Ça peut arriver à tout le monde ^

des confidences émouvantes , ça ne doit pas être facile de parler de ça, je rectifie, ce n'est pas facile
Mais Jane est là pour elle, il ne la laissera jamais
Maintenant reste à savoir comment il parviendra à l'aider à se sortir de son état de dépression
Il me tarde donc de lire la suite :bounce: :bounce: mais prends ton temps

C'est vraiment assez poignant

Trop émouvant ce passage avec Lisbon qui se confie à Jane sur ce qui lui est arrivée, c'est tellement dur d'en parler
Mais Jane sera toujours là pour elle, ne la laissera jamais tomber puis lui promet qu'il garderait le secret

Puis comme Johel et Sweety, comment Jane va-t-il digérer le lourd secret de Lisbon puis comment va-t-il faire pour la faire sortir de sa dépression


VLS VLS VLS

Lisbon qui se confie à Jane sur son drame, c'est déjà une première étape de sa guérison.
Le momen de la confession est vraiment
Bravo pour toutes les émotions que tu as fait passer !
Maintenant reste à voir comment Jane va utiliser les confidences de Lisbon pour lui venir en aide ...

VLS !

Désolée tout d'abord de n'avoir pas plus commenté ces derniers temps ta fic, que je suis toujours avec ardeur.

Une communication retrouvée entre Jane et Lisbon, cette dernière ayant enfin trouvé une sorte d'exutoire à sa souffrance en la personne du consultant (bon tu vas me dire que le coup de la table de fer c'était déjà une forme de souffrance renvoyée à la figure de Jane), mais là, c'est intime ce que livre Lisbon à Jane.

Bref, bon chapitre encore.

VLS

désoler de ne pas avoir commenter plus tôt j'étais très prit avec mes cours mais j'ai rattraper mon retard
j'ai adorer ce chapitre très émouvant et jane qui est au près de lisbon pour la soutenir la pauvre lisbon à du en baver avec se mec j’espère qui c'est fait arrêter

Holala, quel chapitre!
Lisbon qui se confie à un consultant en larmes... Tu as fait fort c'est un chapitre très touchant.
VLS!!!

un grand merci à vous tous
réponses individuelles dans le spoliers

Spoiler:

voici le prochain chapitre avec une enquête du CBI et une thérapie de groupe pour Lisbon
bonne lecture


Ça peut arriver à tout le monde
Chapitre 26 : la vérité


Un meurtre avait été commis plutôt dans la journée, une jeune femme retrouvé par son mari poignardé chez elle. La police scientifique se trouvait déjà sur les lieux ainsi que le légiste, l’équipe avait commencé son travail. Une Mini-Cooper rouge vive se gara devant les rubans jaune et Jane en sorti, un sourire sur les lèvres, le travail lui avait manqué.

- Salut Cho !
- Jane, femme de 34 ans, poignardés au niveau du ventre, on a laissé le couteau dans la plaie. Son mari est avec Van-Pelt, c’est lui qui l’a trouvé en rentrant pour sa pause à midi.

Celui-ci fut soudain absorbé par la nouvelle patronne, un peu plus loin qui était visiblement en train de se disputer avec le chef de la police locale.

- Taylor discute avec lui depuis une demi-heure, on a déjà travaillé avec eux et il n’aime pas tes méthodes.

Il roula des yeux en souriant et se dirigea vers eux sous le regard blasé de Cho qui retourna à ses interrogatoires.

- Bonjour, comment ça va ?

La main que tendit Jane au Chef de la police ne trouva pas preneur et il la rangea dans le même sourire hypocrite.

- Je vous préviens, il est hors de question de travailler avec ce clown.

Il tourna les talons aussi sec sous le regard amusé de Jane et celui dépité de la nouvelle.

- C’est toujours comme ça ? demanda-t-elle
- Presque toujours. Vous êtes très jolie aujourd’hui, je peux aller interroger le mari ?

Ses joues devinrent écarlates et elle ne trouva pas ses mots.

- Euh, je…
- Merci

Ses joues toujours rouges, elle le regarda s’éloigner avec l’impression de s’être fait avoir. Il fallait vraiment qu’elle arrête de craquer sur les mecs mignons, ça ne l’aidait pas. Elle fut ramener à la réalité lorsqu’elle entendit le mari hurler et balancer son poing dans le nez de Jane. Elle accourue et éloigna Jane de l’homme pendant que Cho clamait le mari qui hurler contre lui.

