Vous avez un mess@ge ^

Toujours aussi bien

Merci, Caroline, Johel et Alamanga!!!
Johel, tu sais le nom du tueur n'est pas bien mieux que John le Rouge, qui donne bien plus en anglais, donc je pourrais le rebaptiser "full moon killer"!!

Voilà la suite...

Chapitre 13

Le jeune agent, ayant recueilli quelques informations, retourna au CBI, pour les transmettre à l'équipe. Ils se penchèrent sur ces nouveaux éléments, jusque tard dans la nuit. Si bien que le temps de rassembler quelques affaires, l'agent arriva dans le hall de l'immeuble, vers 2h du matin.
Le gardien de nuit lui ouvrit et le laissa entrer avec sa valise.
Il le salua: "Agent Rigsby, vous emménagez?"
Rigsby: "Ce n'est que pour quelques jours, ou peut-être plus, si Mme Weaver me supporte."
Le gardien: "Vous êtes le seul qu'elle ait autorisé à rester toute une nuit. C'est bon signe, à mon avis. Mais ça ne me regarde pas."
Rigsby: "Oui, il me semble aussi."
Cette dernière remarque déplu au plus haut point à Wayne. Il trouvait que cet homme était bien curieux.
Le jeune homme monta au dernier étage, se pliant encore et toujours aux mêmes vérifications, car les équipes de surveillance tournaient régulièrement, ne se retrouvant pas aux mêmes étages.
Arrivé à destination, la jeune femme lui ouvrit, non sans surprise, teintée de gêne. Elle avait espoir qu'il changerait d'avis. Mais il était là, à présent, et allait devoir faire avec. C'est elle qui avait engendré cette situation en participant à ces enchères. Le fait est qu'elle n'avait pas eu l'intention de renouer avec Rigsby, pas comme il le croyait lui. Pour elle, ce n'était que pour une nuit, mais les choses s'étaient enchaînées sans qu'elle puisse avoir le moindre contrôle dessus. Elle avait fait une erreur en lui donnant de faux espoirs et elle devait assumer cette erreur.
Addison: "Wayne."
Rigsby se pencha pour l'embrasser, mais ce baiser atterrit sur la joue de son amie.
Il n'y fit pas attention et se dirigea vers la chambre avec son sac.
Addison: "Je peux savoir ce que tu fais?"
Rigsby: "Je range mes affaires, pourquoi? C'est pas ce qu'on avait dit? Je croyais que tu étais d'accord."
Addison: "Que tu restes chez moi, oui. Mais, heu..."
Rigsby: "Oh. Je vois. Je prend la chambre d'amis."
Il le cachait mais elle sentait bien qu'il y avait un malaise dans l'air. Elle le conduisit au bout du couloir où il pu défaire sa valise.
Addison: "Je suis désolée, si tu as cru que... Enfin, j'veux dire..."
Le grand brun s'approcha d'elle.
Rigsby: "Ne t'excuse pas, je comprend tout à fait. Tu as besoin d'espace et je respecte ça. Y a pas de soucis."
Il voulu l'embrasser à nouveau mais essuya un autre refus, elle fit un pas en arrière, baissant le regard.
Addison: "Je vais me coucher. Surtout fait comme chez toi. bonne nuit."
Dans sa chambre, elle se connecta avec Jane, mais en utilisant son clavier cette fois, pour ne pas être surpris par son colocataire temporaire.
Addison: "Vous êtes là?"
Depuis son motel, le mentaliste répondit aussitôt, comme s'il attendait cet appel.
Jane: "Salut! Pas de caméra aujourd'hui?"
Addison: "Je ne suis pas seule."
Jane: "Hum! Rigsby, j'imagine. Félicitation, vous vous installez ensemble."
Addison: "Pas exactement. Je lui ai laissé la chambre d'amis. Il a tenu à jouer les gardes du corps. Ca doit être le syndrome du bon samaritain."
Jane: "Je crois qu'il est tout simplement amoureux."
Addison: "C'est aussi ce que je crois, malheureusement."
Jane réalisant ce qu'il avait lu un peu plus tôt: "Une minute. Il ne dort pas avec vous? Mais pourtant, c'est vous qui avez repris contact. Je ne vous suis pas."
Addison: "J'ai fait une erreur. Je voulais vérifier si quelque chose était possible entre Wayne et moi. Mais je me suis trompée."
Jane: "Comment ça? Il est amoureux non?"
Addison: "Lui, oui. Comment je vais faire, comment je peux lui dire que je ne l'aime pas. Ca va lui briser le coeur. Tout est de ma faute. Je n'aurais pas du laisser les choses dégénérer."
Jane: "Vous ne devriez pas vous accabler. On ne choisi pas ses sentiments. Dîtes-lui la vérité."
Addison: "Si je fais ça, je le ferais souffrir. Il ne mérite pas ça. Je ne veux pas lui faire de mal."
Jane: "Je dois vous poser la question."
Addison: "Quelle question?"
Jane: "Est-ce que ça a un rapport avec le baiser de l'autre jour?"
Addison: "Vous vous donnez trop d'importance Mr Jane. Non, ça n'a rien a voir."
Jane: "Dans ce cas, vous devriez faire un essaie avec Rigsby. Il y a bien quelque chose qui vous a attiré en lui, la première fois. Concentrez-vous sur ça."
Addison: "Je doute que ce soit suffisant. Je me sentais en sécurité avec lui mais il n'y a pas ce petit plus, cette étincelle qui fait que vous avez envie d'être avec une personne à chaque seconde."
Jane: "Vous le ressentirez à nouveau, je vous le garantie."
Addison: "Comme l'agent Lisbon avec vous. Dire qu'elle a failli devenir ma belle-soeur, et maintenant, elle est presque la future femme de mon meilleur ami."
Jane: "Nous n'en sommes pas encore là. Je sens de l'amertume dans vos paroles Adi."
Addison: "C'est rien, une petite déprime. Mais ça passera, ça passe toujours. Bonne nuit."
Elle se déconnecta, submergée par un flot de remords, de regrets et de culpabilité.
Si elle n'avait pas travaillé tard ce soir-là, il y a quatre ans, elle serait morte avec son mari et elle ne se retrouverait pas seule aujourd'hui. Cette pensée revenait régulièrement et plus souvent ces derniers temps. Riley lui avait pourtant demandé avec insistance de cesser son travail avec la police, pour aller vivre à Boston. Elle avait reculé l'échéance de leur départ, jusqu'à finir par le convaincre de rester à Santa Monica. Ils étaient morts à cause de son carriérisme forcené.
Elle fini par aller dans le salon pour éplucher un album où elle avait regroupé les articles de journaux concernant l'affaire du sérial killer. Le sommeil eut raison d'elle au bout de quelques heures. Elle émergea, un instant à peine, avant que son ami ne débarque dans la cuisine, prêt pour le bureau.
Wayne: "Tu es déjà debout. Tu n'as pas dormi c'est ça."
Il tenta de la prendre dans ses bras, elle se prêta à cette marque d'affection mais demeurait tendue et y mit fin très vite.
Wayne, toujours très attentif: "Addison, il y a quelque chose qui cloche? J'ai fait un truc qui t'a contrarié? Pourquoi tu es aussi distante?"
Addison: "J'ai la tête ailleurs, c'est tout."
Pour donner le change, elle lui donna un timide baiser sur les lèvres.
Il aperçut les coupures de journaux sur la table.
Wayne: "Tu ne devrais pas te torturer avec ces mauvais souvenirs. Tu dois penser à l'avenir. Tu dois avancer et... Je voudrais t'y aider. On pourrait avancer ensemble."
Il tournait autour du pot mais malgré tout, la jeune femme sentait que cette conversation prenait une direction qu'elle voulait éviter coûte que coûte.
Addison: "Tu vas être en retard."
Il partit, un peu blasé par la froideur subite de son amie.
Au CBI, tout le monde était sur les dents, après la révélation de dernière minute, du témoin. Le coupable de ces crimes serait un policier ou bien un ex flic. Cela mettait tout le département mal à l'aise de devoir soupçonner un collègue. Mais lequel?
Rigsby se rendit dans son lieu de prédilection, l'open space, mais ne toucha pas au frigidaire. Il se contenta d'une bouteille d'eau et s'assit seul, à une table. Il était tourmenté par le comportement d'Addison, à son égard.
L'asiatique entra, le trouvant aphasique, ce qui ne lui ressemblait guère.
Cho: "Hey, ça y est tu as emménagé chez elle?"
Rigsby: "Si on veut."
Cho: "Explique-toi."
Rigsby lui expliqua qu'ils faisaient chambre à part et qu'elle n'avait jamais été aussi distante avec lui.
Cho: "Si t'es si inquiet pour elle, demande à Jane de lui tenir compagnie la journée, puisqu'il n'est pas sur l'affaire. Il a le temps."
Rigsby: "Ouais, je vais faire ça."
Il l'appela sur son mobile, mais le mentaliste avait déjà prit l'initiative d'aller chez Addison. Il était devant sa porte lorsqu'il répondit.
Jane: "Oui, Rigsby."
Rigsby: "Tu es chez toi?"
Jane: "Non, mais ce n'est pas grave. Qu'est-ce qu'il a pour ton service?"
Rigsby: "Ca te dérange de passer chez Addison Weaver? Je préfère qu'elle ne soit pas seule en mon absence."
Jane: "Bien sûr Wayne. Si ça peut te rendre service."
Rigsby, pensant qu'ils ne se connaissaient pas: "Ne lui dis pas que tu viens de ma part. Trouve autre chose. Je ne sais pas que tu as des questions à propos de l'enquête."
Jane: "T'en fais pas, je me débrouillerais."
Rigsby: "Je te fais confiance."
La porte s'ouvrit sur la jeune femme souriante, comme soulagée que ce soit Jane et pas Rigsby.

