Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
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Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Superbe chapitre où Jane se met à nu, se livre...
Ta façon de décrire ce qui se passe en lui est
Puis ses aveux qui tombent de façon si juste...
Mais pourquoi faut-il toujours qu'un importun se présente dans ces moments là
J'ai hâte de voir ce que tu nous réserves pour la suite
Ta façon de décrire ce qui se passe en lui est
Puis ses aveux qui tombent de façon si juste...
Mais pourquoi faut-il toujours qu'un importun se présente dans ces moments là
J'ai hâte de voir ce que tu nous réserves pour la suite
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Jane qui se livre a Lisbon c'est beau...j'aimerai voir ça dans la série
En tout cas bravo c'est un super Chapitre continue comme ça
En tout cas bravo c'est un super Chapitre continue comme ça
Invité- Invité
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Bonsoir tout le monde!
Avant toute chose, merci à Lilia, Dawnie, Johel et Cocodu66 pour vos commentaires
Et également aux passants de cette fic!
Voici donc le chapitre 12, qui suit de très près le précédent...mais on en apprend encore, enfin j'espère!
Bonne lecture
Ils étaient tous deux silencieux. Lisbon cherchant ses mots. Jane cherchant à lire en elle. Il devait bien avouer qu’il n’y parvenait plus. Depuis qu’il s’était rendu compte de la nature des sentiments qu’il portait à Lisbon, le mentaliste s’était découvert un talon d’Achille. Il ne pouvait pas lire en Teresa Lisbon. Et ne le pourrait certainement plus jamais. En même temps, cela le rassurait, cela mettrait leur relation sur un pied d’égalité. Et il devait bien s’avouer qu’il ne souhaitait pas lire en elle. Non. Cela l’aurait trop fait souffrir.
Il était toutefois préoccupé. Lisbon n’avait toujours rien dit. N’avait toujours pas répondu à sa semi déclaration. Et il devait bien s’avouer qu’il était inquiet. La première fois qu’il s’ouvrait à quelqu’un de façon si criante de vérité, et surtout, de façon si explicite, cette première fois depuis bien longtemps ne pouvait rester sans réponse. Il savait qu’il avait lâché une sorte de boulet de canon dans la face de Lisbon, mais de manière très égoïste, Jane ne supportait pas ce silence.
Comme si elle lisait en lui, chose qui le fit sourire a posteriori, Lisbon éclaircit sa voix, et, tout en raffermissant sa main dans celle de Jane, prit la parole.
Lisbon : « Jane…je dois avouer que je suis surprise, mais pas tant que ça…enfin c’est compliqué, mais…j’avoue que… ça me touche ce que tu viens de dire. Après, si je dois être totalement honnête envers toi, je ne suis pas totalement convaincue. »
À ces dernières paroles, Lisbon sentit la crispation de Jane. Elle pouvait le sentir oui, la main du consultant ayant littéralement broyé la sienne. Jane se rendit compte qu’il avait peut-être un peu serré trop fort sur la main de Lisbon, et tenta de relâcher son emprise. Mais, contre toute attente, Lisbon elle, ne le laissa pas ôter sa main. Au contraire, elle mena leur étreinte cette fois. Les doigts de Lisbon rattrapèrent la main de Jane, et sa poigne se renforça sur la paume du consultant. Jane fut surpris par ce geste, et releva les yeux vers sa boss/amie, et peut-être plus. Et cette dernière lui sourit. Un sourire qui se voulait réconfortant.
Il était toujours adossé contre un pan du bureau de Lisbon, assis, et ce faisant, il était quasiment face à elle. Leurs mains droites étaient liées, et les doigts fins de Lisbon parcouraient la main de Jane, comme pour le rassurer. Mais elle le tenait fermement en même temps. C’était tout Teresa Lisbon, pensa Jane. Une poigne de fer enveloppée de douceur. De ses yeux brillants, Jane chercha à décrypter les pensées de la jeune femme. Il voulait savoir s’il devait être rassuré, ou au contraire inquiet. Pourquoi donc lui avait-elle dit qu’elle n’était pas convaincue ? Il lui semblait pourtant que l’honnêteté avec laquelle il avait parlé ne pouvait laisser de doute, d’autant qu’il n’était pas adepte de la vérité à l’accoutumée.
Lisbon comprit que ses dernières paroles inquiétaient son consultant. Sans ménagement, la jeune femme repoussa avec ses pieds la chaise sur laquelle elle était assise, et, tenant toujours la main de Jane dans la sienne, vint s’accroupir devant ce dernier, se positionnant ainsi devant les genoux du blond. Ils ne pouvaient pas être vus désormais. Lisbon voulait être à égalité devant Jane. Il venait de lui confier une part de son intimité. Elle ne pouvait sciemment pas rester sur la chaise de l’agent sénior Teresa Lisbon. Elle voulait être Teresa. Uniquement Teresa.
Elle se racla la gorge avant de parler, bien consciente qu’elle devait trouver les mots justes pour coller au plus près de ses pensées.
Lisbon : « Jane, si j’ai dit que je n’étais pas convaincue, ce n’est pas parce que je ne te crois pas. C’est juste que…qu’en fait, j’apprécie ton honnêteté, mais je me demande, et je dis bien demande, ne le prends pas mal, si tu es assez libéré pour ressentir ce que tu ressens. Bon je sais, ce n’est pas très clair, mais en d’autres termes et pour être franche…je… »
Elle hésitait. Clairement, elle hésitait. Jane voyait sa gêne. Elle transparaissait de partout. Cela ne pouvait signifier que deux choses pensa-t-il. Soit elle veut m’évincer en douceur, et ne ressent pas ce que je ressens. Soit elle veut me parler de Red John.
Lisbon : « …je me demande si tu peux être totalement honnête envers tes sentiments tout en ayant traversé ce que tu as traversé. »
Lisbon soupira de soulagement, elle avait sorti le plus gros. Et comme si elle venait de prendre l’élan nécessaire pour un saut périlleux dans le vide, elle lâche la bride de ses paroles.
Lisbon : « je ne sais pas ce que tu ressens réellement depuis l’épisode Carter. Je ne sais pas où tu en es réellement dans ta tête. Je ne sais pas si tu penses encore jour et nuit, chaque heure que Dieu fait, à ta vengeance. Je ne sais pas si Red John est aussi présent qu’avant dans ta vie. Et le cas échéant, si tu es assez libre pour pouvoir analyser avec certitude ce que tu ressens… ».
Leurs mains étaient toujours liées. Jane ne l’avait pas quitté des yeux. Il n’en revenait pas de la clairvoyance dont elle faisait preuve. Et si elle s’inquiétait de savoir s’il était assez libre de son jugement, cela ne pouvait dire qu’une chose. Qu’elle ressentait les mêmes sentiments que lui. Que leur relation avait évoluée. Mais elle avait peur. Et il ne pouvait qu’admirer sa force de caractère. Car elle avait compris qu’il s’était livré en toute franchise à elle. Mais elle se demandait s’il était assez serein. Elle savait à quel point ça avait été dur pour lui de lui avouer ses sentiments. Mais elle avait quand même poussé plus loin. Elle avait mentionné Red John. Et en cela, elle avait fait preuve d’un énorme courage.
Le silence se fit pesant entre eux. Teresa avait baissé ses yeux. Elle était toujours accroupie devant Jane, tenant sa main droite de ses deux mains désormais, et trouvant son équilibre ainsi. Jane lui, laissait son regard alterner entre la tête de Lisbon et leurs mains toujours étroitement liées.
Jane : « Je me doute que cela a dû te demander de la force de me dire ça. Je sais que tu as peur. Mais l’histoire…Carter…m’a fait prendre conscience de beaucoup de choses. Tu peux le croire, ou non. Mais sache que je te le montrerai. Je t’en fais la promesse ! »
En disant ces derniers mots, Jane avait passé sa main gauche sous le menton de Lisbon, afin de lui relever la tête, toujours baissée. Cette dernière pleurait. Cette image lui fendit le cœur. Il lui avait encore fait du mal. N’était-il bon qu’à ça ? Qu’à faire du mal aux gens qu’il aime ?
Jane : « Tu vois, ça je ne le supporte pas ! »
Lisbon : « Quoi ? » dit-elle, en chuchotant tellement que s’il ne se trouvait pas en face d’elle, et qu’il n’avait pas lu sur ses lèvres, Jane n’aurait pas compris.
Jane : « Tes larmes… », fit-il, en passant de son menton à sa joue, où une larme menaçait de couler.
Jane et Lisbon restèrent ainsi, en silence encore une fois. Mais cette fois, le silence n’était plus pesant. Il était au contraire chargé d’émotions. Leurs yeux s’envoyaient des messages qu’eux seuls pouvaient décoder. Jane s’avança légèrement vers Lisbon, la main gauche toujours posée sur la joue de cette dernière, et l’autre toujours serrée entre les mains de la jeune femme. Il s’avançait, mû par une force qui le transcendait. Mû par un désir qu’il ne pensait plus pouvoir ressentir un jour. Il avait bien cherché à cadenasser toute forme d’émotions. Mais comment pouvait-on être insensible face à Teresa Lisbon. Comment ?
Lisbon voyait Jane se rapprocher dangereusement. Enfin, dangereusement était un bien grand mot. Car elle n’était pas réellement effrayée par son avancée. Ils étaient déjà très près l’un de l’autre, mais il avançait, centimètre par centimètre, et irrémédiablement, il avançait vers elle. Ses yeux passèrent sur ses lèvres, sur son regard. Il ne la quittait pas des yeux. Leurs lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètres. Lisbon était paralysée extérieurement, mais intérieurement, tout bouillonnait en elle. Ses chevilles, sur lesquelles tout son poids reposait, tremblaient. Ses mains devenaient moites alors qu’elles serraient toujours la main de Jane, main grâce à laquelle elle pouvait sentir que lui non plus n’en menait pas large.
Il allait l’embrasser. Elle le savait. Elle sentait déjà son souffle se mêler au sien. Lisbon ferma les yeux dans l’optique d’apprécier encore plus leur premier vrai baiser.
Avant toute chose, merci à Lilia, Dawnie, Johel et Cocodu66 pour vos commentaires
Et également aux passants de cette fic!
Voici donc le chapitre 12, qui suit de très près le précédent...mais on en apprend encore, enfin j'espère!
Bonne lecture
Chapitre 12
Ils étaient tous deux silencieux. Lisbon cherchant ses mots. Jane cherchant à lire en elle. Il devait bien avouer qu’il n’y parvenait plus. Depuis qu’il s’était rendu compte de la nature des sentiments qu’il portait à Lisbon, le mentaliste s’était découvert un talon d’Achille. Il ne pouvait pas lire en Teresa Lisbon. Et ne le pourrait certainement plus jamais. En même temps, cela le rassurait, cela mettrait leur relation sur un pied d’égalité. Et il devait bien s’avouer qu’il ne souhaitait pas lire en elle. Non. Cela l’aurait trop fait souffrir.
Il était toutefois préoccupé. Lisbon n’avait toujours rien dit. N’avait toujours pas répondu à sa semi déclaration. Et il devait bien s’avouer qu’il était inquiet. La première fois qu’il s’ouvrait à quelqu’un de façon si criante de vérité, et surtout, de façon si explicite, cette première fois depuis bien longtemps ne pouvait rester sans réponse. Il savait qu’il avait lâché une sorte de boulet de canon dans la face de Lisbon, mais de manière très égoïste, Jane ne supportait pas ce silence.
Comme si elle lisait en lui, chose qui le fit sourire a posteriori, Lisbon éclaircit sa voix, et, tout en raffermissant sa main dans celle de Jane, prit la parole.
Lisbon : « Jane…je dois avouer que je suis surprise, mais pas tant que ça…enfin c’est compliqué, mais…j’avoue que… ça me touche ce que tu viens de dire. Après, si je dois être totalement honnête envers toi, je ne suis pas totalement convaincue. »
À ces dernières paroles, Lisbon sentit la crispation de Jane. Elle pouvait le sentir oui, la main du consultant ayant littéralement broyé la sienne. Jane se rendit compte qu’il avait peut-être un peu serré trop fort sur la main de Lisbon, et tenta de relâcher son emprise. Mais, contre toute attente, Lisbon elle, ne le laissa pas ôter sa main. Au contraire, elle mena leur étreinte cette fois. Les doigts de Lisbon rattrapèrent la main de Jane, et sa poigne se renforça sur la paume du consultant. Jane fut surpris par ce geste, et releva les yeux vers sa boss/amie, et peut-être plus. Et cette dernière lui sourit. Un sourire qui se voulait réconfortant.
Il était toujours adossé contre un pan du bureau de Lisbon, assis, et ce faisant, il était quasiment face à elle. Leurs mains droites étaient liées, et les doigts fins de Lisbon parcouraient la main de Jane, comme pour le rassurer. Mais elle le tenait fermement en même temps. C’était tout Teresa Lisbon, pensa Jane. Une poigne de fer enveloppée de douceur. De ses yeux brillants, Jane chercha à décrypter les pensées de la jeune femme. Il voulait savoir s’il devait être rassuré, ou au contraire inquiet. Pourquoi donc lui avait-elle dit qu’elle n’était pas convaincue ? Il lui semblait pourtant que l’honnêteté avec laquelle il avait parlé ne pouvait laisser de doute, d’autant qu’il n’était pas adepte de la vérité à l’accoutumée.
