Ne me quitte pas... [Fini] ^

Ta fic est super ! surtout continue.

VLS VLS...

C'est super bien
J'ai vraiment hâte de savoir la suite !

CHAPITRE 4 : Témoignages :

Après avoir reprit son sang froid, le craquant mentaliste rejoint sa charmante patronne à l’intérieur du domicile des Wolf et pendant que Teresa interroge la fille de Matthew Wolf, Stella; Patrick est assis sur un fauteuil mou en cuir couleur écru en observant les jeunes femmes :
- Nous vous présentons toutes nos condoléances. Avoua Lisbon avec compassion.
La jeune fille hocha la tête en fondant en larmes :
- Quand avez-vous vu votre père pour la dernière fois ?
Stella commença à répondre après avoir repris son souffle afin de retenir ses larmes :
- Il y a samedi, la semaine dernière… On a passé la journée ensemble et je lui ai dis que, que je passerais le week-end à la maison. Demain, c’est son anniversaire.
Stella s’effondre en larmes pendant que le duo se regarde avec compassion et surprise :
- Vous travaillez en ce moment ?
- Non, j’ai trouvé un petit job au, au Musée d’art du comté. A Los Angeles pour, pouvoir payer mes études à l’Université. Répondit-elle.
- Et vous voulez étudiez quoi ? Demanda Jane.
- L’art de la Grèce antique. Répondit-elle en fronçant les sourcils. Pourquoi ?
- Oh ! Juste comme ça, je suis très curieux c’est tout. Répondit le consultant en haussant les épaules en souriant.
- Savez-vous si votre père avait des problèmes ces derniers temps ? Demanda Lisbon.
- Je n’en sais rien. Répondit la jeune fille en secouant la tête en même temps qu’elle essuyait ses larmes mais qui continuaient de couler. Mon père était très discret ; quand il s’agissait d’argent, il n’en parlait jamais à personne ni à moi.
- Votre père ne voulait pas que vous vous en mêliez et que vous vous en inquiétiez alors que vous l’avez tellement aidé après la mort de votre mère. Lança Jane.
- Sans doute, oui. Lui dit-elle en baissant les yeux.
- Alors, vous êtes au courant qu’il est fait de la prison. Pensa à voix haute le consultant en la regardant.
La jeune fille éplorée relève la tête avec le regard larmoyant en se tournant vers Jane qui reste l’observer suivit de Lisbon qui fait un regard interrogatif en haussant les sourcils :
- Oui. Avoue-t-elle en soupirant. Mais si vous pensez qu’il a eu des gestes violents envers moi, vous vous trompez. Mon père n’a jamais levé la main sur moi. Jamais. S’exprima-t-elle en défendant son opinion avec fermeté et une larme qui coule sur sa joue.

Lisbon et Jane se regardèrent en haussant les sourcils et faisant la moue d’appréhension :
- Où étiez-vous hier soir ? Poursuivit Teresa.
- … Chez ma meilleure amie. On faisait une soirée télé pendant que ses parents n’étaient pas là. Dit-elle en reniflant afin de retenir ses sanglots.
- Comment s’appelle-t-elle ?
- Camille, Camille Sisley. Elle a trouvé un stage comme apprenti styliste pour « Allure magazine ».
- Il nous faut son numéro de téléphone pour pouvoir lui parler afin de confirmer ce que vous nous avez dit. Exigea la jeune chef de l’unité du CBI en tendant son bloc-notes.
La jeune fille hocha la tête et note ce que Teresa a demandé, à la fin, elle redonne le calepin à la jolie brunette :
- Merci. Remercia Lisbon en reprenant son calepin.
Soudain, la porte du domicile s’ouvre suivit d’une voix masculine qui résonne dans la maison « Stella ! », la jeune fille sursaute brusquement du divan en entendant son nom en voyant apparaître un homme de corpulence moyenne, cheveux châtains clairs, regard couleur sombre noir, à peine environ 25 ans. Lisbon se tournent vers lui ainsi que Jane qui se lève du fauteuil :
- Ah ! Jeffrey ! S’exclama-t-elle en s’avançant vers lui.
- J’ai pris ce qui s’est passé, toutes mes condoléances. S’exprime-t-il avec compassion et d’appréhension.
Ils se serrent dans les bras l’un de l’autre sous le regard observateur de Jane qui fait un sourire malicieux rayonne sur son visage d’ange et les jeunes gens se tournent vers le duo :
- Euh… Ces deux personnes sont du CBI. Ils enquêtent sur ce qui est arrivés à mon père. Expliqua Stella en s’écartant de lui afin de se mettre à côté de lui.
- Bonjour, Jeffrey Anderson. J’étais l’assistant du père de Stella et un ami de la famille. Se présenta-t-il en serrant la main de Lisbon et Jane.
- S’il vous plaît, retrouvez le meurtrier de mon père. Supplia la jeune fille en versant une larme.
- On va essayer de faire de notre mieux Stella. Promet Lisbon en s’éloignant d’eux. Nous vous appellerons dès qu’on a du nouveau.
- Au revoir. Répondit le consultant en souriant et en suivant sa patronne.
Lorsque le duo s’en va, la jeune fille se pelotonne dans les bras du jeune homme en sanglots ; en se dirigeant vers la SUV, Lisbon se tourne vers Jane :
- Vous en pensez quoi ?
- Elle dit la vérité ; elle est bien trop sensible et n’a pas assez de crans pour tuer quelqu’un de sang froid. Par contre, c’est une bonne menteuse.
- Comment ça ? Demanda-t-elle étant septique et avec interrogation dans ses yeux.
- Vous avez vu la façon dont Jeffrey et elle s’embrassent !?! Je pense qu’ils sont amants contre le désaccord de papa qui le soupçonne de quelque chose, de quoi ? Je n’en sais rien. Pensa le consultant.
- Peut-être que la meilleure amie nous en dira plus ?! Supposa Lisbon. Je vais demander à Rigsby d’aller lui parler. Ajouta-t-elle.
- Je vais avec lui. Dit-il avec enthousiasme.
- D’accord.

