeux du consultant qui sourit à moitié en devinant qui est au bout du fil :
- Euh… Non. C’est… c’est juste un collègue. Mais seulement qu’on est dans une affaire en cours et c’est contraire au règlement.
- D’accord. Je comprends. Ca ne fait rien. Répondit-il triste et assez déçu. Appelez-moi si vous changé d’avis.
- Aucun problème. Confirma la jolie brunette.
- Je ne vous dérange pas plus longtemps. Je vous souhaite une bonne fin de journée Agent Lisbon.
- Vous de même. Dit-elle.

Elle raccroche en se tournant vers le mentaliste en fronçant les sourcils alors qu’il reste la regarder bizarrement :
- Quoi ? demanda-t-elle
- Je suis juste un collègue ? demanda Jane en souriant et en haussant les épaules.
- Ne recommencez pas. Répond-t-elle en secouant la tête avec un sourire au coin des lèvres.

La porte s’ouvrit et Grace apparaît mais aperçoit avec gêne qu’elle a interrompu la discute entre le mentaliste et sa patronne :
- Oh ! Pardon, je peux repasser plus tard ?
- Non, Van Pelt ! Qu’est-ce qu’il y a ?
- Vous devriez venir voir. C’est important.

Le duo se regarde, Lisbon se lève de son fauteuil, passe devant Jane qui la laisse passe de façon très gentleman et rejoignent Wayne, Cho et Grace devant l’ordinateur de celle-ci :
- Jane avait raison. Avoua Rigsby.
- Ah ! Ca fait du bien d’entendre ça. Dit-il en souriant.
- Nathan Campbell a bien assuré le service au restaurant «North Beach» de 20h30 jusqu’à la fermeture à 23h45 puis qu’il a participé au ménage jusqu’à minuit environ. Poursuit Wayne
- On l’a relâché mais on l’a prévenu de rester dans le coin. Expliqua Cho.
- Mmh… Murmura Jane avec un air douteux et réfléchit.
- Quoi ? demanda Lisbon.
- Je crois qu’il va recommencer à tuer et j’ai comme un mauvais pressentiment que...
- Que… repris la jeune femme en fronçant les sourcils.
- Qu’il a déjà choisi sa prochaine cible, tout en l’observant, afin de mieux la connaître, et qu’il a une préférence niveau physique et professionnelle. Dit-il en la regardant d’un air triste et inquiet.
- Pour l’instant, on n’en sait rien, tout d’abord, on se concentre sur ce que l’on a.

Il ne répond pas, il reste la regarder pendant qu’elle se tourne vers son équipe :
- Sinon, Van Pelt, qu’est-ce qui y avait de si important ?
- J’ai envoyé le rapport d’autopsie de la victime au Shérif Fallin puis il m’a envoyé par mail quelques affaires non-résolues depuis environ 4 ans : En 2006, Vanessa Pears et Nicole Sullivan, ont été retrouvées mortes une dans un jardin botanique et l’autre sur une plage à San Diego, empoisonnée au phénol tenant une rose blanche entre les mains puis que leurs maris aient reçus un message la veille de la mort des 2 victimes.
- Et c’est le même genre de message qu’avait reçu Nathan Campbell la veille où Andrea Olsen est morte. Expliqua Rigsby en complétant le tableau.
- Et l’histoire se répète : Dana Lewis et Emma Samson, retrouvées mortes dans un restaurant et dans un cinéma en pleine air à Santa Cruz en 2007 ; Kerry Wallace et Julia Turner dans un parc et dans une boutique du centre commercial de Oakland en 2008 et l’an dernier, à Long Beach, Jennifer Cole et Mary Kingston dans une fête foraine et chez un fleuriste. Ajouta Grace.