Lisbon comprit que ses dernières paroles inquiétaient son consultant. Sans ménagement, la jeune femme repoussa avec ses pieds la chaise sur laquelle elle était assise, et, tenant toujours la main de Jane dans la sienne, vint s’accroupir devant ce dernier, se positionnant ainsi devant les genoux du blond. Ils ne pouvaient pas être vus désormais. Lisbon voulait être à égalité devant Jane. Il venait de lui confier une part de son intimité. Elle ne pouvait sciemment pas rester sur la chaise de l’agent sénior Teresa Lisbon. Elle voulait être Teresa. Uniquement Teresa.
Elle se racla la gorge avant de parler, bien consciente qu’elle devait trouver les mots justes pour coller au plus près de ses pensées.
Lisbon : « Jane, si j’ai dit que je n’étais pas convaincue, ce n’est pas parce que je ne te crois pas. C’est juste que…qu’en fait, j’apprécie ton honnêteté, mais je me demande, et je dis bien demande, ne le prends pas mal, si tu es assez libéré pour ressentir ce que tu ressens. Bon je sais, ce n’est pas très clair, mais en d’autres termes et pour être franche…je… »
Elle hésitait. Clairement, elle hésitait. Jane voyait sa gêne. Elle transparaissait de partout. Cela ne pouvait signifier que deux choses pensa-t-il. Soit elle veut m’évincer en douceur, et ne ressent pas ce que je ressens. Soit elle veut me parler de Red John.
Lisbon : « …je me demande si tu peux être totalement honnête envers tes sentiments tout en ayant traversé ce que tu as traversé. »
Lisbon soupira de soulagement, elle avait sorti le plus gros. Et comme si elle venait de prendre l’élan nécessaire pour un saut périlleux dans le vide, elle lâche la bride de ses paroles.
Lisbon : « je ne sais pas ce que tu ressens réellement depuis l’épisode Carter. Je ne sais pas où tu en es réellement dans ta tête. Je ne sais pas si tu penses encore jour et nuit, chaque heure que Dieu fait, à ta vengeance. Je ne sais pas si Red John est aussi présent qu’avant dans ta vie. Et le cas échéant, si tu es assez libre pour pouvoir analyser avec certitude ce que tu ressens… ».
Leurs mains étaient toujours liées. Jane ne l’avait pas quitté des yeux. Il n’en revenait pas de la clairvoyance dont elle faisait preuve. Et si elle s’inquiétait de savoir s’il était assez libre de son jugement, cela ne pouvait dire qu’une chose. Qu’elle ressentait les mêmes sentiments que lui. Que leur relation avait évoluée. Mais elle avait peur. Et il ne pouvait qu’admirer sa force de caractère. Car elle avait compris qu’il s’était livré en toute franchise à elle. Mais elle se demandait s’il était assez serein. Elle savait à quel point ça avait été dur pour lui de lui avouer ses sentiments. Mais elle avait quand même poussé plus loin. Elle avait mentionné Red John. Et en cela, elle avait fait preuve d’un énorme courage.
Le silence se fit pesant entre eux. Teresa avait baissé ses yeux. Elle était toujours accroupie devant Jane, tenant sa main droite de ses deux mains désormais, et trouvant son équilibre ainsi. Jane lui, laissait son regard alterner entre la tête de Lisbon et leurs mains toujours étroitement liées.
Jane : « Je me doute que cela a dû te demander de la force de me dire ça. Je sais que tu as peur. Mais l’histoire…Carter…m’a fait prendre conscience de beaucoup de choses. Tu peux le croire, ou non. Mais sache que je te le montrerai. Je t’en fais la promesse ! »
En disant ces derniers mots, Jane avait passé sa main gauche sous le menton de Lisbon, afin de lui relever la tête, toujours baissée. Cette dernière pleurait. Cette image lui fendit le cœur. Il lui avait encore fait du mal. N’était-il bon qu’à ça ? Qu’à faire du mal aux gens qu’il aime ?
Jane : « Tu vois, ça je ne le supporte pas ! »
Lisbon : « Quoi ? » dit-elle, en chuchotant tellement que s’il ne se trouvait pas en face d’elle, et qu’il n’avait pas lu sur ses lèvres, Jane n’aurait pas compris.
Jane : « Tes larmes… », fit-il, en passant de son menton à sa joue, où une larme menaçait de couler.
Jane et Lisbon restèrent ainsi, en silence encore une fois. Mais cette fois, le silence n’était plus pesant. Il était au contraire chargé d’émotions. Leurs yeux s’envoyaient des messages qu’eux seuls pouvaient décoder. Jane s’avança légèrement vers Lisbon, la main gauche toujours posée sur la joue de cette dernière, et l’autre toujours serrée entre les mains de la jeune femme. Il s’avançait, mû par une force qui le transcendait. Mû par un désir qu’il ne pensait plus pouvoir ressentir un jour. Il avait bien cherché à cadenasser toute forme d’émotions. Mais comment pouvait-on être insensible face à Teresa Lisbon. Comment ?
Lisbon voyait Jane se rapprocher dangereusement. Enfin, dangereusement était un bien grand mot. Car elle n’était pas réellement effrayée par son avancée. Ils étaient déjà très près l’un de l’autre, mais il avançait, centimètre par centimètre, et irrémédiablement, il avançait vers elle. Ses yeux passèrent sur ses lèvres, sur son regard. Il ne la quittait pas des yeux. Leurs lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètres. Lisbon était paralysée extérieurement, mais intérieurement, tout bouillonnait en elle. Ses chevilles, sur lesquelles tout son poids reposait, tremblaient. Ses mains devenaient moites alors qu’elles serraient toujours la main de Jane, main grâce à laquelle elle pouvait sentir que lui non plus n’en menait pas large.
Il allait l’embrasser. Elle le savait. Elle sentait déjà son souffle se mêler au sien. Lisbon ferma les yeux dans l’optique d’apprécier encore plus leur premier vrai baiser.
mococoa- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Loisirs : sport, lecture (des fics entre autres), The Mentalist
Localisation : Dans mes rêves
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Encore un superbe chapitre...
Lisbon qui livre le fond de sa pensée...... et Jane qui fini de se libérer
Des non dits qui en disent pourtant beaucoup
Et ce final ...pourquoi diable ai-je l'impression qu'il ne va pas se passer ce qu'on pense qui doit se passer
Lisbon qui livre le fond de sa pensée...... et Jane qui fini de se libérer
Des non dits qui en disent pourtant beaucoup
Et ce final ...pourquoi diable ai-je l'impression qu'il ne va pas se passer ce qu'on pense qui doit se passer
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Pourquoi je crois qu'ils vont être interrompus et que ce baiser ne va pas se produire, au final?
Sinon tu n'aurais pas coupé à ce moment crucial!
Bon, encore un chapitre que j'ai littéralement dévoré!!!
Bien sûr, en le terminant comme ça, tu penses bien que je n'ai qu'une chose à ajouter:
VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Sinon tu n'aurais pas coupé à ce moment crucial!
Bon, encore un chapitre que j'ai littéralement dévoré!!!
Bien sûr, en le terminant comme ça, tu penses bien que je n'ai qu'une chose à ajouter:
VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Invité- Invité
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
lilia a écrit:Pourquoi je crois qu'ils vont être interrompus et que ce baiser ne va pas se produire, au final?
Sinon tu n'aurais pas coupé à ce moment crucial!
Bon, encore un chapitre que j'ai littéralement dévoré!!!
Bien sûr, en le terminant comme ça, tu penses bien que je n'ai qu'une chose à ajouter:
VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
je plussois, superbe chapitre mais j'ai bien peur que baiser il n'y ait pas
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Merci Johel, lilia et SweetyLove30 !!!
Vos commentaires me font très plaisir, et je sais oui, que vous devez me détester à cet instant précis
La suite demain normalement, avec une petite rupture stylistique dirais-je!
En espérant ne pas vous décevoir!
Merci encore de votre attention!
Vos commentaires me font très plaisir, et je sais oui, que vous devez me détester à cet instant précis
La suite demain normalement, avec une petite rupture stylistique dirais-je!
En espérant ne pas vous décevoir!
Merci encore de votre attention!
mococoa- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Loisirs : sport, lecture (des fics entre autres), The Mentalist
Localisation : Dans mes rêves
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
encore un super chapitre,
quelle fin!! suspens! Interruption mais par qui par quoi et pourquoi? lol envie de savoir comme toujours!!
bravo pour ton inspiration formidable et tes tournures de phrase exemplaire!
J'apprends en te lisant!!
pour ton histoire super!!
VLS avec impatience !!comme toujours lol
quelle fin!! suspens! Interruption mais par qui par quoi et pourquoi? lol envie de savoir comme toujours!!
bravo pour ton inspiration formidable et tes tournures de phrase exemplaire!
J'apprends en te lisant!!
pour ton histoire super!!
VLS avec impatience !!comme toujours lol
Dawnie- Distributeur de café
- Personnage préféré : Patrick Jane
Loisirs : beaucoup
Localisation : belgique
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Tout dcd'abord, merci Dawnie pour ce commentaire qui me touche énormément
J'espère ne pas te décevoir par la suite!
Voici donc le chapitre 13 de cette fic...qui j'espère vous conviendra toujours!
Bonne lecture, et bon dimanche !
Chapitre 13
Il allait l’embrasser. Elle le savait. Elle sentait déjà son souffle se mêler au sien. Lisbon ferma les yeux dans l’optique d’apprécier encore plus leur premier vrai baiser.
« Patron ! », s’écria Rigsby en entrant avec fracas dans le bureau.
Jane et Lisbon sursautèrent. Leurs mains se lâchèrent sous le coup de la surprise. Lisbon se releva d’un trait, tout en jetant un coup d’œil à Jane, qui, elle pouvait le voir, fulminait. Elle était enragée elle aussi, son corps entier réclamait Jane. Et en même temps, elle ne put s’empêcher de rire intérieurement, devant la tête de Jane et devant le fait qu’évidemment, quelqu’un était entré. Elle se concentra sur l’intrus qui avait interrompu ce moment. Rigsby la regardait d’un air interloqué.
Rigsby : « Euuhh…patron ? Ça va ? » Demanda-t-il d’un ton craintif.
Lisbon : « Oui, oui très bien. Pourquoi ? »
Rigsby : « Bah…euh…vous aviez perdu quelque chose ? »
Là, Lisbon comprit pourquoi son subordonné semblait encore plus désorienté que d’habitude.
Lisbon : « euhh oui, effectivement, j’avais fait tomber un...truc. Je l’ai retrouvé. Pas de souci. », Lui dit-elle encore un peu perturbée.
Elle se rassit sur sa chaise, alors que Rigsby restait au seuil de la porte, l’interrogeant encore du regard.
Lisbon : « Un problème ? »
Rigsby : « Juste Wrainwright a oublié de vous demander quelque chose, et il n’arrive pas à vous joindre, soi-disant votre téléphone qui est décroché. », débita-t-il en montrant l’engin du doigt. « Il veut savoir si vous serez là demain soir lors du repas de Thanksgiving du CBI. »
Ce foutu repas…Il était loin d’être la préoccupation principale de Lisbon. Elle détestait à la base tout ce qui pouvait ressembler de près ou de loin à un dîner mondain. Voir des froufrous de partout, des paillettes en veux-tu en voilà, des blagues stupides fusant plus qu’à l’accoutumée. En bref, Lisbon détestait ces soirées. Mais étant chef d’unité, elle devait y assister. Sauf que cette année, entre l’histoire Red John, entre le pétage de plomb de Van Pelt, et récemment, entre un Jane qui lui en faisait voir de toutes les couleurs d’une manière inédite, Lisbon avait complètement oublié ce repas officiel.
Lisbon : « Oui bien sûr. Non pas que ça m’enchante, mais oui j’y serai. »
Rigsby : « d’accord. Il m’a justement chargé de vous dire qu’il faudrait que vous fassiez un petit speech, sur euh…sur nous. »
Lisbon fronça les sourcils.
Lisbon : « Vous ? Enfin nous ? L’équipe ? »
Rigsby acquiesça. Au même moment, Lisbon sentit un petit coup sur sa cheville droite. Elle n’eut pas besoin de baisser les yeux pour savoir que Jane venait de lui tirer le pantalon.
Lisbon : « et je suppose que dans équipe je dois aussi insérer notre indispensable, admirable et ô combien insupportable consultant ? », dit-elle en prenant un accent snob.
Deuxième tirage de pantalon. Bon ok, celui-là, elle l’avait cherché.
Lisbon sourit, alors que Rigsby lui, partit dans un grand éclat de rire.
«Rigsby : « J’ai hâte de voir ce discours…en parlant de lui, d’ailleurs, vous n’auriez pas vu Jane ? »
Lisbon secoua la tête un peu trop rapidement pour ne pas éveiller les soupçons. Mais heureusement, le grand brun semblait plus préoccupé par Jane que par les joues de sa supérieure, qui avaient pris une nouvelle teinte rosée.
Rigsby : « Il m’a dit qu’il avait quelque chose à me dire ce matin, mais depuis, je ne l’ai pas vu ».
Lisbon : « Non, je ne l’ai pas vu. Mais si je le vois, je lui dis de venir vous voir. » Répondit-elle dans un sourire. « Ah, et puis, si vous avez fini vos rapports, vous pouvez y aller. La journée de demain risque d’être longue avec ce dîner… » Ajouta-t-elle d’un ton rabat-joie. « Passez le mot à Cho et Van Pelt ».
Rigsby : « Ok, merci Patron. À demain alors »
Lisbon : « À demain oui, bonne soirée. »
Le grand brun allait sortir, lorsqu’il fit demi-tour, visiblement ennuyé par quelque chose.
Lisbon qui ne s’était pas encore rassise, le devança.