Environ deux heures ont passé, dans les locaux de « Allure Magazine », Wayne et Patrick entrent les bureaux d’un des plus grands magazines de mode féminine du pays ; ils traversèrent les bureaux avec la réceptionniste ; jolie rousse d’à peine 25 ans, yeux bleus, silhouette longiligne et élégante qui les guide.
En chemin, un groupe de 4 filles mesurant entre 1 m 69 et 1 m 77 d’âgés entre 19 et 26 ans environ arrivent au niveau des deux hommes, elles leur lancent un regard sauvage et un sourire ravageur plus sur Patrick que sur Wayne qui ceux-ci leur adressent un sourire chaleureux :
- Bonjour ! Dit sagement Wayne.
- Salut mesdemoiselles ! Lança l’irrésistible mentaliste avec un air aussi charmeur qu’amusé et un sourire espiègle.
- Salut ! Salut beau gosse ! Lui répondirent-elles en chœur.
Le jeu de la séduction l’amuse tellement qu’il se met à rire lorsque la meute de mannequins s’éloigne en murmurant « Ouah ! Il est sexy », « il est trop mignon ! » en plus d’un rire ; Rigsby s’étouffe de rire en regardant les jeunes femmes avant de se tourner vers son ami.
Puis, ils arrivent dans une réserve où des rafales de vêtements sont accrochées aux cintres :
- Elle est là-bas. Dit la jeune réceptionniste en pointant avec son index la jeune Camille.
- Ok. Merci. Lui répondit Rigsby.
Les deux hommes s’approchèrent d’une jeune fille de 18 ans à peine de corpulence moyenne, cheveux couleur auburn, chignon vite fait, yeux noisettes cachées derrière des lunettes de vue carrés noires, vêtue d’un chemisier de cachemire blanc, jean foncé taille basse et escarpins vernis couleur turquoise qui étaient en train de faire des retouches à la main sur une longue robe satin chic de couleur sombre :
- Camille Sisley !?!
La jeune fille relève la tête et se tourne vers eux en hochant la tête.
- Bonjour. Agent Rigsby du Bureau Californien d’Investigation et voici Monsieur Jane. S’exprima Wayne.
- Bonjour. Dit Jane.
- Bonjour, vous êtes là pour découvrir ce qui est arrivé au père de Stella ? Demanda-t-elle.
- C’est exact. Confirma le jeune flic.
- Je n’arrive pas à oublier ce que j’ai vu comme si je sortais d’un mauvais film… Pauvre Stella, c’est trop horrible ce qui lui arrive. Avoua Camille avec compassion et tristesse.
- Nous souhaitons vous poser quelques questions si vous voulez bien.
- Euh… Oui, suivez-moi. Dit-elle en stoppant son travail.

Tous les trois se retrouvèrent dans un espace détente de la réserve qui est assez lumineuse avec des couleurs flashy étant assis sur des fauteuils de cuir blanc pure :
- Stella nous a affirmé que vous et elle aviez passé la soirée ensemble. Rapporta Jane.
- Oui. On faisait une soirée télé et on mangeait des pots de glaces ; mes parents étaient à la fête chez des voisins qui fêtaient leurs 15 ans de mariage. Et on s’est couché à environ 2h du matin, mes parents pourront vous le dire d’eux-mêmes. Confirma la jeune fille.
- On le fera mademoiselle. Avoua Wayne en prenant des notes.
- Ne dites-pas que vous la soupçonné d’avoir tué son père ? Demanda-t-elle en paniquant et étant horrifiée.
- Non, mademoiselle Sisley ; on essaye juste de faire avancer l’enquête. Explique Rigsby.
- Stella aimait son père plus que tout au monde. Ils ont toujours été là l’un pour l’autre pour s’entraider depuis la mort de sa mère. S’exprima Camille avec tant de sincérité et de franchise.
- Vous voyiez Matthew Wolf plus que sa fille, n’est-ce pas ? Vous devez sans doute savoir s’il avait des ennuis ? Supposa le consultant.
- Monsieur Wolf était très discret. Mais…
- Mais ? Répéta Jane en insistant qu’elle continue sa phrase.
- Récemment, j’ai entendu une dispute entre lui et Alexandra Charlton à propos des photos des mannequins que Monsieur Wolf avaient pris; il était très furieux car je l’ai entendu dire que madame Charlton avait engagé un autre photographe pour le prochain numéro du magazine. Poursuit-elle assez gênée.
- Qui est Alexandra Charlton ? Demanda le grand costaud Rigsby.
- Alexandra Charlton est la rédactrice en chef de « Allure Magazine ».
- Le nom de ce photographe qu’elle a engagé, vous savez qui c’est ? Questionna Wayne en prenant note.
- Je… Je préfère de ne pas le dire. Avoua-t-elle extrêmement embarrassée en baissant son regard.
- Jeffrey Anderson ? Supposa tout haut le consultant.

Surprise, Camille se tourne vers lui, bouche bée, les yeux écarquillés en le regardant dans les yeux jusqu’à ce qu’elle baisse la tête en soupirant avec tristesse :
- Oui. Avoua-t-elle dans un souffle.

A SUIVRE...

Yaa , super chapitre !

V.L.S ___ Breizii ! :)

PounchKimball a écrit:Yaa , super chapitre !

V.L.S ___ Breizii ! :)

+1 VLS

waw cest trop super ta fic vivement la SUITE!

Intéressant comme chapitre ...
Elle est super ta fic' Breizhette !
VLS !!!

CHAPITRE 5 : Le cœur de Lisbon brisé par Jane :

