La vie privée de Patrick Jane^
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Re: La vie privée de Patrick Jane^
J'ai la même impression de Johel lol je sait pas pourquoi mais j ai l'impression que ce mariage ne vas pas terminer comme il faudrais encore trop mignon je petit moment Rigspelt et j aime bien aussi quand Jane et Lisbon parle ensemble , ce serais tellement chouette que tout redeviennent comme avant lol Cho/Alicia et Jane/Lisbon
J'avait pas vu venir le coup d'Elise qui est partie c triste quand mm pour Cho
Vite la suite
Gros bisous
J'avait pas vu venir le coup d'Elise qui est partie c triste quand mm pour Cho
Vite la suite
Gros bisous
elenou03- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Van pelt et Rigsby et Lisbon
Loisirs : regarder le mentalist
Localisation : Sur une île desserte avec OWAIN YEOMAN :)
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Merci les filles!!
Chapitre 42
Alors qu'elle était enfin seule, Alicia reçu un appel sur son portable. C'était son ancien complice.
Alicia: "Francisco! Pourquoi tu m'appelles? Tu manques pas d'air, après ce que tu m'as fait. J'ai failli finir en taule avec tes magouilles!"
Francisco: "Attend Ali! C'est pas du tout ce que tu crois."
Alicia: "Et qu'est-ce que je crois. Que tu as refilé le couteau à Arlov et que tu as dis aux flics ou trouver Peter? Je suppose que maintenant, tu vas me faire chanter, pour obtenir du fric?"
Francisco: "Non, absolument pas. J'ai appris que tu te mariais avec ce Patrick Jane."
Alicia: "Oui, et alors? Tu veux me féliciter?"
Francisco: "Non, heu, si bien sûr. Mais je devais te prévenir. Fais attention."
Alicia, perplexe: "Attention à quoi?"
Francisco: "Ce n'est pas moi qui ai balancé le corps au flics. Je n'ai fais que donner le couteau à Arlov. C'est quelqu'un qui me l'a ordonné."
Alicia: "On peut savoir qui?"
Francisco: "Un gars, il se fait appeler RJ."
Elle devint pâle comme un linge, le portable collé à l'oreille.
Francisco: "Ali, t'es toujours là?"
Alicia: "Heu, oui, je t'écoute."
Francisco: "Ce type n'a pas l'air net, fais gaffe à toi. Il m'a posé des questions sur toi et tes clients. En particulier Jane. Il voulait savoir à quel point vous étiez proches, quand et où vous vous voyiez, ce genre de trucs."
La jeune métisse ne savait quoi penser de ces révélations. Elle connaissait comme tout le monde, l'histoire du massacre de la famille de Patrick et les crimes de ce Red John. Mais elle ne comprenait pas pourquoi il l'avait visé depuis tout ce temps. Qu'avait-il à y gagner? Ce dont elle ne semblait pas se rendre compte c'était que ce psychopathe prenait un malin plaisir à faire souffrir le consultant à travers ses proches. Et à cet instant, la personne la plus proche de lui n'était autre qu'Alicia.
Elle était folle amoureuse de Patrick, mais était-elle prête à risquer sa vie pour être avec lui, sachant que ce tueur rodait? Après mures réflexions, elle préféra se dire que Francisco dramatisait la situation.
Malgré tout, elle était complètement déstabilisée, entre la déclaration de Kimball et maintenant ça, ce mariage était loin d'être célébré.
Francisco: "Je suis sérieux Ali, fais ce que tu veux mais sois prudente. Je le sens mal ce type."
Alicia: "J'ai géré des situations pires que celle-là. Je te remercie de me prévenir mais c'est inutile."
Francisco: "Ok! Mais moi, je me barre de cette ville. Bonne chance."
Il raccrocha et la jeune femme termina de se coiffer.
Le pasteur était arrivé, tout le monde était présent, il ne manquait que la mariée.
Jane: "Qu'est-ce qu'elle fait?"
Grace: "Je vais la voir."
Jane: "Merci Grace."
La rouquine entra dans le chapiteau, pour s'apercevoir que la future épouse était encore assise devant son miroir. Elle fronçait les sourcils en jouant avec sa bague de fiançailles.
Grace: "Alicia, ça ne va pas? Vous ne vous sentez pas bien?"
Alicia: "Non. Je veux dire si, je vais bien. Il faut que je vois Patrick, en privée."
Grace: "D'accord, je vais le chercher."
Elle revint devant le prêtre pour informer Jane du souhait de sa fiancée.
Jane: "Elle n'est pas malade au moins?"
Grace: "Non, elle veut te parler, c'est tout ce qu'elle a dit. Mais elle m'a semblé bizarre."
Rigsby se mêla à la conversation: "Ca doit être le stress, te bile pas Jane."
L'asiatique, lui, restait en retrait, persuadé d'avoir semé le doute dans l'esprit de son amie.
Le consultant, fébrile, n'entra pas immédiatement, il entrouvrit le rideaux, qui faisait office de porte.
Jane: "Ali?"
Alicia se leva et ouvrit complètement la toile, laissant admirer, à son futur époux, sa robe de satin blanc, toute simple, décolleté dans le dos, épaules dénudées.
Jane, le souffle coupé: "Tu es... magnifique."
Elle le tira vivement, par le bras et referma le rideau.
Jane: "Qu'est-ce qui ne va pas Alicia? Qu'est-ce que tu voulais me dire?"
Alicia lui pris la main: "Patrick, je ne peux pas faire ça. C'est trop."
Jane, inquiet: "Tu ne veux plus m'épouser?"
Alicia: "C'est pas ça. C'est juste que... cette robe, tout ça, ce n'est pas moi. Si on plaquait tout. On part à Vegas, juste toi et moi, et après on va s'installer loin d'ici."
Le beau blond la serra dans ses bras sans répondre. Il ne pouvait pas quitter la Californie, pas tant qu'il n'aurait pas attrapé Red John. Il essaya de lui faire entendre raison.
Alicia, les larmes aux yeux: "S'il te plait Patrick, on part tous les deux et on ne revient pas. Tu m'as dit un jour, que tu irais n'importe où avec moi."
Jane: "Tu sais ce qui est arrivé à ma famille. Je me suis juré de la venger. Pour ça, je dois rester à Sacramento. Et je veux que tu reste avec moi."
Alicia: "Tu comptes tuer ce Red John. C'est bien ce que tu envisages."
Jane: "C'était le but que je m'étais fixé, oui."
Elle laissa perler une larme car elle savait ce que cela impliquait. En tuant Red John, Patrick finirait en prison, abandonnant du même coup, sa femme.
Jane poursuivit: " A cette époque je ne croyais pas avoir un avenir, je n'avais plus rien à perdre. Mais tu es apparut dans ma vie et tu m'as fait changé. Je ne le tuerais pas, je l'enverrais devant un tribunal pour qu'il soit jugé. Je t'aime trop pour prendre le risque d'être séparé de toi."
Le visage de la métisse se radoucit.
Ils restèrent un long moment dans les bras l'un de l'autre, alors que les invités s'impatientaient.
Cho, regardant sa montre: "Qu'est-ce qu'ils font?"
Rigsby: "Peut-être qu'ils prennent de l'avance sur la nuit de noce?"
Grace, remarquant le mal être de Cho: "Chut."
Rigsby: "Oh, ça va. Je plaisantais."
L'asiatique n'appréciait pas du tout cet humour, il n'était plus lui-même. Il décida de partir. Il ne supportait plus d'assister à l'union de la femme qu'il aimait avec son meilleur ami.
Rigsby le rattrapa, avant qu'il n'atteigne son véhicule.
Wayne: "Hey, Cho! Tu peux pas partir. Tu vas pas faire ça à Jane!"
Cho: "Dis-lui que je suis désolé. Je te laisse ma place de témoin."
Il claqua la portière et roula jusqu'à la sortie de la ville.
Là-bas, loin de tout et des regards indiscrets, il laissa éclater son chagrin et sa déception. Cho était anéanti par ce mariage. Il allait la perdre pour de bon. Il se maudissait de ne pas avoir su lui montrer à quel point il tenait à elle. Cho avait beaucoup plus de mal à accepter cette douloureuse situation que Lisbon. Elle, en avait pris son parti et avait fini par se réjouir pour Jane.
Au bout d'une demi-heure, Grace vint aux nouvelles.
Grace: "Excusez-moi! Je ne veux pas vous déranger, mais le pasteur a un autre mariage à 16h."
Alicia: "On arrive dans une minute."
La rouquine sorti, pendant que la couple se préparait à faire son apparition.
Jane: "Mais j'y pense, je t'ai vu avant la cérémonie. Ca porte malheur, non?"
Elle sourit et lui donna un baiser sur les lèvres.
Alicia: "Ce n'est qu'une superstition. Mes parents sont arrivés ensemble à l'église et ils ne ce sont plus quittés depuis 35 ans."
Il lui rendit son baiser, ne résistant pas à l'envie de balader ses mains sur le tissus de satin blanc.
Alicia: "Et là! Ne sois pas si impatient, on est pas encore mariés."
Jane lui murmura à l'oreille: "J'y peux rien, tu me rend dingue."
Ils ne respectèrent pas la tradition qui veut que la mariée arrive en second, au bras de son père, qui était absent.
Jane et Alicia se présentèrent, main dans la main, devant le prêtre.
Rigsby avait remplacé Cho, aux côtés du consultant, mais Jane n'y avait pas prêté attention, aveuglé par son bonheur.
Chapitre 42
Alors qu'elle était enfin seule, Alicia reçu un appel sur son portable. C'était son ancien complice.
Alicia: "Francisco! Pourquoi tu m'appelles? Tu manques pas d'air, après ce que tu m'as fait. J'ai failli finir en taule avec tes magouilles!"
Francisco: "Attend Ali! C'est pas du tout ce que tu crois."
Alicia: "Et qu'est-ce que je crois. Que tu as refilé le couteau à Arlov et que tu as dis aux flics ou trouver Peter? Je suppose que maintenant, tu vas me faire chanter, pour obtenir du fric?"
Francisco: "Non, absolument pas. J'ai appris que tu te mariais avec ce Patrick Jane."
Alicia: "Oui, et alors? Tu veux me féliciter?"
Francisco: "Non, heu, si bien sûr. Mais je devais te prévenir. Fais attention."
Alicia, perplexe: "Attention à quoi?"
Francisco: "Ce n'est pas moi qui ai balancé le corps au flics. Je n'ai fais que donner le couteau à Arlov. C'est quelqu'un qui me l'a ordonné."
Alicia: "On peut savoir qui?"
Francisco: "Un gars, il se fait appeler RJ."
Elle devint pâle comme un linge, le portable collé à l'oreille.
Francisco: "Ali, t'es toujours là?"
Alicia: "Heu, oui, je t'écoute."
Francisco: "Ce type n'a pas l'air net, fais gaffe à toi. Il m'a posé des questions sur toi et tes clients. En particulier Jane. Il voulait savoir à quel point vous étiez proches, quand et où vous vous voyiez, ce genre de trucs."
La jeune métisse ne savait quoi penser de ces révélations. Elle connaissait comme tout le monde, l'histoire du massacre de la famille de Patrick et les crimes de ce Red John. Mais elle ne comprenait pas pourquoi il l'avait visé depuis tout ce temps. Qu'avait-il à y gagner? Ce dont elle ne semblait pas se rendre compte c'était que ce psychopathe prenait un malin plaisir à faire souffrir le consultant à travers ses proches. Et à cet instant, la personne la plus proche de lui n'était autre qu'Alicia.
Elle était folle amoureuse de Patrick, mais était-elle prête à risquer sa vie pour être avec lui, sachant que ce tueur rodait? Après mures réflexions, elle préféra se dire que Francisco dramatisait la situation.
Malgré tout, elle était complètement déstabilisée, entre la déclaration de Kimball et maintenant ça, ce mariage était loin d'être célébré.
Francisco: "Je suis sérieux Ali, fais ce que tu veux mais sois prudente. Je le sens mal ce type."
Alicia: "J'ai géré des situations pires que celle-là. Je te remercie de me prévenir mais c'est inutile."
Francisco: "Ok! Mais moi, je me barre de cette ville. Bonne chance."
Il raccrocha et la jeune femme termina de se coiffer.
Le pasteur était arrivé, tout le monde était présent, il ne manquait que la mariée.
Jane: "Qu'est-ce qu'elle fait?"
Grace: "Je vais la voir."
Jane: "Merci Grace."
La rouquine entra dans le chapiteau, pour s'apercevoir que la future épouse était encore assise devant son miroir. Elle fronçait les sourcils en jouant avec sa bague de fiançailles.
Grace: "Alicia, ça ne va pas? Vous ne vous sentez pas bien?"
Alicia: "Non. Je veux dire si, je vais bien. Il faut que je vois Patrick, en privée."
Grace: "D'accord, je vais le chercher."
Elle revint devant le prêtre pour informer Jane du souhait de sa fiancée.
Jane: "Elle n'est pas malade au moins?"
Grace: "Non, elle veut te parler, c'est tout ce qu'elle a dit. Mais elle m'a semblé bizarre."
Rigsby se mêla à la conversation: "Ca doit être le stress, te bile pas Jane."
L'asiatique, lui, restait en retrait, persuadé d'avoir semé le doute dans l'esprit de son amie.
Le consultant, fébrile, n'entra pas immédiatement, il entrouvrit le rideaux, qui faisait office de porte.
Jane: "Ali?"
Alicia se leva et ouvrit complètement la toile, laissant admirer, à son futur époux, sa robe de satin blanc, toute simple, décolleté dans le dos, épaules dénudées.
Jane, le souffle coupé: "Tu es... magnifique."
Elle le tira vivement, par le bras et referma le rideau.
Jane: "Qu'est-ce qui ne va pas Alicia? Qu'est-ce que tu voulais me dire?"
Alicia lui pris la main: "Patrick, je ne peux pas faire ça. C'est trop."
Jane, inquiet: "Tu ne veux plus m'épouser?"
Alicia: "C'est pas ça. C'est juste que... cette robe, tout ça, ce n'est pas moi. Si on plaquait tout. On part à Vegas, juste toi et moi, et après on va s'installer loin d'ici."
Le beau blond la serra dans ses bras sans répondre. Il ne pouvait pas quitter la Californie, pas tant qu'il n'aurait pas attrapé Red John. Il essaya de lui faire entendre raison.
Alicia, les larmes aux yeux: "S'il te plait Patrick, on part tous les deux et on ne revient pas. Tu m'as dit un jour, que tu irais n'importe où avec moi."
Jane: "Tu sais ce qui est arrivé à ma famille. Je me suis juré de la venger. Pour ça, je dois rester à Sacramento. Et je veux que tu reste avec moi."
Alicia: "Tu comptes tuer ce Red John. C'est bien ce que tu envisages."
Jane: "C'était le but que je m'étais fixé, oui."
Elle laissa perler une larme car elle savait ce que cela impliquait. En tuant Red John, Patrick finirait en prison, abandonnant du même coup, sa femme.
Jane poursuivit: " A cette époque je ne croyais pas avoir un avenir, je n'avais plus rien à perdre. Mais tu es apparut dans ma vie et tu m'as fait changé. Je ne le tuerais pas, je l'enverrais devant un tribunal pour qu'il soit jugé. Je t'aime trop pour prendre le risque d'être séparé de toi."
Le visage de la métisse se radoucit.
Ils restèrent un long moment dans les bras l'un de l'autre, alors que les invités s'impatientaient.
Cho, regardant sa montre: "Qu'est-ce qu'ils font?"
Rigsby: "Peut-être qu'ils prennent de l'avance sur la nuit de noce?"
Grace, remarquant le mal être de Cho: "Chut."
Rigsby: "Oh, ça va. Je plaisantais."
L'asiatique n'appréciait pas du tout cet humour, il n'était plus lui-même. Il décida de partir. Il ne supportait plus d'assister à l'union de la femme qu'il aimait avec son meilleur ami.
Rigsby le rattrapa, avant qu'il n'atteigne son véhicule.
Wayne: "Hey, Cho! Tu peux pas partir. Tu vas pas faire ça à Jane!"
Cho: "Dis-lui que je suis désolé. Je te laisse ma place de témoin."
Il claqua la portière et roula jusqu'à la sortie de la ville.
