Perdue dans le noir ^

Wouaw En premier le cauchemar de Lisbon,ensuite on a droit a un fou qui en veut a Lisbon et qui va vouloir la tuer oh mon dieu J'espère que Jane et L'équipe arriverons a l'avoir avant que celui ci ne fasse du mal a Lisbon

Super suite,j'attend le prochain avec impatience !!!!!

ah chère JA..j'adore j'adore j'adore....

Je sais que c'est terrible à dire mais ton "méchant" notamment est super bien dessiné!!! Franchement réussi...

Si j'ai adoré tous les chapitres jusqu'ici, celui-là est définitivement mon préféré!

Bon je reprends dans l'ordre...(caly se tourne vers son chéri en hurlant: "oui, 2 minutes!!!....je finis une analyse littéraire importante! )

le cauchemar de Lisbon: on comprend mieux sa réticence à tout avouer finalement...ce qui m'étonne en revanche est que Jane n'ait pas deviné ce traumatisme!
Ce qui me faire plutôt penser, chère JA, que tu as prévu une pirouette finale et que tout n'est peut-être pas aussi évident que tu veux nous le laisser paraitre. (mais je peux me tromper). En tout cas, il faut arrêter ce malade..et vite!
Sinon il est où le super agent qui devait protéger Lisbon???il ne l'a pas entendue se réveilelr en criant??? (Jane ramène tes fesses, y a pas meilleur "portecteur" que toi )

Rigsby et Van pelt: scène touchante et en parfaite adéquation avec la saison 4. On les sent encore très proches mais suffisamment raisonnables pour ne pas tenter le diable..de vrais amis-amours.

l'intrigue: je suis assez admirative de la façon avec laquelle tu déroules cette enquête (perso, je ne me lance pas dans les intrigues polcières car je ne suis vraiment pas à l'aise avec ce genre..je suis plutôt dans le psychologique). Chez c'est brillamment mené, comme tjs.
La mort d'Issaac permet d'ouvrir un peu la voie à l'immense réflexion de sieur Jane qui en arrive à cette horrible conclusion: le tueur veut LISBON!

le méchant: c'est simple, je le trouve super bien décrit! ce qu'il faut de trouble et d'horreur, et ce qu'il faut d'émotions dans cet epsirt dérangé!POurquoi ne suis-je pas surprise que ce dingue soit jaloux de la relation Jane-LIsbon?
Ce n'est pourtant pas comme si la flic était proche de son consultant hein?
"Son visage était rayonnant, ses yeux émeraude et son sourire illuminaient son visage d’ange. Bryan caressa le menton, la joue, de Teresa, dans un soupir d’aise. Elle était tellement magnifique et d’une infinie beauté" --> Ha si on pouvait voir cela à l'écran un jour, cela permettrait de montrer combien Jane et Lisbon tiennent l'un à l'autre si un taré s'en prenait ainsi à la jeune femme...

bref c'est haletant, bien mené, bien écrit..que dire d'autre sinon que j'ai hâte de découvrir la suite?
bravo

Un chapitre plus qu'intense au vu de toutes les émotions que nous as fait passer.

D'abord, Lisbon et son cauchemar.... Voilà je suis choquée! En revanche, je ne vois pas cette partie comme étant des cauchemars liés au passé de Lisbon, mais plutôt, comme des sortes de cauchemars prémonitoires... Je ne sais pas, je dois devenir sadique par anticipation à force de lire vos fics

(je tiens à préciser que je note ce que j'ai pensé à la première lecture, avant même de corriger...)

Rigsby et Van Pelt....là c'est toi qui fait des rêves prémonitoires ou quoi!!! Parce que sincèrement

Spoiler:

Isaac assassiné...Mélanie inconsciente, George qui n'est pas George mais son frère jumeau, Bryan... Niveau polar, on est servies, et bien qui plus est

Et enfin la scène Jisbonnienne (ai-je besoin de dire que je l'adore )

Vite vite, la suite!!!

Wow!! je trouvais bizarre qu'il n'y avait pas de suite et en fait j'ai louper 3-4 chapitres mais je n'ai même pas eu de notifications '
mais bon j'ai rattrapé mon retard et ces chapitres étaient vraiment super !!
j'ai trop adoré !!
la vache ce Bryan doit être un vrai malade, vu que Lisbon semble en avoir peur ...
et puis c'est un malade, quand on sait qu'il a plein de photos de Lisbon sur ses murs et puis Jane ferait mieux de faire attention à lui aussi, car il pourrait être la prochaine victime.
le Bryan ne semble pas apprécier sa proximité avec Lisbon ... :s
d'ailleurs j'ai beaucoup aimé tout les moments entre Jane et Lisbon, ils sont sont mimi tout les deux ;p

en tout cas j'adore !!
et j'ai hâte de lire la suite XD

tout le monde
beaucoup à vous pour tous vos commentaires qui me font toujours autant plaisir et ça me touche beaucoup
Puis merci encore à ma correctrice Mococoa pour la correction
Mes réponses de vos coms sont dans le spoiler :

Spoiler:

Je sais oui, ça fait beaucoup de "merci"

Voici la suite de ma fic... Avec un Jane qui a toujours cette telle délicatesse d'ouvrir une porte sans frapper et de finir par découvrir l'impensable
Puis j'espère toujours que ça vous plaira

Bonne Lecture...
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Chapitre 9 :

Une semaine plus tard…

Bryan Hathaway ne s’était pas encore manifesté. Pour Jane, cela ne pouvait signifier qu’une seule chose : il était en train de préparer son coup et cherchait tous les moyens possibles pour se rapprocher de Lisbon. L’équipe travaillait d’arrache-pied sur cette affaire, et bien que la fatigue se fasse sentir, aucun d’eux n’avait l’intention de baisser les bras. Il en allait de la vie de leur patronne et amie. Ils ne souhaitaient tous qu’une seule chose : amener Bryan sur un plateau d’argent à Lisbon.

De son côté, Lisbon n’arrêtait pas de faire cet effroyable cauchemar. Mais à chaque fois, un scénario différent se mettait en marche. La jeune femme était de plus en plus angoissée, et n’arrivait quasiment plus à dormir par crainte qu’encore une fois, ce cauchemar ne s’insinue dans son sommeil. Tommy et Annie venaient la voir tous les jours, ainsi que Jane qui devenait un peu trop protecteur à son goût. Ses collègues n’étaient toutefois pas en reste, et dès que l’enquête le leur permettait, ces derniers venaient rendre visite à Lisbon, sans toutefois s’étaler sur ladite enquête, de peur de l’angoisser encore plus. Même si Teresa Lisbon était une femme forte et tenace, elle avait, comme toute personne, un aspect fragile dans lequel toute sa souffrance était renfermée.

Un beau matin, la brunette, n’y tenant plus, alla se plaindre auprès de son médecin. Rester cloué dans son lit, elle en avait plus qu’assez. Elle lui demanda l’autorisation de pouvoir sortir de l’hôpital, et après maintes requêtes, le Docteur Hampton céda, à la condition qu’une personne au moins veille sur elle et l’aide à effectuer les tâches du quotidien. Il ajouta qu’elle ne devrait pas faire trop d’efforts, ses côtes étant encore très sensibles.
Lisbon accepta le marché sans hésitation. Elle désigna son frère et sa nièce comme tuteurs, et en retour, le Docteur Hampton lui promit la liberté pour quelques jours plus tard. Le Docteur commença à lui donner quelques détails pratiques, mais au moment où il évoqua la canne qui lui servirait de soutien, Lisbon refusa catégoriquement. Ce à quoi le médecin rétorqua que si elle ne suivait pas ses consignes, il serait dans l’obligation de la garder à l’hôpital. Horrible chantage qui fonctionna néanmoins.

