Vous avez un mess@ge ^

Ouahhh on peut dire que tu ne plonges aisément dans la folie de cette addison. On suit le cours de ses pensées comme si on était dans son esprit tortueux.

Bravo donc!

Pour ce qui est du "mensonge", ne serait-ce pas parce que ce n'est pas Rigsby le père mais un certain Jane?

J'ai quand même du mal à imaginer Jane tromper Lisbon....

Merci Johel, d'être toujours fidèle au poste. Je sais à quel point je suis difficile à suivre par moment.
Malgré mes efforts pour ne pas partir dans tous les sens, il m'arrive de déraper.

Merci et bienvenue sur ma fic, mococoa, je suis contente que tu apprécie cette histoire.

Là tout de suite, je suis entrain d'écrire la suite. Normalement, j'essayerais de la poster ce soir ou demain. Je vais faire de mon mieux.

De rien Lilia et surtout, merci à TOI!!!

Prends ton temps, tranquille, et nous on attend la suite.

Bon cette Addison n'est pas seulement folle elle a carrément péter un cable!! Mais c'est quoi ce "Mensonge"?? Elle ne serait pas enceinte?? Alors là elle serait mûre pour l'asile! C'est encore Rigsby qui va écoper...Trop hâte de voir la suite!!!!

Juste un truc elle est enceinte ou pas alors ???? hâte de savoir :)

Merci Caroline et Roxy!!!
Et voilà la suite, fraîchement écrite!!