j'espère que cette addisson ne tombe pas amoureuse de jane ça serait affreux en tout cas cela m'intrigue beaucoup

j'attend la suite avec plaisir

Les noms des tueurs sonnent toujours mieux en anglais

Je ne sais pas pourquoi mais j'ai la nette impression que malgré ses dénégations Addison n'est pas indifférente au charme de Jane...Et le pauvre Rigsby risque de tenir la chandelle
L'enquête progresse peu...
Mais l'action devrait s’accélérer puisque la pleine lune arrive...
Je vais guetter la suite :bounce: :bounce: :bounce:

Merci les filles de prendre le temps de suivre ma fic, je fais ce que je peux pour trouver mes idées, mais c'est pas facile, j'ai l'impression que mon inspiration est un peu en panne en ce moment.

Chapitre 14

Le visiteur avait les bras encombrés de paquets dont elle le débarrassa. Elle l'aida à les déposer sur le comptoir de la cuisine. Ils n'avaient pas échangé deux mots appart bonjour, tellement Addison était prise au dépourvu. Elle le regardait sortir des ingrédients de ses deux sacs en papier, l'ai interloqué.
Addison: "Vous faîtes quoi là?"
Jane: "Quand je suis venu l'autre jour, j'ai un peu fureté dans vos placards et très franchement, vous vous nourrissez mal ou quasiment pas. Alors je vais remédier à ça."
Il est vrai que la jeune femme n'était pas très épaisse, un souffle d'air aurait pu la faire vaciller.
Addison: "C'est Wayne ou Walter qui vous a mandaté pour me surveiller, si je comprend bien."
Jane: "Non, pas du tout. J'étais déjà ici lorsque votre fiancé me l'a demandé."
Addison: "Wayne n'est pas mon fiancé, arrêtez avec ça! Quoiqu'il en soit, c'est très gentil à vous. Mais vous avez certainement mieux à faire que de perdre votre temps avec la névrosée de service."
Jane: "Ne dîtes pas n'importe quoi et asseyez-vous."
Il servit deux verres de vin et se mit aux fourneaux.
Jane: "Heu, vous avez droit à l'alcool?"
Addison lui vola le verre des mains en souriant: "Y a intérêt. Rassurez-vous, je n'ai pas pris de drogue aujourd'hui. Mais il est encore tôt."
Le visage du consultant blêmit.
Addison: "Je plaisantais. Détendez-vous Patrick."
Ils déjeunèrent donc ensemble, partageant des confidences sur leurs vies respectives. Jane se livrait bien plus qu'elle. Du coup, il en oublia son projet d'enquête personnelle, principalement dissuadé par Addison. Elle ne trouvait pas judicieux d'interférer dans les investigations du CBI. Le fait était qu'elle ne voulait surtout pas se replonger dans son passé douloureux.
Alors qu'il préparait le repas, la jeune femme prenait un malin plaisir à le taquiner en parole.
Addison: "Vous savez, pour n'importe qui, ça passerait pour une technique de drague votre attitude. Je parie que vous n'avez jamais cuisiné pour l'agent Lisbon."
Jane: "Détrompez-vous... Bon d'accord, je n'ai pas cuisiné mais on a pique-niquer au clair de lune, dans un parc. Qu'est-ce que vous dites de ça? Moi je suis sûr que Rigsby non plus n'a pas préparé de soirée romantique pour vous."
Elle avait un petit sourire en coin, satisfaite d'avoir enfin découvert son point faible. Dès que le nom de Lisbon était prononcé, Jane perdait ses moyens et rougissait.
Addison: "Si on doit se voir souvent, mettons les choses au point. Vous ne me parlez pas de Rigsby et je ne vous parle pas de Lisbon."
Jane: "C'est d'accord. Evitons les sujets sensibles. A moi de formuler une demande. On pourrait se tutoyer. C'est une chose qui se fait entre amis."
Addison: "Ok, ça me va."
Ils scellèrent cette résolution par une poignée de main, puis dégustèrent le plat à l'odeur alléchante qui fumait sur la table.
Les jours qui suivirent furent identiques à celui-ci. Chaque midi, le consultant venait chez Addison et ils passaient leurs journées dans cet appartement, à discuter, comme le feraient des amis et chaque soir, Rigsby prenait le relais. Tout se déroulait le plus simplement du monde, une vrai routine s'était installée.
Au CBI, l'enquête n'avançait pas d'un cheveux et cela devenait inquiétant, car la pleine lune se rapprochait inexorablement.
La veille du jour J, se déroula comme les précédents. A ceci près que ce jour-là, un léger détail troubla les habitudes de certains.
Jane était resté plus tard car les agents du CBI étaient sur le qui vive, étant donné la proximité de l'échéance. Rigsby ne rentrerait pas ce soir-là.
Evidemment, lorsqu'il se rendit compte qu'il serait retenu, il prévint son amie.
Jane décrocha: "Rigsby! Du nouveau?"
Rigsby: "Toujours rien. Hightower veut qu'on reste tous au QG cette nuit. Alors, je sais que je t'en demande beaucoup, mais..."
Jane: "Je reste avec Addison."
Rigsby: "Merci vieux. Tu peux me la passer?"
Jane: "Elle doit être sous la douche, je vais la chercher."
Il plaisantais et attendait la réaction de Wayne, qui ne se fit pas attendre.
Rigsby: "Quoi!"
Jane: "Je te faisais marcher. Elle est à côté."
Rigsby: "C'est pas drôle Jane."
Le blond facétieux, donna le combiné à la jeune femme.
Addison: "Salut Wayne. Alors vous en êtes où?"
Rigsby: "Au point mort. Heu, Addi, j'essayerais d'être là avant demain. Tu vas me manquer, je déteste passer la nuit loin de toi."
A sa façon de parler, cela induisait une réponse évidente, du type "moi aussi". Mais cela aurait été trop beau pour lui.
Addison: "J'espère que vous le coincerez. Bonne chance. A plus tard."
Wayne, dans une ultime tentative: "Je t'..."
La tonalité fut la seule réponse qu'il obtint, avant même d'avoir pu terminer. Quelques peu échaudé, il retourna à ses dossiers.
Cho: "T'as pu lui parlé?"
Rigsby: "Pas vraiment."
Cho: "Je le crois pas. Elle te fait peur ou quoi?"
Rigsby: "Non, mais c'est difficile."
Cho: "En quoi? C'est simple comme question."
Rigsby: "Simple! Elle est veuve j'te rappelle."
Cho: "Ca t'a pas empêché de coucher avec elle."
Rigsby: "Y a une différence entre passer la nuit avec elle et s'engager."
Cho: "Au fait vous faites toujours chambre à part?"
Rigsby: "Ca dépend des jours."
Cho: "C'est toi qui vois, fais comme tu le sens. Mais viens pas te plaindre si tu finis seul."
L'asiatique replongea dans ses dossiers, laissant son collègue à ses doutes. Il était bien plus préoccupé par la conduite à tenir avec Addison que par ses recherches sur le tueur, qui était susceptible de frapper incessamment.
Lisbon sortait du bureau d'Hightower, elle rejoignit ses deux collaborateurs.
Cho: "Patron, à quoi ça sert qu'on soit tous bloqués ici. Il ne se passe rien et on a aucune piste."
Lisbon: "Je sais que c'est frustrant, mais on ne nous laisse pas le choix. Le procureur vient d'appeler Hightower et il a exigé que le CBI se tienne prêt à intervenir à n'importe quel moment."
Rigsby: "Le procureur? Mais qu'est-ce qu'il a à voir là-dedans?"
Cho: "C'est un ami de Mashburn."
Lisbon: "Exactement. Les élections approchent et ça marquerait mal qu'un tueur en série déclenche la panique chez les citoyens de Sacramento. Sans compter que la soeur de l'un de ses principaux mécène est visée. Donc soyez patients messieurs."
Elle se tourna vers le grand brun.
Lisbon: "Rigsby, des nouvelles de Jane?"
Rigsby: "Tout se passe bien, rien à signaler. Jane ne quitte pas Mme Weaver de la journée."
Lisbon: "Tant mieux. Ne vous inquiétez pas pour votre amie. De toutes façons, la sécurité a été doublée et une patrouille en placée en bas de l'immeuble."
Le brun esquissa un sourire, appréciant l'effort de sa chef pour le rassurer. Elle le savait fragile dès qu'il était question de sa vie privée. Lisbon l'aurait écarté de l'enquête à cause de son implication personnelle avec le témoin, mais les effectifs étaient déjà réduits. Sans Van Pelt et Jane, elle avait été obligée de le garder sur ce dossier. Toutefois, elle était parfaitement consciente que cela serait dur pour lui. C'est pour cette raison qu'elle le ménageait plus que d'ordinaire.

