Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )

Merde c'est pas le bon...

Bon, pas grave pour l'instant il ont retrouver Jane et c'est le principal...

J'espère qu'il ne nous reprendra pas Jane, qu'il ne se vengera pas sur Lisbon, ni sur aucun des autre...


VLS

Dino Jarhed, le complice de Red John. L’assassin les avait devancés, une fois de plus et les agents n’y avaient pas pensé. Ils étaient à présent dépités en regardant Dino, face à eux, qui riait employant un rire grossièrement machiavélique comme son maître avait l’habitude de faire. Cho, Rigsby et Van Pelt regardait à présent tristement Lisbon. Comment réagirait-elle ?
Van Pelt devint toute rouge, de haine contre eux même, contre Red John, contre Dino. Elle se baissa pour se mettre au niveau de l’homme à terre.


« Comment peut-on faire autant de mal à des personnes qui n’ont rien demandé ?! Es-tu fier de toi espèce d’ordure ? Tu mériterais la même chose et même pire. Seulement, nous ne sommes pas avides de sang. Tu n’as qu’à crever sur place ! s’exclama t’elle. »


Après un petit moment de silence et après que Grace se soit relevée…

« Désolée les gars, mais fallait que ça sorte…

- Je ne lui aurais pas dit mieux, la réconforta Wayne Rigsby. »


Lisbon, quant à elle, s’était précipitée pour libérer le consultant blond, très mal en point. Il avait les yeux mi clos. Ses habits étaient en lambeaux et maculés de sang, sa peau luisait à cause de la sueur. Jane tenta tant bien que mal d’ouvrir les yeux et à son plus grand bonheur il aperçut la femme qu’il désirait plus que tout avoir à ses côtés : cette même femme qui, durant ces rudes jours de torture intense, lui avait donné la force nécessaire pour résister, pour ne pas succomber, pour ne pas abandonner et ne jamais cesser de croire à sa nouvelle vie qu’il se sentait enfin capable de commencer.
Lisbon le laissa assis, il ne fallait pas le bouger de position. Elle appela les urgences car la vie de Jane ne tenait qu’à un fil. Son regard émeraude croisa l’océan que lui offraient les yeux de Jane.
Patrick n’avait qu’un seul mot en tête…


« Teresa… murmura t’il. »


Il ferma les yeux, un faible sourire dessiné sur ses lèvres. Tout ce qu’il souhaitait avait exaucé … Il avait vu ce regard qu’il chérissait tant une dernière fois avant de plonger dans un noir des plus total…
Teresa Lisbon avait entrevu l’espace d’un instant le bleu intense de ces yeux qui lui avaient tellement manquée…Mais d’une seconde à l’autre, ils s’étaient fermés et ne voulaient plus s’ouvrir malgré les cris, les paroles qu’elles prononçaient dans une panique fulgurante. Elle désirait qu’il reste actif et non qu’il parte peu à peu. Les urgences étaient en route, mais les secondes, les minutes lui paraissaient longues, infiniment longues… Elle caressa doucement le front de l’homme et partit en direction de ses collègues.


« Rigsby, restez aux côtés de Jane.

- Patron… On a quelque chose à vous dire…commença Van Pelt.

- Qu’est ce qu’il se passe ?

- Beh en fait… L’homme par terre… poursuivit Rigsby.

- Qui ? Red John ? Quoi il est mort ?

- Ce n’est pas Red John. C’est son complice. Celui que j’ai interrogé et qui s’est enfui après, celui qui a agressé Van Pelt, acheva Cho.

- Quoi ? Comment est-ce possible ?