Lisbon : « Autre chose ? »
Rigsby : « Euh…oui, mais…euhh… »
Lisbon : « Beh allez-y, je vais pas vous manger ! »
Rigsby : « Votre chemiser est tâché patron… », Dit-il à demi voix et très rapidement . Puis il la salua de nouveau, et sortit précipitamment du bureau de sa boss.
Lisbon baissa ses yeux vers son chemisier. La tâche de café trônait désormais sur toute sa poitrine. Elle s’était élargie en séchant. Son chemisier blanc ressemblait désormais plus à un prototype de démonstration pour la nouvelle lessive Omux, qui rend le blanc plus blanc que blanc. Avec toute cette histoire, Lisbon n’y avait plus repensé. Elle avait voulu se changer lorsqu’elle était sortie du grenier le matin même, mais en enchaînant rapport sur rapport, la tâche lui était sortie de la tête. Lisbon allait sourire de son inattention, lorsqu’elle se rendit compte qu’elle avait parlé à Wrainwright dans cette tenue. Mortifiée, elle se demanda s’il l’avait vue. Mais bien sûr, se traita-t-elle mentalement d’idiote, comment ne pas voir un éléphant dans un corridor ?
Mais elle se rendit compte d’autre chose. Jane n’avait pas daigné le lui faire remarquer non plus. Elle lui décocha un regard dont elle avait le secret. Froid et revanchard. Jane, qui était toujours assis contre son bureau, à ses pieds littéralement, ne put réprimer un sourire, mais lui fit ses yeux de cocker. Œil pour œil, dent pour dent se dit-il.
Lisbon fut encore une fois attendrie par le regard du consultant qui gisait à ses pieds, et qui la suppliait silencieusement de ne pas lui crier dessus. Comment ne pas être attendrie, se demanda-t-elle. Elle croisa les bras sur sa poitrine, singeant une maman qui gronde son enfant, se faisant la réflexion que décidemment, il n’avait par moment pas plus de 12 ans d’âge mental.
Lisbon : « tu aurais pu me le dire quand même », lui lança-t-elle dans un demi-sourire.
Jane : « Certes, mais ça aurait moins drôle… »
Lisbon : « drôle comme quand tu me tires le pantalon alors que je suis en train de parler ? Tu as eu de la chance que ce soit Rigsby, et qu’il soit trop préoccupé par ce dont tu voulais lui parler, pour qu’il ne remarque ta présence. »
Jane : « Mais…tu m’avais oublié lorsque tu as parlé d’équipe.. » fit-il en geignant.
Lisbon : « Jane sincèrement…comment est-ce-que je pourrais t’oublier… » Lui répondit-elle d’un air à la fois blasé et à la fois taquin.
Jane sourit, fier de cet aveu certes empreint d’humour, mais derrière lequel il percevait de la tendresse avérée. Profitant de ce jeu installé entre eux, Jane retira le pantalon de Lisbon, qui s’était désormais assise sur sa chaise, et la força à se pencher vers lui. Ainsi, elle se trouvait à moitié la tête dans le vide, son coude lui servant d’appui sur le bras de la chaise.
Jane l’attira encore plus vers lui, sa main tenant fermement le pantalon de Lisbon, et lui chuchota à l’oreille.
Jane : « Et si je n’ai rien dit pour la tâche, c’est que je ne pouvais pas me détacher de ton regard ».
Lisbon frissonna. Jane la tenait toujours fermement par le pantalon, et lui murmura quelques mots à l’oreille.
Jane : « Je tiens à t’informer, toi, patron de l’équipe de choc du CBI, qu’il risque d’y avoir un meurtre sur la personne de Wayne Rigsby ! »
Le ton était empreint d’humour à la Jane, mais possédait également une part de frustration. Lisbon le nota, et ne put que sourire.
Jane, dépité, s’affala une nouvelle fois contre le bureau, alors que Lisbon se redressait sur sa chaise. Juste à temps pour voir, au travers de la vitre de son bureau, ses 3 collègues partir. Elle leur fit au revoir de la main, puis se tourna vers le consultant.
Lisbon : « Et tu comptes rester assis là, toute la nuit ? » demanda-t-elle.
Jane leva les yeux vers elle. Il sourit rien qu’à la vue des yeux rieurs de Lisbon. Il l’admit. Le voir par terre devait avoir quelque chose d’assez risible.
Il se releva d’un coup, époussetant son pantalon.
Jane : « C’est mieux là ? »
Lisbon acquiesça dans un sourire. Puis se reconcentra sur son bureau où traînaient divers papiers. Sa mine se renfrogna à l’idée du discours qu’elle devait écrire pour le lendemain.
Elle était plongée dans ses pensées, essayant d’organiser à la va-vite une sorte d’axe directeur pour ledit discours. Tellement concentrée qu’elle ne remarqua qu’à la dernière seconde que Jane était désormais penchée sur elle, un bras posé sur le bureau et l’autre sur le dossier de sa chaise. Ce faisant il l’entourait. Lisbon ne put réprimer le frisson qui la parcourut. Pourquoi devait-il lui faire autant d’effet ?
Cette situation devenait trop délicate pour elle. Leur moment d’intimité était révolu, et Lisbon avait retrouvé son rationalisme légendaire. Elle ne savait plus réellement ni quoi penser, ni quoi dire, ou ni quoi faire. Leur relation avait évolué oui, c’était un fait. Mais était-ce une bonne chose ?
Jane, sentant l’indécision reprendre le pas chez sa collègue, tenta une diversion dont lui seul avait le secret.
Jane : « Pas d’inquiétude femme. Je reste juste pour m’assurer que tu ne vas raconter des sornettes quant à ton « indispensable, admirable et ô combien insupportable consultant » », susurra-t-il d’un air malicieux en se penchant vers elle.
Second frisson. Lisbon n’en pouvait plus.
Elle se leva d’un coup, percutant par la même occasion Jane qui était toujours penchée sur elle. La surprise pouvait se lire dans le regard océan du consultant. Il ne comprenait pas ce geste d’une brusquerie certaine qui rompait avec la douceur de leur échange.
Lisbon : « Jane…que veux-tu sérieusement ? »
La question le déconcerta, à tel point qu’il en resta sans voix. Il s’était désormais reculé contre le pan du mur, ne sachant ni quoi faire, ni quoi dire. Mais la surprise ne faisait que commencer. Il vit Lisbon s’approcher doucement de lui, pas à pas, sans détacher son regard du sien. Il pouvait y lire de la détermination mêlée à un il-ne-savait-quoi d’assez intriguant. Elle ne s’arrêta qu’à quelques centimètres de lui, de son visage, de ses yeux, et de ses lèvres. Jane n’en menait vraiment pas large, perturbé par la soudaine brusquerie de la jeune femme.
Jane : « Je.. euh…Lisbon.. ? »
Lisbon s’était encore plus rapprochée de lui. Il pouvait sentir son souffle sur ses lèvres. Il chercha son regard, mais ne rencontra que ses paupières, la jeune femme ayant elle, les yeux vissés sur les lèvres du consultant.
Lisbon jubilait. Jane était complètement perturbé par ce revirement de situation. Pour une fois, elle avait l’avantage. Et elle comptait bien en profiter. Faisant fi des sensations qui s’éveillaient en elle au contact rapproché de Jane, elle ne pensa plus qu’à une seule chose. Lui faire payer toutes ces années de taquinerie, de charme, de flirt.
Lisbon : « on fait moins le malin là, hein ? » susurra-t-elle contre son oreille d’un air aguicheur.
Jane avait un accès à son cou, son cou si odorant, si doux…Il ne rêvait que d’une chose, pour l’embrasser là, maintenant, tout de suite.
Il ferma les yeux, se penchant légèrement sur le cou de la jeune femme. Mais il ne ressentit que du vide, et un vent glacé. Lisbon s’était éloignée de lui et remballait ses affaires.
Jane était frustré, c’était le moins qu’on puisse dire. Mais tellement stupéfait qu’aucun son ne sortit de sa bouche alors que la jeune femme se retournait vers lui, un regard revanchard et vainqueur posé sur lui.
Lisbon : « Bonne soirée Jane, à demain ! », fit-elle dans un sourire, fière du tour qu’elle venait de jouer à son consultant. Pour une fois, elle avait eu l’avantage sur lui. Elle exultait.
Sa veste à la main, son sac dans l’autre, et quelques papiers sous le bras, Lisbon contourna son bureau et se dirigea vers la porte.
C’était sans compter sur Patrick Jane, qui semblait s’être réveillé de sa stupeur. Lisbon entendit un froufrou de vêtements, alors qu’une de ses mains tenait déjà la poignée de la porte. Elle fut happée par une main virile, qui la retourna sans ménagement. Le choc du geste fut amorti par un torse. Elle était collée au torse de Jane. Qui, en moins de temps qu’il n’en faut pour dire « ouf », lui vola un baiser étourdissant. Le premier baiser. Lisbon en fut toute retournée, à tel point qu’elle lâcha les papiers toujours calés sous son bras.
Le baiser dura 5, 10, 15 secondes. Puis Jane relâcha son étreinte, et contourna sa boss pour … sortir du bureau. Il ne put s’empêcher de jeter un regard vers cette dernière, qui était toujours dos à la porte et semblait être en état de léthargie.
Jane : « Bonne soirée Lisbon, à demain », dit-il en souriant.
Il referma doucement la porte du bureau derrière lui, se doutant que Lisbon allait avoir besoin de quelques instants pour recouvrer ses esprits.
Elle avait voulu lui se jouer de lui ! Tel est pris qui croyait prendre se dit-il. Jane avait eu ce qu’il voulait. Et il avait démontré à Lisbon que lorsqu’il voulait quelque chose, il y arrivait toujours au bout du compte. Il se mit en marche vers son grenier, jubilant de ce moment de taquinerie, mais frémissant au souvenir des lèvres de Lisbon contre les siennes. Une chose était sûre, pensa-t-il, il ne pourrait plus s’en passer.
J'espère ne pas te décevoir par la suite!
Voici donc le chapitre 13 de cette fic...qui j'espère vous conviendra toujours!
Bonne lecture, et bon dimanche !
Chapitre 13
Il allait l’embrasser. Elle le savait. Elle sentait déjà son souffle se mêler au sien. Lisbon ferma les yeux dans l’optique d’apprécier encore plus leur premier vrai baiser.
« Patron ! », s’écria Rigsby en entrant avec fracas dans le bureau.
Jane et Lisbon sursautèrent. Leurs mains se lâchèrent sous le coup de la surprise. Lisbon se releva d’un trait, tout en jetant un coup d’œil à Jane, qui, elle pouvait le voir, fulminait. Elle était enragée elle aussi, son corps entier réclamait Jane. Et en même temps, elle ne put s’empêcher de rire intérieurement, devant la tête de Jane et devant le fait qu’évidemment, quelqu’un était entré. Elle se concentra sur l’intrus qui avait interrompu ce moment. Rigsby la regardait d’un air interloqué.
Rigsby : « Euuhh…patron ? Ça va ? » Demanda-t-il d’un ton craintif.
Lisbon : « Oui, oui très bien. Pourquoi ? »
Rigsby : « Bah…euh…vous aviez perdu quelque chose ? »
Là, Lisbon comprit pourquoi son subordonné semblait encore plus désorienté que d’habitude.
Lisbon : « euhh oui, effectivement, j’avais fait tomber un...truc. Je l’ai retrouvé. Pas de souci. », Lui dit-elle encore un peu perturbée.
Elle se rassit sur sa chaise, alors que Rigsby restait au seuil de la porte, l’interrogeant encore du regard.
Lisbon : « Un problème ? »
Rigsby : « Juste Wrainwright a oublié de vous demander quelque chose, et il n’arrive pas à vous joindre, soi-disant votre téléphone qui est décroché. », débita-t-il en montrant l’engin du doigt. « Il veut savoir si vous serez là demain soir lors du repas de Thanksgiving du CBI. »
Ce foutu repas…Il était loin d’être la préoccupation principale de Lisbon. Elle détestait à la base tout ce qui pouvait ressembler de près ou de loin à un dîner mondain. Voir des froufrous de partout, des paillettes en veux-tu en voilà, des blagues stupides fusant plus qu’à l’accoutumée. En bref, Lisbon détestait ces soirées. Mais étant chef d’unité, elle devait y assister. Sauf que cette année, entre l’histoire Red John, entre le pétage de plomb de Van Pelt, et récemment, entre un Jane qui lui en faisait voir de toutes les couleurs d’une manière inédite, Lisbon avait complètement oublié ce repas officiel.
Lisbon : « Oui bien sûr. Non pas que ça m’enchante, mais oui j’y serai. »
Rigsby : « d’accord. Il m’a justement chargé de vous dire qu’il faudrait que vous fassiez un petit speech, sur euh…sur nous. »
Lisbon fronça les sourcils.
Lisbon : « Vous ? Enfin nous ? L’équipe ? »
Rigsby acquiesça. Au même moment, Lisbon sentit un petit coup sur sa cheville droite. Elle n’eut pas besoin de baisser les yeux pour savoir que Jane venait de lui tirer le pantalon.
Lisbon : « et je suppose que dans équipe je dois aussi insérer notre indispensable, admirable et ô combien insupportable consultant ? », dit-elle en prenant un accent snob.
Deuxième tirage de pantalon. Bon ok, celui-là, elle l’avait cherché.
Lisbon sourit, alors que Rigsby lui, partit dans un grand éclat de rire.
