Vous avez un mess@ge ^

Pour l'agoraphobie d'Addison on se croirait dans copycat...
Maintenant li y a fort à parier que si se manifeste c'est qu'il a probablement connaissance de la relation qui est en train de se nouer entre Jane et Addison
Maintenant voyons voir comment tu vas gérer la vente aux enchères et...la suite de l'histoire

tu veux que je sois honnête avec toi? question stupide hein
j'adore ta fic, c'est un vrai régale de la lire , j'aime l'amitié qui se tisse doucement entre Jane et Addison et continue d'espérer qu'il n'y aura rien de plus , j'aime comment Jane tente de lui venir en aide, tente de la faire sortir de chez elle pour retrouver le monde, c'est si gentil de sa part

Spoiler:

j'espère que Jane va passer une bonne soirée, que Lisbon fera tout pour le gagner aux enchères et qu'ils apprendront à mieux se connaitre, à s'aimer je suis un peu trop fleur bleue malgré ce que vous pensez de moi
mais je crains le pire avec ce double meurtre et pauvre bébé qui est maintenant seul au monde mais ne serait-ce pas une occasion pour Jane et Lisbon de se rapprocher un peu plus en s'occupant de lui?
il me tarde de lire la suite :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:

POur cette suite c'est pas réjouissant tout ça

Mais j'ai hâte de savoir ce qu'il va se passer! :vivement:

J'adore vos commentaires, mais Red John n'est pas prévu au programme, malgré les apparences!! Il peut pas être caché partout! Disons juste que le tueur en question n'est pas !!!
Et oui Johel, je me suis inspirée du perso de la dr dans "Copycat".


Chapitre 7

Tous les collègues du consultant étaient au premier rang, sauf Van Pelt. Celle-ci n'avait pas la tête à s'amuser ce soir-là. Rigsby, lui aussi avait rejoint les autres derrière le podium.
Jane: "Tu es en retard Rigsby!"
Wayne: "Pour une fois que j'arrive après toi."
Jane: "J'ai pas vraiment eu le choix. Té... Heu Lisbon m'a pratiquement traîné ici. Je ne suis qu'une victime désignée."
Wayne: "Ouais c'est ça. Comme si tu ne mourais pas d'envie de te mesurer à Mashburn."
Jane: "Pas du tout. enfin, c'est vrai que ça peux s'avérer intéressant."
En jetant un oeil à Térésa, il ajouta: "Et instructif."
Wayne: "Y'a foule ce soir. Et encore, c'est rien. Il parait qu'il y aura des enchères par téléphone. Ca me fou la trouille."
Jane: "Pourquoi ça? C'est pas mal, ça ajoute du mystère."
Wayne: "C'est ça ouais, et puis si ça se trouve, tu tombes sur une folle ou une grand-mère de 80 balais."
Jane: "Ca pourrait être pire. Imagine que se soit une folle de 80 balais."
Wayne: "Je sais même pas pourquoi je te parle."
Le milliardaire fit son entrée, affichant son sourire à 100000$.
Jane: "Il manquait plus que lui."
Wayne: "On a pas une chance à côté de ce type."
Walter: "Patrick! Vous aussi vous vous prêtez au jeu. Et vous avez convaincu l'agent Rigsby. Je n'imaginais pas que la concurrence serait à ce point rude! J'ai aperçu Térésa, j'espère que les enchères ne monteront pas trop haut pour qu'elle puisse rentrer avec moi."
Jane: "Je suis certain qu'elle cassera sa tirelire pour vous."
Les deux hommes se sourirent à pleines dents mais ce n'était pas franc. Le mentaliste ne voulait absolument pas que la jolie brune finisse la soirée en compagnie de ce frimeur de Mashburn. Cette idée lui donnait la nausée, personne n'avait le droit de poser ses mains sur elle et son ex d'une nuit, moins que les autres.
La vente allait commencer quelques minutes plus tard.
Le premier fut, par tirage au sort, Wayne Rigsby. Les enchères montèrent très vite jusqu'à 90000$. Une fortune déboursée par une mystérieuse femme, au téléphone.
C'est exactement ce qu'il craignait. En revenant en coulisse, Patrick se moquait ouvertement de son collègue.
Jane sifflait: "Jolie somme! T'as décroché le jackpot!"
Rigsby, totalement désespéré: "Ouais super. Je vais devoir passer toute la soirée avec une femme qui a l'âge de ma mère si ça se trouve."
Jane en remettait une couche: "Ou de ta grand-mère."
Rigsby: "Ah ah, j'suis mort de rire."
Le reste de la soirée se déroula sans grande surprise, sauf pour Mashburn, qui finit par être remporté non pas par Térésa comme il le croyait, mais par une héritière d'un certain âge, botoxée. Elle avait déboursé pas moins de 68000$. Térésa n'avait pas levé la main une seule foi.
Jane ne pu retenir un léger fou rire.
Walter: "C'est votre tour Patrick, voyons si faites mieux que 68000$."
Jane se dirigeant en direction du podium: "Vous savez Walter, l'argent ne fait pas tout."
Il se fichait bien de la hauteur de la somme pourvu qu'elle vienne de Térésa. Même si ça n'était que quelques maigres dollars.
Mais il ne se faisait aucune illusions, Lisbon ne tiendrait pas longtemps face à tous ces comptes en banque blindés. C'était sans compter sur la persévérance de la brunette qui monta jusqu'à 35000$, sachant qu'elle ne réussirait pas à réunir cette somme. Mais peu importait, le jeu en valait la chandelle. Elle se battu comme une vrai diablesse pour remporter SON homme et elle y parvint de justesse.
Le consultant descendit de la scène pour aller dans les coulisses, où Lisbon l'attendait.
Jane: "Térésa."
Il ne cachait pas son soulagement.
Lisbon: "Je viens récupérer mon achat."
Jane: "Il est tout à toi."
Elle posa sa pochette sur une chaise et enlaça le beau blond, SON beau blond, capturant ses lèvres avec délectation.
Lisbon: "Ca valait largement ce prix-là et même plus."
Jane: "Je peux savoir comment tu vas réunir 62000$? Tu t'es servit dans le stock des saisies du CBI?"
Lisbon: "Walter m'avait offert une parure diamant et rubis quand je sortais avec lui. Je gagne au change, et largement, crois-moi. Ca m'est revenu, quand j'ai atteint les 35000$. Je n'aurais pas laissé cette bimbo platine repartir avec toi."
Jane: "Mais attend un peu, ces bijoux valent bien plus que 62000$. Tu aurais pu surenchérir. Je serais passé devant Mashburn."
Lisbon mis les bras autour de son cou: "Pour moi, tu seras toujours le n°1."
Jane: "Oui mais , j'aurais gagné le concours."
Elle l'embrassa.
Jane: "Pas de doute, je viens de le gagner."
Le grand brun arriva pour chercher sa veste, mais il se séparèrent in extremis.
Lisbon: "Félicitation Wayne, c'est vous le grand gagnant."
Rigbsy: "Ca reste à voir."
Il avait l'air dépité, persuadé d'atterrir chez une vieille bourgeoise.
Jane: "Bonne soirée Rigsby. Je te faisais marcher, si ça se trouve c'est une superbe jeune femme."
Rigsby: "Vu ma chance ces derniers temps, ça m'étonnerait. Aller j'y vais. Je me donne une heure maxi."
Il partit à l'adresse qu'on lui avait remis.
Mashburn, lui aussi, passa par les coulisses pour saluer le couple et féliciter le consultant.
Jane: "Je vous l'ai dit, l'argent ne fait pas tout."
Le milliardaire fit un baise main à la jolie brune.
Walter: "Prenez soin de ce joyaux Patrick."
Jane: "Bonne soirée Walter."
Le blond avait passé son bras autour de la taille de Térésa dès que Mashburn s'était approché d'elle.
La réception s'acheva et la salle se vida peu à peu. Les limousines et autres bolides quittèrent le parking.
La DS était parmi les premières à partir, emmenant Lisbon et Jane chez le consultant, où les attendait un feu de cheminée et un dîner aux chandelles. La villa était plus indiquée que le motel.
Lisbon: "Comment tu savais que tu reviendrais avec moi?"
Jane la taquinait: "Mais je n'en savais rien. De toutes façons, j'aurais ramené une jolie femme."
Elle lui donna un léger cou dans l'épaule en souriant. Ils s'installèrent devant le repas, préparé par un traiteur.
Pendant ce temps, le jeune agent se garait devant l'immeuble de cinq étages. Dans le hall, il fut accueilli par un vigile qui le fit passer dans un portique. Puis il lui demanda de lui présenter ses papiers d'identité et le laissa entrer dans l'ascenseur, escorté par un second agent de sécurité. Rigsby commençait à se demander où il était tombé.
Au dernier étage, les portes s'ouvrirent sur un autre vigile, guère plus avenant que les précédents. Après un dernier contrôle et un coup de téléphone, Wayne eut accès à un long couloir, au fond duquel il sonna à une porte blindée, au-dessus de laquelle, un caméra était braquée sur lui. Cet immeuble était déjà mieux surveillé que la réserve fédérale, mais ce n'était rien par rapport à cet étage.

