Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
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Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Ah pauvre Lisbon! RJ va la kidnapper!!
VLS
VLS
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Pauvre Lisbon, ça fait mal de la voir ainsi. :'(
En plus RJ va s'en prendre à elle ! Jane se fait torturé pour rien
....
Calmons nous...
Ah, un peu d'humour dans ce chapitre tristounet :)
VLS
En plus RJ va s'en prendre à elle ! Jane se fait torturé pour rien
....
Calmons nous...
le sommeil la replongea rapidement dans ses rêves les plus fous et y revoyait Cho déguisé en Casimir, Rigsby en télétubies, Lisbon en barbapapa et Jane en Bob l’éponge.
Ah, un peu d'humour dans ce chapitre tristounet :)
VLS
Izarra- Stagiaire au CBI
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Owoh , chez moi maintenant il est 02h30 !Sweetylove30 a écrit:Qu'est-ce qui va arrivé à Lisbon? RJ va l'emmener pendant son sommeil? Oh non la pauvre, ça fait bizarre de la voir malade, et quand elle protèste elle me fait pensé à Jane.
J'ai hâte de lire la suite, mais je veux aussi que tu te repose, ordre du médecin
Il faut être en forme pour écrire de bonnes fics
On est tous avec toi
Et maintenat au dodo
Je sais pas quelle heure il est chez toi mais chez moi il est déjà 21h30 et je vais suivre mon propre conseil, du moins je vais essayer
Donc je croit aussi que je vais aller me coucher ... x)
Sinon , superbe chapitre , un peut tristounet mais avec une pointe d'humour comme j'aime !
Que va faire RJ ... ?
V.L.S
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Merci de ton message Sweetylove30 mais ne t'en fais pas, je me suis remise totalement. J'ai fait juste un gros malaise et je me suis bien ouvert la tête et voilà, je suis restée quelque jours en observation et en soins intensifs, mais tout va miiiieux =DD
Je vous poste la suite dans la soirée =DD
Je vous poste la suite dans la soirée =DD
in-my-dreamz- Distributeur de café
- Personnage préféré : Jane & Lisbon :)
Loisirs : Sport. Musique. Amis
Localisation : Bordeaux
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Désolée du double post :/
Voici la suite :)
Lisbon se réveilla en sursaut. Elle regarda son réveil, il était huit heures et demie. L’infirmière n’allait pas tarder à arriver. Elle décida donc d’aller prévenir sa colocataire temporaire qui séjournait dans le salon. Elle se leva difficilement et se dirigea vers son salon qui était la pièce en contact avec la porte d’entrée. Lisbon se figea à la vue de cette dernière. Elle resta de marbre avant de pouvoir dire quoi que ce soit, ou plutôt crier quoi que ce soit.
Elle tomba brutalement sur les genoux à côté du canapé, ce qui réveilla l’agent Van Pelt.
« Mais qu’est ce qu’il se passe ici ? dit-elle avec la douce voix du matin.
- Grace… La porte… Regardez … la porte ! »
Van Pelt s’exécuta et resta figée elle aussi. Elle l’avait sentie cette nuit. Elle avait senti une odeur étrange et non agréable. Elle savait qu’IL était venu mais elle s’était rendormie rapidement après cette impression.
Elle contempla longuement le smiley dessiné au sang frais: Ce smiley si spécial qui annonçait la mort. Van Pelt appela d’urgence ses collègues afin qu’ils les rejoignent. Pendant ce temps, Lisbon était repartie de force dans son lit car l’infirmière était arrivée. La santé la rappelait à l’ordre.
Cho releva du sang qu’il y avait sur la porte pour le faire analyser de toute urgence. Il était impératif de savoir s’il s’agissait de celui de Jane et si, malheureusement c’était le cas. Il ne restait plus beaucoup ou bien plus du tout de chance de sauver leur consultant. Le temps leur était à présent beaucoup plus précieux. Chaque minute comptait. Mais que fallait-il faire à présent ? Il ne leur restait plus qu’à attendre les résultats et ensuite, seulement ensuite, passer à l’action.
En attendant, ils décidèrent d’un commun accord des rester sur leurs gardes. Les hommes allèrent demander aux voisins s’ils avaient vu une personne, de préférence un homme, s’infiltrer chez Teresa Lisbon ou même un homme rodant aux alentours, dans la résidence du quartier BelHair à une heure tardive.
La voisine, une vieille dame de plus de soixante dix ans à en juger ses rides, répondit avoir entendu que les éboueurs passaient, aux alentours de vingt trois heures. Elle avait d’ailleurs trouvé cela étrange. Ils passaient généralement de nuit mais pas aussi tard et ils n’étaient pas un seul par camion à cette heure ci, alors que cette fois ci, la vieille dame affirma n’avoir vu qu’une seule personne : un homme.
« Êtes-vous bien sûre madame de ce que vous avancez ? demanda une fois de plus l’agent Kimball Cho.
- Ecoutez mon garçon, je me fais vieille, j’en suis consciente, mais j’y vois et je ne suis pas complètement folle. Il n’y avait qu’un seul homme, petit et trapu, la barbe mal rasée avec un tatouage dans le cou, deux grands V et une casquette rouge sur la tête.
- Mais que faisiez vous éveillée si tard ? poursuivit Rigsby entre deux rires.
- Je regardais ma série hebdomadaire du mercredi, Criminal Minds. Franchement, vous ne trouvez pas que Hotch et Prentiss devraient se mettre ensemble une fois pour toutes ? Je vais aller voir les scénaristes et leur montrer de quel bois je me chauffe !
- Merci de votre coopération… N’hésitez pas à nous rappeler si vous vous souvenez de quoi que ce soit d’autre durant cette nuit, termina Cho en tendant à la femme devant lui une carte de visite. »
Rigsby sortit de chez la dame mort de rire, suivi de près par son collègue. Cette femme avait du caractère et c’était bel et bien la première fois que Wayne voyait Kimball mal à l’aise lors d’un interrogatoire comme celui-ci pourtant banal dans la vie d’un agent. Wayne se jura que lorsqu’il atteindrait un âge aussi élevé, il serait comme cette dame, toujours plein de vie, de vivacité, avec du répondant, comme si la vieillesse n’avait atteint que son physique et non sa mentalité.
