Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
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Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
je suis trop contente d'avoir la suite ! ! C'est super
Jen'ny- Consultant au CBI
- Personnage préféré : Jane.
Loisirs : Séries, écriture, fan art, sciences....
Localisation : Ici et ailleurs
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Je suis vraiment désolée d'avoir mis autant de temps à poster :/
in-my-dreamz- Distributeur de café
- Personnage préféré : Jane & Lisbon :)
Loisirs : Sport. Musique. Amis
Localisation : Bordeaux
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Les sentiments vont et viennent comme ils veulent, sans se demander quelles choses ou quel dégâts ils vont engendrer sur le ou les cœurs qu’ils vont toucher. Les humains se posent beaucoup trop de questions. Parfois, il faut laisser son cœur parler. Il faut le laisser battre à son rythme même si la personne qui le fait accélérer est un collègue ou un supérieur, même si un quelconque obstacle vous empêche de laisser libre cours à cette émotion, à cet engouement du cœur. Ce même cœur, cet organe de la vie, en raison de l’emprisonnement, du retient que son propriétaire lui impose, n’en sortira que meurtri, que blessé, en mille morceaux parfois… Par la suite, le manque de la personne chérie mais interdite se fait ressentir de plus en plus et on s’interdit toujours d’agir pour obtenir plus, on s’interdit les élans de tendresse, les pensées trop mielleuses, mais à quoi bon ? Chassez le naturel et il revient au galop !
Grace venait de réaliser tout ça. On se rend souvent compte des choses lorsqu’une personne de notre entourage en souffre, et c’est bien malheureux. Lisbon était toujours dans sa chambre et ne faisait aucun bruit, Van Pelt espérait de tout cœur qu’elle se soit endormie… La jeune agent avait caché à sa patronne que le smiley dessiné sur le mur de son appartement avait été fait avec le sang de Jane, signe qu’il en avait perdu assez sous la torture. Et ce dernier qui se trouvait toujours dans le coma n’arrangeait rien, mais vraiment rien ! Il était toujours absent au mauvais moment, mais pour une fois, Grace admit que ce n’était point la faute du consultant…
Elle se leva du canapé, laissa un post-it pour Térésa où était marqué : « Je sors quelques instants. Profitez-en pour vous reposer ! » et sortit de l’appartement. Grace prit son portable, composa un numéro qu’elle connaissait par cœur et appuya sur la touche Appeler.
« Allô ?
- Wayne ?
- Grace ? Qu’est ce qu’il se passe ?
- Rien ne t’en fais pas. T’es encore au bureau ?
- Oui mais pourquoi ?
- Ne bouge pas j’arrive d’ici trente minutes maximum. »
Il n’était pas encore dix-neuf heures. Grace décida de passer au magasin de décoration avant de rejoindre Wayne au CBI. Elle souhaitait cacher avec un tableau cet immonde visage souriant constitué de sang. Lisbon viendrait elle-même chercher la peinture. Grace acheta une magnifique toile représentant une plage paisible lors du coucher du soleil, rien de plus apaisant.
Le magasin de décoration se trouvait sur le chemin de la maison de Jane, Van Pelt passa devant et fut surprise de voir de la lumière.
Elle mit du temps à réagir étant donné qu’elle était en train de chantonner gaiement dans sa voiture. Elle retourna la tête brusquement en criant un « QUOI ?! » que même les piétons avaient dû entendre. Van Pelt s’arrêta au premier parking qu’elle trouva : le parking de la pizzeria et s’empressa d’attraper de nouveau son téléphone portable.
« Wayne ?!
- Oui. J’allais partir à la pizzeria. J’ai très faim et t’es toujours pas arrivée..
- Justement, rejoins moi à la pizzeria qui se trouve à côté de chez Jane. TOUT DE SUITE !
- Tu lis dans les pensées toi maintenant ?
- Mais non ! Rapplique et vite !
- Ils font des promos et il y a du monde c’est ça ? »
Grace était exaspérée de l’estomac sur patte à qui elle était en train de parler.
« Oui si tu veux ! Je te garde la place mais dépêche toi ! Et prends un gilet pare-balles et ton arme.
- Hein mais pourquoi ?
- Ne cherche pas à comprendre.
- Bon, si tu le prends comme ça, j’ai trop faim pour pouvoir poser des questions cohérentes de toute façon. Cho peut venir lui aussi ?
- Oui, dépêchez vous !
- On est là dans deux minutes. »
Il n’y avait qu’un seul moyen de faire bouger des hommes de leur siège pour une urgence : il fallait leur dire qu’une promo avait lieu dans une pizzeria et là, à coup sûr, ils arriveraient illico presto. La jeune femme venait de réaliser cet aspect désolant de la gent masculine.
En attendant que ses collègues ne daignent arriver, elle se gara de façon plus correcte, attrapa son gilet pare-balles qu’elle gardait toujours dans sa voiture au cas où, son arme, s’équipa et tenta de repérer, dans la maison de Jane, des mouvements, des signaux d’une intrusion quelconque, mais de loin, ce n’était point facile.
Cho et Rigsby ne se pressaient guère de sortir des bureaux du CBI. Cho paraissait plus détendu qu’à l’ordinaire et Rigsby était fou de joie à l’idée de manger une pizza en compagnie de Grace Van Pelt, femme qu’il désirait depuis le premier jour et… Cho, son cher collègue qui le vannait depuis le premier jour de Grace au CBI.
« Cho, je peux te poser une question ?
- Tant que ce n’est pas à propos de Grace…
- J’ai rien à dire alors. »
Cho pouffait de rire derrière son livre. Wayne, quant à lui, rougissait sans savoir trop pourquoi. Il dut se reprendre rapidement car ils venaient d’arriver sur le parking de la pizzeria.
« Mais il n’y a pas tant de monde que ça à cette pizzeria ! C’est parfait ! se réjouit Wayne Rigsby.
- C’est normal, il n’y a pas de promotion, rétorqua Cho.
- En effet, poursuivit Grace Van Pelt. Bon écoutez moi, maintenant. Je ne vous ai pas fait venir pour un diner entre collègues à Mama Pizza. Je suis passée devant la maison de Jane et c’était allumé. Ca ne peut pas être Jane, vu qu’il est encore à l’hôpital, et sa famille n’a pas de nouvelles de lui depuis l’assassinat de sa femme et sa fille.
- Je comprends mieux pourquoi tu m’as demandé d’apporter les gilets pare-balles et les armes. Et tu veux faire quoi ? Entrer et voir qui s’y cache ? répondit Rigsby.
- Qu’est ce que tu veux faire d’autre ? Ca se trouve c’est Red John qui revient pour effacer des preuves qui peuvent compromettre son identité ! Tu voudrais laisser passer ça ?
- Je ne laisserai pas passer ça, seulement, mon estomac lui, il n’en peut plus là…
- Où est Lisbon ? intervint l’agent Cho.
- Chez elle. D’ailleurs si t’as trop faim Wayne, va chez elle et monte la garde, on ne sait jamais. Cho et moi on va chez Jane. Voilà les clés, entre et accroche ce tableau sur la signature de Red John. »
Wayne Rigsby voyait que le regard de Grace était suppliant et il comprenait parfaitement pourquoi. Quoi de plus angoissant que de dormir face à la signature d’un serial killer en face de soi ? L’agent s’exécuta donc en partant en direction de l’appartement de sa patronne en souhaitant un dernier bonne chance à ses collègues qui s’apprêtaient surement à se mettre en danger.
La vie au CBI n’était pas simple en ce moment. Ce qui était arrivé à Jane avait chamboulé tout le monde. Tous les employés étaient sous le choc et qui plus est sur les nerfs de plus en plus souvent. Hightower demandait sans cesse des nouvelles de Patrick Jane à Lisbon et Wayne avait bien remarqué la rage que Lisbon portait dans ses yeux verts, et cette rage, selon Rigsby, ressemblait à celle qu’il éprouvait lui-même lorsque Grace approchait un autre homme que lui.