- Red John est le maître du jeu… Vous ne pouvez pas gagner contre lui… murmura Dino »


Le sang de Lisbon ne fit qu’un tour. Elle fit volte face de façon à être devant Dino Jarhed. Elle se pinçait les lèvres de haine. Au même moment, le portable de Jane sonna, Teresa se précipita pour décrocher : LE rire le plus mauvais, malsain et de mauvais présage retentit dans toute la pièce. Red John avait gagné une fois de plus. La jeune femme lança violemment le téléphone portable au sol, se fendant en deux à sa chute, perdant tout contrôle.
Dino Jarhed souriait de nouveau, Lisbon se précipita sur lui et n’hésita pas à le frapper à plusieurs reprises, lui faisant cracher le peu de sang qu’il lui restait. La jeune femme était déchaînée et aucun de ses collègues ne lui en voulait… Van Pelt décida, au bout de quelques minutes, de l’écarter du complice qui saignait de tout son corps. Lisbon s’abandonna à elle, les larmes coulant malgré son caractère fort, sa détermination à ne pas montrer ses failles. Grace tentait tant bien que mal de la calmer mais rien n’y faisait, la jeune femme brune était dans un état de choc profond et la douleur était bien plus qu’immense. Teresa se précipita à nouveau auprès de Jane qui ne s’était toujours pas réveillé. Elle tomba à genoux devant lui qui était toujours assis sur la chaise, lui prit les mains et les serra de toutes ses forces. Lisbon avait juste besoin de toucher sa peau, de sentir son faible pouls, de le sentir en vie.

magnifique ta fic mais ne laisse pas mourir Janr stp veux pas qu'il meurt moi

Il ne faut pas que Jane meurs...

VLS

Tiens bon Jane ! Ne lache pas !!!!!!!
Mais qu'est-ce qu'ils font les ambulanciers !

VLS !!!!

Ah je suis enfin à jour !

Fantastique, VLS !

Lisbon à enfin retrouvé Jane, mais faut pas qu'ilmeurt, pitié non ne meurt pas Jane
Je m'en remaitrais pas si tu meurs mon cher Jane
Sois pas cruelle pitié ne le tus pas pitié

Les secours arrivèrent rapidement, embarquèrent Patrick Jane et l’amenèrent à l’hôpital le plus proche, suivis de près par les voitures de fonction du CBI. Lisbon, qui d’habitude respectait les limitations de vitesse au pied de la lettre, roulait étonnamment beaucoup plus vite que la norme et suivait toujours de près l’ambulance dont les sirènes retentissaient dans toutes les rues.
Le temps paraissait plus que long aux quatre collègues du CBI qui se trouvaient à présent dans une salle d’attente peu accueillante. Jane était rentré au bloc d’urgence. L’attente était interminable.


« Grace, tu crois qu’il va s’en sortir ? demanda discrètement l’agent Wayne Rigsby qui ne supportait plus le silence pesant dans la pièce.

- Il s’en sortira ! répondit sèchement Lisbon qui avait tout entendu.

- Patron calmez-vous… On se pose juste des questions, c’est normal vu l’état dans lequel il était quand on l’a retrouvé… tenta de lui expliquer Grace Van Pelt.

- Il ne faut jamais garder espoir… Ils ne l’ont pas annoncé mort, donc gardez en tête qu’il est encore en vie. Il faut y croire. »


Ils se turent tous. Lisbon gardait les yeux rivés sur la porte du bloc opératoire. Elle voyait quelques silhouettes faire des allers et retours dans la pièce. Cho faisait les cent pas. Grace gardait un œil sur Teresa qui ne pipait mot.


« Vous êtes là pour Monsieur Jane ? »


Les quatre collègues se retournèrent et virent un médecin se tenir face à eux.