Chapitre 22

Addison déverrouilla la porte, essayant de maîtriser ses nerfs. Son ami étant fin psychologue, elle devait se tenir sur ses gardes, afin qu'il ne détecte rien d'étrange dans son attitude ou dans son regard. Jane était bien plus doué qu'elle dans cette discipline, c'était bien ce qui était délicat.
Elle tardait à ouvrir, la main crispée sur la poignée. Le beau blond s'impatientant, tambourina à la porte en l'appelant.
Ayant retrouvé un calme relatif, elle fini par ouvrir. Jane se pencha sur elle pour l'embrasser sur la joue.
Addison: "Qu'est-ce que tu fais là?"
Ces mots dénotaient une froideur déconcertante, ce qui le mit mal à l'aise.
Jane: "Whou, il fait frisquet par ici."
Addison: "Excuse-moi. Ca doit être les hormones qui me perturbent."
Jane: "J'ai connu ça avec Angela."
Il la regarda plus attentivement.
Jane: "Cela dit, elle était beaucoup moins à cran que toi."
Elle ne quittait pas sa montre des yeux, se rongeant les ongles.
Jane: "Tu attends quelqu'un peut-être?"
Addison: "Oui, alors dis ce que tu as à dire et va-t-en. S'il te plait."
Jane: "Bien. Je suis venu te faire une proposition."
Il souriait, plutôt flatté par la réaction de son amie qui n'avait pas réussi à maîtriser le rouge qui lui colorait les joues. Comme pour l'embarrasser encore plus, il s'installa à côté d'elle. La proximité de cet homme n'arrangeait rien à son cas et pire, amplifiait cette sensation désagréable pour elle. Addison le trouvait séduisant mais ça s'arrêtait là. C'était une réaction purement chimique. Il en était conscient et s'en amusait. Elle se leva pour aller boire un verre d'eau et se rafraîchir le visage. L'effet que Patrick avait tendance à produire sur elle, ces derniers temps, était des plus inconvenant et particulièrement inapproprié. Le consultant la rejoignit.
Jane: "Ca va Addi? Je suis désolé si je t'ai mise mal à l'aise. Je voulais plaisanter, c'est tout. Pour détendre l'atmosphère."
Malheureusement cela produisit l'effet inverse sur elle.
Addison ironique: "Bravo, c'est réussi. La prochaine fois, tu sera gentil de t'abstenir."
Jane: "Message reçu. Je ne recommencerais pas."
La tension étant retombée, le mentaliste fit part de sa proposition de travail, à la jeune femme. Mais elle préféra la décliner, prétextant ne pas vouloir mêler sa vie privée et sa vie professionnelle. Elle était mariée à un agent du CBI et refusait que des divergences d'opinion, à propos du bureau ne vienne empoisonner leur couple.
Jane: "Regarde Térésa et moi, on bosse ensemble et ça ne pose pas de problème."
Addison: "Ah oui. Epouse-la et on reparlera des relations de couple dans le travail. Ok?"
Elle tentait vainement de trouver un moyen pour l'inciter à quitter l'immeuble au plus vite. L'interphone la sortit de ses pensées.
La voix de l'agent en faction se fit entendre: "Mme Rigsby, le Dr Dickins est arrivé."
Addison, le doigt sur l'interphone: "Faîtes-le entrer."
Jane: "Le dr Dickins? Tu es malade, c'est le bébé?"
Addison: "Je ne suis pas malade et le bébé va très bien.Tu ferais mieux de partir."
Jane: "Je sais. Mais je voudrais rester si tu veux bien."
Addison répondit sèchement: "Non."
Le consultant ne tergiversa pas plus longtemps et s'éclipsa. Il s'amusait de la gêne de la jeune femme à son encontre. Il l'avait taquinée et un peu trop peut-être. Son seul et unique but était de lui faire oublier ses tracas et surtout son angoisse à l'approche de la pleine lune. Il traversa l'interminable couloir et croisa la fameux Dr.
Jane: "Bonjour. Dr Dickins."
Le Dr: "Mr Jane! Ravi de vous revoir. Vous partez déjà."
Jane: "J'ai été ravi moi aussi."
L'échange fut bref et d'une platitude effarante. Le consultant s'écarta pour lui laisser le passage. Comme à chaque fois qu'il rencontrait quelqu'un, il observa l'homme s'avancer vers l'appartement. Puis, il se retourna et jeta un oeil au registre des visiteurs. Un détail l'avait intrigué. Si le médecin venait pour ausculter Addison, où était sa sacoche. Sa mauvaise impression s'accentua à la lecture du registre. La signature du Dr était trop lisible à son goût. Malgré tout, il se dit que son imagination lui jouait des tours et quitta l'immeuble.
Pendant ce temps, Dickins s'était introduit chez la jeune femme, avant même qu'elle lui ouvre. Elle avait volontairement omit de repositionner le verrou, après le départ de Patrick. Dickins entra et referma derrière lui, bloquant la porte sans qu'Addison ne s'en aperçoive.
Addison, revenant de sa chambre: "Vous m'avez fait peur."
Dickins: "Bonjour! Alors, que vous arrive-t-il Mme Weaver? Oh pardon, Mme Rigsby."
Addison: "Vous avez lu le journal de ce matin, à ce que je vois."
Il s'approcha de plus en plus, un couteau dans sa main, caché dans son dos.
Dickins: "Vous tremblez Addison."
Elle reculait à chaque pas qu'il faisait dans sa direction, jusqu'à s'adosser à un tiroir, qu'elle ouvrit avec la plus grande discrétion. Elle en sortit un pistolet qu'elle dissimula dans son dos. Il ne cessait de se rapprocher de la jeune femme.
Addison: "Ce n'est pas grave, un peu de stress. Je pense que je me suis affolée un peu vite."
Elle souriait d'une façon forcée.
Dickins soupira: "Ah, Addison, Addison. Pourquoi avoir renvoyer Patrick Jane? Tout aurait été parfait cette fois-ci."
Il jouait avec son couteau, le faisant rouler dans ses mains.
Dickins: "Vous savez, je ne suis pas le monstre que vous imaginez. Je ne voulais pas vous séparer de votre mari Riley. Je voulais que toute votre famille soit réunie, vous, votre enfant et son père. J'avais tout préparé, mais il a fait une erreur. Je regrette pour votre amie Linda, elle n'aurait pas du mourir."
Addison articula péniblement: "Qu'est-ce que vous cherchez? Qui est ce "il"? Votre complice?"
Elle était terrorisée intérieurement, elle avait pensé que ce serait plus facile que ça de tuer cet individu. Mais elle était comme paralysée, incapable de faire un geste et encore moins de l'abattre. Ce n'était pas la seule raison de ce blocage. Elle avait besoin de réponse, et notamment de l'identité de celui qui commettait ces atrocités sur l'ordre du Dr Dickins.
Dickins: "Oh un complice, quel vilain mot. Mon partenaire n'est plus d'actualité. Il a eu ... un regrettable accident, juste après votre rencontre. Votre nouveau mari l'a blessé d'une balle dans la cuisse. Il m'a supplié de l'aider. C'est ce que j'ai fait en mettant fin à ses souffrance."
Rigsby n'avait eu aucun souvenir de ce qui s'était passé le soir de cette agression et donc personne ne savait que le "tueur de la pleine lune" était mort ce soir là.
Dickins poursuivit son récit: "Vous n'avez pas idée du temps qu'il m'a fallut pour dénicher un partenaire comme lui, pour le former. Lui apprendre a éliminer des familles en suivant un schémas rigoureux. Je vais devoir tout reprendre à zéro, recruter quelqu'un d'autre. Tout ça c'est de votre faute."
Jane, au volant de sa DS, avait repris la route, mais son intuition le poussa à faire demi-tour, offrant sans le savoir le scénario idéal, au psychopathe.