Je me demande qui est l'heureuse élue de Rigsby...son prénom ne commencerait pas par un A par hasard
Et Lisbon qui n'hésite pas à se débarrasser du cadeau de Mashburn pour avoir Jane
Que nous réserves tu pour la suite

Johel a écrit:Je me demande qui est l'heureuse élue de Rigsby...son prénom ne commencerait pas par un A par hasard
Et Lisbon qui n'hésite pas à se débarrasser du cadeau de Mashburn pour avoir Jane
Que nous réserves tu pour la suite

l'essentiel es dit alors... je plussois

J'adore ce chapitre!
Bon finalement Lisbon a eu son Jane Elle s'est même démenée pour l'avoir
Mashburn: no comment
Et Rigsby je me doute de l'identité aussi de la femme
Vivement la suite!

Merci à toutes!!! Vous imaginez pas les efforts que je dois faire pour ne pas être tentée de casser le couple Jisbon!! Mais pour vous faire plaisir je vais essayer de me maîtriser.
Aller, voilà la suite...

Chapitre 8

La porte s'ouvrit et il eut sa réponse. Fluctuant entre surprise et joie de la revoir, il restait muet. Elle le prit par la main, demeurant sur le pas de la porte.
Elle ajouta: "Wayne, si tu n'entres pas, dans deux secondes, je vais finir sur le sol."
Il obtempéra aussitôt et referma derrière lui.
Rigsby: "Excuse-moi, je... j'étais tellement étonné de te revoir, depuis tout ce temps."
Elle tituba jusqu'au canapé.
Rigsby: "Ca va aller? Je vais te chercher un verre d'eau."
Addison: "Non, ça va. Assied-toi. Tu sais que ça m'agace quand tu joue les aides soignants. Ca va passer dans une minute."
Rigsby: "Bon, alors c'est toi cette mystérieuse donatrice. Mais si tu voulais me voir, un simple coup de téléphone t'aurais coûté moins cher."
Addison: "C'est clair, mais c'était plus original, non?"
Rigsby: "Heureusement que tu es milliardaire. Alors tu as fini par déménager. L'immeuble t'appartient j'imagine."
Addison: "Tu me connais, je ne fais pas les choses à moitié. Pourquoi acheter un appartement quand on peut s'offrir tout le bâtiment."
Elle était sans contexte bien plus décontractée que le jeune agent du CBI.
Rigsby: "Heu... Pourquoi tu m'as... acheté pour la soirée? Après m'avoir laissé tomber comme tu l'as fait."
Addison: "C'est à dire? Vas-y vide ton sac. Je suis toute ouïe."
Rigsby: "Tu ne m'as pas laissé la moindre chance. J'aurais fait n'importe quoi pour toi et tu le sais. Je t'aimais et toi tu m'as largué sans ménagement."
Elle se leva, l'air sérieux et marcha jusqu'à la fenêtre, s'arrêtant à un mètre de la vitre.
Addison: "Tu n'as pas digéré cette histoire, j'en déduis que tu ne t'es pas remis avec ta rouquine."
Rigsby: "C'est fini avec Grace, je crois que cette fois c'est pour de bon."
Addison: "Je suis désolée. C'est dommage. J'espérais que tu aurais refait ta vie."
Rigsby: "Mais on parlait pas de Grace! Pourquoi tu n'as pas voulu de moi? Qu'est-ce qui va pas chez moi?"
Addison: "Rien du tout. Je ne voulais pas que tu vives ce que je vis depuis plusieurs années. Ca aurait été injuste de t'imposer ça en plus de mes crises d'angoisse. Tu te rappelles quand je t'appelais au milieu de la nuit, parce que j'avais fait un cauchemar et que je pouvais plus respirer?"
Rigsby: "Bien sûr. Ca ne m'a jamais posé de problème."
Addison: "C'est ça. Faire 80km et ce jusqu'à quatre fois par semaines. J'étais vraiment égoïste. Je comprend pas comment tu pouvais faire ça uniquement pour une cinglé comme moi."
Rigsby: "Tu n'es pas cinglée. Tu veux que je te dises, j'adorais venir chez toi, au milieu de la nuit. Il m'arrive encore de me réveiller et de regarder mon portable en espérant qu'il sonne et que ce soit toi. Ca me manque."
Addison: "Ah oui. Tu parles! Je suis persuadée que ta vie est bien plus intéressante maintenant que tu m'as plus dans les pattes. Tu peux sortir avec des femmes normales."
Rigsby: "Tu te fais des idées Adi! Tout ce que je voulais c'était être avec toi, même si ça signifiait ne jamais sortir ni voyager. Je m'en fichais pourvu qu'on soit ensemble.
Je te l'ai répété je ne sais pas combien de fois. Mais tu ne m'as jamais cru."
Il s'interrompit un instant et repris: "Tu es comme les autres en fait. Je sais bien ce que tout le monde pense de moi. Wayne Rigsby, le grand costaud pas très malin. L'idiot en somme."
Addison: "Tu n'es pas un idiot. Je ne l'ai jamais pensé."
Rigsby: "Est-ce que tu as jamais été amoureuse de moi Addison? Soit honnête."
Elle prit le temps de rassembler ses idées avant de répondre. Elle jouait avec le pendentif, autour de son cou. Il vint vers elle et attrapa doucement le bijoux en question. Un petit ange en argent, cadeau de St Valentin du grand brun, un peu avant leur rupture.
Rigsby, un sourire éclairant son visage, si morne une seconde avant: "Tu l'as gardé."
Addison: "Tu te souviens ce que tu m'as dit en me l'offrant?"
Rigsby: "Ce sera ton ange gardien."
Ses yeux plongèrent dans ceux de la jeune femme, réveillant des souvenirs de leur passé qui n'était pas si lointain.
Rigsby: "Adi, je ..."
Addison: "Je sais."
Elle savait exactement ce qu'il allait lui dire et elle ne souhaitait pas l'entendre. Ces mots, Addison ne les avait prononcé qu'à l'intention de son mari, du seul homme de sa vie. Ce "je t'aime" ne franchirait plus jamais la barrière de sa bouche. Cette phrase était morte avec Riley. Cela ferait certainement souffrir Rigsby, qui avait besoin de l'entendre pour être rassuré quand à la teneur des sentiments de la jeune femme, mais c'était au-dessus de ses forces. Jamais plus elle ne retrouverait cette sensation de plénitude et d'amour qu'elle éprouvait auprès de son époux. Certes, Wayne était un homme formidable en tout point, mais il n'était pas lui.
Un baiser fut échangé et bien plus encore. Un plus qui se prolongea dans la chambre.
Lorsqu'elle s'endormit, au milieu de la nuit, Wayne l'observait. Elle tremblait et semblait en plein cauchemar. Il l'entoura de ses bras, la serrant contre lui. Ce n'était pas la première fois que cela se produisait. Il y avait assisté très souvent lorsqu'ils étaient ensemble. Mais le simple contact du jeune homme avait un effet quasi immédiat et elle se détendit.
Rigsby chuchota: "Je sais que tu me le dira jamais, mais je t'aime Adi."
Il essuya de son pouce, une larme qui descendait sur le visage de son amie, sur la cicatrice laissée par le sérial killer. Elle aurait pu la faire disparaître par une petite intervention chirurgicale, mais tenait à la conserver, pour ne pas oublier.
Cette nuit-là, des couples s'étaient reformés, d'autres s'étaient confirmés, comme pour Jane et Lisbon qui, s'ils en doutaient encore, étaient tout à fait compatibles.
Ils avaient terminé leur soirée au motel du consultant, un lieu neutre. "Ni chez moi, ni chez toi". c'était les propres mots de Lisbon, tout en délicatesse comme à son habitude. Encore un trait de son caractère qui faisait craquer le beau blond.
Au petit matin, après une courte nuit, les deux amants s'éveillèrent, enveloppés dans ce qui restait de leurs draps. Leur sommeil avait été plutôt agité, voire inexistant.
Le consultant, tourné tourné vers elle, déposa un délicat baiser à la commissure des lèvres de la jolie endormie.
Jane: "bonjour ma belle."
Lisbon grognant presque: "Hum! Quelle heure il est?"
Jane: "8h. On peut encore rester coucher une petite heure."
Lisbon: "Oh j'adorerais ça mais, Hightower va me tuer si j'arrive encore en retard. Et comme je ne peux pas lui donner la vrai raison..."
Jane: "Pourquoi pas?"
Lisbon se rhabillant: "Mais oui, je vois le tableau d'ici. Madame, je vous prie de m'excuser mais j'ai fait l'amour toute le nuit avec Jane et je ne me suis pas réveillée."
Jane: "Mouais, c'est sûr que dit comme ça, ça passerait mal."
Elle lui lança ses vêtements et fonça sous la douche, aussitôt rejointe par Jane. La porte se referma et une seconde après, le beau blond se retrouvait éjecté de la salle de bain.
Lisbon, à travers la porte: "Pas aujourd'hui, on a pas le temps. Et je déteste les travail bâclé."
Amusé plus que vexé, Patrick s'allongea sur le lit, repassant dans sa tête le film de la soirée. Il n'en revenait pas que Lisbon ait dépensé tout cet argent pour lui. Certes ce n'était pas vraiment le sien puisqu'il venait d'un cadeaux de Walter, mais ça n'avait pas d'importance. D'ailleurs le message était clair, Térésa n'avait que faire d'un milliardaire comme Mashburn, elle aurait donné jusqu'à son dernier cent pour Jane.
A cet instant, il en était certain, il avait trouvé la deuxième femme de sa vie et c'était Térésa Lisbon. Il n'y aurait plus qu'elle qui partagerait son existence. Plus aucune autre femme ne trouverait grâce à ses yeux. Térésa n'était pas simplement Lisbon, elle était à présent SA Lisbon.

