La famille parfaite (ou presque) ^
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La famille parfaite (ou presque) ^
Voilà la premier chapitre de ma nouvelle fic, en espérant qu'elle ne sera pas trop difficile à suivre.
J'essaierais de poster le plus régulièrement possible mais peut-être pas tous les jours.
Bonne lecture.
SOMMAIRE:
Chapitre 1Chapitre 11Chapitre 21Chapitre 31
Chapitre 2Chapitre 12Chapitre 22Chapitre 32
Chapitre 3Chapitre 13Chapitre 23Chapitre 33
Chapitre 4Chapitre 14Chapitre 24Chapitre 34
Chapitre 5Chapitre 15Chapitre 25Chapitre 35
Chapitre 6Chapitre 16Chapitre 26Chapitre 36
Chapitre 7Chapitre 17Chapitre 27Chapitre 37
Chapitre 8Chapitre 18Chapitre 28Chapitre 38
Chapitre 9Chapitre 19Chapitre 29
Chapitre 10Chapitre 20Chapitre 30
Chapitre 1
Sacramento, 9h, ce mardi.
Une sonnerie, des grilles qui s'ouvrent, un homme en costume qui recouvre une liberté qui n'aurait jamais du lui être enlevée.
Sacramento, 10h, le même jour.
Une sonnerie, des grilles qui s'ouvrent, une jeune femme en uniforme orange rejoint sa cellule. Elle raye un chiffre de plus sur un calendrier, au mur. Une date y est entourée de rouge. Plus que 8 jours.
Deux jours après sa libération, Patrick Jane avait déjà reprit du service, au CBI. Il ne voulait pas rester inactif car l'oisiveté était synonyme de réflexion. Une réflexion qui lui aurait fait revivre et peut-être regretter son geste. Déjà qu'il doutait de l'identité de l'homme dans le centre commercial, il n'avait pas besoin de temps libre, pour ressasser cette histoire. Tout ce qu'il voulait c'était oublier ces quelques semaines d'enfermement et ce procès. Ce n'était plus le même Patrick Jane qui était ressorti mais un homme résolu à profiter de sa liberté et de la nouvelle vie qui s'offrait à lui.
Terminée cette traque sans fin pour retrouver Red John. Il avait réussi (en partie seulement) à effacer ce passé douloureux qui gâchait son existence depuis trop de temps.
Evidemment, au fond de lui, Patrick Jane restait Patrick Jane, et il lui suffirait d'un tout petit détail, infime, pour le remettre sur les traces du sérial killer et satisfaire sa soif de vengeance qu'il croyait inassouvie. Lisbon lui avait pourtant répété que ça y était, il avait réussi, mais un doute subsistait dans son esprit.
Patrick avait reprit son train train habituel: motel, CBI, scènes de crime, enquête, affaire élucidée, motel. Quelques fois, cela variait, mais appart quelques différences, c'était une routine qui s'était installée. Mais ça ne le dérangeait en rien, au contraire. Il appréciait cette monotonie qui lui apportait une certaine sécurité et du réconfort.
Alors qu'il pensait avoir tout pour repartir à zéro, il avait omit un léger détail, pas si léger que ça. A trop se consacrer à son travail de consultant, il en occultait complètement sa vie personnelle, comme il l'avait toujours fait. Ce n'était pas exceptionnel en somme.
Et d'ailleurs, quoi de plus normal. Sa vie privée et professionnelle étaient étroitement liées. Ses collègues, s'était eux sa famille. Une famille en qui il pouvait avoir confiance, qui le soutenait sans le juger, prête à tout pour lui. En fait une famille presque idéale.
Lui n'avait jamais connu une vraie vie de famille comme la plupart des gens. Mais Patrick n'était pas la plupart des gens, donc il était logique qu'il n'ai pas une famille classique. Pourtant, il aurait préféré que ce soit le cas. Non pas que Rigsby, Van Pelt, Cho et surtout Lisbon, n'étaient pas à la hauteur dans ce rôle, ils comblaient un vide, mais ne remplaçaient pas une vrai famille. Il avait souvent rêvé d'avoir des frères et soeurs et surtout une mère, pour le réconforter les jours de cafard. Bien sûr il avait une mère, mais n'en gardait aucun souvenir, si ce n'est celui de son départ. Il avait à peine 7 ans.
Non, lui n'avait eu droit qu'à un père qui n'en était pas un. Pas dans le sens exact du terme. Il était plus un coach qui passait son temps à développer les capacités de son fils qu'à se comporter en père.
Ce lien père/fils n'avait jamais existé entre eux et c'est ce qui avait manqué à Patrick. Alex Jane lui disait souvent qu'il était fier de lui, particulièrement lorsqu'il lui rapportait de l'argent avec ses arnaques. Mais ça ne suffisait pas à son fils. Il attendait autre chose de son père, un simple "je t'aime fils" lui aurait réchauffé le coeur. Mais il devait se satisfaire d'une tape sur l'épaule et d'une poignée de billets.
Voilà les seules marques d'affection dont Alex Jane était capable. C'est dans ces moments-là que sa mère lui manquait le plus. Il ne possédait qu'une seule photo de la femme qui l'avait élevé jusqu'à ses 7 ans, avant de disparaître à tout jamais, sans laisser de trace.
Il avait encore ce vieux cliché qu'il conservait dans la doublure de sa veste. Il ne parlait jamais de son enfance, donc tous ignoraient cet aspect de la vie du consultant. Il n'abordait jamais le sujet de ses parents, seulement des bribes de son passé avec Angela et Charlotte et ce, uniquement avec Térésa. Il osait lui confier bien plus de choses personnelles qu'à ses autres camarades, car ils étaient plus proches tous les deux. Ils avaient vécu des périodes difficiles, ils se comprenaient en quelques mots. Malgré la force de leur amitié, à elle non plus, il n'avait pas parlé de ses parents et elle n'avait pas cherché à savoir davantage.
Ce matin-là, l'agent Van Pelt avait prit sa matinée pour raison personnelle. En fait, elle rendait visite à une amie, incarcérée au pénitencier de la ville. Elle venait la voir chaque semaine, depuis 3 ans. Elle l'avait connu lorsqu'elle était bénévole auprès des sans-abris. Cette jeune femme s'appelait Calli. Elle purgeait une peine de 3 ans pour détention et trafic d'héroïne. A leur première rencontre, Calli consommait également la drogue qu'elle dealait dans la rue. Elle s'était faite arrêté alors qu'elle essayait de vendre une dose à un flic en civil. Depuis ce jour, Grâce s'était fait un devoir de la soutenir. Elle arriva donc, au parloir, comme chaque mercredi. Mais ce jour-là était différent des autres. Lorsque Calli se présenta, elle avait un oeil au beurre noir, une lèvre fendue et certainement des bleus aux poignets qu'elle dissimulait avec application en tirant sur ses manches. Elle s'assit face à sa visiteuse.
Calli: "Hey, salut Grace!"
Grace: "Qu'est-ce qui t'es arrivé? Tu t'es battue?"
Calli: "Oh ça. C'est rien. Tu devrais voir la gueule du type. Je l'ai arrangé ce salaud. Il a pas eu ce qu'il voulait mais il a eu ce qu'il cherchait."
Grace affligée murmura: "C'est un des gardiens qui t'a fait ça?"
Calli: "Ouais."
Grace: "C'est pas normal, il n'a pas le droit. Tu dois le dénoncer."
Calli: "Laisse tomber Grace, ça servirait à rien. Et puis il a déjà retourné la situation à son avantage."
Grace: "C'est à dire?"
Calli: "Il a dit que c'était moi qui l'avais agressé et il a porté plainte pour coup et blessures. Résultat je me tape 3 mois de plus à cause de ce bâtard."
Grace: "C'est pas juste, c'est toi qui es blessée."
Calli: "Peut-être, mais lui aussi. Il m'a embrassé et je lui ai mordu la langue jusqu'au sang. Il ne va plus pouvoir parler pendant un bon bout de temps."
Grace: "Tu n'as fait que te défendre."
Calli: "Ouais, comme toi avec Craig. Ah si j'avais eu un flingue... Pour toi c'était de la légitime défense, mais ici, c'est les matons qui ont toujours le dernier mot. Nous on est de la merde pour eux."
Grace: "Je vais essayer de t'obtenir une libération anticipée. Tu pourras effectuer le reste de ta peine hors de la prison."
Calli: "T'es sympa Grace, mais j'ai un avocat pour ça."
Une voix résonna dans les hauts parleurs: "Fin des visites!"
Grace: "Je reviens la semaine prochaine."
Elle se sourirent et l'agent ressortit de l'établissement pénitentiaire. Même si Calli avait fait pas mal de bêtises dans sa vie, Grace estimait que le jugement le condamnant à 3 ans ferme était trop lourd. Mais elle n'y pouvait pas grand chose, le système fonctionnait comme ça même si Patrick, lui, avait eu assez de talent pour éviter la prison. Même si elle la connaissait depuis pas mal de temps, Grace continuait à se demander ce qui avait conduit Calli à tomber aussi bas étant donné ses origines bourgeoises. Mais elle n'était pas là pour la juger, seulement pour lui apporter son soutient, sa famille ne venant que rarement.
TBC...
J'essaierais de poster le plus régulièrement possible mais peut-être pas tous les jours.
Bonne lecture.
SOMMAIRE:
Chapitre 1Chapitre 11Chapitre 21Chapitre 31
Chapitre 2Chapitre 12Chapitre 22Chapitre 32
Chapitre 3Chapitre 13Chapitre 23Chapitre 33
Chapitre 4Chapitre 14Chapitre 24Chapitre 34
Chapitre 5Chapitre 15Chapitre 25Chapitre 35
Chapitre 6Chapitre 16Chapitre 26Chapitre 36
Chapitre 7Chapitre 17Chapitre 27Chapitre 37
Chapitre 8Chapitre 18Chapitre 28Chapitre 38
Chapitre 9Chapitre 19Chapitre 29
Chapitre 10Chapitre 20Chapitre 30
Chapitre 1
Sacramento, 9h, ce mardi.
Une sonnerie, des grilles qui s'ouvrent, un homme en costume qui recouvre une liberté qui n'aurait jamais du lui être enlevée.
Sacramento, 10h, le même jour.
Une sonnerie, des grilles qui s'ouvrent, une jeune femme en uniforme orange rejoint sa cellule. Elle raye un chiffre de plus sur un calendrier, au mur. Une date y est entourée de rouge. Plus que 8 jours.
Deux jours après sa libération, Patrick Jane avait déjà reprit du service, au CBI. Il ne voulait pas rester inactif car l'oisiveté était synonyme de réflexion. Une réflexion qui lui aurait fait revivre et peut-être regretter son geste. Déjà qu'il doutait de l'identité de l'homme dans le centre commercial, il n'avait pas besoin de temps libre, pour ressasser cette histoire. Tout ce qu'il voulait c'était oublier ces quelques semaines d'enfermement et ce procès. Ce n'était plus le même Patrick Jane qui était ressorti mais un homme résolu à profiter de sa liberté et de la nouvelle vie qui s'offrait à lui.
Terminée cette traque sans fin pour retrouver Red John. Il avait réussi (en partie seulement) à effacer ce passé douloureux qui gâchait son existence depuis trop de temps.
Evidemment, au fond de lui, Patrick Jane restait Patrick Jane, et il lui suffirait d'un tout petit détail, infime, pour le remettre sur les traces du sérial killer et satisfaire sa soif de vengeance qu'il croyait inassouvie. Lisbon lui avait pourtant répété que ça y était, il avait réussi, mais un doute subsistait dans son esprit.
Patrick avait reprit son train train habituel: motel, CBI, scènes de crime, enquête, affaire élucidée, motel. Quelques fois, cela variait, mais appart quelques différences, c'était une routine qui s'était installée. Mais ça ne le dérangeait en rien, au contraire. Il appréciait cette monotonie qui lui apportait une certaine sécurité et du réconfort.
Alors qu'il pensait avoir tout pour repartir à zéro, il avait omit un léger détail, pas si léger que ça. A trop se consacrer à son travail de consultant, il en occultait complètement sa vie personnelle, comme il l'avait toujours fait. Ce n'était pas exceptionnel en somme.
Et d'ailleurs, quoi de plus normal. Sa vie privée et professionnelle étaient étroitement liées. Ses collègues, s'était eux sa famille. Une famille en qui il pouvait avoir confiance, qui le soutenait sans le juger, prête à tout pour lui. En fait une famille presque idéale.
Lui n'avait jamais connu une vraie vie de famille comme la plupart des gens. Mais Patrick n'était pas la plupart des gens, donc il était logique qu'il n'ai pas une famille classique. Pourtant, il aurait préféré que ce soit le cas. Non pas que Rigsby, Van Pelt, Cho et surtout Lisbon, n'étaient pas à la hauteur dans ce rôle, ils comblaient un vide, mais ne remplaçaient pas une vrai famille. Il avait souvent rêvé d'avoir des frères et soeurs et surtout une mère, pour le réconforter les jours de cafard. Bien sûr il avait une mère, mais n'en gardait aucun souvenir, si ce n'est celui de son départ. Il avait à peine 7 ans.
Non, lui n'avait eu droit qu'à un père qui n'en était pas un. Pas dans le sens exact du terme. Il était plus un coach qui passait son temps à développer les capacités de son fils qu'à se comporter en père.
Ce lien père/fils n'avait jamais existé entre eux et c'est ce qui avait manqué à Patrick. Alex Jane lui disait souvent qu'il était fier de lui, particulièrement lorsqu'il lui rapportait de l'argent avec ses arnaques. Mais ça ne suffisait pas à son fils. Il attendait autre chose de son père, un simple "je t'aime fils" lui aurait réchauffé le coeur. Mais il devait se satisfaire d'une tape sur l'épaule et d'une poignée de billets.
Voilà les seules marques d'affection dont Alex Jane était capable. C'est dans ces moments-là que sa mère lui manquait le plus. Il ne possédait qu'une seule photo de la femme qui l'avait élevé jusqu'à ses 7 ans, avant de disparaître à tout jamais, sans laisser de trace.
Il avait encore ce vieux cliché qu'il conservait dans la doublure de sa veste. Il ne parlait jamais de son enfance, donc tous ignoraient cet aspect de la vie du consultant. Il n'abordait jamais le sujet de ses parents, seulement des bribes de son passé avec Angela et Charlotte et ce, uniquement avec Térésa. Il osait lui confier bien plus de choses personnelles qu'à ses autres camarades, car ils étaient plus proches tous les deux. Ils avaient vécu des périodes difficiles, ils se comprenaient en quelques mots. Malgré la force de leur amitié, à elle non plus, il n'avait pas parlé de ses parents et elle n'avait pas cherché à savoir davantage.
Ce matin-là, l'agent Van Pelt avait prit sa matinée pour raison personnelle. En fait, elle rendait visite à une amie, incarcérée au pénitencier de la ville. Elle venait la voir chaque semaine, depuis 3 ans. Elle l'avait connu lorsqu'elle était bénévole auprès des sans-abris. Cette jeune femme s'appelait Calli. Elle purgeait une peine de 3 ans pour détention et trafic d'héroïne. A leur première rencontre, Calli consommait également la drogue qu'elle dealait dans la rue. Elle s'était faite arrêté alors qu'elle essayait de vendre une dose à un flic en civil. Depuis ce jour, Grâce s'était fait un devoir de la soutenir. Elle arriva donc, au parloir, comme chaque mercredi. Mais ce jour-là était différent des autres. Lorsque Calli se présenta, elle avait un oeil au beurre noir, une lèvre fendue et certainement des bleus aux poignets qu'elle dissimulait avec application en tirant sur ses manches. Elle s'assit face à sa visiteuse.
Calli: "Hey, salut Grace!"
Grace: "Qu'est-ce qui t'es arrivé? Tu t'es battue?"
Calli: "Oh ça. C'est rien. Tu devrais voir la gueule du type. Je l'ai arrangé ce salaud. Il a pas eu ce qu'il voulait mais il a eu ce qu'il cherchait."
Grace affligée murmura: "C'est un des gardiens qui t'a fait ça?"
Calli: "Ouais."
Grace: "C'est pas normal, il n'a pas le droit. Tu dois le dénoncer."