*

Le grand jour arriva et Lisbon trépignait d’impatience dans sa chambre d’hôpital qu’elle allait enfin quitter. Mais elle devait d’abord se préparer, et sa cécité n’aidant en rien l’affaire, sa hâte se transforma en rage.

Par deux fois, Teresa dût vérifier si le pull qu’elle allait enfiler était bien à l’endroit.
- Lisbon, vous êtes prête ? Demanda une voix masculine en ouvrant la porte de la chambre.
La jeune femme se tourna vers la porte d’entrée à l’entente de cette voix fort connue : son consultant avait encore frappé, enfin, n’avait pas frappé à la porte justement, comme à son habitude. Lisbon se couvrit le buste avec son pull, qu’elle n’avait toujours pas enfilé. Elle se tenait en soutien-gorge devant Jane, qui demeura bouche bée devant la silhouette dénudée de sa patronne.
- Jaaaaaane !!! Bon sang !! Hurla-t-elle
- Oh, pardon ! S’excusa-t-il, mal à l’aise
Il sortit immédiatement de la chambre de Lisbon, en refermant la porte, excessivement gêné comme pouvaient en témoigner ses joues rouges.
- Vous êtes dehors ? Demanda Lisbon en hurlant dans la chambre.
- Oui, oui… Je suis derrière la porte. Confirma-t-il

La brunette poussa un soupir de soulagement en levant les yeux au plafond et enfila son pull à la hâte. Tant pis s’il était devant derrière. Elle venait de vivre une situation des plus gênantes. Alors le reste importait peu. Teresa sentit ses joues virer au rouge alors qu’elle repensait au fait que Jane l’avait aperçue torse-nue. Et un petit sourire en coin vint égayer son visage. Elle aurait tout donné pour voir le visage de Jane lorsqu’il était entré dans la chambre

De son côté, Patrick était encore tout retourné par la scène qui venait de se dérouler devant ses yeux. Il avait vu sa patronne en sous-vêtements ! Mais ce n’était pas seulement cet événement inattendu qui l’avait mis dans cet état d’hébétude. Non. En réalité, la silhouette de Lisbon, fine, gracile, avait éveillé en lui un tumulte d’émotions. Il était encore sous le choc de la beauté naturelle qui se dégageait de sa patronne. Son cœur se mit à battre très rapidement, et Patrick Jane dut se rendre à l’évidence qu’il connaissait les sentiments et sensations qui parcouraient son corps et son esprit à cet instant précis. Il les avait déjà connus, il y a bien longtemps. Et il les croyait morts à jamais. Il chassa très vite ses pensées en secouant la tête, passa une main sur son visage puis dans ses cheveux, avant d’inspirer profondément.

- Euh… Lisbon, c’est bon, je peux entrer cette fois-ci ? Demanda-t-il gêné en ouvrant la porte
- Non ! Fit-elle
Jane referma aussitôt et en entendant la porte se refermer, Lisbon ne put réprimer un sourire.
- C’est bon, Jane ! Je plaisantais ! Avoua-t-elle
- Vraiment très drôle ! Rétorqua-t-il d’un ton sarcastique mais en souriant néanmoins alors qu’il ouvrait la porte.
- Mais enfin sérieusement, Jane ! On ne vous a jamais appris à frapper aux portes avant d’entrer !? Râla Lisbon en essayant d’enfiler sa veste
- Attendez… Fit-il en s’avançant vers elle

Il lui retira doucement sa veste, se baissa légèrement vers ses mains qu’il tapota, puis aida la jeune femme à mettre sa veste. Elle murmura un « merci » en soulevant sa soyeuse chevelure ébène dévoilant du même coup sa nuque. Un geste des plus naturels pour Lisbon mais qui provoqua un nouvel assaut de sensations chez Jane. Lisbon se pencha vers le bord du lit à la recherche de sa canne Jane fut plus rapide qu’elle et la lui donna.

- Alors ? Reprit-elle en se tournant vers lui, le regard vacant
- Alors quoi ? Demanda Jane
- Vous voulez vraiment jouer à ça ? Répliqua Lisbon, légèrement énervée.
- Mais jouer à quoi Lisbon ? Rétorqua Jane, sincèrement troublé
- Jaaane ! On y va ou pas ? ! Qu’est-ce-que vous fichez derrière moi d’abord ? Râla la jeune femme.
- J’admirais votre jolie nuque. Répondit le consultant doucement.
- C’n’est pas gentil de se moquer d’une infirme. Siffla Lisbon, tout en souriant d’un air moqueur. Avant de reprendre. Mais attendez une minute… que faites-vous là Jane ?
- Je suis venu vous chercher. Répondit-il simplement en haussant les épaules ; Tommy voulait vous faire une surprise.
- Oh ! Je n’aime pas ça ! Souffla-t-elle
- Je sais. Je sais que les surprises et vous, vous n’êtes pas amis. Dit-il
- En réalité, c’est plus votre manière de le dire qui me fait peur. Riposta Lisbon
- Oh ! Là, vous me sous-estimez, Lisbon. Gémit-il faussement offensé ; allez, faites-moi confiance, vous n’allez pas être déçue.
- Je crains le pire. Soupira-t-elle
- Le contraire m’aurait étonné. Marmonna-t-il
En guise de riposte, Lisbon réussit à donner un violent coup de canne dans le tibia de Jane, qui porta de suite sa main à sa jambe en gémissant comme un enfant.
- Aïiiiie !!! Se plaignit-il
- Je vous ai entendu et vous avez de la chance que ça ne soit pas mon flingue qui vous ait fait ça. Répliqua-t-elle avec fierté

Elle tendit sa canne devant elle en tapotant le sol du bout de son bâton, avant de faire quelques pas. Elle dépassa son consultant qui était encore à moitié penché sur son tibia et se le massait frénétiquement. Il observait tout de même Lisbon faire des mini-pas vers la porte, et tâtonner à la recherche de la poignée. Jane se redressa en prenant ses affaires sur son lit au passage, et se précipita vers la brunette. Il se mit à côté d’elle, attrapa la poignée de la porte pour l’ouvrir. Mais lorsque leurs mains se frôlèrent dans le mouvement, Jane ressentit une violente décharge électrique suivie d’une sensation étrange d’apaisement prendre possession de lui.

Le silence se fit dans la pièce. Jane ne s’en remettait pas. À peine cinq minutes de présence aux côtés de Lisbon et il venait d’être assailli par tout un tas d’émotions. Et il n’avait plus ressenti tout cela depuis des années. Aucune femme ne l’avait troublé ainsi. Teresa quant à elle, n’en menait pas large non plus. Elle détourna la tête rapidement afin que Jane ne remarque pas la teinte rosée qu’avaient prise ses joues. Cet assaut de sensations que venait de lui prodiguer le toucher de Jane, elle ne l’avait jamais vécu auparavant. Un simple frôlement de mains. Et pourtant, si délicat, si doux, si chaleureux. Leurs deux cœurs battaient la chamade à l’unisson.