« Il est actuellement dans un coma artificiel, poursuivit le chirurgien voyant qu’aucun n’osait poser la question. Il a perdu beaucoup trop de sang, c’était le seul moyen de le maintenir en vie. Nous ne pouvons nous prononcer quant à l’issue du coma et s’il s’en sortira ou non… Je suis désolé…

-Merci de nous tenir informés. A plus tard, coupa Cho »


Kimball avait répondu car Lisbon s’apprêtait à répondre et il était fort probable que cela tourne au drame. Elle demanda cependant à le voir mais les visites ne seraient autorisées qu’à partir du lendemain à 10 heures. Les quatre agents du CBI furent donc contraints, malgré eux, de quitter l’hôpital afin de rentrer chez eux. Cette soirée avait été éprouvante pour tous et plus pour Lisbon. Grace était mal de la voir comme ça et elle savait pertinemment qu’une fois arrivées à l’appartement, la jeune brune se renfermerait dans sa chambre une nouvelle fois. Van Pelt se jura de ne pas la laisser, quitte à la forcer à parler, à veiller un peu plus tard.
Van Pelt se souvint d’une phrase que Jane avait dite à Hightower : « Quand Lisbon est malheureuse, je suis moins heureux ». Et quand Jane était malheureux ou en danger, Lisbon était malheureuse. Cela marchait à double sens selon Grace.
Lisbon ouvrit la porte de son appartement et elle entra suivie de près par sa collègue. Elles ne s’étaient pas parlé durant le trajet en voiture. Teresa, comme l’avait prévu Grace, commençait à partir en direction de sa chambre.


« Patron ?

- Oui ? répondit faiblement Lisbon dont ses larmes allaient couler sur ses joues d’une minute à l’autre.

- Vous ne devriez pas vous renfermer…

- Mais je ne me renferme pas du tout. Je suis juste… fatiguée s’empressa d’ajouter Lisbon à cause du regard que lui lança Van Pelt.

- Vos yeux vous trahissent.

- Je vais parfaitement bien Grace.

- Si vous alliez parfaitement bien, vous n’auriez pas tabassé Dino Jarhed, même s’il le méritait j’en suis bien consciente. Vous auriez gardé votre sang froid, comme d’habitude, comme dans une affaire commune…

- Ce n’était pas une affaire comme les autres. Ca concernait un membre de notre équipe…

- Pour Bosco aussi, ce n’était pas une affaire comme les autres. A ce moment là aussi, c’était difficile mais pourtant vous gardiez tout pour vous, vous aviez assez de force, de mental. Mais là, il s’agit de Jane… »


Lisbon ne laissa pas Grace Van Pelt finir sa phrase, elle se dirigea dans sa chambre, ferma la porte d’un coup sec et s’effondra sur son lit. Elle ne put contenir ses larmes plus longtemps. Grace avait raison mais Teresa préférait ne pas se l’avouer, comme toujours. Elle contempla ses vêtements et vit que les manches de son chemisier étaient tâchées du sang de Jane.


« Jane, tu as intérêt à t’en sortir, sinon, tu vas…tu vas… »


Sinon il va la détruire… C’était une évidence.
Dans le monde, l’amour est partout, imprévisible, inexplicable, insurmontable. Il frappe quand il veut, et souvent, cela fait des dégâts, la douleur est là. Le déni de l’amour fait encore plus souffrir et c’est lorsqu’on est susceptible de perdre la personne chérie que l’on se rend compte de son importance, cette importance unique, cette place qu’elle prend dans votre cœur, votre cœur qui lui appartient…
Tel était le cas de Lisbon qui, malgré sa peine et son état d’anxiété, réussit à s’endormir, recroquevillée sur elle-même.
Van Pelt ne savait comment agir pour aider efficacement son patron. La jeune femme ne supportait pas de voir son entourage mal, mais cette fois ci, elle était bel et bien consciente que la seule personne qui pouvait vraiment aider Teresa Lisbon était Patrick Jane, mais celui-ci se trouvait à présent entre la vie et la mort. Grace s’endormit elle aussi, après avoir vérifié que Lisbon dormait elle aussi. Elle la couvrit avec la couette avant de repartir pour se coucher à son tour sur le divan. Van Pelt était devenu en quelques sortes son ange gardien.
Rigsby repensait à cette soirée et à la réaction de Lisbon. Il revoyait toutes les images : lorsqu’elle s’était précipitée sur Jane pour le délivrer, tomber à genoux devant lui et lui prendre les mains, s’assurer qu’il était encore en vie. Le visage de Grace lui vint en tête. Si elle avait été à la place de Jane, il aurait agi de la même façon. La seule pensée de pouvoir la perdre ou même qu’elle soit en danger l’horrifiait terriblement. Il ne pouvait plus rester dans cette situation, il souhaitait passer à la vitesse supérieure et tenter sérieusement quelque chose avec elle, mais il ne savait comment lui dire et il ne savait si cela était réciproque. Il prit alors une nouvelle part de pizza avant de se coucher. Pour lui, la nuit portait conseil mais manger lui en apportait beaucoup plus.
Kimball Cho, quant à lui, était rentré tranquillement chez lui. Il n’avait pas perdu son sang froid et demeurait imperturbable, comme d’habitude. Il avait certes été secoué par les évènements mais il parvenait à rester calme. Il pensa comment serait le CBI sans lui…