Rigsby avait toujours remarqué la relation très ambigüe que Jane entretenait avec sa patronne mais il ne pouvait se résoudre à ce que cela prenne de telles ampleurs, au point que Lisbon ne vienne presque plus travailler ou qu’elle montre ses points faibles devant tout le monde ce qui ne la ressemblait en aucun cas.
« De toutes façons, les femmes c’est trop compliqué, je préfère même pas me pencher plus longtemps sur la question ! se dit Rigsby en ouvrant la porte de l’appartement de son patron. »
Il accrocha le tableau, comme lui avait demandé Grace et appela Lisbon qui ne semblait pas arriver. Rigsby se posa donc tranquillement sur le canapé et attendit que Teresa montre le bout de son nez.
La jeune femme brune, de son côté, avait entendu quelqu’un entrer et avait eu le réflexe d’attraper un quelconque objet qui pouvait l’aider à se défendre : une batte de baseball. L’intrus continuait de l’appeler, cette voix lui paraissait familière mais elle ne put mettre un nom dessus.
Elle vit l’homme assis sur son canapé, comme s’il se trouvait chez lui. Lisbon se faufila alors discrètement derrière Wayne qui n’avait rien remarqué.
Elle frappa un grand coup sur la tête de son agent. Ce dernier poussa un cri de douleur.
« Mais qu’est ce qui vous prend patron ?!
- Rigsby ? Mais qu’est ce que vous foutez là ? Vous devriez être chez vous, ou au bureau, j’en sais rien moi, mais en tout cas pas chez moi ! Et puis, où est Van Pelt ?!
-Premièrement, si vous pouviez me passer une poche de glace parce que, comment dire, vous n’y êtes pas allée de main morte sur ma tête ! Ensuite, Grace est au CBI, on a inversé les rôles. Jusqu’à ce qu’elle revienne je reste là, mentit Wayne. Et la prochaine fois, si vous voulez vraiment assommer un homme, lâchez vous, frappez de toutes vos forces !
- Très drôle. Ne bougez pas, je vous apporte de la glace ! »
Grace venait de réaliser tout ça. On se rend souvent compte des choses lorsqu’une personne de notre entourage en souffre, et c’est bien malheureux. Lisbon était toujours dans sa chambre et ne faisait aucun bruit, Van Pelt espérait de tout cœur qu’elle se soit endormie… La jeune agent avait caché à sa patronne que le smiley dessiné sur le mur de son appartement avait été fait avec le sang de Jane, signe qu’il en avait perdu assez sous la torture. Et ce dernier qui se trouvait toujours dans le coma n’arrangeait rien, mais vraiment rien ! Il était toujours absent au mauvais moment, mais pour une fois, Grace admit que ce n’était point la faute du consultant…
Elle se leva du canapé, laissa un post-it pour Térésa où était marqué : « Je sors quelques instants. Profitez-en pour vous reposer ! » et sortit de l’appartement. Grace prit son portable, composa un numéro qu’elle connaissait par cœur et appuya sur la touche Appeler.
« Allô ?
- Wayne ?
- Grace ? Qu’est ce qu’il se passe ?
- Rien ne t’en fais pas. T’es encore au bureau ?
- Oui mais pourquoi ?
- Ne bouge pas j’arrive d’ici trente minutes maximum. »
Il n’était pas encore dix-neuf heures. Grace décida de passer au magasin de décoration avant de rejoindre Wayne au CBI. Elle souhaitait cacher avec un tableau cet immonde visage souriant constitué de sang. Lisbon viendrait elle-même chercher la peinture. Grace acheta une magnifique toile représentant une plage paisible lors du coucher du soleil, rien de plus apaisant.
Le magasin de décoration se trouvait sur le chemin de la maison de Jane, Van Pelt passa devant et fut surprise de voir de la lumière.
Elle mit du temps à réagir étant donné qu’elle était en train de chantonner gaiement dans sa voiture. Elle retourna la tête brusquement en criant un « QUOI ?! » que même les piétons avaient dû entendre. Van Pelt s’arrêta au premier parking qu’elle trouva : le parking de la pizzeria et s’empressa d’attraper de nouveau son téléphone portable.
« Wayne ?!
- Oui. J’allais partir à la pizzeria. J’ai très faim et t’es toujours pas arrivée..
- Justement, rejoins moi à la pizzeria qui se trouve à côté de chez Jane. TOUT DE SUITE !
- Tu lis dans les pensées toi maintenant ?
- Mais non ! Rapplique et vite !
- Ils font des promos et il y a du monde c’est ça ? »
Grace était exaspérée de l’estomac sur patte à qui elle était en train de parler.
« Oui si tu veux ! Je te garde la place mais dépêche toi ! Et prends un gilet pare-balles et ton arme.
- Hein mais pourquoi ?
- Ne cherche pas à comprendre.
- Bon, si tu le prends comme ça, j’ai trop faim pour pouvoir poser des questions cohérentes de toute façon. Cho peut venir lui aussi ?
- Oui, dépêchez vous !
- On est là dans deux minutes. »
Il n’y avait qu’un seul moyen de faire bouger des hommes de leur siège pour une urgence : il fallait leur dire qu’une promo avait lieu dans une pizzeria et là, à coup sûr, ils arriveraient illico presto. La jeune femme venait de réaliser cet aspect désolant de la gent masculine.
En attendant que ses collègues ne daignent arriver, elle se gara de façon plus correcte, attrapa son gilet pare-balles qu’elle gardait toujours dans sa voiture au cas où, son arme, s’équipa et tenta de repérer, dans la maison de Jane, des mouvements, des signaux d’une intrusion quelconque, mais de loin, ce n’était point facile.
Cho et Rigsby ne se pressaient guère de sortir des bureaux du CBI. Cho paraissait plus détendu qu’à l’ordinaire et Rigsby était fou de joie à l’idée de manger une pizza en compagnie de Grace Van Pelt, femme qu’il désirait depuis le premier jour et… Cho, son cher collègue qui le vannait depuis le premier jour de Grace au CBI.
« Cho, je peux te poser une question ?
- Tant que ce n’est pas à propos de Grace…
- J’ai rien à dire alors. »
Cho pouffait de rire derrière son livre. Wayne, quant à lui, rougissait sans savoir trop pourquoi. Il dut se reprendre rapidement car ils venaient d’arriver sur le parking de la pizzeria.
« Mais il n’y a pas tant de monde que ça à cette pizzeria ! C’est parfait ! se réjouit Wayne Rigsby.
- C’est normal, il n’y a pas de promotion, rétorqua Cho.
- En effet, poursuivit Grace Van Pelt. Bon écoutez moi, maintenant. Je ne vous ai pas fait venir pour un diner entre collègues à Mama Pizza. Je suis passée devant la maison de Jane et c’était allumé. Ca ne peut pas être Jane, vu qu’il est encore à l’hôpital, et sa famille n’a pas de nouvelles de lui depuis l’assassinat de sa femme et sa fille.
- Je comprends mieux pourquoi tu m’as demandé d’apporter les gilets pare-balles et les armes. Et tu veux faire quoi ? Entrer et voir qui s’y cache ? répondit Rigsby.
- Qu’est ce que tu veux faire d’autre ? Ca se trouve c’est Red John qui revient pour effacer des preuves qui peuvent compromettre son identité ! Tu voudrais laisser passer ça ?
- Je ne laisserai pas passer ça, seulement, mon estomac lui, il n’en peut plus là…
- Où est Lisbon ? intervint l’agent Cho.
- Chez elle. D’ailleurs si t’as trop faim Wayne, va chez elle et monte la garde, on ne sait jamais. Cho et moi on va chez Jane. Voilà les clés, entre et accroche ce tableau sur la signature de Red John. »
Wayne Rigsby voyait que le regard de Grace était suppliant et il comprenait parfaitement pourquoi. Quoi de plus angoissant que de dormir face à la signature d’un serial killer en face de soi ? L’agent s’exécuta donc en partant en direction de l’appartement de sa patronne en souhaitant un dernier bonne chance à ses collègues qui s’apprêtaient surement à se mettre en danger.