«Rigsby : « J’ai hâte de voir ce discours…en parlant de lui, d’ailleurs, vous n’auriez pas vu Jane ? »
Lisbon secoua la tête un peu trop rapidement pour ne pas éveiller les soupçons. Mais heureusement, le grand brun semblait plus préoccupé par Jane que par les joues de sa supérieure, qui avaient pris une nouvelle teinte rosée.
Rigsby : « Il m’a dit qu’il avait quelque chose à me dire ce matin, mais depuis, je ne l’ai pas vu ».
Lisbon : « Non, je ne l’ai pas vu. Mais si je le vois, je lui dis de venir vous voir. » Répondit-elle dans un sourire. « Ah, et puis, si vous avez fini vos rapports, vous pouvez y aller. La journée de demain risque d’être longue avec ce dîner… » Ajouta-t-elle d’un ton rabat-joie. « Passez le mot à Cho et Van Pelt ».
Rigsby : « Ok, merci Patron. À demain alors »
Lisbon : « À demain oui, bonne soirée. »
Le grand brun allait sortir, lorsqu’il fit demi-tour, visiblement ennuyé par quelque chose.
Lisbon qui ne s’était pas encore rassise, le devança.
Lisbon : « Autre chose ? »
Rigsby : « Euh…oui, mais…euhh… »
Lisbon : « Beh allez-y, je vais pas vous manger ! »
Rigsby : « Votre chemiser est tâché patron… », Dit-il à demi voix et très rapidement . Puis il la salua de nouveau, et sortit précipitamment du bureau de sa boss.
Lisbon baissa ses yeux vers son chemisier. La tâche de café trônait désormais sur toute sa poitrine. Elle s’était élargie en séchant. Son chemisier blanc ressemblait désormais plus à un prototype de démonstration pour la nouvelle lessive Omux, qui rend le blanc plus blanc que blanc. Avec toute cette histoire, Lisbon n’y avait plus repensé. Elle avait voulu se changer lorsqu’elle était sortie du grenier le matin même, mais en enchaînant rapport sur rapport, la tâche lui était sortie de la tête. Lisbon allait sourire de son inattention, lorsqu’elle se rendit compte qu’elle avait parlé à Wrainwright dans cette tenue. Mortifiée, elle se demanda s’il l’avait vue. Mais bien sûr, se traita-t-elle mentalement d’idiote, comment ne pas voir un éléphant dans un corridor ?
Mais elle se rendit compte d’autre chose. Jane n’avait pas daigné le lui faire remarquer non plus. Elle lui décocha un regard dont elle avait le secret. Froid et revanchard. Jane, qui était toujours assis contre son bureau, à ses pieds littéralement, ne put réprimer un sourire, mais lui fit ses yeux de cocker. Œil pour œil, dent pour dent se dit-il.
Lisbon fut encore une fois attendrie par le regard du consultant qui gisait à ses pieds, et qui la suppliait silencieusement de ne pas lui crier dessus. Comment ne pas être attendrie, se demanda-t-elle. Elle croisa les bras sur sa poitrine, singeant une maman qui gronde son enfant, se faisant la réflexion que décidemment, il n’avait par moment pas plus de 12 ans d’âge mental.
Lisbon : « tu aurais pu me le dire quand même », lui lança-t-elle dans un demi-sourire.
Jane : « Certes, mais ça aurait moins drôle… »
Lisbon : « drôle comme quand tu me tires le pantalon alors que je suis en train de parler ? Tu as eu de la chance que ce soit Rigsby, et qu’il soit trop préoccupé par ce dont tu voulais lui parler, pour qu’il ne remarque ta présence. »
Jane : « Mais…tu m’avais oublié lorsque tu as parlé d’équipe.. » fit-il en geignant.
Lisbon : « Jane sincèrement…comment est-ce-que je pourrais t’oublier… » Lui répondit-elle d’un air à la fois blasé et à la fois taquin.
Jane sourit, fier de cet aveu certes empreint d’humour, mais derrière lequel il percevait de la tendresse avérée. Profitant de ce jeu installé entre eux, Jane retira le pantalon de Lisbon, qui s’était désormais assise sur sa chaise, et la força à se pencher vers lui. Ainsi, elle se trouvait à moitié la tête dans le vide, son coude lui servant d’appui sur le bras de la chaise.
Jane l’attira encore plus vers lui, sa main tenant fermement le pantalon de Lisbon, et lui chuchota à l’oreille.
Jane : « Et si je n’ai rien dit pour la tâche, c’est que je ne pouvais pas me détacher de ton regard ».
Lisbon frissonna. Jane la tenait toujours fermement par le pantalon, et lui murmura quelques mots à l’oreille.
Jane : « Je tiens à t’informer, toi, patron de l’équipe de choc du CBI, qu’il risque d’y avoir un meurtre sur la personne de Wayne Rigsby ! »
Le ton était empreint d’humour à la Jane, mais possédait également une part de frustration. Lisbon le nota, et ne put que sourire.
Jane, dépité, s’affala une nouvelle fois contre le bureau, alors que Lisbon se redressait sur sa chaise. Juste à temps pour voir, au travers de la vitre de son bureau, ses 3 collègues partir. Elle leur fit au revoir de la main, puis se tourna vers le consultant.
Lisbon : « Et tu comptes rester assis là, toute la nuit ? » demanda-t-elle.
Jane leva les yeux vers elle. Il sourit rien qu’à la vue des yeux rieurs de Lisbon. Il l’admit. Le voir par terre devait avoir quelque chose d’assez risible.
Il se releva d’un coup, époussetant son pantalon.
Jane : « C’est mieux là ? »
Lisbon acquiesça dans un sourire. Puis se reconcentra sur son bureau où traînaient divers papiers. Sa mine se renfrogna à l’idée du discours qu’elle devait écrire pour le lendemain.
Elle était plongée dans ses pensées, essayant d’organiser à la va-vite une sorte d’axe directeur pour ledit discours. Tellement concentrée qu’elle ne remarqua qu’à la dernière seconde que Jane était désormais penchée sur elle, un bras posé sur le bureau et l’autre sur le dossier de sa chaise. Ce faisant il l’entourait. Lisbon ne put réprimer le frisson qui la parcourut. Pourquoi devait-il lui faire autant d’effet ?
Cette situation devenait trop délicate pour elle. Leur moment d’intimité était révolu, et Lisbon avait retrouvé son rationalisme légendaire. Elle ne savait plus réellement ni quoi penser, ni quoi dire, ou ni quoi faire. Leur relation avait évolué oui, c’était un fait. Mais était-ce une bonne chose ?
Jane, sentant l’indécision reprendre le pas chez sa collègue, tenta une diversion dont lui seul avait le secret.
Jane : « Pas d’inquiétude femme. Je reste juste pour m’assurer que tu ne vas raconter des sornettes quant à ton « indispensable, admirable et ô combien insupportable consultant » », susurra-t-il d’un air malicieux en se penchant vers elle.
Second frisson. Lisbon n’en pouvait plus.
Elle se leva d’un coup, percutant par la même occasion Jane qui était toujours penchée sur elle. La surprise pouvait se lire dans le regard océan du consultant. Il ne comprenait pas ce geste d’une brusquerie certaine qui rompait avec la douceur de leur échange.
Lisbon : « Jane…que veux-tu sérieusement ? »
La question le déconcerta, à tel point qu’il en resta sans voix. Il s’était désormais reculé contre le pan du mur, ne sachant ni quoi faire, ni quoi dire. Mais la surprise ne faisait que commencer. Il vit Lisbon s’approcher doucement de lui, pas à pas, sans détacher son regard du sien. Il pouvait y lire de la détermination mêlée à un il-ne-savait-quoi d’assez intriguant. Elle ne s’arrêta qu’à quelques centimètres de lui, de son visage, de ses yeux, et de ses lèvres. Jane n’en menait vraiment pas large, perturbé par la soudaine brusquerie de la jeune femme.
Jane : « Je.. euh…Lisbon.. ? »
Lisbon s’était encore plus rapprochée de lui. Il pouvait sentir son souffle sur ses lèvres. Il chercha son regard, mais ne rencontra que ses paupières, la jeune femme ayant elle, les yeux vissés sur les lèvres du consultant.
Lisbon jubilait. Jane était complètement perturbé par ce revirement de situation. Pour une fois, elle avait l’avantage. Et elle comptait bien en profiter. Faisant fi des sensations qui s’éveillaient en elle au contact rapproché de Jane, elle ne pensa plus qu’à une seule chose. Lui faire payer toutes ces années de taquinerie, de charme, de flirt.
Lisbon : « on fait moins le malin là, hein ? » susurra-t-elle contre son oreille d’un air aguicheur.
Jane avait un accès à son cou, son cou si odorant, si doux…Il ne rêvait que d’une chose, pour l’embrasser là, maintenant, tout de suite.
Il ferma les yeux, se penchant légèrement sur le cou de la jeune femme. Mais il ne ressentit que du vide, et un vent glacé. Lisbon s’était éloignée de lui et remballait ses affaires.
Jane était frustré, c’était le moins qu’on puisse dire. Mais tellement stupéfait qu’aucun son ne sortit de sa bouche alors que la jeune femme se retournait vers lui, un regard revanchard et vainqueur posé sur lui.
Lisbon : « Bonne soirée Jane, à demain ! », fit-elle dans un sourire, fière du tour qu’elle venait de jouer à son consultant. Pour une fois, elle avait eu l’avantage sur lui. Elle exultait.
Sa veste à la main, son sac dans l’autre, et quelques papiers sous le bras, Lisbon contourna son bureau et se dirigea vers la porte.
C’était sans compter sur Patrick Jane, qui semblait s’être réveillé de sa stupeur. Lisbon entendit un froufrou de vêtements, alors qu’une de ses mains tenait déjà la poignée de la porte. Elle fut happée par une main virile, qui la retourna sans ménagement. Le choc du geste fut amorti par un torse. Elle était collée au torse de Jane. Qui, en moins de temps qu’il n’en faut pour dire « ouf », lui vola un baiser étourdissant. Le premier baiser. Lisbon en fut toute retournée, à tel point qu’elle lâcha les papiers toujours calés sous son bras.
Le baiser dura 5, 10, 15 secondes. Puis Jane relâcha son étreinte, et contourna sa boss pour … sortir du bureau. Il ne put s’empêcher de jeter un regard vers cette dernière, qui était toujours dos à la porte et semblait être en état de léthargie.
Jane : « Bonne soirée Lisbon, à demain », dit-il en souriant.
Il referma doucement la porte du bureau derrière lui, se doutant que Lisbon allait avoir besoin de quelques instants pour recouvrer ses esprits.
Elle avait voulu lui se jouer de lui ! Tel est pris qui croyait prendre se dit-il. Jane avait eu ce qu’il voulait. Et il avait démontré à Lisbon que lorsqu’il voulait quelque chose, il y arrivait toujours au bout du compte. Il se mit en marche vers son grenier, jubilant de ce moment de taquinerie, mais frémissant au souvenir des lèvres de Lisbon contre les siennes. Une chose était sûre, pensa-t-il, il ne pourrait plus s’en passer.
mococoa- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Loisirs : sport, lecture (des fics entre autres), The Mentalist
Localisation : Dans mes rêves
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
pour ce chapitre délicieux à lire et biensur
L'état de surprise de Lisbon a la fin est super bien amené et décrit!!
Pour Rigsby j'avoue que je me doutais un peu que c'était lui! C'est toujours lui qui arrive au mauvais moment lol
Et pour les comms que je te laisse de rien, quand c'est mérité, c'est mérité et puis tu me les rends bien pour ma fic alors à toi!
et surtout VLS
L'état de surprise de Lisbon a la fin est super bien amené et décrit!!
Pour Rigsby j'avoue que je me doutais un peu que c'était lui! C'est toujours lui qui arrive au mauvais moment lol
Et pour les comms que je te laisse de rien, quand c'est mérité, c'est mérité et puis tu me les rends bien pour ma fic alors à toi!
et surtout VLS
Dawnie- Distributeur de café
- Personnage préféré : Patrick Jane
Loisirs : beaucoup
Localisation : belgique
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
ce chapitre était trop beau mais encore une fois il faut que quelqu'un arrive au mauvais moment j'avais bien envi de ce Rigsby, naméo
mais après c'est Lisbon que j'avais envi de elle est seule avec Jane, ils ont faillit s'embrasser plusieurs fois et elle part moi à sa place je lui aurais sauté dessus, collé ma bouche à la sienne, plongé mes mains dans ses boucles blondes, collé mon corps contre le sien, entouré sa nuque de mes mains, me calant contre son torse puissant, retirant sa chemise pour pouvoir... euh ça devient un peu NC17 là
mais sinon le baiser de Jane juste avant de partir
je te le dis encore et il me tarde de lire la suite
mais après c'est Lisbon que j'avais envi de elle est seule avec Jane, ils ont faillit s'embrasser plusieurs fois et elle part moi à sa place je lui aurais sauté dessus, collé ma bouche à la sienne, plongé mes mains dans ses boucles blondes, collé mon corps contre le sien, entouré sa nuque de mes mains, me calant contre son torse puissant, retirant sa chemise pour pouvoir... euh ça devient un peu NC17 là
mais sinon le baiser de Jane juste avant de partir
je te le dis encore et il me tarde de lire la suite
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Qui pouvait être l’importun si ce n'est Rigsby
Ce petit jeu du chat et de la souris où on ne sait qui est qui était excellent
J'ai passé un bon moment en lisant ce chapitre
Ce petit jeu du chat et de la souris où on ne sait qui est qui était excellent
J'ai passé un bon moment en lisant ce chapitre
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Ouais je suis bien d'accord!! Rigsby, "le roi du cheveux sur la soupe"!!