« Il serait bien trop calme. Jane tu vas t’en sortir. Sinon qui nous entrainera dans des plans foireux ? Et qui nous emmerdera avec son thé ? »


Un sourire se dessina sur les lèvres de l’homme. Demain était un autre jour et il ne pouvait qu’être meilleur…

Je sens le Jisbon arriver, le moment fatidique de la déclaration... Parce que bien sur tu vas pas le tuer notre Jane hein ?!

VLS !!!

Allez, Jane, secoue toi les puces! Faut qu'il se réveille, ce gros boulet!

Moi aussi j'ai mis Jane dans le coma, mais je l'ai réveiller après, alors tu va faire la même chose sinon ou alors .
Donc t'as pas trop le choix.... enfin c'est toi qui vois.
Ohlala la fatigue me fait dire n'importe quoi. Je sors

Cela me semble un peu contradictoire :

in-my-dreamz a écrit:- Il ne faut jamais garder espoir… Ils ne l’ont pas annoncé mort, donc gardez en tête qu’il est encore en vie. Il faut y croire. »

Il ne faut pas que Janounet meurt, il faut qu'il se reveille, il ne faut pas que Térésanounette perde espoir, il faut que ça se termine Jisbon, il ne faut pas que Rigsby mange trop, il faut que Grace et Wayne se remettent ensemble, il ne faut pas nous faire trop attendre, il faut nous mettre la suiiiiiiiiiiite !!!!

VLS vls VLS vls VLS

Aurcoco a écrit:


Il ne faut pas que Janounet meurt, il faut qu'il se reveille, il ne faut pas que Térésanounette perde espoir, il faut que ça se termine Jisbon, il ne faut pas que Rigsby mange trop, il faut que Grace et Wayne se remettent ensemble, il ne faut pas nous faire trop attendre, il faut nous mettre la suiiiiiiiiiiite !!!!

VLS vls VLS vls VLS

c'est exactement ça ! Vite vite la suite lol

Lisbon se réveilla difficilement. Elle aurait souhaité rester dans son lit plus longtemps mais le travail l’appelait. Elle prit sa douche afin de faire disparaître le visage endormi du matin. Lorsqu’elle se dirigea vers la cuisine, le petit déjeuner était prêt et Grace l’attendait pour manger.


« Van Pelt, c’est vous qui ?

- Oui. Le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée et d’habitude, vous ne buvez qu’un seul café. Ce matin exception. Assoyez-vous et mangez.

- Mais…

- Pas de mais ! A table c’est tout ».


Lisbon s’exécuta. Grace avait raison, cela faisait du bien de manger, pour une fois, pendant le matin. Elles ne parlèrent cependant pas. La discussion était encore difficile à entamer et de quoi auraient-elles pu parler ? Tout ce dont à quoi elles pensaient était Jane et son état de santé.
Elles partirent donc au CBI. Il était huit heures. Cho et Rigsby se trouvaient déjà dans les bureaux.


« Patron, Hightower veut vous voir dans son bureau, annonça Wayne.

- Elle attendra cinq minutes, je viens juste d’arriver.