Il s’imaginait grand-père avec sa femme Grace Van Pelt, toujours aussi amoureux que la première fois que leur lèvres se heurtèrent pour ne plus se séparer… Il se voyait avec elle, formant un couple heureux et totalement uni.
Seulement pour que tout cela arrive, il faudrait que Rigsby se jette à l’eau, chose qu’il n’avait pas encore osé faire.
Voici la suite :)
Lisbon se réveilla en sursaut. Elle regarda son réveil, il était huit heures et demie. L’infirmière n’allait pas tarder à arriver. Elle décida donc d’aller prévenir sa colocataire temporaire qui séjournait dans le salon. Elle se leva difficilement et se dirigea vers son salon qui était la pièce en contact avec la porte d’entrée. Lisbon se figea à la vue de cette dernière. Elle resta de marbre avant de pouvoir dire quoi que ce soit, ou plutôt crier quoi que ce soit.
Elle tomba brutalement sur les genoux à côté du canapé, ce qui réveilla l’agent Van Pelt.
« Mais qu’est ce qu’il se passe ici ? dit-elle avec la douce voix du matin.
- Grace… La porte… Regardez … la porte ! »
Van Pelt s’exécuta et resta figée elle aussi. Elle l’avait sentie cette nuit. Elle avait senti une odeur étrange et non agréable. Elle savait qu’IL était venu mais elle s’était rendormie rapidement après cette impression.
Elle contempla longuement le smiley dessiné au sang frais: Ce smiley si spécial qui annonçait la mort. Van Pelt appela d’urgence ses collègues afin qu’ils les rejoignent. Pendant ce temps, Lisbon était repartie de force dans son lit car l’infirmière était arrivée. La santé la rappelait à l’ordre.
Cho releva du sang qu’il y avait sur la porte pour le faire analyser de toute urgence. Il était impératif de savoir s’il s’agissait de celui de Jane et si, malheureusement c’était le cas. Il ne restait plus beaucoup ou bien plus du tout de chance de sauver leur consultant. Le temps leur était à présent beaucoup plus précieux. Chaque minute comptait. Mais que fallait-il faire à présent ? Il ne leur restait plus qu’à attendre les résultats et ensuite, seulement ensuite, passer à l’action.
En attendant, ils décidèrent d’un commun accord des rester sur leurs gardes. Les hommes allèrent demander aux voisins s’ils avaient vu une personne, de préférence un homme, s’infiltrer chez Teresa Lisbon ou même un homme rodant aux alentours, dans la résidence du quartier BelHair à une heure tardive.
La voisine, une vieille dame de plus de soixante dix ans à en juger ses rides, répondit avoir entendu que les éboueurs passaient, aux alentours de vingt trois heures. Elle avait d’ailleurs trouvé cela étrange. Ils passaient généralement de nuit mais pas aussi tard et ils n’étaient pas un seul par camion à cette heure ci, alors que cette fois ci, la vieille dame affirma n’avoir vu qu’une seule personne : un homme.
« Êtes-vous bien sûre madame de ce que vous avancez ? demanda une fois de plus l’agent Kimball Cho.
- Ecoutez mon garçon, je me fais vieille, j’en suis consciente, mais j’y vois et je ne suis pas complètement folle. Il n’y avait qu’un seul homme, petit et trapu, la barbe mal rasée avec un tatouage dans le cou, deux grands V et une casquette rouge sur la tête.
- Mais que faisiez vous éveillée si tard ? poursuivit Rigsby entre deux rires.
- Je regardais ma série hebdomadaire du mercredi, Criminal Minds. Franchement, vous ne trouvez pas que Hotch et Prentiss devraient se mettre ensemble une fois pour toutes ? Je vais aller voir les scénaristes et leur montrer de quel bois je me chauffe !
- Merci de votre coopération… N’hésitez pas à nous rappeler si vous vous souvenez de quoi que ce soit d’autre durant cette nuit, termina Cho en tendant à la femme devant lui une carte de visite. »
Rigsby sortit de chez la dame mort de rire, suivi de près par son collègue. Cette femme avait du caractère et c’était bel et bien la première fois que Wayne voyait Kimball mal à l’aise lors d’un interrogatoire comme celui-ci pourtant banal dans la vie d’un agent. Wayne se jura que lorsqu’il atteindrait un âge aussi élevé, il serait comme cette dame, toujours plein de vie, de vivacité, avec du répondant, comme si la vieillesse n’avait atteint que son physique et non sa mentalité.
Il s’imaginait grand-père avec sa femme Grace Van Pelt, toujours aussi amoureux que la première fois que leur lèvres se heurtèrent pour ne plus se séparer… Il se voyait avec elle, formant un couple heureux et totalement uni.
Seulement pour que tout cela arrive, il faudrait que Rigsby se jette à l’eau, chose qu’il n’avait pas encore osé faire.
in-my-dreamz- Distributeur de café
- Personnage préféré : Jane & Lisbon :)
Loisirs : Sport. Musique. Amis
Localisation : Bordeaux
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Ahh j'espère que c'est pas le sang de Jane!
J'adore la mamie qui regarde CM xD
VLS
J'adore la mamie qui regarde CM xD
VLS
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Oh non, le sang de Jane?
J'espère qu'il va bien quand même, et que les autres vont faire quelque chose pour lui.
La suite aujourd'hui?
J'espère qu'il va bien quand même, et que les autres vont faire quelque chose pour lui.
La suite aujourd'hui?
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
J'aime beaucoup !
VLS
VLS
Mini- Agent de circulation
- Personnage préféré : Lisbon & Jane, Cho.