Il n'y a rien à faire, je coince toujours sur Jane père de l'enfant d'Addison quand j'ai vu mensonge j'ai espéré...mais Bon le médecin confirme alors
Le moment du face à face est arrivé, Addison qui a peur et Jane qui fait demi tour pour l'affrontement final ?
Que nous réserves tu pour la suite

donc Jane est bien le père du bébé je crois que c'est foutu pour le Jisbon sauf si tu trouve un moyen de rattraper ça
en attendant, Addy est mal barré dans cette histoire, maintenant espérons que Jane va revenir et que, en passant, il prévienne les autres
VLS............. :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:

Aaaaaaaaaaah! C'est cruel de couper là!!! Mais bon je fais la même chose alors ^^ Allez vite la suite!

J'aime pas trop trop l'excès de sollicitude qu'a Jane envers Addison (je l'aime pas trop non plus celle-là...).

Elle est où Lisbon????

Sinon, ben évidemment, je veux la suite!!!

Jle sens pas bien pour Addison bizarrement
Elle a trop peur et Jane est parti
faudrait qu'il previenne les autres
bref VLS !!!

Merci à toutes!! Pas d'affolement, j'ai jamais dit texto que Jane était effectivement le père.
Ca serait un peu trop facile, mais vous le saurez bientôt.
Voilà la suite... Pour les prochains chapitres il faudra peut-être attendre un peu, probablement vendredi ou samedi.