Plus tard, le soleil est sur le point de tirer sa révérence en laissant place à la lune blonde avec un ciel qui scintille avec les centaines d’étoiles ; Patrick est assis sur le divan ayant le regard dans le vide et l’esprit à l’ouest mais arrive à écouter ses collègues :
- Les parents de Camille Sisley confirment ce que leur fille a dit ; elle et la fille de la victime ont bien passé la soirée ensemble et à 2h du matin, Stella Wolf et leur fille se sont endormis sur le canapé du salon. Rapporta Cho en s’asseyant sur une chaise et en prenant une part de pizza.
- Le médecin légiste affirme que le meurtre a eu lieu ce soir-là à environ 22h30. Informa Rigsby entre 2 bouchées de pizza.
- Pour moi, c’est la fille de la victime, pour défendre la cause de Jeffrey Anderson et elle menace son amie d'inventer l’histoire de la soirée afin de se créer un alibi. Pensa l’asiatique avant de manger sa pizza.
- Impossible. La fille est trop émotive, une bonne menteuse mais n’a pas assez de cran pour tuer quelqu’un de sang froid; Ce n’est pas elle qui l’a tué. Dit Jane sûr de lui.
- Il faudra qu’on interroge à l’assistant de Wolf et cette Alexandra Charlton au plus vite. Proposa Cho.
- Aux dernières nouvelles, Alexandra Charlton, la rédactrice en chef du magazine est à Londres pour la semaine de la mode, elle ne sera en Californie que demain après-midi. Annonça Rigsby.
- Génial ! S’exprima l’asiatique avec ironie.
- J’ai jeté un œil aux comptes en banque de Matthew Wolf. Intervient Van Pelt en tapant sur les touches du clavier de son ordi. Jusqu’à il y a quatre mois, il ne restait presque plus un sou sur ses comptes et aujourd’hui, il a plus de 200.000dollars. Annonça-t-elle en regardant l’écran de son ordi.
- Joli salaire, je me suis trompé de job, on dirait. Répliqua Kimball avec un air plaisantin.
- D’où ça peut provenir tout cet argent ? Demanda Grace avec interrogation.
- A ton avis, Jane, ça peut venir d’où ? Demanda Rigsby en se tournant vers lui.
- Je n’en sais rien, je ne suis pas banquier. Avoua-t-il. Où est Lisbon ?
- Elle est sortie, je crois. Répondit la jolie rousse en fronçant les sourcils.
D’un bond brusque, Jane se leva de son canapé et s’éloigne de l’équipe dont le trio le regarda avec un regard interrogatif :
- Hey ! Où tu vas ? Demanda Cho.
- Boire un verre. Répondit le consultant sans se retourner et en quittant les locaux.
Les trois collègues se regardèrent après que le craquant blondinet ait disparu de leur champ de vision :
- Mettez le pognon sur la table. Déclara Kimball en souriant.
- Pourquoi ? Demandèrent Rigsby et Van Pelt en même temps.
- Il va le faire. Répondit-il sûr de lui.
- Ca, tu n’en sais rien. Avoua Grace.
- Ca, c’est vrai. Il faut le voir pour le croire. Affirma Wayne en souriant.

Dans un bar restaurant assez sobre de Sacramento, après avoir ajouté une légère touche de maquillage sur ses paupières ainsi que ses lèvres, Lisbon est assise à une table en face de son compagnon David où ils bavardent autour d’un verre mais elle est assez silencieuse ce qui n’échappe pas à Princeton :
- Ca va ? Demanda-t-il étant inquiet.
- Euh… Oui. Dit-elle étant embarrassée. Pourquoi tu me demandes ça ? Demanda Lisbon avec un rire nerveux.
- Tu m’as l’air tendu. Avoua David.
- A propos de l’enquête en cours. Dit la belle brunette sans hésitation.
- Ouah ! Réponse simple et rapide. Remarqua son amant étant surpris.
- C’était une échappatoire à ta question. Répondit Lisbon avant de prendre une gorgée de whisky.
- Ah ! A propos de ton consultant qui nous a surpris ce matin ? Pensa-t-il tout haut.
- Ce n’est pas mon consultant. Lança la sublime brunette avec fermeté.
- Ca me rend triste d’entendre ça. Résonna une voix masculine près d’elle.
Les amants relèvent la tête, Teresa croise le regard limpide et brûlant de Patrick placé devant elle avec une bière à la main :
- Jane ! S’exclama-t-elle ayant les yeux écarquillés. Qu’est-ce que vous fichiez ici ? murmura-t-elle avec le regard noir.
- Euh… Je faisais une dégustation de cette bière que m’a proposée le barman. Mentit le mentaliste en mettant sa bière devant lui. Elle n’est pas mauvaise. Enchaîna-t-il.
Teresa et David se regardèrent étant assez embarrassés et se lancent un souffle d’exaspération, puis le consultant se tourne vers l’inspecteur Princeton :
- Ah ! Walter. Ravi de vous revoir. Dit-il en lui serrant la main sans enthousiasme avec un sourire forcé.
- David ! Précisa Princeton le regard sévère et de façon ironique en lui serrant la main.
- Oh ! Excusez-moi, je peux m’asseoir ? Merci.

Sans que l’un ou l’autre n’ouvre la bouche, Patrick s’est déjà installé à leur table en lançant un sourire béat à sa patronne qui le regarde sévèrement :
- Je vous ai confondu avec Walter Mashburn, le millionnaire qui avait un faible pour Lisbon mais elle ne sait pas laisser faire. Avoua Jane en haussant les sourcils.
- Jane, ça suffit ! Intervient la jeune femme en colère et le regard noir vers son consultant.
- Un millionnaire a tenté de te séduire !?! Exclama David étonné en se tournant vers elle.
- J’avoue que moi-même j’étais surpris de voir que Lisbon a repoussé ses avances ; alors que c’est une femme tout à fait séduisante. Avoua le consultant sans indifférence avec un large sourire destiné à sa patronne.
Surprise par sa remarque assez déplacée et embarrassante, Teresa lui fait les yeux noirs mais sentit ses joues virées au rouge qu’elle baisse aussitôt les yeux avec un sourire timide ce qui ne laisse certainement pas indifférent le séduisant blondinet qui adorait la mettre dans des situations assez gênantes pour la taquiner.
Il resta un long moment la regarder rougir intensément avant de se tourner vers David qui reste observer la scène avec les yeux noirs :
- Alors, combien de temps vous sortez ensemble ? 2 semaines ? 3 semaines ? Supposa le consultant en l’observant.
- 1 mois. Répondit son interlocuteur avec un ton ironique. Pourquoi ?
- Ah ! Pour savoir. Votre relation n’est pas sérieuse et elle est totalement dans une impasse. Avoua Jane.
- Excusez-moi ? Demanda David en fronçant les sourcils.
- Jane, arrêtez ! Intervient Lisbon en murmurant avec un ton colérique.
- Qu’est-ce que vous en savez ?
- Je sais que vous êtes un homme ambitieux, assez coriace, calme mais trop exigeant, égoïste, puérile et immature… Vous êtes un accro de films policier, d’horreur et pornographiques. Et Lisbon n’est pas votre type de femmes.
La jeune femme regarde son « futur ex-compagnon » avec étonnement en fronçant les sourcils restant bouche bée ; en croisant son regard, David est gêné et essaye de se défendre :
- Euh… Tout cela est totalement faux !
- Hum… Pour votre type de femmes, je pencherais pour les blondes sportives, assez malignes et borderliques car les femmes borderliques sont très douées au lit.
Teresa haussa les sourcils d’un air étonné et contrarié voir furieuse :
- Mais attends, tu ne vas pas croire ce qu’il dit ? Demanda David assez nerveux.
N’arrivant pas à dire un mot, Lisbon secoua la tête et s’apprête à se lever mais David la retient en l’attrapant par le bras :
- Teresa.