Pendant la réunion, Jane observe attentivement en réfléchissant de ce que le tueur peut avoir en tête, quelles sont ces préférences et parvient à comprendre qui sera sa prochaine victime :
- D’après les dépositions des familles de chacune des victimes, il y a le schéma habituel : Toutes mortes dans l’endroit où elles fréquentaient le plus souvent, mortes avec une rose blanche dans la main et empoisonnées au phénol et un message du tueur adressé à leur petit copain. Poursuivit Rigsby.
- C’est un nouveau genre de tueur en série. Affirma Cho.
- Il choisit des femmes qui ont du caractère… Intervient Jane. De la persévérance, de l’amour pour leur travail… Elles sont assez autoritaires et têtues mais qui ont vécu des moments difficiles dans leur enfance, pour ça qu’elles font des métiers assez durs pour faire ressentir leur force de persuasion.
- Ok ! Mais quelle est le rapport entre toutes ces femmes? demanda Lisbon.
- Elles sont toutes brunes et, avec des yeux verts.

L’équipe observe les photos en fronçant les sourcils étant intrigués et réfléchis puis ils se tournent en fixant leur patronne et celle-ci se tourne vers Jane étant le regard inquiet en la regardant dans les yeux :
- Quoi ? Vous… Vous pensez qu’il va s’en prendre à moi ?
- Pas vous ? répond le mentaliste.
- Non, parce qu’on ignore le mobil du tueur et je vous signale que les brunes aux yeux verts, ce n’est pas ce qui manque en Californie.
- Oui.
- Patron, si jamais Jane dit vrai ? Demanda Rigsby avec inquiétude.
- Oui, qui dit que vous serez sa prochaine cible ? demanda Van Pelt.

Soudain, le portable du consultant sonne, il touche son costume et trouve son téléphone dans la poche gauche de son gilet :
- Il faut qu’on vous mettre sous protection au cas où. Expliqua Kimball.
- Oh ! Doucement ! Exclama leur supérieure. Pour l’instant, on fait notre travail.

Mais lorsque Teresa se tourne vers Patrick, elle aperçoit que le visage de son consultant est fiché, triste et inquiet à la fois ayant le regard fixé sur elle :
- Qu’est-ce qu’il y a ?

Patrick n’arrive pas à dire un mot qu’il fait écouter le message laissé sur son mobile à l’équipe mais pour lui, c’est la 2ème fois qu’il l’écoute et que ça le met dans tous ces états :
«P’tit gars, tu as mal choisis la fille qu’il te faut, tu vas faire la belle et grosse connerie de ta vie : Un conseil : Laisses tomber Teresa, elle n’est pas faite pour toi mais pour moi ! Que serais-je sans elle ? Que serais-je sans toi, Teresa ?»

Jane et Lisbon restent se regarder avec inquiétude sous les yeux de toute l’équipe qui se regarde étant inquiet et paniqué d’apprendre que la vie de Teresa est en jeu.

Owh , Pas touche a not' Lisbon !
J'aime trop tes chapitres & la cte ptit Edward jl'aimee pas !

V.L.S !

trop bien
Jane qui a comme d'habitude touours raison, et Lisbon en danger
ça va nous faire de super moments Jisbon tout ça

Le tueur ça serait pas Edward par hasard?

Ton histoire est vraiment bien !

Voilà, je viens de lier cette fic et je dois dire que je la trouve vraiment extra!! moi je dis que le tueur est le doyen de l'univ'!!

Oué pareil je pense aussi que c'est le doyen de l'université .

Merci pour tous vos messages super sympas !!
Ca me fait tellement plaisir que je vous livre la suite de la fic !!

Excellente lecture !!!
_______________________________________

Après ce moment de panique, toute l’équipe se rend le bureau de leur chef, l’agent Madeleine Hightower qui écoute le message dont Jane a reçu sur son portable :
- Vous avez pu localiser l’appel ? demanda Hightower
- Oui mais ça vient d’une cabine téléphonique à quelques pas de nos locaux. Répond Van Pelt
- Ce qui fait un bon nombre de suspects potentiels. Dit Cho.
- Vous avez pu en tirer quelque chose sur la voix ?
- La labo y travaille mais ça risque de prendre des jours. Avoue Rigsby.
- Bien sûr. Répondit Hightower assez septique et se tourna vers Lisbon. Je vais demander à un agent d’assurer votre protection agent Lisbon.
- Je n’en ai pas besoin Madame. Intervient la belle brune aux yeux verts en s’y opposant à la proposition de sa boss.