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
« Tu ne trouves pas ça bizarre quand même? demanda Cho, tirant son collègue de ses rêveries par la même occasion.
- De quoi ? Les poubelles passent tard parfois, ça dépend du trafic.
- Peut-être mais 23h quand même, ça fait TRES tard, un peu trop même. Sachant que certains réembauchent le matin de bonne heure.
- Ne vois pas le mal partout. Tu n’as juste pas apprécié de laisser de côté ton smoking pendant une demi-heure à tout casser. Et puis tu voudrais que ce soit quoi ? Un éboueur mal intentionné ? Et pourquoi ? Parce que Lisbon aurait oublié de faire le tri sélectif ?! Franchement !
- Avoue que ce n’est pas net non plus ! Hier on se retrouvait à jouer aux éboueurs pour trouver des papiers, dont une lettre écrite par Red John à l’adresse de Jane, et un seul des employés s’est directement porté volontaire pour nous aider, les autres étaient tétanisés ! Et puis la description de l’homme qu’a vu la vieille est à peu de choses près celle de cet homme qui nous a accompagnés.
- Et tu voudrais faire quoi ? Retourner voir ces gentils messieurs pleins de volonté et de courage que sont les éboueurs que nous avons croisé ? Se moqua Wayne.
- Ouais, pour voir si l’autre n’a pas mystérieusement démissionné ou disparu, ce qui ne m’étonnerait pas d’ailleurs !
- Si tu y tiens tant, c’est parti ! »
Pendant ce temps, Van Pelt était toujours au chevet de son patron. L’infirmière avait quitté la maison cinq minutes après y être entrée. Elle avait d’ailleurs qualifié Lisbon de patiente agitée et tourmentée. Grace n’avait pas pris la peine de s’énerver, cette femme était dans l’ignorance et il valait mieux qu’il en reste ainsi. Inutile de s’énerver pour des broutilles. La soignante lui avait annoncée, avant de partir, que les résultats arriveraient d’ici un ou deux jours.
Lisbon était toujours aussi troublée à la vue du smiley tracé sur sa porte d’entrée.
Pourquoi avait-il pris le risque d’entrer chez un agent du CBI ?
Etait-ce par pur provocation ?
Le visage souriant et sanglant annonçait-il la mort atroce de son cher consultant ?
Jane était-il toujours en vie ? Ou avait-il succombé à ses blessures ?
Lisbon se demandait si elle allait tenir le coup à rester dans son lit sans pouvoir agir. Elle ne savait comment expliquer l’inquiétude qui grandissait en elle à chaque instant.
Tous ces nouveaux sentiments l’apeuraient, elle n’avait pas ressenti ça depuis sa dernière histoire amoureuse qui remontait à quelques années. Elle ne s’était pas réengagée depuis, elle ne voulait plus vivre le même genre de souffrance, mais le fait de redécouvrir et de ressentir pleinement ce genre de sentiments la surprenait. Ou plutôt, elle n’y avait pas fait attention auparavant. Elle avait tout nié en bloc, elle avait refusé tout accès à son cœur et cela depuis tous les désastres dans sa vie amoureuse. Elle se méfiait de la gent masculine. Certains avaient essayé de profiter d’elle, d’autres se moquaient d’elle ouvertement et cela avait duré des années avant qu’elle ne décide de ne plus se laisser marcher sur les pieds. Ce genre de remarques ne l’atteignait plus à présent. Elle était passée à autre chose.
Mais était-elle prête à s’engager à nouveau ?
Teresa secoua la tête pour chasser toutes ses pensées qu’elle jugeait néfastes. Elle n’avait pas besoin de ça. Son seul souci était de sauver Jane.
Jane…
Ce nom résonnait dans sa tête et revenait comme un refrain d’une chanson.
Avait-elle seulement déjà tenu autant à une personne au point de vouloir être à ses côtés à longueur de journée même si la personne en question, Jane de son nom de famille, la mettait hors d’elle ?
Mais en vérité, elle avait surtout honte d’elle-même parce qu’elle avait la conviction qu’elle n’aurait pas dû s’attacher à lui. Elle se répéta plusieurs fois que c’était un collègue et qu’une histoire entre collègues était complètement interdite. Mais, on ne peut contrôler malheureusement pas ses sentiments. Ils surviennent comme ça, et prennent les gens de court. Lisbon se voilait toujours la face à ce sujet. Elle ne voulait pas penser qu’elle puisse, un jour, ressentir quelque chose pour cet énergumène qu’était Patrick Jane. Il lui était même arrivé de penser qu’il n’était pas humain, qu’il venait d’une autre planète et qu’il avait été envoyé au CBI pour lui rendre la vie et les enquêtes difficiles.
Elle pensa quand même aux bons moments, et il y en avait à revendre. Une larme coula sur sa joue. Il fallait qu’il revienne et rapidement. Elle en avait besoin. Inévitablement, elle tenait à lui plus qu’elle ne le croyait, plus qu’elle ne le souhaitait.
Lisbon repensa à ce dont elle avait rêvé cette nuit. Elle s’en souvenait comme si ça s’était réellement passé. Elle n’aurait su dire si elle aurait vraiment voulu que ça se produise et à cette pensée, elle rougit.
- De quoi ? Les poubelles passent tard parfois, ça dépend du trafic.
- Peut-être mais 23h quand même, ça fait TRES tard, un peu trop même. Sachant que certains réembauchent le matin de bonne heure.
- Ne vois pas le mal partout. Tu n’as juste pas apprécié de laisser de côté ton smoking pendant une demi-heure à tout casser. Et puis tu voudrais que ce soit quoi ? Un éboueur mal intentionné ? Et pourquoi ? Parce que Lisbon aurait oublié de faire le tri sélectif ?! Franchement !