Là-bas, loin de tout et des regards indiscrets, il laissa éclater son chagrin et sa déception. Cho était anéanti par ce mariage. Il allait la perdre pour de bon. Il se maudissait de ne pas avoir su lui montrer à quel point il tenait à elle. Cho avait beaucoup plus de mal à accepter cette douloureuse situation que Lisbon. Elle, en avait pris son parti et avait fini par se réjouir pour Jane.
Au bout d'une demi-heure, Grace vint aux nouvelles.
Grace: "Excusez-moi! Je ne veux pas vous déranger, mais le pasteur a un autre mariage à 16h."
Alicia: "On arrive dans une minute."
La rouquine sorti, pendant que la couple se préparait à faire son apparition.
Jane: "Mais j'y pense, je t'ai vu avant la cérémonie. Ca porte malheur, non?"
Elle sourit et lui donna un baiser sur les lèvres.
Alicia: "Ce n'est qu'une superstition. Mes parents sont arrivés ensemble à l'église et ils ne ce sont plus quittés depuis 35 ans."
Il lui rendit son baiser, ne résistant pas à l'envie de balader ses mains sur le tissus de satin blanc.
Alicia: "Et là! Ne sois pas si impatient, on est pas encore mariés."
Jane lui murmura à l'oreille: "J'y peux rien, tu me rend dingue."
Ils ne respectèrent pas la tradition qui veut que la mariée arrive en second, au bras de son père, qui était absent.
Jane et Alicia se présentèrent, main dans la main, devant le prêtre.
Rigsby avait remplacé Cho, aux côtés du consultant, mais Jane n'y avait pas prêté attention, aveuglé par son bonheur.
Invité- Invité
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Super chapitre dis donc j adore et que tu aie fait venir RJ mais quel surprise je m attendais pas du tout a lui si seulement Jane savait ça Alicia a raison d avoir peur
Pauvre Cho c triste pour lui en plus il est tout seul maintenant et jane qu remarque mm pas sa disparition au mariage le pauvre quand meme
J'adore les petite Relexion de Rigsby tout a fait lui lol
Vite la suite
Gros bisous
Pauvre Cho c triste pour lui en plus il est tout seul maintenant et jane qu remarque mm pas sa disparition au mariage le pauvre quand meme
J'adore les petite Relexion de Rigsby tout a fait lui lol
Vite la suite
Gros bisous
elenou03- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Van pelt et Rigsby et Lisbon
Loisirs : regarder le mentalist
Localisation : Sur une île desserte avec OWAIN YEOMAN :)
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Merci elenou!!!
Pour la suite, ce sera pas avant samedi je pense.
Parce que je bosse toute la semaine et j'ai pas eu le courage d'écrire, j'étais trop crevée. Mais j'essaierais de m'y mettre demain soir.
Pour la suite, ce sera pas avant samedi je pense.
Parce que je bosse toute la semaine et j'ai pas eu le courage d'écrire, j'étais trop crevée. Mais j'essaierais de m'y mettre demain soir.
Invité- Invité
Re: La vie privée de Patrick Jane^
woua enorme tout ce que j'ai manqué, et je doit dire que j'ai adoré jusqu'à la dernière ligne.
Jane va enfin se marier avec Alicia enfin ça dépends, je sens que quelque chose va se mettre en travers de leurs projets, et cette fois ce ne sera pas Lisbon
mais c'est triste pour le bébé
en tout cas dans ta fic Lisbon passe vraiment pour une garce, et Cho est plus ouvert que dans la série, c'est coll il sait parler
il me tarde de lire la suite
Jane va enfin se marier avec Alicia enfin ça dépends, je sens que quelque chose va se mettre en travers de leurs projets, et cette fois ce ne sera pas Lisbon
mais c'est triste pour le bébé
en tout cas dans ta fic Lisbon passe vraiment pour une garce, et Cho est plus ouvert que dans la série, c'est coll il sait parler
il me tarde de lire la suite
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Merci Sweety!! Et tu as raison pour Cho, je le fait plus locasse qu'il ne l'est dans la série!!
Pour ce qui est de Lisbon, je ne l'ai pas trouvée particulièrement chaleureuse avec les femmes qui tourne autour de Jane en général, dans la série.
Chapitre 43
La cérémonie se déroula sans encombre, même si, contrairement à Jane, l'absence de Cho fut tout de suite remarquée par Alicia. Elle s'en voulait un peu de s'être montrée aussi intransigeante avec lui, sans essayer de le comprendre. Même si elle savourait de façon coupable cette petite vengeance. Lui aussi l'avait fait souffrir, lorsqu'il l'avait rejeté après leur nuit. Pour elle, ils étaient quitte.
Ce qu'elle ne lui avait pas dit c'était qu'elle l'aimait aussi et l'aimerait toujours. Mais sont choix était définitif. Cho n'était qu'un souvenir de jeunesse alors que Jane était l'homme de sa vie.
Au moment où le prêtre prononça les mots: "si quelqu'un s'oppose à cette union, qu'il parle maintenant ou se taise à jamais", ce n'est pas Térésa qui prit la parole, mais la mariée elle-même.
Alicia: "Je suis désolée Patrick."
L'assemblée restait sans voix.
Jane, désemparé: "Alicia, qu'est-ce que tu fais? On était d'accord."
Il ne lâchait pas la main de la jeune femme.
Alicia: "Tu sais bien que ça ne nous mènera nulle part. Il vaut mieux tout arrêter tant qu'on le peut encore."
Elle l'embrassa et lui murmura à l'oreille: "Je t'aime à en mourir, mais tu mérites d'avoir une famille et des enfants. Au revoir Patrick."
Elle le libéra et parti en courant jusqu'au chapiteau, pour se changer. Le consultant, désespéré, voulu la suivre mais Lisbon fit barrage.
Lisbon: "Laisse-là partir."
Jane: "Je ne peux pas, c'est au-dessus de mes forces. Pousse-toi Térésa, s'il te plait."
La mustang fila en direction de la ville.
Jane s'assit, incrédule et complètement perdu. Il demeura prostré, un long moment, tandis que les invités quittaient la plage. La mère de la métisse s'arrêta devant le mentaliste.
Mme Wang, lui posant une main sur l'épaule: "Je suis navrée Patrick. Vous êtes un homme bien. Je ne comprend pas ce qui a provoqué tout ça. Je ne comprend plus ma fille."
Jane: "On aurait du s'enfuir tous les deux, c'est ce qu'elle voulait. Pourquoi je l'ai poussée à faire ça? Je suis un imbécile."
Mme Wang: "Vous n'avez rien à vous reprocher. Alicia a toujours eu une peur panique de l'engagement. Elle n'en a jamais fait qu'à sa tête."
Jane se leva et partit d'un pas assuré vers sa DS.
Rigsby: "Jane! Où tu vas? Tu ne sais même pas où elle est."
Il faisait la sourde oreille, obsédé par une seule idée, rattraper Alicia.
L'orage éclata sur la ville, il était tard et la nuit tombait. Le beau blond, qui n'avait pas retiré son costume, tomba en panne à 5 minutes de la maison de la métisse. Il continua à pieds, espérant qu'elle y était encore. Trempé jusqu'aux os, il s'arrêta dans l'allée. Il n'avait plus le moindre vêtement de sec. La lumière brillait dans la villa et il aperçu la métisse. Elle le vit en passant devant la fenêtre. Jane restait immobile, la pluie ruisselait sur lui, sans réaction de sa part.
Elle se rua à l'extérieur, aussitôt, en s'abritant sous le perron, mais lui n'avançait pas.
Alicia s'approcha donc de son fiancé éconduit. La pluie continuait de tomber.
Jane: "Pardonne-moi. Je n'ai pas tenu compte de tes désirs. On repart à zéro. Pas de mariage. Simplement toi et moi, ensemble. Qu'est-ce que tu en dit?"
Il était presque implorant devant elle, sachant qu'au premier faux pas, elle était capable de l'abandonner, encore.
Alicia, trempée comme lui: "C'est moi qui m'excuse. Je n'arrête pas de te dire que je ne te ferais jamais souffrir et pourtant, je te rend malheureux. En restant avec moi, tu seras toujours malheureux. Je ne sais faire que du mal à ceux que j'aime. Epargne-toi ce calvaire et laisse-moi. Tu seras bien mieux sans moi. Peut-être pas tout de suite mais avec le temps, tu verras que c'est la meilleure décision à prendre."
Le déluge se renforça.
Alicia: "Viens, tu es trempé, tu vas attraper une pneumonie."
Jane: "Après ce que tu viens de me dire, tu te soucis de ma santé?"
Elle le tira par le bras, à l'intérieur.
Alicia lui enleva ses vêtements mouillés et lui donna des serviettes.
Jane: "Qu'est-ce que j'ai bien pu faire pour que tu me détestes à ce point? Tu sais que je ferais tout pour toi. Alors pourquoi tu me torture comme ça?"
Son regard se posa sur des valises, au bas de l'escalier.
Jane: "Ne me dis pas que tu t'échappes encore une fois."
Alicia baissant les yeux: "Ce ne sont pas mes affaires, ce sont les tiennes."
Jane: "Tu me met dehors?"
Alicia: "Ce serait trop dur pour moi, de te voir tous les jours, après ce que je t'ai fais aujourd'hui."
Elle grelottait en parlant, donc il se mit à la frictionner pour la réchauffer.
Alicia: "Tu n'as aucune intention de partir, n'est-ce pas?"
Jane: "Jamais! Tu auras beau dire ou faire n'importe quoi, tu ne me feras pas fuir. Fais-toi à l'idée. Mariage ou pas."
Alicia: "Tu es cinglé ou maso, ou les deux."
Il glissa ses mains dans le dos de la métisse pour la ramener sur son torse nu.
Jane: "Ni l'un ni l'autre, je suis amoureux c'est tout."
Elle se laissa enlacer sans protester.
Jane: "Si pour te convaincre de ma sincérité je dois te répéter que je t'aime, chaque jour, je le ferais."
Alicia: "J'ai été horrible avec toi et tu es encore là. J'en viens à me demander qu'est-ce qui pourrait t'éloigner de moi."
Jane: "Rien. Je crois que même si tu avais tué un homme je t'aimerais encore."
Jane ne croyait pas si bien dire. Elle dodelina de la tête en repensant à Peter Atkins.
Il sourit en l'embrassant.
Alicia, contre lui, entre deux baiser: "Viens, on défera tes valises demain."
Ils montèrent dans la chambre où elle avait l'intention de se faire pardonner pour la frayeur qu'elle avait causé au consultant.
Malgré cette réconfortante nuit, Patrick se doutait que la peur du mariage n'était pas la seule raison qui avait motivé la volte face de la jeune femme. Il y avait autre chose de plus sérieux. Il pensa tout de suite à Cho, mais il était loin du compte.
Même si sa déclaration avait troublée la métisse, la réapparition de Red John avait été déterminante. Alicia ne lui en toucherait pas mot, de peur qu'il ne s'inquiète pour elle. Elle en avait déjà assez fait en jouant avec les sentiments du beau blond. Elle était persuadée qu'en ayant pas épousé Jane, elle était hors de danger.
L'asiatique, qui ignorait l'annulation de ce mariage, c'était noyé dans l'alcool, chez lui.
A son réveil, il partit au CBI.
Dans les bureaux, ses collègues lui apprirent la triste nouvelle.
Grace et Wayne se renvoyaient la balle pour savoir lequel allait se charger de cette corvée.
Grace: "Tu devrais lui dire."
Wayne: "Pourquoi moi?"
Grace: "Tu es son ami."
Wayne: "Ouais, mais toi tu es une femme."
Grace: "Contente que tu l'ai remarqué."
Wayne: "Je veux dire que tu sais annoncer ce genre de chose en douceur."
Grace: "D'accord, et puis ce n'est pas une mauvaise nouvelle pour lui, en fait."
Wayne: "C'est vrai, j'ai vu comment il la regardait."
La rouquine s'approcha du bureau de son collègue. Le visage de l'asiatique était aussi lisse qu'à son habitude. Personne n'aurait pu deviner qu'en fait il était au plus mal.
Grace: "Salut, il faut que je te dise un truc."
Cho: "Oui, quoi?"
Grace: "C'est au sujet du mariage."
Cho, ironique: "Qu'est-ce qu'il y a eu? Alicia a dit non?"
Grace: "En fait, elle est partie avant la question."
Cho: "Jane doit être anéanti."
Le consultant passa la porte à ce moment-là.
Grace: "Tu n'as qu'à lui demander, le voilà."
L'asiatique tourna la tête et pu voir le consultant afficher un air décontracté, aux antipodes de ce que pensait ses collègues. Il vint directement vers Cho.
Jane: "Cho, tu peux me dire de quoi tu as parlé avec Alicia?"
Cho d'une honnêteté déconcertante: "Je lui ai avoué que je l'aime encore. Elle ne m'a pas donné la réponse que j'espérais. C'est ma faute si elle à nouveau partie. Je suis désolé Jane."
Jane: "Rassure-toi, elle est restée. Mais dorénavant, évite d'être seul avec elle. Ca ne lui fait aucun bien de parler avec toi."
Patrick n'était pas d'un naturel jaloux mais il préférait prendre ses précautions vis à vis du jeune homme. Il avait noté depuis longtemps l'attirance de Kimball pour Alicia et cela, même après l'officialisation de leur liaison et l'annonce de leur fiançailles.
Pour ce qui est de Lisbon, je ne l'ai pas trouvée particulièrement chaleureuse avec les femmes qui tourne autour de Jane en général, dans la série.
Chapitre 43
La cérémonie se déroula sans encombre, même si, contrairement à Jane, l'absence de Cho fut tout de suite remarquée par Alicia. Elle s'en voulait un peu de s'être montrée aussi intransigeante avec lui, sans essayer de le comprendre. Même si elle savourait de façon coupable cette petite vengeance. Lui aussi l'avait fait souffrir, lorsqu'il l'avait rejeté après leur nuit. Pour elle, ils étaient quitte.
Ce qu'elle ne lui avait pas dit c'était qu'elle l'aimait aussi et l'aimerait toujours. Mais sont choix était définitif. Cho n'était qu'un souvenir de jeunesse alors que Jane était l'homme de sa vie.
Au moment où le prêtre prononça les mots: "si quelqu'un s'oppose à cette union, qu'il parle maintenant ou se taise à jamais", ce n'est pas Térésa qui prit la parole, mais la mariée elle-même.
Alicia: "Je suis désolée Patrick."
L'assemblée restait sans voix.
Jane, désemparé: "Alicia, qu'est-ce que tu fais? On était d'accord."
Il ne lâchait pas la main de la jeune femme.
Alicia: "Tu sais bien que ça ne nous mènera nulle part. Il vaut mieux tout arrêter tant qu'on le peut encore."
Elle l'embrassa et lui murmura à l'oreille: "Je t'aime à en mourir, mais tu mérites d'avoir une famille et des enfants. Au revoir Patrick."
Elle le libéra et parti en courant jusqu'au chapiteau, pour se changer. Le consultant, désespéré, voulu la suivre mais Lisbon fit barrage.
Lisbon: "Laisse-là partir."
Jane: "Je ne peux pas, c'est au-dessus de mes forces. Pousse-toi Térésa, s'il te plait."
La mustang fila en direction de la ville.
Jane s'assit, incrédule et complètement perdu. Il demeura prostré, un long moment, tandis que les invités quittaient la plage. La mère de la métisse s'arrêta devant le mentaliste.
Mme Wang, lui posant une main sur l'épaule: "Je suis navrée Patrick. Vous êtes un homme bien. Je ne comprend pas ce qui a provoqué tout ça. Je ne comprend plus ma fille."
Jane: "On aurait du s'enfuir tous les deux, c'est ce qu'elle voulait. Pourquoi je l'ai poussée à faire ça? Je suis un imbécile."
Mme Wang: "Vous n'avez rien à vous reprocher. Alicia a toujours eu une peur panique de l'engagement. Elle n'en a jamais fait qu'à sa tête."
Jane se leva et partit d'un pas assuré vers sa DS.
Rigsby: "Jane! Où tu vas? Tu ne sais même pas où elle est."
Il faisait la sourde oreille, obsédé par une seule idée, rattraper Alicia.