- Mais, qu’est ce qui s’est passé ?
- Je le testais, il n’a pas tout à fait réagi comme je le voulais.

Taylor le regarda avec étonnement, quelque chose lui disait que ça n’allait pas être de tout repos avec lui. Du sang coula de son nez et elle épongea doucement le visage de Jane.

- Vous êtes stupide.
- Aie. Au moins je sais qu’il est innocent.

Elle secoua la tête de droite à gauche en guise de désapprobation.

- Je vais rentrer je pense, de toute façon j’ai tout ce qu’il me faut.

Il quitta la scène de crime, la laissant seule au milieu du jardin avec le chiffon encore plein de sang. Cho se plaça à côté d’elle.

- Arrêtez de craquer sur lui, il en profite.
- Je…
- Sérieusement, vous allez encore vous faire avoir sinon.

Elle aller répliquer mais il reparti comme il était venu, ils rangèrent leurs affaires et montèrent dans le SUV. Elle s’installa à l’arrière et regarda la voiture de Jane s’éloigner, Cho avait raison, il fallait que ça cesse. D’autant qu’elle savait qu’il aimait celle qui se tenait avant à sa place.

En arrivant au CBI, elle ne pu que constater le consultant endormi paisiblement sur son canapé et elle rejoignit son bureau pour ne pas s’attarder.

Dans l’open-space, les agents discutaient de cette nouvelle Lisbon.

- Elle craque pour Jane, dit Van-pelt d’un ton plus qu’évident
- Vous dites n’importe quoi, railla celui-ci
- Comme si tu ne savais pas qu’elle te trouvait mignon, répondit Cho toujours aussi stoïque.

Il referma les yeux en ignorant les remarques de ses collègues, son cœur ne battait de toute façon que pour une personne : Teresa Lisbon.

Hôpital psychiatrique
Les patients étaient rassemblés pour leur séance de thérapie commune, assis en cercle. La psychiatre paraissait particulièrement heureuse aujourd’hui et Lisbon la détestait déjà. Elle avait son carnet dans lequel elle notait tout sur ces patients, avec ça, Lisbon la comparait souvent à Laroche qui souffrait certainement de prise de notes compulsives.

- Alors, qui veut commencer ? Emily ?
- Mon petit ami m’a offert des fleurs hier, elles sont très jolies.

La psychiatre acquiesça en souriant, Emily vainquait sa phobie de l’extérieur petit à petit, lorsqu’elle était arrivé au centre, elle ne supportait même pas de rester dans la grande salle commune qui donnait sur le parc.

- Teresa en a reçu il y a quelques jours, des roses.

Tous se retournèrent vers Thomas qui la regardait avec un sourire, ses hallucinations semblaient diminuer mais il n’en restait pas moins un peu étrange.

- T’as de la chance, se contenta de dire Anna qui, elle, n’avait pas sourit depuis des lustres
- Elles sont de qui ? demanda James
- Son petit ami, je le sais, il l’a embrassé l’autre jour dans le parc.

Kate avait coupé Lisbon dans son élan qui allait surement prétendre que ce n’était qu’un collègue. La psy n’était visiblement pas au courant de ça puisqu’elle la regarda étonné. Celle-ci abaissa le regard, elle détestait se sentir le centre du monde.

- Elle a lui balancé une table pourtant… se contenta de dire Kevin avec son éternel mauvaise foi.
- Kevin !

La psy avait monté son ton d’un cran, lui rappelant qu’il avait une fois de plus dépassé les bornes.

- Peut être que Teresa a quelque chose à dire à ce sujet ?
- Non

Son ton était froids, elle n’avait aucunes envies d’exposer sa vie devant tout ces gens et surtout aucunes envies de parler de ça, ça ferait trop plaisir à cette femme se prétendant psychiatre.

- Il est gentil, t’as de la chance, le mien était exécrable.

Kate n’avait jamais autant parlé lors d’une de ces thérapies, Teresa n’aimait peut être pas ça mais sans qu’elle le veuille, elle aidait bien plus de personne qu’elle ne le pensait.