Tout le monde reste la regarder, surpris de l’entendre et toujours aussi paniqué à l’idée qu’elle est en danger ; sauf le craquant consultant qui reste calme et sourit face à la phrase de Teresa mais reste aussi inquiet pour sa vie :
- Agent Lisbon, vous devez prendre au sérieux cette menace. Lui dit Hightower sur un ton autoritaire.
- Mais elle a raison Madame, elle n’a pas besoin de protection. Intervient Jane en prenant la défense de Teresa.

La chef de l’unité est surprise suivit des 3 agents ainsi que Lisbon qui fronce en même temps les sourcils en se tournant vers lui :
- Tiens ! Vous prenez ma défense maintenant ? Demanda Teresa le regardant avec un sourire à moitié hypocrite.
- Oh ! Pas besoin, vous savez très bien vous défendre toute seule. Lui répond Jane.
- Et vous le savez depuis combien de temps dites-moi ?
- Depuis que je sais que vous avez 2,3 armes en réserve à portée de main. Répond Patrick en la regardant avec un sourire et un air malin.

Ses collègues et sa supérieure la regardent étant surprise d’entendre une telle vérité cachée sortant de la bouche du consultant :
- Non, c’est faux ! Intervient Lisbon.
- Menteuse ! Lui répond son consultant en haussant les épaules avec un léger sourire.

La jeune femme le regarde en fronçant les sourcils et le regard fusillant avec un sourire au coin des lèvres :
- Etant donné la situation, pour ne pas courir de risques, je vous mets à l’écart de l’affaire agent Lisbon puis je vais confier l’affaire au FBI. Annonça leur chef.
- Quoi ?! S’expriment Cho, Wayne et Grace avec surprise.
- Mais ils ne sont pas capables de faire leur boulot comme il faut ces idiots. Avoua Jane avec agacement.
- Jane ! cria Teresa avec le regard noir.
Jane croise le regard émeraude de Lisbon lui dictant de se taire mais il la regarde dans les yeux avouant d’être confus et inquiet pour elle :
- Madame, Jane a raison. Intervient Cho sous les yeux surpris et rieurs du consultant. Le FBI ne pourra pas résoudre cette affaire mieux que nous.
- C’est vrai puis on ne jettera pas l’éponge car l’agent Lisbon a besoin de notre aide. Poursuivit Rigsby.
- Et si on laisse le FBI s’en chargé à notre place, on laisse Lisbon se faire tuer et il n’est pas question que ça arrive. Ajouta Van Pelt.

Les 3 agents restent regarder la chef de leur unité froidement en maintenant leurs paroles ; Teresa surprise et touchée de voir ses collègues la défendre puis Jane fait paraître un sourire les voyant se comporter comme tel en sautillant sur ses talons.

Hightower reste les regarder chacun leur tour puis finit par céder :
- Bon, très bien ! Continuez à chercher le moindre indice qui peut nous conduire au meurtrier et dites au labo d’apporter des résultats le plus vite possible et que le temps presse !
- Oui Madame ! répondirent les agents en lâchant un sourire.
- Merci. Lâcha Lisbon à voix basse à ses collègues avec un sourire.

Ils hochèrent la tête avant de quitter le bureau :
- Agent Lisbon, rentrez chez vous ; je ne veux pas que vous prenez cette affaire trop à cœur.
- Bien Madame.

Teresa s’éloigne petit à petit sous les yeux de Jane qui la regarde avec ses yeux bleus azur sortir de la pièce ; il s’apprête à la suivre mais Hightower le retient :
- Jane !

Il tourne les talons et s’avance vers son bureau gardant ses mains dans les poches de sa veste :
- Lisbon a besoin de repos et ça lui fera le plus grand bien.
- Elle n’aura pas l’esprit tranquille tant que l’assassin sera en liberté et moi non plus. Lui répond Jane.
- Fin de la discussion Jane ! Lui dit Madeleine en le regardant froidement.

Elle reste regarder avec froideur et animosité le consultant jusqu’à ce qu’il est compris et quitte son bureau alors qu’elle est penchée sur ses rapports. Le consultant se dirige vers son divan en cuir marron, l’endroit où il passe le plus clair de son temps et se met à méditer en fixant le plafond pendant que Rigsby, Van Pelt et Cho continuent de bosser.