Chapitre 23

Alors qu'il se garait, sur le parking, au bas de l'immeuble, il reçut un appel: "Lisbon".
Il l'a redirigea vers la messagerie, puis monta au dernier étage. Il sentait que le Dr Dickins n'était pas venu pour une simple visite. En avançant jusqu'au garde, il ne pu que constater, à sa posture, que quelque chose clochait. La plaie sur son cou et son bureau maculé de sang répondirent à sa question. Sans perdre de temps, Jane couru jusqu'à l'appartement où il frappa en criant: "Addison! Ouvre cette porte! Addison!! Dickins, je sais que vous êtes là."
Le consultant était tellement paniqué qu'il ne pensa même pas à prévenir la police. Il n'avait qu'un but entrer dans cet appartement.
Dickins s'adressant à la jeune femme: "Hum! Je crois que finalement le tableau va être parfait."
Il allait déverrouiller la porte, quand elle dirigea son arme sur lui.
Jane entra et reçut des projections de sang sur sa chemise. Dickins s'écroula au sol, à peine vivant.
Le mentaliste s'accroupi au-dessus du dr, mortellement touché. La balle avait traversé lui perforant le foie.
Dickins balbutia: "Félicitation Mr Jane."
Il rendit son dernier souffle dans un sourire narquois, laissant le consultant interloqué par ces ultimes paroles. Il se releva ensuite, pour voir Addison tenant son arme encore fumante. Il la lui pris des mains, puis la serra dans ses bras.
Jane: "Il ne t'a pas fait de mal, tu vas bien?"
Elle était toute tremblante contre lui.
Addison: "Ca y est Patrick, c'est fini. Il ne fera plus souffrir personne. J'ai réussi Patrick, j'ai mis un terme à tout ça. Ca a marché."
Le blond se décolla d'elle pour la regarder dans les yeux.
Jane: "Tu avais orchestré sa mort, c'est ça! Oh non! Tu l'as abattu de sang froid?"
Elle lui sourit, un sourire qui ne nécessité pas d'autre précision.
Jane: "Mon dieux Addi, qu'est-ce que tu as fait?"
Addison: "J'ai fais ce que je devais faire. J'avais pas le choix. Quelqu'un devait l'arrêter."
Il la serra encore plus fort. Il ne la blâmerait pas, elle avait prémédité son geste mais c'était pour sauver sa propre vie et celle de son bébé, mais aussi celle de Jane.
Jane: "Je dois prévenir la police."
Il rappela Lisbon mais interrompit la communication en croisant le regard de son amie.
Il avait besoin de réfléchir à ce qu'il convenait de faire en pareilles circonstances. Il y avait plusieurs facteurs à prendre en considération.
Addison: "Qu'est-ce que tu attends? Appelle-les."
Jane referma son portable: "Pour leur dire quoi? Que tu as tiré dans le dos d'un homme qui ne te menaçait pas directement."
Addison: "C'était un assassin! Il n'a peut-être pas le sang des victimes du "tueur de la pleine lune" sur les mains, mais il a commandité ces meurtres. Il me l'a avoué."
Jane: "Sans témoin, ce sera difficile à prouver. Tu pourrais faire de la prison pour ça. Qu'est-ce qui t'a pris!"
Il était hors de lui.
Addison: "Je n'ai rien à me reprocher. Si je n'avais pas bougé, c'est toi qui serait étendu là, à sa place. Il est venu pour ça. Pour rectifier l'échec de son complice, à Santa Monica."
La dernière phrase de Dickins résonnait encore, dans la tête du mentaliste. Il en fit les déductions qui s'imposaient.
Jane: "J'en ai assez de tes secrets."
Il tournait dans la pièce comme un lion en cage.
Addison: "De quoi tu parles?"
Jane: "Dickins m'a félicité. Pourquoi?"
Addison: "Je n'en sais rien. Il était dingue."
C'est elle qui prévint la police, car Jane ne se décidait pas. Lorsqu'elle raccrocha, il vint près d'elle et son attention se porta sur le sol.
Jane, relevant la tête: "Addison, tu te sens bien? Tu ferais mieux de t'asseoir."
Il ne lui disait pas qu'il y avait du sang à ses pieds, pour ne pas l'affoler.
Addison: "Ca va. Je... (elle baissa les yeux) Oh non, pas encore."
La seconde d'après, elle se retrouva inconsciente, sur le tapis du salon. Jane lui évita de heurter la table basse avec sa tête.
Il n'avait pas réagit tout de suite, troublé par la présence du cadavre, dans la pièce.
Jane nageait en plein cauchemar, un cadavre dans le couloir, celui du Dr sur le seuil de l'appartement. Tout ceci ne le mettait pas dans les meilleures dispositions pour raisonner correctement. Et maintenant, le malaise d'Addison.
Il avait peur qu'elle perde ce bébé, à propos duquel il recommençait à douter de la paternité de Rigsby. Pourtant, elle lui avait soutenu que les résultats étaient formels.
Mais il aurait du se méfier lorsqu'elle ne lui avait pas laisser les voir.
Quelques instants plus tard, les sirènes de police et de l'ambulance résonnaient dans la rue. La jeune femme évanouie, fut transportée à l'hôpital.
Lisbon et son équipe étaient eux aussi sur les lieux. Rigsby n'avait pas prit le temps d'écouter les explications de Jane. Il avait sauté dans l'ambulance, tenant la main de son épouse.
Térésa, quand à elle, était furieuse et le fit comprendre clairement à son consultant.
Lisbon: "Jane!!! Qu'est-ce que c'est ce bordel? Vous avez fait très fort là! Comment je vais expliquer au procureur qu'un suspect est mort ainsi qu'un agent sans oublier que l'unique témoin de ce foutoir est à l'hôpital?"
Pour la première fois, depuis qu'il travaillait pour le CBI, Jane restait muet.
L'agent trouva cela des plus étrange et s'isola avec lui, dans une des pièces de ce vaste logement.
Elle le serra contre elle.
Lisbon: "Excuse-moi. J'ai eu peur quand j'ai entendu par la radio qu'un membre du CBI avait été tué. J'ai cru qu'ils parlaient de toi."
Jane: "Mais un homme est mort, un homme qui avait une famille probablement."
Lisbon: "Tu as raison, pardon."
Il glissa une main dans les longs cheveux bruns de Térésa, comme pour se rassurer à ce contact.
Jane: "J'ai fait une grave erreur. J'aurais du appeler le CBI au lieu de jouer le héros."
Lisbon: "Je ne peux pas te contredire. C'était stupide. Je te dirais bien de ne plus jamais refaire un truc de ce genre, mais je sais que tu ne pourras pas t'en empêcher.
C'est plus fort que toi."
Il l'embrassa sur le front, s'excusant encore de lui avoir causé une aussi grande frayeur."
Térésa: "Il vaut mieux qu'on rejoigne Rigsby et Addison. Je dois recueillir sa déposition. Et puis, la scientifique va nous mettre dehors pour examiner les lieux. Ils vont finir par connaître cet endroit par coeur."
Ils prirent donc la SUV pour s'y rendre. Mais avant de démarrer, Lisbon se tourna vers lui, espérant qu'il lui donne un baiser ou au moins qu'il lui offre un de ses sourires.
Mais il fixait la vitre, l'air préoccupé. Bien sûr, il était encore sous le choc de ce qui venait de se produire, mais il avait été exposé à ce genre de scène dans le passé. Il n'avait jamais réagit de cette manière, sauf sur les affaires liées à Red John.
Lisbon ne l'avait pas questionné sur ces évènements, préférant lui laisser le temps de se remettre.
De toutes façons, il lui fallait également attendre les résultats de la police scientifique qui démontrerait avec certitudes la culpabilité ou non, du Dr Dickins, dans le meurtre de l'agent. Pour ce qui était de son lien avec "le tueur de la pleine lune", là, elle aurait besoin des lumières d'Addison. Elle confia les recherches sur Dickins au soins de l'agent Cho. En temps normal, elle l'aurait demandé à Van Pelt, mais elle devait s'adapter.

étrange tout ça mais ça me plait

j'attend la suite

Au niveau de la grossesse c'est un peu confus, surtout quand on connait les problèmes d'Addison pour avoir des enfants...J'attend les explications pour ce point...même si apparemment on va avoir droit à une fausse-couche...
Dickins est mort...d'une balle dans le dos...finalement il semble que la dame a sa vengeance...
J'ai un peu de mal à voir comment va évoluer l'histoire...