- Avoue que ce n’est pas net non plus ! Hier on se retrouvait à jouer aux éboueurs pour trouver des papiers, dont une lettre écrite par Red John à l’adresse de Jane, et un seul des employés s’est directement porté volontaire pour nous aider, les autres étaient tétanisés ! Et puis la description de l’homme qu’a vu la vieille est à peu de choses près celle de cet homme qui nous a accompagnés.
- Et tu voudrais faire quoi ? Retourner voir ces gentils messieurs pleins de volonté et de courage que sont les éboueurs que nous avons croisé ? Se moqua Wayne.
- Ouais, pour voir si l’autre n’a pas mystérieusement démissionné ou disparu, ce qui ne m’étonnerait pas d’ailleurs !
- Si tu y tiens tant, c’est parti ! »
Pendant ce temps, Van Pelt était toujours au chevet de son patron. L’infirmière avait quitté la maison cinq minutes après y être entrée. Elle avait d’ailleurs qualifié Lisbon de patiente agitée et tourmentée. Grace n’avait pas pris la peine de s’énerver, cette femme était dans l’ignorance et il valait mieux qu’il en reste ainsi. Inutile de s’énerver pour des broutilles. La soignante lui avait annoncée, avant de partir, que les résultats arriveraient d’ici un ou deux jours.
Lisbon était toujours aussi troublée à la vue du smiley tracé sur sa porte d’entrée.
Pourquoi avait-il pris le risque d’entrer chez un agent du CBI ?
Etait-ce par pur provocation ?
Le visage souriant et sanglant annonçait-il la mort atroce de son cher consultant ?
Jane était-il toujours en vie ? Ou avait-il succombé à ses blessures ?
Lisbon se demandait si elle allait tenir le coup à rester dans son lit sans pouvoir agir. Elle ne savait comment expliquer l’inquiétude qui grandissait en elle à chaque instant.
Tous ces nouveaux sentiments l’apeuraient, elle n’avait pas ressenti ça depuis sa dernière histoire amoureuse qui remontait à quelques années. Elle ne s’était pas réengagée depuis, elle ne voulait plus vivre le même genre de souffrance, mais le fait de redécouvrir et de ressentir pleinement ce genre de sentiments la surprenait. Ou plutôt, elle n’y avait pas fait attention auparavant. Elle avait tout nié en bloc, elle avait refusé tout accès à son cœur et cela depuis tous les désastres dans sa vie amoureuse. Elle se méfiait de la gent masculine. Certains avaient essayé de profiter d’elle, d’autres se moquaient d’elle ouvertement et cela avait duré des années avant qu’elle ne décide de ne plus se laisser marcher sur les pieds. Ce genre de remarques ne l’atteignait plus à présent. Elle était passée à autre chose.
Mais était-elle prête à s’engager à nouveau ?
Teresa secoua la tête pour chasser toutes ses pensées qu’elle jugeait néfastes. Elle n’avait pas besoin de ça. Son seul souci était de sauver Jane.
Jane…
Ce nom résonnait dans sa tête et revenait comme un refrain d’une chanson.
Avait-elle seulement déjà tenu autant à une personne au point de vouloir être à ses côtés à longueur de journée même si la personne en question, Jane de son nom de famille, la mettait hors d’elle ?
Mais en vérité, elle avait surtout honte d’elle-même parce qu’elle avait la conviction qu’elle n’aurait pas dû s’attacher à lui. Elle se répéta plusieurs fois que c’était un collègue et qu’une histoire entre collègues était complètement interdite. Mais, on ne peut contrôler malheureusement pas ses sentiments. Ils surviennent comme ça, et prennent les gens de court. Lisbon se voilait toujours la face à ce sujet. Elle ne voulait pas penser qu’elle puisse, un jour, ressentir quelque chose pour cet énergumène qu’était Patrick Jane. Il lui était même arrivé de penser qu’il n’était pas humain, qu’il venait d’une autre planète et qu’il avait été envoyé au CBI pour lui rendre la vie et les enquêtes difficiles.
Elle pensa quand même aux bons moments, et il y en avait à revendre. Une larme coula sur sa joue. Il fallait qu’il revienne et rapidement. Elle en avait besoin. Inévitablement, elle tenait à lui plus qu’elle ne le croyait, plus qu’elle ne le souhaitait.
Lisbon repensa à ce dont elle avait rêvé cette nuit. Elle s’en souvenait comme si ça s’était réellement passé. Elle n’aurait su dire si elle aurait vraiment voulu que ça se produise et à cette pensée, elle rougit.
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Localisation : Bordeaux
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Rien de plus? Tu as un autre chapitre en reserve là?
Je veux savoir si Jane est mort où si Lisbon va réussir à le sortir de là.
Et aussi elle a quoi Lisbon?
Je veux savoir si Jane est mort où si Lisbon va réussir à le sortir de là.
Et aussi elle a quoi Lisbon?
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Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Sweetylove30 a écrit:Rien de plus? Tu as un autre chapitre en reserve là?
Je veux savoir si Jane est mort où si Lisbon va réussir à le sortir de là.
Et aussi elle a quoi Lisbon?
OUI vite vite la suite et des réponses!!
Sinon c'est super merciii!!!
moutball- Gardien du parking
- Personnage préféré : Jisbon <3333
Loisirs : Regarder the mentalist bien au chaud dans mon lit et me repassé sans arrét toute mes scénes préféré!! ^^
Localisation : devant mon ordi
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Elle l’avait sauvé in extremis des griffes de Red John. Jane avait dû rester, malgré lui, plusieurs longues et terribles semaines à l’hôpital afin de se reposer totalement avant de faire un retour fracassant au CBI comme il l’avait annoncé à Teresa Lisbon, son patron qui venait lui rendre visite tous les jours.
Le retour de Jane avait fait naître en Teresa Lisbon un sentiment d’impatience, de joie excessive à l’idée qu’il revienne en vie, à l’idée qu’il revienne la taquiner, la faire rire et sourire comme il aimait le faire.
