The trials of life ^

quel sadisme ! J'ai cru que Tess était morte, en fait non et en même temps j'me disais Patou fera pas ça hé ben il l'a fait !!

VLS !! (Tu risques d'avoir plusieurs morts sur la conscience )

cette fic est un pur bijou , un grand bravo à toi . VLS

Merci pour tout vos commentaires, je suis contente que ça vous plaise. ,
Donc voilà le chapitre 3, avec un peu de retard désolée, mais le boulot me rappel sans cesse même mes jours de repos, mais vous en faite pas, ce soir je vous écris le chapitre 4 et il sera là, si tout va bien, Dimanche, je peux pas faire plus vite.
Bonne lecture






Lisbon tenait Jane étroitement dans ses bras, le sang coulant le long de ses bras, colorant peu à peu ses vêtements de rouge. Rouge mort. Les larmes de la jeune femme se mélangeant à celles qu’avait versées son consultant quelques minutes plus tôt. Elle ne voulait pas se séparer de lui, elle ne voulait pas qu’il meurt, pas maintenant, pas alors qu’ils étaient enfin un couple et qu’elle allait lui offrir une chose qu’elle n’offrait pas à n’importe qui. Elle l’aimait et le voir dans cet état était au-dessus de ses forces. Il fallait qu’il s’en sorte, il n’avait pas le droit de la laisser alors qu’il lui avait promis de toujours être là pour elle.

Soudain, la jeune femme entendit du bruit dans la maison, puis dans l’escalier et enfin des mains se posèrent sur ses épaules tandis que d’autres tentaient de retirer les siennes de son amant. Elle se débattit avec la force du désespoir mais les mains étaient plus fortes qu’elle. Elle se retrouva bien vite contre un mur avec une seringue dans l’épaule. Elle sentit peu à peu le sommeil l’envahir et bientôt sa vision se troubla. Elle résista encore, ne voulant pas être séparée de Jane mais un voile noir recouvrit ses yeux et elle sombra dans l’inconscient.



Des voix se faisaient entendre autour d’elle, mais des voix qu’elle ne connaissait pas. Qui étaient ces gens? Où se trouvait-elle? Et où était Jane? Elle ne se souvenait pas de grand-chose si ce n’est le corps ensanglanté de son compagnon dans ses bras. La tête contre son cœur qui n’avait jamais battu aussi vite. Et puis tout lui revint. Son voyage à New-York, l’accident de voiture de son frère, son retour à Sacramento, les informations dans le taxi annonçant le crash de l’avion qu’elle aurait dû prendre, son arrivée chez elle, le coup de feu et finalement le corps de Jane étendu sur le sol de sa chambre à coucher, du sang coulant de sa tête.
Elle se redressa rapidement et se retrouva assise sur un lit, dans une pièce blanche. Elle regarda autour d’elle, ne sachant toujours pas où elle se trouvait. Elle commença à paniquer mais se ressaisit. Elle était flic et elle ne devait pas se laisser aller à ça. La jeune femme se leva lentement, ses jambes tremblant encore un peu, puis marcha jusqu’à la porte. Le petit hublot sur la porte lui permit de voir le couloir, aussi blanc que la chambre. Il n’y avait personne et le silence commençait à devenir pesant. Pourquoi se trouvait-elle ici? Qui l’avait conduite dans cette chambre et à quelles fins? Trop de questions affluaient dans sa tête et elle ne parvenait pas à y trouver de réponses.
Elle retourna sur son lit et se recoucha. Sa tête lui tournait encore et elle avait besoin de se reposer afin de pouvoir réfléchir à la situation. Elle trouverait bien un moyen de partir d’ici et de savoir ce qu’il était advenu de Jane. Il fallait qu’elle sache de quoi il retournait et vite. Elle ne supportait pas de ne pas savoir et de ne pouvoir rien faire.