L'action s'est carrément accélérée dis moi !
Le Doc mort, Addison vengée ( mais à l'hôpital )
Elle me fait un peu peur quand même, elle a des réactions un peu bizarres ...
Mais tout n'est pas fichu pour le Jisbon

Pourquoi je sens que le calme de la fin du chapitre ne va pas durer ?

Vls !

J'aime !
J'adore comment tu écris, je m'y crorais
VLS.

Merci beaucoup de votre indulgence les filles.
J'espère ne pas vous décevoir avec la suite qui devrait arriver en fin de semaine, à moins que je ne sois pas trop crevé en rentrant du boulot vendredi.

Prend ton temps
Moi j'ai la rentrée je te lirai plus le soir, mais je te lirai quand même !
Je sais, j'ai du mal à conjuguer le verbe lire..

Je maintiens ma théorie: Elle est fêlée cette Addi ^^ Supposons que le bébé n'est pas de Rigsby NI de Jane alors elle se serait fait inséminé de son défunt mari????? Bah quoi faut bien une théorie non lollllll

LA suite STP....aussitôt que tu es libre

Roxy!! Je suis tordu, c'est vrai, mais pas à ce point.
Merci de commenter!! Ca me fait toujours bien plaisir.

Voilà la suite...

Chapitre 24

A l'accueil de l'hôpital, le couple cherchait leur collègue, balayant la salle des yeux, sans succès. Lisbon avança près du bureau des admissions où on lui indiqua le service des soins intensifs. Elle fit signe à Jane de la suivre et ils traversèrent un long couloir qui rappelait au mentaliste, celui de chez Addison. Au bout de ce couloir, le jeune agent venait de ressortir de la chambre, la mine triste. Le consultant sentit son coeur s'emballer dans sa poitrine. Il en était certain, elle avait perdu le bébé. Il ralentit soudain, alors que Térésa avançait d'un pas rapide. Il s'arrêta pour observer l'expression de leur visage.
Rigsby semblait extrêmement ému et Lisbon le prenait dans ses bras. Cela était étrange de voir ce grand gaillard réconforté par ce petit bout de femme. Lorsqu'il releva la tête, il souriait. Jane se risqua alors à poursuivre son chemin jusqu'à eux.
Rigsby s'essuyant les yeux encore humides: "Je suis si soulagé que tu es été avec elle. Merci Jane. Je sais pas ce que j'aurais fait si elle avait encore eu à affronter une fausse couche. Ca l'aurait anéanti et moi aussi. Tu peux me demander ce que tu veux Jane."
Jane en toute modestie: "Tu n'as pas à me remercier. J'ai fait ce que je devais faire."
Rigsby: "Tu devrais aller la voir. Elle ne va pas tarder à se réveiller et j'ai peur qu'elle se mette à paniquer en se rendant compte qu'elle n'est plus à l'appartement."
Après lui avoir tapé sur l'épaule, Jane s'apprêta à passer la porte, essayant de ralentir sa respiration qui s'affolait tout à coup.
Il s'approcha du lit, elle dormait toujours. Il regarda par la baie vitrée qui donnait dans le couloir. Lisbon conduisait Rigsby à la cafétéria pour prendre un café et discuter.
A force de côtoyer Patrick Jane, elle avait changé de caractère. Elle était devenu plus ouverte aux autres, et apportait spontanément du soutient à ses amis. Non pas que ce n'était pas déjà en elle, mais Patrick le faisait ressortir.
Pendant que Térésa tenait compagnie à son collègue, qui lui dévoilait ses craintes de ne pas être à la hauteur dans son rôle de père, Jane était assis, au chevet d'Addison.
Lorsqu'elle sortit enfin de son état léthargique, elle distingua, dans le brouillard de ses yeux encore ensommeillés, le visage de son ami.
Jane, posant une main sur son front: "Salut. Tu m'as fait... heu... Tu nous a fait une de ces peurs."
Elle remarqua les murs blancs, si familier, même trop, et la perfusion à son bras.
Addison: "Ne me dis pas que je suis encore à l'hôpital."
Soudain, elle se rappela et paniqua, une main sur son ventre.
Addison: "Le bébé!"
Jane: "Calme-toi. Il va bien, il est toujours là."
Il joignit le geste à la parole en recouvrant la main de la jeune femme avec la sienne.
Addison lui sourit: "Toi aussi, à ce que je vois."
Il retira aussitôt sa main, sans répondre. Il était évident pour lui que c'était son devoir de s'inquiéter pour cet enfant, tant qu'il n'aurait aucune certitude avérée à son sujet.
Addison, surprise de ne pas être entravée: "Pas de menottes? J'en déduis que tu n'as pas encore parlé à Lisbon."
Jane: "J'ai beaucoup réfléchi à la situation, tu sais. Tu as pris la décision qui s'imposait, sur le moment. Je te dois la vie."
Addison: "Donc tu appuieras la thèse de la légitime défense?"