Encore un chapitre réussi!!
De l'humour, de l'amour, que demander de plus!!!! Je suis scotchée!!
Encore un chapitre réussi!!
De l'humour, de l'amour, que demander de plus!!!! Je suis scotchée!!
Invité- Invité
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Salut la compagnie!!!
Tout d'abord, un grand merci à mes commentatrices de folie , j'ai nommé: Dawnie, SweetyLove30, Johel et Lilia!
Voici ci-dessous le chapitre 14 de cette fic, qui je pense préfigure de la fin (d'ici 1 ou deux chapitres je pense...).
Je n'en suis pas si satisfaite que cela de cette fic, j'ai l'impression de m'être laissée prendre par l'histoire et de ne pas avoir tant que ça de fil conducteur. Mais c'est un coup d'essai de fic longue, j'espère que vous me pardonnerez....
Sur ce bonne lecture et bon début de week-end!
POV Lisbon
Ok ! Récapitulons ! Bain pour me détendre : ok ! Enfin, tout au moins le bain, la détente, c’est bof bof. Maquillage : ok ! Robe : ok. Suis-je pas mal ? Beurk !
Voilà pourquoi j’évite le plus possible toute rencontre avec un miroir. Mes cheveux, je les trouve fades, cette robe, bon en soi, elle est pas mal du tout, mais sur moi, ça fait un effet…bref, passons.
Qu’est-ce-qu’il m’a pris d’écouter Van Pelt hein ? Si je lui ai proposé cette virée shopping entre filles, c’était pour qu’elle se rassure quant à mes intentions envers elle. Et puis parce que je savais qu’elle avait besoin d’attention, et que si je pouvais la sortir du bureau ne serait-ce que pendant une heure, ça ne lui ferait pas de mal. En vérité, j’avais aussi envie de lui faire comprendre que malgré cette incartade de l’autre soir, Van Pelt avait toute ma confiance.
Tout ça pour dire qu’on était parties toutes les deux au centre commercial, non sans avoir au préalable dû gérer un Rigsby anxieux (comme toujours dès que Grace s’éloigne de plus de 5 mètres de son champ de vision), et un Jane enquiquineur au possible, qui m’a fait un caprice en plein milieu de l’open space, s’agenouillant devant moi, pour que je le traîne avec nous.
Bon je sais bien qu’il voulait détendre l’atmosphère de notre bureau. Je sais bien qu’il a fait ça pour dérider l’équipe. Mais en l’occurrence, je me demande s’il n’a pas pris un énorme plaisir à le faire. Et j’avoue que je n’ai pas été si mécontente de son acte digne d’une pièce de Shakespeare. Au moins, certaines choses semblaient immuables aux yeux de tous. Jane l’enquiquineur était de retour, et ce n’était pas pour me déplaire. D’autant qu’il passait inaperçu en réalité. Si Jane était gamin, c’était normal. C’est lorsqu’il était sérieux que tous s’inquiétaient.
Finalement, j’avais dû le traîner de force dans mon bureau, comme d’habitude, chose qui n’avait pas non plus surpris nos spectateurs quotidiens. Il faut dire qu’on était passés maîtres dans l’art de la tragédie grecque, ou de la comédie burlesque, avec Jane. Mais là, en l’occurrence, nous simulions nos disputes, pour que personne ne se rende compte de ce qu’il se passait réellement.
Jane n’ayant pas tué Red John, une taupe se faufilant dans le CBI, Jane et moi…bien plus complices…
Bref, il fallait qu’on donne le change. Et j’avoue que pour ce qui est de donner le change, j’ai eu un mentor de folie en la personne de mon consultant. J’ai donc expliqué à Jane que c’était bon, il avait donné l’illusion, il avait joué son rôle à merveille, mais que désormais, il devait cesser sa comédie. Et ce fut sa réaction à cet instant qui me surprit, puisqu’il ne broncha pas, et qu’au contraire, il se pencha vers moi, me susurrant dans l’oreille : « je faisais exprès…je sais bien que toi et Grace avez besoin d’un petit moment entre femmes… ».
Et de mon oreille, ses lèvres vinrent se poser sur ma joue, enfin, encore une fois à la commissure de mes lèvres.
Encore. Et j’avais encore rougi. Et j’étais encore restée comme une idiote, les bras ballants en plein milieu de mon bureau.
Jusqu’à ce que Grace arrive pour me chercher. Je me rappelle lui avoir souri, et lui avoir emboîté le pas, sous le regard stressé de Rigsby et …euh…attendri, de Jane.
Van Pelt et moi sommes donc arrivées au centre commercial, et là encore je me suis laissée complètement guidée par Grace. Moi et centre commercial est bien souvent égal à grosse crise de rage. Les gens sont lents, ils poussent leurs caddies lentement, prennent toute la place, les conversations sont dignes de l’épisode 4035 des Feux de l’Amour….Bref, je hais les centres commerciaux. Mais je dois dire qu’avec Grace, tout semblait plus léger.
Nous avons donc passé une superbe après-midi entre filles. Moi à qui cela n’arrive jamais, j’avoue avoir été surprise d’apprécier. Après avoir bu un café - il m’en fallait bien un pour affronter cette foule - Grace m’a tirée vers un magasin, et m’a choisi une demi-douzaine de robes, avant de me pousser de force dans la cabine d’essayage. Bon j’avoue m’être laissée faire, parce que je voulais lui faire plaisir. J’en mis une, et j’eus droit à un « ohhh, vous êtes ma-gni-fi-que Mademoiselle », de la part d’une vendeuse aux ongles manucurés et aux cheveux peroxydés. Et la vendeuse ne s’arrêta évidemment pas en si bon chemin, si bien qu’au moment de sortir de la cabine, la 6ème robe sur moi, j’hésitais longuement à sortir mon arme de service, pour lui faire ravaler son ton obséquieux. Heureusement que Van Pelt était là pour calmer les ardeurs de cette … hum. Bref, la 6ème robe était la bonne.
Et c’était celle dans laquelle je me trouvais actuellement. Elle était vraiment magnifique, rien à redire là-dessus. Légèrement décolletée, échancrée dans le dos, et me tombant au-dessus des genoux, tout en suivant la courbe de mes hanches.
Mais de toute façon je crois que j’aurais pu être vêtue d’une tenue de cosmonaute que cela n’aurait rien changé. J’aurais tout autant stressé. Car en effet, outre cette histoire de discours pour le dîner de Thanksgiving du CBI, j’avais un consultant dont je n’arrivais plus à suivre les constructions mentales, qui venait me chercher, chez moi, pour m’emmener à la dite fête. Il m’avait encore fait le coup de l’agenouillement au milieu de l’open space, pour que je cède à ses avances.
Bref, il était donc 19h15, j’étais habillée, maquillée, mon discours était préparé, mais moi je ne l’étais pas du tout. J’avais le ventre en pagaille.
Je n’eus pas le loisir de m’appesantir plus que ça sur les pensées qui me traversaient à ce moment précis, puisque la sonnette de mon appartement retentit. Je soufflai un bon coup, pris ce minuscule sac à main dans lequel, mon arme rentrait tout de même, et descendis les escaliers. La sonnette retentit encore une fois.
Lisbon : « C’est bon j’arrive ! », criai-je.
En ouvrant la porte, je tombais sur un homme incroyablement séduisant. Patrick Jane, évidemment. Mais le costume 3 pièces avait été troqué contre un smoking noir, une chemise blanche, et une cravate, que je soupçonnais qu’il ait piquée à Rigsby.
Reprenant mes esprits, je réussis à passer outre le sourire qui s’étalait sur la figure de Jane.
Lisbon : « T’étais pas obligé de casser ma sonnette. J’arrivais. », Râlai-je, plus pour la forme et pour cacher mon trouble qu’autre chose.
Jane : « bah j’avais peur que tu sois déjà partie. Sans moi. Et j’aurais été vraiment, vraiment, déçu ! », Me sortit-il, un sourire charmeur au coin de la bouche.
Jane : « Mademoiselle est prête ? » me demanda-t-il, m’offrant son bras.
Je ne pus qu’acquiescer, et je pris les clés qui trônaient à côté de la porte, avant de refermer mon appartement. Je pris le bras que m’offrait si généreusement Jane, et m’avançait avec lui vers sa DS. Tout gentleman qu’il était, il m’ouvrit la porte passager et juste avant de refermer la portière sur moi, il me gratifia d’un sourire à tomber par terre. Encore.
Jane : « Je n’ai pas pu le dire avant, il a fallu que je trouve les bons mots. Mais Lisbon, tu es….splendide. », Confessa-t-il, en rougissant légèrement.
J’étais tellement abasourdie, non pas tant par les paroles que par les joues rosies du consultant, que je n’eus pas la force, ou le courage de rétorquer quoique ce soit.
Ouhhh, ça m’énervait, ce dîner ressemblait de plus en plus à un piège, duquel je n’arrivais pas à m’extirper. Jane était trop séduisant. Et si je rajoutais à cela ces aveux de ces deux derniers jours, les regards de ces 4 derniers mois, nos échanges savoureux et silencieux….j’aurais vite fait d’en oublier ce foutu règlement du CBI, et je lui sauterais au cou. Sans plus attendre.
Verdict?????
Tout d'abord, un grand merci à mes commentatrices de folie , j'ai nommé: Dawnie, SweetyLove30, Johel et Lilia!
Voici ci-dessous le chapitre 14 de cette fic, qui je pense préfigure de la fin (d'ici 1 ou deux chapitres je pense...).
Je n'en suis pas si satisfaite que cela de cette fic, j'ai l'impression de m'être laissée prendre par l'histoire et de ne pas avoir tant que ça de fil conducteur. Mais c'est un coup d'essai de fic longue, j'espère que vous me pardonnerez....
Sur ce bonne lecture et bon début de week-end!
Chapitre 14
POV Lisbon
Ok ! Récapitulons ! Bain pour me détendre : ok ! Enfin, tout au moins le bain, la détente, c’est bof bof. Maquillage : ok ! Robe : ok. Suis-je pas mal ? Beurk !
Voilà pourquoi j’évite le plus possible toute rencontre avec un miroir. Mes cheveux, je les trouve fades, cette robe, bon en soi, elle est pas mal du tout, mais sur moi, ça fait un effet…bref, passons.
Qu’est-ce-qu’il m’a pris d’écouter Van Pelt hein ? Si je lui ai proposé cette virée shopping entre filles, c’était pour qu’elle se rassure quant à mes intentions envers elle. Et puis parce que je savais qu’elle avait besoin d’attention, et que si je pouvais la sortir du bureau ne serait-ce que pendant une heure, ça ne lui ferait pas de mal. En vérité, j’avais aussi envie de lui faire comprendre que malgré cette incartade de l’autre soir, Van Pelt avait toute ma confiance.
Tout ça pour dire qu’on était parties toutes les deux au centre commercial, non sans avoir au préalable dû gérer un Rigsby anxieux (comme toujours dès que Grace s’éloigne de plus de 5 mètres de son champ de vision), et un Jane enquiquineur au possible, qui m’a fait un caprice en plein milieu de l’open space, s’agenouillant devant moi, pour que je le traîne avec nous.
Bon je sais bien qu’il voulait détendre l’atmosphère de notre bureau. Je sais bien qu’il a fait ça pour dérider l’équipe. Mais en l’occurrence, je me demande s’il n’a pas pris un énorme plaisir à le faire. Et j’avoue que je n’ai pas été si mécontente de son acte digne d’une pièce de Shakespeare. Au moins, certaines choses semblaient immuables aux yeux de tous. Jane l’enquiquineur était de retour, et ce n’était pas pour me déplaire. D’autant qu’il passait inaperçu en réalité. Si Jane était gamin, c’était normal. C’est lorsqu’il était sérieux que tous s’inquiétaient.
Finalement, j’avais dû le traîner de force dans mon bureau, comme d’habitude, chose qui n’avait pas non plus surpris nos spectateurs quotidiens. Il faut dire qu’on était passés maîtres dans l’art de la tragédie grecque, ou de la comédie burlesque, avec Jane. Mais là, en l’occurrence, nous simulions nos disputes, pour que personne ne se rende compte de ce qu’il se passait réellement.
Jane n’ayant pas tué Red John, une taupe se faufilant dans le CBI, Jane et moi…bien plus complices…
Bref, il fallait qu’on donne le change. Et j’avoue que pour ce qui est de donner le change, j’ai eu un mentor de folie en la personne de mon consultant. J’ai donc expliqué à Jane que c’était bon, il avait donné l’illusion, il avait joué son rôle à merveille, mais que désormais, il devait cesser sa comédie. Et ce fut sa réaction à cet instant qui me surprit, puisqu’il ne broncha pas, et qu’au contraire, il se pencha vers moi, me susurrant dans l’oreille : « je faisais exprès…je sais bien que toi et Grace avez besoin d’un petit moment entre femmes… ».
Et de mon oreille, ses lèvres vinrent se poser sur ma joue, enfin, encore une fois à la commissure de mes lèvres.
Encore. Et j’avais encore rougi. Et j’étais encore restée comme une idiote, les bras ballants en plein milieu de mon bureau.
Jusqu’à ce que Grace arrive pour me chercher. Je me rappelle lui avoir souri, et lui avoir emboîté le pas, sous le regard stressé de Rigsby et …euh…attendri, de Jane.