Calli: "Laisse tomber Grace, ça servirait à rien. Et puis il a déjà retourné la situation à son avantage."
Grace: "C'est à dire?"
Calli: "Il a dit que c'était moi qui l'avais agressé et il a porté plainte pour coup et blessures. Résultat je me tape 3 mois de plus à cause de ce bâtard."
Grace: "C'est pas juste, c'est toi qui es blessée."
Calli: "Peut-être, mais lui aussi. Il m'a embrassé et je lui ai mordu la langue jusqu'au sang. Il ne va plus pouvoir parler pendant un bon bout de temps."
Grace: "Tu n'as fait que te défendre."
Calli: "Ouais, comme toi avec Craig. Ah si j'avais eu un flingue... Pour toi c'était de la légitime défense, mais ici, c'est les matons qui ont toujours le dernier mot. Nous on est de la merde pour eux."
Grace: "Je vais essayer de t'obtenir une libération anticipée. Tu pourras effectuer le reste de ta peine hors de la prison."
Calli: "T'es sympa Grace, mais j'ai un avocat pour ça."
Une voix résonna dans les hauts parleurs: "Fin des visites!"
Grace: "Je reviens la semaine prochaine."
Elle se sourirent et l'agent ressortit de l'établissement pénitentiaire. Même si Calli avait fait pas mal de bêtises dans sa vie, Grace estimait que le jugement le condamnant à 3 ans ferme était trop lourd. Mais elle n'y pouvait pas grand chose, le système fonctionnait comme ça même si Patrick, lui, avait eu assez de talent pour éviter la prison. Même si elle la connaissait depuis pas mal de temps, Grace continuait à se demander ce qui avait conduit Calli à tomber aussi bas étant donné ses origines bourgeoises. Mais elle n'était pas là pour la juger, seulement pour lui apporter son soutient, sa famille ne venant que rarement.
TBC...
Dernière édition par lilia le Ven 13 Avr 2012 - 18:02, édité 42 fois
Invité- Invité
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
curieux début, on ne sait pas trop où tu veux aller...
Jane qui aurait aimé avoir une vraie famille et cette prisonnière plutôt violente...
Je vais voir par la suite ce que tu nous réserves...
Jane qui aurait aimé avoir une vraie famille et cette prisonnière plutôt violente...
Je vais voir par la suite ce que tu nous réserves...
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Le début est intéressant
Mais la copine de Van Pelt m'intrigue, elle se fait passer pour la gentille avec Van Pelt mais si ça se trouve c'est elle qui a agressé le gardien ...
" La famille parfaite ou presque " ça amène forcément à du drame non ?
J'attends la suite :bounce:
Mais la copine de Van Pelt m'intrigue, elle se fait passer pour la gentille avec Van Pelt mais si ça se trouve c'est elle qui a agressé le gardien ...
" La famille parfaite ou presque " ça amène forcément à du drame non ?
J'attends la suite :bounce:
terpo4- Agent de circulation
- Localisation : Dans ce monde étrange que l'on nomme " Planète TM "
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Merci pour vos commentaires!!!
Voilà la suite...
Chapitre 2
De retour au CBI, la rouquine pris place à son bureau, comme si de rien n'était. Bien qu'elle accorde une importance particulière à son activité bénévole, elle était professionnelle et son travail ne s'en ressentait pas. Ses collègues savaient qu'elle s'impliquait pour aider ceux qui en avaient besoin et ils l'admiraient pour ça. Cette fille avait le coeur sur la main.
Elle reprit donc son poste normalement. Son téléphone sonna, elle répondit.
Grâce: "CBI, agent Van Pelt."
Le correspondant était un homme qui demandait à parler à Jane. Elle prit son nom et prévint le mentaliste.
Van Pelt: "Jane. Jane!"
Jane: "Oui Grace, qu'est-ce qu'il y a?"
Van Pelt: "Un coup de fil pour toi. Ca a l'air important. Un certain Maître Tagart."
Il se redressa en baillant et la suivit jusqu'au combiné.
Jane: "Allo, Patrick Jane. A qui ai-je l'honneur?"
L'homme: "Mr Jane. Je suis l'exécuteur testamentaire de Mme Eleanor Wilcox. Mme Wilcox vous attend aujourd'hui, au manoir, à 14h."
Jane, intrigué: "Pour quelle raison souhaite-t-elle me rencontrer? Wilcox vous dites? Ca ne me dit rien."
L'homme: "Vous comprendrez lorsque vous la verrez. Soyez ponctuel."
Le blond raccrocha et restait là, droit comme un I, à réfléchir. Qui était cette Mme Wilcox? Lui, le spécialiste de la déduction était complètement largué.
Grace: "Jane, tout va bien?"
Jane: "Dis-moi Grace, Wilcox ça te dit quelque chose?"
Le grand brun, qui passait par là, s'invita dans la discussion.
Wayne: "Quoi? Tu connais pas? Harry Wilcox! Il a fait fortune dans l'import export, il y a quelques années."
Grace ne répondit pas à la question.
Wayne: "Mais pourquoi tu parles de ça?"
Jane: "Oh, pour rien."
L'agent continua son chemin jusqu'à l'open space, alors que le mentaliste se préparait à quitter les bureaux. Il n'avait pas fait attention à l'expression de Grace lorsqu'il lui avait posé la question au sujet de cette famille.
Il partit donc à l'adresse qu'on lui avait indiquée. Il arriva devant un immense portail en fer blanc qui s'ouvrit dans un grincement. Il avança dans cette grande allée ombragée, au bout de laquelle se tenait une magnifique demeure. Le genre de maison que Jane détestait. Il ne portait pas vraiment dans son coeur, tous ces nouveaux riches qui avaient tendance à se considérer comme les maîtres du monde. Mais il avait décidé de se tenir à carreaux au moins tant qu'il ne saurait pas la raison de sa présence en ces lieux.
Il gara sa voiture juste derrière une limousine noire qui trônait devant un garage qui était aussi grand qu'une villa. La première pensée qui lui traversa l'esprit fut: "Mais où je suis tombé?"
Après être descendu de la DS, il leva la tête pour détailler la demeure. Son regard fut immédiatement attiré par un rideau qui se refermait. Il distinguait une silhouette de femme derrière la fenêtre. Peut-être la maîtresse des lieux, Mme Wilcox.
Alors qu'il avançait sur les marches qui le menaient à la porte d'entrée, il n'eut pas le temps de sonner. Le major d'homme lui ouvrit.
Jane, affichant son plus beau sourire: "Bonjour."
Le major d'homme: "Mr Jane, entrez. Je vous annonce."
Le mentaliste pénétra dans le vestibule.
Le major d'homme, qui faisait bien une tête de plus que lui, se retourna: "Restez ici, je vous prie."
Jane: "Je ne bouge pas. De toutes façons, il me faudrait un GPS pour me ne pas me perdre dans cette maison."
L'homme le regardait sans esquisser le moindre sourire. Il semblait hermétique à toute forme d'humour.
Jane: "D'accord. Vous vous entendriez parfaitement avec un de mes collègues."
Le major d'homme: "Plaît-il?"
Jane: "Non, non, rien. Je pensais tout haut."
Il lui tourna à nouveau le dos et monta à l'étage, permettant toutefois au visiteur d'accéder à la salle de séjour. Livré à lui-même, Jane en profita pour fouiner un peu.
Dans le salon, tout aussi gigantesque que les autres pièces, étaient exposées des photos de famille. Il ne put s'empêcher d'en prendre une pour le regarder de plus près. Les yeux bleus de cette fillette l'avaient attiré.
C'est là qu'il fut surprit par son hôtesse qui arriva dans son dos.
Jane reposant le cliché: "Oh, je suis désolé."
Elle s'approcha et saisi le cadre: "C'est ma fille, Calista, quand elle avait 10 ans."
Le mentaliste la dévisageait. Il la connaissait, il connaissait ce visage et cette voix. Le temps avait fait son oeuvre, mais cette femme lui rappelait quelqu'un. Pourtant son nom lui était inconnu.
Eleanor: "Tu as tellement changé Patrick. Mais ton regard est le même et tu as le sourire de ton père."
Jane devint sérieux tout à coup. Il n'osait pas y croire. Ca ne pouvait pas être elle, c'était impossible. L'incrédulité se changea en colère et reproches. Si c'était bien elle, elle l'avait abandonné. Pourquoi ne pas l'avoir recontacté avant, quand il aurait eu besoin d'elle?
Ni l'un ni l'autre ne semblait disposé à faire le premier pas. Ils restaient là, sans un mot. Mais il fallait bien que lui ou elle se décide. C'est donc Patrick qui brisa le silence. Il voulait des réponses, il en avait besoin, il avait besoin de comprendre.
Jane: "Comment vous savez que j'ai le sourire de mon père?"
Eleanor: "Tu le sais Patrick. Tu sais qui je suis."
Jane: "Vous êtes ma mère. C'est ce que vous insinuez. Ma mère s'appelait Héléna."
Eleanor: "Oui. C'est ça. Mais j'ai changé de nom, il y a des années. Je ne voulais pas que ton père me retrouve."
Le blond s'assit dans le premier fauteuil qu'il trouva, il était pâle. Il ne s'était pas senti aussi mal depuis la mort de sa famille.
Elle s'installa près de lui, lui posa une main sur la joue, mais il la rejeta avec la sienne.
Jane: "C'est un peu tard pour ça. Tu m'as abandonné."
Eleanor: "Je n'ai pas eu le choix. Je devais fuir au plus vite. Alex me frappait. Il m'aurait tuée."
Jane: "Je n'avais que 7 ans! Tu ne voulais pas t'encombrer d'un gamin j'imagine."
Eleanor: "Je regrette Patrick. Mais j'étais si jeune. Je ne me sentais pas capable d'élever un enfant seule."
Il était vraiment amer et lui en voulait terriblement. Il ne pouvait pas la regarder dans les yeux.
Eleanor: "Pardonne-moi Patrick. Je sais combien tu as souffert. J'ai appris pour ta famille. J'aurais voulu être là pour toi. Mais je ne le pouvais pas. Mon mari ignorait tout de ton existence."
Ainsi, elle avait attendu qu'Harry ne soit plus de ce monde pour rétablir le contact avec son fils. Il se mordait les lèvres, tentant de contenir les larmes qui lui montaient aux yeux. Ces sentiments étaient confus. Il était heureux d'être avec elle, mais il la détestait pour l'avoir laissé à ce père abusif.
Elle tenta une nouvelle fois de se rapprocher de son fils. Il se montra réticent au départ, mais il fini par accepter son étreinte. Là, il laissa ses émotions s'exprimer et ses larmes couler.
TBC...
Voilà la suite...
Chapitre 2
De retour au CBI, la rouquine pris place à son bureau, comme si de rien n'était. Bien qu'elle accorde une importance particulière à son activité bénévole, elle était professionnelle et son travail ne s'en ressentait pas. Ses collègues savaient qu'elle s'impliquait pour aider ceux qui en avaient besoin et ils l'admiraient pour ça. Cette fille avait le coeur sur la main.
Elle reprit donc son poste normalement. Son téléphone sonna, elle répondit.
Grâce: "CBI, agent Van Pelt."
Le correspondant était un homme qui demandait à parler à Jane. Elle prit son nom et prévint le mentaliste.
Van Pelt: "Jane. Jane!"
Jane: "Oui Grace, qu'est-ce qu'il y a?"
Van Pelt: "Un coup de fil pour toi. Ca a l'air important. Un certain Maître Tagart."
Il se redressa en baillant et la suivit jusqu'au combiné.
Jane: "Allo, Patrick Jane. A qui ai-je l'honneur?"
L'homme: "Mr Jane. Je suis l'exécuteur testamentaire de Mme Eleanor Wilcox. Mme Wilcox vous attend aujourd'hui, au manoir, à 14h."
Jane, intrigué: "Pour quelle raison souhaite-t-elle me rencontrer? Wilcox vous dites? Ca ne me dit rien."
L'homme: "Vous comprendrez lorsque vous la verrez. Soyez ponctuel."
Le blond raccrocha et restait là, droit comme un I, à réfléchir. Qui était cette Mme Wilcox? Lui, le spécialiste de la déduction était complètement largué.
Grace: "Jane, tout va bien?"
Jane: "Dis-moi Grace, Wilcox ça te dit quelque chose?"
Le grand brun, qui passait par là, s'invita dans la discussion.
Wayne: "Quoi? Tu connais pas? Harry Wilcox! Il a fait fortune dans l'import export, il y a quelques années."
Grace ne répondit pas à la question.
Wayne: "Mais pourquoi tu parles de ça?"
Jane: "Oh, pour rien."
L'agent continua son chemin jusqu'à l'open space, alors que le mentaliste se préparait à quitter les bureaux. Il n'avait pas fait attention à l'expression de Grace lorsqu'il lui avait posé la question au sujet de cette famille.
Il partit donc à l'adresse qu'on lui avait indiquée. Il arriva devant un immense portail en fer blanc qui s'ouvrit dans un grincement. Il avança dans cette grande allée ombragée, au bout de laquelle se tenait une magnifique demeure. Le genre de maison que Jane détestait. Il ne portait pas vraiment dans son coeur, tous ces nouveaux riches qui avaient tendance à se considérer comme les maîtres du monde. Mais il avait décidé de se tenir à carreaux au moins tant qu'il ne saurait pas la raison de sa présence en ces lieux.
Il gara sa voiture juste derrière une limousine noire qui trônait devant un garage qui était aussi grand qu'une villa. La première pensée qui lui traversa l'esprit fut: "Mais où je suis tombé?"
Après être descendu de la DS, il leva la tête pour détailler la demeure. Son regard fut immédiatement attiré par un rideau qui se refermait. Il distinguait une silhouette de femme derrière la fenêtre. Peut-être la maîtresse des lieux, Mme Wilcox.
Alors qu'il avançait sur les marches qui le menaient à la porte d'entrée, il n'eut pas le temps de sonner. Le major d'homme lui ouvrit.
Jane, affichant son plus beau sourire: "Bonjour."
Le major d'homme: "Mr Jane, entrez. Je vous annonce."
Le mentaliste pénétra dans le vestibule.
Le major d'homme, qui faisait bien une tête de plus que lui, se retourna: "Restez ici, je vous prie."
Jane: "Je ne bouge pas. De toutes façons, il me faudrait un GPS pour me ne pas me perdre dans cette maison."
L'homme le regardait sans esquisser le moindre sourire. Il semblait hermétique à toute forme d'humour.
Jane: "D'accord. Vous vous entendriez parfaitement avec un de mes collègues."
Le major d'homme: "Plaît-il?"
Jane: "Non, non, rien. Je pensais tout haut."
Il lui tourna à nouveau le dos et monta à l'étage, permettant toutefois au visiteur d'accéder à la salle de séjour. Livré à lui-même, Jane en profita pour fouiner un peu.
Dans le salon, tout aussi gigantesque que les autres pièces, étaient exposées des photos de famille. Il ne put s'empêcher d'en prendre une pour le regarder de plus près. Les yeux bleus de cette fillette l'avaient attiré.
C'est là qu'il fut surprit par son hôtesse qui arriva dans son dos.
Jane reposant le cliché: "Oh, je suis désolé."
Elle s'approcha et saisi le cadre: "C'est ma fille, Calista, quand elle avait 10 ans."
Le mentaliste la dévisageait. Il la connaissait, il connaissait ce visage et cette voix. Le temps avait fait son oeuvre, mais cette femme lui rappelait quelqu'un. Pourtant son nom lui était inconnu.
Eleanor: "Tu as tellement changé Patrick. Mais ton regard est le même et tu as le sourire de ton père."
Jane devint sérieux tout à coup. Il n'osait pas y croire. Ca ne pouvait pas être elle, c'était impossible. L'incrédulité se changea en colère et reproches. Si c'était bien elle, elle l'avait abandonné. Pourquoi ne pas l'avoir recontacté avant, quand il aurait eu besoin d'elle?
Ni l'un ni l'autre ne semblait disposé à faire le premier pas. Ils restaient là, sans un mot. Mais il fallait bien que lui ou elle se décide. C'est donc Patrick qui brisa le silence. Il voulait des réponses, il en avait besoin, il avait besoin de comprendre.