Elle lui avait d’ailleurs acheté deux cadeaux assez spéciaux : un fouet et des menottes, comme elle lui avait dit lors de l’enquête pour le sauver. Elle voulait se faire pardonner de ses propos qui l’avaient traité de masochiste aimant se faire fouetter, griffer et subir toutes autres violences en guise de plaisir.
Jane fit irruption au même moment dans son bureau. Il ne prit pas la peine de lui dire bonjour ou quoi que ce soit d’autres. Il la prit simplement dans ses bras, un sourire collé aux lèvres. Teresa ne s’était jamais sentie aussi bien. Elle n’aurait jamais voulu sortir de cette étreinte. Seulement, Jane avait remarqué les deux paquets présents sur son bureau.
« C’est pour moi ? demanda-t’il comme un gamin qui regardait avec envie ses cadeaux de Noël.
- Non non, c’est pour la grand-mère à Rigsby »
Il rit à cette remarque avant de se jeter sur les paquets pour les ouvrir. Un autre sourire se dessina sur sa bouche à la découverte des cadeaux : un autre genre de sourire, le genre de sourire ravageur et plein de désir que l’on peut avoir en présence d’une personne que l’on apprécie et qui nous plaît bien plus qu’on ne l’imagine.
« Le fameux fouet et les fameuses menottes ! Intéressant. Merci beaucoup de cette attention, Teresa… »
Il avait prononcé son prénom au creux de son oreille. La jeune femme avait frissonné de tout son corps. Jane prit le doux visage de Lisbon entre ses mains et le rapprocha du sien… De plus en plus…
Lisbon s’était réveillée sur cette image le matin même et avait vérifié qu’à ses côtés il n’y avait pas un homme nommé Patrick Jane ainsi que des menottes ou même un fouet qu’elle s’était bel et bien juré de lui acheter.
Comment était-elle arrivée au point de rêver de cet homme ?
Le retour de Jane avait fait naître en Teresa Lisbon un sentiment d’impatience, de joie excessive à l’idée qu’il revienne en vie, à l’idée qu’il revienne la taquiner, la faire rire et sourire comme il aimait le faire.
Elle lui avait d’ailleurs acheté deux cadeaux assez spéciaux : un fouet et des menottes, comme elle lui avait dit lors de l’enquête pour le sauver. Elle voulait se faire pardonner de ses propos qui l’avaient traité de masochiste aimant se faire fouetter, griffer et subir toutes autres violences en guise de plaisir.
Jane fit irruption au même moment dans son bureau. Il ne prit pas la peine de lui dire bonjour ou quoi que ce soit d’autres. Il la prit simplement dans ses bras, un sourire collé aux lèvres. Teresa ne s’était jamais sentie aussi bien. Elle n’aurait jamais voulu sortir de cette étreinte. Seulement, Jane avait remarqué les deux paquets présents sur son bureau.
« C’est pour moi ? demanda-t’il comme un gamin qui regardait avec envie ses cadeaux de Noël.
- Non non, c’est pour la grand-mère à Rigsby »
Il rit à cette remarque avant de se jeter sur les paquets pour les ouvrir. Un autre sourire se dessina sur sa bouche à la découverte des cadeaux : un autre genre de sourire, le genre de sourire ravageur et plein de désir que l’on peut avoir en présence d’une personne que l’on apprécie et qui nous plaît bien plus qu’on ne l’imagine.
« Le fameux fouet et les fameuses menottes ! Intéressant. Merci beaucoup de cette attention, Teresa… »
Il avait prononcé son prénom au creux de son oreille. La jeune femme avait frissonné de tout son corps. Jane prit le doux visage de Lisbon entre ses mains et le rapprocha du sien… De plus en plus…
Lisbon s’était réveillée sur cette image le matin même et avait vérifié qu’à ses côtés il n’y avait pas un homme nommé Patrick Jane ainsi que des menottes ou même un fouet qu’elle s’était bel et bien juré de lui acheter.
Comment était-elle arrivée au point de rêver de cet homme ?
in-my-dreamz- Distributeur de café
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Loisirs : Sport. Musique. Amis
Localisation : Bordeaux
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
là tu m'as fais rêver, j'ai vraiment cru qu'elle était parvenue à sauver Jane.
Tu vas aire durer le suspens encore longtemps?
J'ai vraiment hâte de savoir.......
Ce soir?????
Tu vas aire durer le suspens encore longtemps?
J'ai vraiment hâte de savoir.......
Ce soir?????
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
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Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Ah j'y ai cru!!
VLS
VLS
TiteMaï- Red John
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Localisation : Boulogne/Mer
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
J'y ai cru aussi, ... quel rêve magnifique
Suspens intenable VLS
Suspens intenable VLS
Izarra- Stagiaire au CBI
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Ahhhhhhhh, pitié la suite !!
Mini- Agent de circulation
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Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
« Patron ça va ?
- Très bien. J’étais juste dans mes rêveries.
- Une chose triste ? Quelques larmes ont coulé sur votre visage…
- Je ne pleure pas, les yeux pleurent d'eux mêmes avec la fatigue et à cause des nerfs, expliqua Teresa Lisbon. Van Pelt, allez donc voir Rigsby et profitez en. Je ne mettrai pas Hightower au courant si ce n’est que cela qui vous inquiète.
- Mais… Il n’y a rien entre lui et moi ! Bégaya la jeune femme rousse dont le teint avait rosi. Patron, vous devez réellement vous reposer, vous dîtes des choses incompréhensibles et incohérentes.
- C’est le fait de rester dans ce lit qui me rend dingue ! Nous devrions être dehors, et non bloquées ici !