L'orage éclata sur la ville, il était tard et la nuit tombait. Le beau blond, qui n'avait pas retiré son costume, tomba en panne à 5 minutes de la maison de la métisse. Il continua à pieds, espérant qu'elle y était encore. Trempé jusqu'aux os, il s'arrêta dans l'allée. Il n'avait plus le moindre vêtement de sec. La lumière brillait dans la villa et il aperçu la métisse. Elle le vit en passant devant la fenêtre. Jane restait immobile, la pluie ruisselait sur lui, sans réaction de sa part.
Elle se rua à l'extérieur, aussitôt, en s'abritant sous le perron, mais lui n'avançait pas.
Alicia s'approcha donc de son fiancé éconduit. La pluie continuait de tomber.
Jane: "Pardonne-moi. Je n'ai pas tenu compte de tes désirs. On repart à zéro. Pas de mariage. Simplement toi et moi, ensemble. Qu'est-ce que tu en dit?"
Il était presque implorant devant elle, sachant qu'au premier faux pas, elle était capable de l'abandonner, encore.
Alicia, trempée comme lui: "C'est moi qui m'excuse. Je n'arrête pas de te dire que je ne te ferais jamais souffrir et pourtant, je te rend malheureux. En restant avec moi, tu seras toujours malheureux. Je ne sais faire que du mal à ceux que j'aime. Epargne-toi ce calvaire et laisse-moi. Tu seras bien mieux sans moi. Peut-être pas tout de suite mais avec le temps, tu verras que c'est la meilleure décision à prendre."
Le déluge se renforça.
Alicia: "Viens, tu es trempé, tu vas attraper une pneumonie."
Jane: "Après ce que tu viens de me dire, tu te soucis de ma santé?"
Elle le tira par le bras, à l'intérieur.
Alicia lui enleva ses vêtements mouillés et lui donna des serviettes.
Jane: "Qu'est-ce que j'ai bien pu faire pour que tu me détestes à ce point? Tu sais que je ferais tout pour toi. Alors pourquoi tu me torture comme ça?"
Son regard se posa sur des valises, au bas de l'escalier.
Jane: "Ne me dis pas que tu t'échappes encore une fois."
Alicia baissant les yeux: "Ce ne sont pas mes affaires, ce sont les tiennes."
Jane: "Tu me met dehors?"
Alicia: "Ce serait trop dur pour moi, de te voir tous les jours, après ce que je t'ai fais aujourd'hui."
Elle grelottait en parlant, donc il se mit à la frictionner pour la réchauffer.
Alicia: "Tu n'as aucune intention de partir, n'est-ce pas?"
Jane: "Jamais! Tu auras beau dire ou faire n'importe quoi, tu ne me feras pas fuir. Fais-toi à l'idée. Mariage ou pas."
Alicia: "Tu es cinglé ou maso, ou les deux."
Il glissa ses mains dans le dos de la métisse pour la ramener sur son torse nu.
Jane: "Ni l'un ni l'autre, je suis amoureux c'est tout."
Elle se laissa enlacer sans protester.
Jane: "Si pour te convaincre de ma sincérité je dois te répéter que je t'aime, chaque jour, je le ferais."
Alicia: "J'ai été horrible avec toi et tu es encore là. J'en viens à me demander qu'est-ce qui pourrait t'éloigner de moi."
Jane: "Rien. Je crois que même si tu avais tué un homme je t'aimerais encore."
Jane ne croyait pas si bien dire. Elle dodelina de la tête en repensant à Peter Atkins.
Il sourit en l'embrassant.
Alicia, contre lui, entre deux baiser: "Viens, on défera tes valises demain."
Ils montèrent dans la chambre où elle avait l'intention de se faire pardonner pour la frayeur qu'elle avait causé au consultant.
Malgré cette réconfortante nuit, Patrick se doutait que la peur du mariage n'était pas la seule raison qui avait motivé la volte face de la jeune femme. Il y avait autre chose de plus sérieux. Il pensa tout de suite à Cho, mais il était loin du compte.
Même si sa déclaration avait troublée la métisse, la réapparition de Red John avait été déterminante. Alicia ne lui en toucherait pas mot, de peur qu'il ne s'inquiète pour elle. Elle en avait déjà assez fait en jouant avec les sentiments du beau blond. Elle était persuadée qu'en ayant pas épousé Jane, elle était hors de danger.
L'asiatique, qui ignorait l'annulation de ce mariage, c'était noyé dans l'alcool, chez lui.
A son réveil, il partit au CBI.
Dans les bureaux, ses collègues lui apprirent la triste nouvelle.
Grace et Wayne se renvoyaient la balle pour savoir lequel allait se charger de cette corvée.
Grace: "Tu devrais lui dire."
Wayne: "Pourquoi moi?"
Grace: "Tu es son ami."
Wayne: "Ouais, mais toi tu es une femme."
Grace: "Contente que tu l'ai remarqué."
Wayne: "Je veux dire que tu sais annoncer ce genre de chose en douceur."
Grace: "D'accord, et puis ce n'est pas une mauvaise nouvelle pour lui, en fait."
Wayne: "C'est vrai, j'ai vu comment il la regardait."
La rouquine s'approcha du bureau de son collègue. Le visage de l'asiatique était aussi lisse qu'à son habitude. Personne n'aurait pu deviner qu'en fait il était au plus mal.
Grace: "Salut, il faut que je te dise un truc."
Cho: "Oui, quoi?"
Grace: "C'est au sujet du mariage."
Cho, ironique: "Qu'est-ce qu'il y a eu? Alicia a dit non?"
Grace: "En fait, elle est partie avant la question."
Cho: "Jane doit être anéanti."
Le consultant passa la porte à ce moment-là.
Grace: "Tu n'as qu'à lui demander, le voilà."
L'asiatique tourna la tête et pu voir le consultant afficher un air décontracté, aux antipodes de ce que pensait ses collègues. Il vint directement vers Cho.
Jane: "Cho, tu peux me dire de quoi tu as parlé avec Alicia?"
Cho d'une honnêteté déconcertante: "Je lui ai avoué que je l'aime encore. Elle ne m'a pas donné la réponse que j'espérais. C'est ma faute si elle à nouveau partie. Je suis désolé Jane."
Jane: "Rassure-toi, elle est restée. Mais dorénavant, évite d'être seul avec elle. Ca ne lui fait aucun bien de parler avec toi."
Patrick n'était pas d'un naturel jaloux mais il préférait prendre ses précautions vis à vis du jeune homme. Il avait noté depuis longtemps l'attirance de Kimball pour Alicia et cela, même après l'officialisation de leur liaison et l'annonce de leur fiançailles.
Invité- Invité
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Un pas en avant...deux pas en arrière
Finalement Alicia devient pénible avec ses hésitations
Et Jane qui s'accroche
Hâte qu'Alicia finisse par se décider...
Finalement Alicia devient pénible avec ses hésitations
Et Jane qui s'accroche
Hâte qu'Alicia finisse par se décider...
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Ha super contente de voir un nouveau chapitre de t as fics he bien elle est encore Super j en etait sur que tout n allait pas se passez comme il faudrait parcontre je trouve Patrick très conpréhensif et patient avec Alicia car elle le plante devant tout le monde et il lui en veut mm pas lol mais bon il est amoureux lol
Pauvre cho il doit s en vouloir a cause de sa discution avec Alicia
Vite la suite
Gros bisous
Pauvre cho il doit s en vouloir a cause de sa discution avec Alicia
Vite la suite
Gros bisous
elenou03- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Van pelt et Rigsby et Lisbon
Loisirs : regarder le mentalist
Localisation : Sur une île desserte avec OWAIN YEOMAN :)
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Merci les filles!!!
Voilà la suite...
Chapitre 44
Pendant que Jane était au CBI, la jeune femme se rendit en ville pour un entretien, pour un poste d'avocate commis d'office. C'était un emploi bénévole, uniquement pour s'occuper.
En sortant de l'immeuble, où elle avait rendez-vous, Alicia se sentait observée. Elle pressa le pas jusqu'au café le plus proche. Elle s'installa au fond de la salle, recherchant le calme. Cinq minutes plus tard, cet homme vint s'asseoir à la table à côté. Il était assez quelconque, d'un physique banal, le genre d'individu que l'on croise dans la rue sans le voir. Bref, un homme tout ce qu'il y a de commun.
Pourtant, il avait quelque chose de dérangeant, d'inquiétant même.
Alicia mis ses lunettes et se plongea dans la lecture de son premier dossier, tandis que l'inconnu avait ouvert son journal, lui jetant des regards furtifs. Au bout d'une heure de ce manège, l'homme s'approcha et s'assit face à elle.
Alicia: "Qui êtes-vous?"
L'homme: "Les félicitations sont de rigueur il me semble. Oh, c'est vrai! Votre mariage n'a pas eu lieu. Mr Jane a du être bouleversé."
Il arborait un sourire narquois.
Alicia: "On se connait?"
L'homme: "Non, mais je connais votre compagnon."
Alicia: "Comment ça?"
L'homme: "Mr Jane et moi sommes en affaire. En quelques sortes."
Alicia: "Dites-moi votre nom."
L'homme: "Oh, je suis impolis."
Il lui tendit une main qu'elle ne serra pas, il la replaça dans sa poche.
L'homme: "En général, on m'appelle John. Mais vous me connaissez plus sous le nom de Red John."
Alicia: "Qu'est-ce que vous me voulez?"
Red John: "Vous savez ce que je suis. Je vous observe depuis que vous faîtes partie de la vie de Mr Jane. Je vous admire. Nous sommes pareil vous et moi."
Alicia: "Je ne voie pas en quoi."
Red John: "Et bien, nous sommes doués pour faire souffrir Mr Jane. Evidemment, vous utilisez une méthode moins invasive que la mienne. Bien que vous soyez efficace avec un couteau. J'ai pu constater le magnifique travail que vous avez réalisé sur Peter Atkins."
Alicia: "Vous êtes un malade. Nous n'avons rien à voir, vous et moi."
Red John: "Ah, si seulement je vous avais rencontré avant... Avec votre potentiel, vous auriez été une recrue de choix."
Alicia: "Jamais je ne me serais associée à un meurtrier de votre espèce."
Il replia son journal et s'appuya sur le dossier de sa chaise.
Red John: "Je suis certain que si vous n'aviez pas fait la connaissance de Mr Jane, vous auriez porté le plus grand intérêt à cette proposition. Mais le fait est que Patrick s'est entiché de vous et il n'a plus la même détermination à me poursuivre."
Alicia: "J'ai peur de comprendre."
Red John: "Laissez-moi vous expliquer le fond de ma pensée. Vous l'avez quitté à plusieurs reprises et à chaque fois, sa volonté à vous retrouver a pris le pas sur son acharnement à me poursuivre."
Alicia, un sourire en coin: "Vous êtes jaloux! Parce que je vous ai volé la vedette, auprès de Jane? Ah! C'est à mourir de rire."
Elle était inconsciente de se moquer de cette manière de lui.
Red John: "Précisément. Tant que vous serez là pour lui apporter l'espoir d'un avenir, il se détournera peu à peu de sa mission première."
Alicia: "Mission qui consiste à vous faire payer le massacre de sa famille."
Elle se redressa sur sa chaise.
Alicia: "Ecoutez-moi bien, Red John ou qui que vous soyez en réalité. Je ne bougerais pas de cette ville et je ne quitterais pas Patrick Jane. Je suis fatiguée de toutes ces menaces. Cette conversation est terminée."
Elle se leva, sous le regard inexpressif de son interlocuteur.
Alicia: "Sachez que je n'ai pas peur de vous, John!"
Red John: "Je le sais. A très bientôt Melle Wang. On va se revoir."
Elle saisie sa mallette et sorti du café. Alors qu'elle attendait devant le "O'Malley", le supposé Red John fila, à pieds, lui adressant un geste de la main, au passage.
Alicia décida d'avancer, dans la direction opposée. Même si elle jouait les dures, les propos de cet homme sonnaient clairement comme des menaces de mort. Il voulait se débarrasser d'elle pour que Jane ne soit pas distrait dans sa quête de vengeance.
Elle accéléra et, au détour d'une rue adjacente, Alicia fut violemment tirée par le bras et entraînée au fond d'une ruelle sombre. Son agresseur portait un masque et l'empêchait de crier, en lui plaquant une main sur la bouche. Il sorti un couteau et eu beaucoup de mal à l'utiliser car la jeune femme était coriace et elle parvint à retourner l'arme contre lui, le blessant à la jambe. Il la mis aussitôt KO d'un revers de la main. Elle revint à elle en touchant le sol humide. Il se plaça sur elle.
Alicia savait qu'elle n'en avait plus pour longtemps, en voyant cette lame maculée du sang de ce tueur. Dans un sursaut de lucidité, elle appuya fortement, dans la plaie de l'agresseur, avec sa main. Elle voulait gagner du temps pour que quelqu'un arrive et la sorte de là. Sa main était rougie par le sang de ce monstre. De là où elle se trouvait, elle pouvait voir les passants déambuler, dans la rue principale, mais personne ne vint à son secours. L'individu enleva son masque, puis plongea son couteau dans le ventre de sa victime. Elle murmurait quelque chose, il se pencha au-dessus d'elle.
Alicia: "A très bientôt John."
Malgré la douleur atroce, elle lui fit un sourire provocateur.
Red John ne l'acheva pas immédiatement, il prit d'abord le portable de la métisse, dans sa mallette et composa le numéro de Jane.
Il le plaça ensuite près du visage d'Alicia. Il voulait que le mentaliste sache qu'il ne pourrait pas être heureux et qu'il lui prendrait tous ceux à qui il tenait.
La jeune femme ne prononça pas un mot ni une plainte lorsque la messagerie s'enclencha. En entendant la voix de Patrick, sur ce répondeur, une larme coula le long de sa joue. Puis, Red John leva le couteau et le frappa à plusieurs reprises. Elle conserva son contrôle jusqu'à la fin. Elle ne lui donnerait pas le plaisir de la regarder souffrir. Lorsqu'elle rendit son dernier soupir, Red John déposa une enveloppe dans la main de sa victime et s'évapora dans la nature.
A 15h, le téléphone retentit, dans le CBI.
Van Pelt: "Patron, on a une affaire. Un meurtre à deux rues du "O'Malley"."
Elle paraissait embarrassée.
Lisbon: "Oui, continuez Van Pelt."
Van Pelt: "La victime est une femme et il est possible que ce soit le mode opératoire de Red John."
L'agent en chef rassembla l'équipe y compris Jane. Ignorant l'identité de la victime, ils se rendirent sur les lieux, persuadés d'aller enquêter sur le meurtre d'une parfaite inconnue.
Voilà la suite...
Chapitre 44
Pendant que Jane était au CBI, la jeune femme se rendit en ville pour un entretien, pour un poste d'avocate commis d'office. C'était un emploi bénévole, uniquement pour s'occuper.
En sortant de l'immeuble, où elle avait rendez-vous, Alicia se sentait observée. Elle pressa le pas jusqu'au café le plus proche. Elle s'installa au fond de la salle, recherchant le calme. Cinq minutes plus tard, cet homme vint s'asseoir à la table à côté. Il était assez quelconque, d'un physique banal, le genre d'individu que l'on croise dans la rue sans le voir. Bref, un homme tout ce qu'il y a de commun.
Pourtant, il avait quelque chose de dérangeant, d'inquiétant même.
Alicia mis ses lunettes et se plongea dans la lecture de son premier dossier, tandis que l'inconnu avait ouvert son journal, lui jetant des regards furtifs. Au bout d'une heure de ce manège, l'homme s'approcha et s'assit face à elle.
Alicia: "Qui êtes-vous?"
L'homme: "Les félicitations sont de rigueur il me semble. Oh, c'est vrai! Votre mariage n'a pas eu lieu. Mr Jane a du être bouleversé."
Il arborait un sourire narquois.
Alicia: "On se connait?"
L'homme: "Non, mais je connais votre compagnon."
Alicia: "Comment ça?"
L'homme: "Mr Jane et moi sommes en affaire. En quelques sortes."
Alicia: "Dites-moi votre nom."
L'homme: "Oh, je suis impolis."
Il lui tendit une main qu'elle ne serra pas, il la replaça dans sa poche.
L'homme: "En général, on m'appelle John. Mais vous me connaissez plus sous le nom de Red John."
Alicia: "Qu'est-ce que vous me voulez?"