- Ca paraissait important Lisbon, ajouta Cho.

- J’irai ! Mais cinq minutes ! De toute façon, à chaque fois c’est important ! »


Elle posa sa veste sur le dossier de la chaise de son bureau et partit voir Hightower ce qui ne l’enchantait guère. Lisbon ne l’avait jamais appréciée et c’était bien réciproque selon Teresa : seul le fameux Jane comptait. La jeune femme brune frappa à la porte et entra. Madeline l’attendait, assise derrière son bureau, un stylo en main.


« Vous vouliez me voir ?

- Oui asseyez-vous Lisbon.

- De quoi est-ce question ?

- Vous aviez raison pour l’affaire Jane et je suis désolée d’avoir douté de vos soupçons, mais il faut reprendre à présent le travail. Je suis bien consciente que cela vous a tous atteint mais une autre affaire arrive, je vous la confierai rapidement. J’espère que vous vous en sortirez sans Jane sur les affaires.

- On s’en sortira. Jane ne fait pas tout le travail dans notre équipe! Vous m’avez faite demander juste pour me dire ça ou je rêve ?!

- Non pas seulement. Je voulais avoir de vos nouvelles aussi. Comment allez-vous depuis votre malaise ?

- Ca va très bien merci ! J’ai quelques carences mais j’étais sur les nerfs aussi. Que c’est bizarre, normal puisque mon patron ne croyait pas mes inquiétudes et qu’un de mes collègues était en danger ! dit Lisbon d’un ton plus qu’arrogant qu’Hightower eut du mal à accepter.

- Lisbon calmez-vous enfin ! Nous discutons juste ! Comment va Jane ?

- C’était donc ça la principale raison de ma convocation ! Votre Monsieur Jane est dans un coma artificiel, les médecins ne savent pas s’il s’en sortira ! Avouez que vous êtes triste ?!

- Bien entendu que je le suis, c’est un membre du CBI.

- Ou bien juste parce que votre petit protégé est très mal en point et que ça vous manquerait énormément de ne plus le voir n’est-ce pas ? Car c’est la vérité ! hurla Lisbon. Tout tourne autour de lui depuis que vous êtes là. Et Jane par ci et Jane par là ! Alors la prochaine fois, si vous voulez de ses nouvelles, au lieu de passer par moi, vous ferez comme nous tous, vous irez à l’hôpital le voir et demander aux médecins ! »


Lisbon était sortie de ses gongs pour peu de choses, Hightower aurait voulu répliquer mais son employée avait quitté son bureau en claquant la porte. Pour Madeline, Teresa avait été beaucoup trop loin dans ses propos et elle en payerait les frais pour lui avoir manqué ouvertement de respect.
Quand Van Pelt, Rigsby et Cho virent arriver Lisbon en trompe et s’enfermer dans son bureau, ils comprirent de suite que l’entretien avec Hightower ne s’était pas déroulé calmement.


« Qu’est ce qu’il s’est passé à votre avis ? demanda Rigsby.

- Hightower a demandé des nouvelles de Jane et Lisbon a pété un plomb, répondit simplement Cho.

- T’es sûr mec ?

- Je les ai entendues quand je suis allé me chercher un café. Ce qui est sûr aussi, c’est que Lisbon a balancé tout ce qu’elle avait sur le cœur à Hightower et c’était pas joli à entendre.

- Mais elle va être mise à pied si elle continue, remarqua Grace.

- Effectivement, elle l’est et je viens lui annoncer. Où est-elle ? Intervint Madeline Hightower.

- Dans… Dans son bureau Madame, balbutia Wayne. »



POur Aurcoco j'ai oublié un mot =P => Il ne faut jamais s'arrêter de garder espoir !

Olalala, Lisbon s'est mis Hightower à dos et maintenant elle est mise à pied ... elle a vraiment pété un plomb

VLS

zut, Lisbon mise à pied, pas de bol.
Mais faut voir le bon côté, maintenant elle aura le temps d'aller voir son cher consultant à l'hôpital.
Vivement la suite.....