Tout ça est trop simple quand on te connait...
Rigsby qui retrouve Addison, Jane et Lisbon ensemble
Trop facile
Quelle est donc la "surprise" que tu nous prépares

Ton Dernier chapitre c'est trop mignon Lisbon devient pour Jane SA LISBON

Ben quoi Johel, c'est peut-être mon côté "fleur bleu" qui ressort tout d'un coup.
NANNNN!!! C'est juste un petit passage mignon, mais tu me connais, dans les chapitres à venir ça va changer!!! Pas tout de suite mais bientôt!!!
Merci Karo de ton commentaire.

Chapitre 9

Un autre jeune couple s'apprêtait à quitter le cocon de leur lit. Contrairement à Jane et Lisbon, la mise en route fut moins énergique. Ils étaient si bien, elle lovée entre les bras
protecteurs de son ami et lui, profitant de l'instant présent, tant qu'il durait. Il respirait le parfum sucré de la jeune femme. Wayne s'attendait à ce qu'elle le jette dehors d'un moment à l'autre, après avoir réalisé son erreur. Mais ça n'était pas le genre de la demoiselle, elle avait toujours respecté Rigsby et avait était honnête avec lui. Un coup à la porte le fit sursauter.
Wayne: "Qu'est-ce que c'est?"
Addison: "Relax, c'est le gardien. Il me porte mon courrier. C'est un code entre nous."
Wayne: "Ah d'accord. Pourquoi un code, c'est plus sûr que Fort Knox, ici."
Addison: "C'est vrai, c'est un peu idiot, mais c'est une sorte de rituel."
Wayne: "Ok. Il va falloir que je parte."
Elle le bloqua dans le lit, pour l'empêcher de bouger.
Wayne: "Addison, qu'est-ce que tu fais?"
Addison: "Je veille sur mon investissement."
Elle l'embrassa et in en profita pour se dégager de son emprise et se lever.
Addison se laissant tomber sur l'oreiller: "Arg, c'est pas fair play!"
Le brun lui fit un sourire en terminant de se rhabiller. Il devait encore passer chez lui pour se changer.
Addison: "A plus tard Wayne. Oh, attend un peu."
Il se figea, le temps pour la jeune femme de lui déposer un dernier baiser dans le cou, lui laissant intentionnellement une belle trace de rouge à lèvre, sur le col de sa chemise. Vu l'heure avancée, il n'avait plus le temps de se rendre à son appartement et fila directement au CBI, dans sa tenue de la veille. Il allait à coup sûr devoir faire face aux blagues et railleries de ses collègues. Mais il s'en moquait, sa vie prenait enfin une tournure favorable.
Il prit la direction du bureau, tout comme ses collègues.
Térésa était prête et partit avant son compagnon. C'était mieux pour ne pas éveiller les soupçons sur leur couple.
Le mentaliste n'avait qu'une envie, ce matin, envoyer un mail à Addison, pour lui faire le compte rendu de sa charmante soirée. Il allait se connecter, quand son téléphone sonna: "Mashburn"
Il décrocha en grimaçant.
Jane, l'air faussement enjoué: "Walter! Quelle joie de vous entendre."
Walter: "Patrick, j'espère que je ne vous sort pas du lit."
Jane: "Qu'est-ce que je peux faire pour vous?"
Walter: "Je suis conscient de l'animosité qui existe entre nous. Et ce, à cause de notre attraction mutuelle pour Térésa. Mais je crois que je viens de perdre à ce jeu là."
Jane: "C'est ça que vous vouliez me dire. Que vous me donnez votre bénédiction?"
Walter: "Pas du tout, mais Térésa vous a choisi, je m'incline. Ce que j'ai à vous demander, c'est un service personnel."
Jane: "Je vous écoute."
Walter: "C'est délicat, ça me touche personnellement. Il s'agit de ma famille, ma petite soeur, Addison. Elle souffre d'agoraphobie, suite à un traumatisme qu'elle a subit, il y a trois ans. Je lui ai fait consulter les meilleurs spécialistes et aucun n'a eu de résultats. Addison est toujours incapable d'affronter l'extérieur."
Jane: "Qu'est-ce que vous attendez de moi?"
Walter: "Vous pourriez passer la voir pour lui parler. Vous êtes très doué pour mettre les gens en confiance."
Jane: "Vous voulez que je l'hypnotise. Je dois vous prévenir que si ça marche, cela pourrait-être temporaire et sa phobie pourrait réapparaître n'importe quand. Je ne suis pas très chaud pour utiliser l'hypnose dans ce genre de cas."
Walter: "S'il vous plait Patrick, je vous le demande en tant qu'ami. Je suis très inquiet pour Addison, elle abuse beaucoup trop de tranquillisants. J'ai peur que si ça continu, elle finisse mal."
Pour la première fois, il avait un Walter Mashburn suppliant au téléphone. Patrick pouvait sentir toutes les craintes du millionnaire dans sa voix.
Jane: "Très bien, je vais lui rendre visite."
Walter: "Merci Patrick, je vous le revaudrais."
Il lui donna l'adresse de la jeune femme, le prévenant pour qu'il ne soit pas surpris par la petite armée qui l'accueillerait dans l'immeuble.
Le mentaliste s'y rendit dans la foulée. Mashburn n'avait jamais été un mauvais gars et malgré leur rivalité concernant Térésa, il l'appréciait et Addison était pratiquement devenue sa meilleure amie.
Même si il ne la croyait pas capable de faire une bêtise aussi radicale qu'une overdose, il préférait s'en assurer. Et maintenant qu'il avait obtenu son adresse, il n'allait pas se priver de l'utiliser. Il se mit donc aussitôt en route.
Au CBI, une vague de bonne humeur semblait avoir envahie les lieux. En tout cas, pour certains, et en particulier Rigsby, qui arriva en sifflotant, avec ses vêtements de la veille. Il s'installa à son poste.
Son collègue fit pivoter sa chaise, s'accoudant au bureau du brun.
Cho: "Alors, ta soirée? Plutôt ta nuit." Dit-il en remarquant la trace de rouge.
Rigsby: "Tu vas pas le croire. C'était elle, Addison."
Cho: "Addison, ton ex!"
Rigsby: "Ouais, c'est dingue non! C'était comme si on s'était quitté hier."
Cho: "T'as couché avec elle?"
Rigsby: "Chut, je tiens pas à ce que Grace entende ça."
Cho: "Elle est en congés pour un mois, chez ses parents. Donc t'as couché avec ton ex."
Rigsby: "Pour qui tu me prend? On a discuté."
L'asiatique le fixait de son regard noir.
Rigsby: "Bon d'accord, on a passé la nuit ensemble. T'es satisfait."
Cho se retourna vers son bureau: "Enfin! C'est pas trop tôt, ça faisait combien, six mois."
Rigsby: "Lâche-moi Cho!"
Cho: "Tu vas la revoir?"
Rigsby: "Oui. C'est bon t'as fini là!"
L'asiatique avait du mal à ne pas rire.
Leur chef se planta devant ses deux collaborateurs, en baillant.
Rigsby: "Ca va patron? Vous avez l'air crevée."
Lisbon pensa: "Tu m'étonnes, une nuit entière avec Jane, c'est très agréable mais épuisant."
Un petit sourire naquit sur ses lèvres, qu'elle maîtrisa aussitôt.
Lisbon: "Je me suis couchée tard après la soirée."
Rigsby savait qu'elle avait dépensé une petite fortune pour faire l'acquisition du consultant, mais n'y fit pas allusion, du moins devant les autres.
Lisbon poursuivit: "Comme vous l'avez remarqué, nous sommes en effectif réduit, étant donné que Van Pelt sera absente un mois. Donc je compte sur vous pour la remplacer au mieux."
Cho: "Ok patron."
Rigsby se leva et le rejoignit dans son bureau: "Patron. Qu'est-ce qui se passe avec Van Pelt? Elle va quitter l'unité?"
Lisbon: "Elle en a parlé oui. C'est pour ça que je lui ai conseillé de s'éloigner un peu de Sacramento pour y réfléchir. Elle me donnera sa réponse définitive à son retour."
Rigsby: "Merci patron."
Lisbon: "Heu, Rigsby. Merci à vous de n'avoir rien dit à propos d'hier. Vous savez, je n'ai fait que signer un chèque. Jane et moi on est repartit chacun de notre côté."
Rigsby: "Ne vous en faites pas, je ne dirais rien. Et vous n'avez pas à vous justifier."
Il revint s'asseoir à son bureau. Wayne venait de donner sa parole à sa patronne et il s'y tiendrait. De toutes façons, il avait la tête ailleurs. Préoccupé par l'absence de Grace et perturbé par le retour d'Addison dans sa vie.
Une autre question taraudait l'agent Lisbon: "Mais où était Jane? Il devrait déjà être là."

On se croirait presque en pays bisounours
Mais je te fais confiance pour que ça se gâte très vite
Comme dit une chanson "ça sent mauvais dans l'air"

C'est toujours aussi bien
VLS

je pense comme Johel c'est un peu trop calme pour le moment, ça ne peut pas durer toujours surtout avec toi il va se passer un truc mauvais et je sens que notre couple favori va en souffrir
j'attends de voir :vivement: :vivement: :vivement:

Rigsby avec Addison, Lisbon avec Jane, la vie est belle
Van Pelt veut quitter l'unité ?
Je suis contente que Rigsby ait retrouvé sa copine mais j'ai peur que tu nous fasse le grand retour du tueur de couples dans pas longemps ...

J'ai tord ?

VLS

Merci à toutes!!!!
Profitez bien de ce dernier chapitre "calme", parce que les prochains le seront beaucoup moins!!