Red John: "Vous savez ce que je suis. Je vous observe depuis que vous faîtes partie de la vie de Mr Jane. Je vous admire. Nous sommes pareil vous et moi."
Alicia: "Je ne voie pas en quoi."
Red John: "Et bien, nous sommes doués pour faire souffrir Mr Jane. Evidemment, vous utilisez une méthode moins invasive que la mienne. Bien que vous soyez efficace avec un couteau. J'ai pu constater le magnifique travail que vous avez réalisé sur Peter Atkins."
Alicia: "Vous êtes un malade. Nous n'avons rien à voir, vous et moi."
Red John: "Ah, si seulement je vous avais rencontré avant... Avec votre potentiel, vous auriez été une recrue de choix."
Alicia: "Jamais je ne me serais associée à un meurtrier de votre espèce."
Il replia son journal et s'appuya sur le dossier de sa chaise.
Red John: "Je suis certain que si vous n'aviez pas fait la connaissance de Mr Jane, vous auriez porté le plus grand intérêt à cette proposition. Mais le fait est que Patrick s'est entiché de vous et il n'a plus la même détermination à me poursuivre."
Alicia: "J'ai peur de comprendre."
Red John: "Laissez-moi vous expliquer le fond de ma pensée. Vous l'avez quitté à plusieurs reprises et à chaque fois, sa volonté à vous retrouver a pris le pas sur son acharnement à me poursuivre."
Alicia, un sourire en coin: "Vous êtes jaloux! Parce que je vous ai volé la vedette, auprès de Jane? Ah! C'est à mourir de rire."
Elle était inconsciente de se moquer de cette manière de lui.
Red John: "Précisément. Tant que vous serez là pour lui apporter l'espoir d'un avenir, il se détournera peu à peu de sa mission première."
Alicia: "Mission qui consiste à vous faire payer le massacre de sa famille."
Elle se redressa sur sa chaise.
Alicia: "Ecoutez-moi bien, Red John ou qui que vous soyez en réalité. Je ne bougerais pas de cette ville et je ne quitterais pas Patrick Jane. Je suis fatiguée de toutes ces menaces. Cette conversation est terminée."
Elle se leva, sous le regard inexpressif de son interlocuteur.
Alicia: "Sachez que je n'ai pas peur de vous, John!"
Red John: "Je le sais. A très bientôt Melle Wang. On va se revoir."
Elle saisie sa mallette et sorti du café. Alors qu'elle attendait devant le "O'Malley", le supposé Red John fila, à pieds, lui adressant un geste de la main, au passage.
Alicia décida d'avancer, dans la direction opposée. Même si elle jouait les dures, les propos de cet homme sonnaient clairement comme des menaces de mort. Il voulait se débarrasser d'elle pour que Jane ne soit pas distrait dans sa quête de vengeance.
Elle accéléra et, au détour d'une rue adjacente, Alicia fut violemment tirée par le bras et entraînée au fond d'une ruelle sombre. Son agresseur portait un masque et l'empêchait de crier, en lui plaquant une main sur la bouche. Il sorti un couteau et eu beaucoup de mal à l'utiliser car la jeune femme était coriace et elle parvint à retourner l'arme contre lui, le blessant à la jambe. Il la mis aussitôt KO d'un revers de la main. Elle revint à elle en touchant le sol humide. Il se plaça sur elle.
Alicia savait qu'elle n'en avait plus pour longtemps, en voyant cette lame maculée du sang de ce tueur. Dans un sursaut de lucidité, elle appuya fortement, dans la plaie de l'agresseur, avec sa main. Elle voulait gagner du temps pour que quelqu'un arrive et la sorte de là. Sa main était rougie par le sang de ce monstre. De là où elle se trouvait, elle pouvait voir les passants déambuler, dans la rue principale, mais personne ne vint à son secours. L'individu enleva son masque, puis plongea son couteau dans le ventre de sa victime. Elle murmurait quelque chose, il se pencha au-dessus d'elle.
Alicia: "A très bientôt John."
Malgré la douleur atroce, elle lui fit un sourire provocateur.
Red John ne l'acheva pas immédiatement, il prit d'abord le portable de la métisse, dans sa mallette et composa le numéro de Jane.
Il le plaça ensuite près du visage d'Alicia. Il voulait que le mentaliste sache qu'il ne pourrait pas être heureux et qu'il lui prendrait tous ceux à qui il tenait.
La jeune femme ne prononça pas un mot ni une plainte lorsque la messagerie s'enclencha. En entendant la voix de Patrick, sur ce répondeur, une larme coula le long de sa joue. Puis, Red John leva le couteau et le frappa à plusieurs reprises. Elle conserva son contrôle jusqu'à la fin. Elle ne lui donnerait pas le plaisir de la regarder souffrir. Lorsqu'elle rendit son dernier soupir, Red John déposa une enveloppe dans la main de sa victime et s'évapora dans la nature.
A 15h, le téléphone retentit, dans le CBI.
Van Pelt: "Patron, on a une affaire. Un meurtre à deux rues du "O'Malley"."
Elle paraissait embarrassée.
Lisbon: "Oui, continuez Van Pelt."
Van Pelt: "La victime est une femme et il est possible que ce soit le mode opératoire de Red John."
L'agent en chef rassembla l'équipe y compris Jane. Ignorant l'identité de la victime, ils se rendirent sur les lieux, persuadés d'aller enquêter sur le meurtre d'une parfaite inconnue.
Invité- Invité
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Red John, je
Là on peut dire que Jane est vraiment victime d'une malédiction! Cela me fait de la peine pour lui...
J'aimais bien Alicia.
Là on peut dire que Jane est vraiment victime d'une malédiction! Cela me fait de la peine pour lui...
J'aimais bien Alicia.
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Merci Elodie!!!
La suite...
Chapitre 45
L'équipe se divisa en deux groupe. Lisbon, Rigsby et Jane, dans la SUV, et Cho qui les suivait en voiture. A leur arrivée sur place, la ruelle était envahie par les véhicules de la police locale et plusieurs 4x4 noirs du FBI. Ce dernier détail intrigua les agents et particulièrement Jane.
Rigsby: "Qu'est-ce que le FBI fait ici?"
Lisbon: "On va vite le savoir. Mais c'est vrai que c'est étrange, ils on réagi trop vite pour une simple citoyenne. Peut-être que la victime est un de leurs agents?"
Jane ne dit rien, se contentant d'observer les allées et venues des officiers, en se mordant les lèvres. Une ambulance venait de partir, avec le corps, avant même que quiconque ne puisse l'identifier formellement.
Les agents descendirent de la SUV et furent tout de suite accueillis par une femme en costume noir.
Lisbon, brandissant son badge: "Agent Lisbon, CBI."
La femme: "Bien, je suis l'agent Baker. Vous vous êtes déplacés pour rien, agent Lisbon."
Lisbon: "Attendez une minute, cette affaire nous revient, s'il s'agit bien de Red John. Et à ce que je vois, c'est bien le cas."
Baker: "Le FBI reprend le dossier Red John."
Lisbon: "En quel honneur? Pourquoi le FBI aurait la priorité sur nous?"
Baker: "C'est en rapport avec la victime."
Lisbon: "Vous l'avez identifiée?"
Baker: "Vu l'état du corps c'était impossible. Ce malade s'est acharné sur elle, on avait encore jamais vu ça avec Red John. J'attend les résultats ADN."
Un des officiers de la scientifique trouva un portable sous une benne à ordures, et le remis à l'agent Baker.
Baker: "C'est certainement celui de la victime. Voyons qui elle a appelé en dernier."
Elle rappela le dernier numéro et une sonnerie retenti à proximité.
Térésa tourna la tête et aperçu le mentaliste attraper son téléphone. Soudain, tout devint limpide, elle connaissait la victime, tout comme son équipe. Mais il restait une chance infime pour que ce ne soit pas elle et qu'on lui ait volé son mobile.
Jane se rapprocha des agents à toute vitesse.
Jane, affolé: "C'est le portable d'Alicia!"
Lisbon: "Du calme Jane! On lui a certainement volé. Ca se produit tous les jours."
L'agent du FBI qui s'était éloignée un instant pour récupérer les résultats du labo, revint vers eux.
Baker, le nez sur le document: "Alors. La victime s'appelle Alicia Wang. 35 ans, domiciliée à Sacramento, avocate. Pas de mari pas d'enfant. Ses parent vivent à Oakland."
Le consultant devint tout pâle.
Lisbon: "Jane, je ne sais pas quoi dire. Je suis désolée."
Jane ne s'arrêtait pas de marcher: "Non, vous vous trompez, ce n'est pas elle, ça ne peut pas être Alicia."
La brunette lui posa une main sur le bras.
Jane: "Ne me touchez pas Térésa! Je vous dis que ce n'est pas Alicia."
Il s'isola dans la SUV, pour assimiler la triste nouvelle. Il l'avait perdu et retrouvée tant de fois, qu'il ne pouvait pas se résoudre à accepter sa mort. Il s'attendait à la voir débarquer, d'un instant à l'autre, pour le prendre dans ses bras en lui demandant pardon de lui avoir causé du soucis pour rien. Mais cette fois, ça ne se passerait pas aussi bien.
Baker: "Voilà pourquoi votre équipe ne peut pas être sur ce dossier. L'un de vos agent est un ami proche de la victime et votre consultant était fiancé avec elle. Nous avons enquêté à ce sujet. Vous êtes tous trop impliqués pour avoir un jugement fiable."
Lisbon: "Oui, je comprend. Merci agent Baker."
Rigsby, l'ai déconfit: "Qu'est-ce qu'on fait patron? On peut pas les laisser faire, Red John a toujours été notre dossier, depuis le début."
Lisbon: "Je sais. Moi aussi ça me rend dingue. Mais Baker a raison, cette fois, l'équipe est trop impliquée. Aller on y va. Où est Cho?"
Rigsby: "Ca voiture n'est plus là. Il a du aller annoncer la mort d'Alicia, à ses parents."
Elle aperçut le consultant, à l'arrière de la SUV, les yeux dans le vague.
Rigsby: "Vous croyez que Jane tiendra le choc?"
Lisbon: "Je ne sais pas. C'est la deuxième fois que Red John lui arrache la femme qu'il aime. Mais là, il a été encore plus cruel. Tenez, un des policiers qui l'ont trouvée m'a donner ce mot. Alicia le tenait dans sa main."
Le grand brun le lu: "Cher ami, je nous ai débarrassé du seul obstacle qui existait entre nous. A présent, nous pouvons reprendre notre petit jeu du chat et de la souri.
Rigsby, repliant le papier: "Vous allez en faire quoi? Si Jane lit ça, ça va l'achever."
Lisbon: "Il ne le verra pas, il se sent déjà assez coupable."
Ils montèrent en voiture direction le CBI. Là-bas, Jane s'enferma dans son antre, sans parler à personne.
Et ce fut son quotidien pendant plusieurs mois. Il n'en sortait que pour suivre l'équipe sur les scènes de crime, il les aidait toujours à résoudre des affaires mais le coeur n'y était plus. Dès qu'ils revenaient au bureau, Jane remontait se terrer dans le grenier à ruminer son désespoir et sa tristesse.
Ce qui le détruisait, c'était qu'il ne pouvait pas faire son deuil car il n'avait pas pu voir le corps d'Alicia. Personne n'y avait eu accès, appart le FBI.
Elle avait été autopsiée et incinérée. C'est tout ce qu'on avait bien voulu lui dire.
Un an après ce drame, Jane se complaisait dans sa dépression, se considérant coupable. Il avait même réemménagé dans son ancienne villa.
Tous les progrès qu'il avait faits pour oublier la mort de sa famille était réduits à néant, après la perte d'Alicia.
Lassée et inquiète de l'attitude de son consultant, Lisbon lui proposa de prendre des vacances. Elle le trouva dans le grenier, allongé sur son lit, les yeux rivés au plafond.
Lisbon le bouscula: "Jane, comment ça va aujourd'hui?"
Jane: "Comme tous les jours. Je respire encore."
Lisbon: "Ne sois pas aussi cynique! Y'en a marre de te voir dans cet état."
Jane: "Tu n'as qu'à me virer. Ah non! Si tu me vires, Red John serait capable de tuer quelqu'un d'autre pour se venger."
Il se tourna vers le mur, de dos à Térésa qui s'assis près de lui.
Lisbon: "Je sais ce que tu ressens, Patrick. Mais tu dois passer à autre chose, tu dois avancer. C'est ce qu'Alicia aurait voulu."
Jane: "Le FBI ne m'a même pas laissé la voir."
Elle changea brusquement de sujet comme si la discussion prenait une tournure qu'elle voulait éviter.
Lisbon: "Tu es en congés à partir d'aujourd'hui. J'ai parlé à Hightower, elle est d'accord. Ca te fera du bien."
Jane: "Je ne veux aller nulle part."
Lisbon: "Ce n'est pas un conseil, c'est un ordre!"
Elle fouilla dans le dossier qu'elle avait apporté avec elle et en sorti le prospectus d'une auberge dans l'Utah, à Salt Lake City.
Jane: "Tu essayes de te débarrasser de moi en m'expédiant chez les mormons?"
Lisbon: "Bien sûr que non. Ca te remontera le moral d'aller là-bas. Tu verras, c'est calme et paisible."
Il ne répondait pas, se demandant ce qu'elle lui cachait. Il était clair que ce petit voyage et surtout le choix de ce lieux n'était pas anodin.
Lisbon ajouta, avant de quitter le grenier: "Ton avion décolle demain à 9h. Rentre chez toi et fais tes bagages pour deux semaines au moins."
Jane: "Qu'est-ce que je ferais dans l'Utah? Tu vas m'accompagner?"
Lisbon: "Uniquement à l'aéroport. Tu voyagera seul, mais ne t'en fais pas, tu ne t'ennuieras pas, fais-moi confiance."
Elle referma la porte après lui avoir remis son billet d'avion. Le mentaliste réfléchi un instant et obéis comme un brave petit soldat, en rentrant préparer ses valises.
La suite...
Chapitre 45
L'équipe se divisa en deux groupe. Lisbon, Rigsby et Jane, dans la SUV, et Cho qui les suivait en voiture. A leur arrivée sur place, la ruelle était envahie par les véhicules de la police locale et plusieurs 4x4 noirs du FBI. Ce dernier détail intrigua les agents et particulièrement Jane.
Rigsby: "Qu'est-ce que le FBI fait ici?"
Lisbon: "On va vite le savoir. Mais c'est vrai que c'est étrange, ils on réagi trop vite pour une simple citoyenne. Peut-être que la victime est un de leurs agents?"
Jane ne dit rien, se contentant d'observer les allées et venues des officiers, en se mordant les lèvres. Une ambulance venait de partir, avec le corps, avant même que quiconque ne puisse l'identifier formellement.
Les agents descendirent de la SUV et furent tout de suite accueillis par une femme en costume noir.
Lisbon, brandissant son badge: "Agent Lisbon, CBI."
La femme: "Bien, je suis l'agent Baker. Vous vous êtes déplacés pour rien, agent Lisbon."
Lisbon: "Attendez une minute, cette affaire nous revient, s'il s'agit bien de Red John. Et à ce que je vois, c'est bien le cas."
Baker: "Le FBI reprend le dossier Red John."
Lisbon: "En quel honneur? Pourquoi le FBI aurait la priorité sur nous?"
Baker: "C'est en rapport avec la victime."
Lisbon: "Vous l'avez identifiée?"
Baker: "Vu l'état du corps c'était impossible. Ce malade s'est acharné sur elle, on avait encore jamais vu ça avec Red John. J'attend les résultats ADN."
Un des officiers de la scientifique trouva un portable sous une benne à ordures, et le remis à l'agent Baker.
Baker: "C'est certainement celui de la victime. Voyons qui elle a appelé en dernier."
Elle rappela le dernier numéro et une sonnerie retenti à proximité.
Térésa tourna la tête et aperçu le mentaliste attraper son téléphone. Soudain, tout devint limpide, elle connaissait la victime, tout comme son équipe. Mais il restait une chance infime pour que ce ne soit pas elle et qu'on lui ait volé son mobile.
Jane se rapprocha des agents à toute vitesse.
Jane, affolé: "C'est le portable d'Alicia!"
Lisbon: "Du calme Jane! On lui a certainement volé. Ca se produit tous les jours."