De plus en plus intéressante cette histoire

dis moi que ça va bien se finir pour Jane et Lisbon ?

Jane qui fait la cuisine pour Addison...ça sent le roussi pour Lisbon...pardon, je n'ai pas pu m'en empêcher
La pleine lune qui est là, les agents coincés au CBI, Jane seul avec Addison...Je me fais des idées où tout est en place pour que le tueur frappe

je ne sais pas pourquoi mais je sens que le pire va arriver le tueur va frapper cette nuit et j'ai peur qu'il tente de s'en prendre à Addison
Lisbon ne se doute de rien, mais l'amitié entre Jane et Addi se renforce de jour en jour et, l a phrase de Jane quand il dit "évitons les sujets sensibles" ça veut dire que Lisbon est un sujet sensible? c'est pas bon ça.
Reste plus qu'à et à que le tueur s'en prenne pas à Addi et que le Jisbon ne soit pas en danger

Je vois que vous vous en posez des questions, dites-moi!!
Voilà un chapitre encore un peu calme mais le carnage que vous avez l'air d'attendre avec impatience ne va pas tarder!!!

Chapitre 15

Les deux amis passèrent la soirée ensemble, rien de très exceptionnel, dîner, discussion légère, puis ils somnolèrent dans le canapé, devant un film.
Ayant quelque peu abusé du vin, ils étaient à moitié endormis, chacun contre son accoudoir. La jeune femme se releva pour se servir un dernier verre.
Jane bafouilla: "Tu crois pas que ça suffit pour ce soir?"
Addison: "Je ne voudrais pas qu'il s'évente. Juste un petit dernier."
Elle bu une gorgée pendant que son ami répondait à un SMS de Lisbon.
Addison: "C'est ta copine. Elle doit crever de jalousie. En tout cas, à sa place, je te laisserais jamais passer une soirée avec une autre, ou même t'approcher d'une autre."
Jane: "On se fait confiance. Et elle sait qu'on est que des amis."
Addison leva son verre: "Je bois à ces bonnes paroles."
Elle reposa le récipient sur la table et eut un léger vertige qui la fit tomber en plein sur Jane, en riant.
Jane: "Je pense qu'on devrait aller dormir."
Addison: "Oh oui, c'est ça allons nous coucher."
Jane: "Heu, toi dans ta chambre et moi sur le canapé bien entendu."
Addison: "Rabat joie."
Comme elle tenait à peine debout, il la conduisit jusqu'à son lit. La nuit fut courte. La sonnerie de la porte fit émerger Addison de son semi-coma. En s'étirant, elle buta sur quelque chose avec son pied. Sa tête était tellement douloureuse qu'elle ne prêta aucune attention à ce détail. En posant les pieds sur la descente de lit, elle réalisa qu'elle ne portait rien. Ce n'était pas habituel pour elle de dormir sans aucun vêtement mais cela lui arrivait. Donc, jusque là, rien d'étrange. Elle enfila une chemise qui traînait sur le bout du lit. la chambre était toujours plongée dans le noir. Elle n'avait pas ouvert les rideaux, ne supportant pas la plus petite lueur. Ne voulant pas réveiller le consultant, elle fit le moins de bruit possible en allant récupérer son courrier. Elle jeta un oeil sur le canapé, où Jane aurait du se trouver.
Addison ne s'en inquiéta pas, persuadée qu'il avait choisi de dormir dans la chambre d'amis. Mais en passant devant la porte, elle la poussa, pour vérifier s'il dormait encore. Le lit n'était pas défait. Ce n'est qu'en apercevant son reflet dans le miroir de l'armoire, qu'elle se rendit compte que la chemise qu'elle portait ne lui appartenait pas. N'ayant aucun souvenir de cette nuit et poussée par un étrange pressentiment, elle entra dans sa chambre. C'est là qu'elle eut sa réponse. Sans dire un mot, elle referma la porte.
Addison, la tête entre les mains, chuchota: "Qu'est-ce que j'ai fait?"
Une fois douchée et rhabillée, elle but un café pour tenter de se rappeler quand la situation avait dérapé ou si elle avait effectivement dérapé.
C'est le moment que Jane choisit pour réapparaître, un peu gêné par ce qui s'était et dont lui semblait se souvenir parfaitement.
Jane, timidement: "salut."
Elle le fixait d'un regard noir.
Addison se redressant sur son tabouret, les bras croisés: "Bien dormi?"
Jane se mordait les lèvres avant de répondre: "Addison, à propos de cette nuit..."
L'interphone sonna à point nommé.
Addison: "Toi tu bouges pas."
Elle n'avait pas l'air arrangeante à cet instant.
Le gardien: "Ma... Mmadame Weaver, Mmonsieur Rigsby est là."
Addison: Vous êtes nouveau vous?"
Le gardien: "Oui, c'est mon premier jour, je ss suis un p... peu nerveux."
Addison: "Laissez-le monter."
Elle ouvrit au grand brun qui la pris dans ses bras dès son entrée.
Addison: "Wouha!! Qu'est-ce qui t'arrive? Tu avais peur que je sois partie?"
Rigsby: "Tu m'as manqué, t'as pas idée."
Il la relâcha et salua son collègue.
Rigsby: "Jane, merci d'être resté avec elle."
Jane: "Aucun problème. C'était un plaisir."