Le temps passait lentement et Lisbon ne parvenait pas à trouver le sommeil. Elle ne cessait de penser à Jane. Elle voulait le voir, le prendre dans ses bras, l’embrasser et lui dire à quel point elle l’aimait.
Alors qu’elle était plongée dans ses pensées, la porte de la chambre s’ouvrit et un homme portant une blouse blanche entra, suivi d’une jeune femme qui faisait rouler une petite table de soins. Des flacons contenant divers produits se trouvaient dessus, ainsi qu’une seringue et des produits nettoyants. L’homme s’approcha du lit et prit une feuille accrochée au pied. Il la parcourut puis la reposa. Il fixa Lisbon qui se demandait encore qui il était.

_ Mlle Lisbon, je suis ravi de vous voir enfin réveillée.
_ Où suis-je?
_ A l’hôpital Ste Catherine.
_ Mais, où?
_ A New-York.
_ New-York? Mais comment suis-je arrivée ici?
_ Vous ne vous rappelez pas?

Voyant le regard interrogateur de sa patiente, le médecin décida de lui expliquer les raisons de sa présence ici. Il congédia l’infirmière et s’assit sur le fauteuil à côté du lit. Il prit une grande inspiration puis se lança.

_ Vous êtes arrivée ici il y a un peu plus de vingt ans suite à la mort de votre mère.
_ Quoi? Mais non, je ne comprends pas c’est…….
_ Je comprends votre surprise, c’est à chaque fois la même chose. Donc je disais, vous êtes arrivée ici suite à la mort accidentelle et brutale de votre mère. Vous avez changé les mois qui ont suivi et vous avez finalement sombré dans une grave dépression. Votre père vous a conduite ici, le pauvre était vraiment anéanti mais il devait le faire, pour votre bien et celui de vos frères. Vous deveniez trop imprévisible et violente. Et depuis vous êtes ici. Parfois, comme aujourd’hui, vous êtes comme amnésique et je dois de nouveau vous raconter l’histoire de votre vie. Mais j’espère qu’un jour vous irez mieux et que vous pourrez enfin nous quitter.

Lisbon resta sans voix face à ces déclarations. Elle n’y comprenait plus rien, tout ceci n’avait aucun sens. Elle ne pouvait pas être ici depuis si longtemps, elle avait eu une vie bien différente de ce que le médecin lui disait. Toute cette histoire était un mensonge, il ne pouvait pas en être autrement.
Elle releva la tête et croisa le regard du médecin, compatissant. Il avait l’air honnête mais pourtant ce ne pouvait être qu’un mensonge. Son instinct lui disait de se méfier de cet homme, bien qu’il n’ait pas l’air d’un criminel.

_ Ai-je eu de la visite? Des amis, de la famille?
_ Votre père venait au début mais, il a déménagé pour son travail. Vos frères sont venus vous dire un dernier au revoir et ils ne sont jamais revenus. Il y a de ça dix ans.
_ Et Patrick Jane?
_ Le médium?
_ Non, il ne l’est plus, depuis plusieurs années, il travaille avec moi au CBI.
_ Vous vous faites encore des films. Ce n’est pas la première fois.
_ Je ne me fais pas de films, c’est la vérité, je travaille au CBI avec les agents Kimbal Cho, Wayne Rigsby et Grace Van Pelt. Et il y a aussi Patrick Jane, il nous a rejoint suite à la mort de sa femme et de sa fille.
_ Teresa, il faut que vous reveniez dans le monde réel et que vous cessiez d’affabuler.
_ Je n’affabule pas, c’est vous qui dites n’importe quoi, je ne suis pas malade, je veux sortir d’ici et voir mes amis.

Le médecin se leva subitement et rappela l’infirmière qui arriva avec une seringue. Elle la tandit à l’homme qui la planta dans l’épaule de la pauvre jeune femme qui se débattait tant qu’elle pouvait. Elle se calma peu à peu et le médecin l’aida à se recoucher convenablement dans son lit. Puis il sortit, suivi de l’infirmière.
Lisbon commençait vraiment à avoir peur, tout ceci semblait tellement vrai, et pourtant ce ne pouvait pas être possible.
Ses yeux commençaient à se fermer et avant de sombrer définitivement elle repensa à Patrick Jane. Elle pria pour le revoir un jour.