- Et ce n’est pas en vous énervant que cela va s’arranger comme ça, bien au contraire ! Ce n’est pas non plus en balançant des choses indiscrètes et peut-être blessantes que ça va s’améliorer aussi. Comme vous disiez, il y a des gens qui sont là pour vous, les démonter sur place, sur des sujets privés, n’est pas une solution, c’est malsain ! »
Belle tactique de la part de Lisbon. La brune savait pertinemment que Rigsby était un sujet sensible pour son agent. Elle avait finalement cédé aux remarques incessantes que faisait Jane à leur égard. Elle savait qu’ils n’étaient pas ensemble, car selon elle, ils auraient eu la décence de la prévenir. Et puis ce n’était pas ses affaires. Certes le règlement interdisait toute relation entre collègue au sein du CBI, mais ils n’en avaient pas fait référence, cela n’avait pas nuit à leur travail, à leur engagement s’ils étaient bel et bien ensemble, c’était sa seule condition. Teresa avait donc évoqué ce sujet pour éviter de parler de ses ressentis qu’elle avait une bonne fois pour toutes chassé de sa tête et pour remettre le danger de Jane sur le tapis, car pour elle, seul ça était important à ce moment précis.
Cela avait réussi, Van Pelt était mal à l’aise et ne savait quoi répondre. Elle se contenta de quitter la pièce, laissant Lisbon seule dans son lit.
« - Vous êtes pire que Jane. Vous le traitez de mauvais malade, vous lui reprochez de se comporter en tant qu’enfant mais là vous ne faîtes pas mieux, vous êtes bien pire ! Vous commencez à devenir comme lui et cela vous va mal vraiment ! Balança l’agent Grace Van Pelt en sortant de la chambre. »
Lisbon était déboussolée, ses mots l’avaient blessée. La jeune femme aux cheveux de jais se recroquevilla dans son lit, mit ses écouteurs de MP3. Même le son des Spice Girls n’arrivait pas à la « soigner », à la réconforter, à la tirer hors de son lit, à lui redonner la force nécessaire alors que c’était tout ce dont elle avait envie…
Van Pelt aussi avait été blessée et secouée par les paroles que venait d’avoir son patron. Lisbon, qui habituellement était discrète sur la vie privée que ce soit la sienne ou celle des autres, lui disait ça comme ça, comme si c’était normal qu’elle lui donne des conseils pour qu’elle se lance enfin avec Wayne Rigsby. Cela ne collait pas avec son attitude, Lisbon tenait réellement à respecter le règlement du CBI. Alors pourquoi lui dire cela ?
Selon l’agent, sa supérieure perdait complètement pied et adoptait les attitudes de Jane pour combler l’absence du consultant. Grace avait remarqué depuis longtemps les regards, les sourires, les attentions qu’ils avaient l’un pour l’autre. D’ailleurs, tout le monde l’avait remarqué dans l’équipe, sauf les personnes concernées bien évidemment !!
Lisbon avait égaré toute raison, elle s’était égarée elle-même dans un océan d’inquiétude et de folie. Teresa avait besoin d’aide et Van Pelt, de nature généreuse, allait lui en donner.
Elle décida d’appeler Virgil Minelli, ancien supérieur de Lisbon, qui suite à la fusillade au CBI et à la mort de quatre de ses agents, avait décidé de partir à la retraite. L’homme avait répondu présent et avait annoncé qu’il passerait voir Teresa Lisbon dans la journée. Il ne lui manquait plus qu’à mettre Kimball et Wayne au courant et elle aurait la sensation d’avoir fait sa première bonne action de la journée.
- Très bien. J’étais juste dans mes rêveries.
- Une chose triste ? Quelques larmes ont coulé sur votre visage…
- Je ne pleure pas, les yeux pleurent d'eux mêmes avec la fatigue et à cause des nerfs, expliqua Teresa Lisbon. Van Pelt, allez donc voir Rigsby et profitez en. Je ne mettrai pas Hightower au courant si ce n’est que cela qui vous inquiète.
- Mais… Il n’y a rien entre lui et moi ! Bégaya la jeune femme rousse dont le teint avait rosi. Patron, vous devez réellement vous reposer, vous dîtes des choses incompréhensibles et incohérentes.
- C’est le fait de rester dans ce lit qui me rend dingue ! Nous devrions être dehors, et non bloquées ici !
- Et ce n’est pas en vous énervant que cela va s’arranger comme ça, bien au contraire ! Ce n’est pas non plus en balançant des choses indiscrètes et peut-être blessantes que ça va s’améliorer aussi. Comme vous disiez, il y a des gens qui sont là pour vous, les démonter sur place, sur des sujets privés, n’est pas une solution, c’est malsain ! »
Belle tactique de la part de Lisbon. La brune savait pertinemment que Rigsby était un sujet sensible pour son agent. Elle avait finalement cédé aux remarques incessantes que faisait Jane à leur égard. Elle savait qu’ils n’étaient pas ensemble, car selon elle, ils auraient eu la décence de la prévenir. Et puis ce n’était pas ses affaires. Certes le règlement interdisait toute relation entre collègue au sein du CBI, mais ils n’en avaient pas fait référence, cela n’avait pas nuit à leur travail, à leur engagement s’ils étaient bel et bien ensemble, c’était sa seule condition. Teresa avait donc évoqué ce sujet pour éviter de parler de ses ressentis qu’elle avait une bonne fois pour toutes chassé de sa tête et pour remettre le danger de Jane sur le tapis, car pour elle, seul ça était important à ce moment précis.
Cela avait réussi, Van Pelt était mal à l’aise et ne savait quoi répondre. Elle se contenta de quitter la pièce, laissant Lisbon seule dans son lit.
« - Vous êtes pire que Jane. Vous le traitez de mauvais malade, vous lui reprochez de se comporter en tant qu’enfant mais là vous ne faîtes pas mieux, vous êtes bien pire ! Vous commencez à devenir comme lui et cela vous va mal vraiment ! Balança l’agent Grace Van Pelt en sortant de la chambre. »
Lisbon était déboussolée, ses mots l’avaient blessée. La jeune femme aux cheveux de jais se recroquevilla dans son lit, mit ses écouteurs de MP3. Même le son des Spice Girls n’arrivait pas à la « soigner », à la réconforter, à la tirer hors de son lit, à lui redonner la force nécessaire alors que c’était tout ce dont elle avait envie…
Van Pelt aussi avait été blessée et secouée par les paroles que venait d’avoir son patron. Lisbon, qui habituellement était discrète sur la vie privée que ce soit la sienne ou celle des autres, lui disait ça comme ça, comme si c’était normal qu’elle lui donne des conseils pour qu’elle se lance enfin avec Wayne Rigsby. Cela ne collait pas avec son attitude, Lisbon tenait réellement à respecter le règlement du CBI. Alors pourquoi lui dire cela ?