Van Pelt et moi sommes donc arrivées au centre commercial, et là encore je me suis laissée complètement guidée par Grace. Moi et centre commercial est bien souvent égal à grosse crise de rage. Les gens sont lents, ils poussent leurs caddies lentement, prennent toute la place, les conversations sont dignes de l’épisode 4035 des Feux de l’Amour….Bref, je hais les centres commerciaux. Mais je dois dire qu’avec Grace, tout semblait plus léger.
Nous avons donc passé une superbe après-midi entre filles. Moi à qui cela n’arrive jamais, j’avoue avoir été surprise d’apprécier. Après avoir bu un café - il m’en fallait bien un pour affronter cette foule - Grace m’a tirée vers un magasin, et m’a choisi une demi-douzaine de robes, avant de me pousser de force dans la cabine d’essayage. Bon j’avoue m’être laissée faire, parce que je voulais lui faire plaisir. J’en mis une, et j’eus droit à un « ohhh, vous êtes ma-gni-fi-que Mademoiselle », de la part d’une vendeuse aux ongles manucurés et aux cheveux peroxydés. Et la vendeuse ne s’arrêta évidemment pas en si bon chemin, si bien qu’au moment de sortir de la cabine, la 6ème robe sur moi, j’hésitais longuement à sortir mon arme de service, pour lui faire ravaler son ton obséquieux. Heureusement que Van Pelt était là pour calmer les ardeurs de cette … hum. Bref, la 6ème robe était la bonne.
Et c’était celle dans laquelle je me trouvais actuellement. Elle était vraiment magnifique, rien à redire là-dessus. Légèrement décolletée, échancrée dans le dos, et me tombant au-dessus des genoux, tout en suivant la courbe de mes hanches.
Mais de toute façon je crois que j’aurais pu être vêtue d’une tenue de cosmonaute que cela n’aurait rien changé. J’aurais tout autant stressé. Car en effet, outre cette histoire de discours pour le dîner de Thanksgiving du CBI, j’avais un consultant dont je n’arrivais plus à suivre les constructions mentales, qui venait me chercher, chez moi, pour m’emmener à la dite fête. Il m’avait encore fait le coup de l’agenouillement au milieu de l’open space, pour que je cède à ses avances.
Bref, il était donc 19h15, j’étais habillée, maquillée, mon discours était préparé, mais moi je ne l’étais pas du tout. J’avais le ventre en pagaille.
Je n’eus pas le loisir de m’appesantir plus que ça sur les pensées qui me traversaient à ce moment précis, puisque la sonnette de mon appartement retentit. Je soufflai un bon coup, pris ce minuscule sac à main dans lequel, mon arme rentrait tout de même, et descendis les escaliers. La sonnette retentit encore une fois.
Lisbon : « C’est bon j’arrive ! », criai-je.
En ouvrant la porte, je tombais sur un homme incroyablement séduisant. Patrick Jane, évidemment. Mais le costume 3 pièces avait été troqué contre un smoking noir, une chemise blanche, et une cravate, que je soupçonnais qu’il ait piquée à Rigsby.
Reprenant mes esprits, je réussis à passer outre le sourire qui s’étalait sur la figure de Jane.
Lisbon : « T’étais pas obligé de casser ma sonnette. J’arrivais. », Râlai-je, plus pour la forme et pour cacher mon trouble qu’autre chose.
Jane : « bah j’avais peur que tu sois déjà partie. Sans moi. Et j’aurais été vraiment, vraiment, déçu ! », Me sortit-il, un sourire charmeur au coin de la bouche.
Jane : « Mademoiselle est prête ? » me demanda-t-il, m’offrant son bras.
Je ne pus qu’acquiescer, et je pris les clés qui trônaient à côté de la porte, avant de refermer mon appartement. Je pris le bras que m’offrait si généreusement Jane, et m’avançait avec lui vers sa DS. Tout gentleman qu’il était, il m’ouvrit la porte passager et juste avant de refermer la portière sur moi, il me gratifia d’un sourire à tomber par terre. Encore.
Jane : « Je n’ai pas pu le dire avant, il a fallu que je trouve les bons mots. Mais Lisbon, tu es….splendide. », Confessa-t-il, en rougissant légèrement.
J’étais tellement abasourdie, non pas tant par les paroles que par les joues rosies du consultant, que je n’eus pas la force, ou le courage de rétorquer quoique ce soit.
Ouhhh, ça m’énervait, ce dîner ressemblait de plus en plus à un piège, duquel je n’arrivais pas à m’extirper. Jane était trop séduisant. Et si je rajoutais à cela ces aveux de ces deux derniers jours, les regards de ces 4 derniers mois, nos échanges savoureux et silencieux….j’aurais vite fait d’en oublier ce foutu règlement du CBI, et je lui sauterais au cou. Sans plus attendre.
Verdict?????
mococoa- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Loisirs : sport, lecture (des fics entre autres), The Mentalist
Localisation : Dans mes rêves
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
perso je suis d'accord avec elle lol!! je lui sauterai bien au cou
ton chapitre est bien tisselé! très léger et je ne peux qu'imaginer les deux la bien habillé!
Jane rougissant!! lol j'adore (bon dommage c'est pas pour moi)
très bon chapitre et hate de voir la fin!! Va-t-elle lui sauter desus ou pas?? Peut-être lui le fera-t-il? lol
VLS et comme d'hab bravo
ton chapitre est bien tisselé! très léger et je ne peux qu'imaginer les deux la bien habillé!
Jane rougissant!! lol j'adore (bon dommage c'est pas pour moi)
très bon chapitre et hate de voir la fin!! Va-t-elle lui sauter desus ou pas?? Peut-être lui le fera-t-il? lol
VLS et comme d'hab bravo
Dawnie- Distributeur de café
- Personnage préféré : Patrick Jane
Loisirs : beaucoup
Localisation : belgique
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Un excellent chapitre
C'est tout à fait le genre de réaction que j'imagine pour Lisbon face à une vendeuse de vêtements...
Maintenant les voilà en route pour la fête avec un Jane rougissant comme un ado qui amène sa première petite copine à un bal
Reste à voit comment cela va se dérouler :bounce: :bounce: :bounce:
C'est tout à fait le genre de réaction que j'imagine pour Lisbon face à une vendeuse de vêtements...
Maintenant les voilà en route pour la fête avec un Jane rougissant comme un ado qui amène sa première petite copine à un bal
Reste à voit comment cela va se dérouler :bounce: :bounce: :bounce:
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Je suis tout à fait d'accord et je plussoie aux commentaires précédents!!
C'est vrai que j'ai du mal à croire, que tous autant qu'ils sont, sont des adultes!!
Il me font plus penser à des gamins, Jane et Lisbon en tête bien sûr!!
Bref: VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C'est vrai que j'ai du mal à croire, que tous autant qu'ils sont, sont des adultes!!
Il me font plus penser à des gamins, Jane et Lisbon en tête bien sûr!!
Bref: VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Invité- Invité
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Bonjour tout le monde!
Tout d'abord, et comme d'habitude, je remercie mille fois les lecteurs/lectrices de cette fic , et en priorité celles qui laissent un commentaire...J'ai nommé: Dawnie, Johel et Lilia, mes fidèles rewieveuses!
Ensuite, je tiens à m'excuser du peu de lecture qui va suivre...j'ai passé une semaine de malade , entre mon anniversaire, et ...une belle bronchite (malade prend donc son sens 1er) (et quelques fics à corriger...merci cocodu66 et JisbonAddict pour votre confiance )
Bref, un petit chapitre donc, mais le prochain suivra ce week-end! Avec (enfin) une idée de la fin.
POV Jane
Nous arrivâmes au CBI sains et saufs. Je crois bon de le préciser étant donné l’effet que me faisait Lisbon. Je ne pouvais m’empêcher de me tourner toutes les 5 secondes vers ma passagère, qui, comme d’habitude à chaque fois qu’elle montait dans ma superbe voiture française, était prise d’une raideur musculaire incontrôlable. Mais je n’en menais pas large, moi non plus.
Teresa Lisbon était magnifique. Je n’avais eu que très peu d’occasions de la voir en robe de soirée, mais cette fois, elle battait tous les records. Et n’étant qu’un homme, qui plus est un homme de plus en plus attiré par la femme qu’elle était, je ne pouvais m’empêcher de la regarder. Est-ce-qu’elle allait bien ? Etait-elle à l’aise ? Me regardait-elle ? Non évidemment, elle regardait la route, elle.
Quand bien même le silence régnait dans la voiture, j’entendais une sorte de bourdonnement dans mes oreilles, cette sorte de bourdonnement qui nous dit que la tension est là, que quelque chose d’important va arriver. Plusieurs options me traversèrent l’esprit, la première étant que l’on ressemblait, Teresa et moi, à deux adolescents se rendant à leur bal de promo. La tension était palpable, mais pas désagréable, non. En réalité, j’aurais aimé que ce trajet n’en finisse pas. Les rayons de la lune se reflétaient sur le visage de Teresa, et ses yeux brillaient dans le noir. Tout cela avait quelque chose de féérique et je me demandai encore, en arrivant au CBI, comment j’avais fait pour ne pas avoir d’accident, ou tout simplement pour ne pas lui sauter dessus.
J’entendis le bref mais néanmoins distinct soupir de soulagement de Teresa lorsque nous rentrâmes dans le parking du CBI, complet à l’occasion de cette fête de Thanksgiving.
Pendant quelques instants, je me demandais à quoi je devais attribuer le soulagement flagrant de Lisbon : le fait que ce trajet silencieux prenne fin, ou le fait que l’on soit arrivé en un seul morceau au CBI. Mais je n’eus pas le loisir de me poser plus de questions, Teresa grouillant d’impatience sur son siège, et ayant fini par détacher sa ceinture alors que je n’avais pas encore coupé le contact de la DS.
Jane : « Ola, femme, doucement ! » m’écriais-je
La portière passager était déjà ouverte et Teresa à moitié levée.
Lisbon : « Jane…sais-tu ce que c’est que de porter une robe, des collants, des talons et être assise dans cette voiture de la mort avec tout cet attirail ? », me questionna-t-elle en me lançant un regard courroucé.
Je souris à sa remarque, et me dépêchais de la rejoindre de son côté de la voiture, soulagé d’avoir eu, par ailleurs, la réponse à ma question intérieure.
Je refermais la portière passager derrière elle, et lui tendis une nouvelle fois mon bras. Elle roula des yeux devant mon geste chevaleresque, mais ne put réprimer un sourire.
Jane : « Allons, Teresa, je sais qu’au fond de toi tu es une grande romantique », lui susurrai-je en souriant.
Lisbon : « J’accepte de tenir ton bras uniquement car j’ai peur de me casser la figure à tout moment avec ces foutus talons. Vous n’avez pas tous ces problèmes, vous… »
Jane : « Ca y est, l’éternelle ritournelle féministe ! La coupai-je. Tu crois quoi ? Que nos chaussures sont plus confortables ? Je donnerai tout pour mes chaussures marron…et la cravate…t’y as pensé ? ».
Lisbon : « tu veux vraiment qu’on compare ? Parce que j’ai bien d’autres arguments en réserve qui étayent le fait que vous les hommes avez plus de commodités dirons-nous que nous les femmes… »
Jane : « Commodité ? Par ce mot tu sous-entends le fait que vous nous faites tourner en bourrique ? » Demandai-je, pas mécontent d’avoir fait glisser le sujet vers quelque chose de plus personnel.
Lisbon : « Non mais n’importe qu…Quoi ? Tu as dit quoi ? »
Elle s’était stoppée. Nous étions dans le hall du CBi, décoré d’apparats
pour l’occasion.
Wrainwright : « Ah ! Le couple infernal ! »
Nous nous retournâmes tous deux, pour tomber nez à nez avec le nouveau boss. Je l’aime bien celui-là, faut l’avouer. Il est assez jeune, et semble par moments complètement à l’ouest. Mais sembler est le bon terme, car je soupçonne qu’il soit assez intelligent pour jouer le naïf, alors qu’en réalité, il capte tout.
Lisbon s’écarta de moi en deux temps trois mouvements à l’entente de Wrainwright.
Lisbon : « Monsieur… »
Wrainwright : « Vous êtes magnifique, Mademoiselle Lisbon… » déclara Wrainwright. Puis se tournant vers moi, ce dernier ajouta. « Monsieur Jane, cela vous embête-t-il si je vous emprunte votre partenaire ? »
Qu’est-ce-que je pouvais répondre à ça…Non je ne veux pas, ne posez pas vos pattes sur elle, c’est MA Lisbon. Au lieu de ça, je ne répondis rien, mais haussai les épaules en me tournant vers ma partenaire, comme il l’avait bien dit. Les joues de Lisbon avaient pris une teinte rosée et je ne pus passer outre le pincement au cœur que je ressentis en voyant que le rougissement de Lisbon ne m’était pas uniquement réservé.
En réalité, non, je ne l’aimais pas du tout ce nouveau patron. Et en même temps, je dus bien admettre qu’il m’aidait encore à prendre conscience de la multitude de sentiments que je ressentais pour MA partenaire. Un coup d’œil à mon alliance confirma une nouvelle fois la donne. Je ne culpabilisais plus. Pour les sentiments que je ressentais envers Lisbon tout au moins.
Alors que l’ascenseur ouvrait ses portes devant nous, j’emboîtai les pas de Wrainwright et Lisbon, et appuyai sur l’étage où la petite fête devait avoir lieu, non sans avoir au préalable croisé le regard de Lisbon dans lequel je pus y lire…de la gêne.
Vos commentaires sont évidemment les bienvenus
Tout d'abord, et comme d'habitude, je remercie mille fois les lecteurs/lectrices de cette fic , et en priorité celles qui laissent un commentaire...J'ai nommé: Dawnie, Johel et Lilia, mes fidèles rewieveuses!