- C’est Jane, il n’est gentil que parce que je suis ici.
- Nan

Tous se retournèrent vers Anna, pourtant si muette d’habitude.

- Je pensais que mon mari m’aimait et pourtant il n’y avait pas autant de signes, si comme tu le dit il ne fait ça que pour que tu sortes alors je n’imagine même pas ce qu’il est capable de faire pour te rendre heureuse. En dix ans de mariage il n’a jamais été comme ça et pourtant on s’aimait, du moins au départ. Alors ne viens pas nous dire qu’il ne t’aime pas parce que lui, il t’a sauvé la vie, il n’a pas tenté de tuer.

La psy était impressionnée par cette soudaine solidarité de la part de ces patients, c’était bien la première fois qu’un sujet les faisait débattre autant. Lisbon, elle, avait abaissé le regard, elle ne pouvait qu’admettre qu’Anna avait raison, Jane avait plus d’importance qu’elle ne le pensait. Elle observa tout ces gens qu’elle connaissait à peine, ils lui avaient montré la vérité, la balle était dans son camp.


A suivre…

Un début de chapitre plein d'humour où Jane est égal à lui-même...Jusqu'à se prendre un "bourre-pif"
La petite nouvelle qui craque sur lui et Cho qui tente de lui ouvrir les yeux
Quand à la seconde partie à l'hôpital, ce passage avec les "malades" qui font prendre conscience à Lisbon de l'attachement de Jane

vivement la suite

J'ai lu ton chapitre hier soir mais j'étais trop crevée pour pouvoir le commenter

Encore un chapitre comme d'hab

Ca me fait sourire de voir Jane reprendre du service avec ses bonnes vieilles habitudes sur une scène de crime surtout avec un petit +, le coup de poing dans le nez

Jane qui profite avec plaisir de manipuler la nouvelle et jeune patronne en sachant qu'elle a un faible pour lui, plutôt qu'elle craque littéralement pour lui et on peut la comprendre
Et Cho qui avertit l'agent en question d'arrêter de flasher sur lui, il la mette en garde contre Jane qui est officiellement avec Lisbon.

J'aime bien ce passage à l'hôpital où les patients envient Lisbon sur sa relation avec Jane et ils lui font prendre conscience qu'il l'aime plus qu'elle ne le pensait

VLS VLS VLS

JisbonAddict a écrit:J'ai lu ton chapitre hier soir mais j'étais trop crevée pour pouvoir le commenter

Encore un chapitre comme d'hab

Ca me fait sourire de voir Jane reprendre du service avec ses bonnes vieilles habitudes sur une scène de crime surtout avec un petit +, le coup de poing dans le nez

Jane qui profite avec plaisir de manipuler la nouvelle et jeune patronne en sachant qu'elle a un faible pour lui, plutôt qu'elle craque littéralement pour lui et on peut la comprendre
Et Cho qui avertit l'agent en question d'arrêter de flasher sur lui, il la mette en garde contre Jane qui est officiellement avec Lisbon.

J'aime bien ce passage à l'hôpital où les patients envient Lisbon sur sa relation avec Jane et ils lui font prendre conscience qu'il l'aime plus qu'elle ne le pensait

VLS VLS VLS

je plussois, tout est dit

tout d'abord, merci à tous
vos commentaires sont toujours très agréables et m'amènent parfois à revoir des texte ou à avoir un autre point de vue je vous en remercie également

voici le chapitre suivant, qui fait une petite pause dans cette fic un peu triste et qui remonte, enfin je l'espère, et est plutôt joyeuse.

j'espère qu'il vous plaira, bonne lecture


Ça peut arriver à tout le monde
Chapitre 27 : l’arroseur arrosé


CBI, 15h
Les agents s’activaient dans les locaux du CBI, les bruits de claviers, de téléphones et de papiers berçaient Jane, tranquillement installé sur le canapé, une tasse de thé à la main. Cho se leva soudain.

- J’ai peut être quelque chose, une des voisine m’a affirmé avoir vu une voiture régulièrement chez la victime, celle-ci montait dedans et on la redéposait une heure plus tard.
- Un amant ? demanda Van-Pelt
- Possible mais la voiture est une voiture de location, elle changeait régulièrement et était loué avec de faux papiers.