Jane: "Comment vous savez que j'ai le sourire de mon père?"
Eleanor: "Tu le sais Patrick. Tu sais qui je suis."
Jane: "Vous êtes ma mère. C'est ce que vous insinuez. Ma mère s'appelait Héléna."
Eleanor: "Oui. C'est ça. Mais j'ai changé de nom, il y a des années. Je ne voulais pas que ton père me retrouve."
Le blond s'assit dans le premier fauteuil qu'il trouva, il était pâle. Il ne s'était pas senti aussi mal depuis la mort de sa famille.
Elle s'installa près de lui, lui posa une main sur la joue, mais il la rejeta avec la sienne.
Jane: "C'est un peu tard pour ça. Tu m'as abandonné."
Eleanor: "Je n'ai pas eu le choix. Je devais fuir au plus vite. Alex me frappait. Il m'aurait tuée."
Jane: "Je n'avais que 7 ans! Tu ne voulais pas t'encombrer d'un gamin j'imagine."
Eleanor: "Je regrette Patrick. Mais j'étais si jeune. Je ne me sentais pas capable d'élever un enfant seule."
Il était vraiment amer et lui en voulait terriblement. Il ne pouvait pas la regarder dans les yeux.
Eleanor: "Pardonne-moi Patrick. Je sais combien tu as souffert. J'ai appris pour ta famille. J'aurais voulu être là pour toi. Mais je ne le pouvais pas. Mon mari ignorait tout de ton existence."
Ainsi, elle avait attendu qu'Harry ne soit plus de ce monde pour rétablir le contact avec son fils. Il se mordait les lèvres, tentant de contenir les larmes qui lui montaient aux yeux. Ces sentiments étaient confus. Il était heureux d'être avec elle, mais il la détestait pour l'avoir laissé à ce père abusif.
Elle tenta une nouvelle fois de se rapprocher de son fils. Il se montra réticent au départ, mais il fini par accepter son étreinte. Là, il laissa ses émotions s'exprimer et ses larmes couler.
TBC...
Dernière édition par lilia le Ven 13 Avr 2012 - 16:54, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
La mère de Jane
Cette Calista aux yeux bleus serait donc sa soeur à notre Jane national??? Et toujours, cette Calista ne serait-elle pas l'amie Callie de Vzn Pelt???
En tout cas, je veux la suite Madame !!!
Cette Calista aux yeux bleus serait donc sa soeur à notre Jane national??? Et toujours, cette Calista ne serait-elle pas l'amie Callie de Vzn Pelt???
En tout cas, je veux la suite Madame !!!
mococoa- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Loisirs : sport, lecture (des fics entre autres), The Mentalist
Localisation : Dans mes rêves
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Je pense un peu comme mococoa
Calista, soeur ou demi-soeur de Jane...et en prison...
J'attend la suite pour avoir des indices.
Calista, soeur ou demi-soeur de Jane...et en prison...
J'attend la suite pour avoir des indices.
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Une nouvelle fic!! Bon cette fois çi je vais essayer de commenter plus souvent! C'est vrai que comme les filles je me demande si Callie n'est pas cette Calista . Jane qui retrouve sa mère après tant d'années !!! Vivement la suite!!
Pepe64- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Loisirs : Danse, théâtre, écrire des fics et chanter
Localisation : Avec Patrick Jane!!!
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Merci pour votre fidélité les filles, ça me fait hyper plaisir!!!
Chapitre 3
Retrouver sa mère, au bout de tant d'années, lui semblait irréel. Il restait là, blotti dans ses bras rassurants. C'était une expérience inédite pour Patrick. Avoir une mère était nouveaux pour lui, il aurait besoin de temps pour s'y faire. L'émotion passée, ils se relâchèrent. Eleanor demanda à son employée de maison de leur apporter du thé.
Eleanor, tendant une tasse à son fils: "Je crois savoir que tu travailles pour le CBI."
Jane: "Disons que je les aide dans leurs enquêtes."
Eleanor: "J'ai suivi ta carrière ces dernières années. Je pensais que tu aurais cessé de travailler avec la police, maintenant que ce Red John est mort. A moins que tu ais une autre raison de rester?"
Jane: "On peut dire ça."
Eleanor: "C'est une femme?"
Jane: "Pas uniquement."
Eleanor, avec malice: "Elle est jolie?"
Jane rougi en éludant la question embarrassante: "Il y a un Mr Wilcox à ce que j'ai compris. Où est-il?"
Eleanor: "Il n'est plus de ce monde, hélas. Harry est décédé, il y a deux ans. Cancer."
Jane: "Je suis navré de l'apprendre. Bon, tant qu'on en est aux confidences, est-ce que j'ai des frères et soeurs?"
Eleanor: "Tu as un frère, Evan, c'est un brillant avocat, je suis très fière de lui. Et tu as vu ta soeur en photo."
Jane: "Et que fait-elle?"
Eleanor, ennuyée: "Elle a eu... quelques problèmes."
Elle ne s'étendit pas sur ce thème. Cela avait l'air d'être un sujet plutôt épineux. Il n'approfondit pas ses questions à ce propos.
Le temps passait une vitesse folle, il était presque 16h, et ils ne s'en apercevaient pas. Il faut dire qu'ils avaient matière à discuter. Près de 36 ans sans nouvelles, cela en faisait du temps à rattraper. Ils évoquèrent principalement la vie de Patrick. Sa mère voulait tout savoir, à propos de son enfance sans elle. Là-dessus, il préféra ne pas s'étendre et lui en dire le moins possible. Puis, il lui parla longuement de sa famille, des bons moments avec Angela et Charlotte, son unique petite enfant. Elle se sentit mal, tout à coup, à l'évocation de leur mort tragique. Elle sortit de sa poche une boîte contenant des pilules qu'elle avala, une main sur la poitrine.
Jane, inquiet: "Est-ce que ça va aller? Je n'aurais pas du te raconter ça."
Eleanor: "Si, au contraire, je veux tout connaître de toi, le bon comme le mauvais. C'est ton histoire et c'est important pour moi. J'ai le coeur un peu fragile, mais je vais bien. Ne t'en fais pas. Continu."
Elle lui prit la main tout en parlant.
Il poursuivit donc son récit, Lisbon et l'équipe du CBI en étaient le principal sujet.
Eleanor: "C'est cette Térésa, la femme qui compte autant pour toi, n'est-ce pas?"
Jane: "Je ne sais pas trop. Je pense encore beaucoup à Angela. Je ne suis pas prêt à tourner la page."
Eleanor, voyant bien qu'il était ému: "Bien, je n'insiste pas. Je sais que c'est dur de perdre celui qu'on aime. Prend le temps qu'il te faudra."
Jane: "Ce qu'il y a, c'est que j'ai peur que Térésa ne m'attende pas, elle. Et qu'elle n'ai pas les mêmes sentiments pour moi."
Eleanor: "D'après ce que tu m'as dit, elle m'a l'air d'être une femme exceptionnelle. Elle t'attendra."
Le blond sourit. Il se sentait à l'aise avec Eleanor. Il pouvait lui parler sans détour, les mots coulaient tout seul. C'était comme si ils n'avaient jamais été séparés.
Si au début, Patrick se montrait distant, au fil des heures, il se sentait de plus en plus proche de sa mère.
Il restait quand même un peu intimidé à l'idée de faire partie de cette famille. Il passait de l'homme solitaire, au fils et à l'aîné d'une fratrie, dont il ne savait pas encore grand chose. Sa mère refusait de lui en dire plus sur sa soeur. Quand à son frère, il n'allait pas tarder à faire sa connaissance. Ce dernier arriva, interrompant leur tête à tête.
Ce jeune homme de 35 ans environs, portait un costume, un attaché case à la main, bref la panoplie complète de l'avocat. Il entra, furieux, dans la pièce.
Evan: "C'est pas vrai, quel est l'abruti qui bloque le garage avec sa DS!"
Jane lui tendant la main: "Oh, je me présente. Patrick Jane. L'abruti qui bloque votre garage."
Le jeune homme paraissait honteux de s'être emporter de la sorte.
Evan: "Heu, excusez-moi. J'ai eu une mauvaise journée. Evan. Je suis ravi de vous connaitre. Enfin, de te connaitre Patrick."
Le mentalist était surpris du tutoiement soudain. D'autant plus de la part d'une personne comme cet homme.
Evan s'apercevant de sa confusion: "Je suis désolé, vous préférez peut-être qu'on se vouvoie?"
Jane ne dit rien, se contenant d'interroger sa mère du regard.
Eleanor: "Oui, il est au courant. Je leur en ai parlé, il y a plusieurs mois déjà."
Jane: "Donc ma soeur aussi?"
Evan: "Calista le sait. D'ailleurs, en parlant d'elle, je reviens du bureau du juge. J'ai obtenu sa libération anticipée. Elle sortira dans trois jours. Enfin, en espérant qu'elle ne fera pas d'autres bêtises d'ici là."
Patrick était dans le flou total. Sa soeur était incarcérée, mais pour quel motif?
Evan le renseigna aussitôt, lui en révélant toutefois assez peu, par peur de le choquer, dès qu'il saurait de quoi la jeune femme était capable.
Evan: "Si tu veux, tu n'as qu'à venir avec moi. Tu feras sa connaissance. Et comme ça, tu pourras te faire une idée."
Jane: "Avec plaisir. C'est d'accord, je viens."
Evan: "Super, en route alors."
Les deux hommes sortirent sur le pas de la porte avec leur mère.
Jane se retourna vers elle, lui déposant un baiser sur la joue.
Eleanor: "Fais-moi une promesse Patrick. N'attend pas trop longtemps pour revenir me voir."
Jane: "Je reviendrais très vite Eleanor."
Eleanor: "Patrick. Je ne te demande pas de m'appeler maman. Ta soeur ne le fait pas non plus. Mais elle m'appelle Elie. Alors fais comme elle."
Jane: "A bientôt Elie."
Elle les regarda s'éloigner, un pincement au coeur. Elle était heureuse que sa famille soit réunie presque au complet. Elle avait toutefois quelques craintes, à l'égard de Calista, d'un naturel plutôt imprévisible et assez violent. Eleanor n'avait aucun moyen de prévoir ses réactions face à Patrick.
Ce dernier était encore devant le garage avec Evan, qui paraissait subjugué par la DS du consultant.
Evan demanda timidement: "Tu me laisserais la conduire? J'adore ce genre de voiture."
Il était comme un gamin, intimidé par ce grand frère qu'il avait eu hâte de connaitre tous ces mois.
Jane: "Aucun problème. Mais ce n'est pas une automatique."
Evan: "Oh, j'ai l'habitude t'inquiète pas."
En effet, lui-même possédait une Porshe de 1960. Ils partageaient ainsi, tous deux, le goût des vieilles voitures. Ajouté à cela leur style vestimentaire similaire. C'était un bon point de départ.
Il lui lança les clés et ils partirent en direction de la prison.
Sur le trajet, le mentaliste s'impatientait, il avait hâte de découvrir cette soeur dont personne ne semblait disposé à lui parler. Il tenta d'en apprendre un peu plus, avant de se retrouver en face d'elle.
Jane: "Pourquoi tout le monde est aussi secret concernant Calista? Elle a tué quelqu'un?"
Evan, concentré sur sa conduite, se débrouilla pour répondre sans rien révéler: "Non, rien d'aussi grave, je te rassure. Elle a eu moins de chance que moi. Si elle en est là, c'est en partie de ma faute."
Jane, curieux: "Ta faute? Comment ça?"
Evan: "Je ne veux pas être impolis ou te tenir à l'écart. Je te considère comme de la famille. Mais c'est entre Calista et moi."
Jane ne le poussa pas à en dire davantage. Apparemment, il avait touché un point sensible. Comme il était le nouveau venu dans cette famille, et que Evan lui était sympathique, il ne voulait pas se le mettre à dos en s'immisçant dans leurs histoires privées.
TBC...
Chapitre 3
Retrouver sa mère, au bout de tant d'années, lui semblait irréel. Il restait là, blotti dans ses bras rassurants. C'était une expérience inédite pour Patrick. Avoir une mère était nouveaux pour lui, il aurait besoin de temps pour s'y faire. L'émotion passée, ils se relâchèrent. Eleanor demanda à son employée de maison de leur apporter du thé.
Eleanor, tendant une tasse à son fils: "Je crois savoir que tu travailles pour le CBI."
Jane: "Disons que je les aide dans leurs enquêtes."
Eleanor: "J'ai suivi ta carrière ces dernières années. Je pensais que tu aurais cessé de travailler avec la police, maintenant que ce Red John est mort. A moins que tu ais une autre raison de rester?"
Jane: "On peut dire ça."
Eleanor: "C'est une femme?"
Jane: "Pas uniquement."
Eleanor, avec malice: "Elle est jolie?"
Jane rougi en éludant la question embarrassante: "Il y a un Mr Wilcox à ce que j'ai compris. Où est-il?"
Eleanor: "Il n'est plus de ce monde, hélas. Harry est décédé, il y a deux ans. Cancer."
Jane: "Je suis navré de l'apprendre. Bon, tant qu'on en est aux confidences, est-ce que j'ai des frères et soeurs?"
Eleanor: "Tu as un frère, Evan, c'est un brillant avocat, je suis très fière de lui. Et tu as vu ta soeur en photo."
Jane: "Et que fait-elle?"
Eleanor, ennuyée: "Elle a eu... quelques problèmes."
Elle ne s'étendit pas sur ce thème. Cela avait l'air d'être un sujet plutôt épineux. Il n'approfondit pas ses questions à ce propos.
Le temps passait une vitesse folle, il était presque 16h, et ils ne s'en apercevaient pas. Il faut dire qu'ils avaient matière à discuter. Près de 36 ans sans nouvelles, cela en faisait du temps à rattraper. Ils évoquèrent principalement la vie de Patrick. Sa mère voulait tout savoir, à propos de son enfance sans elle. Là-dessus, il préféra ne pas s'étendre et lui en dire le moins possible. Puis, il lui parla longuement de sa famille, des bons moments avec Angela et Charlotte, son unique petite enfant. Elle se sentit mal, tout à coup, à l'évocation de leur mort tragique. Elle sortit de sa poche une boîte contenant des pilules qu'elle avala, une main sur la poitrine.
Jane, inquiet: "Est-ce que ça va aller? Je n'aurais pas du te raconter ça."
Eleanor: "Si, au contraire, je veux tout connaître de toi, le bon comme le mauvais. C'est ton histoire et c'est important pour moi. J'ai le coeur un peu fragile, mais je vais bien. Ne t'en fais pas. Continu."
Elle lui prit la main tout en parlant.
Il poursuivit donc son récit, Lisbon et l'équipe du CBI en étaient le principal sujet.
Eleanor: "C'est cette Térésa, la femme qui compte autant pour toi, n'est-ce pas?"
Jane: "Je ne sais pas trop. Je pense encore beaucoup à Angela. Je ne suis pas prêt à tourner la page."
Eleanor, voyant bien qu'il était ému: "Bien, je n'insiste pas. Je sais que c'est dur de perdre celui qu'on aime. Prend le temps qu'il te faudra."
Jane: "Ce qu'il y a, c'est que j'ai peur que Térésa ne m'attende pas, elle. Et qu'elle n'ai pas les mêmes sentiments pour moi."
Eleanor: "D'après ce que tu m'as dit, elle m'a l'air d'être une femme exceptionnelle. Elle t'attendra."
Le blond sourit. Il se sentait à l'aise avec Eleanor. Il pouvait lui parler sans détour, les mots coulaient tout seul. C'était comme si ils n'avaient jamais été séparés.
Si au début, Patrick se montrait distant, au fil des heures, il se sentait de plus en plus proche de sa mère.
Il restait quand même un peu intimidé à l'idée de faire partie de cette famille. Il passait de l'homme solitaire, au fils et à l'aîné d'une fratrie, dont il ne savait pas encore grand chose. Sa mère refusait de lui en dire plus sur sa soeur. Quand à son frère, il n'allait pas tarder à faire sa connaissance. Ce dernier arriva, interrompant leur tête à tête.
Ce jeune homme de 35 ans environs, portait un costume, un attaché case à la main, bref la panoplie complète de l'avocat. Il entra, furieux, dans la pièce.