Jane se racla la gorge tandis que Lisbon reprenait ses esprits.
- On ferait mieux de sortir sinon on va se poser des questions. Fit Jane dans un sourire nerveux
- Oui. Souffla Lisbon

Il lui ouvrit la porte en grand, en lui touchant le bas du dos pour qu’elle passe devant lui. Lisbon le remercia avant de sortir et de commencer à marcher dans le couloir. Jane ferma la porte et accéléra le pas pour rejoindre Lisbon, qui bien qu’aveugle, trottinait déjà très vite.

*

Une fois devant la DS, Patrick mit les affaires de Teresa dans le coffre. Mais quand il se dirigea vers le côté passager pour lui ouvrir la portière, la brunette refusa de monter dans son « cercueil en ferraille ». Le blondinet rigola doucement, mais lui fit remarquer qu’elle n’avait guère d’autre choix. La jeune femme soupira en levant les yeux au ciel et dut bien se rendre à l’évidence que son consultant avait raison. Ne souhaitant pas rester une minute de plus dans l’enceinte de l’hôpital, la jeune femme prit place sur le siège passager de la DS, sous le regard attendri mais néanmoins attentif de Jane. Ce dernier fit ensuite le tour de son véhicule avant de s’installer derrière le volant. En mettant sa ceinture, Jane jeta un œil vers sa patronne pour vérifier qu’elle ait bien attachée la sienne, puis il alluma le contact et tous deux quittèrent enfin l’hôpital.

La DS roulait désormais vers l’appartement de Teresa Lisbon. À l’intérieur de l’habitacle, la tension était palpable. Pas un seul mot n’avait été échangé entre Jane et Lisbon depuis leur départ de l’hôpital. La jeune femme avait le visage tourné vers la vitre. Elle semblait regarder le paysage défiler. Mais elle ne pouvait voir, et toutes ses pensées s’envolaient vers son amie, Nathalie, vers la grand-mère de cette dernière aussi, qui devait être effondrée par le chagrin. Puis ses pensées dérivèrent vers ces cauchemars qui la poursuivaient dès qu’elle fermait l’œil. Son cœur était serré et une vague de tristesse la submergea.

De son côté, le mentaliste conduisait tout en jetant de légers coups d’œil vers son amie, dont le visage avait revêtu un aspect blafard et abattu. Jane était inquiet. Il se doutait que sa collègue culpabilisait au sujet de la mort de son amie. Il comprenait son sentiment, mais ne le trouvait pour autant pas justifié. Ce n’était pas de sa faute, elle n’était pas responsable de la mort de son amie. Alors que lui, oui, c’était de sa faute si sa femme et sa fille avaient été assassinées par John Le Rouge. Se reconcentrant sur le moment, présent, Jane ne supporta pas plus longtemps l’air ravagé qu’arborait Lisbon à cet instant.

Il brisa alors le silence.
- Vous pouvez me parler Lisbon. Dit-il
- Pourquoi ? Demanda-t-elle
- Parce que ça vous ferait du bien de parler et je… je suis là si vous voulez vous confier. Ajouta-t-il d’une voix douce
- Je n’ai pas envie de parler, Jane. Fit-elle
- Comme vous voudrez. Dit-il simplement
Il n’insista pas car il sentait qu’elle était fragile et que s’il insistait, elle se renfermerait sur elle-même. Lisbon fut à la fois surprise par sa délicatesse et à la fois soulagée.
Elle se mordit les lèvres hésitant clairement sur ce qu’elle allait dire.
- Jane… Dites-moi où on est ? Demanda-t-elle
- Euh… pas… pas loin de chez vous, Lisbon, répondit-il d’un ton curieux ; pourquoi ?
- Faites demi-tour, s’il vous plaît. Ordonna Lisbon
- Pourquoi ? Insista-t-il inquiet
- Je vous expliquerai plus tard pour l’instant, conduisez, je vais vous dire la route à prendre. Dit-elle
Sans plus de question, Jane s’exécuta. Il fit demi-tour et écouta attentivement les indications de Lisbon.

Lisbon qui ne tient pas en place et sort de l'hôpital
elle peut critiquer Jane après, elle fait pareil

et Jane avec sa manie de ne jamais toquer

je me demande bien pourquoi elle veut qu'il fasse demi-tour
j'espère que tout va bien

vivement la suite

Waouuuuh!!
Alors là, ce chapitre est juste trop génial!!
Haha, Jane qui décidément a un problème avec le fait de toquer aux portes. Mais cette fois-ci je crois qu'il s'en souviendra !!!
Et cette fin!! Je sais pas vraiment dire pourquoi mais je l'ai trouvée excellente, ça promet de l'action. J'ai vraiment hâte de connaître le pourquoi de ce changement de direction!!
Merci, bravo, et VLS !!!!

Superbe passage
Lisbon qui ressemble étrangement à Jane quand à l'hôpital
Les redécouvertes de sensations oubliées pour Jane et la découverte pour Lisbon
Pourquoi ce demi-tour

La surprise devra attendre le retour de Lisbon et de son Consultant, vivement la suite

désolée de ne pas avoir commenté le précédent chapitre

celui-ci est bien, je dirais même qu'il est
Jane et Lisbon, plus proches que jamais, même s'ils refusent encore de l'admettre, il le faudra bien un jour
Lisbon et ses cauchemars de plus en plus présent, je comprends qu'elle n'arrive pas à dormir , et même si elle refuse de parler, il faudra bien qu'elle le fasse, sinon ça va la manger de l'interieur et c'est pas bon
Jane qui ressent des choses étrange en présence de Lisbon, et encore plus en la touchant, j'imagine ce que ça va être s'ils s'embrassent

Je pense que Lisbon veut parler à Jane, ou du moins lui montrer quelque chose d'important pour elle, je ne vois pas pourquoi elle lui demanderait de faire demi tour sinon, depuis le temps qu'elle demande à rentrer chez elle, ça na pas de sens , il me tarde d'en savoir plus, donc... VLS

Une Lisbon qui tiens pas en place dans un hopital franchement ça me rappelle un épisode avec Jane aveugle mais lequel j'aime toujours lire autant ta fic...j'ai hate de savoiq de quoi Lisbon va parler a Jane

VLS

ah c'est bon là j'ai eu un mail pour m'avertir

Alors ce chapitre est vraiment super !!!
Lisbon qui veut absolument sortir de l’hôpital, tu m'étonnes. et puis on peut la comprendre qu'elle en a marre aussi ...
ensuite jane qui vient la chercher mdr! celui là faut vraiment qu'il apprenne à frapper, mais ça nous a donner une scène bien sympa avec Jane et Lisbon tout gêner et chambouler. J'adore !!
Et puis dans la voiture, Jane est vraiment attentionné, c'est adorable.
maintenant je me demande pourquoi Lisbon à demandé à Jane de faire demi-tour et pour aller où?

hâte de lire la prochaine suite !!! XD

Jiisbon, Mitsounette, Johel, Karo, Sweety, Cocodu66, Totorsg

@Cocodu66 : Ca fait drôle de te voir avec cette couleur de L'épisode en question c'est le 1x16

Voici la suite et la réponse à votre question : Pourquoi ce demi-tour ? mais rassurez-vous rien de grave encore

Merci à ma correctrice, Mococoa qui a pu avoir le temps de corriger ma fic malgré son déménagement

Bonne Lecture...
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Chapitre 10 :