L'agent du FBI qui s'était éloignée un instant pour récupérer les résultats du labo, revint vers eux.
Baker, le nez sur le document: "Alors. La victime s'appelle Alicia Wang. 35 ans, domiciliée à Sacramento, avocate. Pas de mari pas d'enfant. Ses parent vivent à Oakland."
Le consultant devint tout pâle.
Lisbon: "Jane, je ne sais pas quoi dire. Je suis désolée."
Jane ne s'arrêtait pas de marcher: "Non, vous vous trompez, ce n'est pas elle, ça ne peut pas être Alicia."
La brunette lui posa une main sur le bras.
Jane: "Ne me touchez pas Térésa! Je vous dis que ce n'est pas Alicia."
Il s'isola dans la SUV, pour assimiler la triste nouvelle. Il l'avait perdu et retrouvée tant de fois, qu'il ne pouvait pas se résoudre à accepter sa mort. Il s'attendait à la voir débarquer, d'un instant à l'autre, pour le prendre dans ses bras en lui demandant pardon de lui avoir causé du soucis pour rien. Mais cette fois, ça ne se passerait pas aussi bien.
Baker: "Voilà pourquoi votre équipe ne peut pas être sur ce dossier. L'un de vos agent est un ami proche de la victime et votre consultant était fiancé avec elle. Nous avons enquêté à ce sujet. Vous êtes tous trop impliqués pour avoir un jugement fiable."
Lisbon: "Oui, je comprend. Merci agent Baker."
Rigsby, l'ai déconfit: "Qu'est-ce qu'on fait patron? On peut pas les laisser faire, Red John a toujours été notre dossier, depuis le début."
Lisbon: "Je sais. Moi aussi ça me rend dingue. Mais Baker a raison, cette fois, l'équipe est trop impliquée. Aller on y va. Où est Cho?"
Rigsby: "Ca voiture n'est plus là. Il a du aller annoncer la mort d'Alicia, à ses parents."
Elle aperçut le consultant, à l'arrière de la SUV, les yeux dans le vague.
Rigsby: "Vous croyez que Jane tiendra le choc?"
Lisbon: "Je ne sais pas. C'est la deuxième fois que Red John lui arrache la femme qu'il aime. Mais là, il a été encore plus cruel. Tenez, un des policiers qui l'ont trouvée m'a donner ce mot. Alicia le tenait dans sa main."
Le grand brun le lu: "Cher ami, je nous ai débarrassé du seul obstacle qui existait entre nous. A présent, nous pouvons reprendre notre petit jeu du chat et de la souri.
Rigsby, repliant le papier: "Vous allez en faire quoi? Si Jane lit ça, ça va l'achever."
Lisbon: "Il ne le verra pas, il se sent déjà assez coupable."
Ils montèrent en voiture direction le CBI. Là-bas, Jane s'enferma dans son antre, sans parler à personne.
Et ce fut son quotidien pendant plusieurs mois. Il n'en sortait que pour suivre l'équipe sur les scènes de crime, il les aidait toujours à résoudre des affaires mais le coeur n'y était plus. Dès qu'ils revenaient au bureau, Jane remontait se terrer dans le grenier à ruminer son désespoir et sa tristesse.
Ce qui le détruisait, c'était qu'il ne pouvait pas faire son deuil car il n'avait pas pu voir le corps d'Alicia. Personne n'y avait eu accès, appart le FBI.
Elle avait été autopsiée et incinérée. C'est tout ce qu'on avait bien voulu lui dire.
Un an après ce drame, Jane se complaisait dans sa dépression, se considérant coupable. Il avait même réemménagé dans son ancienne villa.
Tous les progrès qu'il avait faits pour oublier la mort de sa famille était réduits à néant, après la perte d'Alicia.
Lassée et inquiète de l'attitude de son consultant, Lisbon lui proposa de prendre des vacances. Elle le trouva dans le grenier, allongé sur son lit, les yeux rivés au plafond.
Lisbon le bouscula: "Jane, comment ça va aujourd'hui?"
Jane: "Comme tous les jours. Je respire encore."
Lisbon: "Ne sois pas aussi cynique! Y'en a marre de te voir dans cet état."
Jane: "Tu n'as qu'à me virer. Ah non! Si tu me vires, Red John serait capable de tuer quelqu'un d'autre pour se venger."
Il se tourna vers le mur, de dos à Térésa qui s'assis près de lui.
Lisbon: "Je sais ce que tu ressens, Patrick. Mais tu dois passer à autre chose, tu dois avancer. C'est ce qu'Alicia aurait voulu."
Jane: "Le FBI ne m'a même pas laissé la voir."
Elle changea brusquement de sujet comme si la discussion prenait une tournure qu'elle voulait éviter.
Lisbon: "Tu es en congés à partir d'aujourd'hui. J'ai parlé à Hightower, elle est d'accord. Ca te fera du bien."
Jane: "Je ne veux aller nulle part."
Lisbon: "Ce n'est pas un conseil, c'est un ordre!"
Elle fouilla dans le dossier qu'elle avait apporté avec elle et en sorti le prospectus d'une auberge dans l'Utah, à Salt Lake City.
Jane: "Tu essayes de te débarrasser de moi en m'expédiant chez les mormons?"
Lisbon: "Bien sûr que non. Ca te remontera le moral d'aller là-bas. Tu verras, c'est calme et paisible."
Il ne répondait pas, se demandant ce qu'elle lui cachait. Il était clair que ce petit voyage et surtout le choix de ce lieux n'était pas anodin.
Lisbon ajouta, avant de quitter le grenier: "Ton avion décolle demain à 9h. Rentre chez toi et fais tes bagages pour deux semaines au moins."
Jane: "Qu'est-ce que je ferais dans l'Utah? Tu vas m'accompagner?"
Lisbon: "Uniquement à l'aéroport. Tu voyagera seul, mais ne t'en fais pas, tu ne t'ennuieras pas, fais-moi confiance."
Elle referma la porte après lui avoir remis son billet d'avion. Le mentaliste réfléchi un instant et obéis comme un brave petit soldat, en rentrant préparer ses valises.
Invité- Invité
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Donc Alicia est belle et bien morte ? Wow. :)
J'aime trop ta fic.
(Jane/Lisbon or something else ? )
Il me tarde de connaître la suite !
J'aime trop ta fic.
(Jane/Lisbon or something else ? )
Il me tarde de connaître la suite !
MissHippie♥- Flic en uniforme
- Personnage préféré : JANE & LISBON
Loisirs :
Localisation : Sacramento
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Je rate deux chapitre et j 'apprend qu' Alicia est Morte
j'en revenait pas mdr sa j 'aurais jamais imaginer malgrer que je sait que quand tu t acharne sur un personnage ce n est pas a moitié mdr
Ravie de cette nouvelle même si Alicia était quand mm une personne de bien
RJ toujours aussi méchant je croit que Jane a une réaction tout à fait comphréensible et j espere qu il voient qu il n est pas seul et que ses amis sont là , Car Cho doit souffir énormement aussi
Mais aussi Lisbon est là auprès de Jane Super
Vite la suite
Gros bisous
j'en revenait pas mdr sa j 'aurais jamais imaginer malgrer que je sait que quand tu t acharne sur un personnage ce n est pas a moitié mdr
Ravie de cette nouvelle même si Alicia était quand mm une personne de bien
RJ toujours aussi méchant je croit que Jane a une réaction tout à fait comphréensible et j espere qu il voient qu il n est pas seul et que ses amis sont là , Car Cho doit souffir énormement aussi
Mais aussi Lisbon est là auprès de Jane Super
Vite la suite
Gros bisous
elenou03- Inspecteur de police
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Loisirs : regarder le mentalist
Localisation : Sur une île desserte avec OWAIN YEOMAN :)
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Deux chapitres et je n'ai pas été prévenue
Alicia morte...c'était prévisible avec de retour
Un an de passé et Jane qui déprime à nouveau
Maintenant ce que j'aimerais savoir c'est pourquoi Lisbon envoie son consultant dans l'Utah
Alicia morte...c'était prévisible avec de retour
Un an de passé et Jane qui déprime à nouveau
Maintenant ce que j'aimerais savoir c'est pourquoi Lisbon envoie son consultant dans l'Utah
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Olala je m'absente 15j et je vois que ta fic à drolement avancée!!!
D'abord Alicia qui part, ensuite elle est enceinte de Jane, elle revient, le mariage, les sentiments de Cho, l'annulation du mariage, les menaces de RJ et maintenant la mort d'Alicia!!!
Tu es vraiment sadique! J'aurais jamais imaginé que ta fic prendrait cette tournure (quoi qu'elle me plait bien)
Tu écris toujours aussi bien, c'est vraiment génial!
VLS pour savoir ce que sera ce voyage
D'abord Alicia qui part, ensuite elle est enceinte de Jane, elle revient, le mariage, les sentiments de Cho, l'annulation du mariage, les menaces de RJ et maintenant la mort d'Alicia!!!
Tu es vraiment sadique! J'aurais jamais imaginé que ta fic prendrait cette tournure (quoi qu'elle me plait bien)
Tu écris toujours aussi bien, c'est vraiment génial!
VLS pour savoir ce que sera ce voyage
Pepe64- Flic en uniforme
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Localisation : Avec Patrick Jane!!!
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Merci les filles, c'est super sympa de votre part!!!!
Chapitre 46
Le lendemain, à 8h précise, Lisbon attendait de pieds fermes, son consultant, devant la villa. Il apparut dans son sempiternel costume.
Jane: "Salut Lisbon!"
Térésa: "Ca fait plaisir de voir que tu as retrouvé le moral."
Jane: "Ne te fis pas aux apparences, je suis un bon comédien. Mais j'avoue que je suis curieux de savoir ce que tu me caches. Pourquoi Salt Lake City? Qu'est-ce qu'il y a dans cette ville?"
Térésa: "C'est une surprise. Maintenant, taie-toi et grimpe. Je ne veux surtout pas que tu rate ton vol."
Elle démarra et, à l'aéroport, elle le détailla des pieds à la tête.
Térésa, grimaçante: "Tu n'as rien trouvé de plus décontracté que ce costume."
Jane: "C'est mon costume décontracté."
Elle sourit.
L'annonce du vol se fit entendre: "Les passagers en partance pour Salt Lake City sont attendus porte 5."
Térésa: "C'est le tien."
Elle épousseta, par réflexe, les épaules du beau blond et le serra amicalement, dans ses bras.
Jane: "Je ne pars pas pour toujours, Térésa. Ce ne sont que deux semaines, peut-être moins."
Térésa, un peu émue: "Tout dépend de ce que tu trouveras. L'Utah et ses habitants pourraient te donner envie d'y rester. Qui sait?"
Jane: "Aucun risque! Il n'y a pas de Térésa Lisbon, là-bas."
Térésa: "Non, mais peut-être qu'ils ont quelque chose de bien mieux, pour toi."
Il l'embrassa sur la joue avant d'embarquer.
Lisbon essuya une larme au coin de ses yeux, même s'il ne partait pas longtemps, elle détestait les adieux de se genre. Elle respira à fond, se persuadant qu'elle avait fait ce qui était le mieux pour Jane. Il n'était parti que depuis quelques minutes et elle ressentait déjà le vide qu'il laissait. Térésa restait attachée à cet homme même si elle était consciente qu'il ne serait jamais à elle. Elle espérait que ce séjour, loin de Sacramento, l'apaiserait.
L'avion atterrit à Salt Lake, quelques heure après. Jane récupéra sa valise et prit un taxi qui le déposa devant l'auberge où Lisbon avait fait une réservation pour lui.
L'endroit était agréable et silencieux. le décor simple et chaleureux de sa chambre lui plut tout de suite. Lisbon avait bien choisi, elle connaissait les goûts de son ami.
Après avoir défait ses bagages, Jane profita d'un ciel clément pour faire une ballade dans la ville. Il était presque 13h, et son estomac se rappela à son bon souvenir.
Il décida de faire une halte, dans un petit troquet que Lisbon lui avait chaudement recommandé. Elle avait lourdement insisté pour qu'il s'y arrête. Cet établissement portait un nom évocateur pour lui: "La vie continue".
Il sourit en pensant que Térésa avait voulu lui faire passer un message.
Une serveuse vint prendre sa commande.
Jane: "Bonjour Melle. Je prendrais votre plat du jour et un café."
La serveuse: "Ce sera tout?"
Jane: "Non, qui a eu l'idée de cette enseigne? J'aime beaucoup."
La serveuse: "Oh, ça. C'est la patronne. Tanya."
Jane: "Et bien, dites-lui que c'est bien trouvé."
La serveuse: "Je vous apporte votre commande."
Pendant qu'il patientait, la serveuse parti dans l'arrière salle, rejoindre la patronne en question.
La serveuse: "Pss!! Tanya! Viens voir ce qui vient d'arriver."
Tanya, cachée derrière une montagne de paperasse: "J'ai pas le temps Andréa! Je suis un peu occupée là."
Andréa: "Je t'assure que tu le regrettera pas. Y a un touriste qui attend dans la salle."
Tanya: "Quel scoop! C'est un resto, normal qu'il y ait des touristes."
La serveuse écarta discrètement le rideau: "Pas comme celui-là. Regarde-moi ce mec, il est canon tu trouves pas? Ah si j'étais pas mariée! Mais toi, tu devrais tenter ta chance."
Tanya: "Je suis mariée aussi."
Andréa: "Arrête avec ça! Tu es veuve."
Elle referma le rideau et s'aperçu que sa patronne se comportait différemment.
Andréa: "Ca ne va pas? On dirait que tu as vu un fantôme. C'est ce que j'ai dit? Excuse-moi, je me rend pas compte, ça doit être encore douloureux pour toi"
Tanya: "Tu n'as pas idée, je pense à lui tous les jours."
Andréa: "Ouais, mais il était dans l'armée, il connaissait les risques. Bon, tu devrais recommencer à sortir. Avec un homme je veux dire."
Tanya: "C'est pas une bonne idée, c'est trop tôt."
Andréa: "Tu plaisantes, ça fait presque un an que tu vis ici et tu ne met pas le nez dehors. Tous les mecs te courent après mais tu les casses systématiquement. Il n'y a que ton boulot et ton gamin."
Tanya: "C'est suffisant pour moi."
Andréa: "Et bien pas pour moi. Aller, ce soir, tu as rancard et avec ce bel inconnu. Il est de passage, tu t'amuseras un peu avec lui, ça n'aura aucune conséquence et ça te feras du bien. Je garderais Jimy."
Elle entra avec la commande de ce client, alors que Tanya qui avait tenté de la retenir, les observa derrière le rideau.
Andréa: "Et voilà! Je peux vous poser une question?"
Jane: "Bien sûr."
Andréa: "J'ai une amie qui est un peu dépressive, vous voyez. Et je me demandais si vous accepteriez un dîner. Avec elle, pas avec moi."
Jane exhiba son alliance (celle qu'il aurait du porter après son union avec Alicia): "Je suis marié."
Andréa: "Ah! J'ai l'impression de l'entendre. Sauf que son mari est mort, tué en Afghanistan, il y a un an."
Jane: "Je comprend. En fait ma femme aussi est décédée, c'est trop récent."
Andréa: "Je vois. Excusez-moi de vous avoir importuné."
Jane: "Ce n'est rien."
Andréa: "Je vous apporte votre café et l'addition."
Le consultant sentait ses émotions reprendre le dessus. Il fit quelques pas et revint à sa table, fixant son alliance.
En cuisine, la serveuse préparait le café, mais sa chef l'interrompit, en remplaçant la tasse de café par du thé.
Andréa: "Pourquoi tu fais ça?"
Tanya: "Quelque chose me dit que c'est plus son genre."
Andréa: "Mouais. Au fait, vous êtes fait pour vous entendre, tous les deux. Lui aussi est bloqué sur la mort de sa femme."
Elle repassa le rideau avec la boisson brûlante, la posa devant Patrick, surpris.
Jane: "Du thé?"
Andréa: "Je n'y suis pour rien, c'est Tanya qui s'en est occupé. Mais je peux vous apporter un café?"
Jane: "Non, c'est parfait."
Tout un tas d'idées se bousculaient dans son esprit. La première étant évidemment que Térésa était derrière tout ça et que cette Tanya n'existait pas. Puis lui vint une autre supposition, vraiment impossible, de l'ordre du fantasme. C'était peut-être Alicia. Après tout, il n'avait pas vu le corps à la morgue ni la moindre photo du cadavre. Mais il secoua la tête pour revenir à la réalité. Alicia était morte et ne reviendrait pas.