Selon l’agent, sa supérieure perdait complètement pied et adoptait les attitudes de Jane pour combler l’absence du consultant. Grace avait remarqué depuis longtemps les regards, les sourires, les attentions qu’ils avaient l’un pour l’autre. D’ailleurs, tout le monde l’avait remarqué dans l’équipe, sauf les personnes concernées bien évidemment !!
Lisbon avait égaré toute raison, elle s’était égarée elle-même dans un océan d’inquiétude et de folie. Teresa avait besoin d’aide et Van Pelt, de nature généreuse, allait lui en donner.
Elle décida d’appeler Virgil Minelli, ancien supérieur de Lisbon, qui suite à la fusillade au CBI et à la mort de quatre de ses agents, avait décidé de partir à la retraite. L’homme avait répondu présent et avait annoncé qu’il passerait voir Teresa Lisbon dans la journée. Il ne lui manquait plus qu’à mettre Kimball et Wayne au courant et elle aurait la sensation d’avoir fait sa première bonne action de la journée.
in-my-dreamz- Distributeur de café
- Personnage préféré : Jane & Lisbon :)
Loisirs : Sport. Musique. Amis
Localisation : Bordeaux
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Suspense insoutenable
Vite vite la suite (c'est une trop bonne fic continue:super: )
mais viiite
Pauvre Lisbon
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Pauvre Lisbon
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Loisirs : Regarder the mentalist bien au chaud dans mon lit et me repassé sans arrét toute mes scénes préféré!! ^^
Localisation : devant mon ordi
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Cho et Rigsby, quant à eux, étaient retournés voir l’éboueur le plus dévoué et le plus volontaire qu’il soit : le suspect potentiel de Kimball. Ce dernier était bien décidé à mettre la main dessus. Il ne le sentait pas ce mec. La manière dont il avait souri lorsqu’il avait appris que les deux visiteurs étaient des membres du CBI avait fortement intrigué l’homme d’origine asiatique qui essayait de ne manquer autant détails. Le patron de l’éboueur suspect portait un costume immonde de couleur rouge bordeaux, ainsi qu’une chemise blanche sur laquelle était posée et bien nouée une cravate rouge à rayures blanches : le comble du mauvais goût.
Kimball se sentait séduisant et beau à côté de lui, et il se décidait même comment un homme avec une allure pareille pouvait avoir une femme à en croire l’alliance qu’il portait sûrement fièrement à sa main gauche.
« Monsieur, pouvez vous nous dire si hier soir, une de vos équipes était en ‘tournée’ dans le quartier BelHair ? demanda Rigsby
- Appelez moi Monsieur Dolby. Normalement non. Mais un des camions a disparu et un de nos employé aussi par la même occasion hier soir.
- Vous n’avez pas averti les autorités ? S’étonna l’agent Cho.
- Non car c’est un de mes hommes qui m’a prévenu que quelqu’un avait emprunté un camion. Ce genre de choses arrive fréquemment vous savez. Des employés prennent pour une nuit un camion car un de leurs amis ou un membre de leur famille a besoin de jeter un bon nombre de choses. Je ne me prends plus la tête avec ça, cela fait trop de papiers à remplir vous savez. Généralement, je laisse une journée entière, si ce soir le camion n’est pas là, je téléphonerai et je prendrai des mesures nécessaires, répondit calmement le gérant de la ‘ société’.
- Appelez nous dès que le délai est écoulé selon vous. Pourriez-vous nous passer tous les papiers que vous avez sur cet homme ?
- Je ne vois pas pourquoi, répondit sèchement l’homme qui en avait décidément assez que le CBI vienne le déranger, deux fois en deux jours, cela faisait trop.
- Pour faire simple, une affaire de meurtres, cela vous suffit ? A moins que vous ne vouliez être la prochaine personne à être égorgée si votre employé est complice ou pire, le coupable, s’emporta Rigsby. »
Monsieur Dolby avait étrangement pâli, il était presque translucide. Le mot meurtre associé à l’adjectif égorgé l’avait profondément choqué et l’avait calmé instantanément. De plus le ton de Rigsby avait complètement établi l’ordre : Dolby n’était pas en position de dire non à des agents fédéraux, surtout sur une affaire comme ça. S’ils exigeaient des informations, il leur donnerait. Telle était la logique de Cho et Rigsby qui travaillaient ensemble depuis quelques années déjà.
L’homme qui les avait aidé à leur mission de fouille dans les poubelles et qui avait disparu la nuit dernière se nommait Dino Jarhed. Ce dernier avait déjà été arrêté pour des délits comme vols à l’étalage, violence et tentative de meurtre. Il avait quitté son hôpital psychiatrique après que son médecin ait affirmé que son état de santé ne provoquerait aucun danger, il y avait déjà une année de cela.
Kimball et Wayne emportèrent le dossier avec eux au CBI afin d’effectuer des recherches plus approfondies sur cet homme, histoire de savoir dans quel hôpital il avait été interné, quel avait été son médecin.
Rigsby reçut un appel de Van Pelt. Elle lui expliqua pourquoi ils ne devaient pas aller chez Lisbon. Elle lui annonça par la même occasion qu’elle arriverait au CBI dès que Minelli aurait pointé le bout de son nez à l’appartement. Au même moment, quelqu’un frappa à la porte..
Quand on parle du loup… Grace alla ouvrir la porte.