Pendant ce temps au CBI, le téléphone de Van Pelt sonna et la jeune femme décrocha.
- Van Pelt.
La jolie rousse écouta attentivement son interlocuteur sous les regards intrigués de ses collègues tandis que Wainwright, leur supérieur attendait patiemment. Grace prit des notes sur son calepin en coinçant son téléphone entre son épaule et son oreille.
- Très bien, madame, ne vous inquiétez pas, on arrive. Termina-t-elle en raccrochant
Elle se tourna vers les trois hommes dont l’attention était rivée sur elle.
- C’était la grand-mère de la victime, Clarissa ; commença-t-elle ; Il y aurait une voiture bleue ciel, un ancien modèle, garée juste devant chez elle depuis environ plus de quinze minutes.
- Elle a pu voir le conducteur ? Demanda Cho
- Non, elle n’a pas pu donner de précision. Répondit Grace
- C’est peut-être Bryan Hathaway qui la surveille de près. Supposa Rigsby
- Vous avez son adresse ? Intervint Luther
- Oui, monsieur. Lui répondit-elle
- Bien, allez-y avec Cho ! Ordonna son supérieur
Les deux agents acquiescèrent en se levant de leur siège, prirent leurs affaires puis quittèrent l’open space avant de se diriger vers l’ascenseur.

*

Grass Valley, Californie

- Vous êtes sûre que c’est au bon endroit ? Demanda Jane ; non, je vous demande ça parce que…
- J’ai fait la route de multiples fois donc oui, je suis certaine que c’est là. Le coupa Lisbon, d’un ton sec.
- Ok, je n’ai rien dit. Fit-il en levant les mains d’un air innocent

La DS s’était arrêtée devant une petite barrière en bois qui ouvrait sur un petit sentier sablonneux. Au bout de celui-ci, un escalier en pierre amenait au porche d’une jolie maison faite de pierres anciennes, qui tenait sur deux étages. Les volets et la porte d’entrée étaient de couleur bois acajou, si bien que l’on se serait cru dans la campagne bretonne ou anglaise. Une végétation assez dense encerclait la maison : des arbres, plusieurs variétés de fleurs disposées en pourtour, plantes aromatiques et potager.
Lisbon inspira profondément et des odeurs enivrantes, mélanges de plusieurs arômes, s’engouffrèrent dans ses narines. Jane l’observait du coin de l’œil et eut le cœur serré lorsqu’il l’entendit soupirer d’un air triste.
- Basilic… commença Lisbon d’un ton nostalgique ; thym, lavande…
- Menthe, rose, fleur d’oranger… Termina Jane avec un sourire au coin ; un incroyable coin de campagne bourgeoise et une véritable pharmacie à l’ancienne.
Lisbon fit un léger sourire en coin en secouant la tête.
- Mais un endroit apaisant où vous êtes allée avec Nathalie, et où vous semblez avoir partagé beaucoup de choses avec elle, n’est-ce pas ? Ajouta Jane d’un ton apaisant
Teresa opina du chef et soupira de tristesse.
- Pas la peine de vous dire toute l’histoire donc, vous savez tout sur tout. Rétorqua-t-elle d’un ton sarcastique et affligé
Jane baissa les yeux d’un air confus en se mordillant les lèvres. Il s’y était encore mal pris.
- Vous tenez vraiment à y aller ? S’inquiéta-t-il
- Oui, je veux avoir des réponses. Répondit Lisbon
- Lisbon, je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Renchérit le consultant, inquiet ; Vous me dites sans cesse qu’il n’est jamais bon de revenir dans le passé.
- Et vous me répondez sans cesse qu’il faut écouter son intuition. Riposta-t-elle
Jane fit une moue dubitative en levant les mains en signe de reddition.
- Là, je n’ai rien dit. Dit-il simplement ; mais je suis sérieux, Lisbon, je me fais du souci pour vous.
- Je ne veux pas qu’on se fasse du souci pour moi, je vais bien. Soupira-t-elle d’agacement
- Ca, c’est faux ! Fanfaronna son consultant en regardant ailleurs
- C’est bon, lâchez-moi ! Râla-t-elle dans un soupir d’agacement

Elle tâtonna sur la portière afin de trouver la poignée, ostensiblement pressée de quitter ce « cercueil en ferraille » comme elle surnommait la voiture du mentaliste. Après avoir enclenché la poignée, la brunette entendit la portière s’ouvrir, et elle envoya sa canne à la recherche du sol. Mais alors qu’elle allait poser son pied sur le bitume, Lisbon se prit les pieds dans sa canne et s’étala de tout son long sur le trottoir, bientôt recouverte de terre et d’herbes.

Jane leva les yeux au ciel avant de sortir de sa DS, se retenant de rire face à la chute phénoménale de sa patronne. Il fit le tour du véhicule et s’agenouilla aux côtés de Lisbon pour l’aider à se relever. Il lui saisit les mains et ne put s’empêcher de lâcher un petit rire face au comique de la situation.

Au même moment, une Chevrolet grise s’arrêta à quelques mètres d’eux. Les portières conducteur et passager s’ouvrirent simultanément, laissant apparaître Cho et Van Pelt surpris de voir le consultant… et leur patronne.

Le mentaliste dirigea son regard vers la voiture et vit ses deux collègues arriver vers eux.
- Tiens, quelle drôle de coïncidence, salut la compagnie ! Les accueilla-t-il l’air de rien
- Jane ? Patron ? Qu’est-ce-que vous faites là ? Demanda Cho
- C’est drôle, j’allais vous poser la même question. Répliqua Jane
- Clarissa Connors, intervint Van Pelt ; la propriétaire de la maison nous a appelés en nous signifiant qu’une voiture était stationnée devant chez elle depuis de longues minutes.
- Et ben, maintenant on a la réponse. Dit Cho
- Je vous jure que pour une fois, ce n’était pas mon idée. Se défendit le blondinet d’un air innocent
- Il a raison, c’est la mienne. Intervint Lisbon, confuse ; j’ai voulu voir la grand-mère de mon… de Nathalie pour en savoir plus sur elle, pour savoir si elle était mêlée à quoique ce soit.
- Sous votre respect, Patron, vous ne pouvez pas venir. Lui rappela Kimball ; vous n’êtes pas enquêtrice sur cette affaire, mais une victime.
- Oui, ce n’est pas une bonne idée et vous devriez rentrer chez vous et vous reposer. Ajouta Van Pelt
- Cette fois, je suis bien d’accord avec eux. Intervint Jane ; soyez raisonnable Lisbon, rentrez dans la voiture, je vous raccompagne.
Mais alors que Lisbon allait ouvrir la bouche pour protester...

- Excusez-moi !

Cho, Jane, Lisbon et Van Pelt se tournèrent vers la voix qui les avait interpellés. Le consultant, la rousse et l’asiatique virent une dame d’environ 75 ans venir vers eux. Elle portait ses cheveux gris noués en tresse qui lui retombait sur l’épaule, ses yeux étaient d’un noir profond, rougis par les larmes. Un tablier vert laissait apparaître un pantalon beige et un haut fleuri.

Lisbon quant à elle, sentit son estomac se serrer à l’entente de cette voix qu’elle n’avait pas entendue depuis si longtemps. La jeune femme sut que devant elle, se tenait la grand-mère de Nathalie, Clarissa.