Ensuite, je tiens à m'excuser du peu de lecture qui va suivre...j'ai passé une semaine de malade , entre mon anniversaire, et ...une belle bronchite (malade prend donc son sens 1er) (et quelques fics à corriger...merci cocodu66 et JisbonAddict pour votre confiance )
Bref, un petit chapitre donc, mais le prochain suivra ce week-end! Avec (enfin) une idée de la fin.
Chapitre 15
POV Jane
Nous arrivâmes au CBI sains et saufs. Je crois bon de le préciser étant donné l’effet que me faisait Lisbon. Je ne pouvais m’empêcher de me tourner toutes les 5 secondes vers ma passagère, qui, comme d’habitude à chaque fois qu’elle montait dans ma superbe voiture française, était prise d’une raideur musculaire incontrôlable. Mais je n’en menais pas large, moi non plus.
Teresa Lisbon était magnifique. Je n’avais eu que très peu d’occasions de la voir en robe de soirée, mais cette fois, elle battait tous les records. Et n’étant qu’un homme, qui plus est un homme de plus en plus attiré par la femme qu’elle était, je ne pouvais m’empêcher de la regarder. Est-ce-qu’elle allait bien ? Etait-elle à l’aise ? Me regardait-elle ? Non évidemment, elle regardait la route, elle.
Quand bien même le silence régnait dans la voiture, j’entendais une sorte de bourdonnement dans mes oreilles, cette sorte de bourdonnement qui nous dit que la tension est là, que quelque chose d’important va arriver. Plusieurs options me traversèrent l’esprit, la première étant que l’on ressemblait, Teresa et moi, à deux adolescents se rendant à leur bal de promo. La tension était palpable, mais pas désagréable, non. En réalité, j’aurais aimé que ce trajet n’en finisse pas. Les rayons de la lune se reflétaient sur le visage de Teresa, et ses yeux brillaient dans le noir. Tout cela avait quelque chose de féérique et je me demandai encore, en arrivant au CBI, comment j’avais fait pour ne pas avoir d’accident, ou tout simplement pour ne pas lui sauter dessus.
J’entendis le bref mais néanmoins distinct soupir de soulagement de Teresa lorsque nous rentrâmes dans le parking du CBI, complet à l’occasion de cette fête de Thanksgiving.
Pendant quelques instants, je me demandais à quoi je devais attribuer le soulagement flagrant de Lisbon : le fait que ce trajet silencieux prenne fin, ou le fait que l’on soit arrivé en un seul morceau au CBI. Mais je n’eus pas le loisir de me poser plus de questions, Teresa grouillant d’impatience sur son siège, et ayant fini par détacher sa ceinture alors que je n’avais pas encore coupé le contact de la DS.
Jane : « Ola, femme, doucement ! » m’écriais-je
La portière passager était déjà ouverte et Teresa à moitié levée.
Lisbon : « Jane…sais-tu ce que c’est que de porter une robe, des collants, des talons et être assise dans cette voiture de la mort avec tout cet attirail ? », me questionna-t-elle en me lançant un regard courroucé.
Je souris à sa remarque, et me dépêchais de la rejoindre de son côté de la voiture, soulagé d’avoir eu, par ailleurs, la réponse à ma question intérieure.
Je refermais la portière passager derrière elle, et lui tendis une nouvelle fois mon bras. Elle roula des yeux devant mon geste chevaleresque, mais ne put réprimer un sourire.
Jane : « Allons, Teresa, je sais qu’au fond de toi tu es une grande romantique », lui susurrai-je en souriant.
Lisbon : « J’accepte de tenir ton bras uniquement car j’ai peur de me casser la figure à tout moment avec ces foutus talons. Vous n’avez pas tous ces problèmes, vous… »
Jane : « Ca y est, l’éternelle ritournelle féministe ! La coupai-je. Tu crois quoi ? Que nos chaussures sont plus confortables ? Je donnerai tout pour mes chaussures marron…et la cravate…t’y as pensé ? ».
Lisbon : « tu veux vraiment qu’on compare ? Parce que j’ai bien d’autres arguments en réserve qui étayent le fait que vous les hommes avez plus de commodités dirons-nous que nous les femmes… »
Jane : « Commodité ? Par ce mot tu sous-entends le fait que vous nous faites tourner en bourrique ? » Demandai-je, pas mécontent d’avoir fait glisser le sujet vers quelque chose de plus personnel.
Lisbon : « Non mais n’importe qu…Quoi ? Tu as dit quoi ? »
Elle s’était stoppée. Nous étions dans le hall du CBi, décoré d’apparats
pour l’occasion.
Wrainwright : « Ah ! Le couple infernal ! »
Nous nous retournâmes tous deux, pour tomber nez à nez avec le nouveau boss. Je l’aime bien celui-là, faut l’avouer. Il est assez jeune, et semble par moments complètement à l’ouest. Mais sembler est le bon terme, car je soupçonne qu’il soit assez intelligent pour jouer le naïf, alors qu’en réalité, il capte tout.
Lisbon s’écarta de moi en deux temps trois mouvements à l’entente de Wrainwright.
Lisbon : « Monsieur… »
Wrainwright : « Vous êtes magnifique, Mademoiselle Lisbon… » déclara Wrainwright. Puis se tournant vers moi, ce dernier ajouta. « Monsieur Jane, cela vous embête-t-il si je vous emprunte votre partenaire ? »
Qu’est-ce-que je pouvais répondre à ça…Non je ne veux pas, ne posez pas vos pattes sur elle, c’est MA Lisbon. Au lieu de ça, je ne répondis rien, mais haussai les épaules en me tournant vers ma partenaire, comme il l’avait bien dit. Les joues de Lisbon avaient pris une teinte rosée et je ne pus passer outre le pincement au cœur que je ressentis en voyant que le rougissement de Lisbon ne m’était pas uniquement réservé.
En réalité, non, je ne l’aimais pas du tout ce nouveau patron. Et en même temps, je dus bien admettre qu’il m’aidait encore à prendre conscience de la multitude de sentiments que je ressentais pour MA partenaire. Un coup d’œil à mon alliance confirma une nouvelle fois la donne. Je ne culpabilisais plus. Pour les sentiments que je ressentais envers Lisbon tout au moins.
Alors que l’ascenseur ouvrait ses portes devant nous, j’emboîtai les pas de Wrainwright et Lisbon, et appuyai sur l’étage où la petite fête devait avoir lieu, non sans avoir au préalable croisé le regard de Lisbon dans lequel je pus y lire…de la gêne.
Vos commentaires sont évidemment les bienvenus
mococoa- Inspecteur de police
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Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Mieux vaut un chapitre court de bonne qualité qu'un long pavé soporifique
J'apprécie la façon dont tu utilises les chamailleries entre Jane et Lisbon...c'est tellement vrai
Quand au POV de Jane c'est tout bonnement excellent...
Ne serait-ce pas de la jalousie qu'on voit poindre dans les pensées de Jane quand au rougissement de Lisbon...
j'ai passé un bon moment à te lire
J'apprécie la façon dont tu utilises les chamailleries entre Jane et Lisbon...c'est tellement vrai
Quand au POV de Jane c'est tout bonnement excellent...
Ne serait-ce pas de la jalousie qu'on voit poindre dans les pensées de Jane quand au rougissement de Lisbon...
j'ai passé un bon moment à te lire
Johel- In Jane we trust
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Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Génial!!! J'ai adoré la réaction intérieure de Jane qui aurait bien voulu répondre "bas les pattes" à la demande de Wainwright.
En attendant il la laissé partir avec elle. Mais en même temps, il ne risque pas grand chose avec lui, Lisbon est trop accro à son consultant pour s'intéresser à quelqu'un d'autre.
Je me demande comment va se dérouler cette soirée et le discours de Lisbon. Si elle se met à rougir dès qu'il y sera question de Jane, ça va pas le faire mais alors pas du tout.
VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
En attendant il la laissé partir avec elle. Mais en même temps, il ne risque pas grand chose avec lui, Lisbon est trop accro à son consultant pour s'intéresser à quelqu'un d'autre.
Je me demande comment va se dérouler cette soirée et le discours de Lisbon. Si elle se met à rougir dès qu'il y sera question de Jane, ça va pas le faire mais alors pas du tout.
VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Invité- Invité
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
désolée de ne pas avoir commenté le précédent chapitre pour ma défense je ne reçois plus les alertes lorsqu'il y a un nouveau message et en plus je ne pouvais même plus venir sur le fo' va savoir pourquoi mais je me rattrape en te disant que ces deux chapitres sont super
j'ai adoré les pensées de Lisbon, tellement vrai et en plus on a l'impression de vivre ces instants en même temps qu'elle, Jane en moins bien entendu
quand aux pensées de Jane, ça vaut le détour, c'est super , on sent à quel point il en pince pour Lisbon, comme un ado face à son premier amour et la jalousie qui point lorsque le nouveau boss arrive à faire rougir Lisbon
Il me tarde de lire la suite, mais prends ton temps, la santé c'est important
j'ai adoré les pensées de Lisbon, tellement vrai et en plus on a l'impression de vivre ces instants en même temps qu'elle, Jane en moins bien entendu
quand aux pensées de Jane, ça vaut le détour, c'est super , on sent à quel point il en pince pour Lisbon, comme un ado face à son premier amour et la jalousie qui point lorsque le nouveau boss arrive à faire rougir Lisbon
Il me tarde de lire la suite, mais prends ton temps, la santé c'est important
Sweetylove30- Red John
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Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Super Chapitre jane qui aime toujours autant taquiner Lisbon je demande qu'une chose je veux la suiteeeeeeeeee LOL
Invité- Invité
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
tkt pas grave pour le chapitre court tant que tu garde toujours cette qualité qu'est la tienne lorsque tu écris! super chapitre!! que de belles chamaillerie entre Lisbon et Jane !! que ça leur va bien!! petit moment de jalousie oula j'adore!! je craque!!!
Allez mets moi vite la suite !!!
ah et j'oubliais bon anniversaire en retard
Allez mets moi vite la suite !!!
ah et j'oubliais bon anniversaire en retard
Dawnie- Distributeur de café
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Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Bonsoir tout le monde!
Bon je sais que l'attente pour celles et ceux qui regardent la saison 4 est à son comble. :bounce: :bounce:
Mais en attendant, je vous propose le chapitre suivant de ma fic Bon je n'ai toutefois pas l'indécence de croire que cela vous fera mieux patienter jusqu'à demain, mais en tout cas, l'écriture m'a fait patienter à moi
Bref, trêve de blablas... Je tiens remercier mes fidèles lectrices, et commentatrices !! et je m'excuse pour le retard
Bonne lecture et dormez un peu quand même d'ici demain
La salle du 3ème étage du CBI était noire de monde pour l’occasion. Toutes les équipes du bâtiment se retrouvaient dans une seule et même pièce, et les conjoints des différentes personnes présentes avaient également été invités. Autant dire que Jane, Lisbon et Wrainwright durent jouer des coudes pour rejoindre la partie de la salle où le buffet était installé, et où un Rigsby les accueillit, la bouche pleine.
Rigsby : « Hummm…bonchoir… », dit-il tant bien que mal, essayant d’avaler sa dernière bouchée, et renversant la moitié de son assiette par terre dans sa précipitation.
Jane : « Ca veut dire Bonsoir », précisa-t-il, le sourire en coin, en se tournant vers Lisbon et Wrainwright.
Rigsby : « Ah, ah, très drôle…belle cravate dis-moi ! »
Jane : « tu trouves ? », lui rétorqua-t-il en lui faisant un clin d’œil.
Wrainwright : « c’est vrai ça, Monsieur Jane, nous n’avons pas l’occasion de vous voir sans votre costume 3 pièces…ça…change… », intervint le grand boss.
Jane nota l’hésitation de Wrainwright, qui voulait sûrement signifier quelque chose, mais ne releva pas. Il n'en avait cure de toute façon. Le boss s’était déjà tourné vers le buffet, et Rigsby se chargeait de lui faire la conversation. Jane ne rêvait que d'une chose: partir. Mais il ne le pouvait pas. Teresa se tenait encore là, et se devait de faire bonne figure en restant près de Wrainwright.
Alors que Jane, concrètement, ne souhaitait qu’une chose. Que ces pots de colle le lâchent, et lâchent Lisbon par la même occasion. Il avait voulu l’emmener à cette fête, la guider par le bras, ne pas la quitter d’une semelle. Mais des importuns en avaient décidé autrement. Et ce que Jane souhaitait par-dessus tout, c’était qu’ils s’en aillent.
Mais comment faire pour enlever un Rigsby d’un buffet. Et comment faire pour rabrouer son supérieur hiérarchique, enfin surtout le supérieur hiérarchique de Lisbon.
Jane en était là de ses réflexions, essayant de trouver une astuce dont lui seul avait le secret pour faire partir tout ce petit monde, lorsqu’il fut surpris de sentir une main caresser la sienne. La chaleur qui se répandit dans son corps au contact de cette main étrangère ne laissait place à aucun doute. Et lorsqu’il s’agrippa en retour à ces doigts fins qui hésitaient le long de sa main, Jane sourit. Un vrai sourire. De ceux qu’il n’avait pas l’occasion de lâcher souvent. À vrai dire, son vrai sourire ne s’était étendu sur son visage qu’au contact, ou à l’évocation, de Teresa Lisbon. Outre la multitude de sensations qui l’assaillirent lorsque Lisbon prit sa main, Jane se rendit compte d’une chose. C’était elle. Oui elle, qui avait fait le pas. C’était ses doigts qui étaient venus chercher sa main. Son sourire s’agrandit.