Jane déposa sa tasse de thé et se leva, une idée en tête.

- Je sais qui c’est.
- Qui ?
- Comme ça ce n’est pas drôle, je vais vous montrer.

Les agents se regardèrent, peu sûrs d’agir correctement en le suivant dans ce plan surement foireux.

- Oh, aller !
- On vient seulement si t’obtiens l’approbation de la boss.

Jane sourit et parti en direction du bureau de Taylor dans lequel il rentra sans prendre la peine de frapper, la faisant sursauter au passage. Il se pencha sur le bureau et afficha son sourire craquant en la fixant dans les yeux.

- Quoi ?
- Vous voulez que je coince le meurtrier ?
- Evidemment, vous êtes payés pour ça.
- Je sais qui c’est

Ces yeux la troublait particulièrement et elle recula un peu, ses joues commençaient à devenir rouges.

- Qui ?
- Je vous l’apporte à l’aide le l’équipe dans une demi heure si vous me donnez votre accord.
- Je…

Son regard la transperçait de part en part.

- L’équipe est d’accord, on veut juste votre approbation. Vous pourrez finir vos rapports comme ça et nous on vous livre l’assassin. Vous n’avez qu’a me donnez votre accord, on s’occupe de tout.
- Je ne sais pas si j’ai le droit, je ne dois pas tout le temps vous accompagnez ?
- Non, Lisbon me laissait le soin presqu’à chaque fois de livrer le meurtrier, de toute façon, l’équipe est là, il ne peut rien arriver.

Son ton était sérieux, apaisant et elle se retrouva sans contre-arguments face à cette cause si bien défendue.

- Et bien…

Ses yeux bleus et ce visage d’ange eurent raison d’elle et elle hocha la tête.

- Cool.

Il sorti non sans lui lancer un sourire charmeur et alla tout gaiment annoncer qu’elle était d’accord et qu’ils avaient sa bénédiction pour arrêter le tueur. Cho passa tout de même demander et fut surpris de voir que pour une fois, il n’avait pas menti.

La jeune femme s’appuya contre le dossier de son fauteuil et ferma les yeux quelques instants. Elle avait vraiment besoin de repos, tous ces remplacements l’usaient.

Ce fut un coup de téléphone qui la réveilla trente minutes plus tard et elle sursauta vivement.

- Taylor
- C’est Cho, on a eut le tueur, c’était bien son amant
- Tant mieux, tout s’est bien passé ?

Un grand blanc se fit entendre à l’autre bout de fil.

- Agent Cho ?
- Pas de blessés, ni de morts.
- C'est-à-dire ? demanda-t-elle inquiète
- La routine, des plaintes et des larmes.

La jeune femme tiqua un peu sur le mot routine et après l’avoir remercier, raccrocha. Elle les vit arriver une dizaine de minutes plus tard avec le suspect, hurlant d’ailleurs que cet enfoiré allait le payer. Rigsby vint lui décrire ce qui s’était passé et lu donna le compte rendu de l’interrogatoire.

Jane entra à son tour, un peu après.

- Je vous ai manipulé aujourd’hui. Deux fois.

Elle le regarda, surprise, bien sûr qu’elle avait eut ce sentiment mais elle n’aurait jamais cru qu’il viendrait lui dire ça en face.

- Il faut que vous arrêtiez de me céder tout.
- Je ne comprends pas.
- Je vous ai utilisée pour parvenir à mes fins.
- Je sais

Jane la regarda avec étonnement.

- Je sais qui vous êtes Mr Jane et je sais comment vous fonctionnez. Et contrairement à ce que vous pensez, je ne vous ai pas tout cédé.
- Là c’est moi qui ne comprends plus.
- Je savais que vous exploiteriez mes faiblesses donc je les ai accentués.

Ses yeux s’écarquillèrent et il la fixa, imperturbable, elle l’avait eut. Il n’en revenait toujours pas, seul Lisbon y était parvenu et encore il avait vu clair dans son jeu pratiquement dès le départ mais alors là, il n’avait rien vu du tout.

- Si j’avais agi normalement et que aviez vu mes faiblesses, vous m’auriez charrié, manipulé. Là, vous avez agi doucement, sans faire de vague en faisant attention à moi, vous en avez profité, c’est tout.