La vieille dame se tenait désormais juste derrière la barrière qui encerclait sa demeure.
- Puis-je savoir ce que vous faites devant chez moi ? Demanda la vieille dame poliment
- Clarissa Connors ? Demanda Van Pelt en montrant son insigne ; nous sommes du CBI. Vous nous appelés parce qu’il y avait une voiture suspecte devant chez vous. Ce n’est qu’un malentendu. C’était nos collègues.
- Vos collègues ? Répéta-t-elle, intriguée
- Madame, je m’appelle Patrick Jane, je travaille avec ces agents. Intervint Jane d’un air rassurant ; je m’excuse mais il y a une personne qui tenait à vous voir au sujet de votre petite-fille, Nathalie.
- Bonjour Clarissa… Intervint Lisbon ; vous vous souvenez de moi ?

Lisbon n’eut comme seule réponse que le vent qui soufflait sur les branches des arbres. Clarissa restait muette de surprise. La vieille dame ouvrit sa barrière en tremblant sans quitter Teresa des yeux. Elle s’avança vers la belle brunette qui se posait des questions. Pourquoi ne répondait-elle pas ? L’avait-elle reconnue ou pas ? Qu’est-ce-qu’elle faisait ? Elle ne pouvait rien voir.

Lisbon ne pouvait pas voir les yeux de Clarissa embrumées par les larmes. Des larmes de tristesse et de joie. La vieille femme se rapprocha encore un peu plus de Lisbon, alors que Jane s’écartait légèrement, détournant son regard d’un air embarrassé afin de laisser plus d’intimité entre les deux femmes.

- Oh mon Dieu ! Souffla Clarissa

Lisbon ne put réprimer un mouvement de surprise lorsqu’elle sentit des mains rugueuses mais à la fois douces se poser sur ses joues. Un reniflement vint lui signifier que la grand-mère de son amie était sous le coup de l’émotion.

- Teresa ! Teresa Lisbon, ma p’tite frit bouche ! S’exclama la vieille dame
Lisbon sourit en entendant ce surnom affectueux que lui avait donné Clarissa, bien des années auparavant. Des larmes montèrent aux yeux de la jeune femme, mais elle les retint en inspirant profondément.

- Comment pourrais-je t’oublier après tout ce que tu as fait pour Nat ? Reprit Clarissa en observant Lisbon de plus près avec les yeux ronds ; mon Dieu, mais tu es…
- Oui, je suis aveugle. Confirma Lisbon ; j’ai, j’ai été témoin du…

La suite de sa phrase resta en suspens. Sa gorge était si nouée par l’émotion qu’aucun son ne daignait en sortir. Clarissa n’eut cependant pas besoin de mots pour comprendre ce que la brunette avait enduré.

- Oh non ! Souffla-t-elle entre deux sanglots
- Je suis désolée, si seulement, j’avais pu la retenir… Confia Lisbon
- Viens là. Souffla Clarissa en ouvrant ses bras

Elle prit une Teresa gênée dans ses bras alors que des larmes venaient s’échouer sur leurs deux visages. Grace et Cho détournèrent la tête, mal à l’aise d’être en plein milieu de retrouvailles si intimes pour les deux femmes. Van Pelt pleurait déjà, submergée par l’émotion, Cho restait impassible mais n’en menait pas large, et Jane, quant à lui, n’avait pas quitté Lisbon des yeux. Il vit une larme couler le long de la joue de sa partenaire, et son cœur s’emballa à l’idée qu’elle soit si malheureuse.

Les deux femmes restèrent dans les bras l’une de l’autre pendant plusieurs secondes jusqu’à ce que Lisbon recule en chassant de sa main une des dernières larmes qui avaient inondé son visage.
- Clarissa, est-ce-qu’on peut entrer ? Demanda Lisbon avec hésitation.
- Oui, bien sûr, venez. Répondit-elle ; tu veux que je t’aide Teresa ?
- Non, ça va aller, merci. Refusa la brunette
- Toujours aussi indépendante et têtue à ce que je vois. Répliqua Clarissa dans un sourire
- Oooohhh ! Vous n’avez pas idée ! Confirma Jane d’un air amusé

Lisbon leva les yeux au ciel, irritée, mais un petit sourire s’incrusta malgré elle sur ses lèvres. En n’importe quelle situation, Jane trouvait le moyen de la faire rire. Et la jeune femme ne put que le remercier, silencieusement.

Clarissa les guida tous quatre vers sa maison en veillant à ce que Teresa ne tombe pas. Mais elle remarqua que le beau blond s’occupait déjà de la jeune femme, se positionnant autour d’elle pour éviter un quelconque dérapage. Les quatre collègues passèrent la barrière, traversèrent le jardinet et montèrent les escaliers qui menaient au perron. Lisbon s’y stoppa quelques instant afin de respirer à pleins poumons les odeurs enivrantes du jardin, avant de passer le seuil de la porte et de rejoindre ses collègues et amis.

un magnifique chapitre
Un Jane très inquiet pour Lisbon, qui ne veut pas la voir retourner dans son passé afin de la protéger, c'est beau mais je pense qu'au contraire, il doit la laisser faire pour cicatriser les blessures du passé, même si ça fait mal.
J'aime les retrouvailles avec Clarissa, c'était si beau, si touchant
Il me tarde de lire la suite pour en savoir plus :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:

Quel beau moment !!!

A la fois entre Jane et Lisbon, et à la fois entre Lisbon et cette Clarissa, qui semble bien la connaître...

Que va-t-on apprendre sur Nathalie? Et sur le passé de Lisbon? M'est avis qu'un certain consultant va être tout ouïe

Superbes retrouvailles
comme le demande mococoa que va t-on découvrir sur le passé de Lisbon ?
Et Jane toujours au plus près de l'agent

j'étais sûre que c'était la voiture de Jane devant la maison

Lisbon, toujours aussi têtue
mais Jane qui est quand même là pour l'aider
c'est mignon

un chapitre que j'ai apprécié

vivement la suite

ps : sweety, j'adore ta ban et ton avatar

Ce chapitre est vraiment magnifique !
les retrouvailles étaient emplis d'émotions forte, et tu l'as parfaitement écrit, j'ai beaucoup aimé.


hâte de lire la prochaine suite xD

Le récit du "retour" de Lisbon chez Clarissa est sublime. J'en avais les larmes aux yeux, la scène se déroulait devant mes yeux avec les fleurs, la maison, les odeurs,... Une merveille!
Comme les autres j'ai terriblement hâte de lire la suite de la discussion avec cette femme qui semble tant attachée à Lisbon.
Un grand bravo, et VLS !!!!

Oh honte a moi je ne t'ai pas laisser un petit com pour te dire a qu'elle point j'adore toujours autant cette fic plus on avance dans les chapitres plus je m'en lasse pas

ps : Pour la couleur de mon pseudo c'est normal que j'ai pris RJ,vue ce qui c'est passer dans le 4X15 j'ai étais dégoutée donc voilà mais ce n'est que provisoire le temps que je digère l'épisode de la semaine dernière

Sweety, Mococoa, Johel, Jiisbon, Totorsg, Mitsounette & Cocodu66 pour vos commentaires qui me touchent et me font super plaisir

Et encore à Mococoa pour la correction

@Cocodu66 : Ce n'est pas grave miss Que tu ais lu ma fic, ça fait déjà super plaisir mais merci pour ton com
Ah d'accord, je peux te comprendre. Oui, il faut le temps de digérer.