Evan: "C'est pas vrai, quel est l'abruti qui bloque le garage avec sa DS!"
Jane lui tendant la main: "Oh, je me présente. Patrick Jane. L'abruti qui bloque votre garage."
Le jeune homme paraissait honteux de s'être emporter de la sorte.
Evan: "Heu, excusez-moi. J'ai eu une mauvaise journée. Evan. Je suis ravi de vous connaitre. Enfin, de te connaitre Patrick."
Le mentalist était surpris du tutoiement soudain. D'autant plus de la part d'une personne comme cet homme.
Evan s'apercevant de sa confusion: "Je suis désolé, vous préférez peut-être qu'on se vouvoie?"
Jane ne dit rien, se contenant d'interroger sa mère du regard.
Eleanor: "Oui, il est au courant. Je leur en ai parlé, il y a plusieurs mois déjà."
Jane: "Donc ma soeur aussi?"
Evan: "Calista le sait. D'ailleurs, en parlant d'elle, je reviens du bureau du juge. J'ai obtenu sa libération anticipée. Elle sortira dans trois jours. Enfin, en espérant qu'elle ne fera pas d'autres bêtises d'ici là."
Patrick était dans le flou total. Sa soeur était incarcérée, mais pour quel motif?
Evan le renseigna aussitôt, lui en révélant toutefois assez peu, par peur de le choquer, dès qu'il saurait de quoi la jeune femme était capable.
Evan: "Si tu veux, tu n'as qu'à venir avec moi. Tu feras sa connaissance. Et comme ça, tu pourras te faire une idée."
Jane: "Avec plaisir. C'est d'accord, je viens."
Evan: "Super, en route alors."
Les deux hommes sortirent sur le pas de la porte avec leur mère.
Jane se retourna vers elle, lui déposant un baiser sur la joue.
Eleanor: "Fais-moi une promesse Patrick. N'attend pas trop longtemps pour revenir me voir."
Jane: "Je reviendrais très vite Eleanor."
Eleanor: "Patrick. Je ne te demande pas de m'appeler maman. Ta soeur ne le fait pas non plus. Mais elle m'appelle Elie. Alors fais comme elle."
Jane: "A bientôt Elie."
Elle les regarda s'éloigner, un pincement au coeur. Elle était heureuse que sa famille soit réunie presque au complet. Elle avait toutefois quelques craintes, à l'égard de Calista, d'un naturel plutôt imprévisible et assez violent. Eleanor n'avait aucun moyen de prévoir ses réactions face à Patrick.
Ce dernier était encore devant le garage avec Evan, qui paraissait subjugué par la DS du consultant.
Evan demanda timidement: "Tu me laisserais la conduire? J'adore ce genre de voiture."
Il était comme un gamin, intimidé par ce grand frère qu'il avait eu hâte de connaitre tous ces mois.
Jane: "Aucun problème. Mais ce n'est pas une automatique."
Evan: "Oh, j'ai l'habitude t'inquiète pas."
En effet, lui-même possédait une Porshe de 1960. Ils partageaient ainsi, tous deux, le goût des vieilles voitures. Ajouté à cela leur style vestimentaire similaire. C'était un bon point de départ.
Il lui lança les clés et ils partirent en direction de la prison.
Sur le trajet, le mentaliste s'impatientait, il avait hâte de découvrir cette soeur dont personne ne semblait disposé à lui parler. Il tenta d'en apprendre un peu plus, avant de se retrouver en face d'elle.
Jane: "Pourquoi tout le monde est aussi secret concernant Calista? Elle a tué quelqu'un?"
Evan, concentré sur sa conduite, se débrouilla pour répondre sans rien révéler: "Non, rien d'aussi grave, je te rassure. Elle a eu moins de chance que moi. Si elle en est là, c'est en partie de ma faute."
Jane, curieux: "Ta faute? Comment ça?"
Evan: "Je ne veux pas être impolis ou te tenir à l'écart. Je te considère comme de la famille. Mais c'est entre Calista et moi."
Jane ne le poussa pas à en dire davantage. Apparemment, il avait touché un point sensible. Comme il était le nouveau venu dans cette famille, et que Evan lui était sympathique, il ne voulait pas se le mettre à dos en s'immisçant dans leurs histoires privées.
TBC...
Dernière édition par lilia le Ven 13 Avr 2012 - 16:56, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Voilà Jane avec un demi-frère et une demi-soeur ainsi qu'une mère...pour quelqu'un de solitaire
Le frangin a l'air sympa, avec des goûts assez proches de ceux de Jane, mais il semble qu'il ne soit pas si clean que ça...La petite soeur n'aurait-elle pas payé pour lui
Comment va se passer la visite avec Calista...
Le frangin a l'air sympa, avec des goûts assez proches de ceux de Jane, mais il semble qu'il ne soit pas si clean que ça...La petite soeur n'aurait-elle pas payé pour lui
Comment va se passer la visite avec Calista...
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Non seulement Jane retrouve sa mère mais en plus il apprend qu'il a des frères et soeurs, ca fait un sacré bouleversement !
Après avoir rencontré son frère, il va connaitre sa soeur ...
Pourquoi je sens que la sortie de prison va engendrer pas mal de problèmes pour notre Jane préféré ?
Après avoir rencontré son frère, il va connaitre sa soeur ...
Pourquoi je sens que la sortie de prison va engendrer pas mal de problèmes pour notre Jane préféré ?
terpo4- Agent de circulation
- Localisation : Dans ce monde étrange que l'on nomme " Planète TM "
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Bon alors Jane a un frère avocat et une soeur (qui doit etre Cali). Le moment entre Jan et sa mère est vraiment touchant!! Vivement la suite!
Pepe64- Flic en uniforme
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Loisirs : Danse, théâtre, écrire des fics et chanter
Localisation : Avec Patrick Jane!!!
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Merci les filles!!! Ca me fait toujours autant plaisir de lire vos commentaires!!
La suite arrivera demain ou vendredi, parce que je suis entrain de l'écrire!
Donc
La suite arrivera demain ou vendredi, parce que je suis entrain de l'écrire!
Donc
Invité- Invité
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Une fiction fort intéressante!!!j'ai hâte de lire la suite des aventures de cette famille qui s'agrandit et s'agrandira (j'espère..)encore!!!
Bonne continuation,et à bientôt.
Bonne continuation,et à bientôt.
diamsley- Livreur de Pizza
- Personnage préféré : Jane,Cho,Lisbon,Mc Garett,Danno,Sherlock.
Loisirs : être heureuse!!
Localisation : Dans mon espace intérieur
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Merci diamsley, contente que ça te plaise!!!
Chapitre 4
En arrivant sur le parking du pénitencier, Jane éprouva une sensation étrange, de déjà vu. Bien que sa peine n'ait pas excédée les quelques mois, son séjour l'avait marqué. Ca n'avait pas été une partie de plaisir. Même si il n'avait pas souffert physiquement parlant, l'enfermement avait été difficilement supportable. Il ne pouvait qu'imaginer ce qu'avait du endurer sa jeune soeur derrière ces grilles, pendant plus de trois années.
Trois ans sans compter les dix mois de désintoxication qui s'était révélés bien pire que la prison elle-même. Mais ça, Jane ne le savait pas encore.
Il avait énuméré, dans sa tête, les différentes raisons possibles de son incarcération, excluant d'office le meurtre. Evan lui avait confirmé que ce n'était pas cela qui l'avait conduite dans cet endroit. N'obtenant pas d'autres pistes de la part du jeune avocat, il pensa tout de suite au vol ou pire. Sa peine n'excédant pas les 5 ans dont trois fermes, il devait s'agir effectivement d'un vol ou bien d'un trafic quelconque. Il pensa à de la drogue, en espérant se tromper. Si Calista vendait de la drogue, elle avait du en consommer. C'était le schéma classique. Et il avait mis dans le mille.
A mesure qu'ils se rapprochaient de l'entrée de l'établissement, Jane sentait monter son angoisse, à l'idée de se retrouver devant une personne au visage ravagé et vieilli prématurément par l'abus de substances illicites.
Evan: "Tu es sûr de vouloir venir? Si tu n'es pas prêt, je comprend. Tu n'as qu'à m'attendre."
Jane: "Non, je vais bien. Je tiens à la voir."
Ils continuèrent jusqu'au poste de contrôle. Avant de pénétrer dans la salle d'attente, le mentaliste devait savoir qu'est-ce qui avait valu de la prison ferme à sa soeur.
Jane: "Evan, avant d'entrer, dis-moi pourquoi elle est là."
Evan: "Tu veux savoir? Ok. Callie s'est faite arrêter en possession d'héroïne, avec intention de vendre."
Jane: "Je m'en doutais. Et je suppose qu'elle en consommait également."
Evan: "Malheureusement. Mais elle est clean depuis sa condamnation."
Jane: "Merci de me l'avoir dit. je ne voudrais pas commettre d'impair avec elle."
Le jeune homme eut un léger fou rire.
Jane fronçait les sourcils: "Qu'est-ce que j'ai dis de si drôle?"
Evan: "Je ne vois pas ce qui pourrait la choquer tu sais. Elle a plutôt l'esprit ouvert. C'est le moins qu'on puisse dire."
Jane de plus en plus intrigué, ne tenait pas en place. Cette entrevue promettait d'être des plus intéressantes.
Un gardien les fit entrer dans une pièce réservée aux visites des avocats.
Il ajouta: "Attendez ici messieurs."
Une minute plus tard, elle entra à son tour, escortée par une gardienne. Elle était menottée. Calista ne correspondait absolument pas à l'idée que le mentaliste s'était fait d'elle. Il vit apparaître une jolie jeune femme d'une trentaine d'année, à peine plus jeune que son frère, brune avec des yeux d'un bleu clair impressionnant. Cela rendait son regard presque dérangeant. Mis à part son cocard et son uniforme, rien ne laissait penser qu'elle était une détenue.
La gardienne lui retira ses menottes et sortit.
Callie: "Hey, voilà mon avocat et... le fils prodigue bien sûr! Vous devriez vous voir, de vrais jumeaux, coincés dans vos costards à 1000$. (Elle détailla Jane) Bon peut-être beaucoup moins cher pour vous. Oh pardon, je manque à tous mes devoirs. Je suis Callie, la petite soeur, la brebis galeuse de la famille."
Evan: "Callie, arrête s'il te plait."
Callie: "Ben quoi, c'est la vérité. Regardez-vous tous les deux, le brillant avocat et Patrick Jane, le détective génial. Comment on peut être de la même famille."
Jane, détectant une certaine animosité dans l'air: "Je ne suis pas sûr que je devrais rester. Je vais vous laisser."
Il commença à se diriger vers la porte, se sentant de trop.
Callie: "Je suis désolée. Patrick, reste. Je suis une vrai garce quand je m'y met. Je ne peux pas m'en empêcher. Je suis comme ça."
Elle le rattrapa et le pris dans ses bras, surprenant les blond, les bras ballants.
Callie: "Bienvenue dans la famille."
Il regarda son petit frère, ne sachant comment réagir à cette marque d'affection imprévue. Evan était tout aussi surpris. Patrick la serra à son tour timidement contre lui. Elle s'écarta tout en se retournant pour essuyer ses yeux.
Evan le remarqua, lui, ne l'avait jamais vu manifester une émotion quelle qu'elle soit appart de la colère. Elle avait été en colère tout au long de sa vie. Contre son père qui l'avait chassée de la maison à l'âge de 17 ans, contre sa mère qui n'avait rien fait pour s'y opposer, et contre elle-même pour être celle qu'elle était, tout simplement.
Evan prit la parole, évitant ainsi de la mettre mal à l'aise: "Je suis venu pour t'apprendre une bonne nouvelle. Tu sorts dans trois jours. Je me suis arrangé avec le juge."
Callie: "Cool! Elie à déboursé combien pour ça? Et oui Patrick, tu sauras que c'est la marque de fabrique des Wilcox. On règle tous les problèmes à coup de chèques."
Evan, calme jusque là, perdit son flegme: "Je me suis donné un mal de chien pour t'obtenir cette remise de peine!"
Callie: "Je sais. Merci."
Evan: "Excuse-moi, je te dois bien ça, et beaucoup plus."
Callie: "Tu n'as aucune dette envers moi. Je veux que tu arrêtes de te sentir redevable."
Le consultant se tenait en retrait, attentif à chaque mots prononcé. Quel secret les liait? Car il y avait bien un secret, c'était indéniable.
La gardienne revint pour mettre un terme à cet entretien. Elle remit les menottes à la prisonnière et lui laissa prendre congés de ses visiteurs.
Callie: "C'est l'heure. Alors on se revoit à ma sortie."
Evan lui donna un baiser sur la joue en la prenant dans ses bras: "Sois prudente et tien toi tranquille."
Callie: "Merci encore, Evan. Et fais moi plaisir, dort un peu. Tu as une tête de déterré."
En effet, le jeune magistrat s'était démené pour convaincre le juge de lui accorder cette faveur. Il n'avait pas fermé l'oeil de la semaine.
Ce fut le tour de Jane, mais cette fois, elle lui tendit la main, le regardant droit dans les yeux, comme si elle était entrain d'imprimer chaque détail de son visage dans sa mémoire. Il en était déstabilisé car en règle générale, c'était lui qui faisait ce genre de chose pour troubler ses interlocuteurs.
Callie: "A très bientôt."
Ils quittèrent la prison, tandis que la jeune femme réintégrait sa cellule. Elle avait mit quelque chose dans sa poche. Une fois seule, elle sorti l'objet en question et l'observa en souriant.
Callie: "Ca risque de vous manquer Patrick Jane, consultant du CBI. Ouh, mauvaise photo."
Pour le retour, Jane prit le volant. Son frère était trop bouleversé pour conduire.
Evan ne décrocha pas un mot de tout le trajet. Le grand blond, d'une curiosité maladive, lui proposa de prendre un verre, dans un bar, avant de le ramener.
Son but était de connaître le fin mot de l'histoire qui les concernait lui et Callie.
Ils s'installèrent à une table et commandèrent un thé et un whisky.
Evan: "Un thé! T'es vraiment de la famille toi?"
Jane: "Il faut que l'un de nous soit sobre pour rentrer."
Evan: "Comme tu voudras. (levant son verre) Slàinte mon frère!"
Jane: "Amateur de Whisky. Normal pour un irlandais."
Evan: "Et oui Wilcox c'est d'origine irlandaise. Mais on s'en fou. Toi, tu veux savoir ce qui s'est passé entre Callie et moi?"
Jane: "J'avoue que oui. Mais je ne t'oblige pas à m'en parler. C'est toi qui décide."
Evan: "Ca remonte à notre adolescence. J'avais 18 ans et elle 17. On avait fêté mon admission à Harvard, avec des amis. J'ai été stupide ce soir là. J'avais bu et fumé de l'herbe, rien de bien méchant, mais elle a insisté pour prendre le volant. Comme elle roulait un peu vite, les flics nous ont contrôlé. Ils ont fouillé la voiture. Un pote, tu parles d'un pote! Il avait planqué un sachet de cocaïne. Les flics l'ont trouvé tout de suite."
Il but son verre d'un trait avant d'en commander un autre.
Jane: "Je vois. Callie a dit que la drogue lui appartenait."
Evan: "Elle m'a protégé, une fois de plus. J'ai pu aller à l'université et elle s'est retrouvée en maison de redressement pendant un an. C'est là-bas qu'elle a commencé à faire de mauvaises fréquentations, qui l'ont poussé à toucher à la cocaïne puis plus tard, elle est passé aux drogues dures. J'ai laissé ma petite soeur devenir accro à l'héroïne. Brillant le parfait frangin, qu'est-ce que t'en pense. Je suis un minable, c'était à moi de la protéger."
Patrick lui posa une main sur l'épaule. Il savait ce qu'il ressentait, pour l'avoir expérimenter lui-même. Cette impression d'avoir échoué dans son rôle était récurrent chez les deux hommes. Encore un autre point qu'ils avaient en commun.