Elle le fusilla discrètement du regard. Visiblement, sa réaction ne laissait pas planer le doute. Elle ne savait pas pour Jane, mais elle, elle regrettait cette nuit, dont elle ignorait tout.
Addison: "Patrick s'en allait justement. N'est-ce pas Patrick."
Jane: "C'est vrai. Je dois passer au bureau."
Elle le raccompagna à la porte, jusque dans le couloir, claquant la porte derrière eux.
Jane: "Tu ne devrais pas rester là, tu risque de faire un malaise."
Elle le saisie par le bras.
Addison: "Quoi qu'il se soit passé, c'était une erreur."
Jane: "Je suis d'accord. Je n'ai pas l'habitude de boire autant."
Addison: "On oublie tout alors. Même si pour moi c'est déjà fait. C'était une erreur."
Jane: "Une erreur, c'est ça. A force de le répéter tu vas finir par y croire. Tu mens mal Addison."
Addison: "Comment je pourrais mentir sur un truc dont je n'ai aucun souvenir. Toi tu mens mal. Mais peu importe. C'était une très mauvaise idée de te laisser passer la nuit ici."
Jane l'embrassa sur la joue, lui glissant à l'oreille: "Il ne s'est rien passé, on s'est embrassé et on s'est endormi, rien d'autre. Je te le jure. Tu es mon amie."
Addison: "Et si on ne s'était pas endormis? Si j'en juge par l'absence de mes vêtements, j'imagine bien la suite probable."
Il s'abstint de tout argument et quitta le long couloir.
Jane de dos: "A plus tard Addison."
Addison: "C'est ça."
Elle rentra dans l'appartement, en partie soulagée d'un poids. En partie seulement, craignant que Jane ne lui ait menti pour ne pas l'énerver plus qu'elle ne l'était déjà, à cause de la pleine lune imminente.
Rigsby, lui, avait des projets qu'il ne comptait pas remettre à plus tard. Il avait trop attendu pour se lancer et prit son courage à deux mains. Quelle que soit la réponse qu'il obtiendrait, il fallait qu'il le fasse.
La jeune femme essayait par tous les moyens d'éviter de croiser le regard de Rigsby. Elle s'employait à ranger la cuisine.
Rigsby: "Addison, il faut qu'on parle."
Addison: "Vas-y parle."
Rigsby: "Heu... Addi..."
Addison: "Bon tu te décides?"
Elle s'était retournée, face à lui, adossée à l'évier, espérant l'impressionner pour qu'il renonce à ses projets. Malheureusement pour elle, il était déterminé.
Rigsby: "Bon, tu sais ce que je ressent pour toi et depuis notre première rencontre."
Addison: "Wayne."
Rigsby: "Laisse-moi finir, s'il te plait."
Elle se tue, il lui prit la main et lui dit tout ce qu'il avait sur le coeur.
Rigsby: "Je t'aime. Epouse-moi."
Addison: "Q... Quoi?"
Rigsby: "Je suis pas idiot. Je sais bien que tu ne m'aimes pas autant que moi."
Addison: "Ah bon! Tu t'aimes tant que ça? Intéressant."
Risgby: "Tu sais ce que je veux dire."
Addison: "Désolée. Continue."
Rigsby: "Alors? Qu'est-ce que tu en dis?"
C'était comme si le ciel lui tombait sur la tête. Même si elle l'avait vu venir de loin, l'entendre était très différent. Addison aurait voulu partir en courant si elle n'avait pas été sûre de faire une syncope avant d'atteindre le hall de l'immeuble.
Rigsby: "C'est pas le moment rêvé, j'en suis conscient. Mais ce soir c'est la pleine lune et on ne sait pas ce qui va se passer. Donc je ne veux pas avoir de regrets."
Addison: "Je ne sais pas quoi te dire Wayne. Il faut que je réfléchisse."
Rigsby: "Je ne veux pas te presser. Je resterais ce soir et on en reparlera. Ou alors je pourrais prendre ma journée. Jane est partit et je ne veux pas te laisser seule."
Addison: "Ce n'est qu'une journée. Et ça me permettra de pouvoir repenser à ta proposition au calme."
Il lui sourit en quittant l'appartement pour filer au CBI. Addison savait déjà qu'elle lui donnerait une réponse négative, mais elle le laissa à ses espoirs jusqu'au soir.
Il faut dire que ce jour-là, le sort s'acharnait sur elle. Entre cette histoire plutôt flou avec Jane, la demande soudaine de Rigsby et la pleine lune de ce soir, il ne manquait plus que son frère et la coupe serait pleine. A croire que la pleine lune ne rendait pas que les tueurs dingues. D'ailleurs son frère venait de lui envoyer un mail: "Addison, donne-moi de tes nouvelles. Je pars aux Bahamas pour la semaine. Appelle-moi sur mon mobile. Ton frère qui t'aime. Walter."
Tant qu'elle était devant son ordinateur, elle entreprit de faire le tri dans ses innombrables mails.

L'alcool est à consommer avec modération une bouteille à la fois
Addison qui ne se souvient pas d'une nuit avec Jane
Je suis sûre que tu vas te faire des amies parmi les Jisbonneuse...à moins qu'il ne soit effectivement rien passé...mais avec toi...j'en doute.
Rigsby qui la demande en mariage, toujours aussi naïf...le pauvre...
Soirée de pleine lune...en vue.
Vivement la suite

Non moi je suis sure qu'il ne s'est rien passer ? pourquoi jane lui aurait menti alors ?