Plus tard, à l’appartement de Teresa, des bruits résonnent ainsi qu’une voix masculine très apaisante et douce :
- Lisbon !... Lisbon, c’est moi !

C’est Jane qui est devant le domicile de sa patronne mais personne ne répond, il refrappe à nouveau :
- Allez Lisbon ! Je sais que vous êtes là !

Mais toujours aucune réponse venant de sa chef, il tourne la poignée, découvre avec surprise que la porte est ouverte et pénètre de l’appartement :
- Lisbon ! Je me suis permis d’entrer vu que vous ne me répondiez pas.

Le consultant s’avance vers le salon et regarde autour de lui, le divan de cuir beige, les tableaux des anciens locataires de l’appart, l’étagère avec des livres et des CD dont celui des «Spice Girls», il acquit un sourire et se dirige vers la cuisine :
- Lisbon !... Hey oh ! Vous êtes là ?!... Lisbon.

Il s’approcha des lumières allumées dans la cuisine devant de plus en plus inquiet et angoissé :
- Lisbon…

Il croisa le visage d’Edward Thompson qui le met dans une transe de peur, de colère comme s’il avait croisé le visage de John Le Rouge auparavant puis Patrick rediffuse dans sa tête les souvenirs dans son passé…

FLASH BACK
L’escalier, le large couloir beige, la porte au fond du couloir, le message de John Le Rouge scotché sur cette porte :
«Cher Monsieur Jane, je n'aime pas être calomnié dans les médias, Surtout venant d'un charlatan mercantile et profiteur. Si vous étiez un vrai médium et non une petite larve crapuleuse, vous n'auriez pas besoin d'ouvrir cette porte pour voir ce que j'ai fait à votre jolie femme et à votre enfant.»
La porte qu’il ouvre, la découverte du smiley peint avec du sang sur le mur de sa chambre venant après des corps sans vies de sa femme et de sa fille.
FLASH BACK

Le consultant revient à lui, prend une grande inspiration en s’approchant de plus en plus de la pièce, il sent son sang se glacer et sentir la peur lui monter d’un cran ; tout à coup, il stoppa en découvrant avec frayeur, horreur et souffrance le corps de Teresa Lisbon étendue sur le sol avec ses yeux émeraudes ouverts, les mains sur la poitrine tenant une rose blanche :
- LISBON NON !... ESPECE D’ORDURE !

Il se dirige vers elle, s’allonge sur le sol en se mettant à la hauteur de son visage, pause sa main sur la joue de sa belle en fondant en larmes et la serrant contre lui :
- NON ! TERESA !
- Jane… dit une voix résonnant dans la pièce et tout près de lui.

Ohlalala !!! keske tu nous a fait ! jespere que tu nous arrange sa parce que moi je veux pas que Lisbon elle meurt ! !!

Bon je te laisse mettre la suite !!!

je suis sure que Jane est en train de rêver et que c'est Lisbon qui le reveil
j'aimerait bien savoir comment il va justifier qu'il hurle son nom en pleurant. :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:

Le fantome de Lisbon? :)
Je pense aussi ( enfin j'espere ) que c'est un rêve :)
VLS!

Pareil je pense aussi que c'est un rêve

Idem que tout le monde , je pense & j'espere !

V.L.S

Vivement la suite !

Houhouuu, vivement la suite....

Toujours aussi bien

Vivement la suite

Toujours pas de suite??????
J'espère que tu la postera ce soir, j'ai vraiment hâte de la lire et de savoir

Le consultant revient à lui, prend une grande inspiration en s’approchant de plus en plus de la pièce, il sent son sang se glacer et sentir la peur lui monter d’un cran ; tout à coup, il stoppa en découvrant avec frayeur, horreur et souffrance le corps de Teresa Lisbon étendue sur le sol avec ses yeux émeraudes ouverts, les mains sur la poitrine tenant une rose blanche :
- LISBON NON !... ESPECE D’ORDURE !

Il se dirige vers elle, s’allonge sur le sol en se mettant à la hauteur de son visage, pause sa main sur la joue de sa belle en fondant en larmes et la serrant contre lui :
- NON ! TERESA !
- Jane… dit une voix résonnant dans la pièce et tout près de lui.