_ Jane, je vous en prie, vous me manquez. Je vous en prie, ne soyez pas mort et revenez à moi.

Puis elle s’endormit pour de bon, la peur au ventre.



Je sens que vous allez m'envoyer l'armée Jisbonnienne anti k maintenant

Mais je vous en pris, la suite arrive et si vous me tapez alors y en aura pas
Bon finis les bêtises, je vous laisse j'ai un chapitre à écrire

Chapitre 4

Mais qu'est-ce qui tu as fait à Lisbon ? Et Jane, qu'est-ce qu'il est devenu ? Il est mort ou pas ?

C'est très prenant comme histoire, j'adore! Mais j'espère que tu vas vite arranger ça quand même, sinon c'est moi qui vais devenir dingue

:vivement: :vivement: VLS

c'est le but recherché , mais ne t'en fais pas, tu découvrira ce qui se passe, peut-être pas dans le chapitre suivant mais dans le prochain, enfin je sais pas encore, je verrais selon mon imagination tordue .
Enfin, contente que tu aime

Vite je veux la suite, ça va être dur d'attendre.

Super chapitre mais bon ça va être un drame alors j'ai un peu peur de ce que tu nous réserves.

C'est clair que des fois on a envie de mais je vais me retenir pour l'instant.

ouf j'ai eu
mais qui te dis que ça va finir en drame? OK la fic est un drame mais ça peut aussi se finir , ou alors c'est que tu me connais bien , mais je suis pas si que ça? Si?
Allez, je retourne à mon

Si normalement ça se finit toujours mal . Et puis vu tes autres fics, les fins joyeuses c'est pas trop ton truc.


Va vite continuer à écrire que je veux la suite.

pas de soucis, je vais écrire, mais sache que cette fic vous réserve beaucoup de surprises
Allez je te laisse, je vois déjà la fumer de la colère s'échapper de tes oreilles car tu veux la suite et qu'elle n'est pas encore là. Mais si tu patiente jusqu'à Dimanche, peut-être que tu auras la chance de la lire

Ce truuuuuuc de fooouuuuuu !!!

VLS !

mais qu'est ce que c'est que ce truc de fou ! ! vLS VLS VLS

coucou mon binôme.

dis donc on avait pas un accord toutes les deux? nan parce que dans mon souvenir tu étais censée ménager mon palpitant, non?

en tous cas, cette suite!

pauvre Lisbon ! et Jane, il est où?

en tous cas Sweety! comme toujours!

Ouaw le truc!! La suiiite please!!

la suite tant attendu la voici enfin mais je m'attends à de vive réactions ,
Par pitié les filles, ne me faite pas de mal sinon vous n'aurez pas la suite







Une journée venait de passer et Lisbon ne comprenait toujours pas ce qui lui arrivait. Elle ne savait pas si oui ou non le médecin disait vrai. Toute son histoire avait l’air tellement réel qu’elle se posait des questions. Mais la vie qu’elle avait eue, tout ce qu’elle avait vécu, ce ne pouvait pas n’être qu’un rêve. Elle n’oublierait jamais les coups que son père lui donnait lorsqu’il avait trop bu, la tristesse et la douleur dans les yeux de ses frères, sa propre douleur lorsque son père venait dans sa chambre, tard le soir et qu’il….. Non, tout ceci elle ne l’avait pas imaginé, elle l’avait bel et bien vécu.

Lorsqu’elle fermait les yeux, la jeune femme revoyait Jane allongé sur le sol de sa chambre, le sang coulant sur la moquette et laissant des traces qui ne partiraient jamais. Elle se demandait encore s’il allait bien ou s’il était mort. Elle priait si fort pour qu’il s’en soit tiré et qu’elle puisse le retrouver lorsqu’elle serait rentrée chez elle, car elle rentrerait chez elle. L’endroit où elle se trouvait ne pouvait être que le fruit de son imagination, tordue il faut en convenir, ou bien un coup monté par une tiers personne dont elle ignorait l’identité. Elle tirerait ça au clair et rapidement.