Il en conclut que la patronne de ce troquet était une amie de Lisbon et qu'elle lui avait fournis des renseignements sur ses habitudes, afin de rendre son séjour agréable. Alors que le beau blond était plongé dans ses pensées, une main jeta sa note sur la table.
Une voix qu'il reconnaîtrait entre mille, lui dit: "Et n'oubliez pas le pour boire."
Il se retourna vivement et en levant les yeux, son coeur s'emballa et sa respiration s'accéléra.
Chapitre 46
Le lendemain, à 8h précise, Lisbon attendait de pieds fermes, son consultant, devant la villa. Il apparut dans son sempiternel costume.
Jane: "Salut Lisbon!"
Térésa: "Ca fait plaisir de voir que tu as retrouvé le moral."
Jane: "Ne te fis pas aux apparences, je suis un bon comédien. Mais j'avoue que je suis curieux de savoir ce que tu me caches. Pourquoi Salt Lake City? Qu'est-ce qu'il y a dans cette ville?"
Térésa: "C'est une surprise. Maintenant, taie-toi et grimpe. Je ne veux surtout pas que tu rate ton vol."
Elle démarra et, à l'aéroport, elle le détailla des pieds à la tête.
Térésa, grimaçante: "Tu n'as rien trouvé de plus décontracté que ce costume."
Jane: "C'est mon costume décontracté."
Elle sourit.
L'annonce du vol se fit entendre: "Les passagers en partance pour Salt Lake City sont attendus porte 5."
Térésa: "C'est le tien."
Elle épousseta, par réflexe, les épaules du beau blond et le serra amicalement, dans ses bras.
Jane: "Je ne pars pas pour toujours, Térésa. Ce ne sont que deux semaines, peut-être moins."
Térésa, un peu émue: "Tout dépend de ce que tu trouveras. L'Utah et ses habitants pourraient te donner envie d'y rester. Qui sait?"
Jane: "Aucun risque! Il n'y a pas de Térésa Lisbon, là-bas."
Térésa: "Non, mais peut-être qu'ils ont quelque chose de bien mieux, pour toi."
Il l'embrassa sur la joue avant d'embarquer.
Lisbon essuya une larme au coin de ses yeux, même s'il ne partait pas longtemps, elle détestait les adieux de se genre. Elle respira à fond, se persuadant qu'elle avait fait ce qui était le mieux pour Jane. Il n'était parti que depuis quelques minutes et elle ressentait déjà le vide qu'il laissait. Térésa restait attachée à cet homme même si elle était consciente qu'il ne serait jamais à elle. Elle espérait que ce séjour, loin de Sacramento, l'apaiserait.
L'avion atterrit à Salt Lake, quelques heure après. Jane récupéra sa valise et prit un taxi qui le déposa devant l'auberge où Lisbon avait fait une réservation pour lui.
L'endroit était agréable et silencieux. le décor simple et chaleureux de sa chambre lui plut tout de suite. Lisbon avait bien choisi, elle connaissait les goûts de son ami.
Après avoir défait ses bagages, Jane profita d'un ciel clément pour faire une ballade dans la ville. Il était presque 13h, et son estomac se rappela à son bon souvenir.
Il décida de faire une halte, dans un petit troquet que Lisbon lui avait chaudement recommandé. Elle avait lourdement insisté pour qu'il s'y arrête. Cet établissement portait un nom évocateur pour lui: "La vie continue".
Il sourit en pensant que Térésa avait voulu lui faire passer un message.
Une serveuse vint prendre sa commande.
Jane: "Bonjour Melle. Je prendrais votre plat du jour et un café."
La serveuse: "Ce sera tout?"
Jane: "Non, qui a eu l'idée de cette enseigne? J'aime beaucoup."
La serveuse: "Oh, ça. C'est la patronne. Tanya."
Jane: "Et bien, dites-lui que c'est bien trouvé."
La serveuse: "Je vous apporte votre commande."
Pendant qu'il patientait, la serveuse parti dans l'arrière salle, rejoindre la patronne en question.
La serveuse: "Pss!! Tanya! Viens voir ce qui vient d'arriver."
Tanya, cachée derrière une montagne de paperasse: "J'ai pas le temps Andréa! Je suis un peu occupée là."
Andréa: "Je t'assure que tu le regrettera pas. Y a un touriste qui attend dans la salle."
Tanya: "Quel scoop! C'est un resto, normal qu'il y ait des touristes."
La serveuse écarta discrètement le rideau: "Pas comme celui-là. Regarde-moi ce mec, il est canon tu trouves pas? Ah si j'étais pas mariée! Mais toi, tu devrais tenter ta chance."
Tanya: "Je suis mariée aussi."
Andréa: "Arrête avec ça! Tu es veuve."
Elle referma le rideau et s'aperçu que sa patronne se comportait différemment.
Andréa: "Ca ne va pas? On dirait que tu as vu un fantôme. C'est ce que j'ai dit? Excuse-moi, je me rend pas compte, ça doit être encore douloureux pour toi"
Tanya: "Tu n'as pas idée, je pense à lui tous les jours."
Andréa: "Ouais, mais il était dans l'armée, il connaissait les risques. Bon, tu devrais recommencer à sortir. Avec un homme je veux dire."
Tanya: "C'est pas une bonne idée, c'est trop tôt."
Andréa: "Tu plaisantes, ça fait presque un an que tu vis ici et tu ne met pas le nez dehors. Tous les mecs te courent après mais tu les casses systématiquement. Il n'y a que ton boulot et ton gamin."
Tanya: "C'est suffisant pour moi."
Andréa: "Et bien pas pour moi. Aller, ce soir, tu as rancard et avec ce bel inconnu. Il est de passage, tu t'amuseras un peu avec lui, ça n'aura aucune conséquence et ça te feras du bien. Je garderais Jimy."
Elle entra avec la commande de ce client, alors que Tanya qui avait tenté de la retenir, les observa derrière le rideau.
Andréa: "Et voilà! Je peux vous poser une question?"
Jane: "Bien sûr."
Andréa: "J'ai une amie qui est un peu dépressive, vous voyez. Et je me demandais si vous accepteriez un dîner. Avec elle, pas avec moi."
Jane exhiba son alliance (celle qu'il aurait du porter après son union avec Alicia): "Je suis marié."
Andréa: "Ah! J'ai l'impression de l'entendre. Sauf que son mari est mort, tué en Afghanistan, il y a un an."
Jane: "Je comprend. En fait ma femme aussi est décédée, c'est trop récent."
Andréa: "Je vois. Excusez-moi de vous avoir importuné."
Jane: "Ce n'est rien."
Andréa: "Je vous apporte votre café et l'addition."
Le consultant sentait ses émotions reprendre le dessus. Il fit quelques pas et revint à sa table, fixant son alliance.
En cuisine, la serveuse préparait le café, mais sa chef l'interrompit, en remplaçant la tasse de café par du thé.
Andréa: "Pourquoi tu fais ça?"
Tanya: "Quelque chose me dit que c'est plus son genre."
Andréa: "Mouais. Au fait, vous êtes fait pour vous entendre, tous les deux. Lui aussi est bloqué sur la mort de sa femme."
Elle repassa le rideau avec la boisson brûlante, la posa devant Patrick, surpris.
Jane: "Du thé?"
Andréa: "Je n'y suis pour rien, c'est Tanya qui s'en est occupé. Mais je peux vous apporter un café?"
Jane: "Non, c'est parfait."
Tout un tas d'idées se bousculaient dans son esprit. La première étant évidemment que Térésa était derrière tout ça et que cette Tanya n'existait pas. Puis lui vint une autre supposition, vraiment impossible, de l'ordre du fantasme. C'était peut-être Alicia. Après tout, il n'avait pas vu le corps à la morgue ni la moindre photo du cadavre. Mais il secoua la tête pour revenir à la réalité. Alicia était morte et ne reviendrait pas.
Il en conclut que la patronne de ce troquet était une amie de Lisbon et qu'elle lui avait fournis des renseignements sur ses habitudes, afin de rendre son séjour agréable. Alors que le beau blond était plongé dans ses pensées, une main jeta sa note sur la table.
Une voix qu'il reconnaîtrait entre mille, lui dit: "Et n'oubliez pas le pour boire."
Il se retourna vivement et en levant les yeux, son coeur s'emballa et sa respiration s'accéléra.
Invité- Invité
Re: La vie privée de Patrick Jane^
C'est quelqu'un qu'il connait! Mais qui???
Je veux savoir!!!!
Sinon, trop bien la suite!! :vivement:
Je veux savoir!!!!
Sinon, trop bien la suite!! :vivement:
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Hooooo mais tu peut pas t arrêter là qui est cette femme???
Lisbon a mijoter un plan mais quesque c'est ???
Vite la suite
Gros bisous
Lisbon a mijoter un plan mais quesque c'est ???
Vite la suite
Gros bisous
elenou03- Inspecteur de police
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Loisirs : regarder le mentalist
Localisation : Sur une île desserte avec OWAIN YEOMAN :)
Re: La vie privée de Patrick Jane^
je ne sais pas pourquoi mais il me semble que je sais qui est cette mystérieuse femme mais c'est pas possible, ou alors tu nous as caché un truc, t'es une vrai sadique toi
Lisbon devait avoir une bonne raison d'envoyer Jane là-bas, et elle sait que même si Alicia est morte, elle ne pourra jamais avoir Jane, alors je pense savoir pourquoi elle l'a envoyé dans ce petit resto précis, maintenant reste à savoir si j'ai raison mais je ne dirais rien, on sait jamais, peut-être que j'ai tort
il me tarde de lire la suite :vivement: :vivement: :vivement: :vivement:
Lisbon devait avoir une bonne raison d'envoyer Jane là-bas, et elle sait que même si Alicia est morte, elle ne pourra jamais avoir Jane, alors je pense savoir pourquoi elle l'a envoyé dans ce petit resto précis, maintenant reste à savoir si j'ai raison mais je ne dirais rien, on sait jamais, peut-être que j'ai tort
il me tarde de lire la suite :vivement: :vivement: :vivement: :vivement:
Sweetylove30- Red John
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Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: La vie privée de Patrick Jane^
J'ai tout de suite pensé à Lockdown de sweety quand tu as fait des mystères sur la mort d'Alicia...
Maintenant je suis presque sûre de l'identité de Tanya...
est ce que je me trompe
Maintenant je suis presque sûre de l'identité de Tanya...
est ce que je me trompe
Johel- In Jane we trust
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Localisation : près de l'océan
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Merci les filles, il me semble que vous êtes sur la bonne voie!!
Mais vous allez le savoir tout de suite...
Chapitre 47
Le consultant n'osa pas prononcer le moindre mot, tellement il était sous le choc. Il avait fait ce rêve depuis plusieurs mois en sachant que c'était impossible qu'il devienne réalité. Mais elle était bel et bien vivante, là, debout devant lui. Mais comment? Que c'était-il passé dans cette ruelle, ce jour-là? Lisbon l'avait-elle envoyé à Salt Lake intentionnellement?
Jane avait tant de questions à lui poser. Mais pas tout de suite. Trop heureux de la revoir, il la dévisageait.
Tanya (Alicia), lui glissa un mot dans la poche, en lui chuchotant: "Je t'expliquerais tout."
Il se leva pour partir et ne résista pas à l'envie d'avoir un contact avec celle qu'il croyait avoir perdu définitivement.
Jane lui tendit une main qu'elle serra en souriant.
Tanya (Alicia): "Merci et à bientôt j'espère."
Jane: "A bientôt sûrement."
Il déposa un baiser sur le dos de sa main. Le jeune couple, séparé depuis si longtemps, n'avait qu'une envie, se jeter dans les bras l'un de l'autre. Mais il ne fallait pas, personne ne devait savoir qu'ils se connaissaient.
Jane sortit, en adressant un regard plein de tendresse à la métisse. Son associée la rejoint.
Andréa: "Ouah! Ca c'est du coup de foudre ou je m'y connais pas. Tu vas le revoir finalement?"
Tanya (Alicia): "Passe chercher Jimy à 16h, il dort chez toi."
Son amie esquissa un sourire entendu.
Andréa: "Tu n'as pas perdu de temps. Tu as raison d'en profiter, amuse-toi."
Tanya (Alicia): "Je récupérerais le petit demain matin."
Patrick, lui, s'était installé sur un banc, dans un parc, pour lire le petit mot d'Alicia. C'était une adresse et un rendez-vous fixé à 19h. En guise de signature: "Je t'aime, Ali."
Tous les deux comptaient les minutes qui les séparaient de leur rendez-vous. L'attente était interminable pour le blond. Il prit sur lui de retourner dans le restaurant, pour prendre un café. Alicia était seule, elle rangeait le bar, seuls quelques clients avait investis les tables ça et là.
Il entra et s'installa sur un tabouret, au comptoir. Elle lui servi un café, ce qui permis à Jane d'en profiter pour toucher ses mains, à la moindre occasion.
Alicia, à voix basse: "Arrête ça, on nous regarde."
Jane: "Tu me manques, c'est atroce."
Alicia: "A moi aussi... J'ai une idée."
Elle trébucha sa tasse, renversant son contenu sur la veste du consultant.
Alicia: "Oh, je suis maladroite. Venez, je vais nettoyer ça."
Sitôt à l'abris des regards indiscrets, Jane embrassa passionnément Alicia. Ils auraient voulu aller plus loin, mais ce n'était ni l'endroit ni le moment. N'importe qui aurait pu les surprendre. La jeune femme se libéra de l'étreinte tant espérée de Jane.
Alicia détachant ses lèvres des siennes: "Il faut que j'y aille. On se voit se soir."
Jane: "Il va falloir qu'on parle Alicia."
Alicia: "Oui, on parlera aussi."
Il lui sourit à cette perspective et elle lui donna un baiser du bout des lèvres.
Alicia: "Je t'aime."
Jane: "Je t'aime Alicia."
Alicia, rectifia: "Tanya. Pour tout le monde, ici, je suis Tanya Wilkins."
Il était sur un petit nuage, avoir pu l'enlacer, même quelques instants, il n'y croyait pas encore, c'était si irréel et inespéré.
Plus il y pensait, plus il se disait qu'Alicia avait survécu à l'agression et avait été placée dans le programme de protection des témoins. Cela expliquait son changement d'identité.
Mais dans ce cas, où se cachait le FBI? Jane était pourtant un observateur hors pair, mais il n'avait rien noté d'anormal, dans les environs. De toutes façon, Alicia allait tout lui révéler ce soir et il espérait obtenir des éclaircissements sur l'implication de Lisbon, dans cette histoire. La vérité était que Térésa l'avait envoyé dans cette ville afin qu'il y retrouve la jeune femme. Il était tellement désemparé, ces derniers mois, et cela empirait un peu plus, chaque jour. C'est la solution qu'elle avait trouvé pour lui redonner le sourire et faire réapparaître le vrai Patrick Jane, celui qui les faisait tous tourner en bourrique, au CBI, qui leur attirait des ennuis par ses frasques et ses gamineries. Ce que Jane ignorait c'est que Lisbon était en contact avec Alicia.
Après s'être remis de ses émotions, le beau blond retourna à l'auberge où il s'allongea dans sa chambre pour rassembler ses esprits. Il ferma les yeux, souriant en repensant à ce qui venait de se passer.
A 17h, Alicia ferma l'établissement pour passer un appel depuis une cabine publique.
Alicia: "Lisbon, c'est moi."
Lisbon: "Alicia, qu'est-ce qui se passe?"
Alicia: "A vous de me le dire. Qu'est-ce que Patrick fait ici?"
Lisbon: "C'est moi qui l'ai envoyé. Vous l'avez vu?"
Alicia, un peu agressive: "Ca m'aurait été difficile de le manquer. Il est venu droit au restaurant. Vous lui aviez donné l'adresse je suppose?"
Lisbon: "J'ai fait ça pour lui. Alicia, il n'a jamais cru à votre mort. Ca le détruisait de plus en plus. Je ne supportais plus de le voir comme ça."
Alicia se calma: "Excusez-moi Térésa, je sais que je vous dois beaucoup."