Il ouvrit la bouche, surpris par autant d’ingéniosité puis la referma aussi sec, cette femme s’avérait finalement être à la hauteur du job.

- Si j’avais su qui vous étiez, je me serais permis des écarts…
- Oui.

Son sourire s’accentua en la regardant, assise derrière son bureau.

- Vous êtes maligne, je commence à comprendre pourquoi Hightower vous a engagé.

Il la fixait avec attention, elle l’avait eut mais il était plus malin qu’elle. Il fit le tour du bureau et l’embrassa sur la joue. Tout en sortant du bureau, il la vit prendre une teinte rouge vif.

- Vous avez gagnez cette manche, ne vous attendez pas à gagner la prochaine.
- C’est ce qu’on verra.

Elle le regarda quitter son bureau, elle avait gagné aujourd’hui mais il ne fallait pas qu’elle s’attende à ce que ce soit tout le temps le cas, c’était Jane après tout. En voyant passé Cho, elle le remercia d’un geste de la tête. Une chose était sûre, elle ne serait pas seule.



A suivre…

Tiens, tiens,on dirait que Taylor c'est fait un allié... Sacré Cho !!
Un petit chapitre tout calme, qui permet en effet une "pause" dans cette fic' plutôt sombre.
Bien joué Jiisbon, merci et VLS!!! :bounce:

Oui, vraiment bien joué sur ce coup-là miss !

Jane avec ses dons d'observation perspicaces et sa délicatesse d'entrer sans frapper à l'improviste, Sacré Jane

Tiens tiens, Taylor qui réussit à avoir Jane et à le faire entrer dans son piège Comme quoi, y a pas que Lisbon qui peut lui jouer de sales tours

J'aime bien ce chapitre

VLS VLS

merci les filles

je trouvais que cette pause s'imposait un peu, il y en aura d'autres après, ça permettra de souffler.
merci encore et bon weekend

Une petite pause pleine d'humour
Tel est pris qui croyait prendre
Plus futée qu'elle ne le laisse paraître la nouvelle boss

petite pause sympa
Jane qui se fait pieger et ses dons de mentaliste alors!!
trop bien ta fic,
:vivement: la suite

Johel a écrit:Une petite pause pleine d'humour
Tel est pris qui croyait prendre
Plus futée qu'elle ne le laisse paraître la nouvelle boss

je plussois, désolée, je suis crevée mais je voulais lire ton chapitre avant d'aller dormir

En effet, cette petite pause fait du bien !
Jane qui croyait manipuler la nouvelle boss, finalement c'est lui qui se fait avoir !
Il est tellement pas habitué à ça que ça lui fait du bien ^^ ( même si la boss a surement un faible pour lui )

Il a quand même rammené le coupable

VLS !

bonjour à tous
un grand merci, d'abord, à ceux qui commentent et qui lisent

voici le chapitre suivant, qui nous ramène dans le coeur de la fic
j'espère que vous l'apprécierez, bonne lecture




Ça peut arriver à tout le monde
Chapitre 28 : dominos


Il était 15h30 et Jane se garait sur le parking du centre psychiatrique. Il avait d’abord rendez-vous avec la psychiatre qui souhaitait lui parler puis il devait rendre visite à Lisbon, comme tous les jours. Il y avait du soleil aujourd’hui mais il avait tout de même mis une veste noire, simple par-dessus une chemise blanche. Il entra dans le bâtiment et bifurqua vers les bureaux à l’entrée, après avoir patienté, on le fit entre dans le bureau de la psy.
Elle était assise derrière un petit bureau en bois, soigneusement rangé. Elle finit de marquer quelque chose sur un dossier puis referma celui-ci et posa enfin le regard vers son invité.

- Ravis de vous voir Mr Jane.
- Je ne vais pas vous mentir, je le suis beaucoup moins, les psys et moi, ça fait deux.

Elle sourit à sa réplique, il était vraiment unique. Elle l’invita à s’assoir avec politesse et ouvrit un autre dossier sur lequel figurait « Teresa Lisbon ».

- J’ai appris quelque chose d’intéressant cette après-midi.
- Content pour vous.