Pauvre Lisbon

espérons que ça finisse bien pour eux deux en tout cas l 'alcool est mauvais pour la santé

vivement la suite

Cette fic est géniale et je suis vraiment désolée de ne pas poster mais avec le lycée je n'ai vraiment pas eu le temps. Déjà j'étais qu'il y est du Jisbon mais avec le dernier chapitre j'ai peur !! Pauvre Rigsby qui a de faux espoirs!! M'enfin il me tarde la suite!!

toujours aussi bien mais je me pose des questions sur la nuit passée J'espère qu'il ne s'est pas passé ce qu'on croit
Je veux la suite!

Merci beaucoup de vos messages!!!
La suite demain ou mercredi, parce que aujourd'hui j'ai trop mal à la tête pour me concentrer!!

OMG
Je vote pour qu'Addison épouse Risby, les flirts avec Jane y'en a marre !!
Et puis Rigsby à l'air grave amoureux alors comme ça tout le monde serait content ! ( et on aurait du Jisbon jusqu'au bout ^^ ).

Bon apparemment on va moins rigoler au chapitre suivant, le calme plat pouvait pas durer éternellement hein ?
En parlant de la pleine lune, il est pas un peu louche le nouveau gardien ? Soit c'est lui le tueur, soit il est impliqué, bizarre qu'il se pointe juste avant la pleine lune non ?

VLS !

Ouais bon, finalement, il y a une dernier chapitre un peu calme en fait!
Pour le carnage se sera pour le suivant!!

Chapitre 16

Au CBI, Rigsby était dans un tel état de stress qu'il ne parvenait pas à se concentrer. Il n'avait qu'une envie, téléphoner à son hypothétique fiancée. Mais elle le prendrait pour du harcèlement et il ruinerait ses chances d'obtenir une réponse positive. Il s'abstint donc d'un quelconque contact, jusqu'au soir.
Addison était bien loin de ces préoccupations. Elle aurait cru toutes ses pensées orientées vers le tueur qui risquait de se manifester ce soir-là, mais ce n'était pas le cas. La seule chose à laquelle elle pensait était la nuit passée. Elle espérait que des bribes de souvenirs finiraient par lui revenir, mais tout ce qu'elle réussi ce fut à se déclencher une migraine. Elle passa la journée devant son écran, à trier son courrier, relisant avec attention ceux de Jane, y cherchant des indices qui pourraient lui donner explications sur ce qu'il y avait eu ou pas entre eux.
La demande de Rigsby ne faisait pas partie de ses réflexions. C'était inutile. Elle avait déjà sa réponse. Le problème était de lui annoncer avec délicatesse. Il lui fallait trouver les mots pour ne pas blesser le jeune homme qui serait, quoiqu'il advienne, déçu. Elle ne voulait pas se marier mais ne voulait pas non plus mettre un terme à leur liaison. Elle avait moins peur d'affronter Rigsby ou même le tueur que d'apprendre la vérité sur la nuit dernière. Mais pourquoi Patrick était aussi évasif à ce sujet?
Le fait qu'elle se soit retrouvée nu avec lui, dans son lit n'était pas si innocent qu'il se plaisait à l'affirmer. Il était vrai qu'il ne la laissait pas indifférente mais, pour elle, il était hors de question qu'il y ait ce genre de relation entre eux. Elle tenait trop à lui en tant qu'ami pour tout gâcher dans une sordide histoire de sexe. L'amitié était bien plus importante pour Addison. C'était une chose sacrée.
A mieux y réfléchir, l'attitude désinvolte de Patrick signifiait qu'ils n'avaient effectivement rien fait de fâcheux, autrement, il n'aurait pas été aussi détendu, en partant de chez elle. Sa conscience l'aurait trop torturé pour faire de l'humour. C'était certain qu'ils n'avaient rien fait de plus que flirter, sous l'effet de l'alcool. Elle pouvait souffler, à présent, même si elle pestait contre son ami pour l'avoir menée en bateau.
Pour ce qui était de Wayne, elle était consciente qu'elle s'était servie de lui, d'une certaine manière, en couchant avec lui, sans pour autant qu'elle éprouve quoi que ce soit pour le grand brun. Elle n'en été pas fière mais c'était pourtant la vérité. Malgré ses efforts, les sentiments ne se manifestaient pas. Si seulement ça avait été le cas, tout aurait été si simple. Bien sûr, il y avait une attraction entre eux, mais pour elle cela ne suffirait pas pour l'épouser. Ce serait un amour à sens unique.
Au CBI, Rigsby ne cessait de regarder sa montre, à intervalles réguliers, ce qui éveilla la curiosité de l'asiatique.
Cho: "Ca ne fera pas avancer le temps plus vite tu sais."
Rigsby: "Hein, quoi?"
Cho, perspicace: "Tu lui as demandé, c'est ça?"
Rigsby: "Ouais."
Cho: "Et alors?"
Rigsby: "Alors rien. Elle me donnera sa réponse ce soir."
Cho: "Aller, plus que 6 heures et tu seras fixé. A moins qu'on reste cette nuit."
Rigsby: "Pas moi, je rentre ce soir. Pour assurer la surveillance chez Addison."
Cho: "Higthower m'a chargé de ça. Elle pense que tu es trop impliqué personnellement."
Rigsby: "Ca te dérange de changer avec moi?"
Cho: "J'étais sûr que tu me le demanderais."
Rigsby: "C'est oui?"
Cho: "T'as pas compris, c'est un ordre du patron."
Rigsby: "S'il te plait vieux. Si c'était Elise, moi je le ferais."
Cho: "Ok, mais tu me le revaudras."
Rigsby: "Merci, t'es un pote."
Ce fut le jour le plus long de sa vie.
De son côté, le mentaliste, toujours à l'écart de l'affaire qui occupait le service, décida de dissiper le malentendu qu'il avait créer dans l'esprit d'Addison. Lui, avait la conscience tranquille.