Chapitre 4
En arrivant sur le parking du pénitencier, Jane éprouva une sensation étrange, de déjà vu. Bien que sa peine n'ait pas excédée les quelques mois, son séjour l'avait marqué. Ca n'avait pas été une partie de plaisir. Même si il n'avait pas souffert physiquement parlant, l'enfermement avait été difficilement supportable. Il ne pouvait qu'imaginer ce qu'avait du endurer sa jeune soeur derrière ces grilles, pendant plus de trois années.
Trois ans sans compter les dix mois de désintoxication qui s'était révélés bien pire que la prison elle-même. Mais ça, Jane ne le savait pas encore.
Il avait énuméré, dans sa tête, les différentes raisons possibles de son incarcération, excluant d'office le meurtre. Evan lui avait confirmé que ce n'était pas cela qui l'avait conduite dans cet endroit. N'obtenant pas d'autres pistes de la part du jeune avocat, il pensa tout de suite au vol ou pire. Sa peine n'excédant pas les 5 ans dont trois fermes, il devait s'agir effectivement d'un vol ou bien d'un trafic quelconque. Il pensa à de la drogue, en espérant se tromper. Si Calista vendait de la drogue, elle avait du en consommer. C'était le schéma classique. Et il avait mis dans le mille.
A mesure qu'ils se rapprochaient de l'entrée de l'établissement, Jane sentait monter son angoisse, à l'idée de se retrouver devant une personne au visage ravagé et vieilli prématurément par l'abus de substances illicites.
Evan: "Tu es sûr de vouloir venir? Si tu n'es pas prêt, je comprend. Tu n'as qu'à m'attendre."
Jane: "Non, je vais bien. Je tiens à la voir."
Ils continuèrent jusqu'au poste de contrôle. Avant de pénétrer dans la salle d'attente, le mentaliste devait savoir qu'est-ce qui avait valu de la prison ferme à sa soeur.
Jane: "Evan, avant d'entrer, dis-moi pourquoi elle est là."
Evan: "Tu veux savoir? Ok. Callie s'est faite arrêter en possession d'héroïne, avec intention de vendre."
Jane: "Je m'en doutais. Et je suppose qu'elle en consommait également."
Evan: "Malheureusement. Mais elle est clean depuis sa condamnation."
Jane: "Merci de me l'avoir dit. je ne voudrais pas commettre d'impair avec elle."
Le jeune homme eut un léger fou rire.
Jane fronçait les sourcils: "Qu'est-ce que j'ai dis de si drôle?"
Evan: "Je ne vois pas ce qui pourrait la choquer tu sais. Elle a plutôt l'esprit ouvert. C'est le moins qu'on puisse dire."
Jane de plus en plus intrigué, ne tenait pas en place. Cette entrevue promettait d'être des plus intéressantes.
Un gardien les fit entrer dans une pièce réservée aux visites des avocats.
Il ajouta: "Attendez ici messieurs."
Une minute plus tard, elle entra à son tour, escortée par une gardienne. Elle était menottée. Calista ne correspondait absolument pas à l'idée que le mentaliste s'était fait d'elle. Il vit apparaître une jolie jeune femme d'une trentaine d'année, à peine plus jeune que son frère, brune avec des yeux d'un bleu clair impressionnant. Cela rendait son regard presque dérangeant. Mis à part son cocard et son uniforme, rien ne laissait penser qu'elle était une détenue.
La gardienne lui retira ses menottes et sortit.
Callie: "Hey, voilà mon avocat et... le fils prodigue bien sûr! Vous devriez vous voir, de vrais jumeaux, coincés dans vos costards à 1000$. (Elle détailla Jane) Bon peut-être beaucoup moins cher pour vous. Oh pardon, je manque à tous mes devoirs. Je suis Callie, la petite soeur, la brebis galeuse de la famille."
Evan: "Callie, arrête s'il te plait."
Callie: "Ben quoi, c'est la vérité. Regardez-vous tous les deux, le brillant avocat et Patrick Jane, le détective génial. Comment on peut être de la même famille."
Jane, détectant une certaine animosité dans l'air: "Je ne suis pas sûr que je devrais rester. Je vais vous laisser."
Il commença à se diriger vers la porte, se sentant de trop.
Callie: "Je suis désolée. Patrick, reste. Je suis une vrai garce quand je m'y met. Je ne peux pas m'en empêcher. Je suis comme ça."
Elle le rattrapa et le pris dans ses bras, surprenant les blond, les bras ballants.
Callie: "Bienvenue dans la famille."
Il regarda son petit frère, ne sachant comment réagir à cette marque d'affection imprévue. Evan était tout aussi surpris. Patrick la serra à son tour timidement contre lui. Elle s'écarta tout en se retournant pour essuyer ses yeux.
Evan le remarqua, lui, ne l'avait jamais vu manifester une émotion quelle qu'elle soit appart de la colère. Elle avait été en colère tout au long de sa vie. Contre son père qui l'avait chassée de la maison à l'âge de 17 ans, contre sa mère qui n'avait rien fait pour s'y opposer, et contre elle-même pour être celle qu'elle était, tout simplement.
Evan prit la parole, évitant ainsi de la mettre mal à l'aise: "Je suis venu pour t'apprendre une bonne nouvelle. Tu sorts dans trois jours. Je me suis arrangé avec le juge."
Callie: "Cool! Elie à déboursé combien pour ça? Et oui Patrick, tu sauras que c'est la marque de fabrique des Wilcox. On règle tous les problèmes à coup de chèques."
Evan, calme jusque là, perdit son flegme: "Je me suis donné un mal de chien pour t'obtenir cette remise de peine!"
Callie: "Je sais. Merci."
Evan: "Excuse-moi, je te dois bien ça, et beaucoup plus."
Callie: "Tu n'as aucune dette envers moi. Je veux que tu arrêtes de te sentir redevable."
Le consultant se tenait en retrait, attentif à chaque mots prononcé. Quel secret les liait? Car il y avait bien un secret, c'était indéniable.
La gardienne revint pour mettre un terme à cet entretien. Elle remit les menottes à la prisonnière et lui laissa prendre congés de ses visiteurs.
Callie: "C'est l'heure. Alors on se revoit à ma sortie."
Evan lui donna un baiser sur la joue en la prenant dans ses bras: "Sois prudente et tien toi tranquille."
Callie: "Merci encore, Evan. Et fais moi plaisir, dort un peu. Tu as une tête de déterré."
En effet, le jeune magistrat s'était démené pour convaincre le juge de lui accorder cette faveur. Il n'avait pas fermé l'oeil de la semaine.
Ce fut le tour de Jane, mais cette fois, elle lui tendit la main, le regardant droit dans les yeux, comme si elle était entrain d'imprimer chaque détail de son visage dans sa mémoire. Il en était déstabilisé car en règle générale, c'était lui qui faisait ce genre de chose pour troubler ses interlocuteurs.
Callie: "A très bientôt."
Ils quittèrent la prison, tandis que la jeune femme réintégrait sa cellule. Elle avait mit quelque chose dans sa poche. Une fois seule, elle sorti l'objet en question et l'observa en souriant.
Callie: "Ca risque de vous manquer Patrick Jane, consultant du CBI. Ouh, mauvaise photo."
Pour le retour, Jane prit le volant. Son frère était trop bouleversé pour conduire.
Evan ne décrocha pas un mot de tout le trajet. Le grand blond, d'une curiosité maladive, lui proposa de prendre un verre, dans un bar, avant de le ramener.
Son but était de connaître le fin mot de l'histoire qui les concernait lui et Callie.
Ils s'installèrent à une table et commandèrent un thé et un whisky.
Evan: "Un thé! T'es vraiment de la famille toi?"
Jane: "Il faut que l'un de nous soit sobre pour rentrer."
Evan: "Comme tu voudras. (levant son verre) Slàinte mon frère!"
Jane: "Amateur de Whisky. Normal pour un irlandais."
Evan: "Et oui Wilcox c'est d'origine irlandaise. Mais on s'en fou. Toi, tu veux savoir ce qui s'est passé entre Callie et moi?"
Jane: "J'avoue que oui. Mais je ne t'oblige pas à m'en parler. C'est toi qui décide."
Evan: "Ca remonte à notre adolescence. J'avais 18 ans et elle 17. On avait fêté mon admission à Harvard, avec des amis. J'ai été stupide ce soir là. J'avais bu et fumé de l'herbe, rien de bien méchant, mais elle a insisté pour prendre le volant. Comme elle roulait un peu vite, les flics nous ont contrôlé. Ils ont fouillé la voiture. Un pote, tu parles d'un pote! Il avait planqué un sachet de cocaïne. Les flics l'ont trouvé tout de suite."
Il but son verre d'un trait avant d'en commander un autre.
Jane: "Je vois. Callie a dit que la drogue lui appartenait."
Evan: "Elle m'a protégé, une fois de plus. J'ai pu aller à l'université et elle s'est retrouvée en maison de redressement pendant un an. C'est là-bas qu'elle a commencé à faire de mauvaises fréquentations, qui l'ont poussé à toucher à la cocaïne puis plus tard, elle est passé aux drogues dures. J'ai laissé ma petite soeur devenir accro à l'héroïne. Brillant le parfait frangin, qu'est-ce que t'en pense. Je suis un minable, c'était à moi de la protéger."
Patrick lui posa une main sur l'épaule. Il savait ce qu'il ressentait, pour l'avoir expérimenter lui-même. Cette impression d'avoir échoué dans son rôle était récurrent chez les deux hommes. Encore un autre point qu'ils avaient en commun.
Dernière édition par lilia le Ven 13 Avr 2012 - 16:58, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Sympa la petite soeur
Finalement j'avais raison, elle s'est sacrifiée pour son frère...
Comment va se passer la sortie
Finalement j'avais raison, elle s'est sacrifiée pour son frère...
Comment va se passer la sortie
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Merci Johel!!!!
Chapitre 5
A la fin de la soirée, Jane n'eut aucun autre choix que de raccompagner ou plutôt traîner Evan jusqu'à la maison d'invité, attenante au manoir. C'était là qu'il résidait, afin d'être indépendant tout en s'occupant de sa mère. Jane avait aidé son frère à entrer en le soutenant, un bras sous les épaules et il l'avait laissé s'écrouler dans le canapé.
Le jeune homme, à peine conscient émit quelques son presque inaudibles: "Merci Patrick, t'es le meilleur."
La seconde suivante il sombrait dans un profond sommeil et se mit à ronfler bruyamment.
Jane: "Si tout le monde pensait comme toi."
Il eut envie de faire le tour du séjour. Les murs étaient encombrés de tableaux et diverses esquisses, des portraits principalement. Mais aucun n'était signé. Qui avait réalisé toutes ces oeuvres? Pourquoi les entreposer loin des regards, dans cette dépendance?
Puis, à bien y réfléchir, il en vint à la conclusion suivante, Callie avait effectivement bien été bannie de chez elle, et tout ce qui se rapportait à elle avait été entassé dans cette maison. Seule une photo de son enfance y avait sa place. C'était donc elle qui était l'auteur de tous ces tableaux. Il trouva cela extrêmement triste et injuste.
Quel parent digne de ce nom pouvait faire ça à sa propre enfant. Quelles qu'aient été ses erreurs, ils n'avaient pas le droit de la chasser de la sorte. Jane avait du mal à croire que la femme qui l'avait accueilli à bras ouverts, le matin même, soit à l'origine de ce bannissement. Il prit donc la décision de retourner voir sa soeur, seul cette fois, dès le lendemain. Elle serait peut-être plus encline à lui parler, sans un autre membre de la famille.
De retour au motel, il ôta sa veste et c'est en fouillant dans ses poches qu'il s'aperçu de la disparition de son badge du CBI. Il sourit. Il savait parfaitement où la trouver.
Le lendemain, à la première heure, il n'eut d'autre chois que celui de retourner à la maison d'arrêt pour y récupérer sa carte. Non pas qu'elle lui soit indispensable pour accéder au bâtiment fédéral, Patrick était bien connu de tous au CBI. Mais cela lui donnait une excuse toute trouvée pour rendre une autre visite à Calista.
Sur place, il fut dirigé directement vers les parloirs où l'attendait déjà la jeune femme. Elle faisait tourner dans ses mains, le précieux sésame.
Il s'assit en face d'elle, séparé par une simple table.
Callie: "Je te manquais déjà, je parie."
Jane: "Tu as quelque chose qui m'appartient?"
Callie fit glisser le badge jusqu'à lui, un sourire au coin des lèvres.
Jane la saisie au vol: "Pourquoi tu me l'a volée?"
Callie: "Volée, quel vilain mot! Empruntée tout au plus, pour être sûre que tu reviendrais."
Jane: "J'avais prévu de revenir de toutes façons. Alors comme ça tu joues les pics pockets à tes heures."
Callie: "Non, plutôt les cleptomanes. Je pique des trucs, c'est plus fort que moi. Chacun ses vices."
Jane: "Et dévisager les gens comme tu l'as fait hier c'est aussi une de tes manies?"
Elle sortit une feuille de papier qu'elle découpa dans un bloc et elle la lui remit.
C'était le portrait du consultant, elle l'avait reproduit de mémoire. Elle avait réussi à capter l'expression de tristesse de son regard, c'était criant de vérité. Il en été impressionné.
Callie: "Voilà pourquoi je te dévisageais."
Jane: "Ouha! Tu as du talent. C'est donc toi qui est l'auteur de toutes ces toiles chez Evan?"
Callie: "Et oui. Comme tous les délinquants j'ai une facette cachée."
Jane: "Je peux le garder?"
Elle haussa les épaules en signe d'accord.
Callie: "Tu ne t'es pas déplacé uniquement pour ton badge et pour me flatter au sujet de mon sens artistique. Alors qu'est-ce que tu fais là?"
Jane: "Je voudrais savoir pourquoi tes parents t'on fichu à la porte?"
Callie: "Une délinquante sous son toit ça faisait mauvais genre. Mon cher papa donnait une grande importance au quand dira-t-on. Alors quand je me suis fait chopée avec de la cocaïne, j'en ai pris pour 12mois. A mon retour, mes valise étaient sur les marches devant la maison. Elie n'a pas levé le petit doigt, pour ne pas contrarier son précieux mari et surtout son compte en banque."
Jane: "C'est cette fameuse fois où tu t'es accusée à la place de ton frère. Pourquoi tu as fait ça?"
Callie: "Oh. Je vois. Il t'a tout raconté. Et bien, Evan n'a jamais été ce qu'on appelle un colosse. Il n'a jamais su se défendre, physiquement parlant. Depuis le collège, ça a toujours été moi qui me battais à sa place. Un vrai garçon manqué. Il n'aurait pas tenu cinq minutes face à ces petites frappes, au centre de détention."
Jane ne comprenait pas pourquoi elle parlait de ce genre d'endroit. Visiblement il ne savait pas tout.
Callie: "Ah d'accord. Il ne t'a pas précisé qu'au bout de deux semaines, comme j'avais atteint la majorité, j'ai été transférée à la prison pour femme, du comté. Inutile d'entrer dans les détails. Tu as compris."
En effet, c'était inutile. Patrick avait eu des échos à propos de ces centres. Les détenues femmes étaient parfois bien plus violentes entre elles que les hommes. A l'expression de Calista en évoquant cette période, il en conclu qu'elle avait vécu une année horrible. Pour la fille d'un haut ponte, plutôt mignonne, cela avait du être un véritable enfer. Pas étonnant qu'elle se soit réfugiée dans les paradis artificiels pour s'évader.
Jane affichait une mine défaite en imaginant les sévices qu'elle avait du subir.
Callie: "Oh, c'est pas vrai! Commence pas toi non plus! J'ai assez d'un frère qui joue les coupables. C'est bon, j'ai survécu alors épargne-moi cette tête d'enterrement. Personne n'est mort. Alors souri s'il te plait. Il y a prescription, ça fait presque 15 ans, je m'en suis remise."
Jane: "On ne s'en remet jamais. Quoi que tu en dises."
Callie: "Je ne suis du genre à m'apitoyer sur mon sort."
Il était vrai que ce petit bout de femme était bien plus résistante que ses deux frères réunis. Peut-être n'était-ce qu'une façade, une image de femme forte qu'elle s'était forgé afin de se préserver, puisque personne n'avait été capable de le faire pour elle.