…

En entendant son nom venant d’une voix familière, le beau blond sursauta de peur en sentant son cœur qui s’est accéléré en une seule seconde, regarde autour lui voyant qu’il est allongé sur le divan dans les locaux du CBI en entendant toujours cette voix près de lui l’appelé «Jane !», il se tourne et aperçoit Grace :
- Oui ! dit-il étant surprit.
- Je suis désolée, je ne savais pas s’il valait te réveiller ou pas.
- Je suis réveillé.

Il se redresse sur son canapé, et regarde autour de lui avec inquiétude cherchant la présence de sa patronne :
- Hey vieux ! Ca va ? demanda Rigsby le regardant bizarrement.
- Où est Lisbon ? demanda Jane avec inquiétude.
- Elle est entrée chez elle comme l’agent Hightower lui a demandé de faire. Dit Cho.
- Merde ! s’exclama le mentaliste en sautant de son lit et s’éloignant de son canapé.
- Quoi ?... Jane ! Qu’est-ce qui se passe ? demanda Van Pelt.
- Je sais qui est le mystérieux psychopathe. Cria Jane en se dirigeant vers l’ascenseur en courant.
- Attends-nous ! Cria Wayne.

Ses collègues prennent leurs manteaux et courent afin de le rattraper… Pendant ce temps, Teresa est assis sur le divan de cuir beige dans son salon en train de lire des rapports d’enquêtes puis soudain, elle entend quelqu’un frapper à sa porte.

Elle fronce les sourcils se demandant qui peut débarquer chez elle à 20h30, se lève de son canapé, s’avance vers l’entrée et ouvre la porte en tombant nez à nez avec un homme :
- Monsieur Thompson ! S’exprime-t-elle avec surprise.
- Bonsoir agent Lisbon. Lui répond poliment le principal. Je suis désolé de venir aussi tard, je vous ai dérangé ?
- Non. Ca va. Entrez si vous voulez.
- Merci.

Edward s’exécuta, la jeune femme ferme la porte derrière lui. Avec les sirènes qui retentissent sur le chemin du domicile de Lisbon, l’équipe dépasse les limitations de vitesse avec Wayne au volant, Cho et Grace à l’arrière puis Patrick sur le côté passager avant :
- Tu es bien sûr de ce que tu dis ? Demanda Rigsby qui conduit comme un malade.
- Oui, c’est évident que ce soit lui. Il a des pulsions, des désirs qui ne contrôlent pas. Lui répond Jane avec certitude.
- Pourquoi il prend un tel désir de tuer ces femmes ? demanda Van Pelt.
- Parce qu’elles lui font penser à quelqu’un dans la plupart des cas, sa mère ou sa femme. Répondit Cho.
- Sa femme. Dit Jane. Il l’a tué parce qu’elle l’avait trompé avec un autre homme puis il s’est trouvé dans une transe psychotique... Allez Lisbon ! Décrochez ! Décrochez ! En se tournant vers son mobile.

Pour l’instant, chez Teresa :
- Vous voulez quelque chose à boire ? Demanda l’agent Lisbon se dirigeant vers la cuisine.
- Euh… Non, merci. Je ne reste pas longtemps. Lui répondit.
- D’accord. Mais allez-y installez-vous.
- Merci.

Il s’exécuta pendant que la jeune femme se prépare un café en cuisine, elle entend son portable sonné puis elle décrocha :
- Lisbon.
- Lisbon !?! C’est moi.
- Jane ! Fichez-moi la paix.
- Ne raccrochez pas Lisbon ! Ecoutez, je sais qui a tué ces femmes !... Edward Thompson.
- Ah oui !?! Pour le prouver, il faut des preuves Jane ! Vous le savez très bien que…

Mais tout à coup, elle sent le bras de Thompson entouré son cou et la menace d’un flingue pris sur sa table :
- Raccrochez ce téléphone ! Lui demande le tueur en murmurant à son oreille.

Lisbon s’exécute doucement sans le provoquer et sans avoir le choix en tenant à rester envie en entendant la voix de son consultant paniqué jusqu’à ce qu’elle finit par raccrocher :
- Lisbon !... Lisbon !... LISBON ! crie Jane en raccrochant avec angoisse et colère. ET MERDE !