Arf, VLS

Sweetylove30 a écrit:zut, Lisbon mise à pied, pas de bol.
Mais faut voir le bon côté, maintenant elle aura le temps d'aller voir son cher consultant à l'hôpital.
Vivement la suite.....

ah pas cool !! mise a pied

mais tu a raison Sweetylove30 elle ira le voir plus souvent (tout le temps méme ^^)



VLS!!

ouais vous avez raison les filles !

Et ainsi se passa la matinée. Lisbon quitta le bureau aux environs de neuf heures et demi, et malgré elle, elle en était soulagée car elle avait réalisé qu’elle avait pleinement mérité cette sanction même si celui lui avait fait extrêmement de bien de parler, ou plutôt, crier à cœur ouvert sur Hightower. Teresa s’en voulait néanmoins pour ses trois agents qu’elle laissait en plan. La jeune femme ne souhaitait pas rentrer chez elle, elle se dirigea donc vers l’hôpital. Les visites allaient être bientôt autorisées, elle pourrait avoir des nouvelles sur la santé de Jane et surtout le voir, allongé dans un lit d’hôpital accompagné d’une multitude de perfusions.
Le médecin la reconnut. Il lui annonça qu’il n’y avait aucun changement.


« Vous avez raison de venir le voir. Vous savez, quand une personne est dans le coma, elle peut entendre ce que son entourage lui dit, elle peut sentir leur présence mais le corps décide de ne pas se réveiller de suite car il est mal en point, mais ne perdez pas espoir. Cela ne fait qu’une nuit vous savez.

- Il est solide, je le sais bien. Merci docteur.

- Je vous en prie Madame.

- Mademoiselle.

- Excusez-moi dans ce cas. »


Lisbon avait tenu à rectifier le médecin. Après tout, elle n’était pas mariée, ni même engagée avec quelqu’un alors pourquoi l’appellerait-on Madame ? Cela n’avait guère d’importance dans la vie de tous les jours, mais pour elle cela en avait. Teresa était un cœur à prendre et son cœur n’attendait qu’une seule et unique personne et celle-ci se trouvait entre la vie et la mort.
Elle entra dans la chambre de cette personne et s’assit à côté de lui. Elle lui prit la main tendrement et ne put s’empêcher de la caresser doucement. Elle en ressentait le besoin, tout comme elle avait besoin de lui, tout comme elle aurait pu tout faire juste pour qu’il s’en sorte. Mais seul le temps déciderait de son sort. Elle ne pouvait qu’espérer et ne cesser d’y croire. Lisbon avait du mal à le regarder dans cet état là, mais elle resta près de lui. Des fils parcouraient son corps comme les voitures parcouraient une autoroute. Elle entendait les bips stridents et réguliers qui ressemblaient tant aux caisses du supermarché mais elle préférait les entendre à la supérette du coin plutôt que dans un hôpital.
Le visage de Jane semblait libéré de toutes souffrances. Il dormait paisiblement, pour une fois.
Lisbon n’avait pas eu de nouvelles de Dino Jarhed depuis le fameux soir, ni de Red John et finalement, elle préférait nettement ne plus entendre parler de lui. Teresa songea à faire disparaître cet immonde smiley de son appartement, elle s’y collerait ce soir même. Elle souhaitait effacer toute cette histoire même si cela était potentiellement impossible.
Lisbon regarda leurs mains liées et remarqua que Jane ne portait plus son alliance. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Elle ne savait pas pourquoi mais cela la rassurait qu’il ne l’ait plus. S’il l’avait ôté tout seul, cela signifiait qu’il avait enfin fait le deuil de sa femme et de sa fille, qu’il était devenu un homme libre, toujours en peine, mais moins tourmenté et torturé par l’absence des deux femmes de sa vie qu’auparavant.