Mais soudain, la jeune femme riposte et lui donne un grand coup de poing dans la figure de David qui tombe sur le sol sous les yeux de l’irrésistible consultant qui s’est légèrement éloigné et sous le regard stupéfait de la foule :
- T’es vraiment qu’un pauvre type. S’exprima-t-elle en colère en versant une larme.
Son regard de colère et larmoyant se dirige vers le visage de Patrick qui change d’humeur quand le beau blond croise le regard de la belle brune :
- Vous êtes content de vous maintenant ? Demanda la jeune femme furax. Vous êtes sûr de savoir tout sur tout, Jane alors que vous ne savez même pas du mal que vous faites aux personnes qui vous entourent avec votre puérilité et votre égoïsme ! J’en ai vraiment marre de vous Jane ! Poursuivit-elle à deux doigts de verser une larme.
Lisbon s’éloigna de lui en larmes tellement en colère sans que Jane ne réponde à sa question puis il fait demi-tour lorsqu’elle marche vers la sortie du restau :
- Lisbon ! Supplia le mentaliste avec tristesse enfouie.
Celle-ci ne se retourna pas et disparaît du champ de vision du blondinet qui passe sa main de ses cheveux en s’en voulant d’afin agit ainsi et savant dès à présent qu’elle ne lui répondra pas au téléphone s’il essaye de la joindre.

A SUIVRE...

Eh bah il n'y est pas allé de main morte Jane Il a démonté le David sur place

Lisbon est furieuse contre lui, mais au moins elle n'est plus avec l'autre crétin


VLS

J'adore ce que tu écris . Ta fanfic est trop géniale !

VLS!!!!!!!!!!!

Trop bien!
VLS

Yeaaah , MAGNiFiQUE ma Breiizi !
Héhé , David = capoute !
Gomeiije !

V.L.S

CHAPITRE 6 : Les confidences de Jane :

Le lendemain matin, au allant tour de 11h, Jane arrive en retard dans les locaux ; lorsqu’il est sur le point de rejoindre le divan, il s’arrêta net devant le bureau de sa patronne où celle-ci s’est enfermée afin de rester seule.
Plus le consultant l’observait, plus c’était douloureux donc il poursuivit son chemin vers le canapé où il parvient à s’allonger et à fixer le plafond après avoir posé sa veste sur une chaise et retrousser les manches de sa chemise froissée.
Soudain, deux têtes masculines se penchent vers lui, Patrick se tourne en croisant le regard noir de Rigsby et Cho :
- Oh ! Salut les gars ! Salua-t-il.
- Qu’est-ce que tu as encore fait ? Demanda Wayne froidement.
- Rien, je vous ai juste dit « Bonjour », c’est tout. Par amabilité. Répondit le consultant.
- On ne t’a pas demandé ce que tu viens de faire mais ce que tu AS fais. Précisa l’asiatique.
- De quoi vous parlez ? Demanda-t-il en dissimulant son mensonge.
- Arrête de nous prendre des imbéciles Jane. Nous savons que t’es pour quelque chose avec le comportement de Lisbon. Répondit le grand costaud Rigsby.
- Il a raison. Répliqua Kimball en défendant l’opinion de son collègue. Depuis son arrivée, Lisbon est furieuse, fatiguée, tellement hors d’elle, qu’elle s’est enfermée dans son bureau ; donc t’y es sûrement pour quelque chose. Poursuivit-il.
Le beau blondinet au regard de braise reste regarder un long moment Kimball et Wayne avant de voir que Grace l’observe depuis son bureau avec le regard noir ; il recroise le regard noir de ses collègues, il baisse les yeux en se mettant en position assise sur le canapé avec un soupir :
- J’ai mis fin à sa relation avec l’inspecteur Princeton. Avoua-t-il étant triste et confus.
Ses trois collègues lèvent leurs yeux au ciel avec un soupir d’exaspération :
- Oh ! Ce n’est pas vrai ! S’exclama Wayne.
- Mais, Jane, de quoi tu te mêles de la vie personnelle du patron ? Demanda Grace sur un ton ferme.
- Tu n’as pas à te hisser dans la vie privée des autres comme ça surtout quand il s’agit de celle de Lisbon ! Ca ne se fait pas ! Intervient Cho.
- Je sais, oui mais croyez-moi les gars, je le regrette mais je vous le promets que c’est la dernière fois. Promet le consultant.
- Pff… Tu dis ça à chaque fois après tes frasques mais tu recommences après sur une enquête. Affirma Rigsby.
- Je suis muté à Sydney. Lança le consultant aux yeux couleur océan avec tristesse et dégoût.

Tout à coup, le visage du trio passe en mode étonnement et choque : bouche bée, les yeux écarquillés en restant immobiles avec le regard posé sur Patrick :
- Non, mais… Mais attends ! C’est sérieux ce que tu dis ? Demanda l’asiatique.
- Je me doutais que vous ne me croiriez pas si je vous le disais.
Le craquant blond aux yeux bleus limpide et au sourire ravageur sort d’une des poches de son gilet, une enveloppe pliée en deux, la tend à Cho qui la prend, l’ouvre, déplie la feuille pliée en trois et partage la lecture de la lettre avec Rigsby et Van Pelt.
Jane se lève du divan et s’écarte de ses collègues durant leur lecture jusqu’à ce qu’ils lèvent les yeux sur lui étant choqués par ce qu’ils viennent de lire :
- Ce n’est pas vrai ! Réagit Grace horrifiée.
- Pour ça que Hightower voulait te parler. Constate Cho.
- Pourquoi tu n’en as pas parlé avant ? Demanda Rigsby.
- J’aurai dû vous en parler avant mais je, je voulais le dire au bon moment. Répondit Jane. Je, je n’ai encore décidé de quand je partirais.
- Avant que tu ne la prennes, en parles d’abord à Lisbon. Suggère Wayne.
- Rigsby a raison, il faut que tu la mettes au courant. Intervient Kimball.
- Non ! Dupliqua le consultant. Non. Je, je ne veux pas qu’elle le sache. Dit-il assez gêné et parlant dans le vide.
- Pourquoi ? Demanda la jolie rousse.
- Sans doute parce que l’agent Hightower lui en informera avant que je le lui annonce. Pensa le consultant ayant le regard vide sans certitude.
- Même si l’agent Hightower lui informe de ta mutation comme tu le dis, il serait préférable que ça vienne de toi. Expliqua Van Pelt.
Patrick braque son regard sur la jeune recrue ainsi que sur Rigsby et Cho ayant le regard insistant et persuasif lui indiquant de jouer franc-jeu avec sa patronne ; d’un geste brusque, il se met à marcher en direction du bureau de Teresa sous le regard stupéfait de ses collègues. Dans le bureau, Lisbon s’est enfermée depuis son arrivée dans les locaux, ayant son regard posé sur l’écran de son ordinateur sans avoir aucun intérêt ; la porte de son bureau s’ouvre, la jeune femme se retourne et vit dans son regard émeraude et sombre, le visage d’ange mais triste de son consultant qui entre dans la pièce fermant la porte derrière lui.