Voici la suite Le début est calme mais arriver à la fin, vous allez voir que ça va autre chose... C'est Sadique, je vous préviens mais pitié, ne me tuez pas

P.S : J'ai changé de couleur oui. Vu comment Jane se comporte maintenant avec Lisbon et vu comment on la traite dans la série , j'ai décidé de changer de couleur pour la soutenir aussi parce que je suis fan de son personnage.

Bonne Lecture... et si vous cherchez, je suis dehors
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Chapitre 11 :

La maison de Clarissa était telle qu’on pouvait le supposer en voyant son jardin. Le salon était composé d’un sol en parquet ciré, d’une cheminée en pierres anciennes sur laquelle étaient posées quelques photos encadrées de Nathalie : une avec ses parents – sans doute la dernière – et les autres, avec sa grand-mère : lors de sa remise de diplôme, elle avec Ben Carter ou tous les trois. Deux bougies venaient encercler ces portraits de famille. Un tapis rond, rouge à poil ras trônait sous une table basse en bois acajou de la même forme. Et une orchidée mauve venait compléter ce tableau bucolique. Deux fauteuils en tissu étaient disposés de chaque côté de la table, et un canapé trois places, assorti aux fauteuils, longeait la cheminée. Deux poufs en cube entouraient le sofa. Sous les fenêtres, un long meuble en tek. Quatre plantes donnaient au salon un cachet naturel.

Un silence pesant régna dans la pièce. Cho s’était assis sur le pouf à gauche du canapé, tandis que Van Pelt avait opté pour le fauteuil. Lisbon, elle, s’était posée sur le canapé, alors que Jane s’était laissé choir sur le pouf à droite de Lisbon.
- Elle a l’air de bien vous connaître ! Observa Jane en s’adressant à Lisbon alors que Clarissa revenait dans le salon les bras chargés d’un plateau contenant un service de thé anglais ainsi qu’une assiette de petits gâteaux.
- Oui, intervint Clarissa alors qu’elle déposait le plateau sur la table avec prudence avant de verser du thé à la menthe dans les tasses.
- Teresa venait ici pendant les vacances pour être avec Nathalie. Reprit la vieille dame ; je suppose qu’elle essayait également de décompresser, de s’éloigner un peu de son quotidien, de ses frères…Mais elle s’inquiétait toujours pour eux.
- Un véritable instinct maternel. Commenta le consultant ; c’est tout à fait elle !
Jane sourit de toutes ses dents alors que Lisbon levait les yeux au ciel avec exaspération. La brunette changea de sujet.
- Vous préparez toujours vous-même le thé ? Demanda Lisbon
- Celui que tu définissais comme étant de l’ice tea chaud et imbuvable ? Oui. Répondit Clarissa d’un ton amusé.

Cho et Van Pelt s’échangèrent un regard en souriant légèrement, alors que Jane affichait au contraire un immense sourire, observant en coin la réaction de Lisbon. Cette dernière baissa la tête, les joues légèrement rosées de honte. Ce à quoi Jane ne put s’empêcher de trouver qu’elle était adorable.
- Je comprends un peu mieux pourquoi vous dramatisez toujours quand j’en bois. Répliqua le consultant
- Et encore, vous n’avez rien vu ! Rajouta Clarissa ; quand je faisais des sablés à la cannelle, il ne restait plus une miette dans l’assiette à cause d’elle. Chuchota Clarissa sur un ton de confidence en s’adressant à Jane
- Hum… Intéressant… Fit-il en hochant la tête avec un sourire au coin
La vieille dame lui tendit une tasse de thé, que Jane donna gentiment à Van Pelt, alors que Clarissa poursuivait son service.
- Hey ! Ce n’est pas moi qui en mangeais le plus, c’était Nathalie. Se défendit Lisbon, gênée
- Tu plaisantes ! S’étonna Clarissa ; à chaque fois que j’en faisais, tu demandais à en avoir encore alors qu’une assiette suffisait largement à Naty !
Elle versa du thé dans une tasse qu’elle tendit à Cho qui refusa gentiment en levant sa main et la tendit à Jane qui la plaça devant Lisbon.
- Non, c’est faux. Protesta Lisbon sur la défensive en rougissant.
- Tu mens toujours aussi mal à ce que je vois ! Remarqua Clarissa en riant
- C’est ce que je me tue à lui dire ! Chuchota le beau blond d’un air plaisantin
- Je vous ai entendu ! Intervint Teresa
- Mais je n’ai rien dit. Mentit-il en se défendant
- Oui, prenez-moi pour une idiote en plus ! Rétorqua-t-elle sèchement ; je suis peut-être aveugle, mais pas sourde Jane. D’autant que même aveugle j’ai pu vous donner un coup de canne bien placé. Et je serai prête à recommencer si le cœur vous en dit !

Le consultant entendit dans la voix de sa patronne de la fierté et de la satisfaction. Comme si elle souhaitait le provoquer ou le défier. Jane ne rétorqua donc rien, préférant lui laisser gagner la partie, mais émit toutefois une moue dubitative en se réinstallant sur le pouf. Van Pelt et Cho lui lancèrent un regard noir alors que Clarissa semblait se délecter de la situation, en témoignaient ses yeux rieurs.
- Dites-moi, est-ce-que c’est tout le temps comme ça entre vous ? Demanda la vieille femme entre deux sourires.
- Euh… et bien… parfois. Répondit Grace, hésitante
- C’est pire que ça, le plus souvent. Rétorqua Cho d’un ton direct
- Oh que oui surtout quand on… commença Lisbon
- Non, seulement quand on… commença Jane
Les deux concernés se stoppèrent au beau milieu de leurs phrases respectives, en remarquant qu’ils venaient de parler en même temps. Jane regarda la brunette d’un air à al fois embarrassé et surpris. Lisbon, quant à elle, sentit les beaux yeux bleus océan (qui lui manquaient cela va sans dire) de son consultant posés sur elle, et elle détourna la tête, le visage en feu, en prenant une gorgée de thé pour tenter de dissiper sa gêne. Bien loin de leur malaise, Clarissa elle, se mit à rire à gorge déployée, et dit, d’une voix nostalgique en secouant la tête.
- C’est drôle que ça me rappelle Nathalie et Ben… Toujours à chercher en se comportant comme des enfants. Ils se chamaillaient tellement, mais s’aimaient tellement aussi…Termina-t-elle un air triste désormais posé sur son visage ridé.

Cho et Grace échangèrent un regard confus. Jane était de plus en plus mal à l’aise, de par la situation avec Lisbon, et de par les paroles de la vieille femme. Clarissa avait vu vrai. Lui et Lisbon passaient leur temps à s’engueuler, à se provoquer mutuellement, à se défier du regard…Et pourtant, ils étaient si proches…Bien plus qu’autrefois, ça c’était certain. Jane le savait : il était clairement attaché à Lisbon, et n’avait jamais été aussi proche d’une femme depuis la mort d’Angela.