Lisbon: "Ne vous excusez pas. Après ce que vous avez traversé, votre méfiance est justifiée."
Alicia: "Je sais que vous ne l'avez fait que pour lui, mais je vous remercie."
Lisbon: "Je vous en prie. La place de Jane est avec sa famille. Soyez prudente et prenez soin de Jane. Il a besoin de vous."
Alicia: "Ca me touche de votre part. Vous êtes toujours amoureuse de lui, ça doit être difficile pour vous."
Lisbon: "Il est heureux grâce à vous, c'est le plus important."
Alicia: "Une dernière chose, Térésa, il est au courant de tout?"
Lisbon: "Je ne lui ai rien dit. Je l'ai simplement conduit à l'aéroport, sans préciser les détails de son séjour. Je lui ai juste communiqué quelques adresses qui l'ont menées à vous. Donc vous ne lui avez pas annoncé."
Alicia: "Non, j'ai eu un peu peur de sa réaction, à vrai dire."
Lisbon: "Même si ça me coûte de le reconnaître, Jane vous aime, vous pouvez lui faire confiance."
Alicia: "Merci pour votre soutien, Térésa, vous êtes une amie formidable."
Lisbon: "Je me suis trompé sur vous, vous êtes quelqu'un de bien."
Alicia: "Ca me fait plaisir que vous le pensiez. A bientôt."
L'heure de son rendez-vous avec Jane approchait à grands pas, ce qui faisait monter l'angoisse de la métisse. Elle prit un bain, pour se détendre, puis elle s'habilla.
Devant son miroir, elle observait les cicatrices laissées par l'agression de Red John. D'un seul coup, ses mauvais souvenirs resurgirent. Les détails de ce jour-là lui revinrent en pleine figure. Elle sentait encore la lame la transpercer encore et encore.
Flashback
Red John déposa une enveloppe dans la main de sa victime, inanimée, puis s'échappa, avant l'arrivée de la police. Une patrouille, alertée par un SDF, qui avait cru distinguer une silhouette inerte, au fond de la ruelle, s'arrêta.
Un jeune officier s'approcha de la métisse. La croyant morte, il contacta le central de la police locale. Une ambulance fut dépêchée pour s'occuper du corps, après l'intervention de la scientifique et du médecin légiste.
Le coroner, lors de l'examen, sur place, détecta un pouls et une faible respiration.
La jeune femme fut aussitôt transportée dans l'ambulance pour la stabiliser avant le transfert à l'hôpital.
Le FBI était le suivant, sur les lieux, et prit l'affaire Red John, en charge.
Alicia fut déclarée morte, par les fédéraux. Officiellement morte, mais la vérité était toute autre. Alicia avait été transférée dans un centre médical fédéral.
Elle y passa plusieurs semaines, jusqu'à ce qu'elle soit remise de ses blessures, puis elle intégra, contre son gré, le programme de protection des témoins. Enfin, jusqu'à ce qu'elle leur fausse compagnie, un mois plus tard.
Avec l'aide de l'agent Lisbon, elle s'était cachée dans un autre Etat, où elle se sentait plus en sécurité qu'avec cette armée de Marshals qui ne lui inspirait pas confiance.
Fin du flashback
Fin prête pour sa soirée, la métisse ramassa des objets qui auraient pu la trahir, et les rangea dans une chambre qu'elle verrouilla à double tours.
La sonnette retentit. Alicia, nerveuse, et toujours sur ses gardes, pris son arme (celle que Lisbon lui avait donné, au cas où) et la cacha dans son dos. Après s'être assurée de l'identité du visiteur, par le judas, elle abaissa son glock.
Mais vous allez le savoir tout de suite...
Chapitre 47
Le consultant n'osa pas prononcer le moindre mot, tellement il était sous le choc. Il avait fait ce rêve depuis plusieurs mois en sachant que c'était impossible qu'il devienne réalité. Mais elle était bel et bien vivante, là, debout devant lui. Mais comment? Que c'était-il passé dans cette ruelle, ce jour-là? Lisbon l'avait-elle envoyé à Salt Lake intentionnellement?
Jane avait tant de questions à lui poser. Mais pas tout de suite. Trop heureux de la revoir, il la dévisageait.
Tanya (Alicia), lui glissa un mot dans la poche, en lui chuchotant: "Je t'expliquerais tout."
Il se leva pour partir et ne résista pas à l'envie d'avoir un contact avec celle qu'il croyait avoir perdu définitivement.
Jane lui tendit une main qu'elle serra en souriant.
Tanya (Alicia): "Merci et à bientôt j'espère."
Jane: "A bientôt sûrement."
Il déposa un baiser sur le dos de sa main. Le jeune couple, séparé depuis si longtemps, n'avait qu'une envie, se jeter dans les bras l'un de l'autre. Mais il ne fallait pas, personne ne devait savoir qu'ils se connaissaient.
Jane sortit, en adressant un regard plein de tendresse à la métisse. Son associée la rejoint.
Andréa: "Ouah! Ca c'est du coup de foudre ou je m'y connais pas. Tu vas le revoir finalement?"
Tanya (Alicia): "Passe chercher Jimy à 16h, il dort chez toi."
Son amie esquissa un sourire entendu.
Andréa: "Tu n'as pas perdu de temps. Tu as raison d'en profiter, amuse-toi."
Tanya (Alicia): "Je récupérerais le petit demain matin."
Patrick, lui, s'était installé sur un banc, dans un parc, pour lire le petit mot d'Alicia. C'était une adresse et un rendez-vous fixé à 19h. En guise de signature: "Je t'aime, Ali."
Tous les deux comptaient les minutes qui les séparaient de leur rendez-vous. L'attente était interminable pour le blond. Il prit sur lui de retourner dans le restaurant, pour prendre un café. Alicia était seule, elle rangeait le bar, seuls quelques clients avait investis les tables ça et là.
Il entra et s'installa sur un tabouret, au comptoir. Elle lui servi un café, ce qui permis à Jane d'en profiter pour toucher ses mains, à la moindre occasion.
Alicia, à voix basse: "Arrête ça, on nous regarde."
Jane: "Tu me manques, c'est atroce."
Alicia: "A moi aussi... J'ai une idée."
Elle trébucha sa tasse, renversant son contenu sur la veste du consultant.
Alicia: "Oh, je suis maladroite. Venez, je vais nettoyer ça."
Sitôt à l'abris des regards indiscrets, Jane embrassa passionnément Alicia. Ils auraient voulu aller plus loin, mais ce n'était ni l'endroit ni le moment. N'importe qui aurait pu les surprendre. La jeune femme se libéra de l'étreinte tant espérée de Jane.
Alicia détachant ses lèvres des siennes: "Il faut que j'y aille. On se voit se soir."
Jane: "Il va falloir qu'on parle Alicia."
Alicia: "Oui, on parlera aussi."
Il lui sourit à cette perspective et elle lui donna un baiser du bout des lèvres.
Alicia: "Je t'aime."
Jane: "Je t'aime Alicia."
Alicia, rectifia: "Tanya. Pour tout le monde, ici, je suis Tanya Wilkins."
Il était sur un petit nuage, avoir pu l'enlacer, même quelques instants, il n'y croyait pas encore, c'était si irréel et inespéré.
Plus il y pensait, plus il se disait qu'Alicia avait survécu à l'agression et avait été placée dans le programme de protection des témoins. Cela expliquait son changement d'identité.
Mais dans ce cas, où se cachait le FBI? Jane était pourtant un observateur hors pair, mais il n'avait rien noté d'anormal, dans les environs. De toutes façon, Alicia allait tout lui révéler ce soir et il espérait obtenir des éclaircissements sur l'implication de Lisbon, dans cette histoire. La vérité était que Térésa l'avait envoyé dans cette ville afin qu'il y retrouve la jeune femme. Il était tellement désemparé, ces derniers mois, et cela empirait un peu plus, chaque jour. C'est la solution qu'elle avait trouvé pour lui redonner le sourire et faire réapparaître le vrai Patrick Jane, celui qui les faisait tous tourner en bourrique, au CBI, qui leur attirait des ennuis par ses frasques et ses gamineries. Ce que Jane ignorait c'est que Lisbon était en contact avec Alicia.
Après s'être remis de ses émotions, le beau blond retourna à l'auberge où il s'allongea dans sa chambre pour rassembler ses esprits. Il ferma les yeux, souriant en repensant à ce qui venait de se passer.
A 17h, Alicia ferma l'établissement pour passer un appel depuis une cabine publique.
Alicia: "Lisbon, c'est moi."
Lisbon: "Alicia, qu'est-ce qui se passe?"
Alicia: "A vous de me le dire. Qu'est-ce que Patrick fait ici?"
Lisbon: "C'est moi qui l'ai envoyé. Vous l'avez vu?"
Alicia, un peu agressive: "Ca m'aurait été difficile de le manquer. Il est venu droit au restaurant. Vous lui aviez donné l'adresse je suppose?"
Lisbon: "J'ai fait ça pour lui. Alicia, il n'a jamais cru à votre mort. Ca le détruisait de plus en plus. Je ne supportais plus de le voir comme ça."
Alicia se calma: "Excusez-moi Térésa, je sais que je vous dois beaucoup."
Lisbon: "Ne vous excusez pas. Après ce que vous avez traversé, votre méfiance est justifiée."
Alicia: "Je sais que vous ne l'avez fait que pour lui, mais je vous remercie."
Lisbon: "Je vous en prie. La place de Jane est avec sa famille. Soyez prudente et prenez soin de Jane. Il a besoin de vous."
Alicia: "Ca me touche de votre part. Vous êtes toujours amoureuse de lui, ça doit être difficile pour vous."
Lisbon: "Il est heureux grâce à vous, c'est le plus important."
Alicia: "Une dernière chose, Térésa, il est au courant de tout?"
Lisbon: "Je ne lui ai rien dit. Je l'ai simplement conduit à l'aéroport, sans préciser les détails de son séjour. Je lui ai juste communiqué quelques adresses qui l'ont menées à vous. Donc vous ne lui avez pas annoncé."
Alicia: "Non, j'ai eu un peu peur de sa réaction, à vrai dire."
Lisbon: "Même si ça me coûte de le reconnaître, Jane vous aime, vous pouvez lui faire confiance."
Alicia: "Merci pour votre soutien, Térésa, vous êtes une amie formidable."
Lisbon: "Je me suis trompé sur vous, vous êtes quelqu'un de bien."
Alicia: "Ca me fait plaisir que vous le pensiez. A bientôt."
L'heure de son rendez-vous avec Jane approchait à grands pas, ce qui faisait monter l'angoisse de la métisse. Elle prit un bain, pour se détendre, puis elle s'habilla.
Devant son miroir, elle observait les cicatrices laissées par l'agression de Red John. D'un seul coup, ses mauvais souvenirs resurgirent. Les détails de ce jour-là lui revinrent en pleine figure. Elle sentait encore la lame la transpercer encore et encore.
Flashback
Red John déposa une enveloppe dans la main de sa victime, inanimée, puis s'échappa, avant l'arrivée de la police. Une patrouille, alertée par un SDF, qui avait cru distinguer une silhouette inerte, au fond de la ruelle, s'arrêta.
Un jeune officier s'approcha de la métisse. La croyant morte, il contacta le central de la police locale. Une ambulance fut dépêchée pour s'occuper du corps, après l'intervention de la scientifique et du médecin légiste.
Le coroner, lors de l'examen, sur place, détecta un pouls et une faible respiration.
La jeune femme fut aussitôt transportée dans l'ambulance pour la stabiliser avant le transfert à l'hôpital.
Le FBI était le suivant, sur les lieux, et prit l'affaire Red John, en charge.
Alicia fut déclarée morte, par les fédéraux. Officiellement morte, mais la vérité était toute autre. Alicia avait été transférée dans un centre médical fédéral.
Elle y passa plusieurs semaines, jusqu'à ce qu'elle soit remise de ses blessures, puis elle intégra, contre son gré, le programme de protection des témoins. Enfin, jusqu'à ce qu'elle leur fausse compagnie, un mois plus tard.
Avec l'aide de l'agent Lisbon, elle s'était cachée dans un autre Etat, où elle se sentait plus en sécurité qu'avec cette armée de Marshals qui ne lui inspirait pas confiance.
Fin du flashback
Fin prête pour sa soirée, la métisse ramassa des objets qui auraient pu la trahir, et les rangea dans une chambre qu'elle verrouilla à double tours.
La sonnette retentit. Alicia, nerveuse, et toujours sur ses gardes, pris son arme (celle que Lisbon lui avait donné, au cas où) et la cacha dans son dos. Après s'être assurée de l'identité du visiteur, par le judas, elle abaissa son glock.
Invité- Invité
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Wouaw hé ben sa alors mdr j y croit pas Alicia n est pas morte et en plus Lisbon et elle s'appécient mais quelle bonheur pour jane il doit être content je suis impatiente de découvrire comment vas se passer ce rendez vous et c 'est vraiment bien de la part de Lisbon de s'occuper d'Alicia et de la proteger surtout c cool de sa part je trouve
Vite la suite
Gros bisous
Vite la suite
Gros bisous
elenou03- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Van pelt et Rigsby et Lisbon
Loisirs : regarder le mentalist
Localisation : Sur une île desserte avec OWAIN YEOMAN :)
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Alicia vivante!!! Waouh je ne l'avais pas prévu (moi qui me faisait une joir de pouvoir peut etre apparaitre du Jisbon c'est raté)!
Contente que Lisbon et Alicia soient devenues amies!!
VLS!!!
Contente que Lisbon et Alicia soient devenues amies!!
VLS!!!
Pepe64- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Loisirs : Danse, théâtre, écrire des fics et chanter
Localisation : Avec Patrick Jane!!!
Re: La vie privée de Patrick Jane^
j'avais deviné
Et un petit bébé Jane/Alicia ? par contre là il faudra quelques explications si c'est le cas vu ce qui c'est passé auparavant
Finalement Lisbon se rattrape plutôt bien pour le coup...
Reste à voir comment les retrouvailles vont se passer...
Et un petit bébé Jane/Alicia ? par contre là il faudra quelques explications si c'est le cas vu ce qui c'est passé auparavant
Finalement Lisbon se rattrape plutôt bien pour le coup...
Reste à voir comment les retrouvailles vont se passer...
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: La vie privée de Patrick Jane^
Merci beaucoup les filles et désolé pour le Jisbon!
Johel, félicitation tu as mis dans le mille! Mais en même temps c'était assez facile.
Chapitre 48
La jeune femme se retrouva face à un bouquet de rose jaune, tenu par un homme aussi stressé qu'elle.
Alicia: "Tu n'as pas oublié."
Jane: "Que ce sont tes fleurs préférées, non."
Il remarqua le pistolet, dans sa main.
Jane: "Tu accueilles tous tes invités avec ce joujou?"
Alicia posa l'arme dans un tiroir: "Désolé, c'est une habitude."
Jane: "Je peux entrer?"
Alicia: "Heu, oui, bien sûr, vas-y."
Le beau blond avait tellement de questions qu'il ne savait pas par où commencer.
Jane: "Tu as l'air en pleine forme."
Alicia: "Ouais, pas mal pour une morte!"
Cette réflexion donna l'occasion au consultant d'approfondir le sujet.
Jane: "Alicia, je dois savoir ce qui c'est passé. Le FBI t'a fait passé pour morte et t'a placé sous protection. C'est ça?"
Alicia: "Excellente analyse. Mais je suis bien morte ce jour-là."
Elle était bouleversée et en colère contre elle-même. Elle s'en voulait de n'avoir pas réussi à avoir le dessus sur ce criminel.
Jane l'entoura de ses bras réconfortants.
Jane: "Si tu ne veux pas en parler, ça ne fait rien."
Alicia: "J'aurais pu le tuer, tu sais. Je n'ai réussi qu'à le blesser."
Jane: "J'étais sûr que tu t'étais défendue. C'est pour ça que je n'ai pas cru à ta mort."
Il l'embrassa sur le front, alors qu'elle se blottissait contre son torse.
Alicia: "Je n'admettrais jamais qu'un homme s'attaque à moi sans le lui faire payer."
Elle se décolla de lui et le regarda dans les yeux.
Jane: "Il y a une chose que j'ai besoin de savoir. Si le FBI te surveille, ils auraient déjà du débarquer en braquant leurs armes sur moi?"