Teresa détourna les yeux de son écran et se tourne vers Patrick qui reste l’observer, étant immobile avec le regard vide et confus :
- N’essayez même pas ! Je ne suis toujours en colère contre vous ! Avoua-t-elle.
Elle se lève de son fauteuil, se dirige vers la porte mais au même moment où elle s’apprêtait à l’ouvrir, Jane la retient en attrapant sa main qui oblige sa sublime patronne à se tourner vers lui mais cette dernière ne se laisse pas faire :
- Foutez-moi la paix Jane ! Imposa-t-elle en essayant de dégager sa main.
- Lisbon, regardez-moi ! … Regardez-moi. Supplia-t-il
La magnifique brunette au regard émeraude lève les yeux au ciel avec un soupir d’exaspération et s’exécuta ; soudain, une vague de frisson parcourt le long de son dos comme une décharge électrique quand son irrésistible consultant plonge son regard limpide et intense dans le sien pendant un long moment de silence et n’étant qu’à quelques centimètres l’un de l’autre, chacun sentit son cœur battre la chamade :
- Je suis désolé. Dit le mentaliste avec compassion. Je suis désolé de vous avoir fait du mal, et croyez-moi je le regrette. Je ne veux pas que vous soyez malheureuse par un homme qui vous manipule et qui vous fait souffrir.
- Vous n’aviez pas à vous mêler quand même Jane ! Intervient la jeune femme.
- Je vous ai dit que je serais toujours à vos côtés Lisbon quoi qu’il puisse arriver. J’ai agit pour votre bien, pour vous protéger. Avoue le beau blond en la regardant dans les yeux.
- Je n’ai pas besoin que vous me protégiez ni que vous interveniez dans mes choix.
- Je sais mais je l’ai fait en, en tant qu’ami. Réagit Jane avec hésitation disant le mot « ami ».
Subitement, Teresa reste bouche bée d’entendre cette phrase totalement inattendue venant de son consultant qui reste la regarder intensément :
- Excuses acceptées à condition de ne plus recommencer. Annonça Lisbon avec le regard insistant.
Tout à coup, son cœur s’accélère de plus en plus quand elle aperçoit le craquant blond au regard envoûtant et au sourire charmeur se rapprocha de plus en plus d’elle ; Lisbon est à deux doigts de rougir quand Jane pose sa main sur sa joue lorsqu’elle resta immobile, tétanisée en plongeant son regard dans le sien.
Patrick déposa un doux baiser sur la joue de sa patronne :
- Merci. Murmura-t-il à son oreille avec tendresse.
La jeune femme sentit des frissons parcourir le long de son corps, les mains qui commencent à trembler comme si elle était une alcoolique, son cœur qui bat croyant qu’elle allait faire un infarctus enfin, le rouge qui lui monte aux joues ; elle est tellement mal à l’aise qu’elle baisse les yeux en tournant les talons et sort de son bureau.

Son consultant la regarde s’éloigner de lui avec un sourire béat, il adore la voir rougir car il trouvait que ça la rendait plus craquante et la suit jusqu’à l’équipe :
- Patron, ça y est vous êtes au courant ? Demande Cho.
- Je suis au courant de quoi ? Questionna la chef de l’unité avec le regard interrogatif.
Tout à coup, Cho, Rigsby et Van Pelt jettent discrètement un œil surpris, noir et exaspéré vers Jane qui tourne la tête au levant son regard au ciel afin d’éviter le regard de ses collègues qui se tournent vers leur patronne.
- Rien. Répondit l’asiatique.
- Cho, Van Pelt. Allez interroger Alexandra Charlton et demandez-lui des explications sur sa dispute avec la victime. Rigsby, allez avec eux et interroger les mannequins que Matthew Wolf photographiait le plus souvent. Exigea la belle brunette.
- Oui, patron ! Répondirent le trio en s’en allant.
- Vous et moi, on va dire deux mots à Jeffrey Anderson. Dit-elle en se tournant vers Jane.
- Allons-y. Dit-il avec un grand sourire.
Le séduisant blond fait signe à la sublime brune de passer devant, celle-ci s’exécuta puis il la suit derrière d’un pas élancé.

A SUIVRE...

La scène dans le bureau

VLS

La scène entre Jane et Lisbon ...

Quand va t-il lui annoncer sa mutation ?