Il passa voir Lisbon un court instant, avant de retourner chez la jeune femme.
Jane entra dans son bureau sans frapper: "Salut! Tu es occupée?"
Lisbon, sur les nerfs: "Tu parles, c'est le jour J et devine quoi? L'histoire de ce "tueur de la pleine lune" fait la une! Certains journalistes affirment même que c'est le retour du "Zodiaque". N'importe quoi! Donc cette nuit, tous les détraqués et les petits plaisantins vont être de sortie."
Elle lui tendit le journal du matin: "Le successeur de Red John?"
Jane: "Oups! Ca ne va pas faciliter les choses ça."
Lisbon: "Tu m'étonnes. Je crois qu'on va encore passer la nuit ici, à attendre qu'il se passe quelque chose. Et on va crouler sous les canulars téléphoniques par dessus le marché."
Elle se frottait les tempes et la nuque. Jane se plaça derrière elle et lui massa les épaules.
Lisbon: "Hum, ça fait du bien. C'était exactement ce qu'il me fallait."
Jane déposa un baiser dans ses cheveux: "Ce dont tu aurais besoin c'est d'un bain bien chaud pour te relaxer."
Elle fermait les yeux à cette idée.
Jane: "Mais pour ça, on sera obligé d'attendre un peu je crois."
Il venait d'apercevoir la directrice dans le couloir et s'écarta instantanément de Térésa.
Lisbon: "Il vaut mieux qu'on s'abstienne de ce genre de démonstration à l'avenir."
Jane: "Oui, ce serait plus prudent."
Lisbon: "Tu retournes chez Weaver aujourd'hui, je suppose?"
Jane: "J'avais l'intention d'y passer oui."
Lisbon: "Alors dis-lui que Cho assurera sa surveillance cette nuit."
Jane: "Tu n'y envoie pas Rigsby?"
Lisbon: "Ordre d'Hightower. Mais je me doute que cho s'est arrangé avec lui pour lui laisser sa place. C'est cousu de fil blanc."
Jane: "Ce n'est pas plus mal. Rigsby sera plus vigilant qu'aucun autre."
Lisbon: "Oui, ou alors il sera prêt à se mettre en danger pour défendre sa copine. C'est risqué mais je ne peux pas le mettre en cellule jusqu'à demain."
Jane: "Tu sais, si tu étais à la place d'Addison, moi aussi je ferais tout pour te protéger."
Lisbon: "C'est mignon."
Ils échangèrent un sourire amoureux et il partit.
En arrivant dans le hall de l'immeuble, il fut surpris de voir que le garde qui était habituellement posté à l'étage de la jeune femme, se trouvait à cet endroit.
Jane: "Bonsoir Harry. On vous a déplacé aujourd'hui?"
Harry: "Oui. C'est un nouveau gardien qui a été affecté au 5ième."
Jane: "Pourquoi ce changement?"
Harry: "Je n'en sais rien, on m'a prévenu ce matin, après votre départ. Je pense que c'est pour placer les plus expérimentés aux points stratégiques, vu qu'on est en alerte maximale ce soir."
Jane: "C'est plutôt logique. Bonne fin de journée."
Il monta au dernier étage et tomba sur cet homme qu'il n'avait jamais vu avant.
Jane: "Bonjour, vous devez être le petit nouveau."
Le gardien: "Mr Jane, je pr... présume."
Jane: "Nerveux?"
Le gardien: "C'est à c... cause de cette histoire de pl... pleine lune."
Patrick lui tapa sur l'épaule: "Vous pouvez être tranquille, c'est endroit est une forteresse. Personne ne pourra entrer."
Il fila jusqu'à l'appartement.
Le gardien murmura: "Ou en sortir."
Le beau blond entra donc chez son amie qui ne l'accueilli pas à bras ouverts. Elle était furieuse contre lui. Furieuse qu'il lui ait laissé croire et imaginer tous les scénarios.
Addison: "Tu te crois malin Patrick Jane! Je veux que tu me décrive en détail la nuit d'hier. Et ne brode pas. Juste la vérité."
Jane, le sourire jusqu'aux oreilles: "Je te l'ai déjà dit."
Addison: "Ouais, je sais. Mais et pour les vêtements?"
Elle leva un sourcil, ses yeux étaient noir de rage, elle était littéralement suspendue aux lèvres du mentaliste, prête à lui sauter à la gorge si ce qu'elle entendait ne lui convenait pas.
Jane: "On était aussi saouls l'un que l'autre. Bon peut-être que tu l'étais un peu plus que moi. J'ai du te porter dans ta chambre. Tu m'as embrassé, on est tombé sur le lit. Et plus rien."
Addison: "Et plus rien. Tu ne penses tout de même pas t'en sortir avec une explication aussi vaseuse! Ca n'explique pas pour les vêtements."
Jane: "D'accord, peut-être que quand on s'est embrassé, il est possible que je te les ai retiré."
Elle soupirait, une main sur le front, atterrée par ces paroles.
Addison: "Et?"
Jane: "Et rien. Tu as perdu connaissance avant qu'on aille plus loin."
Addison le fixait dans les yeux: "C'est tout? Tu ne me caches rien, c'est sûr?"
Jane: "J'avais encore mon pantalon si ça peut te rassurer."
Addison ayant du mal à garder son sérieux: "Oh, c'est dingue, je suis vraiment soulagée là."
Jane: "Sérieusement, si je pouvais revenir en arrière..."
Addison: "C'est bon, on en parle plus."
Ils se sourirent et se prirent dans les bras l'un de l'autre en signe de paix.
Jane: "Il faut que je parte. J'étais venu pour éclaircir les choses. C'est fait. Oh, j'oubliais. Rigsby avait l'air sur les dents quand je l'ai croisé ce matin. Tu peux me dire pourquoi?"
Addison: "Aucune idée. La pleine lune certainement."
Jane: "Tu ne veux pas m'en parler?"
Addison: "Même si tu es mon meilleur ami, je préfère garder certaines choses pour moi. Je t'en parlerais mais plus tard."
Il repartit sans plus de détails, sous le regard appuyé du gardien.