Elle s’attendait à cette réponse et continua sur sa lancée.

- Un de mes patients m’a appris que Teresa avait un petit ami.

Il leva les yeux au ciel.

- Vous savez bien que…
- Chut, le coupa-t-elle, donc je disais, un petit ami, jusque là rien de grave mais apparemment ce petit ami en question l’aurait embrassé dans le parc, ce qui je suppose explique son comportement après la visite et le fait que j’ai eut l’impression qu’elle soit paumé.

Il était adossé contre son fauteuil, les jambes croisées et observait la psy, commençant à montrer des signes d’énervements.

- Qu’est ce qui vous a pris ? elle est déjà suffisamment paumée non ?

Jane haussa les épaules.

- Il y a des choses que vous ne me dites pas, je le sais.
- Vous l’avez déjà dit, je suis celui qui se rapproche le plus du petit ami alors oui, il y a des choses que je ne vous dit pas mais je pense que j’en dis déjà suffisamment.
- Vous auriez du…
- C’est à moi de vous couper à présent, déclara-t-il en levant sa main, elle m’a accordé sa confiance et je ne vais pas la gâcher uniquement parce que vous n’en n’êtes pas satisfaite, vous faite surement du bon travail mais vous oubliez peut être que ça a été mon métier, d’aider les gens. Elle vous parlera quand elle en aura envie et quand elle sera prête. Ne vous en faite pas.

Et sur ces paroles, il se leva et sorti du bureau. La psy n’arrivait toujours pas à comprendre pourquoi beaucoup arrivaient à la faire parler et elle, n’avait droit qu’à un regard incendié à chaque fois. C’était quelque chose qu’elle n’expliquait pas, qu’elle soit la seule à la faire fuir autant, c’était vraiment la chose la plus difficile à avaler.
Jane arriva dans la salle commune et chercha Lisbon des yeux, il la trouva assis au coin habituel, au fond. Il s’approcha avec le sourire et parut contente de le voir.

- Bonjour
- Salut

Il s’assit en face d’elle.

- J’ai vu la psy avant, elle trouvait que je lui cachais des choses.

Le regard de Lisbon trahit soudain une grande inquiétude.

- Ne t’inquiète pas, je lui ai répondu que puisque qu’elle me qualifiait si bien de « petit-ami », c’était logique que je garde certaines choses secrètes.

Ses joues rougirent en l’entendant et elle abaissa le regard.

- Alors la thérapie de groupe s’est bien passée ?
- J’étais le centre de la conversation
- Ah ?
- Enfin plutôt toi.

Elle affichait une mine boudeuse et Jane ne pu que rire en la voyant.

- Et de quoi parlaient-ils ?

Le rouge lui revint rapidement.

- De la chance d’avoir un petit ami aussi gentil.

Il fut étonné de la franchise de la jeune femme et compris son malaise, il imaginait aisément la jeune femme assailli de questions et de remarque sur son consultant que tous prennent pour son petit ami, à juste titre surement.

- Tu as l’air posé aujourd’hui

Il eut pour toute réponse un haussement d’épaule. Il allait lui poser une autre question lorsqu’un jeune infirmier arriva avec un verre d’eau et les médicaments. Cela eut pour effet d’assombrir le visage de Lisbon, qui ramena ses genoux contre sa poitrine.

- Ce ne sont que deux pauvres cachets, lui fit remarquer l’infirmier

Elle détourna les yeux et Jane soupira silencieusement.

- C’est vous je présume ?
- Pardon ?
- Le consultant qui lui a envoyé des fleurs.
- Ah ! oui, c’est bien moi.

Jane ponctua sa phrase d’un sourire et jeta un œil à Lisbon qui était toujours recroquevillé sur le banc.

- Je vais être célèbre bientôt si tu continue à parler de moi, dit-il en riant.

Cela la fit sourire légèrement, l’infirmier les observa quelques secondes et n’eut aucuns mal à savoir que ces deux là, entretenaient une relation pour le moins original et sortant du commun.

- Vous êtes sûr de ne pas vouloir les prendre ?
- Non

Son ton avait changé, de aimable et discrète, elle venait de passer à froide et strict. Jane perdit le sourire qu’il s’efforçait de maintenir à chaque fois, il y avait des moments où il avait réellement l’impression qu’elle ne voulait pas sortir, aller mieux, êtres avec lui… Et cela était probablement l’une des pires choses à encaisser.
Doucement, il lui attrapa la main, la faisant relever les yeux vers lui.