Chapitre 10

Patrick débarqua dans le hall de l'immeuble. Comme spécifié par Walter, il du se plier à tous les contrôles avant d'atteindre l'étage de l'appartement d'Addison. Elle n'était pas au courant des plans de son frère.
Le gardien la prévint par l'interphone: "Mme Weaver, un certain Patrick Jane est ici. Il dit qu'il est un ami de Mr Mashburn."
Jane secoua sa main devant la caméra.
Addison: "Laissez-le passer."
Elle évacua quelques peu sa colère avant d'ouvrir: "Putain Walter, tu pourrais pas t'occuper de tes fesses pour changer!"
Elle inspira à fond, souri devant le miroir et ouvrit la porte.
Addison: "Patrick! Entrez je vous en prie."
Comme d'habitude, elle ne s'attardait pas sur le seuil, laissant au visiteur le soin de refermer la porte.
Jane: "Ca me fait plaisir de vous voir enfin, en vrai."
Addison: "C'est étrange, n'est-ce pas. Alors, pas trop déçu?"
Jane: "Mon écran ne vous rend pas justice. Vous êtes bien plus jolie au naturel."
Addison: "Moi je vous imaginais plus grand. Je vous offre quelque chose? Autant vous prévenir, vous ne trouverez pas de thé ici. Les excitants me sont interdits. Du déca uniquement."
Jane: "Ce sera parfait."
Elle revint de la cuisine, ne laissant pas le temps à Patrick de fouiner partout.
Addison: "Alors, c'est Walter qui vous envoie."
Jane: "Oui, c'est bien lui. J'ignorais que vous étiez une Mashburn."
Addison: "Chacun ses problèmes."
Elle n'était pas très bavarde, le regard fuyant.
Jane: "Ma présence vous dérange. Vous étiez plus loquace derrière votre écran."
Addison: "Je ne reçois jamais de visites. Ca me rend nerveuse."
Jane: "Votre frère doit bien passer vous voir."
Addison: "Pas ces derniers temps. On est en froid depuis que j'ai refusé de continuer à voir ce psy qui ne servait à rien, appart à me parler des heures de mon enfance."
Jane: "Enfance malheureuse?"
Addison: "Justement non. Il n'y a rien qui cloche chez moi. C'est bien le problème. Alors pourquoi je ne suis pas capable de sortir d'ici!"
Elle reposa sa tasse violemment sur la table.
Jane: "C'est du déca? Vous êtes sûre? Pas très efficace."
Addison: "Je suis désolée."
La jeune femme s'éclipsa dans la salle de bain, elle ouvrit une armoire et en sortit un flacon. En refermant le placard, elle vit le reflet du consultant dans le miroir.
Addison: "Ne vous gênez surtout pas!"
Jane entra et rouvrit l'armoire en sifflant: "C'est la succursale d'un dealer?"
Addison: "Très spirituel! Bravo!"
Il retournèrent dans le séjour.
Addison, furieuse: "Je ne sais pas pourquoi Walt vous a fait venir. Mais je ne suis pas de bonne compagnie aujourd'hui alors vous feriez mieux de partir."
Elle allait avaler un comprimé, un de plus. Depuis un certain temps, elle en prenait des quantités qui frôlaient l'overdose, surtout depuis la réception de cette lettre.
Jane saisie sa main, l'obligeant à laisser tomber les pillules sur le sol.
Addison: "Je vous ai demandé de partir."
Jane: "Walter avait raison, vous êtes accro. Vous finirez par vous tuer à force de prendre ces saletés."
Addison, ironique: "C'est vrai que ma vie est tellement belle, ce serait un drame que je la perde."
Jane: "Ne dites pas ça! Vous referez votre vie. Peut-être pas tout de suite mais un jour vous le pourrez. Vous regarderez une personne et vous saurez que c'est elle."
Addison: "C'est facile pour vous de me sortir ce genre de banalités. Vous avez retrouvé une femme qui est prête à tout pour vous et le meurtrier de votre famille est mort. Ma situation est tout à fait différente. Je n'ai personne à qui me raccrocher."
Jane: "Vous avez Rigsby. Il était ici cette nuit, je me trompe?"
Addison: "Je déteste les médiums."
Jane: "Ca n'a rien à voir. Vous avez laissé deux verres de vin sales dans l'évier, et il y avait deux brosses à dents dans votre salle de bain."
Addison: "Bien vu. Et maintenant que vous avez percé tous mes secrets, qu'est-ce qu'on fait? Je ne vous parlerais pas de Wayne si c'est ce que vous espériez."
Il se leva comme si il allait quitter l'appartement, elle le raccompagna à la porte.
Jane: "Walter m'avait demandé de vous hypnotiser pour vous guérir de votre psychose, mais ça me semble inutile. Vous ne voulez pas, vous ne l'avez jamais voulu et ne le voudrez jamais. Vous vous complaisez dans cet état. Il me parait impossible de vous en libérer."
Il passa sa main devant les yeux de la jeune femme, sans réaction. Sa respiration avait changée et sa tête retomba sur l'épaule du consultant.