Alicia s'éloignant un peu de lui: "C'est peut-être parce qu'ils ne savent pas où je me trouve. Je les ai plantés à San Francisco. A cause d'un petit imprévu."
Jane: "Sois honnête avec moi. Ca a un rapport avec un homme?"
Elle se mit à rire, en entendant cette question. Elle glissa ses mains dans celle du beau blond.
Alicia: "Patrick, même si je suis officiellement décédée, je n'appartient qu'à toi. Il n'y a personne d'autre. Et je ne t'en voudrais pas, si de ton côté... enfin, vu que tu me croyais morte..."
Il lui coupa la parole.
Jane: "Je n'ai même pas regardé une autre femme. Je savais que tu étais vivante, je le sentais. Du moins je l'espérais de toutes mes forces. J'ai eu des doutes dès qu'on nous a interdit l'accès à ton corps. Et maintenant, Lisbon qui m'expédie dans le désert."
L'air gêné, la jeune femme alla s'asseoir à l'autre bout du salon.
Jane pris place dans le canapé attenant: "Qu'est-ce qu'il y a. J'ai dit quelque chose de mal?"
Alicia: "Pour te dire la vérité, c'est grâce à Térésa que je m'en suis sortie."
Elle lui raconta tout, son séjour à l'hôpital, ses opérations, sa fuite, sans oublier l'aide de Térésa.
Jane, sérieux: "Donc Lisbon savait depuis tout ce temps où tu étais! Et ni elle ni toi n'avaient jugé utile de me mettre au courant. Tu imagines ce que j'ai vécu, j'ai assisté à ta crémation, on a dispersé tes cendres. Et ça n'a pas suffit, je n'arrivais toujours pas à accepter que tu ne sois plus là. Pourquoi tu m'as fait ça Alicia?"
Toute la pression qu'il avait accumulée depuis la disparition de la jeune femme, retombait, soudain. Elle avait le coeur brisé par la mine triste du beau blond. Elle se rapprocha de cet homme blessé pour le serrer, dans ses bras, mais il la repoussa.
Elle ne comprenait pas ce rejet, surtout après son impatience, dans le restaurant.
Alicia: "Il vaut mieux que tu t'en ailles, à présent. Tu n'es plus le même et c'est ma faute. Claque la porte en sortant."
Elle partit vers la cuisine, se rafraîchir le visage. Jane, l'entendant pleurer, la rejoignit.
Il passa ses bras autour de sa taille, l'embrassant dans le cou.
Jane: "Pardonne-moi, Ali. Je ne sais plus où j'en suis. J'ai été injuste avec toi. Si tu m'avais contacté, tu ne serais peut-être plus là. Tu t'es protégée et tu as eu raison."
Elle se retourna pour lui faire face, toujours entre ses bras.
Alicia: "Je ne veux plus jamais repenser à tout ça. Tu voulais qu'on parle, on a parlé."
Jane: "On a parlé."
Elle s'agrippa au cou du consultant qui la porta, dans ses bras, jusqu'à la chambre.
Il commença à lui retirer ses vêtements, mais lorsqu'il entreprit de remonter son T Shirt, elle l'en empêcha.
Jane: "Si tu n'en a pas envie, on peut très bien dormir. Je ne veux pas te brusquer."
Alicia: "Non, j'en ai très envie, au contraire. Mais je ne veux pas que tu vois ce qu'il m'a fait."
Jane: "Ca fait partie de toi, tu n'as pas à en avoir honte."
Il continua à lever ce T-shirt, mais à nouveau, elle posa sa main pour le maintenir en place.
Alicia: "S'il te plaît, non. Je le garde."
Devant l'insistance teintée de désarroi de la métisse, il capitula et rabaissa le vêtement.
Au petit matin, Patrick sortit du lit,et déposa un baiser délicat sur les lèvres de son amie qui soupira de contentement. Comme cette habitude lui avait cruellement manquée. Dans la cuisine, il ouvrit le frigo et qu'elle ne fut pas sa surprise, lorsqu'il tomba sur un biberon.
En entendant la porte du frigidaire grincer, Alicia fit un bond hors du lit et se rua dans la cuisine, à son tour.
Le mentaliste restait bloqué cette pièce à conviction sous les yeux.
Alicia lui posa une main sur l'épaule: "Patrick! Hé ho!"
Jane: "Tu peux m'expliquer pourquoi il y a un biberon là dedans?"
Alicia, comme une petite fille prise en faute: "Si je te dis que je le garde pour une amie, tu ne me croiras pas?"
Jane: "Tu vas devoir trouver autre chose de plus convaincant."
Alicia: "Patrick, heu... Je..."
Quelqu'un frappa à la porte. C'était sa collègue.
Andréa: "Hey, y'a quelqu'un! Tanya!"
La métisse regarda par la fenêtre.
Alicia: "Il manquait plus que ça."
Jane arriva derrière elle: "Qui est-ce?"
Alicia: "C'est Andréa. Va t'habiller. Je tiens pas à ce qu'elle te voit en caleçon, elle se ferait des idées et les rumeurs vont vites par ici."
Jane, torse nu: "Sauf que ce ne serait pas une rumeur, là. Qu'est-ce que tu ne veux pas que je vois?"
Alicia, voyant bien qu'il ne bougerait pas: "Très bien, tu veux rester, reste. De toutes façons, tu finiras par le savoir."
Elle ouvrit et fit entrer son amie qui n'était pas seule, elle tenait un ravissant bébé métisse au yeux bleus.
Andréa: "Tu en as mis du temps."
Elle aperçu Patrick et se délecta de ce spectacle.
Andréa: "Oh, bonjour. Je comprend pourquoi tu as tardé à ouvrir. (Elle le dévorait des yeux) Je ne vais pas vous déranger longtemps, je ramenais ce petit trésor à sa maman."
Elle le déposa dans les bras d'Alicia et pinça la joue de ce bébé rieur.
Andréa: "Oh, tu vas en briser des coeurs toi. Salut."
Elle partit en souriant, amusée par la gêne de son amie. Alicia installa l"enfant dans son berceau et entrebaîlla la porte avant de retourner au salon.
Jane: "Alors, tu as un fils. Je croyais que tu ne pouvais plus en avoir?"
Alicia: "Ce n'est pas tout à fait vrai. Il y avait 1% de chance pour que sois à nouveau enceinte."
Jane: "Je suis ravie pour toi."
La déception se lisait sur son visage.
Alicia: "On ne dirait pas."
Jane: "Pourquoi tu m'as menti? En me soutenant que tu n'avais personne dans ta vie?"
Alicia: "Je n'aime pas ce que tu sous-entends. Suis-moi."
Elle le ramena devant le berceau.
Alicia: "Patrick, je te présente ton fils, James."
Jane, faisait le calcul dans sa tête: "Donc tu étais enceinte quand Red John t'a attaqué."
Alicia: "Oui. Un petit souvenir de notre dernière nuit. Les docteurs m'ont dit que c'était un miracle que le foetus n'ait pas été touché. Il y avait toujours le risque que cette grossesse soit mortelle mais je n'avait rien à perdre. Cet enfant était la seule chose qu'il me restait de toi."
Ils restèrent, un moment, à contempler le bébé qui dormait comme un ange.
Jane n'avait jamais été aussi heureux depuis des années.
Johel, félicitation tu as mis dans le mille! Mais en même temps c'était assez facile.
Chapitre 48
La jeune femme se retrouva face à un bouquet de rose jaune, tenu par un homme aussi stressé qu'elle.
Alicia: "Tu n'as pas oublié."
Jane: "Que ce sont tes fleurs préférées, non."
Il remarqua le pistolet, dans sa main.
Jane: "Tu accueilles tous tes invités avec ce joujou?"
Alicia posa l'arme dans un tiroir: "Désolé, c'est une habitude."
Jane: "Je peux entrer?"
Alicia: "Heu, oui, bien sûr, vas-y."
Le beau blond avait tellement de questions qu'il ne savait pas par où commencer.
Jane: "Tu as l'air en pleine forme."
Alicia: "Ouais, pas mal pour une morte!"
Cette réflexion donna l'occasion au consultant d'approfondir le sujet.
Jane: "Alicia, je dois savoir ce qui c'est passé. Le FBI t'a fait passé pour morte et t'a placé sous protection. C'est ça?"
Alicia: "Excellente analyse. Mais je suis bien morte ce jour-là."
Elle était bouleversée et en colère contre elle-même. Elle s'en voulait de n'avoir pas réussi à avoir le dessus sur ce criminel.
Jane l'entoura de ses bras réconfortants.
Jane: "Si tu ne veux pas en parler, ça ne fait rien."
Alicia: "J'aurais pu le tuer, tu sais. Je n'ai réussi qu'à le blesser."
Jane: "J'étais sûr que tu t'étais défendue. C'est pour ça que je n'ai pas cru à ta mort."
Il l'embrassa sur le front, alors qu'elle se blottissait contre son torse.
Alicia: "Je n'admettrais jamais qu'un homme s'attaque à moi sans le lui faire payer."
Elle se décolla de lui et le regarda dans les yeux.
Jane: "Il y a une chose que j'ai besoin de savoir. Si le FBI te surveille, ils auraient déjà du débarquer en braquant leurs armes sur moi?"
Alicia s'éloignant un peu de lui: "C'est peut-être parce qu'ils ne savent pas où je me trouve. Je les ai plantés à San Francisco. A cause d'un petit imprévu."
Jane: "Sois honnête avec moi. Ca a un rapport avec un homme?"
Elle se mit à rire, en entendant cette question. Elle glissa ses mains dans celle du beau blond.
Alicia: "Patrick, même si je suis officiellement décédée, je n'appartient qu'à toi. Il n'y a personne d'autre. Et je ne t'en voudrais pas, si de ton côté... enfin, vu que tu me croyais morte..."
Il lui coupa la parole.
Jane: "Je n'ai même pas regardé une autre femme. Je savais que tu étais vivante, je le sentais. Du moins je l'espérais de toutes mes forces. J'ai eu des doutes dès qu'on nous a interdit l'accès à ton corps. Et maintenant, Lisbon qui m'expédie dans le désert."
L'air gêné, la jeune femme alla s'asseoir à l'autre bout du salon.
Jane pris place dans le canapé attenant: "Qu'est-ce qu'il y a. J'ai dit quelque chose de mal?"
Alicia: "Pour te dire la vérité, c'est grâce à Térésa que je m'en suis sortie."
Elle lui raconta tout, son séjour à l'hôpital, ses opérations, sa fuite, sans oublier l'aide de Térésa.
Jane, sérieux: "Donc Lisbon savait depuis tout ce temps où tu étais! Et ni elle ni toi n'avaient jugé utile de me mettre au courant. Tu imagines ce que j'ai vécu, j'ai assisté à ta crémation, on a dispersé tes cendres. Et ça n'a pas suffit, je n'arrivais toujours pas à accepter que tu ne sois plus là. Pourquoi tu m'as fait ça Alicia?"
Toute la pression qu'il avait accumulée depuis la disparition de la jeune femme, retombait, soudain. Elle avait le coeur brisé par la mine triste du beau blond. Elle se rapprocha de cet homme blessé pour le serrer, dans ses bras, mais il la repoussa.
Elle ne comprenait pas ce rejet, surtout après son impatience, dans le restaurant.
Alicia: "Il vaut mieux que tu t'en ailles, à présent. Tu n'es plus le même et c'est ma faute. Claque la porte en sortant."
Elle partit vers la cuisine, se rafraîchir le visage. Jane, l'entendant pleurer, la rejoignit.
Il passa ses bras autour de sa taille, l'embrassant dans le cou.
Jane: "Pardonne-moi, Ali. Je ne sais plus où j'en suis. J'ai été injuste avec toi. Si tu m'avais contacté, tu ne serais peut-être plus là. Tu t'es protégée et tu as eu raison."
Elle se retourna pour lui faire face, toujours entre ses bras.
Alicia: "Je ne veux plus jamais repenser à tout ça. Tu voulais qu'on parle, on a parlé."
Jane: "On a parlé."
Elle s'agrippa au cou du consultant qui la porta, dans ses bras, jusqu'à la chambre.
Il commença à lui retirer ses vêtements, mais lorsqu'il entreprit de remonter son T Shirt, elle l'en empêcha.
Jane: "Si tu n'en a pas envie, on peut très bien dormir. Je ne veux pas te brusquer."
Alicia: "Non, j'en ai très envie, au contraire. Mais je ne veux pas que tu vois ce qu'il m'a fait."
Jane: "Ca fait partie de toi, tu n'as pas à en avoir honte."
Il continua à lever ce T-shirt, mais à nouveau, elle posa sa main pour le maintenir en place.
Alicia: "S'il te plaît, non. Je le garde."
Devant l'insistance teintée de désarroi de la métisse, il capitula et rabaissa le vêtement.
Au petit matin, Patrick sortit du lit,et déposa un baiser délicat sur les lèvres de son amie qui soupira de contentement. Comme cette habitude lui avait cruellement manquée. Dans la cuisine, il ouvrit le frigo et qu'elle ne fut pas sa surprise, lorsqu'il tomba sur un biberon.
En entendant la porte du frigidaire grincer, Alicia fit un bond hors du lit et se rua dans la cuisine, à son tour.
Le mentaliste restait bloqué cette pièce à conviction sous les yeux.
Alicia lui posa une main sur l'épaule: "Patrick! Hé ho!"
Jane: "Tu peux m'expliquer pourquoi il y a un biberon là dedans?"
Alicia, comme une petite fille prise en faute: "Si je te dis que je le garde pour une amie, tu ne me croiras pas?"
Jane: "Tu vas devoir trouver autre chose de plus convaincant."
Alicia: "Patrick, heu... Je..."
Quelqu'un frappa à la porte. C'était sa collègue.
Andréa: "Hey, y'a quelqu'un! Tanya!"
La métisse regarda par la fenêtre.
Alicia: "Il manquait plus que ça."
Jane arriva derrière elle: "Qui est-ce?"
Alicia: "C'est Andréa. Va t'habiller. Je tiens pas à ce qu'elle te voit en caleçon, elle se ferait des idées et les rumeurs vont vites par ici."
Jane, torse nu: "Sauf que ce ne serait pas une rumeur, là. Qu'est-ce que tu ne veux pas que je vois?"
Alicia, voyant bien qu'il ne bougerait pas: "Très bien, tu veux rester, reste. De toutes façons, tu finiras par le savoir."
Elle ouvrit et fit entrer son amie qui n'était pas seule, elle tenait un ravissant bébé métisse au yeux bleus.
Andréa: "Tu en as mis du temps."
Elle aperçu Patrick et se délecta de ce spectacle.
Andréa: "Oh, bonjour. Je comprend pourquoi tu as tardé à ouvrir. (Elle le dévorait des yeux) Je ne vais pas vous déranger longtemps, je ramenais ce petit trésor à sa maman."
Elle le déposa dans les bras d'Alicia et pinça la joue de ce bébé rieur.
Andréa: "Oh, tu vas en briser des coeurs toi. Salut."
Elle partit en souriant, amusée par la gêne de son amie. Alicia installa l"enfant dans son berceau et entrebaîlla la porte avant de retourner au salon.
Jane: "Alors, tu as un fils. Je croyais que tu ne pouvais plus en avoir?"
Alicia: "Ce n'est pas tout à fait vrai. Il y avait 1% de chance pour que sois à nouveau enceinte."
Jane: "Je suis ravie pour toi."
La déception se lisait sur son visage.
Alicia: "On ne dirait pas."
Jane: "Pourquoi tu m'as menti? En me soutenant que tu n'avais personne dans ta vie?"
Alicia: "Je n'aime pas ce que tu sous-entends. Suis-moi."
Elle le ramena devant le berceau.
Alicia: "Patrick, je te présente ton fils, James."
Jane, faisait le calcul dans sa tête: "Donc tu étais enceinte quand Red John t'a attaqué."
Alicia: "Oui. Un petit souvenir de notre dernière nuit. Les docteurs m'ont dit que c'était un miracle que le foetus n'ait pas été touché. Il y avait toujours le risque que cette grossesse soit mortelle mais je n'avait rien à perdre. Cet enfant était la seule chose qu'il me restait de toi."
Ils restèrent, un moment, à contempler le bébé qui dormait comme un ange.
Jane n'avait jamais été aussi heureux depuis des années.
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