La vie au CBI n’était pas simple en ce moment. Ce qui était arrivé à Jane avait chamboulé tout le monde. Tous les employés étaient sous le choc et qui plus est sur les nerfs de plus en plus souvent. Hightower demandait sans cesse des nouvelles de Patrick Jane à Lisbon et Wayne avait bien remarqué la rage que Lisbon portait dans ses yeux verts, et cette rage, selon Rigsby, ressemblait à celle qu’il éprouvait lui-même lorsque Grace approchait un autre homme que lui.
Rigsby avait toujours remarqué la relation très ambigüe que Jane entretenait avec sa patronne mais il ne pouvait se résoudre à ce que cela prenne de telles ampleurs, au point que Lisbon ne vienne presque plus travailler ou qu’elle montre ses points faibles devant tout le monde ce qui ne la ressemblait en aucun cas.
« De toutes façons, les femmes c’est trop compliqué, je préfère même pas me pencher plus longtemps sur la question ! se dit Rigsby en ouvrant la porte de l’appartement de son patron. »
Il accrocha le tableau, comme lui avait demandé Grace et appela Lisbon qui ne semblait pas arriver. Rigsby se posa donc tranquillement sur le canapé et attendit que Teresa montre le bout de son nez.
La jeune femme brune, de son côté, avait entendu quelqu’un entrer et avait eu le réflexe d’attraper un quelconque objet qui pouvait l’aider à se défendre : une batte de baseball. L’intrus continuait de l’appeler, cette voix lui paraissait familière mais elle ne put mettre un nom dessus.
Elle vit l’homme assis sur son canapé, comme s’il se trouvait chez lui. Lisbon se faufila alors discrètement derrière Wayne qui n’avait rien remarqué.
Elle frappa un grand coup sur la tête de son agent. Ce dernier poussa un cri de douleur.
« Mais qu’est ce qui vous prend patron ?!
- Rigsby ? Mais qu’est ce que vous foutez là ? Vous devriez être chez vous, ou au bureau, j’en sais rien moi, mais en tout cas pas chez moi ! Et puis, où est Van Pelt ?!
-Premièrement, si vous pouviez me passer une poche de glace parce que, comment dire, vous n’y êtes pas allée de main morte sur ma tête ! Ensuite, Grace est au CBI, on a inversé les rôles. Jusqu’à ce qu’elle revienne je reste là, mentit Wayne. Et la prochaine fois, si vous voulez vraiment assommer un homme, lâchez vous, frappez de toutes vos forces !
- Très drôle. Ne bougez pas, je vous apporte de la glace ! »
in-my-dreamz- Distributeur de café
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Localisation : Bordeaux
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Super comme tout les autres chapitres
une seule chose a dire vivement la suite
Sa fait du bien un peu d'humour
une seule chose a dire vivement la suite
Sa fait du bien un peu d'humour
Invité- Invité
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
comment Lisbon a frappé Rigsby , le pauvre il doit vraiment avoir mal, elle est costaux la petite
franchement super ton chapitre, je suis contente que tu sois de retours et j'ai hâte de lire la suite
franchement super ton chapitre, je suis contente que tu sois de retours et j'ai hâte de lire la suite
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
j'ai hâte de savoir ce qui va se passer :vivement:
Jen'ny- Consultant au CBI
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Localisation : Ici et ailleurs
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Elle s’exécuta et revint quelques minutes après. Rigsby commençait déjà à avoir une grosse bosse sur le crâne.
« Je peux vous dire un truc franchement Rigsby ?
- Allez y, je suis encore en état de pouvoir entendre et comprendre notre langage.
- J’en suis rassurée ! Mais vous êtes vraiment un couillon quand même, sans vous vexer !
- Beh pourquoi ?
- Vous arrivez chez les gens comme ça, tranquillement, vous les appelez et vous ne dites même pas qui vous êtes ! Ce coup sur la tête est mérité ! Vous m’avez fait un coup à la Jane là !
- D’ailleurs, comment il va lui ? »
Lisbon, qui commençait à rire, se stoppa net.
Sujet sensible.
Sujet très sensible même.
Sujet que l’estomac de l’agent Wayne Rigsby mit fin lorsqu’il se manifesta. Un rire échappa de la bouche de Lisbon quand elle partit faire cuire une poignée de pâtes pour eux deux. Elle réalisa que ses collègues, ses agents, ne la laissaient pas tomber et qu’elle devait se reprendre pour eux : la vie continue, et si elle abandonne, si elle se referme, Jane le saurait et à son retour, il lui botterait les fesses.
Car oui, elle le sentait… Il allait revenir et cette seule idée resterait dans sa tête jusqu’au retour du consultant.
Quant à Kimball et Grace, ils étaient en route pour leur virée nocturne dans la maison de Jane. Ils connaissaient l’entrée la plus discrète, ils avaient tout repéré quelques mois plus tôt… Car oui, cela faisait déjà presque trois mois.
Trois mois que le consultant était resté sagement, pour une fois, à l’hôpital, dans un sommeil des plus profonds et plus calmes.
La lumière provenait de l’étage, les deux agents s’y précipitèrent discrètement. Ils ne savaient pas à quoi s’attendre ni contre qui lutter et il est difficile de combattre contre l’inconnu et l’imprévisible.
Plus ils progressaient dans la montée des escaliers, plus leur rythme cardiaque respectif augmentait.
Un signe, comme la lumière de l’étage allumée en pleine nuit, était bien trop voyant pour que cela soit signé Red John, selon Cho. Grace, quant à elle, pensait que tout était possible, que ce genre d’homme pouvait très bien rechercher cet effet : être bien vu et craint de tous, passer pour quelqu’un d’invulnérable qui tente tout même le diable.
Van Pelt et Cho se firent un signe de tête : ils allaient agir. Ils ne pouvaient distinguer qu’une silhouette, celle d’un homme.
Kimball partit en tête et lâcha son arme quand il fut au milieu de la pièce… Grace le regarda d’un air étonné et suivit la direction de son regard, elle tomba des nues, elle aussi…
« JANE ? »
L’homme en question se retourna vers ses interlocuteurs, qui n’étaient autres que ses collègues, tout sourire, comme à son habitude.
« Tu devrais pas être à l’hôpital ? demanda Van Pelt tout en contenant sa rage et à la fois son soulagement.
- Je dirais même plus : T’étais pas censé être dans le coma ? poursuivit Cho.
- Disons que ça fait depuis ce matin que je suis réveillé, mais ils m’ont gardé en observation. J’ai été sage, j’ai fait mine de dormir quand Lisbon venait me voir parce que je n’avais pas envie d’entendre des ‘ tu vas bien ?’ ou alors ‘ tu veux quelque chose ? ‘ et puis j’étais fatigué, donc j’ai sagement écouté ce que les médecins ont dit et j’ai dormi plus que je n’ai dormi en quelques semaines !
- Mais les médecins ont affirmé qu’ils ne savaient pas quand tu allais te réveiller ?! ajouta Grace.
- Je leur ai demandé de dire ça en expliquant la situation et demain je serai venu, normalement au travail, comme une journée normale. Et d’ailleurs c’est ce que je ferai !
- Et Lisbon te tueras sur place, railla Cho.
- Comme une journée normale, termina Jane, toujours en souriant, sous les regards exaspérés de ses collègues. »
« Je peux vous dire un truc franchement Rigsby ?
- Allez y, je suis encore en état de pouvoir entendre et comprendre notre langage.
- J’en suis rassurée ! Mais vous êtes vraiment un couillon quand même, sans vous vexer !
- Beh pourquoi ?
- Vous arrivez chez les gens comme ça, tranquillement, vous les appelez et vous ne dites même pas qui vous êtes ! Ce coup sur la tête est mérité ! Vous m’avez fait un coup à la Jane là !
- D’ailleurs, comment il va lui ? »
Lisbon, qui commençait à rire, se stoppa net.
Sujet sensible.
Sujet très sensible même.