Les seuls mots qu'elle entendit furent: "Je vais compter jusqu'à trois et vous vous réveillerez lentement. Un, deux, trois."
Elle ouvrit les yeux, sans aucun souvenir de ce qui venait de se passer.
Addison: "Vous êtes encore là?"
Elle se leva et le raccompagna, une deuxième fois, à la porte. Il lui attrapa le bras et l'entraîna dans le couloir.
Addison: "Mais qu'est-ce qui vous prend, vous êtes cinglé!"
Jane: "Regardez autour de vous."
Elle réalisa qu'elle était en dehors de son appartement et qu'elle n'en éprouvait aucune gêne.
Addison: "C'est pas vrai!"
Elle couru chez elle, pour passer la tête à la fenêtre, chose impossible quelques minutes avant.
Addison: "Qu'est-ce que vous m'avez fait Patrick?"
Elle se jeta dans ses bras.
Jane: "Je vous ai juste hypnotisée."
Addison: "Juste hypnotisée! Vous rigolez, j'ai été hypnotisée plusieurs fois et ça a été échec après échec."
Jane: "Mais je dois vous mettre en garde, cet état peut être temporaire et vous pourriez vous trouver au beau milieu de la rue quand l'hypnose cessera de faire effet."
Addison: "Je m'en fiche, c'est une sensation tellement exceptionnelle."
Elle l'embrassa sur les lèvres dans l'euphorie du moment, sans penser à mal. Lorsqu'elle vit la gêne occasionnée, elle s'excusa.
Addison: "Désolée."
Jane: "C'est rien. Je suis heureux d'avoir pu vous aider."
Addison: "Ca vous dirait d'aller faire un tour?"
Jane: "Je ne sais pas trop. Il faut que j'aille au CBI."
Addison: "Vous sortez avec votre patronne, elle ne dira rien. Allez, vous ne pouvez pas refuser. Et puis si ça ne dure pas, j'aimerais autant en profiter."
Devant les arguments et l'insistance de la demoiselle, il accepta et ils passèrent la matinée au parc, en bas de l'immeuble. Elle ne voulait pas trop s'éloigner, en cas de rechute inopportune.
Addison, munie de lunettes noires car la luminosité était agressive pour elle: "J'avais oublié ce que ça faisait de sentir le soleil."
Jane: "Je connais cette impression. Ca m'a fait la même chose, le jour de ma sortie."
Ils marchèrent un grand moment à l'ombre des arbres.
Le portable du consultant se mit à vibrer dans sa poche.
Addison: "Ah, vous lui manquez déjà."
Jane: "Elle ne peut plus se passer de moi."
Addison: "Je la comprend. Heu, oubliez ça, j'ai rien dit."
Le beau blond se mit à l'écart en souriant, laissant son amie assise sur un banc, à respirer l'air pur.
Jane: "Oui Lisbon!"
Lisbon: "Où est-ce que tu es Patrick?"
Jane: "Je me suis attardé dans un parc, je n'ai pas vu le temps passé."
Lisbon: "Peu importe. Reviens vite au bureau. On a un problème. Un double meurtre dans le centre de Sacramento."
Jane: "Ca n'a rien de très extraordinaire. En quoi c'est urgent?"
Lisbon: "Le mode opératoire me fait penser à celui de Red John. Mais ce n'est pas tout."
Jane: "Quoi? Dis-moi ce qu'il y a."
Lisbon: "La police a aussi retrouvé le corps d'un nouveau né. D'après le légiste, les parents ont été tués il y a trois jours. Je n'en ai pas encore informé les autres."
Jane: "..."
Lisbon: "Patrick?"
Il raccrocha et revint près de la jeune femme. Il était tout pâle et s'assis sur le banc.
Addison: "Mauvaises nouvelles?"
Il la dévisageait, ne sachant comment lui annoncer ce qui c'était passé, ce meurtre avait été commis une nuit de pleine lune. Comme pour le mari et l'amie d'Addison. Coïncidence? Il n'y croyait pas une seconde. Devant le regard appuyé de Jane, elle comprit instantanément et repensa à la lettre. Elle perdit son souffle. Tout se mit à tourner, elle suffoquait.
Jane: "Addison, ça va? Regardez-moi."
Addison eut juste le temps de dire: "Ca recommence, je crois que je vais..."
Elle perdit connaissance. A son réveil, elle était sur son canapé. Jane l'avait ramenée en la portant.
Jane: "Je suis navré que ça n'ai pas fonctionné plus longtemps."
Addison: "Vous m'avez offert quelques heures de liberté, c'est déjà ça. Mais vous devriez déjà être au CBI."
Jane: "Je ne peux pas vous laisser seule. Pas après ça. Une rechute est souvent associé à une dépression. Je ne voudrais pas que vous fassiez une bêtise."
Addison: "Ce n'est qu'une rechute et pas la première. Partez tranquille, j'ai l'habitude."
Jane: "Comme vous voudrez. Je vous appelle plus tard."
Il se pencha sur elle et l'embrassa sur le front.
Addison: "Patrick, pour le baiser de ce matin, c'était purement amical. Ne vous affolez pas. On est ami."
Jane lui sourit avant de passer la porte.