Quoiqu'il en soit, Jane était en admiration devant elle. Callie n'avait jamais craqué, ne s'était jamais plainte et s'en était toujours sortie, pas de la meilleure manière mais elle se débrouillait. Il se rendit à l'évidence. Lui et sa soeur étaient diamétralement opposés. Jane avait peur de tout, il dépendait d'une femme, Lisbon, pour assurer sa sécurité, alors que Calista, elle, n'avait pas eu besoin de l'aide d'un homme pour survivre à toutes ses difficultés. Ils étaient définitivement différents. Au contraire de Jane et Evan qui, aussi bien physiquement qu'émotionnellement étaient quasi identiques. Etrange pour Jane, mais pas pour sa soeur.
Pour pallier à la morosité qui s'emparait de son viviteur, Callie changea de sujet pour quelque chose de plus gaie.
Callie: "J'ai reçu aujourd'hui, les papiers qui précisent les conditions de ma liberté. Le programme des réjouissances autrement dit."
Elle ne serait pas libre de ses mouvements. Elle devrait porter un bracelet électronique pendant encore deux ans. Mais ce n'était pas tout. Calista ne serait assignée à résidence qu'entre 18h et 9h. Le reste du temps elle accomplirait un travail d'intérêt général.
Jane: "Où va-tu effectuer ce travail?"
Callie: "Tu te doutes bien que ce sera dans un bâtiment plein de flics. Ils ne vont pas me laisser sans surveillance la journée, alors que la nuit, je serais cloîtrée au manoir."
Jane: "Tu veux dire que tu vas bosser au CBI?"
Callie: "Bingo!"
Elle sourit et le rassura. Il avait l'air un peu effrayé.
Callie: "Et là, pas de panique. Je serais aux archives, la plupart du temps. Je ne croiserais presque personne. Donc je n'aurais pas l'occasion de faire des dégâts là-bas. Je me tiendrais bien. C'est promis."
Jane, septique, estimait toutefois qu'elle avait droit à une chance et puis elle avait l'air sincère et si anormalement sage tout d'un coup.
Avant de retourner en cellule, elle ajouta: "J'espère qu'il y a des mecs canons dans ton unité. Parce qu'ici ça fait quatre ans que je fais ceinture."
Elle termina par un clin d'oeil.
C'est là que le consultant se rendit compte que le calme relatif qui régnait au CBI, allait être mis à mal par cet élément perturbateur. Cela dit, il s'en réjouissait aussi. Il risquait d'y avoir de l'ambiance avec son arrivée.
Chapitre 5
A la fin de la soirée, Jane n'eut aucun autre choix que de raccompagner ou plutôt traîner Evan jusqu'à la maison d'invité, attenante au manoir. C'était là qu'il résidait, afin d'être indépendant tout en s'occupant de sa mère. Jane avait aidé son frère à entrer en le soutenant, un bras sous les épaules et il l'avait laissé s'écrouler dans le canapé.
Le jeune homme, à peine conscient émit quelques son presque inaudibles: "Merci Patrick, t'es le meilleur."
La seconde suivante il sombrait dans un profond sommeil et se mit à ronfler bruyamment.
Jane: "Si tout le monde pensait comme toi."
Il eut envie de faire le tour du séjour. Les murs étaient encombrés de tableaux et diverses esquisses, des portraits principalement. Mais aucun n'était signé. Qui avait réalisé toutes ces oeuvres? Pourquoi les entreposer loin des regards, dans cette dépendance?
Puis, à bien y réfléchir, il en vint à la conclusion suivante, Callie avait effectivement bien été bannie de chez elle, et tout ce qui se rapportait à elle avait été entassé dans cette maison. Seule une photo de son enfance y avait sa place. C'était donc elle qui était l'auteur de tous ces tableaux. Il trouva cela extrêmement triste et injuste.
Quel parent digne de ce nom pouvait faire ça à sa propre enfant. Quelles qu'aient été ses erreurs, ils n'avaient pas le droit de la chasser de la sorte. Jane avait du mal à croire que la femme qui l'avait accueilli à bras ouverts, le matin même, soit à l'origine de ce bannissement. Il prit donc la décision de retourner voir sa soeur, seul cette fois, dès le lendemain. Elle serait peut-être plus encline à lui parler, sans un autre membre de la famille.
De retour au motel, il ôta sa veste et c'est en fouillant dans ses poches qu'il s'aperçu de la disparition de son badge du CBI. Il sourit. Il savait parfaitement où la trouver.
Le lendemain, à la première heure, il n'eut d'autre chois que celui de retourner à la maison d'arrêt pour y récupérer sa carte. Non pas qu'elle lui soit indispensable pour accéder au bâtiment fédéral, Patrick était bien connu de tous au CBI. Mais cela lui donnait une excuse toute trouvée pour rendre une autre visite à Calista.
Sur place, il fut dirigé directement vers les parloirs où l'attendait déjà la jeune femme. Elle faisait tourner dans ses mains, le précieux sésame.
Il s'assit en face d'elle, séparé par une simple table.
Callie: "Je te manquais déjà, je parie."
Jane: "Tu as quelque chose qui m'appartient?"
Callie fit glisser le badge jusqu'à lui, un sourire au coin des lèvres.
Jane la saisie au vol: "Pourquoi tu me l'a volée?"
Callie: "Volée, quel vilain mot! Empruntée tout au plus, pour être sûre que tu reviendrais."
Jane: "J'avais prévu de revenir de toutes façons. Alors comme ça tu joues les pics pockets à tes heures."
Callie: "Non, plutôt les cleptomanes. Je pique des trucs, c'est plus fort que moi. Chacun ses vices."
Jane: "Et dévisager les gens comme tu l'as fait hier c'est aussi une de tes manies?"
Elle sortit une feuille de papier qu'elle découpa dans un bloc et elle la lui remit.
C'était le portrait du consultant, elle l'avait reproduit de mémoire. Elle avait réussi à capter l'expression de tristesse de son regard, c'était criant de vérité. Il en été impressionné.
Callie: "Voilà pourquoi je te dévisageais."
Jane: "Ouha! Tu as du talent. C'est donc toi qui est l'auteur de toutes ces toiles chez Evan?"
Callie: "Et oui. Comme tous les délinquants j'ai une facette cachée."
Jane: "Je peux le garder?"
Elle haussa les épaules en signe d'accord.
Callie: "Tu ne t'es pas déplacé uniquement pour ton badge et pour me flatter au sujet de mon sens artistique. Alors qu'est-ce que tu fais là?"
Jane: "Je voudrais savoir pourquoi tes parents t'on fichu à la porte?"
Callie: "Une délinquante sous son toit ça faisait mauvais genre. Mon cher papa donnait une grande importance au quand dira-t-on. Alors quand je me suis fait chopée avec de la cocaïne, j'en ai pris pour 12mois. A mon retour, mes valise étaient sur les marches devant la maison. Elie n'a pas levé le petit doigt, pour ne pas contrarier son précieux mari et surtout son compte en banque."
Jane: "C'est cette fameuse fois où tu t'es accusée à la place de ton frère. Pourquoi tu as fait ça?"
Callie: "Oh. Je vois. Il t'a tout raconté. Et bien, Evan n'a jamais été ce qu'on appelle un colosse. Il n'a jamais su se défendre, physiquement parlant. Depuis le collège, ça a toujours été moi qui me battais à sa place. Un vrai garçon manqué. Il n'aurait pas tenu cinq minutes face à ces petites frappes, au centre de détention."
Jane ne comprenait pas pourquoi elle parlait de ce genre d'endroit. Visiblement il ne savait pas tout.
Callie: "Ah d'accord. Il ne t'a pas précisé qu'au bout de deux semaines, comme j'avais atteint la majorité, j'ai été transférée à la prison pour femme, du comté. Inutile d'entrer dans les détails. Tu as compris."
En effet, c'était inutile. Patrick avait eu des échos à propos de ces centres. Les détenues femmes étaient parfois bien plus violentes entre elles que les hommes. A l'expression de Calista en évoquant cette période, il en conclu qu'elle avait vécu une année horrible. Pour la fille d'un haut ponte, plutôt mignonne, cela avait du être un véritable enfer. Pas étonnant qu'elle se soit réfugiée dans les paradis artificiels pour s'évader.
Jane affichait une mine défaite en imaginant les sévices qu'elle avait du subir.
Callie: "Oh, c'est pas vrai! Commence pas toi non plus! J'ai assez d'un frère qui joue les coupables. C'est bon, j'ai survécu alors épargne-moi cette tête d'enterrement. Personne n'est mort. Alors souri s'il te plait. Il y a prescription, ça fait presque 15 ans, je m'en suis remise."
Jane: "On ne s'en remet jamais. Quoi que tu en dises."
Callie: "Je ne suis du genre à m'apitoyer sur mon sort."
Il était vrai que ce petit bout de femme était bien plus résistante que ses deux frères réunis. Peut-être n'était-ce qu'une façade, une image de femme forte qu'elle s'était forgé afin de se préserver, puisque personne n'avait été capable de le faire pour elle.
Quoiqu'il en soit, Jane était en admiration devant elle. Callie n'avait jamais craqué, ne s'était jamais plainte et s'en était toujours sortie, pas de la meilleure manière mais elle se débrouillait. Il se rendit à l'évidence. Lui et sa soeur étaient diamétralement opposés. Jane avait peur de tout, il dépendait d'une femme, Lisbon, pour assurer sa sécurité, alors que Calista, elle, n'avait pas eu besoin de l'aide d'un homme pour survivre à toutes ses difficultés. Ils étaient définitivement différents. Au contraire de Jane et Evan qui, aussi bien physiquement qu'émotionnellement étaient quasi identiques. Etrange pour Jane, mais pas pour sa soeur.
Pour pallier à la morosité qui s'emparait de son viviteur, Callie changea de sujet pour quelque chose de plus gaie.
Callie: "J'ai reçu aujourd'hui, les papiers qui précisent les conditions de ma liberté. Le programme des réjouissances autrement dit."
Elle ne serait pas libre de ses mouvements. Elle devrait porter un bracelet électronique pendant encore deux ans. Mais ce n'était pas tout. Calista ne serait assignée à résidence qu'entre 18h et 9h. Le reste du temps elle accomplirait un travail d'intérêt général.
Jane: "Où va-tu effectuer ce travail?"
Callie: "Tu te doutes bien que ce sera dans un bâtiment plein de flics. Ils ne vont pas me laisser sans surveillance la journée, alors que la nuit, je serais cloîtrée au manoir."
Jane: "Tu veux dire que tu vas bosser au CBI?"
Callie: "Bingo!"
Elle sourit et le rassura. Il avait l'air un peu effrayé.
Callie: "Et là, pas de panique. Je serais aux archives, la plupart du temps. Je ne croiserais presque personne. Donc je n'aurais pas l'occasion de faire des dégâts là-bas. Je me tiendrais bien. C'est promis."
Jane, septique, estimait toutefois qu'elle avait droit à une chance et puis elle avait l'air sincère et si anormalement sage tout d'un coup.
Avant de retourner en cellule, elle ajouta: "J'espère qu'il y a des mecs canons dans ton unité. Parce qu'ici ça fait quatre ans que je fais ceinture."
Elle termina par un clin d'oeil.
C'est là que le consultant se rendit compte que le calme relatif qui régnait au CBI, allait être mis à mal par cet élément perturbateur. Cela dit, il s'en réjouissait aussi. Il risquait d'y avoir de l'ambiance avec son arrivée.
Dernière édition par lilia le Ven 13 Avr 2012 - 17:00, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Joli moment entre Jane et sa soeur
C'est vrai que côté mental et physique elle est nettement plus "virile" que Jane
Maintenant j’attends de voir ce que peu donner Calista au CBI...ça risque d'être mouvementé
C'est vrai que côté mental et physique elle est nettement plus "virile" que Jane
Maintenant j’attends de voir ce que peu donner Calista au CBI...ça risque d'être mouvementé
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Pas mal la Callie dis donc!!!
Super moment entre Jane et sa petite soeur, qui a hérité du gène perturbation imminente! Me tarde de voir ce que cela va donner au sein du CBI.
Chapitre très bien écrit, mais trop court!
Super moment entre Jane et sa petite soeur, qui a hérité du gène perturbation imminente! Me tarde de voir ce que cela va donner au sein du CBI.
Chapitre très bien écrit, mais trop court!
mococoa- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Loisirs : sport, lecture (des fics entre autres), The Mentalist
Localisation : Dans mes rêves
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Hâte de connaite la suite et surtout comment vont réagir les membre de l'unité du CBI de Jane et Lisbon arrivera t-elle à avoir le dessus sur le frére et la soeur?
donc vivement la suite
donc vivement la suite
Karo- Agent de circulation
- Personnage préféré : Lisbon et jane
Loisirs : Chant, patin à glace et roller
Localisation : avec Robin et Simon pour répéter une scene sur le tournage du Mentalist
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Merci Johel, Mococoa et Karo!!!!
En espérant que la suite ne vous décevra pas.
Chapitre 6
Jane s'était aussitôt rendu au CBI, après sa visite à la prison. Il tenait à informer Lisbon de la situation et des bouleversements qui s'étaient produits dans sa vie, en peu de temps.
Il entra dans le bureau de sa patronne.
Lisbon: "Tiens, vous nous faites l'honneur de votre présence! J'étais sur le point de diffuser un avis de recherche à votre nom."
Jane ferma la porte: "Désolé du retard."
Il était bizarrement sérieux, ce qui éveilla la curiosité de l'agent en chef.
Lisbon: "Qu'est-ce qui se passe Jane? Vous êtes bizarre."
Elle pensa que Jane et bizarre dans la même phrase ça n'avait rien d'inhabituel.
Jane: "Je ne vous ai jamais parlé de ma mère, Lisbon."
Elle l'écouta sans l'interrompre. Pour une fois qu'il se confiait sur un sujet aussi personnel sans qu'elle ait à lui sortir les vers du nez, elle n'allait pas le couper dans son élan.
Jane poursuivi: "Je l'ai retrouvée. Enfin, c'est elle qui a pris contact avec moi, pour être exact. Je l'ai vu hier et j'ai découvert que j'avais aussi un demi frère et une demi soeur."
Lisbon était stupéfaite par cette révélation, elle en restait bouche bée.
Jane: "Lisbon? Vous m'écoutez?"
Lisbon: "Heu, oui, oui. Mais attendez une minute. Ca a un lien avec le coup de téléphone que vous avez reçu hier. Non... Ne me dites pas que Eleanor Wilcox..."
Jane : "C'est ma mère."
Lisbon: "Donc c'est votre soeur qui va être embauchée par le CBI."
Jane: "Ah, vous êtes déjà au courant. Les nouvelles vont vite."
Lisbon lui tendant un document officiel émanant tout droit du procureur général: "Visiblement, les Wilcox ont le bras long. Le procureur a appuyé lourdement sa demande d'affection."
Le consultant allait rejoindre ses quartiers quand il sentit la main de Lisbon se poser sur son bras.
Lisbon: "Ca va aller Jane? Si vous avez besoin de parler, je suis là. Ca doit faire beaucoup à encaisser, en peu de temps."
Jane déposa un baiser sur la joue de la jolie brune: "C'est gentil à vous, je sais que je peux toujours compter sur vous."
Surprise par cette soudaine intimité, qui la mettait plus que mal à l'aise, elle chercha un moyen de rétablir une relation plus normale entre eux. Pour cela, rien de mieux que l'humour noir, dont elle avait l'habitude avec son consultant.
Lisbon: "J'espère que Calista Wilcox sera moins insupportable que son frère."
Jane: "Pour ça, je ne peux rien vous promettre. Je ne la connais que depuis deux jours."
Lisbon leva les yeux au ciel en soupirant.
Jane: "N'ayez crainte Lisbon, Callie n'est pas une meurtrière ni une pyromane."
Lisbon: "Vraiment merci Jane. Je suis entièrement rassurée."
Il quitta le bureau, son sourire ravageur vissé sur le visage. Il était soulagé d'un poids. Il n'aurait pas pu garder ce secret pour lui, c'était trop important, donc rien de plus normal que de le confier à la personne la plus importante pour lui. Il aurait voulu en faire part au reste de l'équipe, mais il n'osa pas. Il préférait attendre le jour J pour les informer en leur présentant directement la jeune femme.