Prise d’une soudaine fatigue, la jeune femme s’allongea sur son lit et ferma les yeux afin de dormir un peu. Si elle avait de la chance, elle se réveillerait chez elle, dans son lit et tout ce qu’elle venait de vivre ne serait qu’un mauvais rêve à oublier. Elle tira le drap sur son corps et se mit en position fœtale. Le sommeil ne tarda pas et elle se laissa bercer par le bruit du vent dans les arbres qui assombrissaient sa chambre.

_ Patrick je t’en prie, soit là avec moi lorsque j’ouvrirai les yeux.


Le bruit du fauteuil à côté de son lit qu’on tire la sortit du sommeil. Elle s’étira puis ouvrit les yeux. Elle rencontra le regard bleu de son consultant. Ce qui eut pour effet de la réveiller instantanément et de la faire se redresser sur son lit. Elle le regarda de la tête aux pieds, n’en revenant pas de le voir ici, devant elle et en parfaite santé. L’homme aussi la regardait, mais il était plutôt intrigué par la jeune femme. Alors il s’approcha d’elle et là, Lisbon ne put se retenir plus longtemps. Elle lui sauta au coup et plaqua ses lèvres sur les siennes. Elle entoura sa nuque de ses mains et se laissa aller à ce pur moment de bonheur. Mais à sa plus grande surprise, Jane posa ses mains sur ses avants bras et les retira rapidement. Il s’éloigna d’un pas et la regarda avant de se passer une main dans les cheveux, puis sur le visage, signe qu’il était mal à l’aise et qu’il réfléchissait.
Lisbon le regarda faire, les larmes menaçant de couler le long de ses joues. Etre ainsi rejeté par l’homme que l’on aime, rien ne pourrait être aussi dure. La jeune femme avait déjà souffert de rejet par le passé, mais avec Patrick elle savait que ça ne lui arriverait pas, il le lui avait promis, alors pourquoi maintenant?
Le blond marcha jusqu’à la fenêtre et observa le monde à l’extérieur. Tous ces gens qui marchaient, inconscients de ce qu’il était en train de vivre. Ils vaquaient à leurs occupations tandis que lui devait calmer la tempête qui sévissait à l’intérieur de lui, dans son cœur. Revoir Teresa après si longtemps, il ne pensait pas que ça arriverait un jour et pourtant, il se retrouvait à présent devant la jeune femme qui semblait ne rien comprendre à ce qu’il se passait. Il fallait qu’il lui explique, mais comment le faire sans qu’elle ne souffre? Sans qu’elle ne se retrouve seule, abandonnée?
Il avait tellement rêvé de cet instant, des années plus tôt, que de le vivre en ce moment le remplissait de bonheur. Lisbon était enfin de retour parmi eux. Mais en même temps, il s’était écoulé tellement d’années qu’il regrettait de ne pas avoir écouté son cœur et de l’avoir attendue. Mais ce qui était fait était fait, il devrait vivre avec le poids de ce regret et du mal qu’ ‘il allait faire à la seule femme qu’il aimait.
Il prit une profonde inspiration et se lança.

_ Teresa…. Je sais que tu ne comprends pas trop ce qui se passe, mais il faut que tu comprennes que beaucoup de choses ont changé. Tout d’abord, il faut que tu saches ce qu’il s’est passé lorsque je me suis tiré une balle dans la tête. Tu es arrivée, je m’en souviens et tu es restée auprès de moi jusqu’à ce que les secours arrivent. Par chance, je ne suis pas doué avec les armes, de ce fait je me suis lamentablement raté et je suis resté dans le coma un certain temps. Mais toi tu n’as pas supporté de me voir comme ça et tu t’es jetée à fond dans le travail, allant jusqu’à en négliger ta santé.
Mais voilà, un jour une mission a mal tourné et tu as été blessée, tu t’es toi aussi retrouvée dans le coma, au moment même où moi je me réveillais. J’ai fait de la rééducation et j’ai ainsi pu quitter l’hôpital. Je venais te voir tous les jours et je priais même pour que tu te réveilles. Mais le temps a passé et rien ne changeait. J’ai alors pris la dure décision de continuer ma vie. J’ai rencontré une femme ravissante qui m’a aidé à surmonter la douleur de te perdre et à présent nous vivons ensemble et elle va avoir notre deuxième enfant.