Lisbon de son côté avait suivi le même déroulement de pensée que le consultant. Mais sa gêne n’en était que décuplée par rapport à Clarissa. Elle cherchait quelque chose à dire pour rompre la tension ambiante, lorsque la vieille dame parla.
- Tu n’es pas venue dans le seul but d’évoquer des souvenirs, n’est-ce-pas ? Supposa-t-elle en souriant légèrement.
- Non. Souffla Lisbon dans un sourire triste ; je voudrais vous poser quelques questions si ça ne vous dérange pas ?
- Je t’écoute. Dit Clarissa en fronçant les sourcils
- Saviez-vous que Ben était mêlé à… à une affaire de vente illégale de… de médicaments ? Demanda Lisbon, presqu’honteusement.
Clarissa baissa les yeux, confuse et soupira.
- Oui… Avoua-t-elle ; j’ai surpris une de ses conversations téléphoniques, une fois quand ils sont venus ici. Il m’a vue et il m’a dit la vérité, tout en me suppliant de ne rien dire à Naty.
- Quand avez-vous vu votre petite-fille pour la dernière fois ? Demanda Jane
- Il y a environ 2 semaines. Lui répondit la grand-mère ; elle m’a dit qu’elle avait des problèmes, que quelqu’un était revenue la harceler.
- Georges Hathaway. Souffla Lisbon sans même prendre le temps de réfléchir.
- Oui. Confirma Clarissa ; elle était effrayée parce qu’il la harcelait mais elle ne s’est pas laissée faire.
- Je la reconnais bien là. Fit Lisbon mélancolique ; c’était une vraie dure à cuire.
- Et c’est grâce à toi qu’elle a pu reprendre confiance. Dit la parente de Nathalie

Lisbon sourit tristement en baissant les yeux et haussa vaguement les épaules.

- Madame Connors, intervint Cho ; ce n’était pas Georges Hathaway qui harcelait votre petite-fille.
Clarissa et Lisbon levèrent la tête en même temps et écarquillèrent les yeux, tombant clairement des nues.
- Quoi ?! S’étonna Teresa ; Comment ça ?
- Georges Hathaway est décédé lors d’une attaque de rebelles en Irak… Expliqua Grace, confuse ; C’était il y quatre mois et qui plus est, il était malade.
- Quoi, mais… ce… oh non ! Ce n’est pas possible ! Bafouilla Clarissa, choquée
- Nathalie vous en a-t-elle parlé ? Demanda Kimball
- Non, elle ne m’a rien dit là-dessus. Répondit la grand-mère de Nathalie
- Mais si Georges était déjà mort, il y a quatre mois, ce n’était donc pas lui qui harcelait Nat, résuma Lisbon ; qui était-ce alors ?
- A votre avis ? Intervint Jane, en jetant des yeux inquiets à Teresa.
La belle brunette fronça les sourcils en réfléchissant pendant quelques instants, puis ses yeux s’agrandirent sous le coup de la stupeur. On pouvait y lire de l’angoisse mêlée à du choc.
- Bryan. Souffla-t-elle
- Le frère de Georges ? Celui qui n’arrêtait pas de te harceler ?! S’étonna Clarissa avec effroi.

En entendant ces mots, Cho et Van Pelt se regardèrent surpris tandis que Jane relevait la tête vers Lisbon avec une lueur de stupeur, d’inquiétude et de colère dans ses yeux.
- Patron, pourquoi ne pas nous en avoir parlé ? Demanda Cho
- Je ne pensais pas que ça aurait un quelconque rapport et qu’il reviendrait me pourrir la vie. Rétorqua Lisbon en baissant néanmoins les yeux.

Jane était muet, chose assez étrange venant de sa part. Ce Bryan harcelait Lisbon depuis longtemps. Sa Lisbon. Celle qui était sa patronne, sa collègue, sa meilleure amie, sa conseillère, sa confidente… celle qui était tout pour lui – enfin presque tout. Le mentaliste savait que la brunette s’était confiée à lui sur ce pan de sa vie, mais sans toutefois spécifier que Bryan l’avait harcelée pendant des années. Le beau blond n’osait même pas imager ce qu’elle avait enduré, ni jusqu’où ce Bryan avait osé aller avec elle…L’avait-il touchée ?… Non. Non, il ne devait pas penser au pire mais en même temps, il commençait à comprendre pourquoi la jeune femme était différente actuellement, comme ailleurs. D’un côté, il pouvait comprendre qu’elle ne lui ait rien dit de plus, c’était une femme indépendante, discrète, qui ne voulait pas parler de sa vie privée tellement elle avait souffert. Elle était certes très fragile mais elle restait forte et courageuse.

- Tu devrais peut-être accepter qu’on te protège de lui, Teresa. Suggéra Clarissa
- Je n’en ai pas besoin, je peux me défendre toute seule. Se défendit-elle, têtue
- Sans vouloir vous manquer de respect patron… vous êtes aveugle. Intervint Van Pelt, hésitante
- Et alors ? Fit-elle ; j’ai réussis à donner un coup de canne à Jane…
- Oui mais moi, je ne suis pas un obsédé ni un harceleur. L’interrompit Jane d’un ton sérieux ; ce Bryan est dangereux et puis il a l’avantage de vous avoir par surprise, il peut s’approcher de vous à tout moment…car… car vous êtes aveugle…Rajouta-t-il en baissant la voix.
- Teresa, intervint Clarissa, sérieuse ; tu ferais mieux d’écouter tes collègues ! Sois raisonnable pour une fois parce que si tu continues à agir comme ça, tu risques d’être blessée ou pire.
Lisbon ne savait plus quoi répondre. Elle secoua la tête puis elle sentit les mains de Clarissa prendre les siennes.
- S’il-te-plaît, ma chérie. Supplia la vieille dame ; je te considère, et t’ai toujours considérée comme ma petite-fille…et…et tu es la seule personne qu’il me reste… je ne veux pas qu’il t’arrive quelque chose. Je t’en prie, Teresa.

Lisbon ne put supporter le ton suppliant qu’emprunta Clarissa. Son cœur se serra, et elle baissa les yeux en soupirant. Jane observait l’échange d’un œil attentif. Si Teresa ne voulait pas l’écouter lui, il fallait au moins que sa vieille amie lui fasse entendre raison. Face à Bryan, une Teresa aveugle ne s’en sortirait pas.

Teresa releva la tête et soupira.
- Ok. D’accord. Souffla-t-elle à contrecœur
- Merci. Répondit une Clarissa soulagée, en la prenant dans ses bras.
Le soulagement se fit également entendre du côté de Jane, qui sourit en entendant enfin une réponse rationnelle de la part de la brunette entêtée.

Lisbon se dégagea de l’étreinte de Clarissa, qui prit son visage entre ses mains.
- Maintenant, tu ferais mieux de te reposer, tu as une sale tête. Suggéra Clarissa
Lisbon acquiesça en retenant les larmes qui lui montaient aux yeux.
- Je suis désolée d’être venue sans vous prévenir après toutes ces années. S’excusa Lisbon
- Ca ne fait rien. La rassura Clarissa ; c’était vraiment bon de te revoir, Teresa.

Clarissa serra la jeune femme dans ses bras une nouvelle fois et Teresa répondit à son étreinte. La vieille dame aida Lisbon à se lever alors que les trois collègues quittaient également le salon. Chacun remercia Clarissa de les avoir reçus, puis cette dernière les raccompagna jusqu’à la porte. Grace prit le bras de sa patronne pour la guider jusqu’aux véhicules alors que Cho les devançait.