« Monsieur Minelli ! Enfin vous êtes là !
- Je n’ai pas hésité à venir lorsque vous m’avez appelé Van Pelt. Bon… Où est la malade si je puis dire ?
- Dans sa chambre. Je vais retourner au CBI pour aider les gars à effectuer des recherches. Appelez-moi lorsque vous déciderez de partir, elle ne doit pas être seule. Bonne chance ! »
Minelli rit aux deux derniers mots qu’avait prononcés Van Pelt : comme si Lisbon pouvait être insupportable. Grace l’accompagna devant la porte de la chambre et partit au CBI.
Kimball se sentait séduisant et beau à côté de lui, et il se décidait même comment un homme avec une allure pareille pouvait avoir une femme à en croire l’alliance qu’il portait sûrement fièrement à sa main gauche.
« Monsieur, pouvez vous nous dire si hier soir, une de vos équipes était en ‘tournée’ dans le quartier BelHair ? demanda Rigsby
- Appelez moi Monsieur Dolby. Normalement non. Mais un des camions a disparu et un de nos employé aussi par la même occasion hier soir.
- Vous n’avez pas averti les autorités ? S’étonna l’agent Cho.
- Non car c’est un de mes hommes qui m’a prévenu que quelqu’un avait emprunté un camion. Ce genre de choses arrive fréquemment vous savez. Des employés prennent pour une nuit un camion car un de leurs amis ou un membre de leur famille a besoin de jeter un bon nombre de choses. Je ne me prends plus la tête avec ça, cela fait trop de papiers à remplir vous savez. Généralement, je laisse une journée entière, si ce soir le camion n’est pas là, je téléphonerai et je prendrai des mesures nécessaires, répondit calmement le gérant de la ‘ société’.
- Appelez nous dès que le délai est écoulé selon vous. Pourriez-vous nous passer tous les papiers que vous avez sur cet homme ?
- Je ne vois pas pourquoi, répondit sèchement l’homme qui en avait décidément assez que le CBI vienne le déranger, deux fois en deux jours, cela faisait trop.
- Pour faire simple, une affaire de meurtres, cela vous suffit ? A moins que vous ne vouliez être la prochaine personne à être égorgée si votre employé est complice ou pire, le coupable, s’emporta Rigsby. »
Monsieur Dolby avait étrangement pâli, il était presque translucide. Le mot meurtre associé à l’adjectif égorgé l’avait profondément choqué et l’avait calmé instantanément. De plus le ton de Rigsby avait complètement établi l’ordre : Dolby n’était pas en position de dire non à des agents fédéraux, surtout sur une affaire comme ça. S’ils exigeaient des informations, il leur donnerait. Telle était la logique de Cho et Rigsby qui travaillaient ensemble depuis quelques années déjà.
L’homme qui les avait aidé à leur mission de fouille dans les poubelles et qui avait disparu la nuit dernière se nommait Dino Jarhed. Ce dernier avait déjà été arrêté pour des délits comme vols à l’étalage, violence et tentative de meurtre. Il avait quitté son hôpital psychiatrique après que son médecin ait affirmé que son état de santé ne provoquerait aucun danger, il y avait déjà une année de cela.
Kimball et Wayne emportèrent le dossier avec eux au CBI afin d’effectuer des recherches plus approfondies sur cet homme, histoire de savoir dans quel hôpital il avait été interné, quel avait été son médecin.
Rigsby reçut un appel de Van Pelt. Elle lui expliqua pourquoi ils ne devaient pas aller chez Lisbon. Elle lui annonça par la même occasion qu’elle arriverait au CBI dès que Minelli aurait pointé le bout de son nez à l’appartement. Au même moment, quelqu’un frappa à la porte..
Quand on parle du loup… Grace alla ouvrir la porte.
« Monsieur Minelli ! Enfin vous êtes là !
- Je n’ai pas hésité à venir lorsque vous m’avez appelé Van Pelt. Bon… Où est la malade si je puis dire ?
- Dans sa chambre. Je vais retourner au CBI pour aider les gars à effectuer des recherches. Appelez-moi lorsque vous déciderez de partir, elle ne doit pas être seule. Bonne chance ! »
Minelli rit aux deux derniers mots qu’avait prononcés Van Pelt : comme si Lisbon pouvait être insupportable. Grace l’accompagna devant la porte de la chambre et partit au CBI.
in-my-dreamz- Distributeur de café
- Personnage préféré : Jane & Lisbon :)
Loisirs : Sport. Musique. Amis
Localisation : Bordeaux
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
J'adore :)
VLS ! (et du jisbon !)
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Mini- Agent de circulation
- Personnage préféré : Lisbon & Jane, Cho.
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
C'est super cette fic!! Pauvre Jane... je crois que je vais le soigner moi-même Et RJ...
VLS
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Roxy30- Agent de circulation
- Personnage préféré : Jane-Cho-Rigsby
Loisirs : Rêver à Simon Baker ça compte? ^^
Localisation : là où tu me trouvera pas :D
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Je poste la suite ce soir :).
Histoire que j'avance plus dans l'écriture et que d'autres aient le temps de lire
RDV Ce soir pour une loooooooooooooooooooooooooooooongue suite :)
Et merci pour tous vos commentaires =D
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RDV Ce soir pour une loooooooooooooooooooooooooooooongue suite :)
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Localisation : Bordeaux
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Owi ! La suite ! *bave* Woops pardon ...
Mini- Agent de circulation
- Personnage préféré : Lisbon & Jane, Cho.
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
RDV Ce soir pour une loooooooooooooooooooooooooooooongue suite :)
je serais au rendez-vous, pour une fois que je travail pas.
Et moi aussi je vais poster mon nouveau chapitre ce soir, ça va en faire de la lecture pour tous le monde
Sweetylove30- Red John
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Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Je vais aller lire ça moi aussi :)
Dites les Girls' ou garçons s'il y en a xD, vous voulez pas qu'on discutaille sur msn ? :)
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