VLS

Owoh , BREiiZZii !
C'est croo beau jane & Lisbonette ♥
A quand l'annonce ?? ^^


V.L.S

A « Allure Magazine », Cho et Van Pelt arrive au magazine où tout le monde bouge à droite à gauche en se dirigeant vers le bureau de la rédactrice en chef du magazine, Alexandra Charlton qui est une femme d’âge mûre, cheveux bruns courts carrés avec une frange, yeux marrons, mesurant 1m76, une silhouette parfaitement dans les normes pour son âge avec des accents d’origine italienne.
Arrivés devant son bureau, les enquêteurs entendent la rédactrice hurlée à travers la pièce en s’adressant à la réceptionniste :
- Dana ! Mon café ! Exigea-t-elle avec un ton froid et distant.
- Alexandra Charlton ?! Demanda Cho.
- Ah ! Navrée mes chéris, je n’ai pas le temps.
- Nous sommes du Bureau Californien d’Investigation. Dit Grace en montrant son badge. Nous menons une enquête sur le meurtre de Matthew Wolf dont vous êtes au courant ?
- Oh oui ! C’est vraiment tragique. Asseyez-vous, je vous en prie. Dit-elle étant confuse.
Ils s’exécutent et sortent leur calepin au moment la réceptionniste apporte le café de sa supérieure en posant la tasse de café sur son bureau sans que celle-ci lui dise « Merci » et s’en va sans insister sous le regard stupéfait de Grace et Kimball :
- Depuis quand Matthew Wolf travaillait pour vous ? Demanda Cho.
- 4 mois et 15 jours pour être précise. C’était un photographe exemplaire. Répondit Alexandra.
- Que saviez-vous de sa vie privée ? Questionna la jeune recrue du CBI.
- Pas grandes choses. Je suis au courant seulement qu’il a une fille du même âge que Camille Sisley qui est stagiaire ici mais c’est tout.
- En parlant de Camille Sisley, elle affirme d’avoir entendu une dispute entre vous et monsieur Wolf à propos des photos pour le prochain numéro de votre magazine et que vous l’ayez remplacé par Jeffrey Anderson, son assistant. Rapporta Cho.
L’italienne lance un rire avec un air hypocrite avant de lui répondre avec froideur :
- J’ai renvoyé Matthew parce qu’il est devenu agaçant et incompétent ; depuis environ 1 mois, ces photos étaient trop classiques et neutres puis il manquait d’imagination pour le magazine, c’est pour ça que je l’ai renvoyé.
- Donc, c’est pour ça vous avez Jeffrey Anderson. Conclut Grace.
- Exactement. Jeffrey est brillant, ce n’est pas un professionnel je vous l’accorde mais il a du talent et il a de la créativité à revendre, ce qui donnera un grand coup de pouce pour « Allure Magazine ». Dit la rédactrice sur un ton satisfait. Malgré que Matthew fût furieux à l’idée que Jeffrey le remplace.
- Monsieur Wolf avait quelque chose à lui reprocher ? demanda curieusement Van Pelt.
- J’ai entendu dire que Jeffrey sortait avec sa fille et que Jeffrey soupçonnait Matthew de toucher à la drogue. Répondit l’italienne avec un air réfléchit.
Les deux collègues se regardèrent d’un air stupéfait à entendre de telles révélations.

Peu de temps après, dans le studio de la victime, Jane et Lisbon interrogent Jeffrey Anderson lui apportant un résumé de ce qu’ils ont appris ainsi qu’à Stella :
- Pourquoi vous ne nous avez pas dit que votre liaison, il est évident qu’on allait le découvrir ? Questionna Teresa.
- Parce qu’on s’était juré du fait que notre relation devait rester secrète. Répondit Jeffrey.
- Je ne voulais pas que mon père l’apprenne afin qu’il me demande de choisir entre lui et Jeffrey comme je le connais. Intervient la fille du défunt assez embarrassée.
- Maintenant, ce n’est plus un secret vu que son père vous reprochait de vous voir en cachette et que Jeffrey le soupçonne d’être mêlé à une affaire de drogue, il y a dû avoir des complications. Remarquez, un accident ça arrive. Constate le mentaliste en le regardant dans les yeux.
- Quoi ? Dupliqua Stella avec étonnement vers Jeffrey.
Elle se tourne vers son amant le regard assez sombre et étonné :
- Tiens ! Vous n’êtes pas au courant ? C’est Intéressant.
- Non, non, je n’étais pas au courant. Affirma-t-elle avec détermination. Comment oses-tu soupçonner mon père de prendre de la drogue ? Demanda-t-elle en se tournant vers son amant au bord des larmes.
- Et pourquoi ? Ajouta Teresa avec un regard insistant.
Le jeune homme se tourne vers la jeune chef de l’unité le regard surpris par sa question, baisse les yeux étant confus :
- Je suis désolé Stella. Dit-il à sa petite amie en se tournant vers Lisbon et Jane. J’ai trouvé un sachet de drogue de sa mallette quand je cherchais du matériel. Avoua-t-il étant confus et gêné.
- Non, non ! Ce n’est pas vrai ! Cria-t-elle en larmes et désemparée.
La jeune fille s’en va en courant, en larmes mais son compagnon essaye de la retenir mais en vain :
- Stella ! Attends Stella ! Cria Jeffrey.
Le jeune photographe les regarde d’un air surpris et interrogatif :
- Mais si vous pensez que je l’ai tué, vous vous trompez. Je n’ai pas tué Matthew et je ne prends pas de drogue ! Dit-il avec un ton ferme et déterminé.
- Où étiez-vous la nuit du meurtre à 22h30 ? Demanda la belle brunette.
Le témoin lance un soupir d’exaspération avant de répondre :
- A une expo dans la galerie d’art de Downtown à Los Angeles.
- Il y avait des témoins ?
- Environ une quarantaine de personnes. Répondit-il avec amertume et culpabilité. Excusez-moi. Stella ! Cria-t-il en s’éloignant du duo.
La pétillante brune et le beau blond le regardent s’éloigner.

De retour au QG du CBI un peu plus tard, l’équipe apporte ses conclusions pendant que Jane lit un livre sur son canapé :
- Quoi de neuf ? Demanda la patronne.
- L’alibi de Jeffrey tient la route. Il était bien à la galerie d’art à Los Angeles jusqu’à minuit et demie. Confirma Cho.
- Le légiste a rendu son rapport ; il y a une faible dose de cocaïne dans le sang de la victime mais d’après lui, qui date depuis environ 1 mois. Poursuivit Rigsby.
- Quelque chose sur l’arme du crime ?
- Pas encore. Répondit Kimball.
- C’est la version qu’a donné Alexandra Charlton et ça explique peut-être des 200.000dollars sur ses comptes. Constate Van Pelt.
- Qu’est-ce que vous en pensez ? Demanda Lisbon en se tournant vers son consultant.
- Les deux amants perdus disent vrai. Je me suis trompé quand je disais qu’elle était une bonne menteuse, en faites, elle est incapable de mentir. Je dirais que c’est plutôt Camille, la bonne menteuse. Répondit-il.
- Camille Sisley ! La meilleure amie de la victime ? Dit-elle étant surprise et septique.
- Tu crois que c’est une toxicomane ? Demanda l’asiatique.
- Quand j’étais avec Rigsby l’interroger, j’ai vu qu’elle avait les pupilles dilatées, ses ongles rongées, les mains qui tremblent puis ; quand elle a parlé de Matthew, elle a commencé à rougir.
- Quoi ? Tu crois qu’elle était amoureuse de Wolf ? Suspecta Rigsby sous forme de question.
- C’est possible.
- Hey ! Doucement ! Pour l’instant, on n’a rien comme preuve prouvant qu’elle est coupable d’accord. Sinon, Rigsby t’as pu parler aux mannequins ?
- Oui mais elles racontent une histoire différente. Répondit Wayne assez septique et agacé.
- Les mannequins se préoccupent plus d’elles-mêmes que des autres ; ce sont de vraies tigresses qui veulent leur heure de gloire mais elles restent renfermées. Elles ne diront rien du tout. Pensa à haute voix Jane.
En regardant le sourire inapproprié qui illumine le visage de son consultant, Teresa sourit en levant les yeux au ciel :
- Oui, d’accord. C’est quoi votre plan ?
- Je n’ai jamais dit que j’avais un plan. Dit-il avec un sourire.