Van Pelt, Cho et Rigsby restent le regarder étant inquiet :
- Qu’est-ce qu’il y a ? demanda Grace en fronçant les sourcils avec inquiétude.
- Ce salopard est déjà chez elle ! S’exprime Jane dans une telle colère.
- Et merde ! Rigsby fonce ! cria Cho.

Puis soudain, Wayne se met à accélérer jusqu’à brûler toutes les règles de la sécurité de la route. Chez leur patronne, Thompson reste près de Teresa avec son arme posée sur sa nuque ; la jeune femme n’arrive plus à bouger ses membres tellement elle est angoissée à l’idée d’y penser que si elle bouge, ça peut lui être fatale :
- Venez, on va faire un tour. Lui souffle Edward en la guidant à tourner les talons et à avancer vers la porte.
- Où est-ce qu’on va ? Demanda Lisbon en avançant calmement
- A votre avis ! Lui répondit le psychopathe en murmurant à son oreille.

Elle réfléchit pendant un petit moment de l’endroit où elle l’emmène qu’ils s’avancent vers l’entrée puis elle comprend où elle l’emmène :
- Pourquoi vous faites ça ? Lui demande Teresa.
- Ah ! Vous voulez vraiment le savoir ?!... Bien. Quand j’ai appris que ma femme me trompait, ça m’a mis hors de moi. Je lui ai tout donné, je l’aimais comme un dingue.
- Donc vous l’avez tué. Conclue Lisbon sur un ton sec. Vous êtes vraiment un malade mental !
- Toutes ces femmes lui ressemblaient tellement : Patiente, généreuse, têtue, autoritaire parfois mais très simple, douce, calme… Comme vous. Je n’ai pas pu résister.

Il commence à lui caresser doucement les épaules et les cheveux mais elle tourne la tête avec dégoût et rage mais soudain, elle hurle de douleur quand Edward la tire par les cheveux en l’attirant vers lui :
- Mais il fallait que votre consultant se met à travers de mon chemin.
- Ce n’est PAS mon consultant ! affirme-t-elle.
- Ne faites pas l’innocente ! J’ai bien vu la façon dont il vous regardait et ça ne vous laisse pas indifférente. Lui répond Edward furax.

En même temps, il tire les cheveux de Teresa tellement fort qu’elle hurle puis sent des larmes coulées le long de ses joues puis sous l’excès de colère, elle lui file un coup de coude dans l’estomac que Thompson hurle de douleur en tirant au plafond.

Teresa court vers les escaliers, l’homme se relève et la rattrape en attrapant son pied qui l’a fait tombée et elle se cogne la tête contre une marche puis perd connaissance ; la SUV s’arrête devant l’appart de Lisbon, Jane sort du véhicule sans attendre ses collègues en courant :
- LISBON !
- Jane ! Attends ! Cria Rigsby en sortant de la voiture avec son arme à la main.

Ses collègues gainent leurs armes en suivant le consultant vers l’appart de Lisbon ; le psychopathe la prend dans ses bras, descend des escaliers et la pose sagement sur le sol ; il sort de la poche de son pantalon une aiguille injectée de phénol :
- Adieu ma belle ! lui murmure-t-il à l’oreille en caressant ses cheveux et sa blessure à la tête.

Mais au moment où il s’apprête à terminer son «travail», la porte s’ouvre et c’est un beau blondinet aux yeux bleus azur qui arrive à temps avec Grace, Kimball et Wayne qui pointent leurs armes dans la direction du coupable :
- Police ! Crient le trio. Lâchez la seringue et le flingue puis éloignez-vous d’elle !

Le consultant regarde le psychopathe avec froideur et colère comme pour lorsque l’équipe a capturé John Le Rouge et qu’il a regardé dans les yeux :
- N’aggravez pas votre cas ! Eloignez-vous de Lisbon et tout ira bien ! dit Jane en s’avançant vers lui gardant un œil sur Lisbon.

Edward le regarde froidement dans les yeux mais il se tourne vers Teresa et Jane comprend ce qui est en train d’arriver :
- NON !!!! Cria Jane en se précipitant vers sa patronne.

Tout à coup, des coups de feu retentissent et c’est le trou noir…