ah ça me soulage de savoir qu'ils n'ont pas couché ensemble ça sent le JISBON tout ça

sinon toujours aussi génial cette fiction

pauvre rigsby

c'est le gardien le tueur, je le sais, c'est logique en plus

1er indice: Addison a dit, ça fait bizarre cette phrase , que le tueur bégayait, hors le gardien a du mal à parler
2ème indice: il est nouveau, justement à ce moment-là
3ème indice: la phrase qu'il a marmoné quand Jane est entré chez Addi

si avec tout ça je me suis trompée, alors bein je suis vraiment pas mentaliste

Bon sinon, Jane et Lisbon sont trop mignon tout les deux et je ne pense pas que Jane l'aurait trompé, même sous l'effet de l'alcool.
Donc j'attends la suite pour savoir, VITTTEEEE

Même idée que toi pour le tueur Sweety, mais je trouve cela un peu trop "facile"...
Jane et Addi "amis"...on verra par la suite.
Je sens que ce brave nigaud de Rigsby va passer une sale nuit

Je vois que vous réfléchissez beaucoup, c'est bien ça!! Je peux juste vous dire de ne pas se fier aux apparences...

Chapitre 17

Le soir venu, comme convenu avec son collègue, Rigsby se rendit chez Weaver. Toujours le même se tenait devant le long couloir.
Le gardien: "Mr Rigsby. Je vous annonce."
Rigsby: "Inutile. Mme Weaver est au courant de ma venue."
Le gardien: "T... Très bien."
Il ouvrit la porte et Wayne parcourut le couloir. Il avait une sensation étrange, cet homme, à l'entrée, avait un comportement suspect. Il ne lui inspirait pas confiance. Mais ce soir-là, il se méfiait de tout le monde.
Prenant une profonde inspiration, Wayne entra dans l'appartement. Addison était encore plantée devant son ordinateur. Elle le salua, sans quitter son écran des yeux.
Addison: "Hey!"
Rigsby: "Salut! Tu te sens bien? La journée n'a pas été trop dure?"
Addison: "Non. Tout s'est bien passé. Je suis allée faire les boutiques avec des amies."
Rigsby: "Très drôle."
Elle semblait détendue comparé à lui, qui était stressé comme jamais.
Il vit la tasse dans l'évier et un sachet de thé dans la poubelle.
Rigsby: "Tu as eu de la visite?"
Addison: "Jane est passé en coup de vent."
Rigsby: "Vous avez discuté de quoi?"
Addison, évasive: "Oh, de tout et de rien. Tu sais, on a papoté."
Il retira sa veste et remonta les manches de sa chemise, pour être plus à l'aise. Il savait que c'était peine perdue car rien ne pourrait le faire se sentir à l'aise, à ce moment-là. Il desserra sa cravate et bu un verre d'eau. La jeune femme observait son manège, depuis sa chaise. Après ça, il alla dans la salle de bain, s'asperger le visage, pour se donner du courage. Elle le rejoignit.
Addison: "Tout va bien? Tu es malade?"
Rigsby: "Non, ça va. Je suis juste un peu fatigué."
Elle fit demi-tour.
Rigsby: "Addi?"
Addison: "Oui Wayne."
Rigsby: "Non, rien."
Il s'était dégonflé, une fois de plus. Le téléphone de la jeune femme sonna, au fond de sa poche.
Addison: "C'est Walter. Il faut que je réponde."
Elle sortit de la pièce et s'isola dans sa chambre.
Rigsby, face au miroir: "Rend-toi à l'évidence, t'es qu'une poule mouillée. Elle voudra jamais de toi."
Il patienta dans le salon, et pour passer le temps, il jeta un oeil à l'ordinateur de son amie. Elle l'avait laissé ouvert sur un des mails qu'elle avait envoyé à Jane des semaines avant. Elle y évoquait le baiser qu'elle lui avait donné lors de sa première visite. Lorsqu'elle réapparut, il se leva comme si de rien n'était.
Addison: "Woou!! J'ai cru que ça n'en finirait jamais!"
Rigsby, prenant son courage à deux mains: "Addison, je dois savoir qu'elle est ta décision par rapport à ce que je t'ai demandé. Le mariage."
Addison pensa: "Aïe, il n'a pas oublié."Puis elle dit: "Wayne, j'ai beaucoup d'affection pour toi. On s'entend bien toi et moi. C'est facile entre nous, on a pas à réfléchir, tout se passe pour le mieux, mais..."
Rigsby soupira: "J'en étais sûr. Tu refuse de m'épouser."
Il était anéanti, lui qui avait placé tous ses espoirs dans ce mariage. Et là, en quelques mots, elle détruisait tout.
Addison: "Je suis désolée, mais je ne peux pas."
Rigsby: "C'est quoi le problème? C'est à cause de ta maladie, de moi, à moins que ce ne soit à cause de Jane?"
Le ton sur lequel il avait dit "Jane" n'augurait rien de bon.
Addison: "Quoi?"
Rigsby: "C'est ça, c'est Jane. J'aurais du m'en douter, vous passez tout votre temps ensemble depuis des jours."
Addison: "Mais on est amis. Tu le sais très bien."
Rigsby: "Ah ouais! Et tu embrasses tous tes amis comme tu l'as fait avec lui? J'ai vu ton mail."
Addison, devant son ordinateur: "Tu as fouillé mon courrier?"
Rigsby: "Je suis tombé dessus par hasard."
Addison tentant de le calmer: "C'était rien du tout."
Rigsby: "C'est tout ce que tu as fait avec lui? J'imagine que la nuit dernière vous n'avez pas du vous ennuyer. Tu ne veux pas qu'on partage le même lit, mais tu n'as pas hésité une seconde avec Jane!"
Il se dirigea vers la porte, l'ouvrit et disparut, au fond du couloir. Addison le suivit en toute hâte, le suppliant de rester. Mais elle du renoncer avant d'atteindre la sortie. Son agoraphobie se rappela à son bon souvenir et l'obligea à revenir sur ses pas, en titubant. Elle longea le mur, et fit une pause à quelques mètres de son but.
Addison, le front contre le mur, en pleurant: "C'est pas possible!! J'en ai marre!!!"
Elle parvint à rentrer et s'assit sur le canapé, serrant dans sa main son pendentif.
Pourquoi n'avait-elle pas pu lui dire "oui", tout simplement. Peut-être que les sentiments seraient venu par la suite? Mais non, il avait fallu qu'elle soit honnête, et ce mail n'avait fait qu'envenimer les choses. Et s'il en parlait à Jane, cela risquerait d'affecter également la relation de ce dernier avec Lisbon. Tout ça à cause d'un mal entendu. Elle s'en voulait terriblement. Wayne était partit sans qu'elle puisse se justifier, lui expliquer que Jane n'était absolument pas la raison de son refus.
Quelques secondes plus tard, on frappa à la porte. Elle s'empressa d'aller ouvrir, pensant que le jeune agent était revenu.
Addison entrouvrant la porte, en laissant la sécurité: "Wayne! Oh pardon, qui êtes-vous?"
Le gardien: "Je suis le nouveau surveillant de l'étage. On s'est parlé à l'interphone."
Addison, méfiante: "Je ne vous ai jamais vu et je connais le visage de chacun des employés de l'immeuble. On me transmet une photo à chaque embauche. Mais je n'ai pas eu la votre."
Le gardien: "Je cr... crois qu'il y a eu un problème avec l'informatique. J'ai c...commencé ce matin. Bryan Hoffen."
Addison: "Qu'est-ce que vous voulez? "
Bryan: "Vous auriez un v... verre d'eau?"
Addison: "Ne bougez pas. Je reviens."
A peine eu-t-elle tourné le dos pour aller chercher une bouteille, que l'individu enfonça la porte, faisant sauter la chaîne.
Addison, attrapa un couteau et appuya la touche 7 du portable, au fond de sa poche. Le téléphone sonna dans le lointain.
Bryan: "J'ai bien peur que ton petit ami soit incapable de répondre."
Addison: "Qu'est-ce que vous lui avez fait?"
Bryan, tenant la porte grande ouverte: "Va voir par toi-même."
Elle avança, le menaçant en pointant la lame vers lui, sachant parfaitement qu'il pourrait la désarmer sans difficulté s'il le voulait. Il ricana lorsqu'elle se figea, comme bloquée par une barrière invisible, sur le seuil de la porte. Elle recula, l'homme lui laissa le passage.
Bryan: "Tu ne peux pas t'enfuir, tu vois. Tu es prisonnière de ta propre maison, tu es obligée de rester ici avec moi."
Addison: "Où est Wayne? Vous l'avez tué?"
Bryan: "Tu me déçois beaucoup Addison! Tu choisis toujours des hommes faibles. Ton mari a pleuré comme une fillette en me suppliant de l'épargner parce qu'il allait être père. Quand à celui-là, il ne s'est même pas défendu. Je l'aurais cru plus coriace."
Addison: "Fermez-la et finissez-en! Vous êtes là pour ça."
Il s'approcha, lui faisant lâcher son couteau en lui tordant le poignet.
Bryan lui dit tout bas, à l'oreille: "Je ne vais pas te tuer, pas tout de suite. Je te garde pour le dessert."
Il était si proche, qu'elle pouvait sentir son souffle sur sa nuque.
Bryan: "J'ai commis un erreur, la première fois, mais ça ne se reproduira pas. Bonne nuit Addison."
Elle ressentit une douleur intense suivi d'un étourdissement, puis plus rien.

Bon d'accord, Rigsby c'était couru d'avance...maintenant mort ou blessé
Que veut le tueur a Addison ? Qui est le "plat de résistance" si elle est le dessert...Jane ?
Il ne reste plus qu'à attendre la suite :bounce: :bounce: :bounce:

oh non ne touchez pas à Jane hors de question

pauvre rigsby que lui est t'il arriver ? j'espère qu'il n'est pas mort

j'attend la suite avec impatience

Merci Johel et Caroline!!!
Voilà la suite...