Addison: "Patrick, pour le baiser de ce matin, c'était purement amical. Ne vous affolez pas. On est ami."

Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que le Jisbon a du plomb dans l'aile
Je sens venir les ennuis
Reste à voir quel genre d'ennuis

j'aimerais croire que ce baiser n'était qu'un geste amicale et un remerciement, mais te connaissant, je sens qu'il y a autre chose et que ça va ma finir pour Jane et Lisbon je ne sais pas mais j'ai peur de lire la suite de ta fic dis moi que je me trompe, dis moi qu'ils finiront ensemble à la fin, même s'ils se séparent en cour de route
and see

Aller tout de suite, c'est pas parce qu'une femme l'embrasse qu'il va forcément se laisser séduire.
Et puis il est avec Lisbon! Bon vous avez raison, quand c'est moi qui dit ça, on ne peut pas s'y fier.
Merci de suivre ma fic, c'est toujours sympa de lire de vos commentaires!!

Chapitre 11

Dès le départ du mentaliste, Addison reprit la lettre qu'elle avait gardée, se demandant si elle devait en parler à la police ou à Rigsby. Mais elle se ravisa et la remit à sa place.
Il était inutile de s'affoler pour le moment. L'appel reçut par Jane n'avait peut-être rien à voir avec ça, même si le regard qu'il lui avait lancé lui paraissait suspect.
Jane arriva au CBI et fut quasiment agressé par Lisbon, dès qu'il eu posé le pied hors de l'ascenseur.
Lisbon: "Viens, les autres nous attendent, pour le briefing."
Il prit place dans son canapé, alors que Cho s'assit dans une chaise, le grand brun restait debout, adossé à la cloison.
Lisbon: "Bien, fini les vacances, nous avons une affaire sur les bras."
Jane, qui était déjà au courant, ne l'interrompit pas. Il s'était allongé et se concentrait sur Elvis. Rigsby s'étira en baillant et Cho referma son bouquin.
Lisbon: "Un double meurtre, dans le secteur de River Park. Pamela et Brent Adams. Tués à l'arme blanche, cinq coups de couteau chacun, en pleine poitrine. Un bébé a été retrouvé dans la chambre à côté, mort de déshydratation. Tout porte à croire qu'il était vivant au départ du coupable. Il n'a subit aucune violence."
Jane essayait de faire le vide pour supporter ce compte rendu. Dès qu'un enfant était concerné, il revoyait les images de sa fille assassinée.
Lisbon continua son exposé: "Ce n'est pas tout..."
Jane, les yeux fermés: "L'assassin a entaillé le visage de la femme."
Lisbon: "Moui. Comment vous le savez?"
Jane: "Une intuition."
Il repensa à la cicatrice d'Addison.
Rigsby: "Ca me rappelle un vieux dossier. Le tueur de la pleine lune."
Lisbon: "Todd Johnson? Mais il est mort en garde à vue."
Rigsby: "Non, c'était après lui."
Cho: "Oui, je me souviens. Il avait massacré une trentaines de personnes, sans compter les enfants, en quatre ans. Ses dernières victimes connues étaient un couple à Santa Monica, il y a trois ans. Le seul cas où il n'y avait pas d'enfant. Mais ça ne peut pas être lui, il a été exécuté. C'est peut-être un imitateur."
Jane: "Ou bien le vrai tueur."
Lisbon: "Ne recommencez pas avec votre théorie, Jane. Ce n'est pas parce que vous êtes persuadé que vous n'avez pas tuer Red John, que c'est la même chose ici. Bon Cho, vous venez avec moi, on va sur place. Le coroner nous attend. Rigsby, essayez d'en savoir plus sur ce "tueur de la pleine lune", ses victimes, leur profil. Et n'écoutez pas les délires de Jane."
Ils se mirent en route, tandis que Rigsby, lui, avait l'air inquiet. Il attrapa sa veste et se dirigea vers l'ascenseur.
Jane lui emboîta le pas: "Rigsby, où tu vas?"
Rigsby: "Nulle part. J'ai un coup de fil à passer. En privé."
Jane: "OK, j'ai compris. Je te laisse."
En repartant, il observait le grand brun qui avait changé d'expression à l'évocation de ce crime. Jane ne lui avait pas précisé qu'il correspondait avec Addison, depuis plus d'un mois. Wayne ignorait donc complètement cette relation.
Loin du regard de son collègue, il passa son appel.
Rigsby: "Allo, Addison."
Addison: "Wayne, qu'est-ce qui se passe? Ta voix est étrange."
Rigsby: "Tu es assise?"
Addison: "Oui. Tu me fais peur, qu'est-ce qu'il y a?"
Rigsby: "La police de Sacramento a découvert un couple, ils ont été poignardés et..."
Addison: "La femme a une entaille sur la joue gauche."
Il ne lui dit rien à propos du bébé, cette information aurait été trop difficile à entendre pour elle.
Rigsby: "Ne panique pas. On est pas sûr que ce soit lui."
Addison: "Arrête, ça sonne faux. Dis-moi ce que toi tu penses réellement."
Rigsby: "Je crois que tu avais raison, ils n'ont pas attrapé le bon type. Il faut que tu partes de cette ville. C'est trop dangereux. Il pourrait vouloir finir ce qu'il a commencé."
Addison: "Je ne peux pas. Tu oublis que je suis incapable de sortir de chez moi."
Rigsby: "Alors je vais faire renforcer la surveillance de ton immeuble."
Addison: "Merci, mais si il avait voulu s'en prendre à moi, il l'aurait déjà fait. Ca ira."