Sujet que l’estomac de l’agent Wayne Rigsby mit fin lorsqu’il se manifesta. Un rire échappa de la bouche de Lisbon quand elle partit faire cuire une poignée de pâtes pour eux deux. Elle réalisa que ses collègues, ses agents, ne la laissaient pas tomber et qu’elle devait se reprendre pour eux : la vie continue, et si elle abandonne, si elle se referme, Jane le saurait et à son retour, il lui botterait les fesses.
Car oui, elle le sentait… Il allait revenir et cette seule idée resterait dans sa tête jusqu’au retour du consultant.
Quant à Kimball et Grace, ils étaient en route pour leur virée nocturne dans la maison de Jane. Ils connaissaient l’entrée la plus discrète, ils avaient tout repéré quelques mois plus tôt… Car oui, cela faisait déjà presque trois mois.
Trois mois que le consultant était resté sagement, pour une fois, à l’hôpital, dans un sommeil des plus profonds et plus calmes.
La lumière provenait de l’étage, les deux agents s’y précipitèrent discrètement. Ils ne savaient pas à quoi s’attendre ni contre qui lutter et il est difficile de combattre contre l’inconnu et l’imprévisible.
Plus ils progressaient dans la montée des escaliers, plus leur rythme cardiaque respectif augmentait.
Un signe, comme la lumière de l’étage allumée en pleine nuit, était bien trop voyant pour que cela soit signé Red John, selon Cho. Grace, quant à elle, pensait que tout était possible, que ce genre d’homme pouvait très bien rechercher cet effet : être bien vu et craint de tous, passer pour quelqu’un d’invulnérable qui tente tout même le diable.
Van Pelt et Cho se firent un signe de tête : ils allaient agir. Ils ne pouvaient distinguer qu’une silhouette, celle d’un homme.
Kimball partit en tête et lâcha son arme quand il fut au milieu de la pièce… Grace le regarda d’un air étonné et suivit la direction de son regard, elle tomba des nues, elle aussi…
« JANE ? »
L’homme en question se retourna vers ses interlocuteurs, qui n’étaient autres que ses collègues, tout sourire, comme à son habitude.
« Tu devrais pas être à l’hôpital ? demanda Van Pelt tout en contenant sa rage et à la fois son soulagement.
- Je dirais même plus : T’étais pas censé être dans le coma ? poursuivit Cho.
- Disons que ça fait depuis ce matin que je suis réveillé, mais ils m’ont gardé en observation. J’ai été sage, j’ai fait mine de dormir quand Lisbon venait me voir parce que je n’avais pas envie d’entendre des ‘ tu vas bien ?’ ou alors ‘ tu veux quelque chose ? ‘ et puis j’étais fatigué, donc j’ai sagement écouté ce que les médecins ont dit et j’ai dormi plus que je n’ai dormi en quelques semaines !
- Mais les médecins ont affirmé qu’ils ne savaient pas quand tu allais te réveiller ?! ajouta Grace.
- Je leur ai demandé de dire ça en expliquant la situation et demain je serai venu, normalement au travail, comme une journée normale. Et d’ailleurs c’est ce que je ferai !
- Et Lisbon te tueras sur place, railla Cho.
- Comme une journée normale, termina Jane, toujours en souriant, sous les regards exaspérés de ses collègues. »
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Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Cette suite est excellente :)
Cette fois c'est sûr Lisbon va le massacrer...enfin...peut être...
Avec toi on ne sait jamais
Johel- In Jane we trust
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Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
AAh _ Mais Lisbon va le .. MASSACRER !
Il est bête x]
V.L.S !
Il est bête x]
V.L.S !
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
sacré jane ! vls
Jen'ny- Consultant au CBI
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Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Un ange passa dans la pièce où se trouvaient les trois collègues. Grace ne comprenait pas pourquoi Jane n’avait pas manifesté avant son réveil, et elle ne comprenait pas non plus comment l’hôpital avait pu le laisser sortir si facilement et surtout comment les médecins avaient pu mentir aux personnes qui venaient le voir presque tous les jours.
Kimball imaginait simplement la scène qui allait avoir lieu le lendemain comme Jane avait bien l’intention de revenir au CBI : le simple fait d’imaginer Lisbon en train d’envoyer des dossiers, dans toutes les directions, dans le bureau lui fit esquisser un sourire, il échappa même un rire.
« Toi aussi Cho, tu songes à ce que Lisbon va me faire ?
- Je pense aussi à amener une caméra, ça risque d’être drôle. Enfin désolé, ça va pas être marrant pour toi.
- Oh tu sais… J’en ai vu de belles avec Lisbon, mais oui, je sens que demain, ce sera du Grand Lisbon ! Amenez quelque chose au cas où pour vous boucher les oreilles, on ne sait jamais de quoi elle est capable quand il s’agit de se défouler sur moi !
- OH Jane ! Toi aussi, tu lui en fais voir de belle ! Et là, c’est la cerise sur le gâteau ! lâcha Grace Van Pelt. Mais il y plusieurs choses que je ne comprends pas…
- En tout cas, je vous laisse tous les deux, ce n’est pas que je ne veux pas parler, mais la fatigue vient à bout de ma personne, à demain ! annonça Cho en coupant Van Pelt ; l’asiatique ne souhaitait visiblement pas écouter leur conversation qui évoquerait bien évidemment Teresa Lisbon. »
Patrick Jane et Grace Van Pelt attendirent donc que leur collègue parte pour pouvoir entamer une discussion qui, selon la jeune femme, allait être plutôt mouvementée. Elle ne supportait guère les méthodes de Jane au travail, mais là c’en était trop. Peut-être parce qu’elle avait vu son patron complètement déboussolée par rapport à toute cette histoire. Grace était consciente que son collègue menait, depuis quelques années déjà, une vie difficile : il avait perdu sa femme et sa fille qui avaient été tuées par Red John, serial killer sans sentiments ni cœur ni âme ; et il venait de passer plusieurs jours interminables avec ce même tueur et à subir toutes ses tortures. Il avait survécu à tout ça et ce n’était pas un hasard selon Grace.
« Grace ? Tu voulais me parler ?
- En effet, dit-elle en sortant de toutes ses pensées. Je ne comprends pas comment tu as pu nous faire croire, et surtout à Lisbon, que tu étais encore dans le coma. Je ne comprends pas non plus comment les médecins ont accepté de mentir et de marcher dans ton plan et surtout comment ils ont pu te sortir si facilement de l’hôpital alors que tu as perdu beaucoup de sang !
- Je ne vous ai simplement pas signalé mon réveil parce que j’avais le besoin de dormir, pour la première fois depuis longtemps. J’avais enfin la sensation d’être apaisé le temps d’une nuit, c’était vraiment du repos. Grace ! Du repos ! Les médecins n’ont pas été difficiles à convaincre tu sais. Ils ne sont pas bien payés, une liasse de billets et ils sont satisfaits !
- C’est horrible !
- C’est la dure réalité, Grace. La dure réalité… »
L’attitude de Jane avait changé et Grace s’en apercevait. Quand Cho était encore là, il était plus jovial, plus normal. Enfin normal, lorsqu’il s’agissait de Patrick Jane, rien n’était normal, tout prenait une toute autre dimension, dans le bon comme dans le mauvais sens.
« Ne me dis pas que…
- Que quoi Grace ?
- Cesse de répéter mon prénom ! Tu t’es enfui de l’hôpital !!!
- Mais non voyons ! Qu’est ce que tu insinues ? Je ne suis absolument pas comme ça. Tu me connais mieux que ça !
- Justement, je te connais COMME ça ! Tu en es tout à fait capable !
- Je suis vexé, vraiment vexé. »
Le consultant se retourna d’un coup. La jeune femme se sentit tout à coup gênée de douter de lui. Pour une fois, il paraissait sincère et il n’arborait pas ce sourire narquois pour une fois.
Le téléphone de Grace sonna, elle répondit de suite.
« Van Pelt, rendez-vous au CBI dans un demi-heure au plus tard. !
- Qu’est ce qu’il se passe patron ?