Il hocha la tête. Le silence reprit possession des lieux. Un silence assourdissant.
La jeune femme sentait que son ami avait quelque chose d'autre sur le coeur, quelque chose qui le consumait de jour en jour.
Addison se redressa dans le lit: "Patrick. Il y a autre chose, n'est-ce pas? Je n'aime pas cette tension entre nous."
Après un instant d'hésitation, il se décida.
Jane: "Il faut vraiment que je sache. Et cette fois, je veux la stricte vérité. Même si ça doit bouleverser nos vie, ainsi que celles de Rigsby et Térésa. Qui est le père de ton enfant?"
Addison, les larmes aux yeux: "Tu veux la vérité. Je n'en sais rien. Voilà la vérité. Les analyses ont établi la date approximative de sa conception."
Elle marqua une pause, sous le regard impatient du mentaliste.
Jane: "Je ne vois pas quel est le problème. Qu'est-ce que tu entends par ce "je n'en sais rien"? "
Addison: "Le problème, c'est que le matin avant notre soirée et notre "erreur", Wayne et moi, on a... Enfin pas besoin de te faire un dessin. Ca c'est passé comme ça. Je n'avais pas pris de précautions ce jour-là. Ni avec lui ni... avec toi."
Elle baissa les yeux.
Jane excédé: "Soit plus claire."
Addison: "Tu as très bien compris."
Jane: "J'en ai bien peur."
Il passa sa main sur son visage, l'air déconfit. C'était un retour au point de départ. Il y avait au final 50 % de chance que Rigsby ou lui soit le père de cet enfant.
Addison: "Je sais que ça ne change rien, mais je suis désolée de te mettre dans cette position. Je voudrais revenir en arrière pour tout effacer."
Jane: "C'est impossible malheureusement."
Le silence revint à la charge, brisé par la jeune femme.
Addison: "Patrick, je veux que tu oublis cette histoire. Tu n'as rien à te reprocher."
Jane, n'était pas de cet avis et lui fit savoir sèchement.
Jane: "Pourquoi tu m'en as parlé à moi et pas à ton mari? Ce n'est pas d'une honnêteté sans borne pour une femme qui assure être follement amoureuse."
Addison: "Wayne est déjà suffisamment complexé par le fait de n'être que mon second mari. Il a peur que je le compare à Riley. Il n'a pas besoin de ça."
Le consultant lui donna raison, il connaissait son collègue et l'avait percé à jour, dès leur premier contact. Rigsby était un jeune homme peu sûr de lui, en particulier avec la gente féminine. Ses relations avec Van Pelt et à présent Addison, le confirmait. Il lui avait fallu du temps et du courage pour s'engager avec elle et elle ne voulait pas briser ça, à cause de ce stupide écart de conduite.
La médecin en charge de la patiente entra pour lui annoncer qu'elle pourrait sortir dès le soir-même. Son état n'était pas préoccupant et le foétus était en parfaite santé.
Addison: "Mais mon appartement a été mis sous scellés. Et je ne peux pas vivre dans un autre endroit."
Elle semblait s'affoler rien qu'à cette idée mais Jane su trouver les mots pour apaiser ses craintes. Lui-même s'était calmé, estimant que cela ne servait à rien d'accabler Addison, ça n'arrangerait pas la situation.
Jane: "Ca va aller. Tu iras t'installer chez ton mari."
Addison: "C'est ça! Résultat garantie, crise d'angoisse sur crise d'angoisse. Mais je n'ai pas le choix. Il va falloir que je m'y fasse."
En fin de journée, la jeune femme quitta l'hôpital pour le domicile de Rigsby. Malgré ses réticences, l'agent insista pour que Jane les accompagne afin de prévenir une éventuelle crise. Bien qu'elle trouve cela inutile, elle se plia au souhait de son époux toujours attentif au bien être de sa femme. Mais c'était plus pour le rassurer lui que elle.

Retour au point de départ...on ne sait pas qui est le père...à force c'est un peu
Addison qui continue dans le mensonge avec Rigsby et qui "plombe" la relation entre Jane et Lisbon
Et ce brave Rigsby qui n'a rien vu...
J'ai un peu de mal à voir ou tu veux en venir

Oui moi aussi je ne comprend plus très bien ^^

nous verrons bien en voyant la suite

Oui bien disons que ma théorie du bébé ne tiens plus....Quoique maintenant on est de retour à la case "Départ". Et Rigsby qui ne sait rien et qui ne voit rien....Je suis pas fan de Jisbon mais Teresa là-dedans?? Ok trop de questions...et ta fic est simplement géniale! Trop hâte de voir la suite

Cependant ma théorie qu'elle est n'est pas nulle alors je la maintiens lollllll

Merci encore pour vos commentaires!!!