« Jane. Réveille-toi, tu ne peux pas rester comme ça. Tu ne peux pas tu comprends ! On n’a pas fait tout ça pour que tu t’abandonnes à la mort comme ça. Tu n’as pas tenu des jours pour rien, alors continue et reviens. J’admets qu’on a besoin de toi dans l’équipe et dès que tu n’es plus là, Hightower est folle. Elle m’a mise à pied ce matin. Alors reviens pour calmer tout ça. Sinon tous les matins, tous les jours, toutes les nuits si je peux, durant ma mise à pied, je viendrai te répéter les mêmes paroles et peut-être même te donner des baffes pour tous les plans foireux que tu m’as faits ! Tu pourras même te vanter pour la fois où je t’ai déshabillé dans mon bureau, d’ailleurs tu les auras tes menottes et ton fouet mais seulement si tu te réveilles. Alors bouge tes fesses de fainéant ! C’est fou, au CBI, tu es tout le temps couché sur ton misérable canapé et là, tu es allongé dans ce misérable lit ! Bouge-toi un peu ! Il y a ton thé qui t’attend et tout le monde t’attend aussi… Y compris moi… Jane… »





=> Je suis désolée de poster si tard mais les cours reprennent et pfiouf épuisant quoi !:!!!!
J'espère que ça vous plait toujours.
Bisouuuus tout le peuple

VLS c'est trop bien cette fanfic

Térésa à raison, bouge tes fesses Patou réveille toi! En plus elle t'as promis tes menottes et ton fouet, c'est tout benef pour toi
Allez, en plus elle t'aime, réveille toi et fonce ! C'est un ordre.

Aller REVEILLES TOI !
Tu vas pas rester dans le coma toute ta vie ?!
En plus y a Lisbon avec un fouet et des menottes qui t'attendent !!

VITE!!

L’homme en question entendait tout mais ne trouvait pas la force nécessaire pour se réveiller et prendre la jeune femme dans ses bras. Il souriait intérieurement et riait même. Il y avait une part de joie dans son malheur et cette part c’était ELLE. Il se battrait autant qu’il le pourrait. Auparavant, sa vie n’était que vengeance, il ne parvenait pas à tourner la page. A présent, c’était tout le contraire. Il était enfin arrivé à tourner cette page, il avait réalisé que même la vengeance ne ramènerait pas sa fille et sa femme et que lui était encore en vie, qu’il avait la chance de vivre, alors pourquoi la gâcher ? Bien sûr, il ferait tout son possible pour envoyer au trou Red John car c’était un criminel, le plus horrible qu’il puisse exister. Il ne commettrait plus la même erreur, il protègerait jusqu’à son dernier souffle ses proches, sa nouvelle famille : l’équipe du CBI.
Jane entendait Lisbon pleurer et il aurait remué ciel et terre pour pouvoir empêcher cela mais malheureusement, il ne pouvait pas bouger lui-même alors comment aurait-il pu éviter ses larmes ?

Les larmes de Lisbon devinrent quotidiennes alors que l’état de Jane ne s’était que faiblement améliorées depuis plus d’une semaine. Teresa n’était pas retournée travailler. Personne ne semblait la reconnaître, elle pour qui d’habitude le travail, le CBI représentait tout. La jeune femme se trouvait une fois de plus au chevet de Jane avec Van Pelt.


« Patron, vous devriez rentrer à l’appartement.

- Je préfère rester ici. Il va peut-être se réveiller. Il va se réveiller même.

- Peut-être pas aujourd’hui… Cela fait plus d’une semaine à présent. Plus d’une semaine que vous restez ici jour et nuit, à son chevet. Vous ne dormez guère, vous ne mangez pas beaucoup non plus. On a besoin de vous au CBI.

- Hightower ne voudra pas me reprendre.