- Les médecins ne trouvent plus Jane à l’hôpital. Il n’a pas volé de voiture, il a dû prendre un taxi et on n’a aucune trace de lui.
- Beh justement… »
Jane se retourna à nouveau l’air paniqué. Apparemment, il ne souhait pas subir la réaction de Lisbon si rapidement. Il fit d’innombrables signes pour qu’elle se taise au téléphone.
La jeune femme sourit car, pour la première fois, elle avait réussi à cerner Jane.
Kimball imaginait simplement la scène qui allait avoir lieu le lendemain comme Jane avait bien l’intention de revenir au CBI : le simple fait d’imaginer Lisbon en train d’envoyer des dossiers, dans toutes les directions, dans le bureau lui fit esquisser un sourire, il échappa même un rire.
« Toi aussi Cho, tu songes à ce que Lisbon va me faire ?
- Je pense aussi à amener une caméra, ça risque d’être drôle. Enfin désolé, ça va pas être marrant pour toi.
- Oh tu sais… J’en ai vu de belles avec Lisbon, mais oui, je sens que demain, ce sera du Grand Lisbon ! Amenez quelque chose au cas où pour vous boucher les oreilles, on ne sait jamais de quoi elle est capable quand il s’agit de se défouler sur moi !
- OH Jane ! Toi aussi, tu lui en fais voir de belle ! Et là, c’est la cerise sur le gâteau ! lâcha Grace Van Pelt. Mais il y plusieurs choses que je ne comprends pas…
- En tout cas, je vous laisse tous les deux, ce n’est pas que je ne veux pas parler, mais la fatigue vient à bout de ma personne, à demain ! annonça Cho en coupant Van Pelt ; l’asiatique ne souhaitait visiblement pas écouter leur conversation qui évoquerait bien évidemment Teresa Lisbon. »
Patrick Jane et Grace Van Pelt attendirent donc que leur collègue parte pour pouvoir entamer une discussion qui, selon la jeune femme, allait être plutôt mouvementée. Elle ne supportait guère les méthodes de Jane au travail, mais là c’en était trop. Peut-être parce qu’elle avait vu son patron complètement déboussolée par rapport à toute cette histoire. Grace était consciente que son collègue menait, depuis quelques années déjà, une vie difficile : il avait perdu sa femme et sa fille qui avaient été tuées par Red John, serial killer sans sentiments ni cœur ni âme ; et il venait de passer plusieurs jours interminables avec ce même tueur et à subir toutes ses tortures. Il avait survécu à tout ça et ce n’était pas un hasard selon Grace.
« Grace ? Tu voulais me parler ?
- En effet, dit-elle en sortant de toutes ses pensées. Je ne comprends pas comment tu as pu nous faire croire, et surtout à Lisbon, que tu étais encore dans le coma. Je ne comprends pas non plus comment les médecins ont accepté de mentir et de marcher dans ton plan et surtout comment ils ont pu te sortir si facilement de l’hôpital alors que tu as perdu beaucoup de sang !
- Je ne vous ai simplement pas signalé mon réveil parce que j’avais le besoin de dormir, pour la première fois depuis longtemps. J’avais enfin la sensation d’être apaisé le temps d’une nuit, c’était vraiment du repos. Grace ! Du repos ! Les médecins n’ont pas été difficiles à convaincre tu sais. Ils ne sont pas bien payés, une liasse de billets et ils sont satisfaits !
- C’est horrible !
- C’est la dure réalité, Grace. La dure réalité… »
L’attitude de Jane avait changé et Grace s’en apercevait. Quand Cho était encore là, il était plus jovial, plus normal. Enfin normal, lorsqu’il s’agissait de Patrick Jane, rien n’était normal, tout prenait une toute autre dimension, dans le bon comme dans le mauvais sens.
« Ne me dis pas que…
- Que quoi Grace ?
- Cesse de répéter mon prénom ! Tu t’es enfui de l’hôpital !!!
- Mais non voyons ! Qu’est ce que tu insinues ? Je ne suis absolument pas comme ça. Tu me connais mieux que ça !
- Justement, je te connais COMME ça ! Tu en es tout à fait capable !
- Je suis vexé, vraiment vexé. »
Le consultant se retourna d’un coup. La jeune femme se sentit tout à coup gênée de douter de lui. Pour une fois, il paraissait sincère et il n’arborait pas ce sourire narquois pour une fois.
Le téléphone de Grace sonna, elle répondit de suite.
« Van Pelt, rendez-vous au CBI dans un demi-heure au plus tard. !
- Qu’est ce qu’il se passe patron ?
- Les médecins ne trouvent plus Jane à l’hôpital. Il n’a pas volé de voiture, il a dû prendre un taxi et on n’a aucune trace de lui.
- Beh justement… »
Jane se retourna à nouveau l’air paniqué. Apparemment, il ne souhait pas subir la réaction de Lisbon si rapidement. Il fit d’innombrables signes pour qu’elle se taise au téléphone.
La jeune femme sourit car, pour la première fois, elle avait réussi à cerner Jane.
in-my-dreamz- Distributeur de café
- Personnage préféré : Jane & Lisbon :)
Loisirs : Sport. Musique. Amis
Localisation : Bordeaux
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
cette fois c'est sur Jane va se faire botter le c** par Lisbon
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
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Localisation : près de l'océan
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
C'est ca qui est bon non ?
in-my-dreamz- Distributeur de café
- Personnage préféré : Jane & Lisbon :)
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Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
in-my-dreamz a écrit:C'est ca qui est bon non ?
OH_OUII ! XD
V.L.S
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Jane se retourna à nouveau l’air paniqué. Apparemment, il ne souhait pas subir la réaction de Lisbon si rapidement. Il fit d’innombrables signes pour qu’elle se taise au téléphone.
c'est méchant mais............ j'étais plié en deux
Sacré Jane
Pfiou
VLS en tout cas
shanouw- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Lisbon
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Localisation : Californie ;)
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Elle va gueuler la Lisbonnette !Faut qu'elle planque son arme ou elle va le tuer !
VLS VLS VLS VLS VLS
VLS VLS VLS VLS VLS
Invité- Invité
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
J'ai lu toute la fanfic d'une traite et je veux juste dire un truc...
VLS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
VLS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Mr Jane- Distributeur de café
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Localisation : CBI
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
oh oui
VLS VLS VLS VLS
VLS VLS VLS VLS
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Pendant que Grace souriait de toutes ses dents, sans répondre aux questions de Lisbon dont la voix s’entendait dans toute la pièce, Jane s’inquiétait de plus en plus de son sort. D’habitude, il ne craignait guère les diverses réactions que pouvait avoir Lisbon. En effet, elle lui avait déjà donné un coup de poing, elle lui avait dit, un bon nombre de fois, des paroles vexantes, mais elle s’était excusée dans la minute qui suivait. Jane se rendait compte que Lisbon pouvait se montrer violente, mais elle avait la capacité de reconnaître ses torts et de s’excuser immédiatement. Sauf que pour cette fois ci, Jane ne donnait pas cher de sa peau.
Lui-même ne savait pas réellement pourquoi il s’était enfui de l’hôpital. Fuir, il n’avait, en quelques sortes, que ça à faire. Il fuyait déjà depuis plusieurs années, depuis le meurtre de sa femme et sa fille. Il fuyait Red John tout en le cherchant pour assouvir sa vengeance. Le consultant avait réalisé, lors du meurtre de Sam Bosco, que le tueur en série avait des complices partout. Qui pouvait donc affirmer que Red John, ou l’un de ses complices, n’était pas à l’hôpital en train de le surveiller. ?
Et puis toutes les paroles prononcées par Lisbon qu’il avait entendues et qu’il n’aurait pas dû entendre l’avaient complètement chamboulé. Elle ne montrait jamais ses sentiments, elle ne les dévoilait jamais de peur d’être déçue par la suite des évènements.