Lisbon était de nouveau en conversation avec Wrainwright et Rigsby, mais tenait toujours la main de Jane dans la sienne. Au plus grand bonheur de ce dernier. Elle ne savait pas réellement ce qui l’avait poussée à effleurer sa main, à la chercher entre leurs vêtements, mais elle l’avait fait. Et Jane avait agrippé sa main, lui provoquant une décharge dans tout le corps. Teresa remercia le ciel qu’il y ait autant de monde à cette soirée. Ils étaient tous tellement serrés que personne ne pouvait remarquer que l’agent senior Teresa Lisbon et son consultant, le séduisant Patrick Jane, se tenaient la main.
Van Pelt et Cho firent leur apparition au sein du petit groupe, Van Pelt en longue robe rouge qui lui allait à ravir, et Cho dans un costume cravate impeccable, tiré à 4 épingles.
La conversation s’anima, et Rigsby prit place comme à son habitude le plus près possible de sa collègue. Il était tellement subjugué qu’il en avait lâché le buffet. Van Pelt rougit lorsque le grand brun lui murmura quelques paroles à l’oreille. Jane et Lisbon ne purent s’empêcher de se lancer un regard complice. Lisbon n’était pas dupe et savait que Van Pelt et Rigsby étaient toujours tous deux attirés l’un vers l’autre. Et mine de rien, elle, la fana du règlement, n’en était que pleinement heureuse. Wayne Rigsby était quelqu’un de bon, de doux et d’attentionné. Pile poil ce qui pouvait rendre Grace Van Pelt heureuse. Et Lisbon savait aussi pertinemment que Rigsby saurait attendre que Van Pelt soit prête. En quelque sorte, leur rapprochement, qui avait inquiété Lisbon deux années auparavant, la rassurait désormais. De son côté, Jane n’était pas surpris. C’était Jane en même temps. Il aurait pu prédire le prénom de leur 3ème enfant.
Le regard complice que Lisbon et Jane échangèrent à propos de leurs collègues se mua en regard envoûtant n’ayant d’égal que les caresses auxquelles ils s’adonnaient sur leurs mains. Il n’y avait plus qu’eux désormais. Ils s’étaient encore perdus dans un de leur dialogue silencieux, dont eux seuls avaient les traductions. Et ils y étaient tombés naturellement, avec délice.
Le charme de l’instant fut rompu lorsque Wrainwright fit clinquer une cuillère sur sa coupe de champagne dans le micro.
Wrainwright : « Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs » commença-t-il, en s’éclaircissant la gorge. « C’est avec une grande joie que je vous souhaite la bienvenue pour la soirée de Thanksgiving du CBI. Je tiens tout d’abord à vous remercier d’être venus aussi nombreux pour l’occasion… »
Jane sentit l’inquiétude de Lisbon monter d’un cran. Elle savait que ça allait être son tour d’ici peu de temps, et le consultant connaissait la réticence de la jeune femme envers toute forme de babillage mondain. Alors, pour la rassurer, il caressa la paume de sa main, toujours prisonnière de la sienne, avec son pouce. Teresa se tourna pour lire de la tendresse dans le regard de Jane. Elle sourit. Sans rougir. C’était simple en fait. Cette situation, qui l’aurait paniquée il y a encore quelques mois, l’apaisait désormais. En réalité, c’était même Jane qui l’apaisait. Dans ses regards, Lisbon lisait de la maturité. Oui, Jane et maturité dans la même phrase. Ce constat la fit sourire encore plus. Elle ne l’aurait jamais cru, mais Patrick Jane la rassurait, la mettait en confiance, lui disant silencieusement qu’il était là pour la rattraper si besoin. Jane était devenu un élément stabilisateur dans sa vie.
Mais Lisbon fut coupée dans sa prise de conscience à l’entente de son nom, prononcé par Luther Wrainwright. Elle le vit lui faire un sourire, et les applaudissements retentirent dans la salle. Ses joues s’empourprèrent immédiatement. Jane lui exerça une légère pression sur sa main, comme pour lui donner du courage et l’assurer que tout se passerait bien. Elle le remercia d’un sourire, et lâcha sa main, à regret, avant de se diriger vers l’estrade sur laquelle Wrainwright l’accueillit en lui donnant le micro.
Lisbon prit le micro entre ses mains, remercia Wrainwright, et se positionna au milieu de l’estrade. Un coup d’œil à son auditoire la fit paniquer. Mais lorsque son regard se posa sur Jane, qui hocha la tête en souriant, elle se lança.
J'espère que cela vous plaira... Et je vais essayer de moins tarder pour mettre la suite...
Bon je sais que l'attente pour celles et ceux qui regardent la saison 4 est à son comble. :bounce: :bounce:
Mais en attendant, je vous propose le chapitre suivant de ma fic Bon je n'ai toutefois pas l'indécence de croire que cela vous fera mieux patienter jusqu'à demain, mais en tout cas, l'écriture m'a fait patienter à moi
Bref, trêve de blablas... Je tiens remercier mes fidèles lectrices, et commentatrices !! et je m'excuse pour le retard
Bonne lecture et dormez un peu quand même d'ici demain
Chapitre 16
La salle du 3ème étage du CBI était noire de monde pour l’occasion. Toutes les équipes du bâtiment se retrouvaient dans une seule et même pièce, et les conjoints des différentes personnes présentes avaient également été invités. Autant dire que Jane, Lisbon et Wrainwright durent jouer des coudes pour rejoindre la partie de la salle où le buffet était installé, et où un Rigsby les accueillit, la bouche pleine.
Rigsby : « Hummm…bonchoir… », dit-il tant bien que mal, essayant d’avaler sa dernière bouchée, et renversant la moitié de son assiette par terre dans sa précipitation.
Jane : « Ca veut dire Bonsoir », précisa-t-il, le sourire en coin, en se tournant vers Lisbon et Wrainwright.
Rigsby : « Ah, ah, très drôle…belle cravate dis-moi ! »
Jane : « tu trouves ? », lui rétorqua-t-il en lui faisant un clin d’œil.
Wrainwright : « c’est vrai ça, Monsieur Jane, nous n’avons pas l’occasion de vous voir sans votre costume 3 pièces…ça…change… », intervint le grand boss.
Jane nota l’hésitation de Wrainwright, qui voulait sûrement signifier quelque chose, mais ne releva pas. Il n'en avait cure de toute façon. Le boss s’était déjà tourné vers le buffet, et Rigsby se chargeait de lui faire la conversation. Jane ne rêvait que d'une chose: partir. Mais il ne le pouvait pas. Teresa se tenait encore là, et se devait de faire bonne figure en restant près de Wrainwright.
Alors que Jane, concrètement, ne souhaitait qu’une chose. Que ces pots de colle le lâchent, et lâchent Lisbon par la même occasion. Il avait voulu l’emmener à cette fête, la guider par le bras, ne pas la quitter d’une semelle. Mais des importuns en avaient décidé autrement. Et ce que Jane souhaitait par-dessus tout, c’était qu’ils s’en aillent.
Mais comment faire pour enlever un Rigsby d’un buffet. Et comment faire pour rabrouer son supérieur hiérarchique, enfin surtout le supérieur hiérarchique de Lisbon.
Jane en était là de ses réflexions, essayant de trouver une astuce dont lui seul avait le secret pour faire partir tout ce petit monde, lorsqu’il fut surpris de sentir une main caresser la sienne. La chaleur qui se répandit dans son corps au contact de cette main étrangère ne laissait place à aucun doute. Et lorsqu’il s’agrippa en retour à ces doigts fins qui hésitaient le long de sa main, Jane sourit. Un vrai sourire. De ceux qu’il n’avait pas l’occasion de lâcher souvent. À vrai dire, son vrai sourire ne s’était étendu sur son visage qu’au contact, ou à l’évocation, de Teresa Lisbon. Outre la multitude de sensations qui l’assaillirent lorsque Lisbon prit sa main, Jane se rendit compte d’une chose. C’était elle. Oui elle, qui avait fait le pas. C’était ses doigts qui étaient venus chercher sa main. Son sourire s’agrandit.
Lisbon était de nouveau en conversation avec Wrainwright et Rigsby, mais tenait toujours la main de Jane dans la sienne. Au plus grand bonheur de ce dernier. Elle ne savait pas réellement ce qui l’avait poussée à effleurer sa main, à la chercher entre leurs vêtements, mais elle l’avait fait. Et Jane avait agrippé sa main, lui provoquant une décharge dans tout le corps. Teresa remercia le ciel qu’il y ait autant de monde à cette soirée. Ils étaient tous tellement serrés que personne ne pouvait remarquer que l’agent senior Teresa Lisbon et son consultant, le séduisant Patrick Jane, se tenaient la main.
Van Pelt et Cho firent leur apparition au sein du petit groupe, Van Pelt en longue robe rouge qui lui allait à ravir, et Cho dans un costume cravate impeccable, tiré à 4 épingles.
La conversation s’anima, et Rigsby prit place comme à son habitude le plus près possible de sa collègue. Il était tellement subjugué qu’il en avait lâché le buffet. Van Pelt rougit lorsque le grand brun lui murmura quelques paroles à l’oreille. Jane et Lisbon ne purent s’empêcher de se lancer un regard complice. Lisbon n’était pas dupe et savait que Van Pelt et Rigsby étaient toujours tous deux attirés l’un vers l’autre. Et mine de rien, elle, la fana du règlement, n’en était que pleinement heureuse. Wayne Rigsby était quelqu’un de bon, de doux et d’attentionné. Pile poil ce qui pouvait rendre Grace Van Pelt heureuse. Et Lisbon savait aussi pertinemment que Rigsby saurait attendre que Van Pelt soit prête. En quelque sorte, leur rapprochement, qui avait inquiété Lisbon deux années auparavant, la rassurait désormais. De son côté, Jane n’était pas surpris. C’était Jane en même temps. Il aurait pu prédire le prénom de leur 3ème enfant.
Le regard complice que Lisbon et Jane échangèrent à propos de leurs collègues se mua en regard envoûtant n’ayant d’égal que les caresses auxquelles ils s’adonnaient sur leurs mains. Il n’y avait plus qu’eux désormais. Ils s’étaient encore perdus dans un de leur dialogue silencieux, dont eux seuls avaient les traductions. Et ils y étaient tombés naturellement, avec délice.
Le charme de l’instant fut rompu lorsque Wrainwright fit clinquer une cuillère sur sa coupe de champagne dans le micro.
Wrainwright : « Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs » commença-t-il, en s’éclaircissant la gorge. « C’est avec une grande joie que je vous souhaite la bienvenue pour la soirée de Thanksgiving du CBI. Je tiens tout d’abord à vous remercier d’être venus aussi nombreux pour l’occasion… »
Jane sentit l’inquiétude de Lisbon monter d’un cran. Elle savait que ça allait être son tour d’ici peu de temps, et le consultant connaissait la réticence de la jeune femme envers toute forme de babillage mondain. Alors, pour la rassurer, il caressa la paume de sa main, toujours prisonnière de la sienne, avec son pouce. Teresa se tourna pour lire de la tendresse dans le regard de Jane. Elle sourit. Sans rougir. C’était simple en fait. Cette situation, qui l’aurait paniquée il y a encore quelques mois, l’apaisait désormais. En réalité, c’était même Jane qui l’apaisait. Dans ses regards, Lisbon lisait de la maturité. Oui, Jane et maturité dans la même phrase. Ce constat la fit sourire encore plus. Elle ne l’aurait jamais cru, mais Patrick Jane la rassurait, la mettait en confiance, lui disant silencieusement qu’il était là pour la rattraper si besoin. Jane était devenu un élément stabilisateur dans sa vie.
Mais Lisbon fut coupée dans sa prise de conscience à l’entente de son nom, prononcé par Luther Wrainwright. Elle le vit lui faire un sourire, et les applaudissements retentirent dans la salle. Ses joues s’empourprèrent immédiatement. Jane lui exerça une légère pression sur sa main, comme pour lui donner du courage et l’assurer que tout se passerait bien. Elle le remercia d’un sourire, et lâcha sa main, à regret, avant de se diriger vers l’estrade sur laquelle Wrainwright l’accueillit en lui donnant le micro.
Lisbon prit le micro entre ses mains, remercia Wrainwright, et se positionna au milieu de l’estrade. Un coup d’œil à son auditoire la fit paniquer. Mais lorsque son regard se posa sur Jane, qui hocha la tête en souriant, elle se lança.
J'espère que cela vous plaira... Et je vais essayer de moins tarder pour mettre la suite...
mococoa- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Loisirs : sport, lecture (des fics entre autres), The Mentalist
Localisation : Dans mes rêves
Re: Sans mentir (spoiler saisons 3 et 4) ^
Mais quel chapitre!!!! Ca valait le coup de patienter!!
Les petits signes d'affections entre Jane et Lisbon, en toute discrétion c'était trop trop trop mignon!!!
J'ai adoré la réaction de Rigsby en apercevant Van Pelt!!!
Et j'ai particulièrement adoré ta phrase les concernant:
VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Les petits signes d'affections entre Jane et Lisbon, en toute discrétion c'était trop trop trop mignon!!!
J'ai adoré la réaction de Rigsby en apercevant Van Pelt!!!
Et j'ai particulièrement adoré ta phrase les concernant:
C'est tellement vrai!!C’était Jane en même temps. Il aurait pu prédire le prénom de leur 3ème enfant.
VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Invité- Invité
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