- C’est toi qui décide, il veut seulement être sûr.
- Non.
- D’accord.

Jane remercia d’un coup de tête le jeune homme qui reparti vaquer à ses occupations et échangea un regard avec Lisbon.

- Quoi ?
- Rien.

La réponse de Jane ne parut pas la satisfaire et elle surenchérit.

- je sais que quelque chose te tracasse.
- Je trouve juste cela dommage que tu n’essaie pas.

Il était calme, posé, tentant de lui faire passer un message mais Lisbon en avait décidé autrement.

- Ça ne te regarde pas.
- Bien sûr que si, tu me maintiens en vie, si tu tombe, je tombe avec toi.

Elle abaissa le regard lorsqu’il prononça cette phrase, il tenait à elle et c’était l’une des raisons qui faisait qu’elle ne pouvait pas partir, c’était probablement la seule chose pas calculé dans sa tentative de suicide. La seule chose qui la retenait, c’était lui.

- Lorsque je traquais John le Rouge, tu m’as un jour demandé pourquoi cela m’étais si vital de le tuer et je t’ai répondu ce jour là que tant qu’il ne serait pas mort, je ne pourrais pas refaire ma vie et tu m’as rétorqué que si je n’essayais pas, je ne pourrais jamais savoir.

Elle tourna vivement la tête, les larmes lui montant aux yeux. Jane tenta de la prendre dans ses bras mais elle se débâti et se recroquevilla encore plus.

- A demain Teresa

Elle entendit ses pas s’éloigner et releva enfin la tête, pourquoi ne la laissait-il pas tranquille, pourquoi se sentait-il obliger de venir, de l’aider… elle essuya d’une main les larmes sur ses joues et le regarda partir au loin. Teresa … Ce n’était pas la première fois qu’il l’appelait ainsi mais pourtant son prénom prononcé par Jane et empli de sentiments lui faisait bizarre, comme une étrangère dans ce monde, contrainte d’agir comme tous les autres…



A suivre.

Vraiment super bien écrit ce chapitre

Outch ! C'est sûr que Jane et les psys, ça fait deux tu m'étonnes que Lisbon ne apprécie pas beaucoup la psy

J'aime Jane qui cloue le bec du psy disant que Lisbon aura envie de lui parler quand elle sera prête et il est super prévenant puis de quoi elle se mêle du fait que Jane embrasse Lisbon ?? Grrrr

La conversation entre Jane et Lisbon

Par contre, c'est trop triste de voir Lisbon qui refuse toujours systématiquement de prendre ses médicaments puis Jane qui tente de la raisonner mais en vain Puis j'aime trop la phrase de Jane
"...tu me maintiens en vie, si tu tombe, je tombe avec toi."

Je pour que Lisbon accepte ENFIN qu'on l'aide et qu'elle aille mieux après

pour ce chapitre !!

VLS VLS

Ce chapitre confirme la graaande histoire d'amour qui existe entre les psy et Jane
Un petit moment sympa avant de retrouver une Lisbon négative
Il y a des moments ou on se dit qu'il faudrait qu'enfin elle se décide à ouvrir les yeux

Jane et les psys, une grande histoire , il lui clou le bec une bonne fois. Non mais c'est vrai, si Lisbon veut lui parler, elle le fera d'elle-même, pas besoin de la forcer.
Mais j'ai bien l'impression que justement, Lisbon ne veut pas s'en sortir , que ce qui lui est arrivé l'en empêche et il va falloir bien du courage à Jane pour arriver à l'aider.
Encore un bon chapitre et il me tarde de lire le suivant :bounce: :bounce: :bounce:

Whaouw Quel chapitre ! Toujours géniaux et passionants tes chapitre ! VLS !

c'est un plaisir de lire vos commentaires, merci à vous
pas de chapitres pour ce weekend, je pars à Lille demain matin avec ma classe pour un forum de maths et je rentre dimanche soir, très tard.
mais surement lundi alors je vous souhaite un bon weekend en avance et à très bientôt