Voilà la suite...

Chapitre 25

Après son séjour à l'hôpital, la future mère dut faire face aux conséquences de son acte, en répondant à une série de questions émanant de l'agent Lisbon.
Cette dernière lui précisa qu'elle avait droit à la présence d'un avocat, mais comme toujours, elle déclina cette proposition, ne voulant pas paraître plus coupable qu'elle ne l'était. D'autant qu'elle ne se considérait pas comme tel.
Addison adopta la version de la légitime défense, comme convenu avec Patrick. Lui-même lui avait offert son soutient dans ce sens et confirmerait ses dires si besoin était. Il était prêt à mentir pour la tirer de ce mauvais pas. Et puis ce n'était pas un mensonge à proprement parler puisque effectivement, le Dr Dickins les auraient tué tous les deux, sans hésitation.
Ayant obtenu les réponses d'Addison, Lisbon repartie de chez Rigsby pour se rendre au CBI, directement dans le grenier. Elle n'était pas convaincue par la version de la jeune femme et voulait maintenant, la version de son consultant.
Il était allongé sur ce qui faisait office de lit, le regard dans le vague. Lorsqu'elle entra, il se redressa d'un coup, pour lui faire face. Il savait pourquoi elle était là.
Jane: "Ma patronne préférée! Que puis-je pour toi? Un petit câlin peut-être?"
Il essayait de détourner la conversation qui s'annonçait tendue. Elle ne se déridait pas, pire, elle fronçait encore plus les sourcils.
Jane: "Ouh là! Ca a l'air sérieux. Qu'est-ce que j'ai encore fait pour te mettre en rogne?"
Lisbon: "Il faut qu'on parle de ce qui c'est passé chez Weaver. Je reviens de là-bas et j'aurais besoin que tu me confirme un certain nombre de choses. Je t'écoute, raconte-moi tout."
Jane, en menteur hors pair, étaya les déclarations d'Addison, mot pour mot.
"Lorsque je suis retourné à l'appartement, le Dr Dickins m'a ouvert et s'est avancé vers moi, un couteau à la main. Addison lui a tiré dessus, juste à temps."
Lisbon, septique: "C'est ça que tu diras à la barre si il y a un procès?"
Jane: "C'est la vérité. Pourquoi tu n'y crois pas? Qu'est-ce qui te dérange là-dedans?"
Lisbon: "Je vais te dire ce que je pense. Je pense que cette femme est capable de tout. Même de tuer un homme de sans froid par vengeance personnelle. Je pense que tu n'étais pas dans cet appartement. Et je suis persuadée que nous n'avons pas affaire à de la légitime défense, mais à une exécution en bonne et due forme."
Jane ne pouvant plus lui mentir: "Si tu as raison, et seulement si. Qu'est-ce que tu feras? Hein? Tu vas envoyer une femme enceinte derrière les barreaux? Tu veux vraiment la punir et qu'elle mette son enfant au monde, en prison? Tout ça pour avoir débarrasser la population d'une ordure qui aurait recommencé à la première occasion."
Lisbon: "Des tas de femmes accouchent pendant leur incarcération. Elle ne sera pas la première. Elle a tué un homme, elle doit purger une peine. Ca ne devrait pas être si terrible pour elle. Elle est déjà prisonnière de son appartement."
Jane: "Je ne te comprend pas Térésa. Tu ne réalises pas que si elle n'avait pas tué Dickins, nous n'aurions pas cette conversation. Je ne pourrais plus te prendre dans mes bras. Je serais mort. C'est grâce à Addison si tout cela est possible aujourd'hui. Alors je ne te laisserais pas la punir. Pas pour ça."
Ces derniers mots n'étaient pas anodins dans son esprit.
Lisbon campait sur ses positions: "Tu la défends en cautionnant ses agissements, parce que toi aussi tu t'es retrouvé dans le même cas. Tu as payé ta dette. Elle en fera autant. (elle pensa)Et d'ailleurs vu le monceau d'avocats qui l'entourent, elle ne sera peut-être même pas condamnée."
Jane: "C'était complètement différent. Quand j'ai appuyé sur la détente, dans ce centre commercial, ce n'était pas pour défendre la vie de quiconque mais par simple égoïsme. Ne t'en prend pas à elle pour me punir à cause de ce que je t'ai fait endurer ces quatre années. Ce serait injuste et cruel, pas seulement pour Addison mais pour Rigsby."