Jane était sûr qu’elle s’était interdit les moindres débordements sentimentaux, que ce soit au travail ou dans sa vie privée, d’ailleurs lui aussi avait fait de même. Depuis 6ans…
Le consultant fit signe à sa collègue de lui passer le téléphone, c’était se jeter dans la fosse aux lions, il en était conscient, mais il appréciait tellement mettre Lisbon hors d’elle.
« Allô ? Lisbon ? Comment allez vous ? demanda Jane comme si tout était normal.
- Jane ? Où êtes-vous là ? Qu’est ce qui vous a pris de partir comme ça de l’hôpital ? Vous allez me le payer très cher !!
- Qu’est ce que je vais payer ? Je suis juste parti de l’hôpital car j’allais mieux ! Les médecins ne voulaient pas me croire donc j’ai pris les devants ! Mais dites donc.. Serait-ce un moyen de me dire que je vous ai manqué ??
- Arrêtez de rêver ! Repassez-moi Van Pelt !
- Je vous le ramène c’est ça ?
- Oui, et immédiatement ! »
Lisbon allait pouvoir enfin se lâcher sur Jane, Van Pelt le sentait bien. L’agent était sûre et certaine que sa supérieure allait apparaître en forme, comme elle essayait de faire tous les jours.
« Mon heure est réellement venue Grace. J’ai été ravi de te connaître !
- Tu sais très bien qu’elle va juste s’énerver, certes, elle va crier plus que d’habitude, mais elle fait ça juste parce qu’elle est inquiète, et tu en es conscient.
- Pas du tout.
- Ne joue pas l’innocent, je suis sûre qu’à l’hôpital tu n’as pas fait la sourde oreille quand elle venait te voir. Tu l’insupportes parce qu’elle tient à toi et ça, elle ne l’admettra jamais.
- Comment sais-tu ça ? Et surtout pourquoi tu me le dis ?
- Monsieur Jane est dépassé, c’est une grande première ! Ne me fais pas ce coup, tu le sais très bien, à chaque fois, tu y fais même des allusions et de toutes façons, que je te le dise ou non, tu le savais ou tu allais le savoir. Bref, mettons nous en route de suite. »
Grace ne savait pas elle-même pourquoi elle disait tout ça.
Peut-être qu’elle s’en sentait obligée vu qu’elle vivait avec Lisbon et qu’elle voyait toutes ses réactions évoluer un peu plus chaque jour.
Peut-être aussi parce qu’elle était déjà passée par là et qu’elle regrettait sa réaction.
Il n’y a rien de plus terrible que de faire un choix qui se révèle, par la suite, terrible pour notre état moral. Le manque d’une personne est terrible, surtout quand il est question d’un amour qu’on ne se permet pas de vivre.
On passe d’abord par le déni, on ne peut pas s’imaginer le « pire ». Lisbon ne pouvait s’imaginer amoureuse de Jane, ce consultant qui lui en faisait voir de toutes les couleurs.
Le déni se transforme ensuite par la persuasion de nous-mêmes. Pour Teresa, il était beaucoup plus simple de se persuader que Jane ne lui plaisait pas du tout que le contraire.
Et enfin, quand la personne est en danger, l’inquiétude est bien là. On a l’impression qu’une partie de nous, qu’une partie de notre cœur peut s’arracher et partir à tout moment. C’était ce que Lisbon avait vécu pendant un peu plus de trois moi.
Grace Van Pelt et Patrick Jane n’avaient pas engagé la conversation depuis qu’ils étaient partis de la maison du consultant pour se rendre au CBI.
Pendant ce temps, Cho, Rigsby et Lisbon attendaient patiemment dans les bureaux du CBI.
« Pourquoi vous ne m’avez pas mise au courant pour cette excursion de nuit chez Jane ?!
- Le temps pressait patron. Ca aurait pu être Red John qui revenait sur les lieux pour effacer des preuves encore, répondit Kimball.
- On est une équipe. On travaille professionnellement et ensemble ! C’est compris ? »
Lisbon partit se chercher un café. Elle ne savait comment réagir. Elle ne savait pas si elle devait être contente que Jane soit revenu, comme avant, toujours en forme et capable de toutes les conneries possibles et même improbables, ou si elle devait être en colère et furieuse contre lui. Furieuse qu’il ait été aussi imprudent après ce qui lui était arrivé, ou furieuse qu’il ne l’ait pas prévenue de son retour parmi eux.
Elle appela tout de même l’hôpital pour annoncer aux médecins que tout était rentré dans l’ordre, en quelques sortes, car Patrick Jane avait été retrouvé un bon état.
« Le café est mauvais pour la santé, cela nous rend encore plus nerveux. Vous devriez essayer le thé ! C’est bien meilleur ! »
« Quand on parle du loup, pensa Lisbon qui rit à la suite du dicton. On en voit la queue. »
Mais elle reprit tout de suite son sérieux et l’intéressé sut de suite que toute tentative d’humour et d’ironie était vaine.
Lui-même ne savait pas réellement pourquoi il s’était enfui de l’hôpital. Fuir, il n’avait, en quelques sortes, que ça à faire. Il fuyait déjà depuis plusieurs années, depuis le meurtre de sa femme et sa fille. Il fuyait Red John tout en le cherchant pour assouvir sa vengeance. Le consultant avait réalisé, lors du meurtre de Sam Bosco, que le tueur en série avait des complices partout. Qui pouvait donc affirmer que Red John, ou l’un de ses complices, n’était pas à l’hôpital en train de le surveiller. ?
Et puis toutes les paroles prononcées par Lisbon qu’il avait entendues et qu’il n’aurait pas dû entendre l’avaient complètement chamboulé. Elle ne montrait jamais ses sentiments, elle ne les dévoilait jamais de peur d’être déçue par la suite des évènements.
Jane était sûr qu’elle s’était interdit les moindres débordements sentimentaux, que ce soit au travail ou dans sa vie privée, d’ailleurs lui aussi avait fait de même. Depuis 6ans…
Le consultant fit signe à sa collègue de lui passer le téléphone, c’était se jeter dans la fosse aux lions, il en était conscient, mais il appréciait tellement mettre Lisbon hors d’elle.
« Allô ? Lisbon ? Comment allez vous ? demanda Jane comme si tout était normal.
- Jane ? Où êtes-vous là ? Qu’est ce qui vous a pris de partir comme ça de l’hôpital ? Vous allez me le payer très cher !!
- Qu’est ce que je vais payer ? Je suis juste parti de l’hôpital car j’allais mieux ! Les médecins ne voulaient pas me croire donc j’ai pris les devants ! Mais dites donc.. Serait-ce un moyen de me dire que je vous ai manqué ??
- Arrêtez de rêver ! Repassez-moi Van Pelt !
- Je vous le ramène c’est ça ?
- Oui, et immédiatement ! »
Lisbon allait pouvoir enfin se lâcher sur Jane, Van Pelt le sentait bien. L’agent était sûre et certaine que sa supérieure allait apparaître en forme, comme elle essayait de faire tous les jours.
« Mon heure est réellement venue Grace. J’ai été ravi de te connaître !
- Tu sais très bien qu’elle va juste s’énerver, certes, elle va crier plus que d’habitude, mais elle fait ça juste parce qu’elle est inquiète, et tu en es conscient.
- Pas du tout.
- Ne joue pas l’innocent, je suis sûre qu’à l’hôpital tu n’as pas fait la sourde oreille quand elle venait te voir. Tu l’insupportes parce qu’elle tient à toi et ça, elle ne l’admettra jamais.
- Comment sais-tu ça ? Et surtout pourquoi tu me le dis ?
- Monsieur Jane est dépassé, c’est une grande première ! Ne me fais pas ce coup, tu le sais très bien, à chaque fois, tu y fais même des allusions et de toutes façons, que je te le dise ou non, tu le savais ou tu allais le savoir. Bref, mettons nous en route de suite. »
Grace ne savait pas elle-même pourquoi elle disait tout ça.
Peut-être qu’elle s’en sentait obligée vu qu’elle vivait avec Lisbon et qu’elle voyait toutes ses réactions évoluer un peu plus chaque jour.
Peut-être aussi parce qu’elle était déjà passée par là et qu’elle regrettait sa réaction.