Rigsby: "Comme tu voudras, mais en cas de problème appelle-moi. Même la nuit."
Addison: "Tu en fais trop Wayne. Je ne risque rien. Je t'assure."
Rigsby: "Je passerais tout de même te voir ce soir."
Addison: "Ne te donne pas cette peine. Tu vas certainement finir tard ton boulot. On se verra demain."
Rigsby: "Ok. Je t'aime."
Addison: "A demain."
Elle raccrocha. Rigsby n'obtint pas le retour escompté à sa déclaration. Il ne la forcerait pas à lui dire ces mots. Jamais il ne le ferait. Cela devait venir d'elle sinon ça n'aurait aucune valeur. Il n'avait pas l'intention de remplacer son défunt mari, mais il espérait qu'Addison ait de réel sentiments pour lui. Rigsby était un homme sensible sous ses airs de grand bourru. Quand à savoir si elle ressentait la même chose, là était la question. Il n'arrivait pas à la cerner, à entrer dans sa tête. Peut-être ne faisait-elle que combler un vide affectif avec lui? En tout cas, pour lui, ça n'avait rien d'un jeu, il tenait à elle et après avoir longtemps chercher la femme qui partagerait sa vie, il pensait que se serait elle. En même temps, il avait eu la même impression concernant Grace et cela s'était mal terminé.
Jane le fit redescendre sur terre: "C'était qui, au téléphone?"
Rigsby: "Personne."
Jane: "Tu devrais m'en parler. Ce n'est pas bon de garder tout ça à l'intérieur."
Rigsby: "D'accord. Mais ça reste entre nous."
Jane: "Ca va de soit."
Rigsby: "J'ai rencontré une fille, il y a quelques temps, sur le net. Ca a duré plusieurs mois et on a rompu."
Jane termina: "Et vous avez renoué récemment. D'où ce coup de fil. Laisse-moi deviner, c'est elle qui a participé aux enchères et chez qui tu as passé la nuit."
Rigsby ne pouvait qu'acquiescer sans broncher, sûr qu'il avait obtenu ces renseignements de la bouche de Cho.
Jane: "Si tu l'a appelée après le briefing de Lisbon, c'est qu'elle a un lien avec cette affaire. Je dirais, à ton expression que c'est une des victimes. Non, elle connaissait une des victimes."
Rigsby: "Toi, tu as un vrai don, quoi que tu en dises."
Le blond haussa les épaules en souriant.
Rigsby: "Je voudrais la protéger mais elle refusera. Elle est trop fière et bornée."
Jane: "Va la voir et dis-lui ce que tu as sur le coeur. Tu devrais t'installer chez elle quelques temps. Histoire de te rassurer et de prendre soin d'elle."
Le blond eut à peine terminé sa phrase qu'il s'était évaporé pour se vautrer sur son canapé. Le jeune agent trouvait l'idée intéressante mais étrange. Pourquoi lui proposer d'aller vivre chez elle et pas l'inverse. Il y avait quelque chose de pas net là-dessous. Jane lui taisait un détail important, ou alors il connaissait le problème d'Addison, mais comment?
Cho et Lisbon revinrent dans l'après-midi, sans le moindre indice supplémentaire. Ils étaient au point mort.
Lisbon: "Rigsby, vous avez trouvé des renseignements sur le "tueur de la pleine lune"?"
Rigsby: "Aucune info de plus que le profil des victimes. Des couples mariés avec un bébé ou sur le point d'être parents. Le meurtrier emploi le même type d'arme, un couteau de chasse et entaille la joue gauche de ses victimes féminines."
Lisbon: "Je suppose qu'il n'y a jamais eu de survivants? Ce serait trop beau."
L'asiatique n'avait pas perdu de temps et avait lancé une recherche sur le serveur du FBI.
Cho: "J'ai quelque chose patron. Il y a une femme, un témoin. Addison Weaver. Elle vit ici, à Sacramento."
Lisbon: "Cho, allez lui rendre visite. Et emmenez Jane, on ne sait jamais, il pourrait être utile."
Jane: "Vous devriez confier cet interrogatoire à Rigsby. Il avait l'air d'en savoir plus que nous sur ce tueur. Et il sera plus diplomate que Cho, pour aborder le témoin d'un tel crime."
Lisbon: "Et vous?"
Jane: "Je ne serais pas très à l'aise sur ce cas, je préfère m'abstenir de rencontrer les témoins."
Térésa compris implicitement que ces meurtres éveillaient trop de souvenirs douloureux pour lui et elle n'insista pas. L'explication était, en fait toute autre. Jane ne voulait pas que Rigsby apprenne qu'il était en contact avec sa petite amie. Cela aurait créer des tensions inutiles et des quiproquos.
Le grand brun se rendit donc seul, chez Mme Weaver.

Pourquoi Jane ne veut-il pas dire à Rigsby qu'il connait Addison
Il ne s'est rien passé (enfin pour le moment) entre elle et lui
Et Rigsby qui y va tout seul
Pourquoi je me dis qu'il risque de le regretter . Addison ne sort jamais de son bunker, il faut que le meurtrier trouve un moyen de l'attirer à l'extérieur...
Il ne reste plus qu'à attendre la suite...

Nouvelle fan de ta fiction

il me tarde de savoir la suite :)

Merci beaucoup et bienvenue aux nouvelles venues sur ma fic!!
Ca me fait super plaisir!!
Bon ce soir, pas le temps d'écrire, alors la suite demain!!

Désolé pour le double post:

Chapitre 12

Au CBI, les agents étaient dans une impasse, s'il s'agissait du "tueur de la pleine lune", ils n'avaient aucun moyen de lui mettre la main dessus. Il ne leur restait plus qu'à attendre qu'il recommence. Mais cela n'arrangerait pas la situation, étant donné que ce psychopathe frappait n'importe qui, n'importe où. Le seul point commun entre les victimes était leur statut marital et parental, ou sur le point d'être parents.
L'asiatique, qui venait d'approfondir ses recherches à ce sujet, apporta ses résultats à sa supérieure.
Lisbon: "Vous avez trouvé quelque chose Cho?"
Cho: "Rien de très encourageant. Si on se réfère au profil, il y a, à Sacramento, pas moins d'un quinzaine de couples qui correspondrait parfaitement."
Lisbon: "On aura jamais assez d'effectif pour tous les placer sous surveillance. Il faut affiner le profil. Le prochaine pleine lune a lieu dans 12 jours. Ca nous laisse un peu de marge."
Cho: "Ouais, à moins qu'il ne change de mode opératoire d'ici là."
L'optimisme de l'agent était de mise en toutes circonstances et pourtant, il avait raison. Ce tueur s'était arrêté de commettre ses crimes pendant 4 ans, sans raison, alors il était impossible de prévoir ses réactions. Peut-être ne remettrait-il pas ça, peut-être allait-il à nouveau s'interrompre?
Lisbon: "Espérons que cette Addison Weaver puisse nous apporter des réponses. J'aurais du vous envoyer avec Rigsby."
Il avait l'air ennuyé par cette remarque.
Lisbon: "Quoi? Ca vous dérange ce que je viens de dire? Je n'insinuais pas que Rigsby n'était pas qualifié pour obtenir des infos, mais simplement que vous seriez plus persuasif."
Cho: "Non, ce n'est pas ça."
Lisbon: "C'est quoi alors?"
Cho: "Cette femme, Addison, elle est agoraphobe, et Rigsby n'osera pas la bousculer pour l'interroger."
Lisbon: "Je ne vois pas le rapport, ne pas pouvoir sortir n'induit pas qu'elle ne puisse pas répondre à des questions. Et d'ailleurs, elle bosse en collaboration avec la police de Sacramento, elle a l'habitude. Je ne vois pas en quoi c'est différent avec le CBI."
Cho: "Ce n'est pas différent, à moins que l'agent qui la questionne soit intimement lié à elle."
Lisbon: "Non, ne me dites pas que Rigsby sort, si on peut dire, avec notre seul témoin. Enfin! Cette fois au moins elle n'est pas flic."
Cho: "C'est une coïncidence, ils étaient ensemble bien avant ça."
Lisbon: "Autre chose?"
Cho: "Le nom de jeune fille de Mme Weaver est Mashburn. C'est la soeur de Walter Mashburn."
Lisbon soupira: "Pourquoi jamais rien n'est simple. On va être obligé de la mettre sous protection 24h/24. S'il lui arrivait quoi que ce soit, le CBI se retrouverait avec la meute d'avocats de Mashburn, sur le dos."
Cho: "Vous allez le prévenir? Comme vous étiez proche..."
Il était bien le seul à pouvoir se permettre ce genre de réflexion, sans s'attirer les foudres de sa patronne.
Lisbon: "Pas pour le moment. Je ne le ferais que si c'est absolument nécessaire. Mais j'imagine que sa soeur a déjà du le contacter."
Le mentaliste n'avait pas perdu une miette de la conversation, depuis son canapé. Il cherchait des solutions mais n'en trouvait aucune. Le fait que le coupable emploi les mêmes méthodes que Red John lui brouillait les idées. Il ne raisonnait plus rationnellement, d'autant plus que c'était une amie qui était au centre de cette affaire. Il ne pouvait pas en parler à Lisbon, elle en tirerait des conclusions erronées. Jane ne voulait pas la braquer contre lui, alors qu'ils entamaient à peine leur relation.
Après tout, il avait bien le droit d'avoir des amies sans qu'il y ait autre chose derrière cette amitié. N'étant pas certain que Térésa voit les choses sous cet angle, il préférait s'abstenir d'en faire état. Le fait même qu'il n'ose pas en parler, le surprenait. Ce pseudo baiser l'avait plus troublé que celle qui en était à l'origine, même si il se plaisait à ignorer ce fait. Jane ne s'impliquerait pas autant que pour les autres dossiers, restant à l'écart des investigations. Il avait décidé de mener sa propre enquête en parallèle, avec le concours d'Addison. Elle était trop proche de Rigsby pour que ce dernier en tire quoi que ce soit de concluant, tandis qu'avec Patrick, elle serait plus encline à se confier. Le beau blond passa par le bureau de Lisbon.
Jane: "Térésa, je ne serais pas sur cette affaire."
Lisbon: "A cause de Red John. Je comprend. Je ne veux pas te forcer à participer à cette enquête. J'ai bien vu que ça te perturbait."
Jane: "Je te remercie Térésa. Je ne veux pas te faire faux bon, mais là je ne peux vraiment pas être sur ce dossier."
Lisbon: "C'est d'accord Patrick. Tu es dispensé pour cette fois."
Il lui sourit avant d'attraper la poignée de la porte, elle le rejoint.
Lisbon: "Heu, Patrick, là ce n'est plus l'agent qui parle, c'est l'amie. Ne fais pas de bêtises en menant ta petite enquête en douce."
Elle lui donna un baiser, puis il sortit sans rien ajouter. Ce qui voulait dire qu'elle l'avait percé à jour. Rien d'étonnant, elle le connaissait par coeur.
Rigsby, quand à lui, frappait chez le témoin.
Addison: "Qu'est-ce que tu fais là? On devait pas se voir avant demain."
Rigsby: "Je m'inquiétait pour toi."
Addison: "Il n'y a pas de quoi. Je vais très bien."
Le tube vide, sur la table basse, prouvait le contraire. Elle le ramassa pour le jeter, sous le regard du grand brun.
Rigsby: "S'il te plait dis-moi que tu n'as pas une addiction à ces trucs là?"
Addison: "Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi."
Rigsby: "Ton frère aussi t'a fait la leçon?"
Addison: "Tu connais Walter, Mr faites ce que je dis et pas ce que je fais. Lui il est accro au pouvoir et au fric. Ca le rendrait dingue s'il savait que je te revois, toi, un simple agent du CBI."
Rigsby: "Ouais j'imagine. En parlant de ça, j'ai beaucoup réfléchi, et je me suis dis que je pourrais passer quelques jours ici, avec toi."
Addison: "Heu... Wayne, tu sais, je n'ai pas besoin d'un garde du corps de plus, j'en ai bien assez."
Rigsby: "Ce serait plus pour moi que pour toi. Je serais rassuré en restant avec toi."
Il en avait oublié la principale raison de sa visite, mais elle y fit référence en premier, évitant ainsi toute réponse.
Addison: "Tu n'es pas venu uniquement pour m'offrir tes services?"
Rigsby: "On a besoin de détails sur le "tueur de la pleine lune". Est-ce qu'il est entré en contact avec toi?"
Elle lui menti délibérément.
Addison: "Non, jamais. Je ne vois comment je pourrais vous aider."
Rigsby: "Tu ne te souviens de rien, une caractéristique physique, le son de sa voix."
Addison: "Je ne peux que te répéter ce que j'ai dis au FBI, à l'époque. C'était un homme entre 1m80 et 1m90, à l'intonation qu'il prenait, il faisait des efforts, un ancien bègue d'après moi. Et, ah oui! Il avait ce tic, il posait sa main sur sa ceinture comme... Comme un flic."
Rigsby: "Tu as dit tout ça au FBI?"
Addison: "Tout appart ce dernier détail. Ca vient de me revenir."
Elle fronçait les sourcils, le regard préoccupé.
Rigsby, lui tenant les mains: "Je reste chez toi le temps de l'enquête. Je serais incapable de fermer l'oeil si je ne suis pas avec toi. Tu acceptes?"
Addison: "Bien sûr. Si je te dis non, tu es capable de dormir dans le couloir, alors."
Elle n'était pas forcément ravie d'accueillir un locataire imprévu, elle tenait à son indépendance. Alors vivre à deux, même temporairement ne l'enchantait pas du tout. Elle n'en laissa rien transparaître. Il y avait une différence entre recevoir son ami pour la nuit et l'héberger pour une durée indéterminée.

Trop intriguante cette histoire

hâte de connaître la suite

Jane qui ne veut pas être sur l'affaire du "tueur de la pleine lune" (Le nom du serial killer ) parce qu'Addison le trouble...mais qui va faire sa petite enquête perso...
Addison qui ne dit pas tout à Rigsby...
Tout ça ne peut qu'amener des problèmes...de gros problèmes...
tu ne les tues pas tous à la fin...