_ Com…… combien….. De temps?
_ Cela fait plus de six ans que tu es dans cet état.
_ Et…. Tu … tu es heureux?
_ Je te mentirais si je te disais que je ne le suis pas, mais chaque jour il me manque quelque chose pour que mon cœur cicatrise.
_ Je suis contente que tu ais réussi à refaire ta vie, même si ce n’est pas avec moi.

La jeune femme se rallongea dans son lit, entoura ses jambes avec ses bras et se tourna vers la fenêtre. Elle laissait le torrent de larmes s’écouler sur son visage, après tout, personne ne pourrait lui reprocher d’être triste. Elle venait de perdre l’homme de sa vie à cause d’une bêtise, sa bêtise, et à présent elle allait devoir vivre avec ça. Mais Patrick semblait heureux, du moins en apparence, alors elle l’était aussi. La seule chose qui pourrait lui faire encore plus de mal serait que la compagne de son ancien consultant le rende malheureux, mais elle avait la chance de voir que ce n’était pas le cas, enfin pas vraiment. Elle avait remarqué que le pauvre homme avait le regard triste depuis qu’elle lui avait sauté au cou et l’avait embrassé. C’était de sa faute à elle s’il n’était plus aussi heureux qu’avant. Elle n’aurait jamais dû se réveiller.

Quelqu’un frappa à la porte et Jane alla ouvrir, pensant que le médecin venait pour voir sa patiente. Mais ce n’était pas le patricien, c’était sa compagne.
La jeune femme entra, un enfant dans les bras et le ventre bien rond. Ses boucles rousses tombant en cascade sur ses épaules et son dos. Patrick s’approcha d’elle et l’embrassa sur le bout des lèvres. Il prit ensuite l’enfant des bras de sa mère et se tourna vers la jeune patiente dans son lit. Il remarqua alors qu’elle s’était retournée et qu’elle observait d’un air ahuri la jeune femme qui venait d’arriver. Ses yeux reflétaient une grande surprise, ainsi qu’une profonde tristesse et beaucoup de déception. Son regard tomba ensuite sur l’enfant dans les bras de Jane, une ravissante petite fille aux boucles blondes et au regard bleu. Le portrait de son papa cette petite.

_ Teresa, je te présente ma fille, Tessa.

Lisbon releva la tête et croisa le regard de Jane. Les larmes se tenaient également au bord de ses yeux. La jeune femme fut touchée qu’il ait donné son nom à sa fille. Cela voulait dire qu’il avait quand même encore un peu d’amour pour elle.
Ensuite, Jane se retourna et fit signe à la jeune femme qui se tenait derrière lui d’approcher.

_ Je te présente également ma compagne, Kristina. Ma chérie, tu te rappelles de Teresa?
_ Oui mon amour je m’en souviens. Teresa, je suis ravie de vous voir enfin réveillée.

Lisbon n’avait pas bougé depuis l’annonce de Jane. Comment se faisait-il que Jane se soit mis en couple avec la femme qu’il détestait le plus au monde, ce ne pouvait pas être possible. Mais plus elle le regardait et plus elle se rendait compte qu’il l’aimait, tout comme elle aimait l’homme qui avait été sien des années plus tôt. La jeune femme était jalouse de la médium, de la vie qu’elle avait avec Patrick, des enfants qu’ils avaient ensemble, de l’amour qu’ils portaient l’un à l’autre. L’autre femme avait la vie qu’elle aurait dû avoir, et elle avait du mal à s’y faire. Elle songeait alors que rien ne pouvait être pire pour elle et que son réveil était une erreur, il fallait qu’elle remédie à ça, qu’elle change les choses pour elle. Elle observa le couple encore un moment puis se retourna vers la fenêtre. Jane devait partir, et emmener sa famille avec lui et surtout il ne devait jamais revenir. Elle ne le supporterait pas. Elle l’aimait trop pour le voir avec une autre mener la vie qu’ils voulaient avoir ensemble des années plus tôt.