Chapitre 18

A son réveil, elle ne se souvint pas immédiatement de ce qui lui était arrivé. Ce n'est qu'au bout e quelques minutes qu'elle trouva assez de forces pour se traîner jusqu'au mur pour s'y adosser. La porte était ouverte.
Elle entendit des pas se rapprocher lentement et un visage rassurant apparaître dans l'embrasure.
Jane: "Addison?"
Addison: "Je suis là."
Il s'accroupi près d'elle.
Jane: "Qu'est-ce qui s'est passé? Le gardien n'est plus à son poste."
Addison: "Il est entré, j'ai rien pu faire."
Elle avait les yeux pointés vers le sol. Jane la saisie par les épaule pour récupérer son attention.
Jane: "Addison, regarde-moi. Où est Rigsby?"
Addison: "J'en sais rien. On s'est disputé, il est parti."
Jane: "Sa voiture est sur le parking."
Addison: "Il lui a fait du mal. Mais je ne crois pas qu'il l'ai tué. Il ne peut pas être mort, il peut pas m'avoir fait ça, pas Wayne."
Elle se mit debout, soutenue par le consultant.
Jane: "Tu es blessée, il te faut un docteur."
Addison: "Non, Wayne est encore là, je dois le retrouver."
Elle s'évanoui la seconde d'après. Le mentaliste la déposa sur le canapé avant de contacter les secours et le CBI.
Une dizaine de minutes plus tard, les policiers investirent l'immeuble, fouillant chaque logement, escalier, ascenseurs, dans les moindres recoins.
Lisbon et Cho avaient rejoint leur collègue dans l'appartement, alors qu'un médecin examinait la jeune femme. Ils sortirent dans le couloir pour faire le point.
Lisbon: "Jane, ça va aller?"
Il observait le médecin avec inquiétude.
Jane: "Oui, moi ça va aller. Mais Addison je n'en suis pas sûr."
Lisbon: "Elle t'a dit quelque chose. Elle a vu l'agresseur?"
Jane: "Elle n'a rien dit de très cohérent."
Cho, qui était allé interroger les autres gardiens, les rejoignit.
Lisbon: "Cho, vous avez pu en apprendre plus?"
Cho: "Le gardien affecté à cet étage est un dénommé Bryan Hoffen. J'ai fait vérifier son identité au QG, mais..."
Lisbon termina: "Ce Bryan n'existe pas."
Cho: "Personne n'a pu me donner sa description. A croire qu'il n'est jamais venu."
Lisbon: "Et les caméras de surveillance?"
L'asiatique se rendit dans la salle de contrôle de l'immeuble, pour visionner les enregistrements de la nuit.
L'agent en chef était resté avec le consultant.
Lisbon: "Tu es sûr que tu vas tenir le coup Patrick? Elle va bien, rassure-toi."
Jane: "Je n'aurais pas du insister pour que tu laisses Rigsby se charger de cette garde."
Lisbon: "Ce type aurait eu le dessus sur n'importe quel agent. Ne te sens pas coupable."
Jane: "Peut-être. Mais Rigsby était trop proche d'Addison. Si il était mort, elle ne s'en remettrait pas. D'abord son mari et maintenant lui. Ce sera trop dur à supporter."
L'agent le serra contre elle, sentant l'émotion le submerger.
Lisbon caressa les cheveux de son ami: "Chut, on va le retrouver. Et si le pire est malheureusement arrivé, il faudra que tu sois fort. Addison aura besoin du soutient d'un ami."
Jane: "Merci Térésa. Je ne sais pas ce que je deviendrais sans toi."
Elle relâcha son étreinte pour rejoindre son collaborateur, au rez de chaussée, tandis que lui, retourna dans l'appartement. Le docteur était toujours présent.
Jane: "Comment va-t-elle docteur?"
Le Dr: "Je voudrais lui faire passer un scanner pour m'assurer qu'il n'y a pas de commotion. Mais pour ça, je devrais lui donner un sédatif. Mais elle refuse."
Addison: "Hors de question qu'on m'endorme. Je veux garder l'esprit clair, jusqu'à ce qu'on ait retrouvé Wayne."
Jane: "Dr, laissez-moi faire. J'ai une méthode qui lui permettra de rester consciente."
Le Dr: "L'hypnose. Je connais votre réputation Mr Jane. Allez-y. Mais vous devrez rester avec elle, même dans la salle d'examen. Si elle se réveillait dans le scanner, elle pourrait paniquer."
Jane: "Je ne la quitte pas d'une semelle."
Le médecin sortit un instant, le temps pour l'ancien médium d'hypnotiser la jeune femme. Puis ils montèrent dans l'ambulance, direction l'hôpital.
Dans le local de la sécurité, les deux agents venaient de terminer le visionnage.
Lisbon: "C'est ce que je craignais. Il cache son visage devant les caméras."
Cho: "Il nous reste encore Addison Weaver. Elle l'a vu, elle pourra le décrire."
Un officier apporta un sac de sport abandonné dans une sortie de secours.
Lisbon: "Adieux le signalement."
Une perruque, des lentilles de couleur, une prothèse dentaire, faisait partie du contenu. Le tueur, méconnaissable, était dans la nature et Rigsby demeurait introuvable. Lisbon était tout à coup impuissante, perdue. En général, c'est à ce moment-là, que Jane avait une idée ou un plan tordu pour les sortir de là. Mais pas aujourd'hui.
N'ayant aucune autre alternative, elle alla le retrouver à l'hôpital, laissant Cho sur place, gérer les équipes de recherches.
Addison venait de passer tous les examens nécessaires après un choc à la tête, ainsi que des analyse de routine, prises de sang... Un check up complet.
Dans sa chambre, Jane ne l'avait pas quitté et la maintenait sous hypnose.
Addison: "Pourquoi il me garde ici, je n'ai qu'une bosse à la tête."
Elle voulait sortir de son lit.
Jane la retint: "Il faut que tu te détendes. Le médecin veut te garder en observation, par sécurité. De toutes façons, tu ne peux pas retourner là-bas. La police n'a pas terminé de fouiller l'immeuble et la scientifique s'occupe de ton appartement."
Addison: "Patrick, promet-moi que tu me le diras s'ils retrouvent Wayne. Même si il est..."
Elle avait les larmes aux yeux. Il la prit dans ses bras et l'embrassa sur le front. Comme à chaque fois qu'elle avait le cafard, elle posa sa main sur son cou.
Addison: "Non. Je l'ai perdu. C'était lui qui me l'avait offert."
Il sortit la chaîne de sa poche et la lui rattacha.
Jane: "Ils te l'ont retirée pour le scanner."
Addison pris l'ange dans sa main aussitôt: "Je lui ai dit non. Il m'a demandé en mariage et j'ai dit non. C'est pour ça qu'il est parti."
Jane: "Ce n'est pas ta faute."
Addison: "Bien sûr que si. Il a découvert pour le baiser et il s'est imaginé qu'on avait une liaison. Il est peut-être mort en croyant que je l'ai trahi."
Le docteur entra, sur ces entrefaites, des résultats d'analyses sous le bras.
Jane: "Je vais vous laisser. Je ne serais pas long Addison."
Il sortit dans le hall, face au parking, pour appeler Lisbon, mais c'est elle qui arriva, avant qu'il ne compose le numéro.
A l'intérieur, le médecin referma la porte de la jeune patiente, après lui avoir appris une nouvelle imprévue.

Bon, je vois que c'est fini la rigolade !
Rigsby a été enlevé ?? , j'espère qu'il ne va rien lui arriver de trop grave !
C'est quoi la nouvelle du médecin ?? C'est lui le tueur c'est ça ? ( après tout on ne connait pas son vrai visage ... ok je vois des suspects partout )

VLS !

Rigsby introuvable, tout comme le tueur et une nouvelle imprévue...
Non, tu ne vas tout de même pas oser faire en sorte qu'elle soit enceinte suite à la nuit avec Jane...nuit où soit disant il ne s'est rien passé