La journée passa sans grande surprise. La dernière journée d'enfermement de Calista et aussi le dernier jour de tranquillité pour l'équipe de Lisbon.
Sacramento, pénitencier d'Etat, quartier des femmes, 9h.
Une jeune femme, en tailleur pantalon (qu'elle portait à son procès), récupérait ses effets personnels, un portable et 10$, avant de quitter l'établissement sous les sifflets et le applaudissements des autres détenues. Elle était devenu très populaire et respectée depuis qu'elle avait envoyé un gardien à l'hôpital.
Sur le parking, le blond en costume gris, l'attendait, adossé à sa bonne vieille DS.
En la voyant si élégante, il avait du mal à croire qu'il s'agissait de la même personne. Elle était métamorphosée.
Jane: "Qui êtes-vous mademoiselle?"
Callie: "Oh, c'est très spirituel. Quelle plaie, en plus j'ai pas le temps de me changer avant d'aller au CBI."
Elle ne se sentait pas bien dans ce genre de vêtements, qui ne correspondaient pas à son tempérament mais qui la mettait très en valeur.
Jane lui en fit la remarque: "Crois-moi, tu es ravissante."
Callie: "Tu parles! Comme si j'allais me fier à l'opinion de mon frangin. C'est pas très objectif."
Ils montèrent en voiture, direction le bâtiment fédéral.
Là-bas, les réactions furent unanimes lorsque le consultant sortit de l'ascenseur accompagné de cette jeune femme.
Rigsby fut le premier à se manifester: "Hey Cho, c'est qui cette fille avec Jane?"
Cho: "J'en sais rien. T'as qu'à lui demander."
Leur collègue, les rejoignit.
Rigsby: "Grace, t'as pas l'air surprise toi."
Grace: "C'est Callie Wilcox. Je lui rendait visite en prison."
Cho: "Ben voilà, t'es renseigné."
L'asiatique passa à côté d'eux tout en jetant un coup d'oeil en direction de la jeune femme en question.
Se sentant observée, Callie lui rendit son regard avec insistance jusqu'à ce que ce soit lui qui baisse les yeux le premier, rougissant légèrement. Elle sourit.
Jane et elle se trouvait devant le bureau de Lisbon.
Jane remarquant le manège de sa soeur avec l'agent: "Bravo Callie. Je crois bien que tu es la première à faire rougir Cho."
Wayne, lui non plus ne semblait pas insensible à cette jolie étrangère. Il ne la lâchait pas des yeux.
Grace, elle, savait tout de Callie y compris sa parenté avec le consultant. Elle lui avait promit de ne rien dire à personne, là-dessus. Calista lui faisait confiance et l'agent s'en était montrée digne.
Van Pelt avait vu clair dans les intentions de son collègue: "N'y pense même pas."
Rigsby, innocent: "A quoi?"
Van Pelt: "Fais pas l'innocent. Tu vas essayer de la draguer. Je te connais, je te signale."
Rigsby: "Pour qui tu me prend? C'est pas parce qu'il y a une fille canon dans le coin que je vais forcément sortir avec."
Cho: "Ouais, comme avec Van Pelt."
Van Pelt: "Oui. Très bon exemple. Merci Cho."
Rigsby: "Attend, c'est une blague! Il me semble que t'es mal placé là vieux. C'est toi qu'elle a déshabillé du regard, pas moi."
Cho, blasé de tout: "Elle tentera le coup avec toi aussi. Elle sort de taule. N'importe lequel d'entre nous fera son affaire."
Van Pelt, choquée: "Quelle classe! C'est vraiment délicat de dire ça. Sérieusement les gars, fichez-lui la paix. Elle en a assez bavé jusqu'ici."
Les deux hommes se regardèrent, ne tenant pas compte de cet avertissement. Ils engagèrent un pari sur le fait que l'un ou l'autre devrait répondre aux avances de la nouvelle venue, avant la fin de la journée.
Grace: "Et c'est reparti! Vous en avez pas marre de parier sur tout et n'importe quoi?"
Dans le bureau de leur supérieure, la dernière recrue imposée, faisait connaissance avec sa patronne, pour les prochains mois. Après cette entrevue, la porte s'ouvrit.
Lisbon: "Bonne chance et bienvenue dans l'équipe Melle Wilcox." S'adressant aux autres agents: "Bien, je vous présenta Calista Wilcox, elle va travailler ici, dans le cadre de sa liberté conditionnelle. Calista voilà les agents Rigsby, Cho, et vous connaissez déjà l'agent Van Pelt."
Cho: "Pourquoi est-ce que c'est Jane qui l'a conduite ici?"
Lisbon: "..."
Jane: "Calista est ma petite soeur. C'est une longue histoire mais pour faire court on a la même mère."
Personne ne posa d'autre question, bien qu'ils étaient tous ébahis.
Lisbon: Bien, Rigsby! Melle Wilcox va venir avec vous pour que vous l'équipiez de son bracelet électronique."
Ce dispositif, qu'elle devrait porter en permanence, s'enclencherait à chaque passage sous le portique de sécurité lorsqu'elle sortirait du bâtiment, pour se désactiver à son arrivée, tous les matins. C'était en fait, une balise qui permettait de la suivre dans ses déplacements. Elle n'était pas assignée à résidence mais cela ne faisait pas d'elle quelqu'un de libre pour autant. Si elle n'était pas à son domicile dans le délais impartit, elle repasserait par la case prison. De même si elle tentait de retirer ce dispositif.
En espérant que la suite ne vous décevra pas.
Chapitre 6
Jane s'était aussitôt rendu au CBI, après sa visite à la prison. Il tenait à informer Lisbon de la situation et des bouleversements qui s'étaient produits dans sa vie, en peu de temps.
Il entra dans le bureau de sa patronne.
Lisbon: "Tiens, vous nous faites l'honneur de votre présence! J'étais sur le point de diffuser un avis de recherche à votre nom."
Jane ferma la porte: "Désolé du retard."
Il était bizarrement sérieux, ce qui éveilla la curiosité de l'agent en chef.
Lisbon: "Qu'est-ce qui se passe Jane? Vous êtes bizarre."
Elle pensa que Jane et bizarre dans la même phrase ça n'avait rien d'inhabituel.
Jane: "Je ne vous ai jamais parlé de ma mère, Lisbon."
Elle l'écouta sans l'interrompre. Pour une fois qu'il se confiait sur un sujet aussi personnel sans qu'elle ait à lui sortir les vers du nez, elle n'allait pas le couper dans son élan.
Jane poursuivi: "Je l'ai retrouvée. Enfin, c'est elle qui a pris contact avec moi, pour être exact. Je l'ai vu hier et j'ai découvert que j'avais aussi un demi frère et une demi soeur."
Lisbon était stupéfaite par cette révélation, elle en restait bouche bée.
Jane: "Lisbon? Vous m'écoutez?"
Lisbon: "Heu, oui, oui. Mais attendez une minute. Ca a un lien avec le coup de téléphone que vous avez reçu hier. Non... Ne me dites pas que Eleanor Wilcox..."
Jane : "C'est ma mère."
Lisbon: "Donc c'est votre soeur qui va être embauchée par le CBI."
Jane: "Ah, vous êtes déjà au courant. Les nouvelles vont vite."
Lisbon lui tendant un document officiel émanant tout droit du procureur général: "Visiblement, les Wilcox ont le bras long. Le procureur a appuyé lourdement sa demande d'affection."
Le consultant allait rejoindre ses quartiers quand il sentit la main de Lisbon se poser sur son bras.
Lisbon: "Ca va aller Jane? Si vous avez besoin de parler, je suis là. Ca doit faire beaucoup à encaisser, en peu de temps."
Jane déposa un baiser sur la joue de la jolie brune: "C'est gentil à vous, je sais que je peux toujours compter sur vous."
Surprise par cette soudaine intimité, qui la mettait plus que mal à l'aise, elle chercha un moyen de rétablir une relation plus normale entre eux. Pour cela, rien de mieux que l'humour noir, dont elle avait l'habitude avec son consultant.
Lisbon: "J'espère que Calista Wilcox sera moins insupportable que son frère."
Jane: "Pour ça, je ne peux rien vous promettre. Je ne la connais que depuis deux jours."
Lisbon leva les yeux au ciel en soupirant.
Jane: "N'ayez crainte Lisbon, Callie n'est pas une meurtrière ni une pyromane."
Lisbon: "Vraiment merci Jane. Je suis entièrement rassurée."
Il quitta le bureau, son sourire ravageur vissé sur le visage. Il était soulagé d'un poids. Il n'aurait pas pu garder ce secret pour lui, c'était trop important, donc rien de plus normal que de le confier à la personne la plus importante pour lui. Il aurait voulu en faire part au reste de l'équipe, mais il n'osa pas. Il préférait attendre le jour J pour les informer en leur présentant directement la jeune femme.
La journée passa sans grande surprise. La dernière journée d'enfermement de Calista et aussi le dernier jour de tranquillité pour l'équipe de Lisbon.
Sacramento, pénitencier d'Etat, quartier des femmes, 9h.
Une jeune femme, en tailleur pantalon (qu'elle portait à son procès), récupérait ses effets personnels, un portable et 10$, avant de quitter l'établissement sous les sifflets et le applaudissements des autres détenues. Elle était devenu très populaire et respectée depuis qu'elle avait envoyé un gardien à l'hôpital.
Sur le parking, le blond en costume gris, l'attendait, adossé à sa bonne vieille DS.
En la voyant si élégante, il avait du mal à croire qu'il s'agissait de la même personne. Elle était métamorphosée.
Jane: "Qui êtes-vous mademoiselle?"
Callie: "Oh, c'est très spirituel. Quelle plaie, en plus j'ai pas le temps de me changer avant d'aller au CBI."
Elle ne se sentait pas bien dans ce genre de vêtements, qui ne correspondaient pas à son tempérament mais qui la mettait très en valeur.
Jane lui en fit la remarque: "Crois-moi, tu es ravissante."
Callie: "Tu parles! Comme si j'allais me fier à l'opinion de mon frangin. C'est pas très objectif."
Ils montèrent en voiture, direction le bâtiment fédéral.
Là-bas, les réactions furent unanimes lorsque le consultant sortit de l'ascenseur accompagné de cette jeune femme.
Rigsby fut le premier à se manifester: "Hey Cho, c'est qui cette fille avec Jane?"
Cho: "J'en sais rien. T'as qu'à lui demander."
Leur collègue, les rejoignit.
Rigsby: "Grace, t'as pas l'air surprise toi."
Grace: "C'est Callie Wilcox. Je lui rendait visite en prison."
Cho: "Ben voilà, t'es renseigné."
L'asiatique passa à côté d'eux tout en jetant un coup d'oeil en direction de la jeune femme en question.
Se sentant observée, Callie lui rendit son regard avec insistance jusqu'à ce que ce soit lui qui baisse les yeux le premier, rougissant légèrement. Elle sourit.
Jane et elle se trouvait devant le bureau de Lisbon.
Jane remarquant le manège de sa soeur avec l'agent: "Bravo Callie. Je crois bien que tu es la première à faire rougir Cho."
Wayne, lui non plus ne semblait pas insensible à cette jolie étrangère. Il ne la lâchait pas des yeux.
Grace, elle, savait tout de Callie y compris sa parenté avec le consultant. Elle lui avait promit de ne rien dire à personne, là-dessus. Calista lui faisait confiance et l'agent s'en était montrée digne.
Van Pelt avait vu clair dans les intentions de son collègue: "N'y pense même pas."
Rigsby, innocent: "A quoi?"
Van Pelt: "Fais pas l'innocent. Tu vas essayer de la draguer. Je te connais, je te signale."
Rigsby: "Pour qui tu me prend? C'est pas parce qu'il y a une fille canon dans le coin que je vais forcément sortir avec."
Cho: "Ouais, comme avec Van Pelt."
Van Pelt: "Oui. Très bon exemple. Merci Cho."
Rigsby: "Attend, c'est une blague! Il me semble que t'es mal placé là vieux. C'est toi qu'elle a déshabillé du regard, pas moi."
Cho, blasé de tout: "Elle tentera le coup avec toi aussi. Elle sort de taule. N'importe lequel d'entre nous fera son affaire."
Van Pelt, choquée: "Quelle classe! C'est vraiment délicat de dire ça. Sérieusement les gars, fichez-lui la paix. Elle en a assez bavé jusqu'ici."
Les deux hommes se regardèrent, ne tenant pas compte de cet avertissement. Ils engagèrent un pari sur le fait que l'un ou l'autre devrait répondre aux avances de la nouvelle venue, avant la fin de la journée.
Grace: "Et c'est reparti! Vous en avez pas marre de parier sur tout et n'importe quoi?"
Dans le bureau de leur supérieure, la dernière recrue imposée, faisait connaissance avec sa patronne, pour les prochains mois. Après cette entrevue, la porte s'ouvrit.
Lisbon: "Bonne chance et bienvenue dans l'équipe Melle Wilcox." S'adressant aux autres agents: "Bien, je vous présenta Calista Wilcox, elle va travailler ici, dans le cadre de sa liberté conditionnelle. Calista voilà les agents Rigsby, Cho, et vous connaissez déjà l'agent Van Pelt."
Cho: "Pourquoi est-ce que c'est Jane qui l'a conduite ici?"
Lisbon: "..."
Jane: "Calista est ma petite soeur. C'est une longue histoire mais pour faire court on a la même mère."
Personne ne posa d'autre question, bien qu'ils étaient tous ébahis.
Lisbon: Bien, Rigsby! Melle Wilcox va venir avec vous pour que vous l'équipiez de son bracelet électronique."
Ce dispositif, qu'elle devrait porter en permanence, s'enclencherait à chaque passage sous le portique de sécurité lorsqu'elle sortirait du bâtiment, pour se désactiver à son arrivée, tous les matins. C'était en fait, une balise qui permettait de la suivre dans ses déplacements. Elle n'était pas assignée à résidence mais cela ne faisait pas d'elle quelqu'un de libre pour autant. Si elle n'était pas à son domicile dans le délais impartit, elle repasserait par la case prison. De même si elle tentait de retirer ce dispositif.
Dernière édition par lilia le Ven 13 Avr 2012 - 17:02, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Pas encore de fusillade, d'égorgement, de massacre...tu ramollis ma parole
Je blague bien entendu...ça change...
Cho qui rougit
Les présentations sont faites, reste à voir comment la demoiselle va se comporter
Je blague bien entendu...ça change...
Cho qui rougit
Les présentations sont faites, reste à voir comment la demoiselle va se comporter
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Je ne sais vraiment pas pourquoi, mais quelque chose me dis que Lisbon aura des soucis à se faire avec ses petits subordonnés
Hâte de connaitre la suite dans tout les cas
Hâte de connaitre la suite dans tout les cas
Karo- Agent de circulation
- Personnage préféré : Lisbon et jane
Loisirs : Chant, patin à glace et roller
Localisation : avec Robin et Simon pour répéter une scene sur le tournage du Mentalist
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
J'ai rattrapé mon retard !
Callie est décidément bien à l'aise avec son " nouveau " frère ^^
C'est pas évident pour Jane de faire face à sa nouvelle famille, mais la communication a l'air de plutôt bien passer avec son frère et sa soeur.
Callie au CBI ca risque de valser ! Et Rigsby qui est déjà sur le coup
Callie est décidément bien à l'aise avec son " nouveau " frère ^^
C'est pas évident pour Jane de faire face à sa nouvelle famille, mais la communication a l'air de plutôt bien passer avec son frère et sa soeur.
Callie au CBI ca risque de valser ! Et Rigsby qui est déjà sur le coup
terpo4- Agent de circulation
- Localisation : Dans ce monde étrange que l'on nomme " Planète TM "
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Merci à toutes!!!!
Johel, ne te réjouis pas trop vite, ce n'est que le début...
Chapitre 7
Callie était assise sur le bureau du brun, elle remonta son pantalon pour faciliter la mise en place du bracelet. Rigsby, se sentait en position de faiblesse, accroupi devant elle.
Callie ne put résister: "C'est la première fois depuis longtemps qu'un homme est à mes pieds."
Wayne, notant la présence d'un tatouage sur sa cheville: "Joli tatouage. Ce sont des barbelés."