- Au contraire, elle vous attend. Arrêtez de jouer l’enfant cinq minutes, arrêtez de trouver des excuses. Hightower n’attend ne vous que des excuses, votre mise à pied est terminée depuis quelques jours, vous avez la possibilité de revenir travailler et cela vous ferait le plus grand bien. Vous êtes en train de vous détruire complètement ! Croyez vous que Jane accepterait de vous voir dans cet état là ? Regardez moi ces cernes, vos vêtements qui vous lâchent ! Croyez vous réellement que Jane voudrait vous voir dans cet état là ? Reprenez-vous. »


Lisbon ne sut quoi répondre et elle préféra rester silencieuse. Elle savait au fond d’elle que Van Pelt avait parfaitement raison. Elle leva la tête et regarda dans les yeux sa collègue. Son agent lui tendit la main. Lisbon hésita à lâcher la main de Jane et de le laisser mais la raison la rattrapa et elle préféra écouter Grace.
Les deux jeunes femmes rentrèrent tranquillement à l’appartement de Lisbon. Cette dernière était tout autant déchirée mais elle n’était pas seule et elle venait de le réaliser. Elles s’assirent toutes deux sur le canapé.


« Je suis désolée de vous avoir parlé comme ça tout à l’heure patron, mais il le fallait. On ne pouvait pas vous laisser comme ça.

- Ne vous en faîtes pas. Je vous remercie plutôt. Il y a des nouvelles enquêtes au CBI ?

- Une petite fille qui a disparu hier, elle devait rentrer en vélo de l’école et elle n’est jamais revenue. Nous avons interrogé les témoins, les amis, les enseignants et les parents et personne ne l’a vue.

- Vous avez essayé de demander aux voisins ? Ou même à ses parents : Où aimait-elle aller le plus souvent ? Les enfants ont souvent une cabane rien qu’à eux où ils s’inventent toutes sortes d’aventures.

- Lisbon est de retour !

- Je crois..

- Ne croyez pas. Soyez en sûre ! C’est très dur pour nous tous, mais pour vous plus particulièrement.

- Pourquoi serait-ce plus dur pour moi ? Coupa Lisbon.

- Avec les gars, on a bien vu qu’il se passait quelque chose entre vous. Enfin qu’il y avait une complicité impressionnante entre vous et surtout nous avons remarqué votre état lorsqu’il n’était pas là. »


Lisbon ouvrit la bouche de stupéfaction mais aucun son ne sortit de sa bouche. Elle n’en revenait pas. Elle agitait les bras dans tous les sens et partit finalement tout droit dans sa chambre, comme une adolescente qui avait été contrariée par sa mère. Toutes les remarques de Van Pelt lui semblaient stupides, vraiment. Comment pouvaient-ils croire qu’il y ait quelques choses entre elle et Jane ?
Sans non plus savoir pourquoi, elle s’était mise à pleurer. C’était pourtant évident mais pas pour Lisbon.
Grace, de son côté, avait tout compris. Lisbon avait eu la même réaction qu’elle. Van Pelt était, elle aussi, passée par là. Jane lui en avait voir de toutes les couleurs au sujet de Rigsby et durant toute cette période, elle était à fleur de peau, totalement vulnérable et sensible aux moindres remarques, elle s’emportait aux moindres paroles que pouvait prononcer Patrick Jane. Van Pelt souhaitait trouver les mots qui seraient capables de réconforter Lisbon, mais seul Jane pouvait y arriver, seul lui arrivait .
Van Pelt s’égara dans ses pensées et quelles pensées… Son petit monde avait été complètement chamboulé : que ce soit ses voisins assassinés et maintenant Jane dans le coma, Lisbon au bord du gouffre et l’envie de plus en plus grandissante de prendre un risque qui pourrait lui coûter sa carrière alors qu’elle ne venait que de commencer. La jeune femme souhaitait, pour une fois, braver l’interdit et laisser aller ses sentiments au gré du vent...

Désolée de tout ce retard Gosh ! ! ! ! ! :$

Super suite! Pourquoi tu te reveille pas Jane! Lisbon a besoin de toi.... Je sais que tu peux pas mais bon.... elle va vraiment pas bien.

VLS