Alors que Jane passait le seuil de la porte, Clarissa le retint en posant sa main sur son bras.
- Monsieur Jane, je peux vous dire un mot ? Demanda-t-elle poliment
Il haussa les épaules.
- Allez-y ! Fit-il
- J’ai lu beaucoup de choses sur vous et je suis désolée de ce qui est arrivé à votre famille…Je peux malheureusement comprendre ce que vous ressentez. Rajouta-t-elle en baissant les yeux.
Le consultant ressentit la plaie béante s’ouvrir, comme à chaque fois que l’on évoquait sa famille
- C’est ça que vous vouliez me dire ? Demanda-t-il, susceptible
- Non. Répondit-elle ; je voulais vous demander de prendre soin de Teresa, de veiller sur elle…
Jane hocha la tête avec un regard sincère et triste à la fois alors que Clarissa continuait.
- … j’ai remarqué que vous êtes très attaché à elle et elle aussi, elle tient à vous. Cela se voit, même si je suppose qu’elle ne vous le montre pas assez…
- Ca ne peut se sentir, répliqua Jane en souriant d’un air gêné ; c’est totalement…
- Mais ça se ressent au fond du cœur. L’interrompit-elle d’un ton ferme en le regardant droit dans les yeux ; j’ai bien vu que comment vous la regardiez, comment vous la protégiez, comment vous avez réussi à la rendre heureuse et j’en suis également heureuse.
Le consultant, stupéfait par les paroles de la vieille dame, ne sut plus quoi répondre, ni quoi penser en réalité.
- Pourquoi vous me dites tout ça ? Demanda-t-il simplement
- Parce que vous êtes quelqu’un de bien. Répondit-elle franche ; malgré votre façade d’homme brisé, vous avez du cœur.
Jane baissa la tête en se mordant les lèvres et fut soudain mal à l’aise quand la vieille dame lui prit la main et la serra entre les siennes.
- Prenez-soin d’elle. Supplia Clarissa ; ne la laissez pas tomber et faites attention à vous.
Il releva la tête d’un air gêné.
- Je vous le promets. Jura-t-il dans un souffle
Clarissa lui sourit en lui soufflant un « merci ». Jane lui rendit son sourire, gêné, et lui tapota les mains en signe de réconfort. Elle libéra sa main, et le consultant partit rejoindre le petit groupe alors que Clarissa fermait la porte derrière lui.

*

Jane ferma la barrière derrière lui et rejoignit Lisbon et Van Pelt qui l’attendaient patiemment alors que Cho était au téléphone.
- Qu’est-ce-que vous fabriquiez ? Demanda Lisbon, impatiente
- Oh ! Euh… Je discutais avec Clarissa. Répondit Jane
- Et de quoi avez-vous parlé ? Insista-t-elle
- Ce n’est pas important. Mentit-il en chassant sa question d’un geste de la main
- Wainwright vient d’appeler, intervint Cho en rangeant son portable dans la poche ; Mélissa Walsh, la stagiaire, vient de sortir du coma. Rigsby est partie l’interroger.
- Est-ce-qu’elle se rappelle de quelque chose ? Demanda Grace
- Je l’espère. Dit l’asiatique
- Bon, Lisbon, je vous raccompagne chez vous. Intervint Jane

Alors que le mentaliste était sur le point d’ouvrir la portière à Lisbon, Cho fut ébloui par un point rouge qui remontait sur le costume du consultant et qui s’arrêta sur le cœur de ce dernier. Cho fut pris de panique et il se précipita vers son ami.

- JANE COUCHE-TOI !!! Hurla-t-il

Et un coup de feu retentit…

Comme je le dis à chaque fois, on ne tue pas l'auteur tant qu'on a pas la suite...après
Joli passage avec cette vieille femme si perspicace
Toute l'équipe sait à quoi s'en tenir avec Bryan
Je suppose que Cho va prendre la balle destinée à Jane (je viens de voir un extrait de Bodyguard )...ou tous les deux seront sauf grâce aux réflexes de l'asiatique...
Quoi qu'il se passe on va attendre patiemment la suite :bounce: :bounce: :bounce:

Et oui JA, tu es Sadique !!!

Cho blessé? Jane blessé? Lisbon blessée??? (je me la joue "je connais pas la suite"... )

Clarissa et Lisbon ont donc un passé commun bien chargé. J'aime la relation qu'elles ont toutes les deux, et j'aime la façon qu'a Jane de réagir, d'être over protecteur envers SA Lisbon (malheureusement, chose que je ne suis plus trop sûre de voir un jour dans la série :pas_poss: )

Bref, superbe chapitre !!!

PASSIONNANT PASSIONNANT PASSIONNANT PASSIONNANT PASSIONNANT !
(ai-je mentionné le fait que je trouvais ce chapitre passionnant? )
Bon c'est à l'image du reste de la fic, de très grande qualité!

le cadre: j'aime la façon dont tu poses le décor; la maison est extrêmement bien décrite et on sent tout de suite la chaleur de ce foyer...avant de nous présenter plus clairement Clarissa, tu poses une ambiance rassurante, bien loin de l'inquiétude ressentie à l'hopital par exemple; j'adore cette façon de décrire, bravo!

le thé de Clarissa: "Celui que tu définissais comme étant de l’ice tea chaud et imbuvable " de toute évidence l'aversion de Lisbon pour le thé ne date pas d'hier...j'ai trouvé amusant aussi que la vieille femme se sente très vite à l'aise avec Jane, lui confiant par exemple le coup des sablés à la canelle.
Notre Jane, tjs aussi galant, servant les femmes d'abord! Tellement digne de lui

le jugement de la mamie: "Dites-moi, est-ce-que c’est tout le temps comme ça entre vous ? Demanda la vieille femme entre deux sourires. "si elle savait...et encore là ils sont calmes!
très bien trouvée l'analogie entre les 2 couples: Nathalie et Ben s'adoraient à en juger ce qu'on a vu dans le 1er chapitre.
"Et pourtant, ils étaient si proches…Bien plus qu’autrefois, ça c’était certain. Jane le savait : il était clairement attaché à Lisbon, et n’avait jamais été aussi proche d’une femme depuis la mort d’Angela"
--> question, puis-je envoyer cette phrase à bruno Helelr histoire de lui remettre un peu les pendules à l'heure?

la révélation Bryan: j'ai aimé la manière subtile dont Jane pousse Lisbon à dire la vérité sans en avoir l'air:
"Mais si Georges était déjà mort, il y a quatre mois, ce n’était donc pas lui qui harcelait Nat, résuma Lisbon ; qui était-ce alors ?
- A votre avis ? Intervint Jane, en jetant des yeux inquiets à Teresa"
j'adore cette connivence..

les pensées de Jane: tiens tiens..;"SA LISBON" on mesure ici combien le mentaliste prend conscience peu à peu de l'importance de la jeune femme pour lui.


la résolution de Lisbon: enfin notre "dure à cuire" comprend qu'elle a besoin d'elle. très drôle sa réponse "j'ai bien donné un coup de canne à Jane"; c'est sûr qu'il n'y a pas pire comme agresseur
le soulagement de Jane est très bien rendu, quant à Clarissa, c'est un personnage MAGNIFIQUE!

Clarissa et Jane: très fine observatrice cette brave femme! Elle a compris combien le beau blond tenait à Lisbon! quant au fait que ce soit un homme bien, si mamie le dit, c'est que c'est vrai!


la fin: bon alors là, sur le moment je t'ai DETESTEE!!!
Comment peux-tu couper là????
tu vas pas noius blesser quelqu'un hein?
Perso je sens que le tireur va louper son tir grâce à Super-Cho! quelle scène incroyable pour une fin de chapitre...je le hais ce Bryan, il est évident qu'il ne supporte pas la proximité que Jane a avec Lisbon.
Bon sang c'est une fic vraiment sublime (pardon de ne pas avoir commenté le dernier chapitre) mais sache que je suis toujours...

BRAVO BRAVO!