Callie: "Ce n'est pas le plus joli. J'en ai un autre bien plus réussi. Mais, pour le voir, vous devrez d'abord m'offrir un verre."
Wayne se releva, il avala difficilement sa salive, avant de dire: "Voilà, c'est terminé."
Elle descendit du bureau, se mit sur la pointe des pieds pour lui souffler à l'oreille: "Vos mains sont douces Wayne."
Depuis l'autre côté de la pièce, ses deux collègues s'amusaient du spectacle.
Lorsqu'il revint près d'eux, Jane et Cho retenaient leur envie de rire.
Wayne: "Allez-y foutez-vous de moi. C'est bon Cho, voilà ton fric."
L'asiatique empocha son gain et retourna au travail, comme ses camarades. Callie, quand à elle, était au sous sol, à classer des dossiers. Vers 10h, elle remonta à l'étage pour prendre un café avec son amie.
Grace: "Alors, pas trop barbant ce boulot?"
Callie: "Barbant, le mot est faible! J'ai l'impression d'être toujours en taule, les barreaux en moins."
Elle vit passer Wayne dans le couloir.
Callie: "Et on avait pas non plus ce genre de mecs là-bas. Il est pas mal le grand brun."
Grace: "Ecoute Callie, je sais que tu as passé 4 ans sans avoir de petit copain, mais ça n'est pas une raison pour te jeter sur le premier qui passe."
Callie: "Ah mais, ce n'est pas le premier, c'est le second. Le premier c'était l'agent Cho. Il ne manque pas d'intérêt non plus, mais il me semble plus difficile à amadouer que Rigsby. En plus, il est déjà prit, si j'en juge par la photo sur son bureau."
La rouquine ne répondait pas. Elle ne lui avait jamais parlé de son ancienne liaison avec Wayne.
Callie, le comprit d'elle-même: "Oh... Je suis désolée Grace. Tu sors avec Rigsby c'est ça? J'en rate pas une."
Grace: "Non, t'inquiète pas. On était ensemble mais c'est fini depuis longtemps. On bossait dans la même unité, et il y a eu Craig..."
Callie: "Je vois. Bon, tant pis. Je ne ferais pas ça à une amie. A ma seule amie d'ailleurs."
Grace: "C'est pas ce que je veux dire. Tu as parfaitement le droit de voir qui tu veux. Fais juste attention avec Wayne. C'est un mec sensible. Il risque de s'attacher à toi, ou de..."
Callie manqua s'étouffer: "Tomber amoureux! De moi? Ce serait la meilleure."
Grace: "Fais gaffe, c'est tout."
L'objet de leur attention, entra pile à ce moment.
Grace: "Je retourne bosser. On se voit plus tard."
Callie: "Ca marche."
Une fois seuls, le grand brun maladroit, l'épiait du coin de l'oeil, avec une discrétion plus que médiocre. Il gardait les yeux baissés sur son gobelet.
Soudain, il prit son courage à deux mains et se tourna vers elle, mais aucun son ne parvint à franchir ses lèvres. Le fait que la jeune femme plante ses yeux bleus dans les siens n'arrangeait rien. Ah ça, elle savait y faire pour déstabiliser un homme. Et c'était chose aisée s'agissant de celui-ci.
Callie: "Décidez-vous! On va pas y passer la journée."
Wayne: "Heu... Vous accepteriez de boire un verre avec moi, ce soir?"
Elle se leva et répondit: "Chez moi, 20h."
Puis elle glissa une carte sur laquelle elle avait griffonné son adresse, dans la poche de sa chemise. En retirant sa main, elle la laissa glisser de façon explicite, le long du torse du jeune homme.
Avant de retourner au sous-sol, elle précisa: "Et arrêtez de nous imaginer tous les trois. C'est glauque votre truc. D'ailleurs, je ne partage suis pas du genre à partager."
Là, c'est lui qui failli s'étrangler en entendant ça.
Wayne: "Mais, heu... je... pas du tout."
Elle lui adressa un clin d'oeil et repartit, fière de son petit effet.
Lui n'en menait pas large. Il angoissait le reste de la journée. D'autant plus que l'histoire de l'agression de ce gardien, à qui elle avait littéralement sectionné la langue, lui été parvenu aux oreilles. Tout d'abord, il avait pris ça pour une blague, mais il avait fini par croire à cette version. Il envisagea d'annuler ce rancard, mais il décida de le maintenir. Ce n'était que des rumeurs. Cette fille était bien trop jolie pour être aussi violente. De plus, elle lui avait tapé dans l'oeil et il avait envie de la connaître.
A 18h, le bâtiment se vida de ses employés. Grace et Callie étaient les premières dehors, attendant que les autres descendent à leur tour. Le bracelet de la jeune femme se mit à clignoter, indiquant sa mise en route.
Callie: "Au moins c'est pratique pour se repérer la nuit."
Grace: "Callie, c'est ce soir que tu as rendez-vous avec Rigsby?"
Callie: "Ouais."
Grace: "Vas-y doucement avec lui. Je crois qu'il est un peu impressionné par toi."
Callie: "Ce mec est un grand garçon et je ne suis plus une gamine. Mais ne t'en fais pas, je le renverrais en seul morceau."
Les agents et le mentaliste arrivèrent devant l'immeuble, sans Lisbon qui, comme à l'accoutumé, faisait des heures supplémentaires.
Callie: "Quelle belle brochette!"
Jane souriait, comme toujours, Rigsby n'était pas très à l'aise, et Cho, lui, évitait de croiser le regard de la jeune femme par tous les moyens. Elle le ferait à nouveau rougir et ils le savaient pertinemment l'un et l'autre. Par contre Cho ignorait ce qui causait cet état. C'était une réaction involontaire et inexplicable.
Kimball n'était pas le genre d'homme à se laisser séduire si facilement. Ni à se laisser séduire du tout d'ailleurs.
Callie lança à son intention: "Agent Cho! Bonne soirée!"
Par réflexe, il tourna la tête dans sa direction, ses joues se colorèrent inévitablement.
Callie souriait: "Ah, ça fait deux fois aujourd'hui. Si ça continu, je vais pulvériser mon record à la fin de la semaine."
Jane marchait avec elle jusqu'à la DS: "Cho va finir par te détester si tu continus."
Callie: "Bah, tu parles! Il est dingue de moi. Le truc c'est qu'il ne le sait pas encore. Ah, que veux-tu, je suis irrésistible!"
Jane, amusé: "Tu es démoniaque en fait. Aller je te ramène."
Il la déposa devant la maison d'invité. Evan la lui avait laissé, il avait reprit son ancienne chambre dans le manoir.
Jane: "Ne traumatise pas trop ce pauvre Rigsby."
Callie se contenta de sourire avant de disparaître derrière la porte.
Le mentaliste, alla saluer sa mère, avant de rentrer au motel. Il ne lui avait pas consacré beaucoup de temps depuis leurs retrouvailles. Jane avait plus d'affinités avec son frère et surtout sa soeur. Par contre, il avait encore beaucoup de mal concernant Eleanor. Malgré tous les efforts qu'il faisait, il n'arrivait pas à oublier le vide qu'elle avait laissé dans sa vie de petit garçon. Peut-être qu'avec le temps, cela s'arrangerait. Pour l'instant, il était trop tôt pour instaurer un véritable lien entre eux, au grand dam de Mme Wilcox.
TBC...
Johel, ne te réjouis pas trop vite, ce n'est que le début...
Chapitre 7
Callie était assise sur le bureau du brun, elle remonta son pantalon pour faciliter la mise en place du bracelet. Rigsby, se sentait en position de faiblesse, accroupi devant elle.
Callie ne put résister: "C'est la première fois depuis longtemps qu'un homme est à mes pieds."
Wayne, notant la présence d'un tatouage sur sa cheville: "Joli tatouage. Ce sont des barbelés."
Callie: "Ce n'est pas le plus joli. J'en ai un autre bien plus réussi. Mais, pour le voir, vous devrez d'abord m'offrir un verre."
Wayne se releva, il avala difficilement sa salive, avant de dire: "Voilà, c'est terminé."
Elle descendit du bureau, se mit sur la pointe des pieds pour lui souffler à l'oreille: "Vos mains sont douces Wayne."
Depuis l'autre côté de la pièce, ses deux collègues s'amusaient du spectacle.
Lorsqu'il revint près d'eux, Jane et Cho retenaient leur envie de rire.
Wayne: "Allez-y foutez-vous de moi. C'est bon Cho, voilà ton fric."
L'asiatique empocha son gain et retourna au travail, comme ses camarades. Callie, quand à elle, était au sous sol, à classer des dossiers. Vers 10h, elle remonta à l'étage pour prendre un café avec son amie.
Grace: "Alors, pas trop barbant ce boulot?"
Callie: "Barbant, le mot est faible! J'ai l'impression d'être toujours en taule, les barreaux en moins."
Elle vit passer Wayne dans le couloir.
Callie: "Et on avait pas non plus ce genre de mecs là-bas. Il est pas mal le grand brun."
Grace: "Ecoute Callie, je sais que tu as passé 4 ans sans avoir de petit copain, mais ça n'est pas une raison pour te jeter sur le premier qui passe."
Callie: "Ah mais, ce n'est pas le premier, c'est le second. Le premier c'était l'agent Cho. Il ne manque pas d'intérêt non plus, mais il me semble plus difficile à amadouer que Rigsby. En plus, il est déjà prit, si j'en juge par la photo sur son bureau."
La rouquine ne répondait pas. Elle ne lui avait jamais parlé de son ancienne liaison avec Wayne.
Callie, le comprit d'elle-même: "Oh... Je suis désolée Grace. Tu sors avec Rigsby c'est ça? J'en rate pas une."
Grace: "Non, t'inquiète pas. On était ensemble mais c'est fini depuis longtemps. On bossait dans la même unité, et il y a eu Craig..."
Callie: "Je vois. Bon, tant pis. Je ne ferais pas ça à une amie. A ma seule amie d'ailleurs."
Grace: "C'est pas ce que je veux dire. Tu as parfaitement le droit de voir qui tu veux. Fais juste attention avec Wayne. C'est un mec sensible. Il risque de s'attacher à toi, ou de..."
Callie manqua s'étouffer: "Tomber amoureux! De moi? Ce serait la meilleure."
Grace: "Fais gaffe, c'est tout."
L'objet de leur attention, entra pile à ce moment.
Grace: "Je retourne bosser. On se voit plus tard."
Callie: "Ca marche."
Une fois seuls, le grand brun maladroit, l'épiait du coin de l'oeil, avec une discrétion plus que médiocre. Il gardait les yeux baissés sur son gobelet.
Soudain, il prit son courage à deux mains et se tourna vers elle, mais aucun son ne parvint à franchir ses lèvres. Le fait que la jeune femme plante ses yeux bleus dans les siens n'arrangeait rien. Ah ça, elle savait y faire pour déstabiliser un homme. Et c'était chose aisée s'agissant de celui-ci.
Callie: "Décidez-vous! On va pas y passer la journée."
Wayne: "Heu... Vous accepteriez de boire un verre avec moi, ce soir?"
Elle se leva et répondit: "Chez moi, 20h."
Puis elle glissa une carte sur laquelle elle avait griffonné son adresse, dans la poche de sa chemise. En retirant sa main, elle la laissa glisser de façon explicite, le long du torse du jeune homme.
Avant de retourner au sous-sol, elle précisa: "Et arrêtez de nous imaginer tous les trois. C'est glauque votre truc. D'ailleurs, je ne partage suis pas du genre à partager."
Là, c'est lui qui failli s'étrangler en entendant ça.
Wayne: "Mais, heu... je... pas du tout."
Elle lui adressa un clin d'oeil et repartit, fière de son petit effet.
Lui n'en menait pas large. Il angoissait le reste de la journée. D'autant plus que l'histoire de l'agression de ce gardien, à qui elle avait littéralement sectionné la langue, lui été parvenu aux oreilles. Tout d'abord, il avait pris ça pour une blague, mais il avait fini par croire à cette version. Il envisagea d'annuler ce rancard, mais il décida de le maintenir. Ce n'était que des rumeurs. Cette fille était bien trop jolie pour être aussi violente. De plus, elle lui avait tapé dans l'oeil et il avait envie de la connaître.
A 18h, le bâtiment se vida de ses employés. Grace et Callie étaient les premières dehors, attendant que les autres descendent à leur tour. Le bracelet de la jeune femme se mit à clignoter, indiquant sa mise en route.
Callie: "Au moins c'est pratique pour se repérer la nuit."
Grace: "Callie, c'est ce soir que tu as rendez-vous avec Rigsby?"
Callie: "Ouais."
Grace: "Vas-y doucement avec lui. Je crois qu'il est un peu impressionné par toi."
Callie: "Ce mec est un grand garçon et je ne suis plus une gamine. Mais ne t'en fais pas, je le renverrais en seul morceau."
Les agents et le mentaliste arrivèrent devant l'immeuble, sans Lisbon qui, comme à l'accoutumé, faisait des heures supplémentaires.
Callie: "Quelle belle brochette!"
Jane souriait, comme toujours, Rigsby n'était pas très à l'aise, et Cho, lui, évitait de croiser le regard de la jeune femme par tous les moyens. Elle le ferait à nouveau rougir et ils le savaient pertinemment l'un et l'autre. Par contre Cho ignorait ce qui causait cet état. C'était une réaction involontaire et inexplicable.
Kimball n'était pas le genre d'homme à se laisser séduire si facilement. Ni à se laisser séduire du tout d'ailleurs.
Callie lança à son intention: "Agent Cho! Bonne soirée!"
Par réflexe, il tourna la tête dans sa direction, ses joues se colorèrent inévitablement.
Callie souriait: "Ah, ça fait deux fois aujourd'hui. Si ça continu, je vais pulvériser mon record à la fin de la semaine."
Jane marchait avec elle jusqu'à la DS: "Cho va finir par te détester si tu continus."
Callie: "Bah, tu parles! Il est dingue de moi. Le truc c'est qu'il ne le sait pas encore. Ah, que veux-tu, je suis irrésistible!"
Jane, amusé: "Tu es démoniaque en fait. Aller je te ramène."
Il la déposa devant la maison d'invité. Evan la lui avait laissé, il avait reprit son ancienne chambre dans le manoir.
Jane: "Ne traumatise pas trop ce pauvre Rigsby."
Callie se contenta de sourire avant de disparaître derrière la porte.
Le mentaliste, alla saluer sa mère, avant de rentrer au motel. Il ne lui avait pas consacré beaucoup de temps depuis leurs retrouvailles. Jane avait plus d'affinités avec son frère et surtout sa soeur. Par contre, il avait encore beaucoup de mal concernant Eleanor. Malgré tous les efforts qu'il faisait, il n'arrivait pas à oublier le vide qu'elle avait laissé dans sa vie de petit garçon. Peut-être qu'avec le temps, cela s'arrangerait. Pour l'instant, il était trop tôt pour instaurer un véritable lien entre eux, au grand dam de Mme Wilcox.
TBC...
Dernière édition par lilia le Ven 13 Avr 2012 - 17:04, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: La famille parfaite (ou presque) ^
Bon, alors, si on avait des doutes, ils sont remisés dans le fin fond de notre tête: Callie est bel et bien la soeur de notre Jane!!
Très bon chapitre où l'on voit la nouvelle recrue interagir avec l'équipe, et le pauvre Wayne qui tombe direct dans le panneau.
Van Pelt est une sainte, sérieux, de lui "laisser" son ex boy friend!
Chapitre bien écrit qui plus est...Néanmoins, si je devais retirer un petit côté négatif du chapitre, ce serait l'absence, cruelle, de Lisbon... Elle me manque!
Bravo et VLS!!!!
Très bon chapitre où l'on voit la nouvelle recrue interagir avec l'équipe, et le pauvre Wayne qui tombe direct dans le panneau.
Van Pelt est une sainte, sérieux, de lui "laisser" son ex boy friend!
Chapitre bien écrit qui plus est...Néanmoins, si je devais retirer un petit côté négatif du chapitre, ce serait l'absence, cruelle, de Lisbon... Elle me manque!
Bravo et VLS!!!!
mococoa- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Loisirs : sport, lecture (des fics entre autres), The Mentalist
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