Il observe le regard insistant et curieux de sa patronne ainsi que de ses collègues et revient croiser le regard de la belle brunette ; le craquant blond se lève et s’avance vers elle :
- Vous avez une tenue chic et très… provocante ?
Face à sa demande, elle fronça les sourcils en le regardant avec les yeux noirs :
- Non !
- Vous n’avez pas de tenue qui en jette. Dit le consultant en fronçant les sourcils d’un air interrogatif.
- Non, il est hors de question que je rentre dans votre plan en plus, je déteste les mannequins. Dit-elle avec un air déterminé, imposant et dérouté.
- Raison de plus pour vous infiltré dans les couloirs du magazine ; allez Lisbon, juste pour cette fois. Supplia-t-il avec un grand sourire et les yeux doux.
La jeune femme reste l’observer dans les yeux sous le regard rieur de ses collègues puis Teresa leva les yeux au ciel, Patrick montre son plus beau sourire et un petit rire sachant qu’elle cède.

A « Allure Magazine », les employés du magazine aperçoivent dans leur champ de vision, la ravissante brunette au regard émeraude marchée étant habillée de façon élégante, chic à la fois provocante : escarpins vernis mauve Jimmy Choo, pantalon slim noir Calvin Klein, chemise blanc ouvert sur le décolleté de chez Gucci : sac à main Louis Vuitton, lunettes de soleil et collier Chanel, bracelet Dolce Gabbana.
Elle enleva ses lunettes de soleil lorsqu’elle entre dans le bureau d’Alexandra Charlton en conversation avec un homme dans la trentaine assez fin, roux aux yeux marrons foncés vêtu d’un tailleur beige très chic, des lunettes de vue noir :
- Excusez-moi ! Alexandra Charlton ?
- Ah ! Vous êtes sûrement Teresa Whitaker ! dit-elle en s’avançant vers elle en lui tendant la main. Ravie que vous ayez pu venir. Bienvenue à « Allure Magazine ». Salua la rédactrice en serrant la main de la brunette.
La jeune femme lança un sourire forcé et crispé à la fois en la regardant en lui serrant la main.

Lisbon chez les mannequin On va bien rire ... Ca c'est un plan de Patou tout craché

VLS

VLS ! ! !

J'adore le plan!!!
VLS

Ushh ,, Breiizzi !
C'est croo bien , Lisbon mannequin ... Quel beau plan Patouu !

V.L.S

Merci beaucoup pour tous vos comm's!!!!
Ca me fait trop plaisir!!! =)

De riien ma Breizzi !

CHAPITRE 8 : Les quatre et cinq vérités :

De l’autre côté de la rue, dans une chambre d’hôtel se situant juste en face des locaux du magazine, l’équipe s’est installé avec le matériel nécessaire sur des tables près des fenêtres afin de surveiller le magazine de près et de suivre Lisbon au cours de son infiltration dans les locaux, Jane suit l’opération en observant Lisbon des écrans des caméras de surveillance du magazine depuis le canapé :
- Ca y est ! Elle est arrivée ! Constate Cho en regardant l’écran de l’ordinateur.
- Pourquoi t’as insisté pour que ce soit Lisbon qui joue le jeu ? Demanda Rigsby à Jane.
- Parce que j’ai voulais m’amuser un peu.
- T’amuser ?! Répéta Van Pelt en fronçant les sourcils.
- Oui, je m’ennuyais.
- Tu ne trouves pas que c’est assez risqué quand même ? Questionne Grace avec un air inquiet.
- Rassures-toi Grace, le patron sait ce qu’elle fait. Rassura Wayne en lui caressant sa main.
- Mais oui, arrête de t’en faire un sang d’encre pour elle Grace. Dit-il avec un air agacé.
La jeune recrue et son compagnon levèrent les yeux au ciel face au ton agaçant du mentaliste :
- Puis le rôle de mannequin la rend plus belle mais pas autant quand elle est en colère. Répondit le consultant.
Soudain, les trois se tournent vers lui le regard surpris avec un sourire qui commence à apparaître sur leur visage en regardant le séduisant blondinet :
- Dis, tu n’aurais pas un faible pour elle ? Demanda Cho en souriant en se tournant vers lui.
- Quoi ?... Non. Non, ça ne va pas. Répondit-il d’un air assez gêné.
- Tu mens. Exprima Rigsby.
- Oui, ça se voit comme le nez au milieu de la figure. Ajouta la jolie rousse.
- Pas du tout. Ment Patrick sur la défensive et encore plus mal à l’aise.
- Si ce n’est pas vrai comme tu dis, pourquoi tu rougis ? Intervient l’asiatique en souriant.
Le consultant observe le regard du couple Rigsby/Van Pelt qui l’observe en confirmant que ses joues deviennent rouges ; le craquant blond baisse les yeux, plonge sa main dans ses cheveux assez embarrassé en lançant un soupir :
- Pour ça que tu n’as rien dit à Lisbon au sujet de ta mutation. Comprends Kimball en plaquant son dos contre le dossier de sa chaise poussant un soupir d’exaspération de même que le couple.
- Il faut que tu lui parles vieux ! Conseille Wayne.
- Je, je ne peux pas. Répliqua le mentaliste avec tristesse et hésitation.
- Plutôt que tu ne veux pas ! Corrigea Grace.
- Jane ! Si tu ne lui dis pas ce que tu ressens pour elle et de ta mutation sinon tu le regretteras toute ta vie, comme pour la mort de ta famille. Dit Cho.
- Laisse-les en dehors de ça ! S’interpose Patrick en levant le doigt avec tristesse.
- C’est la vérité Jane ! Dit l’asiatique avec fermeté.
- Jane ! Ecoute un peu les personnes qui t’entourent pour une fois, comme nous, tes amis. Intervient Van Pelt.
Le craquant blondinet au regard limpide regarde son interlocuteur suivit de Wayne et Grace, lit dans leurs yeux qu’ils exigent qu’il doit l’écouter.