Il n’y a rien de plus terrible que de faire un choix qui se révèle, par la suite, terrible pour notre état moral. Le manque d’une personne est terrible, surtout quand il est question d’un amour qu’on ne se permet pas de vivre.
On passe d’abord par le déni, on ne peut pas s’imaginer le « pire ». Lisbon ne pouvait s’imaginer amoureuse de Jane, ce consultant qui lui en faisait voir de toutes les couleurs.
Le déni se transforme ensuite par la persuasion de nous-mêmes. Pour Teresa, il était beaucoup plus simple de se persuader que Jane ne lui plaisait pas du tout que le contraire.
Et enfin, quand la personne est en danger, l’inquiétude est bien là. On a l’impression qu’une partie de nous, qu’une partie de notre cœur peut s’arracher et partir à tout moment. C’était ce que Lisbon avait vécu pendant un peu plus de trois moi.
Grace Van Pelt et Patrick Jane n’avaient pas engagé la conversation depuis qu’ils étaient partis de la maison du consultant pour se rendre au CBI.
Pendant ce temps, Cho, Rigsby et Lisbon attendaient patiemment dans les bureaux du CBI.
« Pourquoi vous ne m’avez pas mise au courant pour cette excursion de nuit chez Jane ?!
- Le temps pressait patron. Ca aurait pu être Red John qui revenait sur les lieux pour effacer des preuves encore, répondit Kimball.
- On est une équipe. On travaille professionnellement et ensemble ! C’est compris ? »
Lisbon partit se chercher un café. Elle ne savait comment réagir. Elle ne savait pas si elle devait être contente que Jane soit revenu, comme avant, toujours en forme et capable de toutes les conneries possibles et même improbables, ou si elle devait être en colère et furieuse contre lui. Furieuse qu’il ait été aussi imprudent après ce qui lui était arrivé, ou furieuse qu’il ne l’ait pas prévenue de son retour parmi eux.
Elle appela tout de même l’hôpital pour annoncer aux médecins que tout était rentré dans l’ordre, en quelques sortes, car Patrick Jane avait été retrouvé un bon état.
« Le café est mauvais pour la santé, cela nous rend encore plus nerveux. Vous devriez essayer le thé ! C’est bien meilleur ! »
« Quand on parle du loup, pensa Lisbon qui rit à la suite du dicton. On en voit la queue. »
Mais elle reprit tout de suite son sérieux et l’intéressé sut de suite que toute tentative d’humour et d’ironie était vaine.
in-my-dreamz- Distributeur de café
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Localisation : Bordeaux
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Planques toi Patou viiiitteuuh!
C'est une question de vie ou de mort
VLS VLS
C'est une question de vie ou de mort
VLS VLS
Invité- Invité
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Jisbon-Addict a écrit:Planques toi Patou viiiitteuuh!
C'est une question de vie ou de mort
VLS VLS
je plussois
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Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
aie aie aie . . . vls
Jen'ny- Consultant au CBI
- Personnage préféré : Jane.
Loisirs : Séries, écriture, fan art, sciences....
Localisation : Ici et ailleurs
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
Jisbon-Addict a écrit:Planques toi Patou viiiitteuuh!
C'est une question de vie ou de mort
VLS VLS
Ahah oui sauve toi jane et même ceux qui sont autour sa va voler
VLS !!!!!!!!!!!
Mr Jane- Distributeur de café
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Localisation : CBI
Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
« Trêve de plaisanterie Jane. Qu’est ce qu’il vous est passé par la tête de partir, sans rien dire, de l’hôpital ?
- Oh je vois… Vous êtes vexée parce que je ne vous ai pas prévenue. Je me suis demandé pourquoi je ne l’avais pas fait, figurez vous, et puis la réponse m’est venue naturellement : si je vous avais appelée, cela aurait signifié que je me serais calmé et que je serais devenu un homme tout à fait censé. Or, vous savez que ce n’est pas le cas ! »
La réponse du consultant avait désarçonné Lisbon. Elle avait été, dans un premier temps, inquiète et furieuse contre lui car il s’était enfui de l’hôpital, et par la suite, vexée lorsque Teresa avait appris que Grace l’avait retrouvé.
Lisbon ne savait pas clairement interpréter sa pensée. Elle ne savait pas pourquoi elle s’était sentie vexée et à la fois soulagée qu’il soit sain et sauf. Elle aurait sûrement préféré le retrouver elle-même, pouvoir lui crier dessus immédiatement et sourire face à son attitude de petit enfant pas si innocent que ça.
« Je sais très bien, Jane, que vous ne serez jamais capable de vous arrêter aux limites de la raison, mais à ce point. Vous étiez dans le coma ! Vous réalisez cela ? On était tous très inquiets pour vous ! D’ailleurs, vous irez rassurer cette chère Hightower qui me demandait de vos nouvelles, car MOI, je venais vous voir tous les jours. Oubliez tout de suite ce que je viens de dire ! s’empressa de rajouter la jeune femme, tandis qu’elle sentait ses joues se réchauffer et qu’elle s’apercevait du grand sourire que faisait son interlocuteur, tout en s’éloignant avec sa tasse de café de l’homme auquel elle parlait. »
Lisbon repartit donc rejoindre ses agents qui se turent tous lorsqu’ils virent arriver leur patron, visiblement mal à l’aise. Ils se demandaient tous ce qu’il s’était passé : comment l’affrontement entre les deux fortes têtes de l’équipe s’était déroulé. Il n’y avait pas eu de cris, juste des paroles calmes, ou du moins à peu près, et c’était ce qui étonnait les trois agents. D’habitude, Lisbon laissait aller ses émotions et notamment son mécontentement. Elle ne se gênait pas pour lui dire tout ce dont elle pensait, même si parfois, elle ne mesurait pas ses paroles et même si il lui arrivait de s’excuser immédiatement, au moins c’était sorti. Mais pas cette fois ci.
En effet, Lisbon avait voulu se lâcher face à Jane mais quelque chose l’en empêchait et elle réalisait, peu à peu et malgré elle, que la peur qu’elle avait ressentie tous les jours quand elle allait à l’hôpital, elle ne voulait plus jamais la revivre : Lisbon désirait, donc en toute simplicité, que Jane soit sain et sauf, comme avant, avec le même esprit de petit emmerdeur qui la faisait tellement rire et tellement sortir de ses gongs. Lisbon souhaitait simplement ne pas réfléchir et songer, une nouvelle fois, au CBI sans Jane.
C’était à ce moment qu’elle réalisa que le CBI sans Jane était vide et bien trop calme. Elle s’était habituée, malgré elle, malgré tout ce qu’elle pouvait dire, aux gamineries, aux plans foireux, aux réflexions qui la gênaient mais qui étaient tellement vraies au fond, du consultant.
On réalise bien trop souvent, malheureusement, à quel point on peut tenir à une personne, à quel point la vie peut changer sans cette personne, même si cette même personne nous taquine, nous agace et c’est tout à fait regrettable. Mais ce qu’il y a de pire, c’est de se refuser une histoire possible, c’est de se fermer aux sentiments même si on sent notre cœur s’affoler quand on est en présence de cette personne si chère à notre cœur, à nos pensées, à notre tête, à notre vie…
Est-ce que ça faisait de Lisbon une femme amoureuse ? Elle n’y croyait pas. Personne n’y croyait. Elle préférait admettre que Patrick Jane était devenu plus qu’un collègue : un « ami » peu normal et unique en son genre et plus personne ne pouvait le remplacer, car un homme tel qu’était Jane c’était bien plus que rare ; selon Lisbon, il valait mieux qu’il n’existe qu’un seul Patrick Jane sur Terre, sinon le monde tournerait en dérision…
Mais le monde ne tourne t’il pas déjà en dérision ?