_ Je crois que nous allons te laisser Teresa. Je suis ravie de t’avoir revue.
_ Moi aussi.

Mais le mentaliste sentait bien que ce n’était qu’à moitié vrai. Il pouvait entendre les sanglots dans la voix de la jeune femme et ça lui brisait le cœur. Il s’approcha du lit et posa sa main sur l’épaule de son ancienne patronne. Celle-ci, d’un mouvement sec, se dégagea de sa main et ne daigna même pas le regarder. Jane comprit alors qu’il lui avait brisé le cœur en venant avec sa famille. Mais il ne pensait pas qu’elle se réveillerait précisément ce jour-là.
Il se pencha au-dessus de la jeune femme et lui déposa un tendre baiser sur le front. Il s’approcha de son oreille et lui souffla de façon à ce qu’elle soit la seule à l’entendre.

_ Je t’aime toujours Teresa et jamais je ne pourrais t’oublier mais pour ton bien je ne reviendrais jamais.


Puis il se redressa et rejoignit sa famille qui l’attendait dans le couloir. Il se retourna une dernière fois vers la jeune femme puis il quitta la chambre et l’hôpital pour ne jamais y revenir. Il allait souffrir de cette séparation définitive mais c’était ce qu’il avait de mieux à faire, pour elle et pour lui. Si jamais il la revoyait, alors il ne serait pas en mesure de rester fidèle à sa femme, car son amour pour Lisbon n’avait pas disparu, au contraire, au cours des années écoulées il s’était renforcé et même s’il était à présent marié et père de famille, il se rendait bien compte qu’il n’aimait pas sa femme autant qu’il aimait son ancienne patronne. Mais il voulait laisser une chance à son couple, une chance de trouver l’amour qu’il s’était promis de lui donner et la vie de rêve qu’il souhaitait pour ses enfants.
Il marcha sur le parking, monta en voiture et ne se retourna même pas lorsqu’il quitta le parking. S’il l’avait fait, il aurait vu la jeune femme tomber d’une fenêtre du cinquième étage. Il aurait vu la détresse de celle qu’il avait aimée avant et qu’il aimait toujours. Mais il n’avait rien vu de tout ça et il était reparti chez lui, accompagné de sa famille pour y mener une vie qu’il savait ne jamais être celle qu’il aurait pu avoir avec Teresa Lisbon.




Alors, vous aimez??


Chapitre 5

AAARGH NON PAS K!!!!!!!!!!!!!

Ma pauvre Lisbon C'est trop triste, décidément tu aimes bien nous torturer

C'est trop bien écrit en tout cas

VLS

c vrai c super bien écrit par contre c aussi super triiiste pauvre Lisbon

mais sa va sarranger pas vrai jespere vraiment en tout cas

quoi qu il en soit vivement la suite

Ca te va comme réponse.


En passant, je veux bien la suite

vives réactions, et oui je suis une sadique
mais la suite arrive bientôt il faut juste que je l'écrive
Si tout va bien ce sera demain

C'est un cauchemars, dit moi que c'est un cauchemars!!!!!

NON PAS K Je VEUX un smiley avec une balle dans la tête

VLS

non c'est pas possible

pleurez pas les filles, faut pas sinon je vais pleurer moi aussi
j'écris vite la suite promis je vais le faire maintenant rien que pour voir des sourire sur vos visages, virtuellement bien sure
allez au boulot , a plus tard

bon ben je crois qu'il faut vraiment que je fasse vite sinon je sens qu'une armée anti k va débarquer chez moi