Le mentaliste devient de plus en plus vulnérable et baissent son doigt en leur regardant dans les yeux :
- Tu es arrogant, égoïste et puérile Jane ! Il est temps que tu regardes la réalité en face. Avoua Rigsby avec franchise.
- Il faut à tout prix que tu avoues tes sentiments à Lisbon, c’est une chance qui s’ouvre à toi, une chance pour toi de tourner la page sur ton passé sur ton désir de vengeance arrogant et de refaire enfin ta vie ; de repartir à zéro. Poursuit Kimball avec sagesse et sincérité.
En entendant ces quatre et cinq vérités de ses collègues, pour le séduisant blondinet, c’est comme une gifle reçu en pleine figure qu’il se morfonde sur le canapé mettant sa tête entre ses mains jusqu’à plonger ses mains dans ses cheveux avant de se tourner vers ses amis :
- Je lui en parlerais. Avoua le mentaliste dans un soupir.
Ses collègues hochèrent la tête avec un sourire. De son côté, Lisbon est guidé par ce même homme qui était dans le bureau de la rédactrice en chef qui se fait appeler Hugo comme étant le styliste du mag.
Hugo la dirige vers les loges avec les autres mannequins ; à l’oreillette, Jane lui donne des conseils d’attitudes à prendre :
« Lisbon, écoutez-moi et faites ce que je vous dis ; prenez l’air détaché, sévère mais soyez aussi naturelle que vous laissez paraître. »
- Je sais ce que j’ai à faire Jane donc arrêtez de gaspiller votre salive. Murmure-t-elle en serrant les dents sur un ton sec.
- Sinon, pourquoi avoir laissé tomber le mannequinat pendant 3 ans ? demanda-t-il en se tournant vers elle.
- Mariez-vous et vous serez ce que j’essaye de vous dire.
- Oh ! C’était si dur que ça ?
- Mon ex n’est qu’un pauvre type qui s’envoyé en l’air mon assistante ; je les ai mis à la porte avec un gros coup de pied aux fesses.
L’équipe étouffe de rire en entendant leur patronne dans la peau de son personnage, Patrick sourit :
- Ouah ! Quelle femme ! S’exclame-t-il en faisant la moue d’être impressionné.
- Il est vrai que le divorce est une telle bénédiction. Commente Hugo sur un air satisfait.
Arrivés en loge ouvert tout de suite à la réserve des vêtements, l’homme en question présente la jeune femme aux mannequins :
- Alors, voici Norma Rodriguez, Emma Campbell et Marisa Pattison ; vos nouvelles camarades.
- Salut ! Saluèrent-elles en chœur sans sincérité.
- Je vous laisse bavarder ; mais on commence les essayages dans 10 minutes.
L’excentrique Hugo s’en va en fermant la porte ; à ce moment-là, Norma Rodriguez, une femme afro-américaine de 30 ans environ, cheveux longs bouclés ébène, yeux noirs chocolat faisant 1m74 s’approche de la belle brunette mais Emma, caucasienne de 27 ans, cheveux auburn cheveux mi-longs lisses, yeux verts, 1m73 la retient :
- Norma ! Laisse-la !
- Ecoute ma petite, t’as beau avoir de jolis yeux, une belle gueule mais laisse une professionnelle comme moi passée en premier plan. Lança la belle black sur un ton agaçant et harcelant.
- C’est bon, tu as fini maintenant ! Maintenant, tu vas me laisser faire mon job ou il faut que je mette une pancarte sur ta poitrine en silicone marquée « Miss Monde » dessus pour la couverture ? Réplique Lisbon avec un sourire moqueur et le regard noir.
La top-modèle vicieuse la dévisage étant bouche bée alors que les 2 mannequins ricanent ainsi que son équipe en admirant la provocation de leur patronne ainsi que Jane qui sourit et rit en même temps pendant que Teresa s’éloigne du mannequin sarcastique satisfaite de sa provocation.

Durant la journée, Lisbon subit les essayages, les photos, le changement des vêtements toutes les cinq minutes qui n’en finit pas, etc ; sous le regard ennuyeux et fatigué de l’équipe qui la suit depuis le début de la matinée mais soudain, Hugo demande aux filles de poser en mettant la nouvelle ligne de lingerie dont Lisbon est affreusement gênée :
- Allez les filles ! Ne soyez pas timide et montrez-moi que vous êtes de vraies tigresses ! Exprima le styliste en rugissant et avec exigence.
- Aïe ! Notre patron n’osera pas. S’exprime Rigsby avec inquiétude.
- Elle n’a pas le choix malheureusement. Dit Cho.
L’asiatique se tourne vers Jane avec un regard noir puis celui-ci croise son regard :
- C’est toujours moi qu’on accuse. S’exprime-t-il sur un air capricieux.
Les filles s’exécutèrent mais la séduisante brunette au regard émeraude marque un temps d’hésitation :
- Oui, Lisbon. Laissez-vous aller. Dit Jane dans l’oreillette.
- La ferme, Jane ! Lui répond Teresa en serrant les dents.
Après un temps plus d’hésitation que de réflexion, Lisbon se lance en dévoilant une parure de lingerie en dentelle sensuelle de couleur turquoise ; les professionnels sont stupéfaits de voir que la brunette peut avoir un aussi joli corps de déesse.
La séance photo commence alors que la pièce n’a pas de caméra mais seule la loge des mannequins qui sont sur surveillance depuis qu’un employé a volé le sac à main d’une des filles il y a 5 ans :
- Mais ce n’est pas juste ! Moi aussi, je veux voir ça. Se plaint le mentaliste comme un gamin et avec un sourire.
- Jane ! Dirent le trio en serrant les dents avec le regard noir.
- Ok ! Je me tais !... Quelqu’un veut un café ?
Ils ne répondirent que par un simple regard très noir en secouant la tête et retourne à leur travail alors que Jane sort de la chambre d’hôtel en prenant discrètement une oreillette au passage.
Durant la séance, Teresa commence à prendre la pose sur un matelas couvert un drap de soie jouant les femmes fatales avec un regard d’une tigresse et un grand sourire devant le photographe et le styliste :
- Oui ! Bien, Teresa ! Tu es sensuelle ! Très bien ! Parfait ! S’exprime le photographe à haute voix.
Mais soudainement, son visage se fige quand elle aperçoit dans son regard exaspéré et noir un séduisant blond au regard océan qui sourit ; la jeune femme est embarrassée et énervée qu’elle couvre son corps au milieu du drap :
- Salut chérie ! Tu restes toujours aussi une vraie tigresse ! Avoue Jane à haute voix avec un air coquin en lui faisant un clin d’œil.

Ahh j'adore!!
VLS