Van Pelt, Rigsby et Cho partirent l’un après l’autre. Grace décida de dormir chez elle ce soir là, elle voulait être forte comme Lisbon pouvait le paraître. Selon Van Pelt, Teresa avait la capacité de tout cacher, de tout emmagasiner même les pires ennuis, même ses pires craintes, et tout cela en s’impliquant dans son travail, car comme Jane, c’était tout ce dont elle possédait, c’était tout ce dont à quoi elle pouvait s’attacher. Certes, Grace aurait peur cette nuit, mais il fallait bien aller de l’avant.
Kimball, quant à lui, avait simplement besoin d’une bonne nuit de sommeil et surtout d’un bon repas, car avec cette excursion chez Jane, il n’avait toujours pas mangé.
Rigsby était parti le premier et avait foncé à la pizzeria la plus proche du CBI. L’appel de l’estomac était plus fort que tout pour Wayne.
Jane attendit que ses collègues partent pour rejoindre Teresa dans son bureau. Elle était face à son ordinateur et semblait terminer quelques dossiers.
« Quoi que j’aie pu dire, tout à l’heure, qui aurait pu vous vexer, je m’excuse.
- MONSIEUR Jane s’excuse ?! Il va neiger demain ! Pourquoi tenez vous tant à vous excuser ?
- Je n’aime pas que vous soyez fâchée et distante avec moi.. C’est comme ça, je n’y peux rien. C’est ma tête et mon cœur qui décident, répondit calmement l’homme blond qui se tenait maintenant à quelques centimètres de Lisbon. Bonne nuit Lisbon et encore désolé. »
L’homme donna un baiser sur la joue de sa collègue. Il partit, la laissant là, sous le choc d’un tel élan d’intimité. Jane souriait de toutes ses dents et sortit du CBI sans savoir clairement où aller..
- Oh je vois… Vous êtes vexée parce que je ne vous ai pas prévenue. Je me suis demandé pourquoi je ne l’avais pas fait, figurez vous, et puis la réponse m’est venue naturellement : si je vous avais appelée, cela aurait signifié que je me serais calmé et que je serais devenu un homme tout à fait censé. Or, vous savez que ce n’est pas le cas ! »
La réponse du consultant avait désarçonné Lisbon. Elle avait été, dans un premier temps, inquiète et furieuse contre lui car il s’était enfui de l’hôpital, et par la suite, vexée lorsque Teresa avait appris que Grace l’avait retrouvé.
Lisbon ne savait pas clairement interpréter sa pensée. Elle ne savait pas pourquoi elle s’était sentie vexée et à la fois soulagée qu’il soit sain et sauf. Elle aurait sûrement préféré le retrouver elle-même, pouvoir lui crier dessus immédiatement et sourire face à son attitude de petit enfant pas si innocent que ça.
« Je sais très bien, Jane, que vous ne serez jamais capable de vous arrêter aux limites de la raison, mais à ce point. Vous étiez dans le coma ! Vous réalisez cela ? On était tous très inquiets pour vous ! D’ailleurs, vous irez rassurer cette chère Hightower qui me demandait de vos nouvelles, car MOI, je venais vous voir tous les jours. Oubliez tout de suite ce que je viens de dire ! s’empressa de rajouter la jeune femme, tandis qu’elle sentait ses joues se réchauffer et qu’elle s’apercevait du grand sourire que faisait son interlocuteur, tout en s’éloignant avec sa tasse de café de l’homme auquel elle parlait. »
Lisbon repartit donc rejoindre ses agents qui se turent tous lorsqu’ils virent arriver leur patron, visiblement mal à l’aise. Ils se demandaient tous ce qu’il s’était passé : comment l’affrontement entre les deux fortes têtes de l’équipe s’était déroulé. Il n’y avait pas eu de cris, juste des paroles calmes, ou du moins à peu près, et c’était ce qui étonnait les trois agents. D’habitude, Lisbon laissait aller ses émotions et notamment son mécontentement. Elle ne se gênait pas pour lui dire tout ce dont elle pensait, même si parfois, elle ne mesurait pas ses paroles et même si il lui arrivait de s’excuser immédiatement, au moins c’était sorti. Mais pas cette fois ci.
En effet, Lisbon avait voulu se lâcher face à Jane mais quelque chose l’en empêchait et elle réalisait, peu à peu et malgré elle, que la peur qu’elle avait ressentie tous les jours quand elle allait à l’hôpital, elle ne voulait plus jamais la revivre : Lisbon désirait, donc en toute simplicité, que Jane soit sain et sauf, comme avant, avec le même esprit de petit emmerdeur qui la faisait tellement rire et tellement sortir de ses gongs. Lisbon souhaitait simplement ne pas réfléchir et songer, une nouvelle fois, au CBI sans Jane.
C’était à ce moment qu’elle réalisa que le CBI sans Jane était vide et bien trop calme. Elle s’était habituée, malgré elle, malgré tout ce qu’elle pouvait dire, aux gamineries, aux plans foireux, aux réflexions qui la gênaient mais qui étaient tellement vraies au fond, du consultant.
On réalise bien trop souvent, malheureusement, à quel point on peut tenir à une personne, à quel point la vie peut changer sans cette personne, même si cette même personne nous taquine, nous agace et c’est tout à fait regrettable. Mais ce qu’il y a de pire, c’est de se refuser une histoire possible, c’est de se fermer aux sentiments même si on sent notre cœur s’affoler quand on est en présence de cette personne si chère à notre cœur, à nos pensées, à notre tête, à notre vie…
Est-ce que ça faisait de Lisbon une femme amoureuse ? Elle n’y croyait pas. Personne n’y croyait. Elle préférait admettre que Patrick Jane était devenu plus qu’un collègue : un « ami » peu normal et unique en son genre et plus personne ne pouvait le remplacer, car un homme tel qu’était Jane c’était bien plus que rare ; selon Lisbon, il valait mieux qu’il n’existe qu’un seul Patrick Jane sur Terre, sinon le monde tournerait en dérision…
Mais le monde ne tourne t’il pas déjà en dérision ?
Van Pelt, Rigsby et Cho partirent l’un après l’autre. Grace décida de dormir chez elle ce soir là, elle voulait être forte comme Lisbon pouvait le paraître. Selon Van Pelt, Teresa avait la capacité de tout cacher, de tout emmagasiner même les pires ennuis, même ses pires craintes, et tout cela en s’impliquant dans son travail, car comme Jane, c’était tout ce dont elle possédait, c’était tout ce dont à quoi elle pouvait s’attacher. Certes, Grace aurait peur cette nuit, mais il fallait bien aller de l’avant.
Kimball, quant à lui, avait simplement besoin d’une bonne nuit de sommeil et surtout d’un bon repas, car avec cette excursion chez Jane, il n’avait toujours pas mangé.
Rigsby était parti le premier et avait foncé à la pizzeria la plus proche du CBI. L’appel de l’estomac était plus fort que tout pour Wayne.
Jane attendit que ses collègues partent pour rejoindre Teresa dans son bureau. Elle était face à son ordinateur et semblait terminer quelques dossiers.
« Quoi que j’aie pu dire, tout à l’heure, qui aurait pu vous vexer, je m’excuse.
- MONSIEUR Jane s’excuse ?! Il va neiger demain ! Pourquoi tenez vous tant à vous excuser ?
- Je n’aime pas que vous soyez fâchée et distante avec moi.. C’est comme ça, je n’y peux rien. C’est ma tête et mon cœur qui décident, répondit calmement l’homme blond qui se tenait maintenant à quelques centimètres de Lisbon. Bonne nuit Lisbon et encore désolé. »
L’homme donna un baiser sur la joue de sa collègue. Il partit, la laissant là, sous le choc d’un tel élan d’intimité. Jane souriait de toutes ses dents et sortit du CBI sans savoir clairement où aller..
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Re: Love is our resistance ! ( Muse quoi xD )
enfin les retrouvailles
ce Jane il ne changera jamais, et Lisbon qu'est-ce qu'il lui faut pour admettre enfin qu'elle est amoureuse de son turbulent consultant?
VLS VLS VLS VLS
ce Jane il ne changera jamais, et Lisbon qu'est-ce qu'il lui faut pour admettre enfin qu'elle est amoureuse de son turbulent consultant?
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Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
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