Cet échange plutôt mouvementé eu pour résultat de convaincre l'agent. Lisbon avait imaginé ce que vivrait ce brave Rigsby si cela se produisait. Il serait brutalement séparé de celle qu'il aime, tout comme Térésa l'avait été de l'homme qui faisait battre son coeur. Elle repensa à toutes ses nuits sans sommeil à s'inquiéter pour lui, à pleurer pour lui. Non, décidément, Jane avait raison. Wayne était fort, mais il n'aurait pas les épaules assez large pour résister à ça. Elle décida de lui épargner cette épreuve en ne contre disant pas la déposition des deux témoins. Des preuves accablantes avaient été recueillis au domicile du suspect. Ajouté à cela le couteau ayant servi au meurtre du gardien, recouvert de ses empreintes, suffirent à classer le dossier. La vie pouvait à présent reprendre son cours.
Cela faisait bientôt quatre mois que Wayne et Addison Rigsby vivaient sous le même toit, chez l'agent.
Tout se déroulait à merveille. Leur complicité était évidente entre ces deux-là. Ils passaient beaucoup de temps ensemble, dès que Rigsby avait un jour de congé il restait avec elle. Non par obligation mais parce qu'il en avait envie. Cela arrivait souvent car Cho lui proposait régulièrement de le remplacer lors des gardes de nuit, uniquement pour qu'il puisse être avec sa femme. Wayne appréciait de pouvoir vivre la grossesse de sa femme, à ses côtés, et de voir son ventre s'arrondir. Il aimait passer de longues soirées, blotti avec elle, sur le canapé, à dévorer du popcorn devant un film. Il aimait également et depuis quelques temps, se promener avec elle, dans le parc. Car oui, petit à petit, il l'avait réconciliée avec l'extérieur et débarrassée de sa phobie. Ce n'était pas uniquement du au fait d'avoir éliminé le responsable du décès de Riley mais bien grâce à Wayne Rigsby, son mari.
Il l'aimait sincèrement et il espérait qu'avec le temps, elle aussi, ressentirait un amour aussi fort pour lui. Il n'était pas certain que pour l'instant, ce soit le cas. Mais il était prêt à attendre le temps dont elle aurait besoin. Elle lui avait dit "je t'aime" une seule fois et ces mots étaient amplement suffisants pour qu'il ait confiance en elle.
Un matin, avant de sortir de la douceur de ses draps, le jeune homme, allongé près de son épouse, s'était tourné face à elle. Il la regardait dormir. Elle ouvrit les yeux.
Wayne souffla: "Salut toi." Avant de venir déposer un baiser sur ses lèvres.
Addison: "Tu n'es pas encore parti?" Dit-elle en étirant ses bras qu'elle laissa retomber sur les épaules de son mari.
Wayne: "Il n'est que 7h, tu es si pressée que je m'en aille?"
Addison: "Bien au contraire."
Elle l'attira vers elle. Visiblement, ce n'était pas pour discuter.
Wayne: "Toi, tu as une idée derrière la tête."
Addison: "Hum, et pas qu'une."
Il l'embrassa puis se releva un peu, la dévisageant.
Addison: "Tout va bien Wayne?"
Il l'enlaça, ce qui valait toute les réponses du monde.
Après ce moment d'intimité, mari et femme se séparèrent, un peu à contre coeur. Le jeune homme quitta le lit conjugal pour se préparer à rejoindre le bureau. De retour de la salle de bain, il prépara un petit déjeuner qu'il disposa sur un plateau destiné à la jeune femme. Il l'apporta dans la chambre. Elle se redressa en le voyant entrer.
Addison: "Oh Wayne, tu ne devrais pas te donner autant de mal, tu es un amour."
Wayne: "Je veux m'assurer que tu manges quelque chose."
Addison: "J'aurais bu un déca. Il faut que je fasse attention à ne pas devenir une baleine. Regarde ça, bientôt je ne verrais plus mes pieds."
Elle plaqua le drap autour de sa taille, laissant apparaître la boule que formait son ventre.
Wayne posa sa main dessus en souriant: "Tu es superbe Addison."
Addison avec une légère moue boudeuse: "Ouais bien sûr."
Wayne: "Je suis sérieux Addi. Tu es la femme de ma vie. Je sais que je ne suis pas l'homme de ta vie mais j'espère le devenir un jour."
Addison, touchée par son émotion, ne pu s'empêcher de le retenir par le bras. Elle se leva, enveloppée dans le drap.
Addison: "Tu l'es déjà Wayne. Même si j'ai du mal à te le montrer parfois."
Il leva les sourcils, en raclant sa gorge.
Addison: "Bon d'accord, souvent."
Ils se sourirent, elle réajusta sa cravate et il partit. L'après-midi, le couple avait rendez-vous pour un échographie. Ils ne connaissaient pas encore le sexe de leur enfant, ils le sauraient ce jour-là. Le seul ennui pour Addison, était qu'ils auraient à faire à un radiologue nouveau en ville. Même si elle était guérie, elle gardait une appréhension quand à rencontrer des étrangers. C'était idiot, elle le savait. Mais peut-être pas tant que ça.

Ooooooh! Mais c'Est mignon tout ça! Mais quelque chose me dit que ce n'est pas tout.....